Ramenez vos amis. Le thème du carnaval cette année « A Gathering of Friends ». Au programme : musique mexicaine, Flamenco, marchés colorés, spectacles de rodéo et spécialités culinaires !
Où : Santa Barbara, carnaval parcourant la route El Desfile Historico
Quand : Vendredi 6 août 2010 à midi
Pour plus de renseignements : http://www.oldspanishdays-fiesta.org/new/index.php
Musique au Zoo de LA
Ne manquez pas cette expérience avec une formule étonnante: animaux-musique et pique-nique ! Divers artistes se produiront sur plusieurs scènes !
Où : Los Angeles Zoo, 533 Zoo Drive, Los Angeles, CA 90027 tel : 323-644 4200
Quand: Vendredi 6 août 2010 de 18h00 à 21h00
Pour plus de renseignements : www.lazoo.org
Entree : $16.50 ($10.50 pour enfants de 6 à 15 ans)
New York Mode d'Emploi
A l’origine, l’initiative vient du consul Philippe Lalliot, selon lequel il était temps d’actualiser la dernière édition du guide de l’Accueil NY, Association d’accueil des français et francophone. La suite, six mois d’intenses recherches, rédaction et organisation pour Catherine Courrier, Présidente de l’association, Annie Verdellet, co-directrice de publication, et tous les bénévoles ayant permis a ce projet d’aboutir en juin dernier.
“Le guide de l’ANY est un véritable mode d’emploi de New York” selon Annie Verdellet. S’installer aux Etats-Unis est en effet plus compliqué qu’il n’y parait, et l’ANY, fondée en 1988, a pour mission d’accueillir, d’informer et d’accompagner tous les Français et francophones qui viennent vivre à New York afin de faciliter leur installation. Pour cela, l’association occupe une permanence au consulat de France tous les jeudis matin, possède un site internet très complet auquel s’ajoute donc ce guide, publié en 2000 exemplaires en juin.
La nouvelle édition du Guide NY est pour la première fois en couleur et possède également un nouveau chapitre consacré à l’écologie afin de vivre “green” au sein de “Big Apple”. Le guide change donc de visage, comme pour suivre les évolutions apparues au sein de l’association depuis quelques années. En effet, il y a “de plus en plus de jeunes, de célibataires et surtout d’hommes qui suivent leur femmes expatriées” nous explique Catherine Courrier. Pour s’adapter aux nouvelles demandes, la section “emploi” du guide a été largement consolidée et de nouveaux clubs on été créés comme celui pour les jeunes parents ou “carrière en transition”.
Le guide de l’ANY est partiellement disponible sur le site internet de l’association (Voir ICI). Il est également gratuit pour tous les nouveaux adhérents ou ceux qui renouvellent leurs cotisation ($45 par famille, $20 pour les étudiants), ou disponible pour $15 lors de la permanence de l’association au consulat le jeudi entre 9h00 et 12h30.
Le site de l’Accueil New York: www.accueilnewyork.org
Frédéric de Narp, l’amour de Dieu et du glamour
Président-directeur général d’Harry Winston, ex directeur de Cartier pour l’Amérique du Nord, Frédéric de Narp est l’un des patrons français les plus remarqués aux Etats-Unis. Figure récurrente des pages people, c’est aussi un père de six enfants très attaché à sa foi catholique et à l’action humanitaire. Pour French Morning, il revient sur sa carrière et sur ce qui compte vraiment pour lui.
Développer le potentiel commercial d’Harry Winston sans compromettre son image de marque : voila l’objectif que s’est donné Frédéric de Narp, président et CEO du prestigieux joailler américain depuis le 4 janvier 2010. Ce Rouennais d’origine avait quitté la direction de Cartier pour l’Amérique du Nord depuis 24 heures lorsque Bob Gannicott, président d’Harry Winston Diamond Corporation (la maison mère d’Harry Winston Inc), annonça sa nomination. “J’ai tout de suite été intéressé par le défi qu’il me proposait, explique Frédéric de Narp. Avec 50% de ses produits valant plus de 100 000 dollars pièce, Harry Winston est une marque de joaillerie extraordinaire, sans doute la plus exclusive au monde, mais il existe une différence folle entre le prestige de son nom et la réalité commerciale.”
A ce jour en effet, le joaillier ne compte que 19 salons, pour 450 employés et 114 millions de dollars de chiffre d’affaires en 2009. Misant sur une croissance de 20% par an, la société souhaiterait faire passer son réseau à 35 boutiques d’ici à 2016. Pour atteindre cet objectif, Frédéric de Narp estime que son héritage français sera un atout : « Nous avons, je pense, un sens inné du beau et du goût, ainsi qu’une capacité à évoluer dans un monde global avec finesse. »
A 41 ans, ce père de six enfants a déjà exploré divers horizons. Son parcours commence dans les années 90, lorsque, jeune étudiant à l’Université du Havre, il décide de partir au Japon dans le cadre de sa maîtrise en Affaires Internationales, Option Commerce avec l’Asie. « J’avais toujours été fasciné par les Japonais, et je voulais comprendre comment ils arrivent à faire passer l’intérêt collectif avant l’intérêt individuel. » Il décroche un stage de vendeur à la boutique Cartier d’Ikebukuro, un quartier chic de Tokyo. Une mission sur mesure pour le jeune premier qui s’était promis de travailler « soit dans l’aviation, soit dans le pétrole, soit dans les pierres précieuses ». Il devient rapidement le premier vendeur en termes de chiffres d’affaires, et est promu, à 23 ans, directeur de magasin. Dès lors, il n’aura cesse de grimper les échelons de Cartier. Il est successivement nommé directeur commercial en Suisse, directeur général en Italie et en Grèce, puis directeur général pour l’Amérique du Nord. Son ascension dans la maison s’arrête brusquement lorsque le groupe Richemont (propriétaire de la marque), annonce son départ en fin d’année dernière. Aux dires de la presse, sa personnalité flamboyante et ses techniques marketing n’étaient pas tout à fait au goût de la direction. Frédéric de Narp ne retient que du bon : « J’ai eu une chance folle, je me suis éclaté comme un fou », affirme-t-il aujourd’hui.
Décrit par le magazine new-yorkais Crain comme « l’une de ces personnes belles, sûres d’elles, qui semblent foncer bille en tête et obtenir tout ce qu’elles veulent », Frédéric de Narp est de tous les tapis rouges et de tous les événements mondains. Mais c’est aussi un Catholique convaincu, qui a toujours compté sur sa famille et ses activités caritatives pour équilibrer sa vie. Au Japon déjà, il avait fondé « Nidin », une association humanitaire au profit des enfants aveugles du Cambodge. Aux Etats-Unis, il œuvre dans plusieurs organismes de charité, dont la Fondation Elie Wiesel pour l’Humanité : « Elie Wiesel est mon héros, mon meilleurs ami. Apres avoir été détruit intérieurement par l’Holocauste, puis ruiné par Madoff, il trouve encore le moyen d’incarner l’Espérance. Je suis profondément touché par ce qu’il représente. »
Avec Harry Winston, Frédéric de Narp a trouvé une belle occasion de prolonger un peu plus son expérience aux Etats-Unis — un pays, avec l’Italie, qu’il affectionne tout particulièrement. « La générosité des Américains m’inspire énormément. J’aime leur optimisme envers et contre tout. J’aime aussi être libre de pouvoir vivre ma foi – c’est essentiel pour ma vie. J’essaie d’aller à la messe à Saint Patrick tous les jours. Cela m’aide à construire pour Harry Winston une marque belle, généreuse et porteuse de sens. »
Et si Harry Winston s’adresse aux richissimes de ce monde, il n’y voit pas de contradiction, bien au contraire: “Un jour, a la boutique Cartier de Tokyo, une jeune-fille est venu s’acheter une montre à 100 000 dollars pour son anniversaire. C’était l’une des personnes les plus tristes que j’aie jamais rencontrées. L’argent ne suffit pas à donner un sens à la vie, croyez-moi”.
Carla Bruni se prend la tête avec une baguette
On commence avec un peu de légèreté et beaucoup de moqueries. Carla Bruni-Sarkozy a été la cible ces derniers jours des quolibets de la presse américaine pour le fiasco que semble avoir été son premier jour de tournage avec Woddy Allen. La belle qui incarne un commissaire d’exposition dans le dernier film du réalisateur américain a dû refaire 34 fois la même scène: sortir d’une supérette avec une baguette sous le bras… Vanity Fair se montre d’ailleurs sceptique quant aux performances de l’actrice, la citant “Peut-être serai-je très mauvaise”, explique-t-elle. Peut-être, on le saura bientôt” remarque le magazine…
L’article du New York Daily News parle de “quelques reportages plutôt hilarants” qui seraient sortis à Paris à propos du tournage et titre par un très sec ”Woody Allen n’est pas impréssionné par Carla Bruni”. Le journal, reprenant des sources britanniques, cite des propos tenus anonymement par quelque quidam présent sur le tournage: Carla Bruni “luttait pour éviter de regarder directement la caméra, ce qui n’impressionnait pas Woody Allen” et ajoutant: “La scène de la baguette aurait pu être plus simple mais Carla Bruni voulait en faire une grande scène“. Le journal remarque, un peu taquin, que “si elle a donné à Allen un gros mal de tête à la place, le réalisateur l’a minimisé”. Et citant le Mail, le New York Daily News ajoute que Woody Allen “ne semblait pas particulièrement enthousiaste par le jeu de Carla” . Ca promet…
Et puis son mari a fait parler de lui avec son voeu de renforcer le dispositif légal pour l’expulsion des Roms, souvent appelés “gens du voyage”. Toute cette semaine, la presse américaine est revenue sur le débat. Et le New York Times choisit son camp en anglant l’un de ses papiers sur le combat entre le président et les associations de droits de l’homme:” le président Nicolas Sarkozy a décidé l’expulsion de Rom clandestins et d’immigrés itinérants ainsi que le démantèlement de leurs camps dans une action qui a été qualifiée par les groupes de défense des droits de l’homme de xénophobe et critiquée par ses opposant politiques”
Le New York Times met en rapport cette dureté de ton et d’action qu’applique Nicolas Sarkozy avec sa baisse de cote de popularité et les émeutes de 2005, où cette même intransigeance l’avait fait grimper dans les sondages : “M. Sarkozy sortit de cet épisode (“racailles” et “karsher”, ndlr) avec des sondages montrant qu’il avait adopté la bonne approche (…) Maintenant, confronté à un fort taux de chômage et forçant les réformes sociales et économiques compliquées, M. Sarkozy fait face à une popularité déclinante dans les sondages et à une élection en 2012 contre un PS renforcé”
Un article du Boston Globe lui aussi souligne d’emblée les accusations des associations qui considèrent que le “gouvernement agit de façon raciste dans son traitement des Roms”. Le journal prend un angle très engagé pointant les précédentes persécutions dont les Roms ont fait l’objet. Selon le journal, le langage très rude du président “a un fond qui glace le sang dans un pays où les authorités ont rassemblé les Roms et les ont envoyés en camp de concentration sous l’occupation nazie pendant la seconde guerre mondiale (…) Jacques Chirac avait condamné ’la folie nazie qui avait voulu éliminer les Roms’”. Un rappel qui ne peut que pousser à faire la comparaison avec le pouvoir actuel en France… Et une analyse qui va peut-être un peu trop loin ou qui du moins manque de nuance..
Et enfin c’est un fait divers qui a également retenu l’attention des médias américains cette semaine. Une assistante maternelle, Dominique Cottrez, a reconnu avoir tué 8 de ses propres enfants. Le Time Magazine tente de comprendre les raisons d’un tel acte dans un article et pointe la nationalité française de l’accusée, étrange analyse : “La question est aussi horrible qu’importante à poser: pourquoi y’a-t-il un nombre grandissant de femmes françaises qui tuent leurs nouveaux-nés?”
D’après les experts interrogés par le journaliste, les cas d’infanticides de ce genre “résultent d’un déni de grossesse, une situation souvent mal comprise et minimisée (…) le déni de grossesse est quasiment un état de schizophrénie dans lequel les femmes soit ne réalisent pas soit n’acceptent pas qu’elles vont avoir un enfant – même pas suffisamment pour se faire avorter”.
Le journaliste conclut par cette question “glaçante”: “Y’a-t-il vraiment quelqu’un pour croire que ce phénomène en expansion de déni de gossesse – et l’infanticide auquel cela peut mener – est un problème purement français?” A vous de juger…
Aerosmith enflamme le Jones Beach Theatre
Aerosmith sont devenus des icônes dans le monde de la musique rock’n roll. De leur premiers classiques tels que “Dream On” et “Sweet Emotion” à leurs réussites modernes, comme “I Don’t Wanna Miss a Thing» et «Love in an Elevator”, Aerosmith est devenu l’un des plus grand groupe de rock de l’histoire.
Les Bad Boys de Boston continuent au fil des années à ravir leurs fans avec des concerts remplis d’énergie. Si vous aussi vous avez l’esprit rock’n roll, ne loupez pas leur concert le 12 août au Jones Beach Theatre
Le mardi 12 août à 7.30pm (ouverture des portes à 6.30pm)
John Beach Theatre
Informations : (516) 221-1000 et réservations ici
Dansez avec un professionnel!
Oubliez les petites salles de danses obscures avec pour professeur une vieille danseuse aigrie aux rêves de ballerines brisés. Le danseur et chorégraphe Thierry Thieu Niang chapeautera pendant une semaine des ateliers de danse. Ces cours concernent tout le monde, jeunes, moins jeunes, danseurs aguerris ou néophytes.
Les classes seront consacrées au travail du corps et du visage, ainsi qu’à l’improvisation et la chorégraphie. A la fin du programme, les chanceux qui auront suivi le programme participeront à un spectacle gratuit qui aura lieu les 27 et 28 août à l’Invisible Dog Art Center, à Brooklyn (Cobble Hill).
5 jours d’ateliers: $100
Ateliers intensifs: $150
15-20 élèves par classe
Les ateliers dureront 15 jours et on ne peut s’inscrire que pour un minimum de 5 jours.
Pour s’inscrire, envoyer un mail à cette adresse: [email protected], avec un CV et une petite autobiographie.
Pour en savoir plus, cliquer ici.
Photographier n'est pas copier
Au premier abord, la nouvelle exposition du MoMA – The Original Copy, Photography of Sculpture – semble limitée. L’idée de mettre en lumière les liens étroits entre sculpture et photographie est séduisante mais la première salle décevante. Les photos de statues par Charles Nègre, Clarence Kennedy et d’autres sont belles et poétiques certes mais le tout est figé et l’intérêt difficile à saisir.
Au premier abord, on est un peu perdu aussi, des photos du XIXème siècle en côtoient d’autres du XXème, comme celles d’Ann Hamilton ou Louise Lawler (et son intéressante photographie d’une exposition, comme mise en abyme). On ne cerne pas bien la scénographie de l’exposition.
Au premier abord toutefois. Car après 5 minutes de tâtonnement, les textes de présentation aidant, on se laisse emporter dans cette histoire d’amour compliquée entre photographie et sculpture. Et on s’amuse à chercher au fil des salles et des thèmes qui se succèdent les évolutions à la fois de l’art de photographier et de l’art de sculpter. Puisque c’est bien là que réside le propos et l’intérêt de l’exposition : cerner comment la photographie a alimenté l’évolution de la sculpture avec pour questionnement transversal celui des liens entretenus en original et copie. Ainsi comment la copie – la photographie – devient art à son tour.
L’exposition est organisée de façon thématique (10 thèmes). La première partie revient sur l’usage premier de la photographie en lien avec la sculpture: documenter. Charles Nègre et d’autres avaient pour mission ou désir de témoigner d’un patrimoine (souvent pour des archives). De cette salle se dégage une atmosphère étrange, le calme marmoréen des statues, de ces corps figés laisse songeur. Plus loin, la photo est alliée de la sociologie quand elle est utilisée par Walker Evans ou Robert Frank pour montrer les monuments américains comme symboles d’une culture. Elle est aussi celle qui transforme comme d’un coup de baguette magique en sculpture. On pense ainsi aux étranges sculptures involontaires de Brassaï (ticket de métro déchiré, mie de pain roulée…). La photographie endosse tous les rôles, comme un jouet entre les mains des artistes.
Certaines sections sont plus intéressantes et frappantes que d’autres, comme celle consacrée à Rodin. Les photographes Edward Steichen et Eugène Druet sont parvenus à donner vie à la sculpture. Le premier a mis en scène le célèbre “Penseur” dans un cadre sombre comme un paysage à la nuit tombée. Il devient une silhouette fantomatique. Le second s’est consacré aux mains sculptées de Rodin, tordues, crispées, douloureuses. Les posant dans des draps blancs, on croit réellement voir des mains de chair et d’os, agrippant le tissu. La sculpture prend alors vie.
La partie de l’exposition consacrée aux photographies par Brancusi de son atelier donnent à voir une dimension nouvelle de la photographie. Organisant son atelier et ses oeuvres dans le but de prendre différentes photos, l’artiste met aussi en scène pour photographier mais montre en plus le processus créatif, les coulisses de son art.
Et puis la section consacrée au performing art montre comment le corps qui sert de support artistique devient sculpture grâce à la photographie, comme Hannah Wilke et ses différentes poses dans “Starification” ou Eleanor Antin et la photographie méthodique de son corps nu sur sept jours pendant un régime… La photographie permet alors de garder une trace d’une œuvre temporaire.
Par ses interrogations multiples sur photographie et sculpture, l’exposition du MoMA embrasse une question plus vaste : comment se définit l’art ? Vaste et insoluble question que l’exposition s’efforce de d’éclaircir ou du moins d’enrichir. Et si la photographie a peu à peu gagné son statut d’art à part entière, elle reste malgré tout – et c’est ce que montre l’exposition – un médium de communication, bien plus que tout autre art.
The Original Copy, Photography of Sculpture – 1839 to today
Du 1er août au 1er novembre
The Museum of Modern Art
11 West 53 Street
New York, NY 10019
(212) 708-9400
Dégustation de vins au Fiaf
Venez découvrir les trois plus grandes régions viticoles françaises : Côte du Rhône, Bordeaux, Bourgogne à travers cet atelier de dégustation proposé par le Fiaf de New York. Thierry Bidault de l’Isle, auteur du livre intitulé «Vins, Champagne, etc”, vous dira tout sur les capages et les terroirs.
Testez votre palais et découvrez comment reconnaître, choisir, conserver et servir un vin abordable, mais de bonne qualité. Un moment convivial pour améliorer son vocabulaire oenologique tout en dégustant de bons vins!
Les participants doivent avoir 21 ans ou plus.
Dégustation à 60$
Le vendredi 6 août de 5.30pm à 7.30pm.
French Institute Alliance Française
22 East 60th Street
Between Park and Madison avenues
New York, NY 10022
Tel. 212 355 6100
Pascalito au Metropolitan Room
Entrée 12$ + deux consommations minimum
Shopping d'été
La boutique chouchou des fashionistas n’a toujours pas fini de solder. Rendez vous chez Opening Ceremony pour trouver chaussures, pièces de créateurs et accessoires à la pointe de la tendance. Si les noms Alexander Wang, Patrik Ervell, ou Chloë Sevigny vont font rêver, venez profiter des prix affichant jusqu’à 70% de rabais.35 Howard St., nr. Crosby St. (212-219-2688); M–S (11–8), Su (noon–7).
Dépêchez vous, vous avez jusqu’à dimanche pour courir à la boutique vintage What Comes Around Goes Around’s. Entre 30 et 50% off vous seront offerts sur la collection de l’été. 351 West Broadway, nr. Broome St. (212-343-1225); M–S (11–8), Su (noon–7).
Le magasin de luxe Boutique Resale affiche des prix défiant toute concurrence. Le sac Louis Vuitton doré est à 499$ au lieu de 1695$, le manteau Marni imprimé à 224$ au lieu de 1250$, les sabots en bois Pucci à 62$ au lieu de 450$. 1045 Madison Ave, nr. 80th St. second fl. (212-517-8099); M–S (10:30–7), Su (noon–7). 141 E 62nd St., second fl. (212-588-8898); M–F (11–7), S (10:30–6:30). 227 E 81st St., nr. Second Ave. (212-988-8188); M–S (11–7), Su (noon–7).
Nuits chaudes d’été, c’est l’occasion de faire un petit tour chez Kiki de Montparnasse, où la lingerie de luxe le laissera sans voix. Soutiens gorge en dentelle française à 158$, en soie pour un look de pin up à 148$, c’est le moment de craquer. 79 Greene St between Broome and Spring Sts (212-965-8150, kikidm.com). Mon, Tue 10am–8pm; Wed–Sat 10am–9pm; Sun
Envie d’exiber fièrement votre bronzage des beaux jours? Les robes de la boutique A. Cheng sont faites pour vous. Celles de la marque A. Cheng passent de 229$ à 114$, les Paul&Joe Sisters de 218$ à 109$. Vivement le prochain cocktail sur un rooftop! 152 Fifth Ave between St. Johns and Lincoln Sts, Park Slope, Brooklyn (718-783-2826, achengshop.com). Mon–Fri 11am– 7:30pm, Sat 11am–7pm, Sun 11am–6:30pm. Sun 1–Aug 25.
Attention, ces soldes de fin de saison ne sont à louper sous aucun prétexte. Marc Jacobs, Tracy Reese, Cynthia Steffe, autant de créateurs proposés dans le multimarques Purdy Girl. Déjà sur notre liste de courses, la robe bustier perlée à 98$ au lieu de 198$, les chaussures plate-forme en bois Matiko à 109$ au lieu de 172$, on adore… LaGuardia Pl between Bleecker and W 3rd Sts (646-654-6751). Thu 29 11am–8pm, Fri 30 11am–9pm, Sat 31 10am–9pm • 220 Thompson St between Bleecker and W 3rd Sts (212-529-8385). Thu 29 11am–8pm, Fri 30 11am–9pm, Sat 31 10am–9pm • 464 Columbus Ave between 82nd and 83rd Sts (212-787-1980). Thu 29, Fri 30 11am–8pm; Sat 31 10am–8pm • purdygirlnyc.com.