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Afterwork à l'Hudson Terrace

Vous pouvez confirmer votre présence sur l’évènement Facebook dédié !

Quand ? Jeudi 12 mai 2011, à partir de 19h

Où ? Hudson Terrace: 621 West 46th St, entre 11th et 12th, NY.

Combien ? Gratuit !

Pour plus d’informations sur l’Hudson Terrace, cliquez ici.

http://www.lafterworks.com/

Broadway, me voilà!

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Il n’avait jamais mis les pieds à New York. Aux Etats-Unis guère plus: son premier voyage date de 2010, lorsqu’il fit le déplacement d’Hollywood pour participer à la cérémonie des Oscars, auxquels il avait été nommé pour une chanson de “Faubourg 36”, de Christophe Barratier. Cette fois, le voyage new-yorkais est purement exploratoire. Il vient recontrer, au hasard des recommendations, des réalisateurs, des confrères musiciens. Et des agents bien sûr: lui qui “travaille à la poignée de main” en France sait bien que s’il veut s’implanter dans le paysage américain il lui faudra en passer par là.
De ce côté de l’Atlantique, Reinhardt Wagner est un inconnu et un débutant. Et c’est peut-être ce qu’il vient chercher. Car en France, sa réputation est faite. A 55 ans tout juste sonnés, avec plus d’une quarantaine de musiques de films à son actif (pour Jean-Jacques Beineix, Philippe Labro, Pascal Thomas, Roland Topor…), des musiques de scène et comédies musicales (“René l’énervé”, de Jean-Michel Ribes, au Théâtre du Rond Point à Paris fin 2011…), des chansons (pour Guesh Patti…), le compositeur a croisé tous les genres.
Il y a d’ailleurs a obtenu un Prix Charles Cros en 2004 (pour “Joséphine et les ombres”, opéra écrit avec Roland Topor), une Etoile d’or du cinéma en 2009 (prix de la critique), entre autres nomination aux César pour la BO de “Faubourg 36”. Sans oublier l’incontournable médaille en chocolat pour grandes personnes, un insigne de chevalier des Arts et Lettres en 2009.
De LA à NY
Mais revenons une mesure en arrière : “Faubourg 36”. Le film de Christophe Barratier (par ailleurs réalisateur du phénoménal succès “Les Choristes”) a valu à Reinhardt Wagner une distinction aussi inattendue (par lui !) que prestigieuse. Sélectionné aux Oscars en 2010, catégorie meilleure chanson, pour “Loin de Paname”, il n’a finalement pas remporté l’encombrante statuette. Mais quand on a pour challengers Randy Newman ou Maury Yeston (“Nine”)… on se console sans trop de peine !
A défaut de récompense ce détour par LA lui a donné des idées de conquête de l’Amérique et des envies d’inscrire ses notes là où, hier, Maurice Jarre a brillé, rejoignant ainsi le petit cercle des Français qui font leur miel à Hollywood, tel Alexandre Desplat, pour ne citer que le plus visible d’entre eux.
Le compositeur n’a ni appréhension ni complexe. Il sait bien que le balancier… balance ! Mauvais élève revendiqué ayant quitté le lycée en 4e, il allait ensuite rafler tous les prix : d’harmonie, de contrepoint, de composition… au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, complétant sa formation au Collège de France à l’écoute des cours d’un Maître un peu marteau, Pierre Boulez. Rien ne peut donc plus lui faire peur…
 
Au détour d’un bar de Greenwich…

Compositeur protéiforme dont les influences sont peut-être à chercher du côté de l’Italie (Nino Rota, Nicolas Piovani, Ennio Morricone…), amoureux de Stravinski et de Ligeti, Reinhardt Wagner est un insatiable gourmand de musique, qui s’est essayé à tous les styles… Car il n’y a pour lui de genre ni majeur ni mineur, rien que de la musique.
Ajoutons que ce musicien tout-terrain est également, à la ville, un joyeux compagnon de fort aimable humeur, doué de la rare capacité de ne jamais se “prendre la tête”.
Dans les jours qui viennent, guettez du côté du piano dans les bars de Greenwich. Vous pourriez bien l’entendre, poussant la chansonnette au débotté.
Ne serait-ce que pour cette formidable décontraction, l’Amérique est à sa portée!
 
Jean-Louis DERENNE
 

Rendez-vous francophone autour d'une bière

Le rendez-vous sera amical et bon enfant. Les 20 premiers arrivés se verront offrir une bière. Et trois fois durant la soirée, il sera possible de gagner des lots offerts par les bières Jenlain et Pietra.
Attention, paiement par cash ou Amex uniquement
Quand ? Le jeudi 12 mai, de 18h à 22h30.
Où ? Au Restaurant Arcane, Avenue C entre 7th et 8th St.
Combien ? Gratuit.

Achetez des nuages pour l'Afrique

Les nuages sont le symbole de l’eau dépassant les frontières. C’est le message que Vicky Colombet qui a offert ces oeuvres au service de l’ONG About Water qui aide les populations pauvres à accéder à l’eau.
Quand ? Le jeudi 12 mai 2011, de 19h à 21h.
Où ? Haim Chanin Fine Arts Gallery, 121 W 19th Street, 10B, New York, NY 10011
Combien? Gratuit
Pour plus d’informations sur l’association, cliquez ici.

La fondation Jérôme Lohez choisit ses lauréats

Fondée par sa veuve Dening Lohez, la fondation Jérôme Lohez oeuvre à l’amitié franco-américaine en encourageant les collaborations uninversitaires. Cette année, la fondation récompensera trois jeunes gens au parcours impressionnant:

  • Paula Henin (France, London School of Economics – Université Paris I Panthéon-Sorbonne – Columbia University Law School)
  • Hélène Franchineau (France, Sciences Po – Columbia University Graduate School of Journalism)
  • Alban Pétré (France, Ecole Pour L’Informatique et Les Techniques Avancees – Stevens Institute of Technology)

La Fondation récompensera également deux institutions pour leurs efforts dans les échanges franco-américains : L’Ecole pour l’Informatique et les Techniques Avancées (EPITA) à Paris et Stevens Institute of Technologiy à Hoboken aux Etats-Unis.
Se tiendra ensuite un cocktail avec un concert des étudiants de la Juilliard School of Music. L’occasion de rencontrer des personnalités attachées aux collaborations scolaires et économiques entre la France et Les Etats-Unis.

Quand ? Le jeudi 12 mai 2011, à 18h30
Où ? Aux Services Culturels, 972 5th Avenue, New York
Combien ? $75 ($35 déductible), étudiants $40

Des inconnus vous ouvrent leur maison au nom de l'art

7 maisons de particuliers d’un même quartier regroupent différentes œuvres d’art en fonction des styles. Ne soyez pas timide et parcourez-les pour découvrir les artistes de l’association de Westchester Accueil. Le côté chaleureux d’un tel événement permet d’être plus réceptif aux œuvres que dans un musée parfois froid. On se sent presque chez soi et la discussion avec les artisans et artistes est plus facile.
De plus, chaque année 15% du bénéfice des ventes est reversée à diverses associations. L’année dernière, la Promenade des Artistes  a versé plus de $9000 grâce aux nombreux visiteurs.
Quand ? Le vendredi  13 (de 10h à 15h) et samedi 14 mai 2011 (de 11h à 18h)
Où ? Au Larchmont Village, dans le comté de Westchester (Nord de Manhattan)
Combien ? Gratuit
Pour plus d’informations, cliquez ici.
Pour voir les adresses exactes des maisons, cliquez ici.

Luc Hardy, venture capitalist avec une âme

Il vous parle de ses investissements dans des start ups de la Sillicon Valley avec la même passion discrète qu’il met à raconter ses aventures au bout du monde. D’ordinaire, un capital-risqueur (venture capitalist) n’a guère de cicatrices à montrer. Mais ces jours-ci, les mains de Luc Hardy portent encore les traces de son dernier voyage, en avril: quelques engelures contractées pour avoir enlevé ses gants et prendre des photos de son arrivée au Pôle Nord. « C’était sans doute l’expédition la plus difficile physiquement que j’ai jamais faite », explique-t-il. Près de 250 kilomètres à pied, depuis la base russe de Barneo, par des températures de -45° C, accompagné d’un guide professionnel et de quatre autres compagnons dont un adolescent de 16 ans. Et tout ça pour quoi? « Pour voir le Pôle, cet endroit magique, mythique ».

Luc Hardy n’en était pas à son coup d’essai. « Aventurier amateur » depuis des années, il est allé dans tous les endroits lointains et inhabités qu’il a pu trouver. Mais il y a une dizaine d’année, sa quête a pris une dimension supplémentaire. D’abord avec l’équipe Cousteau, puis désormais avec Green Cross International,  (l’ONG fondée par Michael Gorbatchev et dont Luc Hardy est le secrétaire général pour la France) il utilise ses voyages pour sensibiliser le monde, et d’abord la jeunesse, à l’état de la planète. « On n’est pas là pour pleurer, se lamenter, mais pour dire ce qui se passe“. Et ce qui se passe, il l’a vu dans cette dernière expédition au Pôle: « on a vu des changements dans la période de reproduction des oiseaux, on a mesuré l’épaisseur des glaciers et vu à quel point la fonte est rapide. Dans vingt ou trente ans, on ne pourra même plus marcher au Pôle Nord en été, car il n’y aura plus de glace ! »

L’aventure a un prix : jusqu’à 200.000 dollars pour une expédition dans l’Arctique… Luc Hardy trouve des sponsors, mais il en est à chaque fois de sa poche. « Finalement, c’est ça le lien entre mon activité professionnelle et les expéditions : l’une finance les autres ». Pour le reste, contrairement à d’autres venture capitalists avec une conscience verte, qui investissent massivement dans les énergies alternatives par exemple, lui se méfie du mélange des genres. « Je ne veux pas faire de business pour de mauvaises raisons vertes ».

Ses investissements sont orientés principalement vers l’internet. Sa société Sagax est actionnaire d’une trentaine de petites sociétés, à des stades plus ou moins avancés de développement (Totsy, Producteev ou encore Lending Club, un site d’emprunts entre particuliers, qui a levé 55 millions de dollars d’investissement). Dans la majorité des cas « ces sociétés ont un ADN français, soit parce que la société est à l’origine française, soit parce que le créateur est français », souligne Luc Hardy. Basé à Greenwich (CT), où il habite avec sa femme Mary et leurs deux filles, ce Breton reste « passionnément attaché à la France », même s’il habite aux États-Unis depuis 28 ans.

La prochaine aventure de Luc Hardy n’implique pas de voyage. Mais la nature est encore au cœur du projet. Il s’agit d’importer à New York Nature Capitale, cette spectaculaire « œuvre végétale » conçue par Gad Weill, qui avait l’an dernier transformé les Champs Elysées en champs immenses. Les discussions ont commencé avec la ville de New York. Réponse définitive à la fin du mois, mais si l’obstiné aventurier parvient à ses fins, Times Square aura pendant le week-end de Memorial Day 2012 des allures de champs fleuri.
Retrouver le récit de l’expédition polaire de Luc Hardy.

Le "Quotagate" vu par l'Amérique

Révélé par Mediapart, le scandale des quotas compromettant notamment l’entraineur des Bleus Laurent Blanc (finalement mis hors de cause mardi), n’est pas non plus passé inaperçu outre-Atlantique. L’affaire, déjà surnommée par les médias le « Quotagate », a surtout été l’occasion pour les journalistes US de se remémorer avec nostalgie les grandes heures du football français. « Que serait le football mondial sans les Français?» interroge le New York Times, rappelant que c’est bien à Paris que la Fédération Internationale de Football Association (FIFA) fut fondé en 1904. Et surtout «qu’aurait gagné la France sans» des joueurs comme Thuram, Henry, Desailly, Vieira ou encore Zidane ? L’équipe « black-blanc-beur » qui a fait rêver le monde entier en 1998, outre ses exploits sportifs, était aussi un véritable symbole du « melting-pot ethnique » et l’« exemple même d’une France moderne et multiculturelle », ajoute le Los Angeles Times. Heureusement que les médias américains sont là pour redorer un peu le blason du ballon rond français… dommage qu’il faille remonter près de treize ans en arrière !

Le cliché du Français impoli a encore la vie dure, et à en croire un incident relaté dans le Daily News, ce n’est pas Benjamin Millepied, futur M. Natalie Portman, qui va le contredire. Décoré de la médaille d’honneur de La Maison Française jeudi soir, le chorégraphe de Black Swan, décidément bien susceptible, aurait fait virer une journaliste du NY Times de la soirée organisée à NYU en son honneur. En cause : une question sur la grossesse de sa fiancée, jugée « inappropriée ». De quoi faire regretter aux Américains le temps des « Freedom Fries », va jusqu’à conclure le quotidien !
À la une enfin, la progression de l’enquête sur le crash de l’Airbus d’Air France. Après le repêchage d’une des boites noires, dont on vous parlait dans la revue de presse de la semaine dernière (lire ici), puis de la deuxième le lendemain, c’est cette fois la question de la remontée des corps qui fait parler d’elle. « Une phase peu réjouissante et controversée », lit-on dans USA Today, qui rencontre à la fois des « obstacles techniques et éthiques ». Si cette opération sans précédent « teste les limites de la science » (les corps reposent dans l’épave de l’avion à près de 4000 mètres de profondeur dans l’Atlantique, rappelle CNN), elle ravive aussi de douloureux souvenirs pour les familles de victimes. Pour le PDG d’Air France Pierre-Henri Gourgeon, cité dans le Washington Post, il s’agit tout de même d’une « percée décisive » dans l’enquête sur la « catastrophe la plus meurtrière dans l’histoire de la compagnie » et de l’aviation française, que le New York Times, dans un (très long) article, n’hésite pas à comparer au naufrage du Titanic. Des témoignages sensationnalistes des familles « très divisées », une « mise en examen d’Air France et Airbus pour homicides involontaires » (San Francisco Chronicle), et il n’en fallait pas plus à la presse américaine pour s’en donner à coeur joie.

 

Profession: mari d'expat

La vie des Hervé-Delassue déconcerterait plus d’un esprit conservateur. Sophie travaille alors que son mari Alexandre fait du volontariat dans une galerie d’art. A 30 ans, le Breton est ce qu’on appelle un «stay-at-home-dad». Il s’occupe du petit Tiago, un an, alors que la maman met l’argent sur la table. (Photo ci-contre: Sophie et Alexandre Hervé-Delassue avec leur fils Tiago).
Alexandre fait partie d’une nouvelle génération d’hommes qui ont décidé de suivre leur âme soeur à l’étranger pour le meilleur et pour le pire. Faute de statistiques, difficile de mesurer le phénomène, mais de plus en plus d’hommes acceptent de suivre leur femme dans l’expatriation. Le traditionnel “femme d’expat” se décline désormais au masculin. «On en voit de temps en temps. Cela a commencé en 2008, souligne Catherine Courrier, qui a présidé Accueil New York et lancé un club, AnyMâles, pour les membres masculins de l’association. La part des maris suivant leur femme reste limitée, mais ça arrive de plus en plus souvent.»
Catherine Courrier est bien placée pour parler du phénomène car elle fait elle-même partie de ces couples qui défient le modèle traditionnel des relations homme-femme. Après des années de navette avec les Etats-Unis, son mari Jean Lebreton a fait le grand saut transatlantique pour s’occuper d’Unipresse à New York, un organisme de promotion de la presse française dans le monde.
Il reconnaît avoir eu de la chance car il a «eu une activité tout de suite». Mais une dizaine d’entretiens formels et informels réalisés par French Morning révèle que pour d’autres hommes, l’expatriation est une réalité difficile à vivre, faite de frustration et de désillusion.
Partis pour leur femme, certains rament pour trouver un emploi une fois sur place, se heurtant à la crise économique et la barrière de la langue. Les papas d’enfants en bas age deviennent, eux, pères au foyer et doivent affronter le regard d’une société qui reste dominée par l’idée selon laquelle l’homme doit être le pourvoyeur familial. Chez l’homme, le sentiment de frustration, de baisse d’estime de soi, et de culpabilité chez la femme peut créer des dynamiques destructrices au sein des couples.
« Un trou d’un an et demi dans le CV est justifiable par l’enfant, mais deux ans ça commence à faire beaucoup » souligne Alexandre Hervé, qui a travaillé comme directeur de la communication à la Chambre franco-mexicaine de commerce au Mexique mais n’a pas retrouvé de travail remunéré à New York. « Il suffit de pas grand-chose pour rebondir, ajoute son épouse Sophie, qui travaille à la Société Générale. J’aimerais autant qu’il retrouve du travail car il se sentira mieux.»
«On est irascible, il y a des sautes d’humeur, une aggressivité latente. Je viens d’une famille de pieds-noirs : on pense que l’homme apporte. Et quelque part l’ego en prend un coup. Même si on est ouvert, c’est dur, admet pour sa part Laurent Canicio. Même si ce Français hyperactif auto-proclamé a fait le choix de prendre du temps “off” pour s’occuper de ses deux enfants, il dit que son nouveau statut n’est pas toujours facile à vivre. Je me sentais plus sûr de moi avant, il y a cette irritation latente qui revient de plus en plus. Si je reste deux ans dans cette situation, il y aura des conséquences sur mon couple et ma famille. Ce n’est pas un problème structurel, c’est conjoncturel
(Lire la suite de l’article sous le sondage)

Quelle est la raison de votre installation aux Etats-Unis?survey software

Toutefois, cela n’empêche pas beaucoup de maris de dire qu’ils ont bénéficié de l’aventure. Après huit mois de recherche d’emploi, Boris Deniau a ainsi réussi à trouver un emploi de directeur de travaux dans une société de rénovation d’habitations basée à New York. Il y travaille avec la riche clientèle française de la ville et de sa banlieue. « Ca a eu une incidence positive sur notre relation de couple. On s’est tous les deux épanouis ici.  J’estime avoir vraiment eu de la chance car c’était loin d’être gagné. Je suis content de l’avoir suivie. »
En France, Gérard Masson était lui professeur en lycée professionnel. Arrivé à New York avec sa femme, ce «at-home-dad» veut réveiller l’artiste qui sommeille en lui: « La situation est frustrante mais il faut arriver à dépasser sa frustration. Je me suis dit que j’allais me consacrer à un travail artistique», dit-il, comme il l’avait fait en France.
Pour Emmanuel de Lanversin, (qui a suivi sa femme employée d’une compagnie pharmaceutique et est depuis devenu éditeur spécialisé dans le vin), être père au foyer lui aura au moins offert un beau cadeau : « Avant ma femme et moi étions beaucoup dans la sous-traitance d’enfants, plaisante-t-il. Venir ici m’a permis de découvrir mon fils. »

Emile Servan-Schreiber

Age et lieu de naissance : 49 ans, né à Neuilly sur Seine
Nationalité(s) : Français, naturalisé américain en 1993
Situation Familiale : Marié, 3 enfants
Lieu d’habitation : Paris
Etudes : B.S., Carnegie Mellon (informatique) et Ph.D., Carnegie Mellon (psychologie cognitive)
Profession : Fondateur et Managing Director de Lumenogic, LLC, société américaine de management consulting spécialisée dans les applications de l’intelligence collective
Parcours Politique : Issu de la société civile, il s’engage aujourd’hui en toute indépendance. Tendance centre droit en France, démocrate aux USA.
Internet et réseaux sociaux : 
Site officiel : www.emile2012.com
Facebook : www.facebook.com/ServanSchreiber2012
Twitter : @emiless2012

La French Culture Night prend de la hauteur

La peintre Monika Nicolle et les sculptrices Anne de Villeméjane et Odile Grandet viendront présenter leurs oeuvres mercredi soir à l’occasion de la French Culture Night de mai.
Fidèle au poste, le percussionniste et DJ Manu Leger assurera l’ambiance musicale, pendant que les invités pourront profiter de la vue imprenable sur la skyline. De 18h30 à 19h30, ne manquez pas l’apéro happy hour, sponsorisé par Ricard et Kronenbourg.
Où ? Sky Room, 330 West 40th Street – 33e et 34e étage
Quand ? Mercredi 18 Mai
Combien ? $10 à l’entrée, gratuit pour ceux qui s’enregistrent préalablement sur le site avec le code FRENCHMORNING !
Pour plus d’informations, visitez le site www.FrenchCultureNights.com
 

American chic Vs chic à la française

Jusqu’au 8 mai, belles réductions chez Catherine Malandrino. Les blouses passent de $395 à $95, les jupes sont à $65 au lieu de $275 et les robes sont à $155 au lieu de $525. De nombreux autres prix réduits à découvrir.
Catherine Malandrino : 155 Fifth Ave., nr. 21st St.; Th–F (8–8), S–Su (10–7).
Pour dévoiler sa nouvelle collection “Prep World”, la marque du chic américain Tommy Hilfiger ne fait pas les choses à moitié. Un magasin éphémère a été construit, réplique de la maison à Montauk d’Andy Warhol. Jusqu’au 8 mai, vous pourrez découvrir 60 pièces en vente pour homme et femme. Après, le magasin part pour Los Angeles puit les plus grandes capitales mondiale. À saisir, dabardeur marin en cotton pour $45, shorts de plage à $88 ou encore blazers à $298.
Tommy Hilfiger 1 Little W 12th St at Ninth Ave. Thu 5–Sat 6 10am–9pm, Sun 8 10am–8pm.
Jusqu’au 8 mai, bijoux en mosaïque antique, médaillon en or ou en argent sont à 20% au Sarah’s Vintage & Handmade. Les prix vont de $25 à $275. Et il n’est pas obligatoire de dépenser énormment pour trouver son Bonheur: pour preuve des bijoux Celtiques en argent à moitié prix à partir de $20.
Sarah’s Vintage & Handmade: 65 E. 4th St., nr. Bowery (212-533-2307); T–S (1–8), Su (1–6).
Les fringues “style ancien” mais neuf, au prix de l’ancien … compris? Apropo réalise des soldes sur des designers de renoms. Les cardigans cachemire d’Avant toi ombré passent de $800 à $298, tandis que les vestes en cuir style motard de Giorgio Brato sont à $717 au lieu de $1650. Les sacs en cuir du même designers passé de $1600 à $695 et bien d’autres vétements et accessories connaissent les mêmes prix cassés, mais plus intéressants pour les petits porte-monnaies.  Vous l’aurez compris, les prix sont vraiment intéressants par rapport au prix de depart. Donc si vous êtes un fan de ses marques, c’est le moment de foncer!
Apropo: 76 Greene St between Broome and Spring Sts, second floor, 212-219-0151. Thu 5, Fri 6 10am–5pm.
Bijoux anciens et nouveaux à tout prix à saisir! La boutique Love Adorned propose un stock de bijoux très éclectique pour tous les portes-monnaies. De $50 à $10 000 (!!), il y a de tout. Diamants, pendentifs, boucles d’oreilles, sans comptez les réserves de pièces d’époques et antiques comme un médaillon de boussole vicotorien ou encore une bague des 60’s. Que vous soyez new school ou vintage, vous trouverez sans doute votre Bonheur!
Love Adorned: 269 Elizabeth St, nr Houston St. 212 431 5683
Le marché Vintage d’Hester Street vous promet de nombreuses tentations. Des sacs à mains aux bijoux en passant par les fringues, tout le Vintage est là. Vous craquerez forcément pour les modes à l’ancienne qui sont toujours autant aux goûts du jour. Sacs à main cuir fait main à partir de $90 ou encore bijoux de Georges & Raf colorés et munis de perles datant de 1965 pour $295. Mais il y a aussi d’autres produits bien moins chers. A vous de les dénicher !
Hester Street Fair : Hester St at Essex St. Sat 10am–6pm. Through Oct 30.
Vous avez toujours rêvé de vous trouver dans une ambiance de film ou de série ? C’est désormais possible. Une boutique de récup’ des meubles et accessoires d’émissions TV, de films et de pièces de théâtre vous permettront de découvrir des petits bijoux sortis tout droit de moments favoris du petit ou grand écran. Comment c’est possible ? Eva Radke travaille depuis 15 ans dans le monde de l’industrie cinématographique et récupère  divers objets délaissés par les prod’, pourtant encore en bon état. Les prix sont faibles et négociables. Il y a de l’ancien, du nouveau, mais le côté « vu à la télé ou au ciné » pourrait faire passer une simple lampe en objet de déco rétro ou de collection. Mais attention, il y a vraiment de tout.
Film Biz Prop Shop: 540 President St., nr. Fourth Ave., Gowanus 347-384-2336
Du lundi au vendredi : 10h – 19h / Samedi au dimanche: 12h – 19h