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D’où vient la tradition du sapin de Noël du Rockefeller Center?

À New York, le Rockefeller Center figure parmi les lieux emblématiques de la ville. Durant les fêtes de fin d’année, les New-Yorkais et les Américains, mais aussi les touristes du monde entier, convergent vers cet endroit pour s’amuser sur la patinoire éphémère et profiter des illuminations du plus célèbre sapin de Noël des États-Unis. Cet arbre est d’ailleurs devenu une véritable attraction touristique, avec plusieurs dizaines de millions de visiteurs chaque année. Mais de quand date son installation ? Et qui en est à l’origine ? French Morning vous dit tout.

Sapin et salaire

L’apparition du premier sapin remonte à la construction du Rockefeller Center en 1931, en pleine Grande Dépression. À cette époque, les travaux venaient juste de démarrer avec, comme principale main-d’œuvre, des milliers d’ouvriers italiens et irlandais. À l’approche des fêtes de Noël, ceux-ci ont décidé de planter un sapin baumier (balsam fir tree en anglais) de vingt pieds, soit un peu plus de six mètres de hauteur. Pour la décoration, les ouvriers avaient utilisé des guirlandes de papier et de canneberges et quelques ornements.

« Les ouvriers ont installé le premier sapin tout au nord du Rockefeller Center et non pas à son actuel emplacement (30 Rockefeller Plaza, N.D.L.R.). Cet arbre a été planté dans une zone où il n’y avait encore que des gravats. C’est à ce même endroit qu’ont été installées une table et une chaise pour accueillir un contremaître. Les ouvriers y formaient alors une longue file d’attente pour recevoir leur salaire », raconte Daniel Okrent, ancien rédacteur en chef du magazine Life, public editor du New York Times et auteur de Great Fortune : The Epic of Rockefeller Center. Une photo prise à cette époque a immortalisé cet instant.

Une tradition depuis 1933

Si la première apparition du sapin de Noël remonte à 1931, ce n’est qu’à partir de 1933 qu’une célébration officielle a été organisée. À cette date, l’arbre est devenu l’un des symboles de New York à l’approche de Noël. « Pour les New-Yorkais, son importance est due au rôle du Rockefeller Center. Situé au cœur de la ville, dans Midtown, c’est un lieu où tout le monde est amené à passer, précise Daniel Okrent. Pour le reste du pays, il est devenu un symbole grâce à la cérémonie officielle d’illumination qui est retransmise en direct sur NBC et sur NBC Radio avant l’apparition de la télévision ». Quant à la cérémonie officielle, elle a toujours lieu le mercredi d’après-Thanksgiving avec le maire de New York, le P.-D.G. de Tishman Speyer (société propriétaire du Rockefeller Center) et de nombreux invités et célébrités.

Des critères bien précis

Depuis l’instauration de cette tradition new-yorkaise, l’arbre de Noël répond à des critères bien précis. En effet, il est toujours choisi par le jardinier du Rockefeller Center. Erik Pauzé, qui occupe actuellement ce poste, sillonne les pépinières des États de New York, du New Jersey et du Connecticut, pour trouver la perle rare. Ces dernières décennies, le choix s’est toujours porté sur un Norway Spruce (épicéa de Norvège). Il s’ensuit un processus de découpe pour que l’arbre ne dépasse pas les cent pieds, soit environ trente mètres. La hauteur est limitée en raison des problématiques de transport et de l’étroitesse des rues autour du Rockefeller Center. Une fois le sapin arrivé à destination, une grue vient le placer à la verticale, et il est ensuite soutenu par quatre haubans avec une énorme pointe en acier à la base. Pour finir, un échafaudage est érigé afin de permettre l’installation de toutes les décorations.

Cette année, le nouveau sapin ne déroge pas à la règle puisque le jardinier du Rockefeller Center a choisi un épicéa de Norvège venu de la ville de Vestal, dans l’État de New York. D’une hauteur de 80 pieds (24 mètres) et âgé de 80 ans, il affiche un poids de 12 tonnes. Quant à la décoration, elle se compose de 50.000 leds, soit plus de 5 miles (environ 8 kilomètres) de câbles, et d’une étoile Swarovski de 70 pointes, pesant plus de 400 kilogrammes. Mi-janvier, ce gigantesque épicéa sera retiré du Rockefeller Plaza pour être donné à l’ONG américaine Habitat for Humanity. Il sera alors broyé, traité et transformé, afin d’être utilisé pour la construction de maisons.

Et vous, à quel point avez-vous détesté «Napoléon»?

Le réalisateur britannique Ridley Scott (« Blade Runner », « Thelma & Louise », « Gladiator »…) a réussi un bel exploit : transformer une figure historique aussi complexe que Napoléon en personnage fade et sans-relief. C’est, en résumé, le sentiment qu’on a à l’issue de la projection de son « Napoléon », sorti en salles aux États-Unis la semaine dernière, à grand renfort de promotion.

Très attendu, le biopic se veut une biographie romancée de l’empereur déchu, de son émergence dans le chaos de la Révolution française jusqu’à sa mort en exil sur l’île de Sainte-Hélène après la défaite de Waterloo. Il alterne entre deux trames narratives : son histoire d’amour avec Joséphine de Beauharnais, avec qui il essaie désespérément d’avoir un enfant, et ses exploits sur le champ de bataille, à commencer par la reprise de Toulon aux mains des forces britanniques et royalistes en 1793.

Malheureusement, ce choix binaire occulte complètement la richesse du personnage historique controversé, un Corse maîtrisant mal le français qui s’est hissé aux cimes du pouvoir… Au lieu de raconter cette ascension fulgurante, et sa chute, le Napoléon de Ridley Scott, incarné par l’Américain Joaquin Phœnix qu’on a vu plus inspiré, est un homme terne et sans saveur, qui émet des bruits bizarres quand il veut copuler. 

L’héritage oublié de Napoléon

Le film se termine par un bilan humain des batailles de Napoléon, comme si la violence était son unique héritage. Il est indéniable que le despote a ensanglanté l’Europe, rétablissant au passage l’esclavage dans les colonies (aspect totalement absent du film), mais il a aussi façonné la France moderne. On lui doit notamment le baccalauréat, le Code civil ou encore la création des préfets pour structurer le territoire.

En plus de comporter son lot d’inexactitudes historiques, le fait que les personnages sont tous anglophones crée une barrière supplémentaire. Les noms des ministres et généraux entourant Napoléon sont parfois difficiles à saisir, et les « vive la France ! » lancés avec un accent anglais prêtent à sourire. 

La réalisateur dirait qu’il n’avait pas l’intention de faire un documentaire, mais on peut regretter qu’il n’ait pas utilisé son talent et son budget (200 millions de dollars) pour brosser un portrait plus rigoureux de Napoléon… Car s’il y a bien un dirigeant dont la vie n’a pas besoin d’être romancée pour en faire l’objet d’un long-métrage à succès, c’est lui ! 

La critique française plus dure que l’anglo-saxonne

D’autres cinéastes ont beaucoup mieux saisi la complexité du personnage. C’est le cas de Sergei Bondarchuk, réalisateur du formidable « Waterloo », où Rod Steiger incarne avec brio le rôle d’un leader militaire autant admiré qu’irascible et malade lors de cette dernière débâcle face aux armées britanniques et prussiennes.

Certes, tout n’est pas à jeter dans le film de Scott. Certaines scènes sont superbes, comme la bataille d’Austerlitz, une victoire napoléonienne en 1805, et celle de son sacre comme premier empereur des Français à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Les costumes aussi valent leur pesant d’or. Mais cela n’est pas assez pour faire oublier le reste. Au bout de vingt minutes, on décroche…

Pour répondre aux vives critiques de la part de la presse française, beaucoup plus dure que les journalistes américains ou britanniques si l’on en croit le New York Times, le réalisateur a dit que « les Français ne s’aim(aient) même pas ». Il a aussi invité ses détracteurs à « s’acheter une vie ». En tout cas, la polémique fait vendre. « Napoléon » a enregistré plus d’un million de dollars au box office le jour de sa sortie en France. Cela ne veut pas dire que tout le monde est ressorti du cinéma conquis…

Brèves new-yorkaises: Premières neiges, coupes budgétaires et Kiss dans le métro

Chaque semaine, French Morning vous propose les grandes et petites histoires qui font de New York une ville sans égale.

? New York devra réduire d’un cinquième ses dépenses consacrées aux demandeurs d’asile afin d’éviter un « grave préjudice fiscal », selon le responsable du budget du maire.

? Les locataires des logements sociaux doivent plus de 500 millions de dollars de loyers impayés à la ville.

? Baisse du prix de l’essence et des billets d’avion : Thanksgiving 2023 enregistra-t-il un record de déplacements ? Il semblerait que oui. Côté air, la Transportation Security Administration (TSA) attendait 2,9 millions d’Américains dans les 45.000 avions pour les retours post-Thanksgiving. C’est le plus grand nombre de voyageurs sur une seule journée depuis 20 ans.

De son côté, la MTA rappelle que son service gère près de 4 millions d’entrées au quotidien et que les contrôleurs de trains de banlieue poinçonnent ou scannent environ 450 000 billets… tous les jours.

? Ravinder Sharma a acheté son taxi jaune en 2012. Depuis, il a parcouru, avec son véhicule, près de 885.140 kilomètres.

? Les bibliothèques publiques de New York seront désormais obligées de garder leurs portes fermées le dimanche à la suite des coupes budgétaires annoncées par le maire.

Par ailleurs, les graffitis apposés sur les murs et les statues de la New York Public Library lors des manifestations contre le conflit israélo-palestinienne pourraient coûter jusqu’à 75.000$ à l’institution.

? Près de trois New-Yorkais sur cinq déclarent que leur qualité de vie se dégrade.

?‍♀️Jenny Hoffman, une professeure de physique de 45 ans et ultra-marathonienne, a établi un nouveau record du monde féminin pour la traversée des États-Unis, de San Francisco à New York, en seulement 47 jours.

? Kathy Hochul, la gouverneure de New York, gagne 250.000 dollars par an. C’est beaucoup moins  que de nombreux hauts fonctionnaires de l’État. Le plus haut salaire est celui du CEO d’un hôpital universitaire : 919.000 dollars par an.

?  7.000 coureurs ont participé à la Garden City Thanksgiving Turkey Trot, au cours de laquelle les participants parcourent 5 miles (8 km), vêtus de costumes de dinde (en tout cas de t-shirts imprimés). Cet événement annuel a pour objectif de collecter des fonds pour des œuvres caritatives.

? Le maire de NYC souhaite investir 390 millions de dollars pour crypter les conversations radio de la police de sorte qu’elles ne soient plus écoutées par les criminels.

? Flaco, le hibou grand-duc d’Europe qui s’est échappé du zoo de Central Park en février et qui a réussi à survivre dans la nature pendant neuf mois, est finalement retourné au parc après avoir été aperçu dans différents quartiers de la ville.

Ⓜ️ Des cartes de métro collector avant leur disparition définitive l’année prochaine. La MTA édite notamment 50.000 exemplaires de MetroCards à l’effigie du groupe Kiss avant leurs derniers concerts au Madison Square Garden les 1er et 2 décembre. En vente à partir de ce lundi 27 novembre.

? La Cinquième Avenue reste l’artère commerçante la plus chère du monde avec des loyers annuels à 22.300 dollars le mètre carré.

⚽️ Sotheby’s New York  prévoit de mettre aux enchères six maillots portés par Lionel Messi lors de la victoire de l’Argentine à la dernière Coupe du monde de football au Qatar avec une espérance de gain de plus de 10 millions de dollars.

? La ville de New York prévoit d’interdire tous les vendeurs sur le pont de Brooklyn afin de faire plus de place aux quelque 34.000 piétons qui l’empruntent pendant le week-end.

❄️ Premières tempêtes de neige prévues cette semaine dans l’État de New York, au nord, dans la région de Syracuse.

? Lancement d’un programme pilote visant à aider les propriétaires à ajouter des unités d’habitation supplémentaires à leurs propriétés existantes. Il s’appelle Plus One ADU et offre jusqu’à 395.000 dollars de financement aux propriétaires pour construire des Accessory Dwelling Units” (ADU) tels que des studios dans des garages, des appartements en sous-sol et des combles reconverties.

C’est tout pour cette semaine. On se retrouve lundi prochain pour de nouvelles aventures.

Révolution Bilingue: Michel Robitaille et le pouvoir de la francophonie

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Michel Robitaille est le nouvel invité de Fabrice Jaumont dans Révolution bilingue. Avec plus de quatre décennies d’expérience en affaires internationales, il est un fervent défenseur de la francophonie. Après avoir été le premier Président-Directeur général du Centre de la francophonie des Amériques lors de sa création en 2008, Michel Robitaille a été nommé Président du conseil d’administration de l’organisation en 2019. Avant de prendre ses fonctions à Paris, il a occupé divers postes au sein du réseau diplomatique international du Québec, notamment en tant que Délégué général du Québec à New York et à Paris, et a reçu le grade d’officier de la Légion d’honneur en 2017.

L’engagement de Michel Robitaille pour la francophonie s’étend bien au-delà de son rôle au sein du Centre de la francophonie des Amériques. Il est également co-président du Réseau international des maisons des francophonies, et a été impliqué dans la création de la Bibliothèque des Amériques en 2014, un projet visant à rendre la littérature accessible aux francophones et aux apprenants du français dans les Amériques. Avec un catalogue de plus de 15.000 livres numériques d’auteurs francophones, ainsi que des programmes de formation intensive, le Centre est déterminé à promouvoir une francophonie en mouvement, solidaire et inclusive.

https://www.spreaker.com/user/10781102/episode-43-michel-robitaille-mixage-aval

On a testé: Voitures autonomes à San Francisco, comment ça marche vraiment?

Quelques semaines après l’autorisation par la California Public Utilities Commission (CPUC) de la libre circulation des robotaxis sans chauffeur à San Francisco, les touristes et certains locaux se sont presque habitués à leur présence.
Lancé il y a presque 10 ans, le concept de voiture autonome, longtemps en phase de test, démarrait au mois d’août avec deux compagnies, Cruise, filiale de General Motors, et Waymo One, filiale du groupe californien Alphabet Inc. Trois mois plus tard, un pauvre chien écrasé, quelques accidents de piéton (mineurs) et les blocages entrepris par quelques activistes...

Noël : Où couper son sapin autour de Washington ?

Chocolats aux mini-guimauves, chaussettes sous la cheminée, le doux parfum de pins dans la maison, le mois de décembre apporte son lot de traditions de Noël. Comme chaque année, les fermes autour de DC proposent de venir couper son sapin soi-même. French Morning a répertorié 6 adresses pour passer un bon moment entre amis ou en famille.

Dans le Maryland

Clemsonville Christmas Tree Farm ouvre ses portes tous les vendredis, samedis et dimanches jusqu’au réveillon de Noël, de 10am à 5pm. La ferme a deux types de sapins traditionnellement utilisés pour Noël : le Fraser ou le Douglas. Tous les arbres sont vendus au prix de 40$, l’une des adresses les moins onéreuses pour un arbre. Rendez-vous au 10120 Clemsonville Road à Union Bridge, à 1h20 de Washington. 

La ferme de Frienship Tree propose des arbres a coupé et déjà coupé! (Crédit: Frienship Tree)
La ferme de Frienship Tree propose des arbres à couper et déjà coupés. © Frienship Tree

Pour passer un bon moment et se réchauffer, TLV Tree Farm propose un petit repas sur place (frites, hot dogs et chocolats chauds) au 15155 Triadelphia Mill Rd à Glenelg, à une heure de DC. Les vendredis, samedis et dimanches, le père Noël fait même une apparition de 10am à 4pm pour prendre une photo avec petits et grands. Les sapins coûtent entre 60$ et 75$ selon le type (White Pine, Douglas Fir, Canaan Fir, Balasam Fir, Blue Spruce).

Le Friendship Trees & Christmas Shop met en vente des Fir, des Pine, des Fraser ou des Spruce pour 60$. Pour ceux qui n’ont pas trop l’âme d’un bûcheron, la ferme vend également des Fraser de Caroline du Nord, prêts à être décorés pour la saison, entre 75$ et 100$. On y trouve également des ornements, des décorations et des cadeaux dans le petit marché couvert. Les portes sont ouvertes tous les jours, du lundi au vendredi de 1pm à 4:30pm et le weekend de 9am à 4:30pm. Rendez-vous au 6950 Old Solomons Island Road à Friendship, à 45 minutes de Washington.

En Virginie

De nombreuses fermes comme Moose Apple Christmas Tree Farm vendent des décorations de Noël. (Crédit: Moose Apple Christmas Tree Farm)
De nombreuses fermes comme Moose Apple Christmas Tree Farm vendent des décorations de Noël. © Moose Apple Christmas Tree Farm

La Hartland Farm est une adresse très populaire dans l’État de la Virginie, et pour cause : les propriétaires offrent une tasse de chocolat chaud gratuite le weekend. Située à une heure de DC, au 12230 Belle Meade Rd à Markham, la ferme vend également des couronnes fraîches fabriquées sur place dans une petite boutique où l’on trouve également du miel, des confitures, et de nombreuses décorations pour le sapins de Noël. Comptez 70$ pour couper son sapin de 10am à 5pm le weekend.

À Country Loving Christmas Tree Farm, la coupe des sapins est ouverte les vendredis, samedis et dimanches de 9am à 5pm ou la semaine sur rendez-vous. La ferme possède cinq types de sapins différents et les vend selon la taille coupée (entre 13$ et 20$ par pied). Des décorations et des couronnes de pin sont également disponibles à la vente. Rendez-vous à 50 minutes de Washington au 40824 Red Hill Road à Leesburg.

Pour une journée à la campagne, Moose Apple Christmas Tree Farm, situé dans la charmante vallée de Shenandoah (à seulement une heure à l’ouest de Washington), est une belle adresse. La ferme propose plusieurs types d’arbres ainsi qu’un assortiment de couronnes fabriquées à la ferme. Les arbres pré-coupés sont à 110$. Rendez-vous au 2425 Wickliffe RD à Berryville. Il est demandé de réserver en écrivant à [email protected] pour couper son arbre jusqu’au 15 décembre (les 1er, 7, 8, 14, 15 décembre de 8am à 4pm, et les 5, 6, 12, 13 décembre, de 12pm (midi) à 5pm. Le père Noël fera une apparition le samedi 2 et le vendredi 3 décembre de 10am à 2pm. Moose Apple Christmas Tree Farm – 2425 Wickliffe Road, Berryville, VA 22611.

Étudier en Suisse: découvrez le Bachelor de l’EHL Hospitality Business School

[Article sponsorisé] Alors qu’elle célèbre ses 130 ans cette année, l’EHL Hospitality Business School – fondée en tant qu’Ecole hôtelière de Lausanne – se tourne vers le futur pour continuer de former les jeunes bacheliers avec excellence.

Un enseignement d’excellence

Tout débute en 1893, dans la ville suisse de Lausanne. Alors que le tourisme se développe, la première école qui formera les futurs managers de l’industrie de l’accueil du monde entier ouvre ses portes. Près d’un demi-siècle plus tard, l’établissement est devenu une institution dont la renommée n’est plus à faire. 

Dès ses prémices, l’EHL se démarque par un aspect notable : ses élèves sont formés à l’excellence pour offrir des expériences uniques dans leurs postes futurs. À ce savoir-faire – désormais gage de qualité pour les employeurs – s’ajoute une maîtrise pratique incontestable. 

Pour Alexandre Badoux, Chief Operating Officer de Farmy.ch  : “L’EHL m’a donné les meilleurs outils pour mener à bien ma  carrière. Créativité, curiosité, attention portée aux clients et aux employés, transversalité, travail d’équipe, gestion pratique et compréhension approfondie des processus. Ces compétences, associées au meilleur et au plus amical des réseaux, me permettent de toujours trouver une solution à tout.

Acquérir des soft skills convoitées

École de commerce avec une “hospitality touch”, l’EHL, propose par son Bachelor, une formation managériale ultra-complète. Ses enseignements couplant théorie et pratique permettent aux étudiants de développer des soft skills indispensables au monde professionnel moderne.

Au coeur de l’approche pédagogique du Bachelor ; la volonté d’apprendre aux étudiants des valeurs uniques telles que le succès en travail d’équipe, l’écoute et l’importance de la communication, ou encore le soutien entre élèves. Tant de qualités et compétences qui leur permettront de briller lors de leur insertion professionnelle.

Numéro 1 au monde du classement QS dans la catégorie des écoles de management des métiers d’accueil et des loisirs, l’EHL, par son Bachelor dispose d’une proximité unique avec l’industrie ainsi que d’une reconnaissance des entreprises. LVMH, Coca Cola, ou encore Accor sont tant de multinationales qui ont accueilli parmi leurs rangs des alumnis de l’EHL.

Mise en pratique de la théorie : l’apprentissage commercial au plus près de l’industrie

Les métiers d’accueil et de services ne sont d’ailleurs plus les seules voies adoptées par les étudiants. Bon nombre d’entre eux s’orientent vers les finances (12%), le luxe (15%), l’IT et le marketing (8%) ou encore le consulting (7%). 

De tels chiffres témoignent de l’ouverture large offerte aux jeunes diplômés, toujours avec des compétences d’excellence uniques. Parmi ses enseignements, le Bachelor compte des cours de ressources humaines, de finances, de marketing. Ainsi les élèves disposent de toutes les clés indispensables à la compréhension du commerce.

Ces apprentissages théoriques sont mis en pratique lors des stages qui jalonnent les 4 années du Bachelor. En outre, l’EHL dispose de programmes tels que l’EHL Alliance ou encore les Career Fair avec lesquels multinationales et étudiants se rencontrent pour bâtir le monde de demain.

Bénéficier d’une expérience unique en Suisse

Avec son nouveau campus suisse “conçu par les étudiants, pour les étudiants”, l’EHL propose aux étudiants de 120 nationalités différentes de vivre une expérience unique en Suisse. Pourvu d’un food court, d’un espace de sport et d’un restaurant étoilé – au sein duquel les étudiants feront leurs armes – le campus assure une vie active en Suisse.

Puisque l’humain est au cœur de la pédagogie de l’EHL, les étudiants du monde entier accueillis par l’établissement disposent de tous les moyens possibles pour se former avec sérénité. Afin de consolider dès les premiers jours l’esprit d’équipe, l’école organise une IntroWeek qui permet aux étudiants de tisser des liens qui perdureront durant toute leur scolarité à l’EHL.

Pour découvrir le programme complet du Bachelor de l’EHL rendez-vous sur le site de l’établissement ici.

Note : les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Français, les États-Unis ont besoin de votre sang!

Il y a un peu plus d’un an, les États-Unis levaient les restrictions qui empêchaient certains Français de donner de leur sang. Aujourd’hui, le pays a besoin qu’ils se retroussent les manches.

En septembre, la Croix-Rouge américaine déclarait une situation de pénurie pour encourager les donneurs à se mobiliser. Motif : les réserves disponibles avaient chuté de 25% par rapport au mois d’août. À l’approche des Fêtes, les choses ne se sont pas arrangées. « Cette période de l’année est traditionnellement difficile pour les réserves de sang du pays », explique Daniel Parra, responsable de la communication à l’American Red Cross, qui fournit 40% du sang transmis aux personnes dans le besoin sur le sol américain. « Les maladies saisonnières, le temps hivernal et les vacances entraînent souvent une baisse du nombre de rendez-vous et une diminution de la participation des donneurs. Ce qui rend difficile de satisfaire la demande de produits sanguins ».

Groupe sanguin O particulièrement recherché

Tous les donneurs sont les bienvenus, mais les besoins sont particulièrement importants pour le sang et les plaquettes du groupe O. « Le type O positif est le groupe sanguin le plus transfusé et peut être donné aux patients Rh positif de n’importe quel groupe sanguin. Le type O négatif est le groupe sanguin universel et c’est ce que le personnel des urgences recherche lorsqu’il n’a pas le temps de déterminer le groupe sanguin des individus dans les situations les plus graves », poursuit-il. 

Ces dons bénéficient à un large éventail de patients, qu’ils soient atteints de troubles des globules rouges et de cancers ou victimes d’un accident ou d’une catastrophe naturelle. La Croix-Rouge estime ainsi que deux-tiers des enfants cancéreux auront besoin d’une transfusion au cours de leur traitement.

La pénurie de sang n’est pas nouvelle. En janvier 2022 déjà, l’ONG tirait la sonnette d’alarme face au faible niveau des réserves, conséquence de la suspension des opérations de collecte à cause de la pandémie. Déjà bas avant l’irruption de la crise sanitaire, les stocks n’ont pas rebondi de manière significative depuis, malgré les appels des associations.

Levée des restrictions pour les Français

C’est dans ce contexte que la Food and Drug Administration (FDA) a décidé de revenir, l’an dernier, sur les restrictions qui empêchaient de nombreux Français aux États-Unis à donner de leur sang et plaquettes. Avant le changement de règle, les individus qui avaient passé plus de cinq ans en France et en Irlande entre 1980 et 2001 (1996 pour le Royaume-Uni) étaient considérés comme à risque d’avoir été exposés à la maladie de Creutzfeldt-Jakob et son variant, la forme humaine de la maladie dite de la « vache folle ». La FDA a revu sa politique à la suite d’une étude des autorités sanitaires britanniques selon laquelle le risque de transmission de la maladie par transfusion était minime.

Les individus intéressés peuvent se rapprocher de leur banque de sang locale ou se rendre sur le site de la Croix-Rouge (ou encore appeler le 800-733-2767, le numéro de l’ONG). Avant Thanksgiving et les Fêtes de fin d’année, un don de plaquettes ou de sang serait un beau cadeau.

Collioure et la naissance du fauvisme au Met de New York et à Houston

Replongez-vous dans le Collioure du siècle dernier. Les photos encore intactes de ce charmant village des Pyrénées-Orientales, tout près de la frontière espagnole, sont toutes en noir et blanc, mais les peintures qui y sont nées, elles, sont bien en couleur. Et c’est tout le thème de l’exposition présentée au Metropolitan Museum of Art (Met) jusqu’au 21 janvier 2024. Intitulée Vertigo of Color, elle replonge aux racines du fauvisme, lorsque deux des peintres les plus emblématiques de l’époque, Henri Matisse et André Derain, ont commencé à briser les codes pour proposer un dessin avant-gardiste.

Ils ont tellement fait scandale qu’ils ont vite été surnommés les fauves. L’expression était péjorative mais elle est restée. Elle a donné naissance au fauvisme. Le Met se concentre sur neuf semaines de l’été 1905, où les deux peintres français ont partagé leur quotidien et ont réinventé leur pratique.

L’exposition est organisée en partenariat avec le Museum of Fine Arts de Houston (MFAH) au Texas, où elle sera montrée à partir du 25 février 2024. Elle réunit des œuvres provenant des quatre coins de la planète, y compris le Centre Pompidou et le Musée National d’Art Moderne de Paris.

Noman Hosni: «S’offusquer de mes blagues, c’est donner beaucoup d’importance à un humoriste»

On l’a vu sur scène en septembre dernier en première partie de Sebastian Marx au Swedish American Hall. À l’initiative de l’association French Talent USA, Noman Hosni sera de retour le jeudi 6 décembre avec French Kiss Connection, un spectacle entièrement en français. Né en France d’un père tunisien et d’un mère irakienne, le comédien est installé à Los Angeles depuis trois ans, après un séjour de douze ans en Suisse. Il s’est récemment mis au hula hoop et consacre ses journées à planter des centaines d’arbres dans le ranch d’un ami. Une existence éclectique, donc, qui peut nourrir un spectacle. Mais ce serait sans doute trop convenu : « Je sais plus ou moins de quoi je vais parler le 6 décembre, mais je veux que mon spectacle se nourrisse du public et reste très vivant. En discutant avec la salle, je vais déceler un accent, un niveau de vocabulaire ou d’éducation, et je m’adapte. En tout cas, ça me fait hyper plaisir de jouer en français aux États-Unis. »

Depuis son installation en Californie, Noman Hosni a pris le parti de jouer en anglais, et pratique la langue de Shakespeare assidument en lisant chaque jour à voix haute pendant deux heures. Malgré un éternel sourire et un air faussement décontracté, cet ancien du Jamel Comedy Club, créateur du Noman’s lab en Suisse, est un travailleur acharné, qui se lance sans cesse des nouveaux défis. À quarante ans, il débarque aux États-Unis, à la poursuite de son rêve américain : « En 2015, pendant des vacances aux États-Unis, je me suis arrêté par hasard à la Laugh Factory. C’était la première fois que je voyais quelqu’un faire des blagues sur le crack ! », plaisante Noman Hosni.  « Je suis passionné par le stand up, et en vivre ici était un rêve que je caressais depuis l’enfance. Le stand up est un art né en Amérique, donc faire de la scène ici, c’est un peu comme faire de la boxe thaï en Thaïlande, on ne peut pas rêver mieux… »

https://www.instagram.com/p/Cxs7i-RrTDB/

En passant du français à l’anglais, il perd plus de 30 000 followers sur Instagram. Il sait que cette aventure américaine va le contraindre à repartir de zéro, mais Noman Hosni a toujours été opiniâtre. « Quand je me suis installé en Suisse, il n’y avait pas de comedy club, alors j’allais au karaoké mais au lieu de chanter, je racontais ma vie, rappelle-t-il. Si j’ai créé le Noman’s Lab, devenu par la suite le Montreux Comedy Lab, c’était afin d’offrir une plateforme aux artistes pour qu’ils n’aient pas peur de prendre des bides. faire du stand up est semblable à la pratique d’un instrument : le but, c’est de faire résonner son public. » 

Si son expérience personnelle sert de point de départ à ses sketchs, on note un certain goût pour la provocation et l’humour noir parmi les thèmes de prédilection de Noman Hosni. Ses plaisanteries sur les femmes voilées et les religieuses sur les sites pornographiques lui ont d’ailleurs valu des menaces de mort. Sa réaction ? « Ça me fait rire… La peur ne devrait pas être une raison de ne pas faire une vanne. Si tu es offusqué, tu as le droit, mais c’est ton problème, et c’est surtout donner bien de l’importance à un humoriste… C’est une force de pourvoir rire de tout. »

Le Consul Jérémie Robert quitte New York pour l’Elysée

Arrivé à New York en 2020, Jérémie Robert, 45 ans, devait quitter le Consulat général l’été prochain. Il partira plus vite que prévu : il a été choisi pour devenir le nouveau conseiller Afrique de l’Elysée et va rejoindre la présidence française très rapidement, ont confirmé plusieurs sources diplomatiques auprès de French Morning. La lettre confidentielle Africa Intelligence l’avait annoncé la première ce mercredi matin.

Le poste était vacant depuis cet été, lorsque l’ancien conseiller Afrique de l’Elysée, Franck Paris, avait été nommé représentant français à Taïwan. Si le trajet de New York à la cellule Afrique est atypique, en revanche la carrière de Jérémie Robert avant sa nomination à New York en faisait un des favoris pour le poste. « Swahiliste », il a fait l’essentiel de sa carrière en Afrique (Kenya, Somalie, Cameroun) ou en charge de dossiers africains au Quai d’Orsay. De 2016 à 2018, il a été sous-directeur Afrique de l’Ouest à la DAOI (Direction Afrique et Océan Indien), avant de rejoindre la cabinet de Jean-Yves Le Drian, alors ministre des Affaires étrangères, comme conseiller Afrique.

C’est ce passage en cabinet qui lui avait permis de décrocher le poste convoité de Consul général de New York, inhabituel au regard de sa trajectoire africaine. En rejoignant l’Elysée, il va donc renouer avec sa spécialité initiale.

Tony Estanguet à New York: «Très impressionné et ému de me retrouver à la tribune de l’ONU»

C’est un véritable marathon que vient de courir Tony Estanguet à New York. Mais les vingt-quatre heures de rendez-vous non stop n’ont entamé ni son enthousiasme, ni sa patience à expliquer en quoi les Jeux Olympiques de Paris, l’été prochain, seront les « best ever ». Que ce soit en petit comité dans un appartement de l’Upper East Side le soir de son arrivée, le lundi 20 novembre, le lendemain dans le froid matinal du Rockefeller Center avec les stars du Today Show sur NBC (la chaîne diffusera les JO), au siège de l’ONU pour appeler à la trêve olympique ou encore avec des élèves du Lycée Français et quelques curieux au consulat, le triple champion olympique de canoë slalom a mené une course de fond… avec le sourire.

Échanger avec les jeunes, une priorité pour Tony Estanguet. Avec les élèves du Lycée Français en pleine préparation de leur journal télévisé dans le Media Lab, mardi 21 novembre 2023. © E. Guédel

« Dans chacun de mes déplacements, j’essaie d’allier le côté très protocolaire de mon rôle de président du comité d’organisation des JO à un côté terrain, plus concret, et faire de l’engagement », confie-t-il à French Morning (vidéo) en sortant d’une séance de questions-réponses avec les collégiens et lycéens du Lycée et après avoir participé au journal télévisé des journalistes en herbe. « C’est bien que ces jeunes soient en contact direct avec nous. »

Tony Estanguet sait leur parler de persévérance – trois médailles d’or décrochées à trois JO différents (Sydney 2000, Athènes 2004 et Londres 2012), de confiance en soi, et de passion. Celle qu’il partageait avec son père et son frère pour le canoë-kayak, et son coup de cœur, à 10 ans, en regardant les Jeux de Séoul à la télévision. « Je n’osais même pas en parler tellement ça me paraissait inaccessible, et prétentieux de dire qu’un jour je serai champion olympique. Mais ma flamme s’est allumée à ce moment là. Je suis sûr que, parmi les millions de jeunes qui regarderont Paris 2024, certains auront cette petite flamme. »

Présentation de la torche olympique au Lycée Français de New York, après une séance de questions-réponses organisée par la directrice du centre culturel, Pascale Richard. © E. Guédel

«Le sport change des vies»

Il sait que ce n’est pas « automatique » comme il dit, qui lui reste des mois d’efforts didactiques pour « engager un maximum, aller chercher les gens, leur expliquer ce qu’il y a derrière le sport, derrière les Jeux, pourquoi c’est important ». Et c’est avec la même conviction qu’il a défendu, à la tribune des Nations unies, le respect de la trêve olympique – une tradition datant de la Grèce antique et réintroduite il y a 30 ans – pour que les armes se taisent une semaine avant le début des JO, durant les compétitions et une semaine après les Paralympiques, afin de laisser le temps aux athlètes de rentrer chez eux. « Le sport change des vies » a-t-il martelé, truffant son discours de 9 minutes d’anecdotes de parcours incroyables, ceux du marathonien éthiopien « aux pieds nus » Abebe Bikila ou encore de l’athlète néerlandaise Fanny Blankers-Koen, qui « a bousculé les mentalités et changé aux yeux du monde la perception du sport féminin » en poursuivant sa carrière de championne après ses 30 ans et deux enfants.

« J’étais très impressionné par ce moment à l’ONU, très ému, c’était une étape symbolique et très forte parce-que…ce n’est pas rien quand on a été sportif localement, nationalement, internationalement, de se retrouver, un jour, devant l’assemblée générale des Nations unies pour demander à tous les États-membres d’adopter une résolution pour la trêve olympique ». Et aussi une « satisfaction » dit-il, de voir 118 pays voter en faveur du texte (il n’y a eu que deux abstentions, la Russie et la Syrie, et aucun vote contre) dans un contexte géopolitique très tendu. Un nombre moins important que lors des précédents Jeux, mais c’était la première fois que la résolution était soumise à un vote, à la demande de Moscou.

Des billets mis en vente le 30 novembre

Cette visite éclair à New York a permis également au président de Paris 2024 de prendre le pouls de l’enthousiasme des Américains pour les prochains Jeux d’été – les États-Unis occupent la troisième marche du podium des pays à avoir acheté des billets. « Il y a une envie de sport ici et un rêve autour de Paris, constate-t-il. On sent une connexion très forte entre Paris et les États-Unis. » 

Face aux critiques en France sur la difficulté de trouver des places pour assister aux compétitions, là encore, Tony Estanguet prend le temps d’expliquer. « C’est la première fois qu’il n’y a qu’une seule plateforme pour acheter des billets (ticket.paris2024.org), une plateforme qu’on a ouverte au monde entier. Auparavant, chaque pays avait la sienne avec ses propres revendeurs. On a un peu cassé cette logique pour que tout le monde ait la même chance d’obtenir des billets. Ça a plutôt bien marché puisqu’on en a vendus dans 178 pays. » Victimes aussi de leurs succès : bon nombre d’évènements ont été pris d’assaut. « Il reste encore des billets disponibles, assure-t-il, pour l’athlétisme, pour la cérémonie d’ouvertureEt le 30 novembre, on va remettre des billets à la vente, dans tous les sports, les gens pourront à nouveau tenter leur chance » Des billets accessibles au même moment, dans le monde entier.

Tony Estanguet avec Jean-Christian Agid (37EAST) et Géraldine Le Meur (FrenchFounders) lors d’une réception privée organisée chez Yolanda Santos, Fondatrice du Ballet de Monterrey, lundi 20 novembre 2023 à New York. ©E. Guédel

Tony Estanguet n’était pas la seule « star » de ces vingt-quatre heures chrono new-yorkaises. La torche olympique, qui ne l’a pas quitté, a suscité son lot de « Wow! » et de souffles admiratifs – surtout à  l’annonce de sa couleur « champagne » :  les élèves du Lycée Français ont bien rigolé et les Américains du Today Show ont adoré. « C’est toujours un plaisir de venir ici et de sentir cette envie de JO », sourit Tony Estanguet, avant de s’engouffrer dans une voiture et prendre son vol pour Paris.