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Une French Culture Night dans l'Empire State

L’Empire State accueille la prochaine French Culture Night !
Toute la soirée, l’artiste française Fabienne Cuter présentera ses peintures abstraites. Fidèle au poste, le percussioniste Manu Leger assurera l’ambiance musicale, cette fois-ci en compagnie de DJ Vinny King. De 18h30 à 19h30, ne manquez pas l’apéro happy hour, sponsorisé par Ricard et Kronenbourg.
Et pour l’after-party, direction le Chelsea Lounge – plus d’infos sur  www.europeannightlife.com
Où ? Empire Room at the Empire State Building, 350 5th Avenue, entrée sur 33rd Street
Quand ? Mercredi 16 Février de 18h30 à 1h
Combien ? $10 à l’entrée, gratuit pour ceux qui s’enregistrent préalablement sur le site avec le code FRENCHMORNING !
Pour plus d’informations, visitez le site Internet www.FrenchCultureNights.com

Nars attaque

Ouvrir sa boutique, François Nars en rêvait longtemps. Depuis 16 ans exactement lorsqu’il a crée sa première ligne de rouges à lèvres éponyme à New York. Et il a fait les choses bien :
1/ L’emplacement : à côté de Magnolia et en face de Bookmark, la nouvelle librairie de son complice et ami Marc Jacobs, la boutique ne manquera pas d’attirer les ‘beauty junkies’ et de devenir un incontournable.
2/ Le décor : le designer Fabien Baron a donné un côté appartement parisien à la boutique de 55m2, mélangeant l’ultra-moderne et le classique : des écrans plats, des lignes graphiques et des miroirs. Une palette blanc et noir rappelle le packaging avec des touches de rouge lacqué dans le fond, assorti au rouge à lèvre “Jungle Red”.

3/On trouve dans la boutique toute la collection dont les bestsellers comme le blush ‘Orgasm’, ‘Deep Throat’, ‘Striptease,’ and ‘Sex Machine’, le coffret baptisé ‘Safer Multiple Orgasm’. Des noms provocateurs inventés par François. Grand chic : on trouve aussi des produits exclusifs au magasin comme la “bento box”, le rouge à lèvres “413 Bleecker” et des gants Marc Jacobs assortis au vernis à ongles Nars.
4/ La campagne de pub et le timing. Une campagne  placardée à travers New York avec les initiales “BLKR”, des articles dans la presse dont le New York Times et une ouverture la veille du début de la Fashion Week. 
Originaire de près de Biarritz, François Nars débarque à New York en 1984. Il commence à travailler pour les plus grands créateurs Lagerfeld, Dolce&Gabbana et magazines de mode. Il fait la rencontre de Fabien Baron : « Nous nous connaissons  depuis 25 ans. Nous nous sommes rencontrés chez le photographe Steven Meisel. Très rapidement, François m’a dit qu’il voulait créer sa ligne et m’a demandé de dessiner le packaging. »
Il lance une ligne d’une dizaine de rouges à lèvres en 1994 et la la marque n’a cessé de s’étendre. Adulé par Madonna and Victoria Beckham, le “makeup guru” vend sa marque à la firme de beauté japonaise Shiseido en 2000. La transaction lui permet de s’acheter une île en Polynésie dont il est tombé amoureux et qui continue à l’inspirer.
Le succès de la marque doit aussi beaucoup à son pdg, le Français Louis Desazars. Cet ancien de Dior a pris les rênes il y a 3 ans. La marque compte désormais 500 points de vente aux Etats-Unis (des grands magasins de luxe comme Barneys, Saks, Neiman Marcus et aussi Sephora). “Nous projetons d’ouvrir 10 boutiques as des grandes villes mondiales dans les cinq prochaines années,”explique Louis Desazars.
François Nars, aussi photographe et artiste multi-facettes dirige toute la création. Comme à chaque saison, il sera à l’oeuvre en coulisse au défilé Marc Jacobs. Il confie à French Morning qu’il n’a pas encore vu la collection donc pas refléchi aux looks qu’il va réaliser. Venant d’un homme qui a utilisé son chien Marcel comme égérie d’une crème anti-âge, on s’attend à du spectacle.
NB : Le titre “Nars attacks” n’est pas de nous (mais du magazine de mode de référence WWD). Nous n’avons pas pu résister à la tentation de ce petit “emprunt”.
Nars Cosmetics, 413 Bleecker Street (au coin de Bank street)

http://www.narscosmetics.com/

"Le Grand Bouleversement" au Guggenheim

C’est au début du XXème siècle que l’avant-garde artistique s’inspire d’une nouvelle forme de modernité, qualifiée par ses prouesses technologiques, ses spectacles et sa société fragmentée ; principale victime de l’aliénation de la métropole moderne. A Paris, le cubisme invente de nouvelles formes artistiques qui seront suivies en Italie, aux Pays-Bas et en Russie. En Allemagne c’est l’expressionisme qui se développe autour du mouvement  Die Brücke fondé par Ernst Ludwig Kirchner. Mais un autre groupe d’artistes cherche à se démarquer. En 1911, Wassily Kandinsky et Franz Marc se rassemblent à Murnau, à côté de Munich sous la dénomination de Der Blaue Reiter (Le Cavalier bleu). À la différence de Die Brücke, les artistes de Der Blaue Reiter ressentaient le besoin de créer un langage plus contrôlé pour promouvoir leurs messages. Ces artistes prédisent un grand tournant, un große Umwälzung (The great Upheveal) et une remise en question radicale de la création artistique traditionnelle.
The Great Upheaval met en relief le dynamisme de cette période féconde où les artistes se précipitent doucement mais sûrement dans le « grand bouleversement » d’une guerre catastrophique. Avec plus de cent peintures, sculptures et oeuvres sur papier de 48 artistes dont Umberto Boccioni, Marc Chagall, Marcel Duchamp, Wassily Kandinsky, Fernand Léger, Kasimir Malevitch, Franz Marc et Pablo Picasso entre autres, The Great Upheveal témoigne de cette période de collaboration, d’échange, de synthèse et d’innovation.
L’exposition est organisée en ordre chronologique. La spirale ascendante conçue par Frank Lloyd Wright permet de retracer l’évolution artistique de cette période et de souligner les interconnexions entre les groupes d’artistes. Les cinq premières rampes de la rotonde représentent l’activité artistique à partir de 1909-1910 jusqu’en 1913, tandis que la rampe la plus haute met en évidence les années de guerre, 1914-1918.The Great Upheveal s’ouvre sur un tableau de Wassily Kandinsky The Blue Montain et termine par l’œuvre de Ernst Ludwig Kirchner, The Artillerymen. Une conclusion glaciale et prophétique sur l’avenir de l’Europe et le futur holocauste.
The Great Upheaval met également en lumière les chefs d’œuvres de l’art moderne qui ont lancé la collection du musée. L’exposition rassemble de remarquables collections de la Fondation Guggenheim de New York et Venise afin de retracer les origines du musée et de capturer l’esprit et le dynamisme de l’avant-garde européenne. Une balade au début du XXème, poignant par cette multitude d’exemples qui témoignent d’un art, d’une époque, d’un état d’esprit qui tentent de faire face aux inévitables guerres mondiales.
The Great Upheaval
Du 4 février au 1er juin 2011
Solomon R. Guggenheim Museum : 1071 Fifth Avenue, New York.

La guitare selon Picasso

Le point de départ de Guitars 1912-1914: deux travaux offerts par Pablo Picasso lui-même au musée dans les années 1970. Deux guitares, l’une en carton, papier et fils, datant de 1912 et l’autre en tôle, réalisée deux ans plus tard. Deux constructions remarquables qu’on retrouve exposées au côté de 65 collages, dessins, peintures et photographies, autant de variations autour de la guitare, préoccupation principale de Picasso entre 1912 et 1914.
Parenthèse brève mais prolifique dans sa carrière, ces deux années ont surtout été une période d’expérimentation sans précédent pour l’artiste. Il va se servir de l’instrument de musique comme d’un prétexte, comme d’un véritable support pour tester de nouvelles techniques et matériaux. Coupures de journaux, fragments de papier peint ou de partitions musicales… Comme son ami Braque, qui durant sa période cubiste incorporait du sable, de la poussière ou de la corde à ses compositions, Picasso joue avec ces ingrédients, rarement utilisés dans l’art et directement issus de la vie quotidienne, qu’il va parfois combiner avec un savoir-faire artisanal, pour imiter par exemple l’aspect du bois et du marbre.
En résultent des natures mortes graphiques et radicales, aux formes si simples qu’elles en deviennent souvent méconnaissables, presque abstraites. Jamais exposées à l’époque, la plupart n’était d’ailleurs que des constructions éphémères qui n’existent plus aujourd’hui. En témoignent les clichés du studio parisien de Picasso exposés eux-aussi, véritable plongée au coeur du processus créatif de l’artiste. A ne pas manquer non plus, les extraits du journal avant-gardiste Les Soirées de Paris, dans lequel les photographies des assemblages cubistes de Picasso furent d’abord publiées.
Guitars 1912-1914
Du 13 Février au 6 Juin au MoMA
The Museum of Modern Art
11 West 53rd Street, New York, NY 10019
(212) 708-9400

Le Beattle de la coiffure

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L’un des films les plus en vue du dernier festival du film de Tribeca Film était…un documentaire de près de deux heures sur la coiffure. Ce succès tient tout d’abord à la vie de Vidal Sassoon. Une vie dans le siècle depuis son enfance dans un orphelinat dans le légendaire Petti Coat Lane, un ghetto juif de l’East End londonien jusqu’aux paillettes d’Hollywood et à sa consécration en tant que père de la coiffure moderne. «Je voulais libérer les cheveux du superflu», explique-t- il. Il est l’inventeur de la coupe bob, toute en arrondis et légèrement asymétrique.
Les années 1960 marquent le début de l’aventure américaine. «nous étions les Beattles de la coiffure», dit Vidal Sassoon à propos de l’époque où il arrive à New York, dans une scène du film. L’empire s’agrandit. “Il était le premier à ouvrir des académies, des salons et vendre des produits à cette échelle internationale», explique le producteur du film Michael Gordon. «Paris était la capitale de la Coiffure. Vidal a transformé la scène parisienne en créant les franchises. Il a tracé la voie qui a permis l’émergence de coiffeurs comme Jacques Dessange et Frédéric Fekkai.» Le réalisateur Craig Teper précise :«Jusqu’à l’arrivée de Vidal, tout ce qui touchait à la coiffure était français.” Vidal a appris les techniques françaises. Ses formes géométriques étaient controversées. Alexandre de Paris l’a invité à Paris. Il lui a ainsi donné sa légitimité en France. Puis en 1965, Emanuel Ungaro, force vive du design moderne a demandé à Vidal d’inventer un nouveau style qui irait avec sa nouvelle collection : “de là est naît la coupe asymétrique. »
Il aura fallu trois ans pour donner jour au documentaire. La famille, les proches de Vidal apparaissent dans le documentaire. Le réalisateur a même réuni Vidal et sa muse, la styliste Mary Quant, l’inventrice de la mini-jupe et égérie du “Swinging London”.  Elle a toujours la même coupe de cheveux, inspirée de celle qu’il lui avait fait à l’époque.
A 82 ans. Vidal Sassoon se porte comme un charme. Le documentaire montre Vidal, la quatre-vingtaine glorieuse, faire des poses de yoga au bord de sa piscine. “Il pratique toujours le pilates, la natation. Cela fait partie intégrante de sa vie. Pour lui c’est comme de respirer.” Dans le film, il tape aussi le ballon sur le terrain du Chelsea Club. «Il est l’un des plus vieux supporters de l’équipe de Chelsea. Quand il est à Londres, il fait ses exercices dans leurs infrastructures. »

Pour un Valentine's Day malin

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Si vous persistez à tenter le restaurant, vous trouverez sur Open Table les dernières tables disponibles. Pour les autres, il y a:
1)La “1970s Valentines Day Key Party”: sur le thème des années 70, cette soirée propose une manière originale de rencontrer l’âme sœur. Comment ? Apportez la « clé » de votre cœur sur laquelle vous y inscrivez votre numéro de téléphone. Cette clé, que vous déposerez dans un bocal en début de soirée sera récupérée par un(e) charmant(e) inconnu(e). Attention : Déguisement obligatoire. Buffet et cocktail : 20$. A partir de 21h au Southpaw, 125 Fifth Avenue (entre Saint-Jean et lieux Sterling), Park Slope,  tel 718-230-0236.
2)Quoi de plus normal que de concocter un philtre d’amour pour la Saint-Valentin. C’est ce que vous propose la nouvelle astrologue en vogue Jennifer Angel au Matchmacker cocktail hour de l’hôtel Gansevoort. En fonction de votre signe astrologique, Jennifer va créer la cocktail idéal, « la potion d’amour » pour réussir votre Saint-Valentin. En plus du cocktail, la diseuse de bonne aventure vous offre un porte bonheur aphrodisiaque et des instructions pour rencontrer le Grand Amour. Evènement payant. Hôtel Gansevoort: 18 Ninth Avenue (at 13th Street)
New York, NY 10014 
Tel: 212.206.6700.
3) Ce n’est pas tout, mais la Saint-Valentin, ça se prépare. Les centres DavidBartonGym proposent un programme de musculation, les « Love Hurts » qui consiste en une série d’entrainements gratuits pendant un mois. Ne culpabilisez plus au restaurant ou devant votre boite de chocolat et venez afficher un corps nouvellement musclé pour le plaisir de tous…Les Love Hurts seront disponibles dans les centres DavidBartongym tout le mois de février sur les sites suivants: Astor Place, NY: Saturdays, 12pm-1pm; Chelsea, NY: Sundays, 1:15pm-2:15pm; Upper East Side, NY: Wednesdays, 8:15am-9:15am.
 

My bloody Valentine:

Evidemment, French Morning n’a pas oublié tous les cœurs brisés et les éternels blasés des sentiments. Pas de panique, rien que pour vous, une petite sélection des meilleures soirées Anti Saint-Valentin de cette année.
1) Le Croton Lounge propose la 14ème soirée Anti Saint-Valentin. Samedi 12 février les célibataires sont les bienvenus. Chaque invité reçoit la moitié d’une carte à jouer à la porte. Trouvez la personne avec l’autre moitié et vous obtenez une boisson gratuite. Les 100 premières personnes gagneront des shots gratuits. Tout le monde peut profiter de bières à 2 $ et 4 $ et des boissons ( promos de 21h à 23h) Des roses et des chocolats sont offertes aux filles. Les billets sont 10 $ avec RSVP et à 15 $ sans. A partir de 21h Où ? Croton Lounge, 108 West 40th Street.
2) Le vendredi 18 février à 19h30, venez déverser votre colère en chanson au Radio Star Karaoke. Le meilleur endroit pour rencontrer des cœurs brisés comme vous. Tous les prétextes sont bons pour boire et chanter à volonté. Ici tout est fait pour soigner vos blessures : I don’t need a man ! Vendredi 18 février à 19h30. Radio Star Karaoke, 3 W 35th St.
3) Pour les plus trash « the endless night vampire ball » semble être le meilleur compris. Ce grand gala gothique va vous permettre de peut-être rencontrer le Zombie de votre vie ou de régler vos comptes avec le Marquis de Sade. Ambiance loufoque garantie. Le Samedi 12 février de 23h à 4h. Santos’ Party House  100 Lafayette St. Manhattan. De 18$ à 30$.
 

Valentine’s Day French Touch:

1) Chocolats et Champagne en provenance directe de la France et cela juste à temps pour la Saint-Valentin. Voici ce que propose le Consulat français pour sa soirée « La Vie En Rose ». 
 Venez prendre une photo de vous et de votre bien-aimé dans le prestigieux Salon du Consulat et vous livrer à une dégustation de chocolat La Caravelle. 
Les photos seront affichées sur la page Facebook et Flickr du Consulat  avant la Saint-Valentin. Le Vendredi 11 février à 18h au Consulat General de France
 934 Fifth Avenue New York, NY 10021. Réservations: [email protected] ou (212) 606-3648. Gratuit pour tous.
2) Speed dating en français: pour les Francophones et ceux qui trouvent les Français séduisants ! Venez “dater” et profiter du Champagne et du chocolat à volonté. Attention:  Il faut arriver à 21h25 au plus tard pour garantir votre place. Pas de remboursement possible. 

Réservez votre place en avance sur frenchvalentine.weebly.com. Lundi 14 février de 21h30 à 23h au Pearl Studios 
500 8th Avenue
 12th Floor 
New York, NY 10018. Tel: (646) 623-4802. Admission: $20.
3) Yanna Avis vous offre une Saint-Valentin au son des plus belles chansons d’amour françaises et anglaises. Et en plus vous pourrez déguster des chocolats et du vin à volonté ! Lundi 14 février à 19h. 22 East 60th Street. Entre Park & Madison Avenues.

Echoa, le spectacle visuel et sonore d'Arcosm

Fondée à Lyon en 2001 par Thomas Guerry, danseur, chorégraphe et metteur en scène et Camille Rocailleux, percussionniste, pianiste et compositeur, la compagnie Arcosm dépasse les frontières des disciplines artistiques telles que nous les connaissons. Mêlant musique, chant et danse, les spectacles sont toujours écrits « à quatre mains ».

Le dernier en date, Echoa, sera présenté vendredi au Lycée Français de Los Angeles. Percussions et beatbox, jeux d’ombres et de lumières, chorégraphies… Sur scène, le casting d’Echoa réalise une performance artistique étonnante, en forme d’ode à la liberté. Une expérience émotionnelle et unique que vous n’êtes pas prêt d’oublier.

Où ? Théâtre Raymond Kabbaz — Le Lycée Français de Los Angeles, 10361 W. Pico Blvd., Los Angeles, CA 90064 ; Tél: (310) 286-0553

Quand ? Vendredi 11 Février à 19h30

Combien ? $25 pour les adultes / $15 pour les étudiants. En vente ici

Dîner au rythme des grelots

Los Angeles Accueil vous propose une soirée orientale au Beverly Hill Country Club. Danseuses et plats orientaux sont au rendez-vous. Profitez d’un cocktail et d’un dîner assis servi à 20h30. Attention c’est une soirée dansante, une tenue appropriée est exigée !
En plus le valet parking est offert !
Quand ? vendredi 11 février 2011 de 19h à minuit
Où ? Beverly Hills Country Club 3084 Motor Avenue- Los Angeles 90064
Prix: $60 pour les membres de Los Angeles Accueil

$65 pour les non-membres

Le Café de Flore à UCLA

Née en Algérie, Annie Cohen-Solal a enseigné à NYU, et dans les Universités de Berlin, Jérusalem, et Paris XIII. Elle est cette fois de passage à L.A. pour présenter deux auteurs cultes qui lui tiennent particulièrement à coeur et qu’elle a étudié à maintes reprises : Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. Son intervention traitera principalement de la relation du couple culte avec les Etats-Unis.
Mardi 15 Février 2011 à midi
212 Royce Hall, Box 951550, Los Angeles, CA 90095
Tel: (310) 825-1145
Plus d’infos sur le site web: www.french.ucla.ed

Une Saint-Valentin altruiste

A l’occasion de la Saint-Valentin, Act4Me, dont on vous en parlait il y a quelques mois, organise une après-midi consacrée aux enfants, avec jeux, ateliers et animations en tout genre.  L’association, menée par ses trois créatrices (dont la française Maida Berberian Bignon), permet de financer les thérapies d’enfants atteints de maladies neurologiques (épilepsie, autisme…).
Tous les profits de l’évènement seront reversés à l’association.
Où ? Cool de Sac, 5701 Sunset Dr #355, South Miami, FL,
Quand ? Mercredi 16 Février de 16h à 19h
Combien ? $25 pour les enfants, $60 par famille, entrée gratuite pour les adulte. Pizza, sodas et glaces inclus pour les enfants.
Plus d’infos à [email protected]

West Side Story sur les planches de Miami

Les Jets et les Sharks investissent les planches du Broward Center jusqu’au 27 février pour quinze jours de représentation. Le tout nouveau casting de Broadway qui interprète West Side Story s’est approprié à la perfection  les personnages de Maria, Tony ou encore Bernardo.
La troupe a d’ailleurs remporté le Grammy Award 2010 pour le meilleur album de spectacle musical.
La musique de Leonard Bernstein et les chorégraphies de Jerome Robbins devrait combler une fois de plus le public du Broward Center.
Quand : du Mardi 15 au dimanche 27 février à 20h
Où : Broward Center for the Performing Arts – 201 Southwest 5th Avenue – Fort Lauderdale, FL 33312
(954) 462-0222
Achat des tickets et information sur le site du Broward Center.

Joséphine Baker dévoilée

Le musée de l’art érotique consacre une exposition à la “perle noire” Joséphine Baker. Cette chanteuse et danseuse était une célèbre meneuse de revue au Folies Bergère à Paris dans les années 20. C’est là qu’elle a fait scandale en dansant avec une jupe faite de bananes.
Outre ses talents artistiques, Joséphine a lutté contre le racisme et la ségrégation. Elle s’est aussi engagée dans la Résistance française lors de la Seconde Guerre mondiale.
Le musée propose des films, des affiches et des oeuvres d’art réalisés en hommage à la star internationale qu’était devenue Joséphine Baker au cours de sa carrière.
Quand : Jusqu’au 27 février
Où : World Erotic Art Museum – 1205 Washington Avenue – Miami Beach, FL 33139
305-532-9336
Plus d’infos que le site du musée.