Direction Soho et la boutique Hans Koch du nom du créateur allemand installé ici depuis les années 80. Jusqu’à la fin du mois, le magasin est en fête avec des soldes à 30% de réduction sur les sacs et les ceintures mais aussi des colliers multicolores de $480 à $240 et des sacs de $720 à $504.
Jusqu’au jeudi 31 Mars.
174 Prince St between Sullivan and Thompson Sts (212-226-5385).
Amoureux des bijoux de créateurs direction la boutique pop-up Patricia Brown au Roger Smith Hotel. Cette créatrice a travaillé pendant 20 ans pour différentes marques comme Ralph Lauren, Calvin Klein ou Banana Republic. Elle présente dans cette boutique ses trois gammes de bijoux. La Geo allie métal, chaîne et cristaux, la Botanical avec des colifichets en forme de plantes et la Galaxy, un mélange argent et cristaux de Swarovski. Les prix vont de $128 à $ 428.
Jusqu’au samedi 12 Mars de 10h30 à 19h.
501 Lexington Ave entre 46th and 47th Sts.
Grand coup de balais chez Lee Angel avec 75% de réduction. Si certains articles commencent à $5 d’autres restent plus chers mais toujours intéressants côté prix. Ainsi, un collier Martine en perle de verre et cristaux coûtent $145 au lieu de $180, des bracelets avec crystal et ruban à $100 au lieu de $145 et plus modeste cette fois des boucles d’oreilles en crystal toujours à $38 au lieu de $75.
Mercredi 16 de 11h à 19h et jeudi 17 Mars de 10h à 17h.
524 Broadway, at Spring St., 6e étage (212-334-6573)
Boucles d’oreilles, bracelets, colliers aux influences indiennes et orientales sont soldés entre 50 et 70% dans la boutique de la créatrice Roberta Freymann toute cette semaine.
Du mercredi 16 Mars au samedi 19 Mars.
260 Fifth Ave., nr. 28th St.
Sara’s Vintage fête la Saint Patrick et propose entre 25 à 50% de réduction sur sa collection de joaillerie irlandaise et celtique. Dans cette boutique de l’East village, il y a en a pour toutes les bourses, des médaillons vintage entre $50 et $250 au lieu de $75 à $325, de la bijouterie mosaïque entre $20 et $350 (au lieu de $35 à $425). A noter aussi 10% de soldes sur toute la joaillerie montée à la main.
Jusqu’au vendredi 25 Mars.
65 E. 4th St.,(212-533-2307) Plus de renseignements ICI.
Le printemps ne commence que le 21 Mars, mais chez Society of MSKCC ce sont déjà les soldes. Il y a des vêtements vintage de créateurs pour tout le monde. Les chaussures pour femmes sont entre $100 et $175, les manteaux Dior, Gucci entre $200 et $350.
Jusqu’au samedi 12 Mars.
1440 Third Ave., nr. 81st St. (212-535-1250).
Avec ses collections Haute-Couture, Luca Luca n’est pas à la portée de tout le monde. Alors c’est le moment ou jamais de profiter des soldes jusqu’à 80% sur les classiques de la boutique de ce créateur italien. Les robes de cocktail coûtent de $490 à $1 450, les trench en laine de $590 à $2,590 et enfin tout un choix de jupes en soie de $250 à $1 250.
Jusqu’au dimanche 13 Mars.
19 W 36th St between Fifth and Sixth Aves, fourth floor (212-755-2444).
A ne pas manquer ce week-end The Pier Antiques Show, un événement qui rassemble deux fois par an 500 exposants d’art, mode et objets antiques. Vous pourrez y trouver un chapeau beige année 1930 pour $75, une robe style années 50 à $325. A ne pas manquer la Fashion Alley consacrée à l’habillement vintage.
Le samedi 12 et 13 Mars. Entrée à $15, plus de renseignements ICI.
Pier 94, 711 Twelfth Ave et 55th St (973-808-5015).
Accessoires à prix "réduits"
Loverdose sonore
John Banzaï est à la fois poète, écrivain, chanteur et parolier.
Artiste anglo-polonais, il aime à dire qu’il chante en français dans une langue étrangère. Banzaï comme un cri de guerre, une guerre de roses, car John ne pense qu’à l’amour. La sensibilité à fleur de peau de son écriture nous plonge dans un univers feutré et sensuel. Libre drôle et charismatique, John est un personnage, sans doute un des plus grands poètes de sa génération…
John Banzaï, mieux connu pour son brillant travail avec Les Nubians (Veuillez Veiller Sur Vos Rêves), est à New York la promotion de la sortie de son premier album Loverdose.
Quand ? Mardi 15 mars de 21h à 23h45
Où ? Bubble Lounge, 228 West Broadway, New York
Un yogi new-yorkais tu deviendras
New York ne sait plus quoi inventer pour faire du yoga, tradition indienne millénaire, une avant-garde. Mais revenons à l’essentiel : le yoga est une hygiène de vie, englobant tant des principes philosophiques que des méthodes de respiration et des mouvements physiques. Si la partie philo vous gonfle, ce n’est pas un problème, à New York, on se concentre surtout sur l’exercice physique voire sur le régime végétarien. Difficile de lister et de classer les milliers de cours disponibles dans la ville, mais voici quelques repères pour trouver le yoga qui vous corresponde et le pratiquer entre de bonnes mains.
Impossible de faire l’impasse sur l’empire Jivamukti, le plus grand centre américain. Cette école installée dans une tour d’Union Square a été fondée en 1984 par deux soixante-huitards revenus de leur périple indien avec le yoga dans leurs valises. Inspirés par le yoga ashtanga, un yoga dynamique né du côté de Mysore, Sharon Gannon et David Life brevètent une version américaine de la chose. Il s’agit d’un enchaînement de postures différent à chaque cours, pratiqué de manière dynamique en rythme avec sa respiration. Les cours suivent le même schéma : un chant en sanskrit, les postures et un moment de relaxation.
Ces cours sont bien rôdés et très populaires. Oubliez le petit comité, ici on pratique à 40 et plus, dans des cours « tous niveaux » plutôt bon niveau, à toute heure de la journée de 7h30 à 21 heures. Si vous ne voulez pas venir à Union Square, jetez donc un oeil aux biographies des professeurs dans les centres près de chez vous: l’un d’eux aura sûrement été formé chez Jivamukti; une formation très sérieuse, vous êtes assurés d’avoir un cours de qualité.
Sous cette influence, le « yoga vyniasa » est partout à New York, le nom renvoyant à toute forme de yoga dynamique. Comprenez, un yoga où vous transpirez. Dans Manhattan, les prix tournent autour de 15 à 20 dollars le cours à l’unité et dans les 150 dollars par mois de cours illimités. Citons les cours fluides, presque dansés, du Laughing Lotus qui propose de bons ateliers débutants. L’école Om Yoga de Cyndi Lee est très appréciée pour sa rigueur. A Brooklyn, on trouve des professeurs sérieux, venant de ces différentes écoles, dans les trois centres de Greenhouse. A 80 dollars le mois de cours illimités, ce centre est parmi les moins chers de la ville. Soulignons le bon cours de respiration, « prana yoga », du dimanche soir. Pour les élèves plus avancés, le très cosy Shala Yoga House à Union Square est aussi à découvrir. Ici, on dispense du yoga vyniasa mais aussi le yoga ashtanga traditionnel de Mysore, tous les matins.
Car ce fameux yoga dynamique à l’état pur existe encore à New York. Il s‘agit de séries de postures répertoriées et inamovibles que l’on apprend à enchaîner à son rythme, le professeur n’étant là que pour corriger. Sans musique ni fioriture, ce yoga est plus austère mais il apporte un calme incroyable. On conseillera l’excellent professeur Eddie Stern, enseignant au centre Ashtanga Yoga New York, sur Broome Street.
Du côté de la 23ème et de la 3ème avenue, allez faire un tour chez Dharma Mittra Yoga, une institution depuis les années 70. Le vieux Dharma Mittra vous accueille dans une atmosphère spirituelle forte. Ici, les cours de chant, de méditation et de respiration sont aussi encouragés que les postures. Des cours pour enfants sont même dispensés. C’est aussi un centre, pratique courante à New York, où existent des cours sur donation. Dans les «community class», vous pouvez pratiquer gratuitement !
Un mot enfin pour les excentriques. Le yoga Bikram ou « hot yoga », qu’on ne présente plus, pratiqué à 40 degrés devant miroir. A des années lumières du yoga des origines, mais efficace pour transpirer et avoir la sensation d’être allé à la piscine. Notons aussi l’existence du yoga à poil, carrément. Ou encore le yoga de nuit, le vendredi de 22 heures à minuit au centre Laughing Lotus, en musique bien sûr !
Et si vous ne comprenez toujours pas un tel engouement –on parle de 18 millions de yogis aux Etats-Unis-, sachez que le yoga est tout bonnement addictif. Il donne l’impression de se mouvoir intelligemment, de respirer au point de flotter, et de réfléchir aussi, un peu, dans le calme de sa pratique. Pas de compétition, pas de micro brassière obligatoire, peu de musique qui casse les oreilles. Juste un son OM, auquel on prend rapidement goût.
Dans l’article, cliquez sur les liens pour retrouver les adresses exactes, les horaires et les tarifs. Et partagez vos bonnes adresses en postant un commentaire ci-dessous.
Réception de l'amitié francophone
Promouvoir le bilinguisme et le biculturalisme en offrant des cours de français gratuits, c’est le créneau du French Heritage Language Program (FHLP).
Lancé par le French American Cultural Exchange (FACE) en 2005 dans plusieurs écoles new-yorkaises, le programme concerne aujourd’hui 170 étudiants francophones, de l’école primaire au lycée.
Via un apprentissage de la langue française et de la culture francophone, le FHLP vise à améliorer les compétences (compréhension, écriture, expression orale…) de jeunes francophones expatriés. Le programme permet ainsi aux étudiants de garder contact avec leur héritage culturel tout en augmentant leurs opportunités de succès dans leur nouvel environnement.
Buffet africain, concert d’un groupe haïtien et performances des étudiants seront au rendez-vous mardi soir pour célébrer le succès de ce programme qui n’a pas fini de faire parler de lui.
Où ? Services Culturels de l’Ambassade française, 972 Fifth Avenue (et 79th street).
Quand ? Mardi 15 Mars à 18h30
RSVP à [email protected] avant le 11 Mars
Banda Magda présente son premier disque
Créé à New York l’année dernière, Banda Magda est composé de cinq jeunes musiciens internationaux: Magda Giannikou au chant et à l’accordéon, Petros Klampanis au chant, au piano et à la contrebasse, Marcelo Woloski au chant et aux percussions, Ignacio Hernandez à la guitare et Mika Mimura au chant et au vibraphone.
Samedi soir, ils seront aussi accompagnés de Max Pollak et de sa rumba tap, un mix inédit de musique afro-cubaine, de jazz, de claquettes et de percussions corporelles.
Interprétées en Français, Italien, Anglais, Portugais, Grec et Japonais, les chansons sont écrites, composées et chantées par Magda Giannikou, qui puise son inspiration dans la musique d’Henri Salvador, Serge Gainsbourg, Les Beatles ou encore Pink Martini.
Où ? Drom NYC, 85 Avenue A, New York, NY
Quand ? Samedi 12 Mars de 19h à 22h
Combien ? $30, en vente ici
Evènement Facebook ici http://www.facebook.com/event.php?eid=119721191434077
Conversation avec la soprano Natalie Dessay
En collaboration avec le Festival d’Aix-en-Provence, le FIAF organise une conversion sur l’art lyrique. La talentueuse soprano française Natalie Dessay et le dramaturge Cori Ellison parleront de leur art de prédilection, et sur ses perspectives pour l’avenir .
L’évènement sera suivi d’un cocktail.
Où ? Le Skyroom, 22 East 60th Street, New York, NY 10022
Quand ? Jeudi 17 Mars à 19h
Combien ? membres FIAF $20, non–membres $30. Billets en vente ici http://www.ticketmaster.com/event/03004638818B766E?artistid=1548314
Conférence en français et en anglais.
Ciné Kids sur la banquise
Synopsis: Pour tous les pingouins, le monde se résume à une étendue d’icebergs, et au-delà rien, le vide. Pour tous les pingouins sauf un : Jasper ! Sa curiosité l’amène à embarquer sur un paquebot pour un voyage mouvementé vers les premières terres australes. Avec l’aide d’Emma, l’audacieuse petite fille du capitaine, et Kakapo, un oiseau aussi froussard que bavard, Jasper parvient à déjouer le plan diabolique du Docteur Block. Mais parviendra-t-il à prouver aux siens que le monde est plus vaste qu’ils ne l’avaient cru ?
En français, sans sous-titre anglais.
Attention: La projection sera suivie d’un atelier de vingt minutes des arts et métiers inspiré par le film, dirigé par Guitty Roustaï et Emmanuelle Bonin du Centre de Langue FIAF.
Où ? Tinker Auditorium de l’Allince française. 55 East 59th Street
New York, NY 10022
Quand ? Samedi 12 mars à 15h30
Combien ? Membre fiaf: 7$, non membre: 10$
Nos enfants ont du talent
Le Festival Première Scène, organisé chaque mois de Mars par le Lycée français, est un concours avec jury, qui célèbre la langue et la culture de la France. Des écoles de partout à New York et la région sont invitées à venir au Lycée afin de réaliser des scènes en français de pièces connues mais aussi de créer des pièces de théâtre originales. Le Festival Première Scène représente une occasion unique pour les enfants et les adolescents-dont la plupart ne fréquentent pas les écoles de langue française- de s’immerger dans la langue française et de faire ses premiers pas au théâtre dans la langue de Molière.
Quand ? Samedi 12 mars de 10h à 13h
Où ? Lycée Français: 505 East 75th Street New York
Hélène, Sophie la Girafe et l'Amérique
Cherchez Sophie. C’est apparemment le dernier défi en date des parents de nouveaux-nés aux quatre coins de l’Amérique. Sophie, c’est une petite girafe en caoutchouc que l’on peut apercevoir régulièrement sur les photos des magazines people : dans les mains des bébés de Sandra Bullock, de Nicole Richie, de Naomi Watts et Liev Schreiber, ou encore du jeune garçon de Kate Hudson, l’un des premiers à avoir popularisé l’animal «made in France».
En quelques sortes, la vraie star, c’est elle. Sophie la Girafe, qui fête cette année ses 50 ans, est devenue numéro un des ventes de la catégorie «bébé» sur Amazon.com. Elle s’est vendue à 400 000 exemplaires l’année dernière aux Etats-Unis, une performance qui aurait pu être battue en l’absence des grèves dans l‘Hexagone.
Qui se cache derrière ce succès phénoménal (et relativement inexplicable pour un simple jouet qui se vend en moyenne à plus de 20 dollars) ? Une parfaite self-made-woman française de Orange County, Hélène Dumoulin-Montgomery. “Cela fait dix ans que je m’acharne à importer Sophie aux Etats-Unis. Cela été très difficile au début, mais le déclic a été le rappel des jouets chinois révélés toxiques en 2007. Face à la panique, les mamans se sont misent à recommander Sophie sur leur blog, car c’est un produit sûr pour les enfants». Parce qu’elle est fabriquée avec du caoutchouc naturel et des peintures à base de produits alimentaires (contrairement aux peintures classiques qui contiennent des métaux lourds), les nourrissons peuvent la mastiquer sans risque pour faire leurs dents. Cet aspect écolo, c’est en partie ce qui justifie le prix de cette girafe blanche aux grands yeux noirs et tachetée de marron. Mais, pas seulement.
Hélène Dumoulin-Montgomery dit avoir été sensible au fait que la figurine soit confectionnée par ses compatriotes. «Je suis allée à l’usine de Rumilly (près d’Annecy) et la vie de village qui tournait autour de ces ouvrières m’a touchée», se souvient-elle. L’entreprise Vulli commercialisait alors le jouet en France uniquement, et ce depuis 1961. Année où elle est sortie de son moule le jour de la Sainte-Sophie, d’où son nom. Mme Dumoulin se souvient avoir elle-même torturé les oreilles de la girafe, comme ses cousins.
Cette quarantenaire originaire de Denain (Nord) fut la première à faire voyager Sophie à l’étranger (désormais vendue dans 35 pays). Il y a dix ans, sa fille naît aux Etats-Unis. «Je me souvenais de ce jouet, j’en voulais un pour elle mais ne le trouvais nulle part. J’ai décidé de l’importer, et l’aventure a commencé». D’obstacle en obstacle, elle n’a pas baissé les bras. Alors divorcée avec un enfant à charge, elle ne vivait de pas grand-chose, raconte-t-elle, en tant qu’assistante d’une agent immobilier à Dana Point. Par chance, celle-ci s’est montrée encourageante, la laissant de temps en temps quitter le bureau pour démarcher des clients. «Cet esprit américain de la réussite personnelle, j’aime ça», dit-elle avec gratitude. Pourtant fille de médecin et d’une mère «qui s’occupait de ses enfants», elle savait toute petite qu’elle désirait monter sa propre entreprise. «J’ai vu un reportage sur les femmes PDG quand j’avais 10 ans. Je me souviens de celle de Bénéteau ; elle me fascinait».
Hélène Dumoulin ne jette donc pas l’éponge quand on lui rétorque : «c’est trop cher», ou «essayez dans les magasins pour animaux». Elle se rend avec audace dans une boutique de luxe de Beverly Hills, Elegant Child, qui ne reçoit ses clients que sur rendez-vous. La patronne, visionnaire ou prise de pitié face à cette jeune femme qui avait parcouru tout le chemin de Orange County à L.A. avec ses six jouets, lui achète le tout pour 60 dollars. Peu de temps après, on voit la bête dans les mains de célébrités. « Ca a été un succès immédiat, elle m’en commandait par centaines », se souvient Mme Dumoulin. L’étiquette « made in France » a ce côté chic qui justifie, en dernier lieu, le prix.
Depuis, Sophie la Girafe a dépassé le circuit des boutiques pour être commercialisée par les géants de la distribution américaine : Amazon, mais aussi Nordstrom ou Babies ‘R’ us (filière de Toys ‘R’ Us). Résultat, il en sort de l’usine environ 5 millions de pièces par an. Evidemment, ces géants font pression sur les prix. Mais Mme Dumoulin espère maintenir son prix de vente. «Je ne suis pas pour que les petits commerçants disparaissent sous le poids des gros», dit-elle. Après tout, ce sont ces «petits» qui ont d’abord cru en elle… elle leur doit une fière chandelle, et un chiffre d’affaires qui s’élève désormais à 6 millions de dollars. «C’est sûr qu’à Beverly Hills, ils auraient préféré garder une exclusivité sur Sophie». Les stars vont-elles continuer à lui dérouler le tapis rouge ? Rien n’est moins sûr, tant Sophie la Girafe est passée de « marqueur social » à un objet de masse.
"Marcel, tu tires ou tu pointes ?"
Pétanque, nf, de l’occitan pès (pieds) et tancar (fermer) est un jeu de boule dérivé du jeu provençal. Répandu du nord au sud de la France, le célèbre cochonnet a pourtant conquis le monde entier… A Los Angeles, le club de pétanque propose des compétitions plusieurs fois par mois. Les tournois se déroulent dans les tribunaux Park Rancho et sont limités aux membres du club ou sont des rencontres de niveau régional ou national. Toute personne appartenant à un club, ou détenant une licence peuvent participer à ces tournois.
Au programme au mois de mars: un tournois en triplette (trois contre trois). Il ne manque plus que le chant des cigales et la jolie Fanny pour se sentir comme chez nous, en Provence…
Quand ? Le dimanche 20 mars à 10h
Où ? Rancho Park Golf Club
P.O. Box 64266
Los Angeles, CA 90064
Olivier Pojzman à l'Arty Gallery
Cette fois encore l’Arty Gallery participe au “Downtown Los Angeles Art Walk”, et convie pour l’occasion le photographe français Olivier Pojzman, que nous vous présentions il y a quelques mois (voir ici).
Stephen Rowe assurera quant à lui l’ambiance musicale. Vins et hors d’oeuvres seront proposés.
Où ? Arty Gallery, 634 South Main Street, Los Angeles, CA 90014; Tel: (310) 467-7896
Quand ? Jeudi 10 Mars de 19h à 23h30
Combien ? Gratuit !
Site web: www.iriswork.com
La colonisation française en question
Professeur au département francophone de UCLA, Sara Melzer est l’auteur de plusieurs ouvrages historiques sur les femmes et la Révolution française (“Rebel Daughters: Women and the French Revolution”), le rôle des arts dans la politique des XVIIe et XVIIIe siècle (“From the Royal to the Republican Body: Incorporating the Political in Seventeenth and Eighteenth-Century France”) ou encore sur les Pensées de Pascal (“The Discourses of the Fall: A Study of Pascal’s Pensées”).
Sa conférence, intitulée “The Hidden Colonial Story of the Seventeenth-Century and its Relevance for Understanding Contemporary France”, se basera sur son prochain essai, “Colonized or Colonizer? The Hidden Stories of Early Modern France”.
Où ? Alliance Française de Los Angeles, Ste 210, 10390 Santa Monica Blvd, Los Angeles, CA 90025-6964; (310) 652-0306
Quand ? Vendredi 11 mars de 19h à 20h30
Combien ? Membres $15, non-membres 25$. RSVP recommandé au (310) 652-0306 ou à [email protected].