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La sexualité coloniale en Algérie expliquée à Columbia

Passionnés d’Histoire, curieux ou aguerris, la Maison française de Columbia vous ouvre ses portes le 13 mars pour une conférence d’histoire coloniale inédite, consacrée aux tabous de la sexualité coloniale en Algérie entre 1830 et 1962.

La parole sera donnée à Christelle Taraud, professeur à l’Université de Columbia et Paris I La Sorbonne. Spécialiste du Maghreb et de la “prostitution coloniale”, elle est l’auteur de plusieurs études dont ProstituéEs, un dossier pour la revue Clio rédigé en collaboration avec Christine Bard. Son prochain ouvrage s’intitule Sexe et colonies : Virilité, homosexualité et tourisme sexuel au Maghreb (1830-1962).

 

"Dine in Brooklyn": Brooklyn se met à table

Envie de déjeuner à Brooklyn sans se ruiner ? Pour la dixième année consécutive, “Dine in Brooklyn” remet le couvert du 11 au 21 mars et vous permet de diner dans pas moins de deux cents restaurants à prix cassés.

Le principe reste le même : chaque printemps, les restaurants offrent, le temps d’une semaine, des menus pour moins de 30 $. Un déjeuner et un brunch ne vous coûteront pas plus de 20,13 $ tandis que le diner ne dépassera pas les 28 $. Certains restaurants proposent même un déjeuner pour deux à 20.13 $ et un diner pour deux à 28 $.

De Bay Bridge à Coney Island en passant par Williamsburg, vous pourrez goûter à plusieurs spécialités italiennes, mexicaines ou françaises, notamment dans les restaurants Chez Moi, Petite Crevette ou Provence en Boite.

Chaque année, “Dine in Brooklyn” rencontre un succès considérable auprès des New-Yorkais. Il est donc recommandé de réserver à l’avance en mentionnant que vous venez dans le cadre de « Dine in Brooklyn » pour profiter des réductions.

Dépenses de mariage: le fossé franco-américain

Pour le plus beau jour de leur vie, les couples américains ne lésinent pas sur les moyens.

Le jour où ils se disent « I do », ils dépensent presque deux fois plus que leurs homologues français. Selon une étude du site de mariage Knot, le coût moyen d’un mariage aux Etats-Unis s’élevait à 28.427 dollars en 2012. En France, les couples ont dépensé 12.000 euros (environ 15.000 dollars) en moyenne la même année, selon une étude de l’Insee.

Le premier poste de dépense reste dans les deux pays la réception : comptez 6.000 euros pour la location de la salle, le traiteur et l’animation en France et 12.124 dollars aux Etats-Unis. La traditionnelle robe de mariée coûte en moyenne trois fois plus cher aux Etats-Unis (environ 6.000 dollars) alors que les Françaises dépensent entre 800 et 2.000 euros en moyenne.

Depuis deux ans, les couples dépensent plus pour leur mariage malgré la crise économique qui touche les deux pays. En 2010, les Français avaient un budget s’élevant à 11.800 euros alors que les Américains ont dépensé en moyenne 26.984 dollars la même année.

Gad Elmaleh de retour à New York

Gad Elmaleh serait-il tombé amoureux de New York ? Sûrement, puisque la deuxième personnalité préférée des Français est de retour pour deux soirées de spectacle au City Winery les 4 et 6 avril prochains. Sa tournée américaine se poursuivra à San Franciso le 10 avril et Los Angeles les 12, 13, 15 et 16 avril.

Cinq ans après « Papa est en haut », le comédien dévoilera son nouveau one-man show « Sans tambour… ». Le thème principal de son nouveau spectacle est la célébrité : des avantages qu’elle procure jusqu’aux tracas quotidiens qu’elle peut causer, notamment aux Etats-Unis où elle ne lui est d’aucune utilité face au douanier pour entrer sur le territoire américain. Gad Elmaleh racontera également son enfance passée au Maroc, les différences entre hommes et femmes mais aussi les particularités des Français qui agacent leurs voisins.

Pour ce nouveau spectacle, le comédien se veut plus proche du public, notamment en privilégiant les petites salles. « A un moment de notre carrière, on croit que la folie des grands shows est importante (…) Aujourd’hui, je veux juste faire rire avec un minimum de lumière et de public », déclare-t-il dans une interview donnée dans Le Soir-Echos

C’est la troisième fois que Gad Elmaleh se rend à New York pour se produire sur scène. En novembre 2012, il avait déjà présenté son spectacle « Papa et en haut » au City Winery et avait fait sensation en 2006 au Beacon Theater de Broadway pour son spectacle « L’autre c’est moi », qu’il avait joué devant plus de 3.000 personnes.

L’artiste enchainera sa tournée américaine à Washington, San Francisco et Los Angeles avant de revenir en France où il se produira sur scène jusqu’en juillet. Des dates supplémentaires ont été programmées pour les mois de janvier et février au Trianon à Paris.

Gad Elmaleh revient à Los Angeles

L’humoriste dépeint comme le Ben Stiller français fait son grand retour à Los Angeles pour présenter son tout nouveau spectacle à l’occasion de sa tournée américaine. Gad Elmaleh montera sur la scène du Largo les 12, 13, 15 et 16 avril prochains.

Cinq ans après « Papa est en haut », le comédien dévoilera son nouveau one-man show « Sans tambour… ». Le thème principal de son nouveau spectacle est la célébrité : des avantages qu’elle procure jusqu’aux tracas quotidiens qu’elle peut causer, notamment aux Etats-Unis où elle ne lui est d’aucune utilité face au douanier pour entrer sur le territoire américain. Gad Elmaleh racontera également son enfance passée au Maroc, les différences entre hommes et femmes mais aussi les particularités des Français qui agacent leurs voisins.

Pour ce nouveau spectacle, le comédien se veut plus proche du public, notamment en privilégiant les petites salles. « A un moment de notre carrière, on croit que la folie des grands shows est importante (…) Aujourd’hui, je veux juste faire rire avec un minimum de lumière et de public », déclare-t-il dans une interview donnée aux Echos.

Los Angeles est la dernière étape de la tournée américaine de Gad Elmaleh avant qu’il ne revienne en France où il se produira sur scène jusqu’en juillet. Des dates supplémentaires ont été programmées pour les mois de janvier et février au Trianon à Paris.

Bras de fer judiciaire autour des frais de scolarité à l’étranger

Voilà une nouvelle qui fera plus d’un heureux dans les écoles françaises de l’étranger.

Le 19 février, le tribunal administratif de Paris, saisi par un parent d’élève du Lycée français de New York (LFNY), a épinglé l’AEFE (Agence pour l’enseignement français à l’étranger), l’organisme qui chapeaute, sous la tutelle du Quai d’Orsay, un réseau de 480 établissements aux programmes français hors de France. Motif : elle prélevait sur ces écoles une charge non autorisée qui faisait augmenter leurs frais de scolarité. « Aucun texte législatif ou réglementaire ne l’y autorisait », raconte le Journal du Dimanche (JDD).

Le montant de cette charge s’élevait à hauteur de 6% des frais de scolarité pour les établissements dits « conventionnés » ou en « gestion directe », et 2% pour les établissements simplement « homologués », qui constituent la quasi-totalité du réseau aux Etats-Unis. Elle avait été instaurée par un simple vote du conseil d’administration de l’AEFE en 2008 et avait permis de récolter quelque « 34 millions d’euros par an » pour assurer le fonctionnement de l’agence et les pensions des enseignants détachés. « La décision du 19 février menace de bloquer tout le dispositif et expose l’AEFE à devoir rembourser plus de 100 millions d’euros aux familles, établissements ou entreprises qui expatrient leurs employés français en prenant en charge les frais de scolarité de leurs enfants et qui en feraient la demande », écrit le JDD.

Cette charge étant en partie absorbée, il faudra que l’agence trouve 13 millions d’euros en 2013 pour combler le possible manque à gagner. Sa directrice, Anne-Marie Descôtes a indiqué au JDD qu’elle avait l’intention de « déposer une requête en annulation et demander un sursis à exécution » de la décision du juge.

Législative partielle: Karel Vereycken se re-présente

Karel Vereycken (Solidarité et Progrès) a annoncé sa candidature à la législative partielle en Amérique du Nord. Il avait recueilli 0,38% des voix au premier tour de l’élection de juin 2012.

En lisant ce qu’il s’écrit sur les candidatures, je constate que pour l’instant, côté programme, c’est hélas le grand vide. Pourtant, avec 81% d’abstention lors du premier tour dans ma circonscription, il y a lieu de s’interroger. Ce qui est certain, c’est que les électeurs méritent mieux que des candidats dont le seul programme est leur nom, leurs protecteurs à Paris et leur carnet d’adresses” écrit-il dans un communiqué publié samedi sur son site.

Il veut mobiliser autour d’un “programme de sortie de crise“, axé sur la création d’un “crédit productif public” pour financer des grands travaux, la séparation des banques d’affaires et de dépôts, et le “retour au non-alignement” en politique étrangère.

Né en 1957 à Anvers, il travaille depuis trente ans auprès du fondateur de Solidarité et Progrès Jacques Cheminade, comme directeur de publication de Nouvelle Solidarité, le bimensuel du mouvement. En Belgique, il est le fondateur et vice-président du parti politique Agora Erasmus.

"Le début de la fin" de l'Assemblée des Français de l'étranger

Barème des bourses, élections législatives partielles, réforme de la représentation des Français de l’étranger: on voit mal comment la d’ordinaire discrète Assemblée des Français de l’étranger pouvait le rester cette année.

L’Assemblée de 190 membres (dont 155 conseillers élus par les Français vivant à l’étranger), tenait à Paris, du 4 au 9 mars, l’une de ses deux sessions plénières annuelles. Et le moins que l’on puisse dire est qu’elle fut agitée. Raison du psychodrame: la réforme de la représentation des Français hors de France, que certains dans cet aréopage chargé de défendre les intérêts des Français expatriés voient comme sa mise à mort. “L’ambiance était abominable, avec des séances dignes de celles de l’Assemblée nationale“, souligne Damien Regnard, conseiller élu pour la circonscription consulaire de Houston et candidat divers droite à la législative en Amérique du Nord. “Tout le monde se disait au revoir, et peut-être adieu. Dès qu’il y avait une photo de commission, on se disait que c’était la dernière (…) C’est le début de la fin“.

La réforme de la représentation des Français de l’étranger, présentée en conseil des ministres le 20 février, prévoit l’élection au suffrage universel direct de 444 “conseillers consulaires” , chargés de traiter les questions d’aide à la scolarité, de protection et d’action sociales, de formation et de sécurité notamment, en lieu et place des comités consulaires actuels.

Ils seront également chargés d’élire les douze sénateurs des Français de l’étranger, un rôle aujourd’hui dévolu aux élus de l’AFE. Cette dernière passerait à 81 membres, choisis au sein des futurs conseillers consulaires. Son rôle serait purement consultatif – sur le modèle du Conseil économique et social (CES) – avec un droit de regard sur les dispositions relatives aux Français de l’étranger dans les lois de finances et l’obligation faite au ministre des Affaires étrangères de lui présenter un rapport annuel. Davantage d’élus locaux, un collège électoral des sénateurs plus grand: par cette réforme, le gouvernement veut réduire les risques de clientélisme et renforcer la démocratie de proximité au sein des communautés françaises dans le monde.

Le texte proposé a suscité une belle levée de boucliers à droite comme à gauche. Avant le coup d’envoi de la session, le groupe de sensibilité de gauche Français du Monde – ADFE a organisé un vote pour exprimer sa position sur le texte: “C’est à une quasi-unanimité que les élus ont exprimé un avis défavorable vis-à-vis du projet présenté par le gouvernement. Les élus de gauche proposent que cette réforme soit très sérieusement amendée par les parlementaires“, écrit le président des élus socialistes et républicains (UESRE) de l’AFE, Jean-Daniel Chaoui, sur son site. Ils critiquent en particulier le rôle purement consultatif donné aux élus et l’insuffisance des indemnités prévues.

Nos compatriotes ont déjà du mal à comprendre ce qu’est l’AFE et maintenant on va leur parler de conseillers consulaires“, tonne pour sa part Damien Regnard (Rassemblement des Français de l’étranger/RFE).

L’examen du projet de loi en séance publique au Sénat aura lieu à partir du 18 marsL’Assemblée nationale devrait s’en saisir à partir de la mi-avril pour une entrée en vigueur avant les sénatoriales de 2014.

 
 

La mode vintage s'expose au Vintage Fashion Expo

Finies les Fashion Weeks de l’hiver 2013, la mode fait place aux tendances d’été…Ou du passé. À San Francisco, fans de friperies et autres passionnés de vêtements d’autrefois ont rendez-vous à la Vintage Fashion Expo.
Pour cette édition du salon, entre 80 et 100 exposants de tout le pays présentent leurs trésors vestimentaires anciens au Concourse Exhibition Center les 16 et 17 mars. C’est un voyage à travers plus de 125 ans de mode qui attend les curieux. Des pièces de style rétro, de l’ère victorienne, des années folles ou encore des seventies, voilà tout ce qu’on pourra admirer sur place. Sur les stands, le public pourra farfouiller parmi les vêtements, textiles de maison, bijoux ou accessoires.
Pour les plus nostalgiques, il est bien sûr possible de faire des achats. Le vestiaire féminin se taille la part du lion dans l’exposition avec une sélection de chapeaux, chaussures, robes, costumes, ou lunettes vintage. Mais les hommes et les enfants ne sont pas en reste et devraient trouver de quoi se rhabiller, pour l’hiver ou l’été.
Si la période “vintage” est difficile à définir, l’intérêt que lui porte le monde de la mode californien ne date pas d’hier. L’exposition existe depuis 1988, avec une première édition à Oakland. Désormais, la Vintage Fashion Expo a lieu cinq fois par an au total, entre San Francisco et Santa Monica. L’événement voit défiler aussi bien des adolescentes en quête de style, que des créateurs venus nourrir leur inspiration ou des costumiers à la recherche de la perle rare pour un film d’époque.

Le cinéma au féminin à Miami

Par les femmes, pour les femmes et pour tous ceux qui aiment les femmes“, c’est le slogan de la 8eme cérémonie du Women’s International Film and Arts Festival (WIFF).

Du 20 au 24 mars, l’un des deux seuls festivals du Sud des Etats-Unis dédié aux femmes mettra à l’honneur des films et leurs réalisatrices. A travers cet événement s’étalant sur quatre jours, les organisatrices ont voulu mettre en avant des parcours, des rêves et des visions de femmes ordinaires ou exceptionnelles. Cinquante films de styles et de pays différents seront projetés et dans certains cas suivis de débats.

Jada Pinkett Smith, femme militante de Will Smith, ouvrira la cérémonie le mercredi 20 mars avec la projection du documentaire qu’elle a co-produit “Free Angela Davis and All Political Prisoners”. Ce travail s’intéresse au parcours de l’activiste Angela Davis et à son combat pour la liberté, avec pour trame de fond la recherche du sens de la liberté politique en démocratie.

 

Sarasota accueille le "Proust Project" en mars

Pour célébrer le centenaire de la publication du premier volume d’A la recherche du temps perdu, l’Alliance française de Sarasota, en collaboration avec l’établissement New College of Florida et Selby Public Library, organise le “Proust Project Sarasota”.

Conférences, projections, discussions littéraires, exposition : à l’issue de ce mois de mars, l’œuvre de Marcel Proust ne devrait plus avoir aucun secret pour vous.

Quatre conférences sont organisées autour de l’œuvre. Le 12 mars, une conférence, en présence d’Evelyne Bloch-Dano, sera organisée autour de son livre Madame Proust, consacrée à la mère de l’auteur, si chère au jeune Marcel. Le 19 mars, David R. Ellison, chercheur à l’université de Miami interviendra sur le thème “Interprétation de Proust dans le monde anglo-américain”.

L’exposition du 15 mars mettra en valeur tous les artistes que Proust a aimés dans sa vie, et sur lesquels il a tant écrit. Des exemplaires d’œuvres de Manet, Matisse et Rembrandt seront ainsi présents. Un documentaire et un film (avec Jérémy Irons et Ornella Muti) sur la vie de l’auteur seront projetés les 7 et 9 mars.

Deux discussions littéraires, les 8 et 11 mars, permettront également de mieux cerner celui qui a d’abord écrit le premier et le dernier paragraphe de sa “recherche”, avant d’intercaler sept tomes et plusieurs milliers de pages entre les deux. Ensuite, peut-être, viendra enfin le temps de la lecture…

Soirée de networking pour les diplômés des Grandes écoles françaises

Pour construire son avenir, tous les réseaux sont bons. Si de nos jours, Facebook et ses pairs ont la cote dans ce domaine, rien ne vaut une rencontre avec des professionnels en chair et en os.

L’association French Alumni organise le 13 mars une soirée de networking dans les locaux de l’Atelier BNP Paribas. L’occasion de réseauter entre Frenchies puisque l’événement est réservé aux anciens des Grandes Ecoles et Universités françaises. Au programme, bonne ambiance et discussions libres autour d’un buffet et d’un bar ouvert.

Les diplômés pourront rencontrer des directeurs et des membres d’écoles françaises prestigieuses qui ont fait le voyage dans la Silicon Valley. Seront notamment présents Emmanuel Mahé, directeur de la recherche à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs (Paris), Laura Maclet, chef de projet E-Methodos à Sciences Po Paris, Benjamin Six de l’ESSEC Business School (Paris), Geneviève Baudoin de l’ESIEE Paris, Didier Calcei de l’ESC Troyes – School of Management, mais aussi Clara Danon et Anne Boyer, du ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.

La soirée bénéficie du soutien de trois acteurs majeurs pour l’entrepreneuriat franco-américain : la Chambre de Commerce Franco Américaine de San Francisco, l’Atelier BNP Paribas et Paris Region International Mission Enterprise (Prime). Les invités peuvent venir accompagnés, à condition de se dépêcher pour réserver, car les places sont limitées.