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Aide à la scolarité: le consulat accepte les dossiers

Le consulat vient d’ouvrir les inscriptions pour la seconde campagne d’aide à la scolarité 2013/2014 pour les enfants français résidant à l’étranger.

Cette bourse d’aide à la scolarité s’adresse aux familles récemment arrivées dans la circonscription consulaire de New York ainsi qu’aux familles qui demandent une révision de leur dossier de première commission.

Une liste de conditions à remplir est requise pour l’obtention de cette bourse. L’enfant et le parent qui font la demande de bourse doivent être obligatoirement inscrits auprès du Consulat de France de New York et résider dans cette circonscription. L’enfant doit être de nationalité française, être âgé d’au moins trois ans et être inscrit dans l’un des établissements homologués ou partiellement homologués de la circonscription. Il est également requis d’être en possession d’un certificat de radiation de la Caisse d’Allocations Familiales. Enfin, l’aide à la scolarité sera accordée sous condition de ressources financières et patrimoniales.

Le formulaire de demande de bourse est disponible sur le site du consulat. Il doit être remis par voie postale ou lors d’un rendez-vous au Consulat entre le 20 août et le 13 septembre. Aucun dossier en retard ou envoyé par e-mail ne sera accepté. La commission se réunira en octobre et rendra sa décision à la fin du mois de décembre.

Le roi est mort, vive Montebourg

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(Revue de presse) Le New York Times aurait-il Hollande dans le collimateur ? Après la publication d’une tribune appellant les jeunes Français à quitter leur pays; après un portrait de Ségolène Royal, comparant sa trajectoire politique à celle de JFK, voilà que le quotidien dégaine l’arme fatale : le rebelle du gouvernement Arnaud Montebourg.

Notre Arnaud national est, pour le New York Times, ni plus ni moins que  le « nouveau Charles de Gaulle de la gauche ». Arnaud Montebourg est qualifié de “pourfendeur du libre marché et héros romantique” par la chroniqueuse Maureen Dowd. Il apparaît à la fois comme un lover français et le rebelle du gouvernement. La chroniqueuse reprend notamment un sondage réalisé par le magazine français ELLE désignant le ministre du redressement productif comme le favoris de ces dames pour une virée romantique.

Arnaud Montebourg, le “faiseur de roi socialiste”, est vu comme une pièce maîtresse de la gauche française mais aussi celui qui, au sein du gouvernement Ayrault, n’en fait qu’à sa tête: “Ses danses apache avec les magnats sont en décalage avec la campagne du gouvernement “Dites oui à la France” visant à attirer l’investissement étranger“. Le journal compare  “l’audace de matador” d’Arnaud Montebourg, et “l’insipide Hollande” en lui donnant des airs de preux chevalier qui combat sans relâche le mal à travers ” ses croisades contre la corruption et sa méfiance envers l’économie de marché.” Le journal rappelle que le héros chevelu “a demandé au dissolu Dominique Strauss-Kahn de s’excuser auprès des Socialistes.

On retiendra aussi de ce portrait romanesque deux petites phrases, que le ministre n’aurait peut-être pas prononcé dans des médias français. A propos de la primaire socialiste de 2011, qu’il a perdue face à Hollande notamment: “J’ai échoué une première fois, mais cela ne veut pas dire que j’échouerai une deuxième“. Et à propos du retour de Sarkozy: “Peut-être (qu’il reviendra), estime-t-il. Peut-être en menottes“.

Cuisine pas si « made in France »

Il n’est pas certain qu’Arnaud Montebourg ne parviennent à redresser notre gastronomie. Le Washington Post relaye, dans un article, une étude réalisée par the National Union of Hotel, Restaurant and Cafe Operators, qui montre qu’un tiers des restaurants français admettent – horreur – servir des produits congelés. “Ils trahissent l’héritage national de la fine gastronomie et portent le discrédit sur l’une des principales raisons qui fait de la France la première destination touristique au monde”, regrette le quotidien américain. Les clients se retrouvent ainsi à savourer du « made in usine » alors qu'”ils pensent, sans aucun soupçon, goûter à la cuisine française traditionnelle.”  Du surgelé dans nos cuisines ? Voilà de quoi… en refroidir plus d’un.

Selon le journaliste, ce sont bien des raisons financières qui conduisent à cette situation. “Les propriétaires de restaurants cherchent à maximiser leurs profits en réduisant le nombre de chefs et d’assistants“. Il prend ainsi l’exemple d’un éclair au chocolat qui coûte 60 cents à la sortie d’une usine et dont le prix, une fois sur la table d’un restaurant, augmente. La décongélation de celui-ci coûte bien moins cher que les 2.600 $ net de salaire d’un grand chef cuisinier ou 1.950 $ net pour un assistant dans les cuisines du Mesturet, le restaurant français d’Alain Fontaine situé près de l’Opéra à Paris, qui sert des produits frais et que le journaliste prend pour exemple.

Déclin de la cuisine française à Chicago

Notre gastronomie ne fait plus recette non plus du côté de Chicago. Le Chicago Tribune s’est intéressé au classement des 40 meilleurs restaurants de la ville réalisé par le Zagat Chicago Guide. En 1998, 20 d’entre eux étaient français. Quinze ans plus tard, il n’en reste plus que cinq. “La cuisine française est en déclin depuis des années”, écrit le journal. Il explique que notre tradition culinaire a été détrônée par les restaurants américains, latins et asiatiques. Mais notre honneur reste sauf puisque “la plupart du temps, ils sont dirigés par des chefs qui ont reçu une formation française et qui emploient des techniques culinaires françaises.” Le journaliste nous console en soulignant que les quelques restaurants français qui font toujours parti du classement restent tout en haut.

 Crédit : Rafael Yaghobzadeh/ABACAUSA.COM 

Cosmos Copa: les Bleus se qualifient pour les quarts

Le 14 Juillet a souri à  l’équipe de France de New York. Nos vaillants Bleus se sont qualifiés avec brio pour les quarts de finale de la Cosmos Copa NYC, la coupe du monde des footballeurs amateurs de New York. Ils affronteront les Italiens le 20 juillet.

Motif de satisfaction pour “France NYC” : l’équipe n’a perdu aucun match pendant la phase de poule. Elle a disposé de la Croatie 2-1 le 13 juillet, avant de battre, le 14, la Jamaïque (1-0) et faire match nul avec le Sénégal (0-0). Les Bleus terminent en tête de leur groupe.

Les Français ont battu l’Italie à plusieurs reprises par le passé. S’ils se qualifient, les Bleus joueront la demi-finale le lendemain, le 21 juillet, au Brooklyn Bridge Park.

Une certitude: en accédant à la phase finale, les Bleus sont automatiquement qualifiés pour la Cosmos Copa 2014.

Photo: Marc Cuénot

Moins de césariennes aux Etats-Unis, mais toujours plus qu'en France

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Après avoir progressé de façon exponentielle pendant quinze ans (+ 60 % de 1996 à 2009), le total des accouchements pas césarienne aux Etats-Unis dans l’ensemble des naissances est reparti à la baisse.

De 32,9 % il y a quatre ans, il est passé à 31,3 % en moyenne en 2011 (toujours supérieur à 40 % pour les femmes de plus de 35 ans, mais sous la barre des 25 % pour les moins de 25 ans, hors naissances multiples, donnant plus fréquemment lieu à des césariennes), rapportait récemment le centre national des statistiques de santé.

Cela reste bien supérieur aux taux de césariennes affichés par la France (21 %) ou la Belgique (18 %). Mais surtout au taux préconisé par l’Organisation mondiale de la santé en prenant compte des facteurs favorisant le recours à la césarienne (âge, surpoids, augmentation de la taille des bébés…) : 10 à 15 % de césariennes dans le total des naissances.

Une recommandation formulée notamment en estimant que le coût des césariennes « en excès » représente environ cinq fois celui des césariennes n’ayant pu avoir lieu dans les pays les moins avancés. Pour les Nations unies, cela constitue un frein à l’accès à la césarienne dans le monde entier (en plus d’exposer les femmes à des risques inutiles d’infection et de mauvais placement du placenta lors d’une grossesse ultérieure).

En Europe de l’Ouest et en Amérique du Nord, seuls les Pays-Bas sont dans les clous définis par l’OMS et les autres pays nordiques s’en rapprochent. Mais il n’y a que l’Italie et le Portugal qui battent les Etats-Unis.

Le boulanger Eric Kayser étend son empire à New York

Assis au fond de la boutique de l’Upper East Side, Eric Kayser compte sur ses doigts: il a 110 boulangeries dans 16 pays; va en ouvrir 20 cette année, son chiffre d’affaires a cru de 20% par an en moyenne depuis les débuts, en 1996…
Le boulanger-PDG, aussi à l’aise quand il parle de “business development” que du croustillant et de “l’alvéolation” de sa baguette, a longtemps attendu pour se lancer à l’assaut de l’Amérique. “Il faut être prêt pour venir ici, dit-il. C’est un marché formidable, mais difficile, ouvrir une boutique à New York par exemple est incroyablement compliqué”.
Il aura donc pris son temps, mais les débuts ont des allures de feu d’artifice. La première boutique, ouverte en août dernier dans l’Upper East Side, a été accueillie par les louanges de la presse new-yorkaise. Et trois nouvelles “Maison Kayser” vont ouvrir dans les toutes prochaines semaines à Bryant Park, Columbus Circle et Flatiron dès le 17 juillet (avec un restaurant de 64 places).
Au bout du compte, ça marche encore mieux que prévu, constate Eric Kayser, avant de décocher un coup de pied à la mère patrie: une fois qu’on a réussi en France, on peut ouvrir n’importe où. C’est tellement difficile chez nous, où personne ne veut travailler…”  La file d’attente des dimanche matins devant la boutique de l’Upper East Side en témoigne: la recette Kayser de la “haute couture boulangère” séduit les New-Yorkais.
Mais le Lorrain n’est pas parti seul à la conquête de l’Amérique. Les boulangeries Maison Kayser sont ouvertes ici en franchise, contrairement à l’Asie notamment, où la majorité le sont en propre. Les patrons aux Etats-Unis sont Louis-Jean Egasse et Lou Ramirez, deux entrepreneurs, titulaires de la franchise Maison Kayser pour les Etats-Unis.
Le premier est français, ancien de l’école hôtellière de Lausanne, passé par les médias internet (Bestofmedia). Le second est un américain, ex du Pain Quotidien et ancien co-propriétaire de Fig & Olive. Derrière les deux entrepreneurs, un actionnaire discret mais puissant: le fonds d’investissement de Charles Heilbronn, membre de la famille Wertheimer, actionnaires historiques de Chanel. Comme son demi-frère Alain Wertheimer, Charles Heilbronn vit à New York.
Les ambitions de Maison Kayser USA sont grandes: six boutiques ouvertes d’ici à la fin de l’année à Manhattan, avant d’attaquer le reste du pays dès 2014. “Les choses sont allées très vite, beaucoup plus que prévu, dit Louis-Jean Egasse. L’ouverture de Kayser à New York a fait le buzz; l’image est excellente. J’ai quotidiennement des demandes de centres commerciaux ou d’hôtels qui veulent qu’on s’installe chez eux”.
Des moyens et des ambitions de multinationale, mais un attachement viscéral au savoir-faire français. “Chaque boutique a son propre laboratoire, son propre four”, insiste Eric Kayser. Crucial pour reproduire les recettes qui ont fait le succès du maître boulanger depuis ses débuts dans les années 1990, rue Monge à Paris. “Comme à chaque fois qu’on s’installe à l’étranger, on a adapté nos recettes, à l’eau, à la farine. Tous nos produits de base sont américains, de très bonne qualité, mais forcément différents”. Malgré tout, dit-il fièrement en rompant une grosse baguette, “vous retrouvez cette belle alvéoloation.
Le personnel est formé “à la française”. Kayser a envoyé à New York un de ses boulangers d’élite, Yann Le doux, pour s’assurer que les baguettes Monge à $ 2,75 ont le croustillant nécessaire (admirez ici  la poésie boulangère du NY Magazine pour décrire la merveille). Les employés américains ont eux fait le trajet inverse, envoyés à Paris pendant 6 mois pour y apprendre les secrets de la fermentation lente. Ce qui est bien, chez Kayser le boulanger pressé, la seule chose avec laquelle on prend son temps…

Restaurant Week: New York se met à table pour l'été

New York est la ville des restaurants. Alors quand ils sont moins chers, autant en profiter. L’occasion vous en est donnée avec la Restaurant Week estivale, organisée du 22 juillet au 16 août.
Presque 300 restaurants participent à ces trois semaines de célébration de la gastronomie locale. Entre cuisine française, spécialités américaines, asiatiques et assiettes italiennes, personne ne restera sur sa faim.
Tous les repas sont à prix fixes : comptez 25 dollars pour un déjeuner et 38 dollars pour un diner. Chaque repas comprend une entrée, un plat et un dessert et les boissons ne sont pas inclues.
La Restaurant Week estivale de New York rencontre chaque année beaucoup de succès et les tables sont prises d’assaut. Il est donc vivement recommandé de réserver.
Crédit : Olena Mykhaylova/ddp images/ Sipa USA

Un Marley en concert à Fort Lauderdale

Fort Lauderdale reçoit la visite de Julian Marley, grande figure de la musique reggae.
Le fils de Bob Marley donnera un concert sur la scène du Revolution Live le 21 juillet. Il sera entouré des jeunes musiciens jamaïquains qui composent son groupe, “The Uprising”.
Julian Marley, musicien-né et héritier de la culture reggae, est à la fois chanteur, auteur, producteur et militant pour des causes humanitaires. Nominé aux Grammy Awards, l’artiste autodidacte maîtrise à la fois la basse, la guitare, le clavier et la batterie.
Crédit : Loona/ABACAUSA.COM

"Les Bandits" viennent braquer le Lower East Side

“Les Bandits” viennent apporter une touche européenne à l’ambiance feutrée du 2nd Floor on Clinton. Le groupe de musique se produira dans ce speakeasy du Lower East Side le 16 juillet pour une soirée “jazz-cabaret-rock-pop”.

La chanteuse du groupe envoutera cet ancien appartement new-yorkais en interprétant des classiques français, italiens et anglais des années 1920-1970. Les mélodies de Georges Brassens, Paolo Conte, Serge Gainsbourg, John Lennon et Paul McCartney ou encore Mina, raisonneront au rythme des saxophones, violoncelles, harpes et nombreux autres instruments du groupe.

Le lieu ne pouvant proposer que 30 places assises, il est conseillé de réserver avant le concert.

Crédit : Les Bandits/Facebook

Au Hangar 19, Solar Impulse fête la fin de son voyage

«C’est une émotion extraordinaire». Au pied du majestueux Solar Impulse, dans le hangar 19 de l’aéroport JFK, Bertrand Piccard savoure. Avec son ami André Borschberg, il a parcouru les Etats-Unis d’Ouest en Est à bord de l’avion à énergie solaire. Maintenant que l’appareil est posé pour de bon, les deux hommes peuvent souffler.

Les pilotes suisses participaient, jeudi matin, à une conférence organisée en partenariat avec la Fondation Antoine de Saint Exupéry pour la Jeunesse, avec laquelle Solar Impulse collabore depuis 2012. Objectif : financer des projets communs pour les jeunes en difficulté, les sensibiliser aux valeurs humaines et à l’histoire de l’aviation. Les deux pilotes avaient d’ailleurs vêtus pour l’occasion la célèbre écharpe jaune du Petit Prince. « Avec cette écharpe, on rend hommage au travail de Saint Exupéry », a lancé Bertrand Piccard. «Et nous rendons hommage à tous les pionniers de l’aviation », a renchéri André Borschberg.

Une belle frayeur

Après plus de deux mois dans le ciel américain, Solar Impulse a atterri à l’aéroport JFK de New York dans la soirée du 6 juillet. C’est André Borschberg qui a assuré le dernier vol. Un exercice qui a failli tourner au drame. « Une partie inférieure de l’aile, qui est en tissu, s’est déchirée. Le risque était que la pression de l’air fasse sauter la partie supérieure de l’aile et nous avons eu peur que l’avion se désintègre dans l’Atlantique », raconte le pilote. Le dernier vol a également été rendu difficile par la météo capricieuse. « C’était difficile de trouver les bonnes fenêtres météo, ce qui était d’autant plus stressant à cause de l’incident technique », continue-t-il.

Malgré cet incident, les deux pilotes ne retiennent que du positif de cette expérience unique au monde. « C’est quelque chose dont je rêvais depuis des années, confie Bertrand Piccard. C’est une émotion et une sensation extraordinaire que l’on ressent une fois le voyage terminé. Le bilan citoyen est très positif : nous avons touché des gouverneurs, le ministre américain de l’énergie, le secrétaire général des Nations-Unies. Et technologiquement, le bilan est absolument excellent », souligne-t-il.Prochaine étape : un tour du monde en 2015.

Temps d'attente à la douane: triste record pour JFK

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JFK détient un triste record aux Etats-Unis. L’aéroport new-yorkais est celui qui fait le plus attendre ses voyageurs internationaux à leur arrivée.

Trente-six minutes, c’est le temps estimé que vous devrez passer à la douane, selon une étude réalisée par Global Gateway Alliance (GGA). Cette moyenne a augmenté de 8 minutes en un an. L’augmentation s’explique en partie par la réduction du nombre de douaniers, selon GGA, un groupe qui veut améliorer le service rendu aux usagers dans les aéroports.

Le terminal des arrivées de JFK a accueilli environ 3,2 millions de personnes cette année (l’année fiscale se termine le 30 septembre). Plus de 1,7 million de voyageurs ont dû patienter plus d’une demi-heure, un chiffre qui a augmenté de plus de 50% en un an. A Newark, les voyageurs étrangers doivent patienter 22 minutes en moyenne, contre 19 en 2012.

Selon GGA, les passagers débarquant à Miami doivent attendre en moyenne 31 minutes (contre 26 en 2012). A San Francisco, ils passent en moyenne 25 minutes à la douane, contre 23 en 2012; 12 en 2013 contre 11 en 2012 à LAX. Atlanta est le seul aéroport à avoir réduit ses temps d’attente si l’on en croit l’étude: ils passent de 16 à 12 minutes.

Crédit :  Rebecca Reid/ABACAUSA.COM

"Retour vers le futur" en plein air à Austin

Un grand classique du cinéma sur écran géant en plein air. Et gratuit, en plus. Que demande le peuple !
« Austin Sound & Cinéma », la série  qui promet de montrer les films « les plus populaires de tous les temps », est de retour pour l’été. Le 17 juillet, elle propose une projection du premier « Retour vers le futur », le film de Steven Spielberg qui relate les voyages fous dans le temps de Marty et du Doc. Comme le veut le concept de ce rendez-vous ciné, un groupe de musique rendra hommage au film lors d’une performance « live » avant la projection. Les « Hello Wheels » seront chargés de chauffer le public, avec des tubes des années 50 à 80.
Les projections ont lieu sur la pelouse du Long Center for the Performing Arts. N’oubliez pas vos couvertures et vos chaises pliantes. La série se poursuit jusqu’au 21 août. Le 14, les cinéphiles ont rendez-vous avec « Flash Gordon ». Et le 21, avec « Jurassic Park ».
Photo: David Weaver / What to do in Austin

Houston Restaurant Weeks remet le couvert

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Houston Restaurant Weeks revient raviver vos papilles du 1er août au 2 septembre.
Partez à la découverte de nouveaux restaurants et profitez de formules avantageuses tout en aidant la Banque alimentaire de Houston. La liste des restaurants et leurs menus seront dévoilés le 15 juillet.
Tous les restaurants participants proposeront des dîners composés de trois ou quatre plats pour un prix fixe de 35$ ou 45$. Les établissements seront également libres d’appliquer la formule sur les déjeuners et les brunches. Il faudra alors compter 20$ ou 35$ pour un repas composé de deux à quatre plats.
L’offre s’appliquera tous les jours, en fonction des horaires d’ouverture des restaurants. Vous devez reserver votre table à l’avance dans certains lieux.  Les établissement reverseront une partie de leurs bénéfices à la Banque Alimentaire de Houston, entre 3 et 7$, selon leurs ventes.
La Houston Restaurant Week a été lancée en 2003 par Cleverley Stone, alors animateur de “The Cleverley Show” sur CBS Sports Radio. L’événement, qui à l’origine ne durait qu’une semaine, à été transformé par la suite en Houtson Restaurant Weeks. Il dure désormais un mois entier.
Crédit : Dasha Petrenko/ddp images/ Sipa USA