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Skier près de Los Angeles

Alors que les beaux jours reviennent progressivement et que les températures remontent sur les plages et les vallées de Californie du Sud, la neige persiste sur les sommets rocheux, et c’est tant mieux.

Si vous n’avez pas encore eu l’occasion  de profiter des pistes cette année, voici quelques options à proximité de LA.

Les destinations populaires

Alpine Meadow

alpine meadowsC’est l’une des six grandes stations de ski de la région du lac Tahoe, avec près de 1.000 hectares de domaine praticables à ski ou en snow-board. Ses pistes sont bénies d’une chute de neige annuelle de plus de 12 mètres. Alpine Meadows se trouve à un quart d’heure du nord de Lac Tahoe, et à moins d’une heure de route de l’aéroport International Reno-Tahoe par l’autoroute 80. CarteConditions actuelles

Bear Valley

Ouvert tout au long de l’année, cette station de la Sierra centrale, située à mi-chemin entre les Yosémites et le lac Tahoe, offre en hiver un domaine skiable de plus de 500 hectares ouverts aux skieurs de pente et de fond, snowboardeurs, randonneurs en raquette, en moto-neige ou en traîneau à chiens. CarteConditions actuelles

Big Bear Mountain

Cette station se trouve à environ trois heures de route à l’est de Los Angeles, dans les montagnes de San Bernardino. Situé à 2.172m d’altitude à quelques minutes du Lac de Big Bear, le domaine skiable de 80 hectares attire skieurs et snowboardeurs intermédiaires et avancés, en offrant une section sauts et pipe/half-pipe. CarteConditions actuelles

Dodge Ridge

Dodge-Ridge-canyon (1)Dodge Ridge se situe à trois heures de route au nord de Mammoth Lakes, au beau milieu du massif de la Sierra, sur la route 108 qui relie l’est à l’ouest. Son domaine de plus de 300 hectares divisé en cinq parcs différents accueillent skieurs et snowboardeurs débutants, intermédiaires et avancés. CarteConditions actuelles

Heavenly

Située à la frontière entre la Californie et le Nevada au sud du lac Tahoe, la station de Heavenly possède la plus grande armada de canons et dameuses à neige de la côte ouest. Avec ses multiples parcs et plus de 1.000 mètres entre le pied de ses 100 pistes et le sommet, skieurs et snowboardeurs évoluent entre les sommets de la Sierra, avec une vue sur le lac Tahoe, les haut-déserts du Nevada et les plaines agricoles de Carson Valley. CarteConditions actuelles

Mammoth Mountain

MammothMammoth est incontestablement la destination de ski la plus populaire en provenance de Los Angeles. Avec un sommet culminant à 3.506m d’altitude, les 150 pistes de son domaine skiable restent enneigées jusqu’au début de l’été, offrant à Mammoth l’une des saisons de ski les plus longues d’Amérique du Nord. Avec plus de 1.400 hectares de terrain, trois pipes, un half-pipe et un jib, la station attire tout particulièrement skieurs et snowboardeurs intermédiaires et avancés. Si les six heures de route qui séparent LA de Mammoth ne vous enchantent guère, l’aéroport Mammoth-Yosémite se trouve à une dizaine de minutes de la station, et des navettes quotidiennes vous emmènent au pied des pistes. CarteConditions actuelles

 Squaw Valley

La station de ski Squaw Valley est l’une des plus grandes des Etats-Unis et attire des visiteurs du monde entier. Situé dans la Sierra au nord-ouest du lac Tahoe, son domaine skiable de plus de 1.600 hectares s’étend sur six montagnes différentes : suspendu à plus de 600m au-dessus des pistes, le téléphérique du High Camp offre une vue inégalée du Lac Tahoe. CarteConditions actuelles

Les autres destinations à proximité de LA.

mountain-highMountain High

Située à 2.500m d’altitude dans les montagnes de San Bernardino, cette station de 59 pistes accueille principalement skieurs et snowboardeurs intermédiaires et avancés, et offre la possibilité de skier de nuit. CarteConditions actuelles

Mount Baldy

Vingt-six pistes et plus de 320 hectares accueillent skieurs et snowboardeurs à Mount Baldy, petite station située à environ 2000m d’altitude, à environ une heure de route au nord est de Los Angeles. CarteConditions actuelles

Snow valleySnow Summit

À quelques kilomètres de Big Bear Lake se trouve la petite station de Snow Summit, dotée d’un domaine skiable de presque 100 hectares, et d’ une trentaine de pistes pour skieurs et snowboardeurs de tous niveaux. CarteConditions actuelles

Snow Valley

C’est la troisième station des montagnes de San Bernardino, avec Snow Summit et Big Bear Mountain. Les 28 pistes de ce parc skiable se situent entre 2.000 et 2.300m d’altitude. CarteConditions actuelles

 

La "Restaurant Week" bat son plein

Los Angeles compte d’innombrables restaurants, du simple diner à l’étoilé au guide Michelin.

Durant une dizaine de jours, un grand nombre de ces restaurants participe à l’opération “Dine L.A.’s Restaurant Week”. Chaque année, tous les restaurants participants offrent des réductions sur leur menu. Pour les déjeuners, ce dernier est compris entre 15 et 25$ et pour les dîner, comptez entre 25 et 45$.

Les réservations sont conseillées, notamment pour les restaurants célèbres comme celui du chef de télé Gordon Ramsay, qui propose exceptionnellement un menu du soir à 45$,  ou encore pour les restaurants au cadre idyllique, sur la plage par exemple.

"Le Chat du Rabbin" sort en salles

Ce dessin animé original qui a connu un grand succès en France aussi bien au près des adultes que des enfants donne la parole au chat d’un rabbin d’Alger. Il sort en salles le 18 janvier à San Francisco.
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Didi et Gogo attendent Godot au Marin Theatre

La célèbre pièce absurde de Samuel Beckett, écrite en 1948 en français et publiée quatre ans plus tard à Paris aux éditions de Minuit, va être presentée à San Francisco, à partir du 24 janvier.

Dans cette nouvelle version, mise en scène par Jasson Minadakis, Vladimir et Estragon s’appellent Didi et Gogo mais attendent toujours un homme (Godot), qui ne viendra jamais.

Interprétés par des membres de deux compagnies théâtrales (l’Oregon Shakespeare Festival et le Cirque du Soleil), Waiting for Godot se joué jusqu’au 17 février au Marin Theatre.

"A-musée-vous": sorties culturelles pour enfants francophones

L’Education française de la Bay Area, association ayant pour objectif de “prodiguer une éducation francophone bilingue et multiculturelle“, propose des sorties culturelles destinées aux enfants francophones et/ou francophiles.

Réservées aux 5 à 11 ans, ces visites de lieux culturels sont organisées une à deux fois par mois tout au long de l’année scolaire. L’activité idéale pour permettre aux petits de s’initier aux musées tout en pratiquant la langue française. Les sorties sont encadrées par un médiateur culturel francophone, Rémi Ducom.

De manière ludique, les enfants sont invités à explorer le lieu de visite, munis d’un livret-jeu proposant des chasses au trésor, énigmes et autres jeux. Un excellent moyen de mêler divertissement et instruction. La pratique de la langue française est fortement conseillée pour y participer.

La prochaine sortie aura lieu le 27 janvier au California Academy of Sciences, une activité scientifique donc. Les séances suivantes proposeront la visite de l’Oakland Museum of California (10 février), du San Francisco Museum of Modern Art (24 février) ou encore de la John Muir’s House (17 mars).

Au Nelo’s Cycles d'Austin, on a descendu Armstrong en trinquant

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Pas moins de trois équipes de télé françaises se trouvaient dans le magasin de vélos du Nord-Ouest d’Austin Nelo’s Cycles jeudi 17 janvier au soir.

Nordiques ou hispaniques, on pouvait entendre d’autres accents étrangers parmi les journalistes tournant autour des quelques dizaines d’amateurs de courses cyclistes venus voir le premier chapitre de la confession de Lance Armstrong par Oprah Winfrey.

L’établissement organisait la seule projection publique de cet entretien très attendu. Pas tellement par attachement pour le champion déchu, ni parce qu’il anticipait des révélations. Non, « le plus important pour nous, c’est d’avoir les gens ici, en train de parler », avoue sans fard l’employé qui a animé la soirée avec une loterie et en invitant les participants à trinquer chaque fois que Lance Armstrong disait « désolé ».

La soirée a donc été plutôt gaie et arrosée, même si les rires cachaient une vraie déprime. « Je vais quand même regarder le Pro Tour ce week-end, mais tout ça, ça craint », confie par exemple le cycliste amateur Matthew Malinowski, l’air dépité.

Bien que certains défendent encore « un cycliste très talentueux » et « les bonnes choses qu’il a faites pour le sport et pour notre pays », l’attitude de Lance Armstrong est très mal passée. Ses réponses évasives ou sur la défensive, selon les moments, ont suscité tour à tour moqueries, soupirs d’exaspération et exclamations de mépris.

Armstrong est de toute façon « impardonnable » pour beaucoup. « Il a jeté tellement de gens en pâture et détruit tellement de vies ! Il est désolé de s’être fait prendre. Il est désolé de ne plus gagner d’argent. Mais est-ce qu’il va réparer le mal qu’il a fait ? Non ! Un entretien ne fera pas ça, un coup de fil non plus. Même l’argent c’est insuffisant », s’exclame ainsi l’enseignante Johanna Napoles, qui a fait travailler ses élèves sur le sujet afin qu’ils se rendent compte de l’ampleur de la tromperie. « C’était dur pour eux, car ils croyaient aux dénégations de Lance Armstrong ».

Spectacle des élèves de l'école internationale Awty

Les 18 et 19 janvier, le Performing Art Center de l’école internationale d’Houston Awty accueille les apprentis comédiens de l’école, réunis au sein du “9th grade Theatre”.
Le spectacle intitulé “V-Awty-Ville” est composé de plusieurs sketchs interpretés par les adolescents pour la toute première fois. L’école est membre de l’association internationale des écoles de théâtre (ISTA), qui a pour but de développer de promouvoir les joies des planches auprès de la jeunesse
De nombreuses pièces sont produites tout au long de l’année. “V-Awty-Ville” est l’occasion d’aller soutenir ces jeunes espoirs.

A Harlem, une boulangerie à l'accent toulousain

Au 942 Amsterdam Avenue, nichée entre les delis, se cache une petite boulangerie aux saveurs de la Ville rose. Au mur, quelques photos de Toulouse, son Capitole et son Canal du Midi.

Samedi 19 janvier à 15h, La Toulousaine fêtera son premier anniversaire. Les voisins sont invités à partager un verre de vin, des petits fours et les trésors pâtissiers du chef et son équipe.

Le chef, c’est Jean-François Gatorze, Toulousain pure souche au fort accent du Sud-Ouest. Fils de pâtissiers, il effectue sa formation de boulanger-pâtissier à Toulouse avant de travailler pendant quinze ans dans la région. Mais fatigué par la grisaille française, il décide de chercher son bonheur à l’étranger. “En 2005, j’ai répondu à une offre d’emploi de pâtissier sans savoir parler un mot d’anglais. Ça a marché et un mois plus tard je débarquais à New York!” Jusqu’en 2009, M. Gatorze multiplie les collaborations avec des restaurants et pâtisseries de la ville. Puis, marié à une Américaine, il construit avec sa femme le projet d’une boulangerie-pâtisserie traditionnelle française, pour « être mon propre chef », dit-il.

Pendant trois ans, ils cherchent le local parfait et finissent par le trouver, non loin de là où Jean-François Gatorze avait commencé sa carrière américaine, à Harlem. Son expérience professionnelle lui a permis de se faire un réseau, notamment parmi les fournisseurs. Pour ses produits culinaires, il fait appel à des producteurs français, en France ou à New York. Ainsi, sa charcuterie est-elle fournie par “Trois petits cochons”, une entreprise française à Brooklyn qui produit pâtés, terrines et mousses. Le chocolat, utilisé dans les pâtisseries, est lui, directement importé de France. Du sandwich de pâté au jambon-beurre en passant par le pain au chocolat :  les produits sont de qualité et cela se ressent dès la première bouchée.

Après un an à la tête de sa petite entreprise,  M.Gatorze se dit “fatigué mais heureux“. Si la boulangerie n’a pas encore de site Internet – “ce qui ne saurait tarder“, rassure le propriétaire – elle est déjà bien occupée. Dans la boutique se mêlent Français expatriés ou de passage, Américains et une clientèle hispanique friande de baguettes. Résultat : la boulangerie-pâtisserie et son patron ne dorment que très peu. Mais, un an après l’ouverture, pas l’ombre d’un regret. « Ce que j’ai fait en sept ans, dit Jean-François Gatorze, je n’aurais jamais pu le faire en France ».

"Haïti Optimiste": une soirée contre l'indifférence

En partenariat avec le Ciné Institute of Haïti, le French Institute Alliance Française (FIAF) organise, le 24 janvier, une soirée de projections de films et de discussions sur le thème de la reconstruction d’Haïti.

Outre la projection de films choisis par le Ciné Institute of Haïti, des personnalités de renom seront également présentes pour animer l’événement. L’acteur Ben Stiller, le réalisateur Jonathan Demme ou encore Michele Montas, célèbre journaliste haïtienne, assisteront à la soirée.

A la suite de la projection, un repas cuisiné par le “Top Chef” Ron Duprat, une exposition des clichés de Marc Baptiste, photographe de Celebrity Fashion, ainsi qu’une performance de la chanteuse haïtienne Emeline Michele, seront proposés. De quoi renforcer  l’optimisme et l’espoir d’un futur prospère en Haïti.

Portes ouvertes à l'institut culinaire Lenôtre

On va chez Lenôtre” -“Oui on n’a qu’à aller chez Levotre” -“Non, Lenôtre!

Qui ne se souvient pas de cette scène mythique du film “La vérité si je mens”? La maison Lenôtre, qui existe depuis trente ans, est connue de tous, en France comme aux Etats-Unis, où elle dispose d’une antenne. L’institut culinaire basé à Houston propose des formations diplômantes en boulangerie et en pâtisserie, mais aussi en management.

Les portes de l’institut s’ouvriront au grand public jeudi 17 janvier à 18h30. L’occasion de visiter les lieux, de découvrir les cuisines en action et surtout de profiter du buffet spécialement préparé par les étudiants.

Ken & Cook: la nuit parisienne au coeur de Nolita

J’aurais pu choisir de passer en revue la rue entière et les quelques blocks alentours, mais restons dans la tradition de cette chronique, FrenchNYte, avec un lieu branché, mais qui reste intime et chaleureux, largement mené et fréquenté par des francophones.

Ce lieu, c’est Ken & Cook sur Kenmare Street et son club-lounge au sous-sol Lil’ Charlie (nom rescapé de l’ancien endroit, Little Charlie’s Clam Bar). Issus de l’empire Jean-George Vongerichten, Artan Gjoni et Richard Diamonte ont créé une brasserie style industriel sur laquelle on pourrait très bien tomber à Paris où le concept resto-bar-lounge/club ne manque pas. Tout et tous sont accueillants, de l’hôtesse ravissante, au bar et son barman Jamie, un ami de longue date retrouvé par surprise, du menu franco-américain (ayant également sauvé les clams du Little Charlie) à la clientèle variée, habitués locaux, semi-célébrités ou amis des responsables de l’ambiance, DJs, promoteurs, programmateur ou videur… car le club ouvre ses portes vers 23h et nous permet, le plateau de fruits de mer et les frites avalés, de continuer à explorer le lieu, et de découvrir, au delà de la salle principale, des petits coins cachés dans la pénombre, décorés de miroirs ou de « dancing pole ».

Je conseille le jeudi pour les soirées « Just for fun » de François et sa troupe. Ken & Cook/Lil’ Charlie 19 Kenmare Street. Site web ici

Si vous avez loupé Zedd au Highline Ballroom, c’est l’occasion d’aller découvrir Finale (199 Bowery), un superclub du groupe EMM (Catch, SL, Revel, Tenjune) fraîchement inauguré où la jeune star se produit également ce jeudi 17. Infos et billets ici

Les ouvertures ne manquent pas en ce début d’année… On remarque d’ailleurs une forte influence francophone… Bizarre (12 Jefferson Street, Bushwick Brooklyn) sera inauguré cette semaine sur trois nuits, vendredi 18, samedi 19 et dimanche 20. Au programme des festivités qui dureront chaque jour 12h, spectacle érotique, artistes insolites, musiques ethniques, vins français et absinthe véritable. Infos ici

Pour les nostalgiques des soirées « Body & Soul » et inconditionnels de la House Garage, rendez-vous le dimanche 20 au club XL (52 West 42nd Street) pour une version 2013 avec ses fondateurs bien sur, Danny Krivit, Joaquim Claussell et François K. Infos et billets ici

On pourra terminer cette semaine nocturne en puissance avec Chuckie, né au Surinam, résident en Hollande, star internationale et maître des turntables qui vous offrira le mercredi 23 @ Marquee (289 Tenth Avenue) sa « Dirty Dutch », un mélange bien explosif de Dance et de Hip Hop. Infos ici

Soirée turque à FADA

Lundi 21 janvier, le restaurant français – et surtout marseillais – FADA, organise une soirée turque.

Pour l’occasion, le bistrot installé à Williamsburg depuis dix ans troque son chef français pour Dilara Erbay, cuisinier d’origine turque.  Après avoir voyagé à travers le monde, la jeune femme fait ses armes au restaurant new-yorkais de Robert De Niro, TriBeCa Grill. En 2004, elle ouvre un restaurant bio en Turquie, le premier du pays.

Le chef promet une soirée inédite haute en saveurs. En salle, ce sera musique et danse turques. Au menu, on trouvera notamment des moules et du foie sauté, ainsi que d’autres spécialités turques d’inspirations arménienne et grecque. Réservations conseillées.