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La Quinzaine du Docu au MoMA

Depuis 2001, le Museum of Modern Art (MoMA) organise tous les ans un festival de deux semaines consacré au film documentaire. Cette année, les films sélectionnés viennent des quatre coins du monde et font parfois le pont entre art contemporain et cinéma non fictionnel classique comme  Self Made du Britannique Gillian Wearing ou Nostalgia for the light du Chilien Patricio Guzman sur le désert d’Atacama en Amérique Latine. La majorité des films sélectionnés sera diffusée pour la première fois. Long ou court métrages, il y en aura pour tous les goûts. Les spectateurs auront également l’occasion de voir une rétrospective des oeuvres produites par la célèbre boite de production militante Paper Tiger Television.

Infos pratiques : 

Documentary Fortnight 2012, jusqu’au 28 février au MoMA, 11 West 53 Street. Tarifs et horaires des projections ici

Sarkozy et le franc enterrés, Napoléon ressuscité

Le lancement de la campagne présidentielle, officialisée par la candidature attendue de Nicolas Sarkozy mercredi soir sur TF1, fait couler beaucoup d’encre dans la presse américaine. Celle-ci se montre circonspecte quant aux chances de Sarkozy de l’emporter, accumulant au passage quelques clichés sur la France. L’édition américaine du Financial Times note que le président pâtit de son image «bling-bling», vue comme « un énorme handicap électoral dans un pays qui se méfie instinctivement des riches ». D’autant que son rival François Hollande, « en tant que socialiste, a bénéficié du réflexe traditionnel  français de demander de l’aide au gouvernement dans les moments difficiles », ajoute le Washington Post. La France terre d’assistés, un « réflexe traditionnel » de la presse américaine ?

Reste que la victoire de Hollande, loin d’être assurée, « n’entraînerait pas de changements importants dans la politique économique française ou dans la gestion de la crise de l’euro », tempère le New York Times qui affirme que la déclaration de guerre du candidat socialiste à la finance n’est que la rhétorique d’un homme en campagne. Selon le quotidien, l’ancien protégé de l’européiste Jacques Delors ne fera rien qui puisse nuire à l’euro, « le symbole le plus tangible de l’intégration européenne ». Et de conclure : «“Merkollande” ne sonnerait pas aussi bien que “Merkozy”, mais cela ne sonnerait pas le glas de la zone euro. »

Requiem pour le franc

Mais c’est moins l’euro que l’enterrement définitif du franc, le 17 février dernier, qui a mobilisé les correspondants américains de l’autre côté de l’Atlantique. Ce jour-là marquait la date butoir pour échanger les vieux billets contre des euros à la banque. La monnaie européenne étant dans l’œil du cyclone, l’ironie d’une telle cérémonie funèbre n’a pas manqué d’échapper ni aux journaux américains ni aux Français qu’ils ont interrogés. « Alors que le franc est mort, c’est l’avenir de l’euro qui est maintenant en question », souligne ainsi le New York Times. A cette inquiétude s’ajoute de la nostalgie selon le Los Angeles Times qui écrit : « Les vieux billets représentant des personnalités françaises telles que le peintre Paul Cézanne et l’écrivain Antoine de Saint-Exupéry symbolisent beaucoup : le souvenir d’une époque moins angoissante, avant la zone euro et ses problèmes. »

« Napoléonland »

Un reportage de la radio publique NPR poursuit cette leçon d’histoire de France avec Napoléon Ier, qui devrait être au cœur du parc d’attraction voulu par Yves Jégo, maire (UMP) de Montereau-Fault-Yonne et ancien ministre. « Aucune célébrité ne peut être reconnue mondialement sans avoir son propre parc d’attraction thématique. Mickey Mouse et Disney ont le leur. Maintenant, Napoléon pourrait lui aussi avoir cette chance », raconte le reporter. Une comparaison audacieuse, voire déplacée, mais à l’image du projet de l’ancien ministre qui voudrait mêler reconstitutions historiques, ski et spectacles. Mais pour Jégo, « les Américains ont eu du succès avec Disney, [alors] pourquoi pas la France avec Napoléon ? » On se le demande.

Le FIAF et FIT à la mode

En ces temps de Fashion Week, le French Institute Alliance Française (FIAF) et le « Museum at FIT » mettent en lumière la mode et ses créateurs au travers d’une série de quatre documentaires sur le sujet. Loïc Prigent, réalisateur connu pour accéder aux coulisses top secrètes des grands défilés (Chanel, Marc Jacobs…) présentera en personne, les 21, 22 et 23 février, trois de ses documentaires et participera à des sessions de questions/réponses à la suite des projections. Le 22 février, c’est le couturier Karl Lagerfeld qui sera à l’affiche, et le jeudi 23, ce sera au tour de la marque Proenza Schouler. Pour terminer la série, un film intitulé « Et ELLE créa la Femme » sur l’histoire du célèbre magazine sera présenté le lundi 27 février.

Infos pratiques :

Reel Fashion au FIAF et au Museum at FIT. Du mardi 21 février au lundi 27 février. $10 l’entrée et $7 pour les étudiants. Les tickets sont disponibles ici. Pour le lieu et l’horaire des séances  ici

Télé: les jeunes américains beaucoup plus exposés

L’avènement de l’Internet et de nouveaux supports de communication comme l’iPad ou l’iPhone aurait pu ringardiser le petit écran. Que nenni ! La télévision conserve une grande place dans les foyers américains et français, en particulier chez les plus jeunes. En effet, un écolier français scolarisé en primaire a passé en moyenne 864 heures devant son professeur en 2010 et 956 devant la télévision selon Mediamétrie. Un petit Américain passe en moyenne tous les ans 900 heures à l’école… contre 1.500 devant le petit écran, d’après l’institut Nielsen.

Ces chiffres sont cohérents avec ceux de la consommation globale de télévision en France et aux Etats-Unis. Selon une étude de 2009, réalisée Eurodata TV Worldwide, une société créée par Mediamétrie et qui relaie les informations des instituts de mesure d’audience dans le monde entier, les Etats-Unis détiennent le record de temps passé quotidiennement devant la télévision, avec plus de 4h40. En France, la même année,  la durée moyenne d’exposition s’élevait à 3h12 par jour. Un chiffre qui augmente de façon constante depuis une dizaine d’années.

Un visa touristique de plus de 90 jours, ça existe !

Vous rêvez d’un road-trip de quatre mois pour découvrir le Nouveau Monde ? Vous avez besoin d’une immersion complète dans la langue anglaise? Ou peut être les traditionnels trois mois accordés par l’administration américaine aux touristes étrangers vous semblent courts ? La solution : le visa touristique B2, pour les séjours de plus de 90 jours.

Comment faire pour décrocher le précieux sésame? Avant toute chose, prévoyez d’effectuer vos démarches en avance (deux mois au moins avant votre départ effectif). Première étape : remplir le formulaire disponible sur le site de l’Ambassade américaine. Il faudra se munir de votre passeport à lecture optique et d’une photo d’identité numérique. Une fois ce questionnaire rempli avec précaution (gare aux erreurs qui peuvent être impardonnables), il faudra prendre rendez-vous (par téléphone ou internet) avec un conseiller consulaire, puis vous rendre à la poste pour payer par mandat-compte la somme de 112 euros.

Cette démarche, plus coûteuse en temps et en argent, n’est viable qu’à certaines conditions. La première: justifier de solides attaches à son pays (contrat de travail, bail en cours, liens familiaux…) et présenter un compte en banque bien garni, crédité avec de quoi vivre six mois sans avoir à travailler. Des conditions sine qua non pour vous prémunir de toute présomption d’immigration.

M., 28 ans  a obtenu un visa touristique fin 2010: ” Mon petit ami terminait ses études à Columbia. En deux ans, j’avais fait plus de 15 allers- retours… J’en avais marre et je sentais qu’à la frontière, on me posait de plus en plus de questions. Je travaillais, mais j’ai pu négocier un congé sans solde de six mois avec mon employeur. Du coup, j’avais un contrat de travail toujours en cours mais aussi un appartement à mon nom que j’ai mis en sous-location. J’imagine que ça a joué en ma faveur. Je suis partie rejoindre mon ami six mois à New York…le bonheur !

Critères de refus

Attention, obtenir le B2 n’est pas automatique. Multiplier les séjours de trois mois aux États-Unis avant de faire sa demande peut être un critère de refus : on vous suspectera de vouloir vous installer illégalement.

V., 22 ans, a du s’y reprendre à deux fois : “J’avais déjà passé trois mois à New York  avec l’ESTA (Electronic System for Travel Authorization). Musicienne, j’accumulais les petits boulots alimentaires en France. En 2010, j’ai fait une demande de visa touristique. J’avais des économies mais à part ça, pas grand chose ! Ma demande a été refusée. Et après un refus, ce n’est pas évident de pouvoir revenir aux États-Unis, même pour quelques jours… Finalement, j’ai pu revenir à New York, mais grâce au label avec lequel j’ai signé un an plus tard. Forcément, ma situation matérielle était plus stable et surtout j’étais moins naïve et mieux préparée! »

Des exemples parmi tant d’autres qui ne préfigurent aucunement de votre situation, chaque cas étant unique et minutieusement étudié par les services d’immigration.

Le jour de votre rendez vous à l’Ambassade, prévoyez de la lecture (l’attente peut être longue) et munissez-vous des documents nécessaires (passeport, enveloppe Chronopost à vos noms et adresses, justificatifs divers…). Si vous remplissez tous les critères, vous recevrez en quelques jours votre passeport agrémenté d’un visa tout beau, tout neuf.

Le visa B2 vous ouvre les portes des États-Unis pendant 10 ans. Cependant, le douanier américain peut décider de ne pas vous laisser entrer sur le territoire malgré l’obtention de votre visa et ce, pour un motif justifié…ou non. Les voies de l’administration américaines sont parfois impénétrables.

Infos et démarches sur le site de l’Ambassade des Etats-Unis en France ici 

Où fêter Mardi Gras dans la Grosse Pomme ?

Si Mardi Gras était à l’origine une fête religieuse, c’est aujourd’hui un prétexte à la fête tout court. Aux Etats-Unis, « Fat Tuesday » est essentiellement célébré dans le sud, notamment à la Nouvelle Orléans à grands renforts de déguisements, de bonne bouffe et de femmes légèrement vêtues.  A New York, point de carême à l’horizon, mais différents événements sont organisés ce mardi 21. Tour d’horizon.

Third Annual Two Boots Mardi Gras Benefit Ball: Point de Mardi Gras sans bal masqué. Le Poisson Rouge se charge d’organiser cette soirée de rêve. Le prix de l’entrée inclut le dîner et les animations musicales. Attention, n’oubliez pas votre masque ! Leur port est encouragé, même s’il n’est pas obligatoire. Le Poisson Rouge, 158 Bleecker St, mardi 21 février à 19h à minuit, entrée à $25.

Beacon’s 12th Annual Beefsteak : La viande est à l’honneur dans ce restaurant étoilé, et pour Mardi Gras, toute l’équipe de cuisine a concocté un menu spécial. Pour un prix fixe de $160, le client pourra consommer à volonté le trio boeuf, bourbon et bière (et d’autres mets d’accompagnement). Une partie des bénéfices réalisés sera reversée à l’association Green Chimneys, qui s’occupe d’enfants victimes de troubles comportementaux. Beacon, 25 est 56th st, mardi 21 février à 18h30, entrée $160.

Cherry’s Jubilee at Duane Park : Mardi Gras évoque la Nouvelle Orléans, où la tradition est encore très présente. A Duane Park, le chef Richard Overholt préparera les meilleures recettes du sud-américain telles que le gombo de boeuf, les travers de porcs ou les chicken wings. Un groupe de jazz et des danseuses burlesques animeront la soirée. Duane Park, 157 Duane st, mardi 21 février à 20h, entrée à $40. 

Bourbon Street Mardi Gras Celebration: Le bar de l’Upper West Side, Bourbon Street (du nom de l’artère principale du French quarter de la Nouvelle-Orléans) met en place des tarifs spéciaux pour Mardi Gras. Profitez de deux Buds pour le prix d’une et des shots de Bourbon, Jack Daniel’s et Tequila à $4. Bourbon Street, 407 Amsterdam avenue, mardi 21 février de midi à 4h du matin, entrée libre.

New York se met au breton

Les « Bretonophiles » de New York sont servis. L’association bretonne BZH New York organise trois rendez-vous au cours des mois de février, mars et avril pour promouvoir la langue bretonne. Une initiative qui intervient alors que « le nombre de locuteurs de breton connaît une spirale descendante depuis un siècle et l’UNESCO liste le breton parmi les langues en grand danger », souligne l’association dans un e-mail.

Le mercredi 23 février : Initiation à la langue bretonne avec Fabienne Geoffroy, directrice de l’école bilingue primaire Diwan Paris qui propose des cours en langue bretonne. Elle invitera les participants à plonger dans l’histoire de la Bretagne et sa place dans la société actuelle. Des cours pour tous les niveaux seront proposés. A partir de 17h30 jusqu’à 20h. Bowery Poetry Club. 308 Bowery entre Huston et Bleecker Street.

Le 31 mars : Des mobilisations auront lieu dans l’ensemble de la France en faveur de la défense des langues régionales. L’association BZH New York se joindra à cet effort en organisant une conférence à New York. Le lieu, la date et l’heure de l’événement seront annoncés prochainement sur le site internet.

Fin avril : Journée rencontre-dédicace avec l’auteur breton Hervé Lossec, auteur de la série Les Bretonnismes. Les livres évoquent l’influence de la langue bretonne sur la manière dont les Français parlent la langue de Molière. Le lieu, la date et l’heure de l’événement seront annoncés prochainement sur le site internet.

L'université française face au XXIème siècle

Laurent Batsch, président de l’Université Paris-Dauphine, discutera des nouveaux défis des universités françaises au Consulat général de France à New York le mercredi 22 février.

Intitulée “A French University faced with globalization and the demand for talents”, cette conférence abordera l’enjeu de l’adéquation des talents avec les nouveaux besoins internationaux des entreprises. Un cocktail sera servi à cette occasion. Le nombre des places est limité à 150. Pour RSVP, voir ci-dessous.

Infos pratiques:

“A conversation with Laurent Batsch” le 22 février, de 18h30 à 20h30, au Consulat général de France, 934 5th Avenue – (212) 606-3600 -S’enregistrer ici

 

Chéri(e), pourquoi ne fait-on plus l’amour ?

Les enfants sont couchés, la maison presque rangée. Elle se félicite à peine de cet exploit, déjà soucieuse du deuxième service à préparer. Restent encore deux-trois « j’ai soif » et « j’dois faire pipi » et le dîner est prêt. Elle a faim. Il n’est toujours pas là. Elle l’appelle. Il répond : « Un dernier e-mail et j’arrive !» Elle l’attend. Elle a envie de lui. Elle s’impatiente. Elle finit par manger. Le dîner est froid. Quand il rentre enfin, il est tard et elle est fatiguée. Elle part peu après se coucher, seule et frustrée. Lui, il a besoin de décompresser d’abord. Il surfe alors sur Internet en quête d’une diversion mais cela le renvoie inexorablement à sa solitude. Il s’endormira plus tard de son côté du lit.  Scène clichée mais banale de la vie new-yorkaise qui marche aussi quand c’est madame qui travaille plus.

Voici comment un manque de temps ensemble couplé de bonnes intentions peut conduire à la déception et la déception à la séparation. La cadence professionnelle et familiale qui s’accélère, souvent au même moment, c’est un fait. La vraie raison, c’est l’attitude qui consiste à renoncer à une vie sexuelle épanouie pendant cette période.

La suite ressemble parfois à cela… Après avoir disparu en semaine, leurs relations sexuelles se font de plus en plus rares parfois même inexistantes depuis plusieurs mois. Au bout de quelque temps, ils se font une raison devant cette situation. Je les entends me confier : « C’est une période particulière, ça ne va pas durer !» ou encore « de toute façon, c’est pas indispensable pour un couple ! ». Chacun prend sur soi, les frustrations s’accumulent, le sentiment de solitude augmente et progressivement un fossé se creuse entre eux. Par protection, les désirs s’éteignent et les idéaux s’oublient jusqu’au jour où la limite est atteinte : « J’en peux plus de ce rythme de vie! J’ai besoin de quelqu’un à qui me confier et qui me fasse vibrer! On est devenu des étrangers l’un pour l’autre. On ne parle plus la même langue, on n’arrive plus à se comprendre».

Peut-on espérer retrouver une complicité après avoir mis entre parenthèse son couple pendant quelques semaines, mois ou années ? Je le crois, mais difficilement. C’est comme une seconde langue qui ne serait plus pratiquée pendant un certain temps. Elle s’oublie, on devient hésitant, maladroit et moins spontané. La complicité sexuelle, c’est pareil. Il faut la pratiquer sinon elle risque de disparaître. On ne peut pas la mettre en pause et espérer recommencer naturellement là où on l’avait laissée. Plus on fait l’amour, plus le désir, le plaisir et la confiance augmentent. L’inverse est cruellement vrai. Il devient dans ces cas utile de demander des « cours de remise à niveau » pour oser se lancer à nouveau.

J’entends souvent : « Pensez-vous honnêtement que ce soit possible d’être à la fois un mari attentionné, un père responsable et un amant passionné ? » Oui, je le pense mais à plusieurs conditions. La première : il faut se prendre des rendez-vous. Avec un emploi du temps aussi chargé, ne comptez pas sur votre spontanéité car elle est effectivement malmenée par les stress professionnels et familiaux quotidiens. Deuxième condition : s’accorder des pauses. Jouez au « jeu du taboo » ! Le principe est simple, lors de ces rencontres vous listez les sujets « tuent l’amour » qui ne peuvent pas être abordés (votre boss, les enfants, les soucis de la maison, la belle famille, etc.). Sachez parler de choses légères et rire ensemble. Cassez la routine et les habitudes par des surprises et attentions même très petites et simples (changez parfois de côté du lit, d’horaires, de tenues, etc.). La troisième : faire preuve d’imagination. Vous n’avez pas l’occasion de partir en vacances en amoureux ? Et bien, visualisez ensemble l’endroit de vos rêves et transportez-vous là-bas tout en restant dans votre lit ! Osez et usez des jeux de rôles pendant la journée et dans votre lit où vous quittez votre rôle de mari et femme pour se découvrir autrement.

Plus que jamais, dans une période où la famille et le travail prennent la quasi-totalité de votre temps, l’harmonie sexuelle de votre couple ne peut être oubliée. Se détendre ensemble, partager ses rêves, goûter au plaisir, c’est reprendre de l’énergie pour vivre ce quotidien. Ce n’est pas une question de temps mais de priorité et d’attitude.

Visiter le site de Thérèse Hargot-Jacob ici
Avertissement: Thérèse Hargot-Jacob est sexologue à New York. Ses chroniques sur French Morning s’inspirent de sa pratique professionnelle, mais les témoignages individuels qu’elle rapporte sont modifiés de manière à préserver l’anonymat de ses clients. Ce qui se dit dans son cabinet reste dans son cabinet!

Photos et bijoux à la prochaine "French Culture Nights"

Ce mois-ci, les “French Culture Nights” donnent rendez-vous aux amoureux de la culture française le 22 février au Duo Lounge and Restaurant sur Madison Avenue.Au programme de cette soiree artistique et culturelle aux accents francais: la photographe Céline Khawam, la joaillière Julie Prunier et le son de DJ Jean-Michel.

L’admission est gratuite en cas de pré-inscription sur le site avant le 22 février, 16h. Autrement, vous devrez payer $10 pour entrer. Apéro Ricard de 18h30 à 19h30.

Infos pratiques : 
“Duo Night”, le 22 février de 18h30 à 1h au Duo Lounge & Restaurant, 72 Madison Ave 

Johnny Hallyday allume le feu

Johnny Hallyday fera escale à Los Angeles le 24 avril prochain pour sa tournée 2012. Le chanteur, compositeur et acteur français reste, après 50 ans de carrière, l’un des chanteurs francophones les plus célèbres et l’une des personnalités les plus médiatisées en France. Il a enregistré plus de 1.000 titres, et ses ventes de disques s’élèvent à plus de 100 millions d’exemplaires. Il a remporté 40 disques d’or, 22 de platine, trois de diamant et huit victoires de la musique. Les tickets sont en vente dès maintenant.

Infos pratiques :

Johnny Hallyday. Orpheum Theatre. 842 S Broadway, Los Angeles. Le 24 avril 2012 à 20h. Ouverture des portes à 19h. De $50 à $150. 

Le Getty Center revisite ses classiques

Le Getty Center invite, pour deux concerts exceptionnels, des musiciens classiques de renommée mondiale dans le cadre de ses “Getty Center Concerts”. En effet, c’est le célèbre orchestre de chambre de Philadelphie qui ouvrira le bal le 25 février en interprétant plusieurs extraits d’oeuvres d’Igor Stravinski ou de George Antheil. Et le 24 mars, les férus de chant lyrique pourront écouter le Rose Ensemble, une compagnie de chanteurs plusieurs fois récompensée de prix de chant lyrique. Ils feront revivre pour l’occasion plusieurs morceaux du répertoire classique européen.

Infos pratiques : 

Gordon Getty concerts, à l’auditorium Harold M. Williams, au Getty Center. Orchestre de chambre de Philadelphie le 25 février à 19h, entrée à $20.  Rose Ensemble, Gothic Voice, le 24 mars à 19h30, entrée à $20. Site ici