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NYC Restaurant Week : un tour du monde gastronomique à New York

Et c’est reparti pour un tour. L’édition Summer 2010 de la Restaurant Week débute le 12 juillet. C’est l’occasion de faire un tour du monde gastronomique de deux semaines dans plus de 250 grands restaurants pour régaler les papilles les plus exigeantes. Le tout sans sortir de la Grosse Pomme et à  des tarifs qui n’affligeront pas votre banquier. La NYC Restaurant Week propose cette année de vous sustenter pour quelques 24 dollars à midi et 35 dollars le soir. Et qui dit gastronomie dit cuisine française, of course, le restaurant Adour Saint Regis Park du grand chef Alain Ducasse est ainsi inscrit dans le parcours mais bien d’autres encore. A condition de ne pas oublier de réserver!
Les restaurants français participant à la Restaurant Week:
Adour Saint Regis Park, Artisanal, Bar Boulud, Benoît Restaurant and bar, Brasserie, Brasserie 8 1/2, Brasserie Ruhlmann, Café Boulud, Café Centro, Cafe D’ Alsace, Capsouto Freres, Carlyle Restaurant, Chez Josephine, Marseille, db Bistro moderne, DBGB Kitchen and Bar, Le Perigord, Les Halles Downtown, Les Halles Park Avenue, Le Perigord, The Modern – Bar Room, Nice Matin, Nougatine at Jean Georges, Opia, Orsay, Petrossian – New York, SHO Shaun Hergatt, Steak Frites Union Square, Terrace in the Sky.
NYC Restaurant Week, du 12 au 25 juillet. Pour plus d’informations et réserver, cliquer ici.

Bastille Day en photo

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(Photos 1 à 12: Jean Lebreton; Photos 13 à 32: Junenoire Mitchell)

"1998, un lointain souvenir mariné dans une bouillabaisse de scandales"

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L’été s’annonce difficile pour la France, en plein “malaise” selon la presse américaine. Le magazine World Tribune fait le parallèle avec le parcours de l’équipe de France en Coupe du Monde, “un symbole du malaise qui traverse le pays” entre crise économique et scandales politiques. “L’équipe qui a remporté la Coupe du monde 1998 n’est qu’un lointain souvenir mariné dans une bouillabaisse de scandales, de mauvaises performances sur le terrain, et de bouffonneries louche en dehors du terrain.” Après tout ça, la France aurait dû replonger dans un été sans scandale, surtout que le pire de la crise économique semblait être passé. C’était sans compter sur les cigares de Christian Blanc et les dons de Liliane Bettencourt…
Dans la même veine, le Christian Science Monitor s’en donne à coeur joie en ce qui concerne “l’été de scandales de Sarkozy“, celui qui menace “d’engloutir” le Président. En plus des “critiques sévères” et d’une “presse française déchainée“, ce dernier doit aussi faire face à une série de “petits scandales“, Christian Blanc toujours, Bettencourt encore, mais aussi sa mauvaise entente avec Angela Merkel et la lourde défaite des Bleus lors du mondial. Ajoutons à cela les accusations de “corruption” de Ségolène Royal, le tournage du dernier Woody Allen à Paris avec la première dame de France et la réforme des retraites, l’été du Président ne s’annonce pas de tout repos…

Dans l’analyse de la sulfureuse Affaire Bettencourt toujours, certains journaux américains ont décidé de se placer au-dessus de la mêlée. Le New York Times cette semaine prend donc la tangente et analyse la couverture du scandale faite par les journalistes français. Le quotidien américain estime que cette sombre histoire a révélé la place primordiale des médias internet dans le débat public:“Mediapart [a montré] sa capacité à fixer l’ordre du jour de l’actualité, en France, où ses reportages durant plusieurs semaines ont fourni le contenu pour les unes des journaux du lendemain”. Pour le journal américain, Mediapart – le site d’Edwy Plenel avait publié un article qui révélait que l’UMP aurait reçu une donation illégale de Liliane Bettencourt pour les présidentielles – est toujours en avance sur l’actu et a l’impertinence que les médias les plus reconnus n’ont plus: “Ces sites [Mediapart et Rue89] décrochent fréquemment les scoop avant les journaux, télévision et autres médias en France […] Cela distingue la France des autres pays européens où les médias classiques continuent de révéler la plupart des grosses affaires”. Alors Mediapart le nouveau watchdog de l’hexagone? Et puis, l’affaire a pris un tour beaucoup plus grave ces derniers jours avec les dernières accusations de Mediapart – une enquête a été ouverte – et l’Herald Tribune l’a bien compris. Le journal fait le point sur les défis qui attendent Sarkozy à l’approche de son allocution télévisée ce lundi soir: “Il se bat contre les allégations de don illégal de campagne et la confusion du gouvernement qui menace sa crédibilité juste au moment où il impose des réformes et des coupes budgétaires”.
Nicolas Sarkozy sous l’oeil des médias, cette fois pour sa générosité quelque peu douteuse selon le New York Times, qui pointe dans un article du 5 juillet l’augmentation de légions d’honneur remise à des personnalités du monde de la mode: “Depuis que le président a été élu en 2007, la liste des chevaliers de la légion d’honneur comprend le couturier Giorgio Armani, le couturier François Lesage, la mannequin Inès de la Fressange et les designers Gilles Dufour et Carmen Carven Grog, les fondateurs de Carven”: Mais pourquoi donc un tel coup de foudre pour les podiums? Madame Sarkozy y serait-elle pour quelque chose?…
Roman Polanski est libre depuis lundi, après la décision de la justice suisse de ne pas l’extrader vers les Etats-Unis. Eugene Robinson pour le Washington Post ironise: ” Pour Roman Polanski, le long cauchemar indicible d’être confiné dans son chalet de trois étages à Gstaad, la station de luxe dans les Alpes suisses, est enfin terminé.” Libre de se balader dans les rues de la ville Suisse, celui-ci peut également envisager un retour en Pologne ou en France, “les deux pays où il a la citoyenneté – et où les autorités agissent comme si la célébrité et le talent de Polanski pouvaient en quelque sorte nier sa brutalité sexuelle sur une jeune fille de 13 ans .” Pour conclure un article très virulent à l’encontre du réalisateur et le tout Hollywood qui l’a soutenu dans cette affaire, le journaliste se demande: “Tant qu’il évite de la justice américaine, pourquoi ne pas également nous tenir à l’écart de ses films?
Ozal Emier et Anne-Lise Fernandez

Les Red Bulls en ébullition

La date n’est pas choisie au hasard. L’annonce du nouveau “joueur désigné” des Red Bull sera faite…roulement de tambours, le 14 Juillet. Le club  a entamé son teasing marketing jeudi dernier avec un SMS envoyé aux supporters. Le texto annonçait que la révélation serait faite le « 07.14.10 ». Des vidéos en ligne ont suivi sur le thème « 100 rumeurs, 50 noms, 1 star ».  Ce fut ensuite un communiqué annonçant la présentation du joueur le 15 Juillet à 1.15pm au cours d’une conférence de presse. Mais l’annonce donc sera bien faite la veille, confirme le porte-parole des Red Bulls qui ne veut pas donner  plus de détails.
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=7GT1cGY-87o]
La date laisse présager ce que tout le monde sait déjà : l’arrivée de Thierry Henry. Quel meilleur jour que « Bastille day » pour annoncer la venue du joueur français?  Thierry Henry porte aussi le maillot 14 dans l’équipe de Barcelone.
Le timing est parfait pour le club : il bénéficie de la fenêtre médiatique ouverte par la coupe du monde ainsi que le rendez-vous manqué de New York avec le joueur star LeBron James. «Après avoir perdu la plus grande star de basketball au monde, New York va récupérer l’une des plus grande stars de football“, écrit le journaliste du New York Post. Thierry Henry parviendra-t-il à consoler les New Yorkais déçus que LeBron James ait préféré Miami aux Knicks?
Une chose est sûre, beaucoup d’espoirs sont placés sur lui. Le club compte sur lui pour l’aider à remplir son nouveau stade flambant neuf dans le New Jersey le Red Bull Arena. Malgré une bonne saison marquée par des victoires et l’engouement des Américains pour le foot nourri par un mois de coupe du monde, samedi, 16 000 personnes sont venues assister au match de l’équipe contre Washington,  dans un stade qui peut en accueillir plus de 25 000. Thierry Henry fera-t-il se déplacer les foules? A en juger du buzz autour de son arrivée, oui. Avec ou sans Thierry Henry, les Red Bulls sont déjà des champions, du marketing.

La location à court terme interdite à New York

Arrivée de Bretagne à New York en 1987, Marie-Reine Jézéquel est une des pionnières de la location de meublés à court terme. Son agence, New York Habitat, loue désormais des milliers d’appartements à New York, Paris, Londres ou dans le sud de la France. Une success-story désormais menacée par une loi de l’Etat de New York qui interdit purement et simplement la location d’appartements pour moins de 30 jours. “Je suis sous le choc, dit-elle. Cette loi a été a adoptée très vite et d’un coup c’est tout une industrie qu’on a mis vingt ans à construire qui est menacée”.
La loi a déjà été adoptée par le sénat et l’assemblée législative de l’Etat de New York. Il ne manque plus que la signature du gouverneur, David Paterson pour qu’elle entre en vigueur. Selon ses promoteurs, la mesure vise les propriétaires qui, rachetant parfois des immeubles entiers, convertissent des appartements en hôtels sans les permis nécessaires. La sénatrice Liz Krueger, un des auteurs de la loi, assure que les particuliers “n’ont rien à craindre: ce sont les propriétaires qui contournent la réglementation hôtellière qui sont visés”. Des propos qui ne rassurent pas les professionnels de ce qu’on appelle désormais la “para-hôtellerie”: “ce que dit la sénatrice n’est pas important. Ce qui compte c’est ce qui est dans le texte de la loi. Or ce texte est très général. Il s’appliquera aussi aux particuliers qui louent leurs appartements de temps en temps” assure Olympe Hispard, l’avocate de New York Habitat.
Les Bed & Breakfasts, enregistrés comme tels, échappent à l’interdiction, tout comme les “brownstones” et autres “townhouses”, puisque la loi vise explicitement “les appartements situés dans des immeubles de plus de 3 unités”. Le texte prévoit aussi une exemption qui autorise à accueillir chez soi des visiteurs “pour prendre soin d’un animal domestique ou de plantes”, pendant l’absence du propriétaire…
Les professionnels de la location à court terme, agences mais aussi sites internet mettant en relation propriétaires et visiteurs, tentent de s’organiser. Co-fondateur de Airbnb.com, un site spécialisé, basé à San Francisco, Brian Chesk, a demandé à ses membres de lui envoyer leurs témoignages: “ce sont des centaines de familles qui vont être affectées, pour lesquelles la sous-location temporaire représente un complément de revenus”. Les professionnels craignent surtout de voir la location devenir “souterraine” et donc rendre les touristes plus vulnérables face à des loueurs indélicats. Airbnb.com, comme d’autres sites, se présente au contraire comme une garantie: l’argent n’est remis au propriétaire qu’une fois le locataire entré dans les lieux, une manière de se prémunir contre les arnaques. “Craigslist ne va disparaître, les sous-locations non plus. Le seul effet de cette loi ce sera d’éliminer les professionnels qui aujourd’hui protègent propriétaires et touristes”, s’insurge Marie-Reine Jézéquel.
Le site Airbnb.com a lancé une campagne auprès de ses membres pour les encourager à téléphoner au gouverneur afin de le convaincre d’opposer son veto à la loi. Mais ils ont peu de chance d’être entendus, car la loi n’est pas seulement soutenue par le lobby des hôtelliers. Elle a aussi le soutien de toutes les associations de défenses des locataires, qui accusent les propriétaires de vouloir transformer des immeubles à loyers modérés (“rent stabilized”) en meublés à court terme, excluant ainsi de la ville les locataires les plus modestes. Au nom de ce noble objectif, Albany (la capitale de l’Etat de New York) semble prêt à sacrifier les touristes et visiteurs les moins aisés. En juin le prix moyen de la nuit d’hôtel à Manhattan s’établissait à 232 dollars…

La business class apprend la modestie

La filiale de British Airways a le succès modeste et discret. Un peu comme ses clients qui ont adopté la «raisonnable attitude». Comme le souligne Jean-Charles Perino, le Directeur Commercial d’Openskies, «la crise a largement favorisé l’émergence d’un nouveau comportement des hommes d’affaires et de leurs entreprises. Plus question de payer des sommes folles pour sept heures de vol en classe affaires alors qu’il existe une alternative confortable et beaucoup moins chère.» Bien joué, le produit est juste parfaitement adapté à la période de crise.
Quelques chiffres suffisent à démontrer aux sceptiques de la première heure qui n’auraient pas mis un dollar sur l’avenir de la compagnie (lancée en 2007 sous le nom de l’Avion, puis rachetée depuis par British Airways et rebaptisée Openskies), que le succès est bien là : 29% de part de marché sur le segment premium de la ligne Paris New York ! 155 000 passagers transportés en 24 mois de fonctionnement et un coefficient de remplissage supérieur à 70% sur les trois derniers mois. Un succès basé sur les prix avant tout: pour l’été Openskies propose par exemple l’aller retour Paris New York Paris à 1300 Dollars (1000 €). Des prix à peine supérieurs aux classes éco des compagnies traditionnelles.
Deux ans, c’est bien pour tirer un premier bilan et Jean-Charles Perino ne s’en prive pas : «Nous pouvons être satisfaits car les objectifs sont atteints aussi bien en terme de remplissage qu’en terme de recettes. Nous sommes au-delà des prévisions, ce qui ne fait que confirmer que nous sommes sur un business model robuste. Je n’en ai jamais douté ! »
Et quand les affaires vont bien, que l’actionnaire principal (British Airways) est satisfait, et que les clients expriment un taux de satisfaction remarquable (96% des clients Openskies interrogés sont prêts à recommander la compagnie), il est plus facile d’envisager l’avenir avec sérénité. «Dernier développement en date, nos pré-acheminements depuis Nantes et Lyon vers Orly sont d’ores et déjà un succès. Nous cherchons, d’autre part, à faire évoluer notre offre de divertissements à bord et, dans une moindre mesure, le catering, c’est-à-dire l’offre repas-boissons » déclare J.C Perino. Le système pour visionner des films ou écouter de la musique à bord  est effectivement le point faible des services offerts par la compagnie.
Enfin il y a l’ouverture d’une troisième ligne après New York et Washington, opérée depuis mai 2010. Les paris sont ouverts : New York vers une autre capitale européenne (il y a déjà eu Bruxelles, mais la ligne fut arrêtée l’an dernier), Paris vers une autre ville de la côte est américaine (Montréal ???) ou Paris vers une destination du Golfe ?
Les slots (créneaux horaires) ont été accordés par l’Aviation Civile Française. Réponse à la fin de l’été pour un démarrage pendant l’hiver.
Openskies, la petite compagnie,  grandit à son rythme. Ses inconditionnels s’en réjouissent, tout en souhaitant qu’elle ne ressemble pas trop aux grandes. C’est peut-être la difficulté de l’exercice.

Shopping de Bastille Day

Pourquoi ne pas commencer son shopping avec la marque française très avant-garde Lilith qui propose des soldes de moins 40% à 50% jusqu’au 31 juillet. Le manteau de pluie rose est à 395$ au lieu de 790$, la petite jupe couleur or et lavande à 298$, au lieu de 595$. 227 Mulberry St., nr. Prince St. (212-925-0080); M–S (11–7), Su (noon–7).
Avis aux fashionistas, Opening Ceremony, le magasin reconnu comme LE plus branché de New York solde! On rêvait des chaussures « Buckles » dessinées par Chloë Sevigny pour la marque, elles passent de 995$ à 299$. La petite veste en cuir Alexander Wang est à 578$ au lieu de 1925$, on n’a jamais vu de pareils soldes !  35Howard St between Broadway and Crosby St (212-219-2688, openingceremony.us). Mon–Sat 11am–8pm, Sun noon–7pm. Thu 8–July 22.
Besoin d’une jolie robe de cocktail, c’est aux soldes de Ted Baker que ça se passe. Les robes y seront bradées à 92$ au lieu de 185$.107 Grand St. (212-343-8989); M–S (11:30–7), S (noon–6).
American Apparel, Marni, Rock & Republic, Superdry, DKNY, c’est peut être le moment de sortir de la ville pour faire les soldes au Woodbury Common Premium Outlets et économiser de 25 à 65% sur vos marques préférées. 498 Red Apple Court, Central Valley (845-928-2006); Th–M (9–9).
Robes délicates de la marque Vivienne Tam seront vendues jusqu’à 75% off. La robe mousseline imprimée passe de 550$ à 195$, la robe bustier de 530$ à 160$. Si vous dépensez plus de 200$, un foulard imprimé vous sera offert, pourquoi s’en passer ? 260 W 39th St between Seventh and Eighth Aves, 11th floor (212-840-6470, viviennetam.com). Wed 14 9am–8pm, July 15 9am–7pm, July 16 9am–6pm.
Le Cooper Square Hotel organise deux fois par mois les samedis (jusque septembre) un petit marché dans son jardin, rien de tel pour traîner ce week-end. Dégustez un « ministromboli” prosciutto, mozzarella à 5$ tout en feuilletant des vieux magazines des années 60. Les robes vintage Marc by Marc Jacobs seront soldées de 40$ à 100$, 25 Cooper Sq at 5th St (212-475-5700, thecoopersquarehotel.com). Sat 10 1–7pm. Through Sept 25.

Festival Sud de France: de la Bastille au Languedoc

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Pour Bastille Day, Sud de France sera au rendez vous le 14 juillet à Water Taxi Beach et le 18 au restaurant Bar Tabac de Brooklyn (pour plus d’infos, voir notre article consacré au 14 juillet). Lors de ces deux soirées, Sud de France proposera une sélection de vins du Languedoc-Roussillon et la possibilité de gagner des produits Sud de France. Enfin, le 20 juillet, Sud de France s’associe à Mark Fine, directeur de Gérard Betrand, pour une soirée toujours consacrée aux vins du Languedoc-Roussillon au restaurant Covo.
-14 Juillet: Water Taxi Beach, Long Island City.
Prix: $20.
Réservation: http://frenchtuesdays.com/events/ny071410/
-18 juillet: Restaurant Bar Tabac, 128 Smith Street, Brooklyn, entre Bergen et les rues du Pacifique à partir de midi.
-20 juillet: Covo, rue 701 W. 135e, à partir de 19h00.
Prix: $75 par personne

Tournois de pétanque à Brooklyn pour Bastille Day

Le dimanche 18 juillet, la communauté française de Brooklyn fête son Bastille Day dans deux lieux incontournables, La Boîte en Provence et le Bar Tabac.
La Boîte en Provence
Rendez vous donc à l’ombre des platanes de Degraw Street à Brooklyn pour le grand tournoi de Boîte en Provence. Plus de 68 équipes s’affronteront à la pétanque alors que les enfants pourront profiter d’un coin « tir au penalty » ou du château gonflable. Jean-Jacques, le propriétaire, servira le petit déjeuner (croissants et pains au chocolat) dès 7h30 dans une “ambiance familiale”. Le BQQ fournira saucisses et merguez pour les petits creux et petits pastis bien du sud seront servis au bar pour les grandes soifs. Trois groupes de musique se succéderont tout au long de la journée avec de la chanson française, du Gipsy puis du Rock n’Roll.
Tournoi de pétanque à partir de 11H30.
Inscription par mail à [email protected] ou téléphone au 718 799 0707, participation de 20$ par équipe de 2.
Boîte en provence, 262 Smith Street (entre Smith St et Degraw St) de 7h30 à 23h
Le Bar Tabac
Le restaurant Bar Tabac à Brooklyn propose lui aussi son tournoi de pétanque. Il aura lieu le dimanche 18 juillet, à partir de 11H sur Smith Street entre Bergen St et Pacific St. Plus de 80 équipes venues du monde entier y participeront. Live musicaux, pastis et « bonne bouf », encore une bonne occasion de fêter Bastille Day!
Pour plus d’informations, http://www.bartabacny.com/
Bar Tabac, 128 Smith St, Brooklyn NY 11201 At Dean St

Deux Français à P.S.1 pour le Warm-Up

Tous les samedis après-midi de l’été la cour de P.S.1. accueille les meilleurs musiciens et DJs du moment à partir de 15h. Ce samedi, c’est la marque française Agnès b. qui régale, avec au programme les new yorkais Gatekeeper et Veronica Vasicka, mais aussi les deux français Acid Washed et Klement du label Contre Coeur.

P.S.1 Contemporary Art Center, 22-25 Jackson Ave (at 46th Ave), Long Island City, Queens, 718-784-2084
Prix: $15

Le Zouk de Kassav au Terminal 5

“Galette de manioc”, c’est ce que signifie “kassav” en créole. C’est aussi le nom de ce groupe, origianire de Guadeloupe et Martinique, formé à la fin des années 1970 par Freddy Marshall et Pierre-Edouard Décimus. Considéré par beaucoup comme le créateur de la musique Zouk, Kassav est aujourd’hui composé de six membres, parmi lesquels Jean-Claude Naimro, arrangeur de Barry White dans les années 1970 et Jacob Desvarieux, qui a notamment chanté avec le rappeur Passi et sa formation Bisso Na Bisso sur le titre “Laisse parler les gens”.
Le 16 juillet à 20h
Terminal 5, 610 West 56th Street
Plus d’infos ICI

Les nuits de DJ Super Jaimie

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Charlotte Balibar aka DJ Super Jaimie habite New York depuis 1996. Sa passion de longue date pour la musique l’amène à s’essayer aux platines dans un bar/lounge de son quartier de Brooklyn. Deux ans plus tard elle décide de faire le grand saut et de quitter, après 10 ans, un milieu “corporate” où “elle ne se sentait définitivement pas épanouie et accomplie”.
Charlotte est actuellement DJ résident à l’hôtel Hudson et Royalton, au restaurant Fig & Olive dans le Meatpacking, et commence tout juste une quatrième résidence au Thom Bar de l’hôtel Thomson à Soho. Son parcours inclut d’autres endroits phares de la nuit comme l’hôtel Rivington ou Empire, Club Lotus, Quo, High bar, One, Providence, Bubble Lounge, SOBs, Le Poisson Rouge… Son site: www.charlottebalibar.com (et: www.myspace.com/carlotta180; Page Facebook).
Pour ce premier numéro et début d’été, DJ Super Jaimie propose ses bonnes adresses de la nuit et une Playlist infusée de soleil.

Les adresses de DJ Super Jaimie

A ne pas manquer en Juillet:

Soirées ÉTÉ D’AMOUR (Page Facebook) tous les dimanches à l’hôtel STANDARD : les soirées légendaires lancées dans les années 90 à Paris ont débarquées à New York en 2008. Elles mélangent dance/disco/house music, une ambiance chic & éclectique et vue imprenable sur le skyline New Yorkais.

Mon Top 5 de la nuit pour cet été:

Hudson Hotel : private park, Hudson bar, sky terrasse ou library bar : 5 endroits en un ! L’hôtel a accueilli pendant des années les excellentes soirées House Giant Step ; tous les mardis au private park, Lady Starlight (une des proches de Gaga qui se pointe d’ailleurs assez souvent) mixe sur vinyls du punk-rock rétro dans une ambiance assez lounge. Vous me trouverez derrière les platines de l’autre coté, au Hudson bar un mardi sur deux.

RDV : en dessous du restaurant Bagatelle dans le meatpacking. Une grande lounge rétro-classy un peu secrète ; toujours plein de beau monde et musique très pêchue !
La Esquina : un autre endroit secret de New York que j’adore faire découvrir aux visiteurs ! De l’extérieur, une cantine mexicaine typique qui cache un restaurant/brasserie/bar tout en voûtes et décor rétro mexicain. DJs tous les soirs de 10pm a 2am. Y aller tôt ou réserver une table !
60 Thomson : Thom Bar avec DJs tous les soirs à partir de 10pm, rooftop bar (accessible aux clients de l’hôtel) & KITTICHAI restaurant. Soirée spéciale pour le 14 Juillet au THOM Bar à partir de 10pm avec DJ Alex from Tokyo.
Water Taxi Beach (Page Facebook) : soirées à Long Island City tous les week ends et parfois dans la semaine ; tout à l’extérieur sous une grande tente avec d’excellents DJ House, une superbe vue sur Manhattan et un dancefloor de sable !

La playlist de DJ Super Jaimie

Sunkissed playlist de DJ Super Jaimie (cliquer sur la flèche pour écouter un extrait):