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L'enfant terrible de la mode au Met

De la tant attendue robe de mariée de Kate Middleton, signée Sarah Burton, directrice artistique de la maison McQueen, à l’inauguration événement de la rétrospective Savage Beauty lors du gala annuel du Met lundi, Alexander McQueen n’a pas fini de faire parler de lui.

Un peu plus d’un an après sa disparition prématurée qui bouleversa le monde de la mode, le couturier britannique entre au sacro-saint Metropolitan Museum, et par la même occasion, au Panthéon des artistes les plus visionnaires de sa génération. «McQueen était un véritable artiste, qui utilisait la mode comme son moyen d’expression», commente Thomas P. Campbell, le directeur du Met. Ses créations emblématiques, une centaine de tenues et presque autant d’accessoires, sont ainsi exposées comme des oeuvres d’art à part entière. Savage Beauty retrace les deux décennies de création, de ses premiers pas en 1992 durant ses études à la Saint Martins de Londres à Plato’s Atlantis (SS 2010), dernière collection qu’il réalisa entièrement.

Pour cette ultime collection, McQueen avoue d’ailleurs s’être inspiré de L’Origine des espèces de Charles Darwin (1859). Pas si étonnant au regard de ses collections antérieures, truffées de références historiques et culturelles, d’Edgar Allan Poe à Tim Burton. McQueen étant fasciné par la période victorienne et le romantisme du XIXe, la rétrospective s’articule autour de thèmes de cette époque, et indispensables pour saisir son travail – individualisme, historicisme, nationalisme, exotisme, primitivisme et naturalisme. Récurrentes aussi, les allusions autobiographiques, notamment à ses origines écossaises dans Highland Rape (AW 1995), ainsi que l’antagonisme entre la vie et la mort: une obsession que McQueen mettait au scène aussi bien de façon macabre que poétique, comme cette robe de fleurs fraîches désormais séchées de la collection Sarabande (SS 2007). À l’instar du « Cabinet de Curiosités », pièce centrale de l’exposition qui ferait presque penser à une salle des tortures, McQueen n’hésitait pas non plus à flirter avec l’esthétique gothique voire SM, quitte à choquer.

Une volonté de provoquer publiquement assumée dans ses défilés peu conventionnels, véritables happenings artistiques avant-gardistes, à contre-courant des critères traditionnels du milieu. De l’échiquier humain inspiré d’une scène du premier Harry Potter (It’s Only A Game SS 2005) à l’hologramme 3D de Kate Moss (AW 2006), le « hooligan de la mode » avait le sens du spectacle. Des shows extravagants qui ne l’ont pas pour autant empêché de faire descendre ses créations des podiums jusque dans la rue, du pantalon taille basse au tartan, en passant par l’imprimé tête de mort, pour finalement marquer l’histoire, au-delà des frontières de la mode.

« Alexander McQueen : Savage Beauty »
Du 4 mai au 31 juillet 2011
Metropolitan Museum of Art
1000 5th Ave
New York, NY 10028

Les chambres avec vues du Met

En 1805 le peintre romantique allemand Friedrich se prend à dessiner la vue sur le fleuve Elbe qu’il aperçoit de son atelier de Dresde. La lumière extérieure irradie et ne parvient pourtant pas complètement à éclairer le sombre intérieur où réside l’artiste. L’émotion qui se dégage de ce simple dessin inspirera les romantiques qui feront de la fenêtre un thème récurrent en peinture.
A l’occasion de l’exposition Rooms with a View le MET rassemble donc les œuvres d’une dizaine de peintres romantiques d’Allemagne, d’Autriche, du Danemark et de France autour du thème de la fenêtre.
Rooms with a view c’est d’abord l’occasion de découvrir des artistes méconnus, notamment des peintres Scandinaves tels que Martinus Rørbye ou Johan Christian Dahl. On les rencontre dans ce qui est souvent leur environnement de travail et au travers de ces fenêtres on aperçoit les paysages qui furent la source inépuisable d’inspiration du mouvement. Certains, la vue sur l’église Saint-Eustache par exemple, vous seront sûrement familiers…  Les explications fournies sont riches, pertinentes et offrent une compréhension réelle des thématiques romantiques.
On retrouve donc dans cette peinture les thèmes chers au mouvement, la solitude des hommes, la fascination pour la nature et bien sûr la symbolique des désirs inatteignables illustrée par ce fascinant travail sur la proximité et l’éloignement, initié par Friedrich et bien souvent retrouvé.
C’est peut être finalement les dessins qui concentrent le mieux cette émotion brute qui se dégage de ces lieux portant en eux les émotions des artistes. On retrouve ainsi les jeux fascinants de miroirs, de symétrie et de perspective de Hummel et la sobriété d’un dessin du symboliste Odilon Redon vient détonner, suggérant d’ores et déjà l’avenir du mouvement.
Ainsi donc si le côté parfois didactique des premières salles vous rebute n’hésitez pas à vous rendre directement vers la salle des dessins, à la fois très différente elle vous permettra aussi de poser un regard nouveau sur les peintures.
Quand? Jusqu’au 4 juillet.
Où? The Metropolitan Museum of Art, 1000 Fifth Avenue
Combien? Donation suggérée 20$.

Si Hergé m'était conté

Pierre Assouline a publié la biographie de Hergé en 1996. A la Maison française de New York University, il parlera en détail de l’homme qui créa l’un des plus célèbres personnages de bandes dessinés  de la planète. L’homme, considéré comme le père de la bande dessinée européenne, eut également une vie mouvementée.
Quand ? Lundi 9 mai 2011, à 19h
Où ? MAISON FRANCAISE DE NYU, 16 Washington Mews (corner of University Place).
Combien ? Gratuit
Pour plus d’informations, téléphonez au (212) 355-6160

"Francis Alÿs, A Story of Deception"

Pour « Francis Alÿs: A Story of Deception », le Museum of Modern Art expose les travaux de l’artiste originaire d’Anvers dans son bâtiment de midtown, mais aussi de l’autre côté du Queensboro Bridge, au PS1. Un choix loin d’être anodin, puisque c’est Francis Alÿs qui avait organisé la « Modern Procession » à l’occasion de la délocalisation temporaire du musée dans le Queens (pour cause de rénovation) entre 2002 et 2004.

Des archives de ce cortège symbolique sont exposées au MoMA PS1, au côté d’autres projets réalisés par l’artiste tout autour du monde, de Londres à New York en passant par Venise.

Mais c’est surtout à Mexico, où il est installé depuis 1986, qu’il a réalisé ces travaux emblématiques. Profitant de son statut d’« outsider », il explore les réalités sociales mexicaines et sud-américaines, et met en lumière des enjeux comme la modernisation de la société, le paysage urbain et le progrès économique.

En plus de vidéos, peintures, dessins et installations en tout genre, le musée présente depuis le stade de la conceptualisation à celui de la réalisation plusieurs performances inédites. Pensées à plus ou moins grande échelle, l’artiste s’y met d’ailleurs souvent en scène : dans Re-enactments (2001), Alÿs déambule dans les rues de Mexico un pistolet chargé à la main. Il se fera arrêter au bout de quelques minutes, mais finira par mettre les autorités locales de son côté… Dans When Faith Moves Mountains (2002), 500 bénévoles armés de pelles entreprennent de déplacer une dune de sable au Pérou. L’artiste montre ainsi comment les efforts déployés et leurs résultats peuvent être disproportionnés, et fait de cette performance, comme de beaucoup d’autres, une métaphore de la société mexicaine, sans pour autant la tourner en dérision.

Francis Alÿs: A Story of Deception
Du 8 mai au 1er aout

MoMA – 6e étage, 11 West 53 Street, Manhattan, NYC

MoMA PS1 – 1er étage, 22-25 Jackson Ave (et 46th Avenue), Long Island City, Queens, NYC

photo : extrait de When Faith Moves Mountains (2002) © 2011 Francis Alÿs

Dans la tête de l'artiste monastique

Partez à la découverte des manuscrits anciens, c’est partir dans un autre monde. Avec Patricia Stirnemann, spécialiste du sujet, vous comprendrez mieux la naissance et l’évolution de cet art si particulier. Le style, la technique et l’iconographie des artistes de l’époque étaient fortement liés à l’environnement du 11e et 12e siècle. Elle vous fera pénétrer dans l’esprit des créateurs. Expérience à ne pas manquer.
 
Quand? Mardi 10 mai 2011, à 17h
Où? A la Maison Française de l’Université de Colombia, Faculty House Room 2.
Buell Hall, 2nd Floor Broadway Boulevard at West 116th Street. NY.
Combien ? Gratuit.

Dominique Keegan, de Lourdes aux clubs de NY

Dominique Keegan est, avec Marcus Lambkin (DJ Shit Robot), le fondateur de PLANT music, fameux label indépendant à ramifications nombreuses dont Plant Bar et autres projets musicaux inventifs. On devine sa belle destinée sachant qu’il est né à Dublin, de père Irlandais et de mère Française, originaire de Lourdes, où il sera baptisé. Son enfance est imprégnée de culture Française car il passe pratiquement toutes ses vacances scolaires dans différentes régions de France, et va à l’école Française de Dublin de 4 à 7 ans. Il se souvient ensuite d’une scolarité difficile dans une école Irlandaise catholique et stricte jusqu’à l’age de 13 ans, qui le pousse à fuir la conformité et tenter les 400 coups. Il plonge alors dans la musique en commençant par la basse et le chant. Il aime le rock des années 60 et 70, David Bowie, Velvet Underground, et New Order qui restera longtemps son groupe favori. Il aime ensuite la soul, la funk, fait partie de nombreux groupes et commence à organiser des soirées ; il gagne d’ailleurs à l’age de 15 ans pas mal de sous en négociant avec les clubs des soirées spéciales « mineurs » sans vente d’alcool qui attirent énormément de jeunes.
Il rêve de mixer mais la technologie n’existe pas vraiment encore à l’époque. Arrive ensuite avec le Hip Hop la musique samplée, où il reconnaît les tubes disco, funk ou soul qu’il aime tant. Il se met donc lui aussi à sampler et remixer des tubes qu’il aime, et commence vraiment comme DJ en 1994 en arrivant à New York, après avoir obtenu son diplôme d’histoire à Trinity College et gagné sa carte verte à la loterie. Il cherche à travailler dans la musique et décroche son premier job pour le label de Hip Hop Tuff City. Il achète des platines et s’entraîne chez lui le soir n’ayant pas vraiment d’argent pour sortir. Un jour il rencontre Marcus Lambkin avec qui il commence à organiser des soirées. Ils s’associent plus tard avec Mariano & Nickodemus et commencent des soirées en plein air, précurseurs des « Turntables on the Hudson ». Débute alors une longue, folle et brillante carrière de DJ/producteur/promoteur où Dominique mixera avec les plus grands DJs du monde entier, dans les salles les plus connues et les ambiances les plus extraordinaires.
Il monte en 2003 le groupe The Glass et sort un premier maxi avec le label allemand Fine Records (sous-label de Sony). Il sort aussi sur PLANT music les compilations The Sound of Young New York (des jeunes producteurs de House et Indie Danse) qui marchent très bien, et tourne parallèlement beaucoup comme DJ.
En 2005, il rencontre DJ Stretch Armstrong qui devient son nouveau partenaire chez PLANT music et signe ainsi pour la première fois des artistes avec des éléments de Hip Hop.
Dominique a également travaillé comme consultant A&R pour RCA, et plus récemment pour Epic Records.
Il a aujourd’hui mixé aux cotés de Felix Da Housecat, DJ Sneak, Chemical Borthers, Basement Jaxx, Etienne de Crecy, Derrick Carter, Roger Sanchez ou Fatboy Slim, et attribue une bonne partie de son succès et de ses compétences comme DJ au fait d’avoir observé ces monstres et génies du nightclubbing. Il continue à tourner avec The Glass, comme DJ, et souhaite faire évoluer son label en devenant également éditeur.
Ses meilleurs souvenirs comme DJ et promoteur restent les Transmusicales de Rennes, un des seuls endroits où il a pu mélanger le rock et la dance et faire délirer la foule, et la première du groupe The Bravery au club Avalon face à 2000 adolescents en transe.
 
Dominique organise tous les mercredis une soirée House/Disco à SARGENT (sous-sol de l’hôtel Chantelle – 92 Ludlow) avec de nombreux DJs invités de talent.
Il mixe également tous les samedis à Cayenne sur Houston, et une fois par mois à Submercer.
 

www.facebook.com/dominiquekeegan
www.facebook.com/theglass
www.facebook.com/plantmusic
www.soundcloud.com/dominiquekeegan
www.myspace.com/theglass

 
Ses bons plans soirées
 
Le Bain dans l’hôtel Standard le dimanche : toujours des bons DJs !
Submercer lorsqu’Eli Escobar mixe (un ou deux jeudis par mois)
Les soirées Lets Play House dans différents endroits
Les soirées en plein air comme les soirées BEST du dimanche, celles de Justin Carter ou de Eamonn Harkin
 
Certaines soirées légendaires reviennent de temps en temps et sont à ne pas manquer : soirées « Body & Soul » ou « Old school NY Garage »
 
 
Ses endroits favoris
 
Motor City sur Ludlow : un de ses bars favoris pour écouter de la musique rock
Le Cameo à Williamsburg ou autres petites salles locales
 
 
Une Playlist reflet de sa carrière
 
90s
DJ Sneak – You Can’t Hide from That Bud
Joey Beltram – Enegry Flash
Xpress 2 – Musik
Tsunami One – No. 42 with Fried Rice
Bob Sinclair – The Ghetto (Ian Pooley Remix)
Le Night Club – Cherie D’Amour
 
2000s
The Glass – Won’t Bother Me
The Rapute – House of Jealous Lovers
The Stills – Still in love Song (12” Mix)
 
2010s
Eli Escobar – Love Thing part 2 (DJ Mehdi Remix)
The Glass – Four Letter (Black Van Remix)
Azari & III – Into The Night (Prince Language Remix)
 

Les Chaises peuvent rendre fou

Eugène Ionesco est l’un des plus grands dramaturges du théâtre de l’absurde. Les Chaises sont un parfait exemple du style Ionesco.
Un couple de vieillards reçoit de nombreux invités chez eux. Sur scène, seuls, les vieillards évoluent dans une soirée aux discours illogiques, chacun contredisant l’autre. Ionesco est l’inventeur du mécanisme de prolifération, qui conduit petit à petit vers une perte de contrôle totale de la part des personnages, vers un étouffement. Une pièce de théâtre particulière donc. Vous avez jusqu’au 21 mai pour y assister au Noise Within.
Où ? Au Noise Within, 234 South Brand Boulevard . Glendale, CA 91204
Quand ? Jusqu’au 21 mai, du mercredi au dimanche, à 20h.
Combien ? De $32 à $46
Pour réserver vos places, cliquez ici

Broadway avant l'heure

Envie de sortir des sentiers battus des comédies musicales déjà vues et revues ? Le quatrième festival des nouvelles comédies musicales américaines (Festival of New American Musicals) se poursuit jusqu’au mois d’août. Au programme de nouvelles productions, des spectacles en cours de réalisation, des lectures, des conférences, des concerts…
Mêlant artistes accomplis et étudiants, ce festival est aussi devenu l’évènement où le gratin universitaire et les directeurs de théâtres viennent repérer les productions et artistes de demain.
Au mois de mai, vous pourrez découvrir les productions Lonesome Traveler; The Boy In The Bathroom; Beautiful; Thankyou, Mr. Falker; Cloudlands; iGhost; Krunk Fu Battle Battle; Moscow, Cherry Town; Bash’d et Wednesdays at the Barre.
Quand ? Jusqu’au 28 août.
Combien ? Entre 20 et 60$. Pour plus d’infos sur les spectacles, les tarifs et les locations consultez le site du Festival of New American Musicals.

31e édition du Picnic des Chefs au Vasa Park

Le rendez-vous préféré des foodies de Californie est de retour !

Cette année encore, le pique-nique en pleine nature du Club Culinaire réunit les grands chefs de Los Angeles, pour une journée placée sous le signe de la gastronomie sans prise de tête.

Au menu de cette 31e édition, spécialités régionales françaises (pâtés, quiche Lorraine, pissaladière, tapenade, ratatouille, éclairs au chocolat, clafoutis, gaufres….), plateau de fromages géant et baguette fraiche, le tout accompagné d’une trentaine de vins différents.

Mais le Picnic est avant tout un rendez-vous familial et convivial, avec musique live, vente aux enchères silencieuse, tournoi de pétanque, tombola ($2) et pleins d’attractions et d’animations réservées aux enfants (piscine, mur d’escalade, compétition de dessins…) !

Où ? Vasa Park, 2854 Triunfo Canyon Rd, Agoura Hills, CA 91301, Tél: (949) 295-0506

Quand ? Dimanche 22 mai de 11h30 à 16h30

Combien ? 50$ pour adultes, 20$ pour les 10-21 ans, 10$ pour les 3-10 ans, gratuit pour les moins de 3 ans (TOUT COMPRIS)

Réservations ici

L'afrobeat de Femi Kuti

Qui n’a pas dansé sur les rythmes endiablés du compositeur nigérien Fela Kuti qui devint une icône de la résistance contre le colonialisme puis les dictatures militaires au Niger ? Le succès de la comédie musicale biographique Fela ! à Broadway a plus que jamais remis l’artiste d’actualité.
Fils aîné de Fela, Femi Kuti avait repris à la mort de son père la direction du club Africa Shrine. Il n’a depuis cessé de s’imposer comme une figure majeure de l’Afrobeat, créant son propre groupe The Positive Force en 1985.
Venez vous déhancher au El Rey pour une soirée qui s’annonce d’ores et déjà comme l’évènement musical à ne pas manquer.
Où ? El Rey Theater, 5515 Wilshire Blvd., Los Angeles, CA 90036
Quand ? Jeudi 12 mai 2011 à 19h.
Combien ? A partir de 50$, dépêchez-vous les prix augmentent ! Achat des tickets en revente sur Stubhub.com.

L'art contemporain pour tous les budgets

Le leitmotiv de l’Affordable Art Fair : rendre l’art contemporain accessible à (presque) toutes les bourses.
Amsterdam, Bristol, Bruxelles, Londres, Melbourne, Milan, Singapour, Sydney… Désormais présente dans neuf villes, l’AAF est devenue une véritable institution, et a définitivement prouvé qu’il n’est pas nécessaire d’être un spécialiste ou de rouler sur l’or pour acquérir une oeuvre d’art.

L’édition new-yorkaise 2011 n’échappe pas à la règle, puisque les trois quarts des oeuvres exposées seront proposés à moins de $5000. Difficile de ne pas craquer, surtout que la qualité est au rendez-vous, et que les jeunes talents de la scène mondiale de l’art contemporain ne demandent qu’à être découverts.

Cette année, plus de 75 exposants internationaux se sont déplacés, dont deux galeries parisiennes, Envie d’art (stand D6), déjà représentée en 2010, et Arlev Art (stand A12). A noter aussi, l’AAF 2011 innove, en proposant pour la première fois dans l’histoire des foires d’art une section entièrement consacrée aux artistes féminines, Art x Women.

Enfin, ce week-end, la conférence « Taking the Intimidation Factor Out of Collecting Artwork » donnera la parole aux professionnels, qui viendront livrer leurs conseils à l’apprenti collectionneur qui sommeille en vous.

Où ? 7 West 34th Street, New York
Quand ? Du jeudi 5 au dimanche 8 mai
Combien ? $20, $15 pour les seniors et les étudiants. Gratuit jeudi 5 mai de 18h à 20h. Gratuit pour les mamans accompagnées de leur progéniture le jour de la fête des mères (dimanche 8).
Billets en vente ici

Et pour les inconditionnels, l’AAF NYC Fall 2011 aura lieu du 22 au 25 septembre prochain.

Fabien Castanier ouvre sa galerie à Studio City

Commissaire d’exposition et marchand d’art, le Parisien installé en Californie Fabien Castanier vient d’ouvrir une nouvelle galerie à Studio City.
Jusqu’au dimanche 29 mai, vous pourrez y découvrir les travaux des figures du pop art à la française Eric Liot, Speedy Graphito, Cédric Bouteiller et Jean-Claude Cuenca. On retrouvera aussi des oeuvres des artistes Damien Hirst, Gigi Bio, Eric Bottero, Mathieu Tonetti ou Marc Valesella.
Fabien Castanier Gallery
12196 Ventura Blvd
Studio City CA, 91604
photo : Speedy Graphito | Trash Love