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"American Optimism", l'expo qui glorifie l'art angelin

L’art made in California est à l’honneur à la galerie Trigg Ison Fine Art. L’exposition “American Optimism” retrace un pan de l’histoire de la Cité des Anges à travers des oeuvres d’art de 1935 à 1980. Cette exposition s’inscrit à la croisée de plusieurs genres puisque des sculptures, des peintures et des dessins seront présentés. Portraits, paysages, ou art abstrait : les œuvres , créées par des artistes peu connus, représentent la ville sous toutes ses formes. Une collection originale qui rassemble aussi bien des pièces d’inspiration latino ou influencées par l’avant-gardisme européen.

Infos pratiques :

« American Optimism : celebrating the LA Art scene 1935-1980 » jusqu’au 29 février à la galerie  Trigg Ison Fine Art, 9009 Beverly Boulevard, entrée gratuite.

 
 

Où manger des crêpes pour la Chandeleur ?

La Chandeleur a lieu ce jeudi 2 février. Comme French Morning ne manque jamais une bonne occasion de vous régaler, nous avons concocté une petite sélection de crêperies pour les âmes en quête de bons plans pour ce soir. Aidez-vous à compléter cette liste forcément non exhaustive en laissant un commentaire en dessous de l’article.

Vive la crêpe :

Une décoration de café parisien, ambiance cosy, carte originale : cette chaîne de crêperie qui a investit Manhattan a tout pour plaire. A mi- chemin entre le fast-food et le restaurant classique, Vive la crêpe offre l’opportunité de déguster une large sélection de crêpes (salées et sucrées) de manière rapide et à prix abordable. Voir les adresses des quatre restaurants ici, prix des crêpes compris entre $7.50 et $9.50.

Crêpes du Nord :

Cette crêperie à la décoration moderne résulte de la fusion entre le savoir-faire français et la tradition scandinave. Le client pourra par exemple déguster une crêpe norvégienne (saumon et crème fraîche) comme une crêpe classique au jambon de Paris et gruyère. La maison privilégie également les ingrédients d’origine biologique et assure que ses crêpes sont 100% « saines ». 17 South William Street, prix des crêpes compris entre $7 et $12. Site ici

Crêperie NYC :

Cette crêperie est sans doute la plus traditionnelle avec ses allures de bistrot français. Le menu, très complet, comporte des crêpes savoyardes classiques mais s’adapte également à la tendance locale en proposant des crêpes végétariennes, des crêpes à la guimauve ou au beurre de cacahouète. Le client a aussi la possibilité de composer sa propre crêpe. Lower East Side : 135 Ludlow Street. West Village : 112 MacDougal Street. Prix des crêpes entre $7 et $12. Site ici

 

Où regarder le Super Bowl à New York

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Le coup d’envoi du Super Bowl aura lieu dimanche 5 février à environ 18h30. Cette quarante-sixième édition annuelle opposera les New York Giants au New England Patriots à Indianapolis. Que vous soyez adepte ou simple curieux, voici une liste de bars où regarder un match très attendu. Et pour ceux qui veulent impressionner leurs amis, n’oubliez pas de lire notre article “Le Super Bowl pour les nuls” avant le début de la confrontation.

Southern Hospitality (Upper East Side) – « Let’s go Giants ! » Ici la couleur est annoncée : les supporters des New England Patriots ne sont pas forcément les bienvenus mais, si les New Yorkais gagnent, l’ambiance sera festive. C’est le moins que l’on puisse dire. 1460 Second Ave. Tel: 212-249-1001, site internet.

Foley’s Pub and Restaurant (Midtown) – Parfait pour ceux qui veulent regarder le match avec des fans au long cours et des athlètes, et profiter de leurs analyses. 18 West 33rd Street. Tel : 212-290-0080, site internet.

Village Pourhouse (Greenwich Village) – Vingt-deux écrans HD, restauration ouverte jusqu’à 1 heure du matin, un panel de cent bières à disposition. 6 Astor Place. 2126 979-BEER (2337), site internet.

Mudville 9 (TriBeCa) – Ce bar légendaire sert de délicieux ailerons de poulet aux amateurs de sports depuis une trentaine d’années. 126 Chambers Street. 212 – 964 – 9464, site internet.

Brazen Head (Brooklyn) – Pour dîner gratuitement et boire de la bière fraîche, rendez-vous au Brazen Head qui diffusera le match sur quatre écrans. 228 Atlantic Avenue. 718-488-0430, site internet.

Le Super Bowl pour les nuls

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Très populaire aux Etats-Unis, le Super Bowl fait s’affronter les vainqueurs des deux conférences du championnat de National Football League (NFL). La compétition peut parfois paraître complexe aux néophytes, surtout lorsqu’ils sont européens et que leur seul contact avec le football américain s’est longtemps limité aux blockbusters et aux séries made in US.

Comment marquer des points

Le football américain n’est pourtant pas si éloigné du football et du rugby, sports dont il est issu. Un match dure soixante minutes et c’est un botté d’engagement (kickoff) qui entame chaque mi-temps. Le but du jeu est bien entendu de marquer des points, en portant le ballon ovale jusqu’à la zone d’en-but (end zone) adverse. Si le joueur tire le ballon au pied entre les poteaux, à la manière d’un rugbyman, on parle de field goal (3 points). S’il franchit la ligne de but avec le ballon, c’est un touchdown (6 points) qu’il s’agit alors de transformer, soit en renouvelant l’exploit (2 points), soit à la façon d’un field goal (1 point). Enfin, le safety (2 points) est accordé à l’équipe adverse si le porteur du ballon est plaqué dans sa propre zone d’en-but, commet une faute d’attaque ou sort des limites.

Le gagne-terrain

Le jeu se découpe en deux phases, la défense et l’attaque. Cette dernière est menée par le quarterback, joueur rendu célèbre de l’autre côté de l’Atlantique par son statut de leader et de super star dans les lycées et les universités américaines. Aux amateurs de rugby il rappellera sûrement le demi d’ouverture, mais le football américain leur paraîtra peut-être aussi quelque peu haché. Non seulement le jeu se divise en quart-temps –pour le plus grand bonheur des annonceurs-, mais l’attaque est en outre basée sur le principe de gagne-terrain. Lors de l’attaque, chaque équipe dispose en effet de quatre tentatives (downs) pour parcourir 10 yards (environ 9 mètres), faute de quoi, elle devra céder le ballon à l’équipe adverse : c’est un turnover on downs. Donc lorsque le commentateur dit “Second and 8” cela signifie que l’on va jouer le deuxième down et qu’il reste 8 yard à parcourir pour atteindre le gain de 10 yards. “Third and goal” signifie qu’on en est au troisième down et que l’en-but est à moins de 10 yards.

Tactique

Ce jeu de gagne-terrain, ajouté aux remplacements illimités, a conduit les entraîneurs à développer des schémas tactiques extrêmement complexes. A tel point que le football américain est parfois comparé à un jeu d’échecs. Mais, pas de panique, on peut grosso modo distinguer trois stratégies pour faire avancer le ballon jusqu’à la zone d’en-but : en puissance, en rapidité ou en finesse, c’est-à dire en multipliant les feintes. Le choix des tactiques devrait être déterminant dimanche soir, les chances pour les deux équipes de remporter la compétition étant présentées comme plus ou moins équivalentes dans la presse américaine. Les New York Giants semblent néanmoins donnés – légèrement – favoris et, si cette prédiction se réalise, l’ambiance devrait être au rendez-vous dans les bars de New York.

Au BAM, février rime avec opéra

Les héroïnes des deux opéras proposés par le New York City Opera au Brooklyn Academy of Music (BAM) ont toutes les deux aimé et souffert à Paris : l’une y succombe à la tuberculose après avoir sacrifié son amant à la morale, l’autre y est hantée par un passé glorieux.
Première à ouvrir le bal à partir du 12 février (jusqu’au 18), Violetta, l’héroïne tragique de « La traviata ». Le chef d’œuvre de Giuseppe Verdi est revisité par le metteur en scène Jonathan Miller, qui se concentre sur le drame psychologique des personnages. Quant à Violetta, elle est interprétée par la Brooklynite Laquita Mitchell. L’opéra sera en italien sous-titré en anglais.
Du 19 au 25 février, la célèbre courtisane cède la place à l’héroïne de « Prima Donna », une soprano qui prépare son retour sur scène avec angoisse et s’éprend d’un journaliste. Ecrit par le chanteur-compositeur Rufus Wainwright et Bernadette Colomine, et mis en scène par Tim Albery, cet opéra en français sous-titré en anglais est présenté pour la première fois aux Etats-Unis après avoir conquis son public au Royaume-Uni et au Canada.
Infos pratiques :
La traviata, le 12 février à 13h30, les 14, 16 et 18 février à 19 h 30, au BAM Howard Gilman Opera House, 30 Lafayette Avenue à Brooklyn. Entrée à partir de $25.
Prima Donna, le 19 février à 13h30, les 21, 23 et 25 février à 19h30, au BAM Howard Gilman Opera House, 30 Lafayette Avenue à Brooklyn. Entrée à partir de $25.

Kisan, concept store en solde

Le concept store franco-islandais Kisan, soldes ses articles à 70%. La boutique tenue par Thorunn Anspach et son mari français Olivier Brémond, propose toute une gamme excentrique et originale de marques (d’accessoires, de vêtements, de bijoux ou chaussures). On y trouve des sacs Sonia Rykiel à $165 au lieu de $330 ou un blouson Port 1961 à $135 au lieu de $450. Kisan Concept Store. Du jeudi 2 février au lundi 6 février. Ouvert du lundi au samedi de 11h à 19h et le dimanche de midi à 18h. 125 Green St. Site internet : Kisan Concept Store

Un peu de couleur dans nos gardes de robe grisonnantes ? Scoop propose jusqu’à 90% sur des marques comme 3.1 Phillip Lim, DVF, Marc by Marc Jacobs, Rag and Bone ou encore Shipley & Halmos. Le magasin offre des soldes jusqu’au 20 février. Un conseil : allez y en début de solde. Scoop. Du jeudi 2 février au lundi 20 février. Consultez le site internet pour plus d’informations sur la localisation du magasin le plus près de chez vous et des horaires d’ouverture.

La marque au mille et une robe aux styles simples et « féeriques », Morgane Le Fay solde sa collection d’hiver de 70-80%. L’occasion de s’offrir les robes à l’allure unique qui débutent maintenant à $125 au lieu de $640 ou les manteaux à $750 au lieu $2500. Morgane Le Fay. Du vendredi 3 février au mardi 7 février. Ouvert du vendredi au lundi de 10h30 à 18h, le dimanche et le mardi de 11h à 16h. 601 West 26th St, suite 1507. Site internet : Morgane Le Fay

Le designer Gary Graham solde à 90% certaines pièces de multiples collections (incluant celle d’hiver 2011). Le style hippie chic fait la réputation de cette marque indépendante. Gary Graham. Du jeudi 2 février au Samedi 4 février. Ouvert du mardi au samedi de 11h à 19h. 176 Franklin St. Site internet : Gary Graham


 

A El Segundo, l'orgue qui fait parler le cinéma muet

Bill Field et son orgue ont à peu près le même âge : quatre fois vingt ans et toujours ce même plaisir à faire revivre au public les trésors du cinéma muet. Nous sommes à El Segundo, une petite ville tranquille, dans la banlieue sud de Los Angeles. Comme chaque dimanche après-midi, le gérant de l’Old Town Music Hall guette impatiemment depuis l’entrée, l’arrivée des premiers spectateurs. “Nous sommes la dernière salle de cinéma de Los Angeles et ses alentours à diffuser des films muets accompagnés par un orgue”, explique-t-il fièrement. Pour ce passionné de Septième art, autrefois organiste dans une patinoire, tout a commencé en 1958. Avec son partenaire Bill Coffman – un pianiste d’église – ils décident de racheter et de restaurer un orgue à tuyaux de type Wurlitzer datant de 1925, utilisé à l’origine par une salle de cinéma Fox, à Long Beach. Ce n’est que dix ans plus tard, en 1968, qu’ils parviendront à trouver un domicile fixe à leur petite merveille. A El Segundo, le State Theater qui a ouvert ses portes en 1922, est alors vacant. Les deux Bill sautent sur l’occasion. C’est le début d’une belle aventure commune qui durera jusqu’en 2001, date à laquelle Bill Coffman s’éteint, dans la salle de son cinéma, où il faisait une sieste, en attendant Bill Field.

Aujourd’hui, à la cave, ce sont des centaines de bobines de films qui sont soigneusement conservées. “Depuis plus de 40 ans, rappelle Field, le Old Town Music Hall s’efforce à la fois de préserver et de présenter au public les trésors du cinéma muet, les classiques du parlant ou encore d’anciennes comédies musicales cultes comme Singin’ in the Rain, que nous projetons aujourd’hui”. L’accompagnement à l’orgue des films muets permet, quant à lui, de faire revivre aux spectateurs une époque révolue de l’histoire du cinéma. Créé à la fin du XIX ème siècle pour les besoins du théâtre et du Septième art naissant, l’orgue orchestral permet d’imiter plusieurs instruments et de reproduire une multitude de bruitages : castagnettes, xylophone, grosse caisse, sirène de bateau, klaxon. A l’époque, c’est une véritable aubaine pour les petites salles de cinéma qui n’auraient jamais eu les moyens de s’offrir un orchestre.

1.600 tuyaux, 268 instruments, 244 touches

A l’Old Town Music Hall, une fois passé le guichet-stand à pop-corn (8 dollars la place, 1 dollar le cornet), tenu par un jeune bénévole, on pénètre dans une drôle de salle de spectacle de 188 places, à la déco typiquement années 20, toute tendue de velours rouge. En voyant le petit orgue installé sur scène, on est loin d’imaginer qu’une véritable boîte à musique géante le complète, cachée derrière le lourd rideau de théâtre. Au total, la bête compte 1.600 tuyaux, 268 instruments et 244 touches sur quatre claviers différents. Sans parler des clochettes, sirènes, sifflets, gongs et autres gadgets.

Hommage à Greta Garbo, les 10, 11 et 12 février prochains, festival Laurel et Hardy les 16, 17 et 18 mars ou encore projection du film culte Les 10 commandements de Cecil B. DeMille les 30, 31 mars et 1er avril : le programme de ce début 2012 est délicieusement chargé. Et pourtant, côté finances, Bill Field avoue que ce n’est pas toujours rose : “Les recettes générées par les entrées ne suffisent pas. Heureusement qu’on peut compter sur les dons de certains irréductibles”. Reste donc à souhaiter à Bill Field que l’enthousiasme actuel pour le cinéma muet suscité par « The Artist » et « Hugo Cabret » profitera à son bébé.

Renseignements pratiques : (310) 322-2592 ou http://oldtownmusichall.wordpress.com

 

Placido Domingo hausse la voix à l’Opéra de LA

Le ténor Placido Domingo s’est transformé en baryton quand il a endossé, en 2010 au Metropolitan Opera de New York, les habits de Simon Boccanegra dans l’opéra de Verdi du même nom. A partir du samedi 11 février, il incarnera le rôle de ce Doge en proie aux tumultes du pouvoir, à l’Opéra de Los Angeles, sous la direction du chef d’orchestre James Conlon.

Simon Boccanegra raconte les secrets d’une famille partagée entre patriciens et plébéiens dans la Venise du XIVème siècle. L’œuvre est considérée comme l’opéra le plus dramatique de Verdi.

Infos pratiques :

Simon Boccanegra, à partir du samedi 11 février à 19h30, Los Angeles Opera, 135 N. Grand Avenue, Los Angeles.

 

 

Auguste Renoir à l'honneur à la Frick

La Frick Collection propose à partir du mardi 7 février une exposition sur Auguste Renoir. Neuf tableaux emblématiques seront présentés dont La Parisienne (1874) ou Les Parapluies (1881 et 1885). Les neufs pièces, verticales et en grand format, sont des portraits et des scènes de vie que Renoir a réalisés à la fin du XIXème siècle. Ces tableaux sont considérés comme des pièces maîtresses du mouvement impressionniste.

Infos pratiques :

“Renoir, Impressionism, and Full-Length Painting” The Frick Collection. 1 East 70th Street. Ouvert du mardi au samedi de 10h à 18h et le dimanche de 11h à 17h. L’entrée est à $18, $15 pour les étudiants. Donation libre le dimanche de 11h à 13h. 212.288.0700. Site internet: www.frick.org

 
 

Le Met cède à la caricature

Le Metropolitan Museum présente une exposition consacrée aux caricatures et satires, de la Renaissance italienne jusqu’à aujourd’hui. Cette rétrospective est principalement composée d’oeuvres appartenant à la collection du Département des images et gravures du Musée. Elle contient des travaux réalisés par des artistes classiques comme Francisco de Goya, Henri de Toulouse-Lautrec, Eugène Delacroix ou Léonard de Vinci, mais également les oeuvres plus récentes de Al Hirschfield, connu pour ses portraits de célébrités, ou David Levine, caricaturiste historique du New York Review of Books. Une exposition qui dévoile des oeuvres peu connues et permet d’apprécier un aspect du travail de peintres célèbres souvent passé sous silence.

Infos pratiques :

« Infinite Jest, Caricature and Satire from Leonardo to Levine », jusqu’au 2 mars au Met, 1000 5th Avenue.

 

 

David Guetta retrouve New York

Le DJ mondialement connu David Guetta sera au Roseland Ballroom le jeudi 9 février pour une soirée qui s’annonce aussi folle qu’une nuit à Ibiza. Organisateur de soirées, producteur (pour 50 Cent et les Black Eyed Peas notamment) et DJ, tout ce que touche le businessman-artiste se transforme en or.  Avec une dizaine de hits au sommet des classements mondiaux, David Guetta enchaîne les collaborations fructueuses avec des stars américaines telles que Nicki Minaj, Usher ou Rihanna. Il a été élu meilleur DJ de l’année en 2011 par le magazine spécialisé DJ Mag. Bien que propriétaire du célèbre Pacha Club à New York, c’est au Roseland Ballroom que le Français viendra mixer. Il se rendra également dans d’autres localités de l’Etat de New York et du New Jersey.

Infos pratiques :

– David Guetta, le 9 février au Roseland Ballroom, 239 West 52nd Street, tickets à $107.

 

Delphine de Vigan à la Maison Française de NYU

La Maison Française de New York University (NYU) invite la romancière Delphine de Vigan pour une conversation intitulée « French Literature in the Making ». Auteure à succès, elle a notamment écrit le roman No et Moi sur la rencontre entre une jeune surdouée et une adolescente SDF, qui a reçu le Prix des libraires en 2009 et a été adapté au cinéma en 2010 par Zabou Breitman. En 2011, l’auteure, qui travaillait auparavant pour un institut de sondage, a reçu le Prix Renaudot des lycéens pour son roman Rien ne s’oppose à la nuit qui évoque la maladie de sa mère au travers de l’histoire de sa famille. La conférence sera animée par Olivier Barrot, journaliste et écrivain.

Infos pratiques :

Conférence avec Delphine de Vigan, le 6 février à 19h à la Maison Française de NYU, 16 Washington Mews. Entrée libre et gratuite. Site ici