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Où regarder les Oscars à New York?

Les Oscars ont lieu le dimanche 26 février prochain. La cérémonie débute à 19h EST. Pour vivre le sacre en direct de « The Artist », nominé dans dix catégories différentes, on peut rester chez soi ou sortir pour participer à l’une des nombreuses « Oscar Parties » organisées en ville. Tour d’horizon de ces soirées:

Alternative: Les Oscars regardés et fêtés comme il se doit. “Alt.oscars” est la soirée alternative par excellence. Pas de carré VIP ni de soirées exclusives au cours de cet événement qui se décrit comme des « Oscars participatifs » et vous invite à « occuper le tapis rouge ». Organisée pour sa sixième année consécutive, elle propose aux participants de suivre la cérémonie en direct et de voter pour « le meilleur costume » ou « la meilleure célébrité » parmi les fêtards. Moments d’hilarité garantis. Tammany Hall, 152 Orchard Street. Dimanche 26 de 18h à 2h du matin. $15 en réservant et $20 à la porte. La réservation se fait ici. Pour plus d’informations ici.

Déjantée: Pour une soirée déjantée, les Oscars se fêtent aussi au Lesbian Bar Oscar party du Ginger Bar. Une partie de bingo est organisée et la maison paye une tournée de shoots de curaçao-tinted Blue Ball à chaque fois que le numéro 69 est appelée. Il y aura aussi des animations musicales avec Lola le travesti magicien. Venez tôt afin de profiter de la fontaine de chocolat. Ginger Bar 363 Fifth Avenue, Brooklyn. A partir de 18h. L’entrée est gratuite. Pour plus d’information ici.

Décontractée : Le bar branché Bill’s Bar and Burger dans le Meatpacking diffuse lui aussi la cérémonie sur grand écran. Ambiance décontractée avec cocktails et cupcakes spéciaux « Academy Awards ». Bill’s Bar and Burger. 22 Ninth Avenue. Site internet ici

Le restaurant le Parigot diffuse lui aussi la cérémonie. Une tombola est organisée pour l’occasion et un coupon de $50 pour manger au restaurant est à gagner. Le Parigot, 155 Grand Street. A partir de 19h30. Site internet ici

Culturelle : Un tapis rouge et vos stars préférées (en carton) : on se croirait presque à Hollywood. Les journalistes A.O Scott et David Carr, du New York Times conduiront un quizz géant sur le thème du cinéma. Le gagnant remportera des tickets pour Silence, la comédie musicale. The Paley Center for Media. 25 West 52nd street. A partir de 19h. L’entrée est $40 et $25 pour les membres. Pour en savoir plus et la billetterie, ici. 

Mythique : Le Joe’s Pub organise pour sa 11ème édition annuelle sa très convoitée « OSCAR party in NYC » avec Murray Hill. Le comédien sera accompagné d’invités surprise qui mettront l’ambiance en imitant des nominés de cette année. Jean Dujardin risque de s’en prendre plein la tête. Murray Hill commente la cérémonie avec humour durant les spots publicitaires. Des cocktails « Oscars » seront préparés. Joe’s Pub au Public Theater, 425 Lafayette street. A partir de 19h. L’entrée est $25. Vous pouvez acheter vos tickets ici dès maintenant. Pour plus d’infos ici.

Funky : Le 92 Y Tribeca encourage les participants à s’habiller comme Peppy Miller de « The Artist ». Des animations et boissons seront proposées pour l’occasion. Les comédiens Eliot Glazer (Shit New Yorkers Say) et la et Giulia Rozzi animeront la soirée. 200 Hudson Street. A partir de 19h30. L’entrée est à $10 (une coupe de champagne est inclue) Pour plus d’infos ici

Serge Roetheli, courir pour les enfants

Six fois champion de Suisse de boxe, fanatique de randonnées en montagne, Serge Roetheli sera à Los Angeles la semaine prochaine pour parler de course d’endurance lors d’une conférence à l’Alliance Française. Un film retraçant son parcours sera également présenté. Le sportif a parcouru plus de 40.000km pendant cinq ans sur cinq continents différents. Au départ de la Suisse, accompagné et assisté de sa femme Nicole en moto et remorque, la course a débuté par le continent Africain et s’est poursuivi par le Proche-Orient, l’Asie, l’Australie, l’Amérique du Sud et du Nord, pour se terminer par l’Europe. Le but de cette opération ? Récolter de l’argent pour les enfants des pays du Tiers-monde. Une mission réussie puisque Serge Roetheli a collecté plus de 320.000 euros qui ont notamment permis à 592 personnes au Costa Rica de se faire opérer des yeux.

 Infos pratiques :

Serge Roetheli, A hero of our time – conférence, le mardi 28 février à 19h à l’Alliance Française, 10390, Santa Monica Boulevard, suite 120. Entrée libre. Site ici

La musique californienne d'après-guerre au Grammy Museum

Jusqu’au 3 juin, les mélomanes et les curieux pourront explorer la scène musicale de Los Angeles au  Grammy Museum avec l’exposition « Trouble in Paradise : Music and Los Angeles, 1945-1975. »

Mêlant images iconiques, affiches de concert, musique et interviews filmées, « Trouble in Paradise » se concentre sur la tension entre mythe du paradis californien et réalité du conflit social post-Seconde Guerre mondiale. Quant à la musique abordée, elle va du rock au jazz, en passant par le folk et le R&B.

Infos pratiques : 

“Trouble In Paradise: Music and Los Angeles 1945-1975”, du 22 février au 3 juin au Grammy Museum, 800 W. Olympic Blvd., Los Angeles – www.grammymuseum.org

 

Projection du nouveau "Voyage dans la Lune" de Méliès

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Un Voyage Extraordinaire, documentaire de 78 min, retrace, étape par étape, la carrière de Georges Méliès et raconte l’épopée de la restauration de son chef d’œuvre, le Voyage Dans la Lune, sorti en 1902. De la récupération des images endommagées au travail minutieux de nettoyage et de numérisation, le processus de restauration est présenté avec des interviews de réalisateurs prestigieux comme Costa-Gavras, Michel Gondry, Michel Hazanavicius et Jean-Pierre Jeunet. La séance s’ouvrira avec la projection de la version restaurée de 14 min du Voyage dans la Lune, lauréat du Prix de la Meilleure Restauration de Film de la Société Nationale des Critiques de Films en 2011.

Infos pratiques :

Le Voyage Dans La Lune et Un Voyage Extraordinaire, samedi 25 février à 19h30 à l’Aero Theatre, 1328 Montana Ave. , Santa Monica, tickets à $11.

La "farce gigantesque" de Jérôme Deschamps et Michel Fau

J’ai eu envie de monter Courteline en dentelles parce que je m’amuse vraiment à le jouer“, raconte Jérôme Deschamps. Créateur avec sa femme Macha Makeïeff de la désopilante et cultissime famille Deschiens, directeur du Théâtre National de l’Opéra Comique, et acteur historique de la Comédie Française, c’est cette fois la casquette de metteur en scène qu’il a revêtue en adaptant plusieurs petites pièces du dramaturge et romancier Georges Courteline. C’est son oncle, Hubert Deschamps, second rôle marquant du cinéma français, qui a mis ces pièces pour la première fois entre les mains du metteur en scène. “Dès cet instant, je me suis passionnée pour ses saynètes de la vie courante et j’ai toujours secrètement rêvé de les adapter“, confie Jérôme Deschamps. Et pour ce faire, le metteur en scène a attendu plusieurs années avant de trouver un comparse à sa démesure, Michel Fau, qui a d’emblée accepté le projet.

Ce n’est pas la première fois que le comédien joue à New York mais présenter ainsi “Courteline en Dentelles” au public new-yorkais lui tenait particulièrement à coeur “parce que l’oeuvre de Courteline est un pan souvent oublié du répertoire français, estime-t-il. Je trouvais ça intéressant de jouer à New York autre chose que des classiques de la Comédie Française et de permettre au public anglophone de connaitre autre chose que du Corneille ou du Molière.”  La pièce sera également sous-titrée en anglais. “Une bonne chose, selon le metteur en scène, je voulais que tout le monde soit à même de comprendre cette pièce qui est universelle dans son message“.

Auteur contemporain de Georges Feydeau est célèbre pour ses marivaudages et autres vaudevilles, les pièces de Courteline n’en restent pas moins “très contemporaines“. La mise en scène est minimaliste comme si Jérôme Deschamps avait voulu concentrer toute l’attention du public sur les textes. Ce parti pris est entièrement assumé : les deux acteurs sont derrière leurs pupitres et tournent religieusement les pages de leur texte. Point de décors grandioses ou de costumes excentriques, quelques accessoires en dentelles permettent au comédien-metteur en scène et à son compagnon de jeu de passer d’un rôle à l’autre, comme lorsqu’ils enchainent les personnages masculins et féminins: la dentelle est portée sur la tête pour jouer les rôles de femmes ou façon collerette pour les hommes. Des changements de registre à répétition qui ne gêneraient pas l’extravagant Michel Fau, “qui passe son temps à se travestir en femme“, selon les dires de Jérôme Deschamps. Les pièces “flirtent également parfois avec l’absurde, jusqu’à faire presque penser à du Beckett“. Par exemple, dans Vingt-six, une des pièces phares du spectacle, les deux acolytes, “sans doute un peu trop alcoolisés“, cherchent en vain leur domicile dans toutes les rues de Paris avec pour seul indice le numéro de leur immeuble. Si Michel Fau apporte son univers burlesque et décalé à l’oeuvre de Courteline, Jérôme Deschamps amène quant à lui son humour grinçant. “Courteline en dentelles” reste “une satire de la bêtise humaine” déguisée en “farce gigantesque“.

Infos pratiques :

“Courteline en dentelles” de Michel Fau et Jérôme Deschamps, en français sous titré en anglais, les 29 février et 1er mars à 20h au Florence Gould Hall (FIAF), 55 East 59th Street, tickets à $45.

Fiona Apple croque la Grosse Pomme

La chanteuse Fiona Apple se produira le 23 mars prochain au Music Hall of Williamsburg. Les tickets seront en vente dès ce vendredi 24 février. Elle sera aussi le 26 mars au Bowery Ballroom.
Elle chantera notamment des morceaux issu de son troisième album “Extraordinary Machine”. L’album a bien failli ne jamais voir le jour puisque la maison de disque de Fiona Apple, Sony Music, a longtemps refusé de le sortir à la suite des mauvaises ventes et critiques de son opus précédents. C’est cependant grâce à la pression des fans de la chanteuse, qui ont notamment lancé des pétitions et manifesté devant le siège de Sony, que l’album a enfin vu le jour en 2005. Fiona Apple est aussi connue pour son goût pour la composition et l’écriture, les paroles parfois difficiles d’accès de ses chansons font son charme et son succès.
Infos pratiques : 
Fiona Apple, le vendredi 23 mars à 21h au Music Hall of Williamsburg, 66 North 6th street, Brooklyn, entrée à $40. Tickets ici (en vente à partir du vendredi 24 février) 
 

Fêter les Oscars chez soi

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Pour ceux qui comptent organiser une “Oscar Party” chez eux, French Morning partage quelques trucs et astuces pour monter une soirée mémorable, le dimanche 26 février prochain. 

Apero de stars:

“Smoked Salmon Stars”: ces canapés en forme d’étoile sont bons et faciles à préparer. Suivez le guide. Pour célébrer les Oscars à la française et encourager « The Artist », le chef Aida Mollenkamp a fait équipe avec Moët & Chandon pour concocter des recettes françaises à utiliser lors de votre Oscar Party. Gougères et mini jambons-beurres sont à l’honneur. Les recettes ici.

Paparazzi fun :

Mettez en place une toile contre l’un de vos murs et dès qu’un invité se présente, prenez-le en photo. Comme une star ! Vos invités repartiront avec des photos amusantes d’eux-mêmes et de leurs amis pour se souvenir de la fête.

Recettes inspirées de films :

Que diriez-vous de cocktails et d’apéritifs inspirés de vos films culte ? Le Scarlet Fever, apéritifs inspirés de « Gone with the Wind », ou des hors d’oeuvre They Can’t Refuse, inspirés du « Parrain » ou encore In the chips de « Casablanca » réveilleront vos papilles. Ce sont des recettes à succès diffusées abondamment sur le net. Pour les découvrir, se rendre iciici ou ici. Des recettes ont déjà été spécialement concoctées et imaginées pour la cuvée 2012.

Fun Oscars :

En même temps que vous dégustez vos apéritifs de stars, organisez un jeu de bingo sur le thème des Oscars. A télécharger ici. Jouez à « Qui va gagner l’Oscar ? » Comptez les points et prévoyez un cadeau pour le gagnant. Pour finir, vous pouvez aussi organiser un quizz géant sur le thème du cinéma. Ce qui vous permettra de tester vos connaissances cinématographiques de manière ludique ! Voici un lien vers l’un des nombreux questionnaires proposés sur le web.


Rencontre avec les candidats dans le New Jersey

Tous les candidats au poste de député des Français de l’étranger de la première circonscription (Etats-Unis et Canada) sont invités tour à tour à dialoguer avec les électeurs français du New Jersey dans le cadre d’une série de rencontres. Les deux premières auront lieu dans la ville de Summit, New Jersey, avec Julien Balkany (indépendant droite) le 27 février à 19h et Corinne Narassiguin (Partis socialiste) le 29 février à la même heure.

Pour en savoir plus et obtenir l’adresse, envoyer un e-mail à [email protected]

Allez-y à Alessi !

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Pour les amoureux du design italien, la marque Alessi propose des soldes de 50% à 70% sur ses articles ménagers et ustensiles de cuisine, entre autres. Alessi, ce sont des assiettes, des verres, des couverts, des appareils électroménagers dont des machines à café aux allures futuristes. On y trouve aussi des articles de salle de bain. Alessi. Jusqu’au mercredi 29 février. 30 East 60th Street. Ouvert du lundi au samedi de 11h à 18h et le dimanche de midi à 16h. www.alessi.com

La marque de bijoux nOir, connu pour ses bijoux farfelus et ceux qui les portent (Lady Gaga, Katy Perry, Madonna…) organise deux jours de soldes. On y trouve des bagues en forme animale, des colliers et de gros bracelets de $5 à $225. nOir solde. Du jeudi 23 au vendredi 24 février. 350 West 38th Street au 5ème étage. Ouvert de 10h à 19h. www.noirjewelry.com

Envie d’une paire de jeans ? On trouve des skinny jeans tailles hautes à $50 et des shorts à $20 chez Courts Shop en cette fin de semaine. Tous les styles sont représentés, beaucoup pour moins de $85. Court Jeans. Du jeudi 23 au dimanche 26 février. 178 Mulberry Street. Ouvert de midi à 20h. www.courtshop.com

Les bougies chics et hautement recommandées de la marque parisienne Diptyque sont chères ($60 pour une taille standard). Jeudi 1er et vendredi 2 mars, la marque solde ses articles. Lors des dernières soldes, les rabais s’élevaient de 40% à 90%. Diptyque sample sale. Jeudi 1 et vendredi 2 mars. 11 East 26th Street au 6ème étage. www.diptyqueparis.com

Les chats acrobates font leur show

Si vous êtes curieux de voir un chat faire du skateboard, allumer des lampes, pousser un caddie, ou encore faire rouler un tonneau, ce week-end vous en offre l’occasion. Les studios J.E.T reçoivent Samantha Martin et ses chats, les « Amazing Acro-Cats », les vendredi 24 et samedi 25 février, pour leur grande première à Los Angeles. Un show qui ravira petits et grands (mais surtout les petits), à condition d’aimer les chats. Les billets sont en vente ici.

Infos pratiques :

 « The Amazing Acro-Cats » au J.E.T. Studios, 5126 Lankershim Blvd, North Hollywood – Vendredi 24 février à 19 h et samedi 25 février, à 13h, 16h et 19h www.circuscats.com

Le Guggenheim se souvient de John Chamberlain

L’artiste plasticien américain John Angus Chamberlain est à l’honneur au Guggenheim.  L’exposition comprend près de 100 oeuvres de l’artiste, disparu le 21 décembre 2011, depuis les sculptures monochromatiques de ses débuts aux créations à grande échelle de ses dernières années. Le travail de ce natif de Rochester est caractérisé par l’utilisation de fragments d’automobiles écrasés et soudés. Son art est considéré comme un mélange d’expressionnisme abstrait et de pop art. Il acquis la célébrité dans les années 1960 et a exposé depuis dans les plus prestigieux musées d’art moderne au monde (MoMA, Museum of Contemporary Art de Los Angeles, Guggenheim)

Infos pratiques :

“Choices”. Du 24 février au 13 mai. Guggenheim Museum. 1071 5th Avenue. Ouvert tous les jours de 10h à 17h45 sauf le samedi de 10h à 19h45. Fermé les jeudis. L’entrée est à $18 pour les adultes et $15 pour les étudiants et retraités. Pour plus d’informations ici

 

La Biennale du Whitney revient

Comme tous les deux ans, le printemps sera placé cette année sous le signe de l’art contemporain américain avec le retour de la Biennale du Whitney Museum. Pour cette 26 ème édition,  Elisabeth Sussman et Sondra Gilman, commissaires de l’institution, ont fait appel à Jay Sanders, ancien de la Greene Naftali Gallery à Chelsea. Thomas Beard et Ed Halter, artisans de Light Industry, rendez-vous pointu du cinéma et des arts électroniques à Greenpoint, se sont occupés de la sélection de films.

Ce n’est pas la première Biennale pour Elisabeth Sussman qui est à l’origine de l’édition 93. Celle-ci avait défrayé la chronique en mettant en avant des artistes dont les oeuvres traduisaient les préoccupations socio-politiques de l’époque (questions raciales, ethniques, de genre et d’identité sexuelle). Pas de polémique en vue cette année : d’après Sussman et ses collègues, la sélection donne à voir la diversité de l’art contemporain actuel.

Le cinéma sera à l’honneur cette année avec une sélection de grands noms – Werner Herzog et Frederick Wiseman, célèbres documentaristes, et l’enfant terrible Vincent Gallo pour ne citer qu’eux – et de jeunes réalisateurs prometteurs, comme Matt Porterfield. Le film de ce dernier, Putty Hill, a reçu les louanges de la critique aux Etats-Unis et en France lors de sa sortie l’an dernier. Pour ce réalisateur originaire de Baltimore,  qui avoue avoir été “agréablement surpris de sa sélection“, la biennale est l’occasion de “donner une seconde chance à son film et de le montrer à un public différent“. Fiction empruntant aux codes du documentaire, Putty Hill dresse l’émouvante chronique du quotidien d’une bande d’ados après le suicide de l’un d’entre eux. Une de ses projections à la Biennale sera suivie d’un dialogue avec l’artiste Matt Papich où il sera question de l’oeuvre en dehors de son cadre, de la poésie du film et la communauté de Baltimore telle qu’elle est décrite dans la production. Un rendez-vous à ne pas manquer…et pour lequel il faudra attendre le 6 mai. La plupart des dimanches seront ainsi consacrés à des dialogues entre réalisateurs, critiques, et les commissaires de la sélection. A marquer sur vos tablettes également : les obsessions épiques de Georges Kuchar, légende du cinéma expérimental américain, décédé en septembre dernier. Ses Weather Diaries seront présentés du 18 au 22 avril.

Côté performance, le chorégraphe et danseur britannique Michael Clark présentera une oeuvre spécialement imaginée pour le Whitney, qui sera alors le “plus grand dance floor de New York!” Le Modern Dance Club, sa compagnie américaine créée fin 2011, prendra ses quartiers dans le musée sous la forme d’une résidence de quatre semaines. Danseurs professionnels et amateurs répèteront  dans un premier temps sous les yeux des visiteurs, du 14 au 25 mars, puis se produiront du 29 mars au 8 avril, pendant les heures d’ouverture du musée. Vite, pensez à réserver!

Infos pratiques:
Whitney Biennial – du 1er mars au 27 mai. 945 Madison Avenue at 75th Street New York, NY 10021 –  (212) 570-3600. Pour le programme complet ici