Accueil Blog Page 1850

Les corps d'Ariane Lopez-Huici

0

Des femmes volumineuses et nues qui posent en groupe et sourient comme les joueurs d’une équipe victorieuses de football. Le spectateur hésite à se détourner ou à s’approcher. L’oeuvre d’Ariane Lopez-Huici, dont les photos sont montrées jusqu’au 2 février à la galerie de la New York Studio School (8W. 8th St.) surprend et choque, dans le contexte du puritanisme newyorkais. C’est une oeuvre qui vient d’ailleurs, mais à laquelle seule la liberté de New York a permis d’éclore.

http://www.lopezhuici.com/]” class=”alignright” alt=”Dalila (ALH, [www.lopezhuici.com->http://www.lopezhuici.com/]” src=”/phpThumb/phpThumb.php?src=/IMG/jpg/2001_Dalila_4601-8_copyrightALH.jpg&w=310″ />
1. Enfance orpheline
Ariane Lopez-Huici est née à Biarritz d’un père basquo-chilien et d’une mère lorraine. En elle les deux extrêmes, le nord et le sud, se rejoignent. Ses parents anarchistes ne croient pas à l’éducation. Elle habite pendant dix ans avec ses parents et son frère aîné sur un voilier qui vogue de pays en pays méditerranéen. Elle ne va pas vraiment à l’école. Elle a dix ans quand ses parents meurent dans un accident de voiture.
Sa vie change du tout au tout. Elle part vivre chez ses grands-parents maternels à Paris, où habitent également ses grands-parents paternels, anciens ambassadeurs du Chili à Vienne. Elle a un tel retard scolaire que ses grands-parents l’inscrivent dans un cours spécialisé pour enfants malades. Entre dix et dix-sept ans, elle vit une vie normale, et acquiert la conviction qu’elle ne veut pas de cette vie programmée et bourgeoise. Elle est mauvaise élève. Tout ce qui est scolaire l’ennuie. L’école est trop éloignée de ses préoccupations, qui consistent à tenter de résoudre les complications de la vie. Tôt, elle décide d’aller vers ce qui la passionne: l’art. Elle ne sait pas encore sous quelle forme.
2. Le goût de l’ailleurs
Après un passage par l’école du musée Nissim de Camondo, elle cherche du travail. Une des lettres qu’elle envoie reçoit une réponse: on lui propose de partir à New York travailler comme assistante dans un bureau d’architecture. Elle débarque à New York, où elle vit dans un hôtel pour femmes avant de partager un appartement avec d’autres filles, séduite d’emblée par la liberté et l’énergie qui viennent de la multiculturalité. L’idée qu’elle a de New York lui vient des films hollywoodiens avec Marlon Brando et James Dean: celle d’une Amérique sexuelle et libre. Elle est jeune, a beaucoup d’aventures, et ressent la légèreté d’être une étrangère. Mais son contrat prend fin au bout de deux ans: elle est contrainte de rentrer en France
.
Même à Paris, l’ailleurs l’attire. Elle rencontre chez des amis un cinéaste brésilien deux fois plus âgé qu’elle, Nelson Pereira Dos Santos, père du cinéma novo brésilien, qui l’embauche comme assistante, devient son amant et, le premier, l’oriente vers la photo. Elle a choisi instinctivement la main qui se tendait pour l’aider à sortir d’une certaine conformité bourgeoise et parisienne. Nelson, qui fait du cinéma dissident dans un pays dirigé par des militaires, est un homme de gauche et un contestataire. Pendant cinq ans, Ariane voyage entre Paris et le Brésil. Mais elle sent la fin: au Brésil, Nelson a sa famille. Il faut qu’elle prenne son indépendance.
3. New York, ville pour les artistes et les femmes
En 1976, à Paris, dans une galerie d’art de la rue Beaubourg, elle rencontre le sculpteur français qui, un an plus tard, deviendra son mari. Alain Kirili séjourne souvent à New York. Elle l’y rejoint. Ils décident de s’y installer en 1980, quand l’opportunité se présente d’acquérir à Tribeca un loft d’artiste. New York est à l’époque une ville où l’on peut vivre avec pas grand chose. Pour cette génération d’artistes des années 70 et 80, c’est l’équivalent de Florence à l’époque de la Renaissance. C’est aussi une ville pour les femmes: tout y est permis. Contrairement à la France où on est toujours la femme de quelqu’un, à New York on existe par sa propre activité. Les artistes femmes se battent avec énergie pour être acceptées. Ariane se sent proche du mouvement des “gorilla girls” qui placardent les galeries n’exposant que des hommes et s’indignent à l’idée qu’une femme doive être nue pour entrer dans un musée—en montrant l’Odalisque de Courbet. Sa première reconnaissance comme photographe lui vient en Amérique, quand le musée d’art de Dartmouth College consacre en 1977 une exposition à ses portraits d’artistes.
4. L’excès de la chair
Son intérêt pour le corps se précise. Lors de plusieurs voyages en Inde, elle photographie des femmes en train d’accomplir les tâches les plus dures, et mélange ces portraits avec des photos érotiques. Dans un groupe-show à Paris elle rencontre un danseur qui accepte de se laisser photographier par elle en train de se masturber. La masturbation masculine vue par une femme lui semble un sujet intéressant parce que tabou et non traité, alors que de nombreux artistes, comme Rodin dans ses dessins érotiques, ont traité de la masturbation féminine. Elle en tire une série, “Le solo absolu,” montrée en 92 dans une galerie alternative de New York, AC Project Room. Au cours de l’exposition elle est approchée par une femme volumineuse, Aviva, modèle dans le milieu de l’art. Ariane souhaiterait la photographier. Après avoir refusé d’être montrée sans transposition, Aviva finit par accepter.
La femme dans l’excès de la chair, c’est aussi un sujet tabou. Ariane a un projet: donner voix à la différence. Il lui semble que ces femmes-là ont également le droit d’être représentées nues et qu’elles ont une beauté. À Paris un ami américain, le sculpteur Martin Puryear, lui présente une autre femme rubanesque, soeur d’un de ses assistants: Dalila Khatir. Française musulmane d’origine berbère, Dalila refuse d’abord de se laisser photographier nue. Elles commencent une série avec des voiles, que Dalila ôte ensuite progressivement. Inspirée par le travail d’Ariane, Dalila décide d’accomplir l’acte de courage qui consiste, pour une femme de sa religion en 2008, à se montrer nue.
Pour Ariane, la nature de son travail reste essentiellement liée à son exil newyorkais. Passionnée par la différence, c’est à New York qu’elle a trouvé le courage de montrer un corps différent, à une époque où le corps doit être parfait, lisse, sans ride, plein de botox. Il y a, chez ces corps différents, une blessure plus visible que chez d’autres. C’est cette blessure qu’Ariane souhaite exposer, signe de rupture avec toute forme de conventionalité. Cette blessure, c’est aussi la sienne. Petite et fluette, elle est en sympathie avec ces corps volumineux qu’elle photographie. C’est à New York que l’orpheline à l’histoire familiale différente de celle de tous ses camarades de classe parisiens a appris, quand elle avait vingt ans, à accepter sa différence et assumer sa blessure.

Les bars à chicha, paradis des fumeurs… de nicotine

Tut’s a ouvert sur Orchard Street il y a deux ans, à peu près au même moment qu’une quinzaine d’autres, dans un rayon de vingt blocs. «On se fait pas mal d’argent, explique Andrew le manager, le tabac ne coûte pas cher et on a de plus en plus de réguliers».
Le nombre de hookah bars (bar à chicha) sur New York a considérablement augmenté depuis environ 3 ans. On en recense une quarantaine dans la ville. Les propriétaires de ces fumoirs sont majoritairement égyptiens, mais Russes et Polonais arrivent en masse. Il faut dire que le marché est intéressant: «Le tabac pour le narguilé me coûte 1 dollar, en dehors du prix de l’importation. Les clients eux, le paient entre 20 et 40 dollars» dit le manager de Tut’s.


Nombreux sont ceux qui estiment que le succès des bars à chicha est une conséquence du «Smoke-Free Air Act” qui a pris effet en mars 2003 sur une proposition du maire Michael Bloomberg. D’après le Department of Health and Mental Hygiene, les bars à chicha ne sont pas exemptés de la loi. Seuls ceux qui ont ouverts avant le 31 décembre 2001, comme le Karma Lounge, ont l’autorisation de laisser leurs clients fumer la cigarette. Les bars à chicha résistent en jouant sur le fait que la loi de 2003 n’est pas claire, interdit-elle le tabac ou la nicotine ? Tut’s, qui n’a pas la tobacco licence assure ainsi une chicha avec un substitue de tabac, sans nicotine. Le Department of Health vient environ une fois par mois vérifier que le mélange fumé est “tobbaco free”. Andrew, le manager, explique : « les amateurs ne font pas la différence entre le “tabac” sans nicotine et celui avec nicotine. Mais pourtant croyez-moi, c’est incomparable, avec la nicotine c’est tellement meilleur». Ce qu’Andrew avouera par la suite, c’est que le substitut de tabac lui permet de montrer patte blanche à la douane ou lorsque le Department of Health se présente. Mais lorsque des connaisseurs viennent fumer, il n’hésite pas à sortir son «bon» tabac.
La loi de 2003 permet de fumer la cigarette dans les établissements existants en 2001 et dont au moins 10% du revenu provient de la vente de tabac. En pratique, cela ne laissait survivre qu’une dizaine de bars à cigares dans la ville. Cependant, cette exception ne s’applique qu’aux bars qui vendent également de l’alcool, comme les bars à cigares.
Bien que l’amende soit plutôt salée ($10 000), certains établissements prennent le risque de laisser leurs clients fumer la cigarette. Pour le Souk, l’un des plus fameux hookah bar et restaurant de New York qui tolère la cigarette, ce n’est pas vraiment un risque. Un ancien employé confie, qui travaille désormais pour un autre hookah bar : «Le propriétaire connaît beaucoup de monde. Les flics touchent de l’argent pour fermer les yeux sur ce petit écart à la loi. Le propriétaire y gagne à laisser les gens fumer et en payant les flics».


Si la ville de New York décidait d’interdire formellement les hookah bars, ils n’en souffriraient pas tous de la même manière. Certains d’entre eux, recyclés en restaurant et en night club, sont à l’abri. «Si on perd le hookah, ce n’est pas grave, les gens continueront de venir pour l’ambiance, déclare Andrew, seuls les petits cafés, qui ont tout basé sur le narguilé ont à perdre“.
Tut’s, 196 Orchard Street. Tel: 212 777 0890
Le Souk, 47 Avenue B. Tel: 212 777 5454
Karma Lounge, 51 1st Avenue. Tel: 212 677 3160

Marjolaine et sa petite soeur

0

La Marjolaine est une vieille dame de 56 ans, installée dans le Queens. Bernard Eglin et Krim Debbah, les deux Alsaciens qui en tiennent aujourd’hui les rênes, viennent de lui faire une petite soeur, dans le Sud d’Astoria. Histoire d’une petite entreprise qui connaît pas la crise.
«La plupart des autres boulangeries font fabriquer leurs produits dans des usines. Pas nous », souligne fièrement Bernard Eglin. La Marjolaine a ainsi pu progressivement élargir sa clientèle, approvisionnant grands hôtels et clubs privés de Manhattan. « Il y a beaucoup de boulangeries qui prennent un nom français alors qu’elles ne le sont pas, renchérit Krim Debbah. Entre un croissant français et un croissant américain, la qualité n’est pourtant pas la même ».


Les deux compères jouent leur numéro de duettistes depuis plus de dix ans. Bernard Eglin, le boulanger aux 45 années d’expérience, et Krim Debbah, le comptable et le gestionnaire. Le premier, originaire de la petite ville d’Altkirch, est arrivé à New York en 1978 avec une usine d’équipement pour boulangerie installée sur la 11ème avenue. Apres avoir travaillé la pâte dans une boulangerie new yorkaise, il reprend La Marjolaine, avec l’un de ses amis aujourd’hui décédé, profitant du retrait du propriétaire de l’époque.
Le second, natif de Lauw dans la banlieue de Mulhouse, a choisi un beau jour de « partir à l’aventure ». Direction les Etats-Unis où il tient la comptabilité de « la plus grande imprimerie du monde », selon ses termes. En 1997, il rejoint l’équipe de La Marjolaine pour s’occuper des comptes. « Avec la compétition, il faut être gestionnaire et avoir des produits phénoménaux », résume-t-il.
Et en comptable avertit, il a vite fait ses comptes: «c’est une aberration que le prix du gallon de lait soit supérieur à celui d’un gallon de pétrole, ou que le prix des œufs ou du beurre soit devenu aussi élevé, explique Krim Debbah. Sachant que tout augmente, il est impératif pour nous d’avoir de nouveaux marchés et de nouveaux clients ».
Les deux entrepreneurs sont donc partis à la recherche d’un lieu. Découragés par les loyers à Manhattan, ils ont finalement jeté leur dévolu sur le petit local d’Astoria, d’une superficie de 15 mètres carrés, qui deviendra, deux mois et demi plus tard, une « petite » Marjolaine. «C’est un quartier en plein boom, souligne Krim. De plus en plus d’Européens s’installent ici chaque année, principalement des Grecs et des Italiens».
La Marjolaine :
50-17 Skillmann Avenue
Woodside, New York
www.lamarjolainebakery.com
718 651 0495
La « petite » Marjolaine :
33-05 36th Avenue,
Astoria-Long Island City

Manhattan, pied des pistes

Pour les formules tout compris au départ de New York, voir ici.
Belleayre Mountain

Belleayre Mountain se situe au nord de Catskill Park dans l’Etat de New York. Le domaine à été classé “Forever Wild” par le New York State Forest Preserve en 1885. Les 47 pistes de ski s’étalent sur 171 hestares et sont ouvertes de 9h à 16h.
Plan des pistes ici
Tarifs: forfait remontée méchanique 1 journée week-end adulte 48$, étudiant 38$, enfant 32$ ou 38$.
Comment y aller?
En voiture: environ 2h30 de route de NY, itinéraire ici
En bus: Adirondack Trailways Ski Bus, départs tous les jours de Port Authority Terminal (NYC). Bus Aller-retour et forfait remontées mécaniques à partir de $68 par personne. Horaires, tarifs ici ou au (800) 858-8555.
Adirondack Trailways Ski Bus propose également des forfaits week-end tout compris, voir ici.
Hunter Mountain

Hunter Mountain est une station familiale qui se situe à un peu plus de 2h au nord de Manhattan dans les Catskill Mountains dans l’Etat de New York. Hunter Moutain se dit la capitale mondiale de la neige artificielle. Les 55 pistes de la station sont dotées de canons à neige. Ainsi, même si le froid et la neige ne sont pas au rendez-vous, Hunter Mountain est une destination idéale pour skier, à condition d’aimer la foule, notamment pendant les grands weekends (Presidents day ou Columbus day)…
La station est ouverte de 8h30 à 16h
Plan des pistes ici
Tarifs: forfait remontée méchanique 1 journée week-end adulte 59$, de 13 à 22 ans 53$, enfant 40$
Comment y aller?
En voiture: environ 2h de route de NY, calculer votre itinéraire ici, indications routières ici
En bus: information ici
Windham Mountain

Windham Moutain se situe dans les Catskill Moutain. Contrairement aux autres stations qui ferment fin mars, Windham Moutain est ouverte jusqu’au 9 avril 2008. La station est à 1,500 pieds d’altitude et les sommets à 3,100 pieds. 46 pistes s’étendent sur 267 hectares skiables. 7 pistes sont ouvertes de nuit, de 16h à 22h du jeudi au samedi. La station propose également du snow tubing, (descente de piste en bouée).
Plan des pistes ici
Tarifs: forfait remontée méchanique 1 journée week-end adulte 49$, enfant 36$.
Comment y aller?
En voiture: environ 2h45 de route de NY, itinéraire ici
En bus: informations ici
Mountain Creeks
Située dans le New Jersey, Moutain Creeks est la station de ski la plus proche de New York (à environ 45 miles). Les 45 pistes sont éclairées la nuit et ouvertes jusqu’à 22h. Le prix des remontées est relativement élevé par rapport aux autres stations et la foule est encore plus (op)pressante le weekend que dans les stations des Catskills.
Plan des pistes ici
Tarifs: forfait remontée méchanique 1 journée week-end adulte 62$, enfant jusqu’à 18 ans 45$, gratuit pour les moins de 6 ans.
Comment y aller?
En voiture: environ 1h30 de route de NY, itinéraire ici
En bus: informations ici
Camelback Mountain


Située dans les Poconos, en Pennsylvanie, Camelback Moutain offre 33 pistes, courtes mais un peu plus raides que celles des autres stations de la région, ouvertes de 8h à 22h et propose aussi du snow tubing.
Plan des pistes ici
Tarifs: forfait remontée méchanique 1 journée week-end adulte 61$, étudiant 51$, enfant 48$.
Comment y aller?
En voiture: environ 1h45 de route de NY, itinéraire ici, indications routières ici
Shawnee Mountain

Shawnee Moutain se situe en Pennsylvanie, à l’est des Pocono Mountains à environ deux heures de New York. Le cadre est superbe et l’ambiance intimiste et sympathique. Les 23 pistes sont ouvertes de 8h à 22h et la station propose du snow tubing.
Plan des pistes ici
Tarifs: forfait remontée méchanique 1 journée week-end adulte 49$, 21 ans et moins 35$.
Comment y aller?
En voiture: environ 1h45 de route de NY, itinéraire ici
Mohawk Moutain

Un peu moins encombrée que les stations des Catskills, Mohawk Moutain est une petite station (27 pistes) située dans le Connecticut au sud des Berkshire Mountain. La station est ouverte les vendredis et samedis jusqu’à 22h.
Plan des pistes ici
Tarifs: forfait remontée méchanique 1 journée week-end adulte 47$, de 5 à 15 ans 39$ et enfant 15$.
Comment y aller?
En voiture: environ 2h15 de route de NY, itinéraire ici

Les "formules ski" au départ de New York

POUR UNE DESCRIPTION DES STATIONS, VOIR ICI.

– L’association “Ski & Snowboard Club of NY” organise des week end dans les Catskills, en New England et aux Adirondacks. Le départ et le retour ont lieu dans le West Side de Manhattan. Il y a deux options: soit le “day trip” le samedi, de 6h du matin à 20h, soit le week end trip, du vendredi soir au dimanche soir (ou lundi soir si jour férié).
Comptez $80 pour un day trip et $370 pour un week end trip. (Le matériel n’est pas compris dans le prix)
Ski & Snowboard Club of NY, 891 Amsterdam Avenue. Tel: 212 932 2300.
-Il est également possible de partir de New York (ou du New Jersey) vers Belleayre Mountain soit sur la journée ($70) , soit deux jours-une nuit ($155), ou encore 3jours-2 nuits ($220), sachant que le package inclut le trajet, le forfait et une leçon pour les débutants. Pour ceux qui souhaiteraient rester au moins une nuit, une liste d’hôtel est proposée, voir ici.
Renseignements au 845 254 5600.
– Le “Sundown express” propose de “découvrir une nouvelle montagne tous les week end” et offre en effet un large choix de destinations

jusqu’à fin mars (pour des daytrips). Le voyage aller-retour, le forfait et le petit déjeuner sont à partir de $ 69,99. Si vous réservez pour trois voyages en une seule fois, une réduction de $25 sera offert sur le troisième. Et si vous reservez pour 4 voyages, c’est une réduction de $50 que vous obtenez sur le 4e.
Renseignements au 516 796 1565 ou ici
-Au départ d’Emilio ski shop (Queens), de New York Pipe Dreams (Manhattan), de Panda Sports (Brooklyn) ou de Central Sports (Brooklyn): à chaque jour sa piste: Hunter Mountain tous les mardis, jeudis et dimanches, Windham Mountain les mercredis et samedis, Okemo Mountain tous les samedis, Mount Snow tous les dimanches et bien d’autres pour les jours fériés… Pour les horaires de départ et les inscriptions, ici (cliquer sur le lieu de départ choisi).
Emilio ski shop, 112-32 Queens Blvd.
New York Pipe Dreams, 1623 York Ave (York Ave and 86th St)
Panda Sports, 92-13 5th Ave. (92nd St and 5th Ave) Bayridge
Central Sports, 1412 Kings Highway, Brooklyn
-Le magasin Paragon Sports organise lui aussi des voyages au ski sur la journée (les mercredis, samedis et dimanches) pour $70. Une seule et unique destination proposée: Hunter Mountain. Renseignements et inscriptions, ici.


Paragon Sports, 867 Broadway. Tel: 212 255 8036

Où acheter une galette des rois ?

Provence en Boîte, 263 Smith Street. Tel: 718 797 0707.
Le restaurant so français des Bernat respecte la tradition provençale puisqu’il propose deux types de galettes: la galette traditionnelle à la frangipane et la provençale aux fruits. Les fêves en céramique sur le thème de la marine ont été importées de France. (la moyenne: $25, la grande:$36)
Payard, 1032 Lexington Avenue (73rd et 74th St.) Tel: 212 717 5252.
Le chef François Payard n’est pas en reste puisque lui aussi propose sa galette des rois. Bien sûr, comme on est chez Payard, mieux vaut réserver vite et surtout arriver tôt pour récupérer sa galette. De $ 22 dollars (pour 4 personnes) à $ 52 (pour 10).
Cuis’in. Le chef Eric Delalande propose de livrer la galette des rois à domicile durant tous les vendredis et samedis de janvier ainsi que le 31 janvier. Galette pour 6 à 8 personnes, $32. Renseignements au 646 468 6159 ou [email protected].
Almondine bakery, 85 Water Street (Brooklyn). Tel: 718 797 5026
Almondine bakery vend ses galettes uniquement sur commande. Pour 8-10 personnes, $20.
Pâtisserie Claude, 187 W 4th Street. Tel: 212 255 5911.
Chez Claude, vous pouvez toujours essayer d’acheter une galette sans l’avoir commandée, mais comme partout, c’est prendre un risque. La traditionnelle galette à la frangipane pour 6 personnes est à $20.
Ceci Cela, 55 Spring Street. Tel: 212 274 9179.
Ceci Cela propose une galette des rois à la frangipane pour 10 personnes à $29.
Gavroche, 212 W. 14th St., nr. Seventh Avenue. Tel: 212 647 8553
Le restaurant Gavroche confectionne aussi ses propres galettes des rois (pour 10 personnes, $40). Pensez à passer commande une journée à l’avance.

Les dernières heures de la Jeanne

C’est certainement l’une des dernière fois que le porte-hélicoptères français Jeanne d’Arc fait escale dans le port de New York, son désarmement étant prévu pour 2010. Une retraite anticipée n’est pas inenvisageable si un problème survenait.


En service depuis 1964, le bâtiment a formé des générations d’officiers. Comme l’explique le Capitaine de vaisseau Hervé Bléjean : «Tous les marins sont passés sur ce bateau, à tel point que lorsque l’on rencontre un autre marin on se demande « et toi, tu es de quelle Jeanne d’Arc ?». Cette année, en plus des 425 membres d’équipage et de la cinquantaine d’officiers présents sur le bâtiment, 124 officiers-élèves ont embarqué, dont certains étrangers. « La vieille dame », comme la surnomme affectueusement le capitaine de vaisseau sera accompagnée par la fidèle frégate Georges Leygues tout au long de son périple. Ces bâtiments forment à eux deux le Groupe école d’application des officiers de la marine.


Parti de Brest le 15 décembre pour un voyage d’une durée de 6 mois, la Jeanne d’Arc a donc fait sa première escale à New York entre le 28 décembre et le 2 janvier. Investis d’une mission spéciale, les marins de la Jeanne ont remis des manuels d’histoire, des dictionnaires et des bandes dessinées à une centaine d’écoliers du Bronx qui, depuis septembre, apprennent le français. Ces livres enrichissent ainsi la bibliothèque d’une des trois premières écoles publiques bilingues à New York. Egalement partenaire de la fondation Louis Carlesimo, la Jeanne a accueilli 25 enfants français malades, qui ont ainsi pu visiter New York et passer le réveillon à bord du porte-hélicoptères.

Sarkozy in love?

0

La chaîne ABC News s’étonne, à la suite de sa séparation avec Cécilia, de ne pas avoir vu un Sarkozy «le cœur brisé». Puis ironise en rapportant le caractère particulièrement romantique des “vacances de noël officielles” du président français et de sa «new girlfriend» en Egypte. Une armée de journalistes et photographes : «c’est exactement le type d’intimité que Sarkozy recherche». Malgré les violentes réactions de certains officiels égyptiens quant au “concubinage” du couple illégitime, et le quasi incident diplomatique qui en résulte, «Sarkozy est certainement trop amoureux pour s’en préoccuper».
La très républicaine Fox News Channel prend soin de rappeler l’annonce faite par Nicolas Sarkozy le soir de son élection : «Vous aimiez Jackie Kennedy, vous allez adorer Cécilia Sarkozy !» et souligne à juste titre que comparé au côté «monarchique (et séducteur caché) de ses prédécesseurs, l’exhibitionnisme de Sarkozy a tout d’une révolution élyséenne et risque d’exaspérer les Français». La critique de la sur-médiatisation de la vie sentimentale du président met, selon Time, «Sarkozy face à un problème fastidieux : Comment le président Français en exercice peut-il épouser un célèbre canon sans en faire tout une affaire?».
« Enfin quelque chose à se mettre sous la dent »
Le Chicago Sun Times se réjouit de la “love affair Sarko-Carla” qui rendrait «les médias complètement “fou”» (en français dans le texte). Si romance et politique ne cohabitent généralement que sur grand écran, Michael Douglas dans “The American President” ou Hugh Grant dans “Love Actually”, la liaison Sarkozy-Bruni est partout.
Carla Bruni est ce que l’on appelle «une femme à hommes», mais la journaliste américaine, Paige Wiser, précise «qu’il ne s’agit pas de porter un quelconque jugement. C’est un fait», et trouve valorisant d’avoir sur son tableau de chasse Eric Clapton, Mick Jagger, Kevin Costner et Donald Trump. «Pour ne citer que les anglophones». Paige Wiser affirme à demi-mot que le Pouvoir est l’unique sex-appeal de Sarkozy, qui « n’a pas exactement l’allure d’une star de cinéma mais plutôt de série B». Mais tente d’accommoder en déclarant «à chacun ses goûts»… La journaliste doute que le couple dure, mais peu importe. «Vive la romance!» conclue-t-elle en français.
La même journaliste note qu’ interviewé par Lesley Stahl sur Cécilia en octobre dernier, le président se disait «very busy, very busy». Sarkozy semble désormais avoir beaucoup de temps à accorder à Carla. «Sarkozy a souvent su utiliser sa vie privée à des fins politiques». Le timing est bon, les concomitances n’ont rien de fortuites. «Bien joué Sarkozy».
Selon le tabloïd TMZ, “The French Have Better Presidents”
Tandis que l’on raconte que Laura Bush attend la fin du mandat de son mari pour le quitter, de l’autre côté de l’Atlantique, «le son de cloche est différent». «En France, l’amour est libre et les rois se font larguer».
Quelques jours plus tard, le même journal à scandales explique
que la France se passionne pour son récemment divorcé président et sa sexy chanteuse, tandis qu’aux Etats-Unis, «si Bill avait divorcé d’Hillary pour s’enticher de, disons, Heidi Klum, une procédure de destitution aurait été lancée». En France, «le président n’est qu’un type de plus entre deux ages portant des jeans trop serrés avec une nana plus jeune et sexy. “Toujours l’amour”!». (en français dans le texte)
Un autre tabloïd, People, se demande «Will Carla Bruni Dedicate a Love Song to Sarkozy?» et souligne que si elle épouse le président, la chanteuse se retrouvera «en conflit avec une tradition de première dame de France insipide et dévouée, habitant le Palais de l’Elysée et représentant le pays élégamment mais silencieusement».
Après l’intervention de Nicolas Sarkozy d’hier, mardi 7 janvier, CNN titre
Sarkozy: Relationship is serious
Quelqu’un m’a dit que tout cela va un peu vite Monsieur le Président…

Poétesse de la guerre et de la paix

Isabelle Balot écrivait déjà des poèmes avant d’être envoyée par les Nations Unies au Sud Soudan; elle y est devenue poétesse “de la guerre et de la paix”. “J’y ai vu la démobilisation d’enfants-soldats et ces images m’ont hantée”. Les images deviennent poème: “Au milieu des combats, rien et nul ne l’arrête/ Plus tout à fait enfant, pas tout à fait homme/ Il est dieu, il est roi, déjà adulte en somme/ Et se croit immortel, du meurtre plein la tête”.
Isabelle est en poste au Sud-Soudan, avec l’équipe qui tente de faciliter les pourparlers de paix, quand les violences éclatent au Darfour, en 2003. Comme d’autres aux Nations Unies, elle affronte alors l’indifférence du monde. Les rapports qu’elle écrit rejoignent d’autres rapports… Mais le soir, il y a la poésie. De retour à New York, elle organise des lectures de ses poèmes, découvre que ses textes ont “plus de force que la prose administrative”. “On atteint plus de monde, et de manière différente; on touche au coeur et aux tripes”.
Faire des massacres, des horreurs comme ces “mines camouflées en jouets”, une matière poétique est une challenge. Jusqu’alors, Isabelle écrivait des textes mystiques, métaphysiques. Elle entre dans une dimension nouvelle: “il ne s’agit plus de vouloir faire “joli”; il faut visualiser, transfomer en image une horreur qu’on veut naturellement fuir”.
Et ses textes finissent par toucher le coeur et les tripes d’un grand défenseur de la cause du Darfour, Bernard-Henri Lévy. Touché par la capacité d’Isabelle Balot à “raconter la brutalité des massacres comme aucun article”, le philosophe a publié une quinzaine de poèmes dans sa revue littéraire “La règle du jeu”.
Quatre ans après ses premiers poèmes, elle n’affronte plus le même silence, les consciences se sont éveillées au drame du Darfour; “mais la situation est devenue très complexe”. Les témoins, comme elle, “ont fait leur travail, mais rien ne peut se faire sans la volonté politique”.
L’expérience devrait aboutir très prochainement à la publication, en français et en anglais, d’un receuil de ses “Poèmes de la guerre et de la paix”.

Alain Sailhac, un mousquetaire de la cuisine française à New York

Qu’on ne s’y trompe pas. S’il est devenu doyen émérite du French Culinary Institute (FCI) (tandis que Nils Noren a repris les rènes de l’établissement), Alain Sailhac, 72 ans, n’a pas déserté les cuisines de l’école, bien au contraire …Quand il vous la fait visite, la verve sans faille et l’allure fringante, il salue les toques (les professeurs) et les étudiants par leur nom, demandant des nouvelles des enfants par-ci, souhaitant de joyeuses fêtes par-là. Il est partout : des salles de classes (autrement dit, les cuisines) à la salle du restaurant de l’école qui s’appelle à juste titre « L’Ecole ». Il vérifie que tout soit parfait, dans les moindre détails. Si Goethe a dit « Le bon Dieu réside dans les détails », Alain Sailhac l’a appliqué.
Arrivé aux Etats-Unis en 1965, envoyé par « Mister Oliver » du Grand Véfour, Alain Sailhac commence sa carrière américaine en tant que chef du restaurant le Mistral. « Il y a eu un engouement des Américains pour la cuisine française à cette époque, stimulé par les magazines. Les chefs français Bocuse, Vergé, Lenôtre étaient constamment sollicités et les restaurants français étaient le « top du top », dit-t-il avec une pointe de nostalgie.
Mais puisque la nostalgie n’est pas dans sa nature, il se concentre plutôt à préserver et transmettre l’héritage de la cuisine française : « La cuisine française, c’est le solfège. L’esprit français a inventé les techniques. L’école a une excellente réputation parce que nous ne voulons pas faire autre chose. On ne veut pas faire « trendy ».
Une concession tout de même : la mise en place d’un programme d’apprentissage de cuisine italienne à l’école. « Il y a un attrait pour cette cuisine surtout en dehors de New York, en Californie. C’est une cuisine confortable », dit Alain Sailhac. L’école a été rebaptisée « International Culinary Center », même si le nom « FCI » n’a pas disparu. Le management envisage de mettre en place un programme de cuisine japonaise, parce qu’elle a « des similarités avec les techniques françaises, notamment dans la précision » précise Alain Sailhac.
A l’orgine, l’idée de la fondatrice de l’établissement Dorothy Hamilton était d’ouvrir une école où six mois de formation suffiraient à être opérationnel en cuisine, contrairement aux autres écoles. « C’est un apprentissage. On les forme à être apprenti. Ensuite il faut travailler avec un chef », dit Alain Sailhac. Pour la somme de 38000 dollars, tout se passe en cuisine et les étudiants dès le premier jour la main à la pâte (feuilletée). « J’ai voulu appliquer l’organisation d’une cuisine à l’école», explique Alain Sailhac, qui a travaillé dans les plus prestigieux restaurants new yorkais comme Le Cygne et le Cirque.
Sur ses années où il était chef au Cirque : « Il y avait de l’électricité dans l’air, la réussite de tous ces gens dans la salle, politiques, célébrités, amis chefs irradiait littéralement», raconte-t-il. « Richard Nixon venait quasiment tous les jours», dit-il, avant d’ajouter avec son humour teinté d’espièglerie : « Il faut dire qu’il n’avait plus grand chose à faire [après le scandale du Watergate]…» Il décrit aussi l’opulence : «J’achetais jusqu’à 80,000 dollars de truffes par an. Les kilos de caviar est stockés en permanence au restaurant et les clients les mangeaient à la cuillère ».
Autre époque, mais toute aussi opulente : les années au service des Trump, « des gens extrêmement généreux ». Il se souvient de la préparation des soirées sur le yacht, arrosées aux champagnes Corton Charlemagne et Cristal (M. Trump ne boit jamais, précise-t-il).
Alain Sailhac habite dans l’Upper East Side, pas très loin de son ancien fief, le Cirque. Avec son compère du French Culinary Institute, le pimpant chef Jacques Pépin, ils sont toujours des figures de la vie mondaine new yorkaise. On a pu les voir en photo dans le New York Times reçemment : ils étaient honorés au bal de charité annuel contre les allergies alimentaires. La bonne humeur semblait de mise et Jacques Pépin confessait à un journaliste de la presse américaine qu’il n’avait pour sa part aucune allergie alimentaire, et « qu’il mange tout ce qui ce trouve sur son passage ». A voir les larrons, on se dit que la cuisine française n’est pas qu’un solfège : c’est aussi le secret pour garder la bonne santé et la jeunesse éternelle.

Que faire le soir du 31 ?

Du réveillon en boîte de nuit au réveillon original, Frenchmorning vous donne quelques idées pour le 31 décembre au soir…
un réveillon en musique

– Grande tradition du Nouvel-An new-yorkais, l’annuel « Concert for Peace » dans la plus grande cathédrale du monde, St-John the Divine. L’entrée est libre. Mieux vaut arriver en avance car c’est un concert très populaire. Concert à 19h, ouverture des portes à 18h15. Il est possible de réserver ses places à l’avance sur internet. (Cathédrale St-John The Divine, 1047 Amsterdam Avenue. Tel: 212 316 7540)
– Autre concert très réputé, le « Concert to Usher in the New Year » à la St. Bartholomew’s Church. Il est recommandé d’arriver à partir de 22h30, le concert débutant à 11h et l’entrée gratuite. Pour de plus amples informations : 212 378 0222.
L’Amato Opera organise son propre gala à partir de 19h30. Après une représentation de La Bohème, champagne, buffet et dessert seront servis. $125 par personne. (319 Bowery Street. Tel: 212 228 8200)
– Dans un tout autre style, Patty Smith, la “punk poetess” sera en concert le 31 au soir, à partir de 21h au Bowery Ballroom. (6 Delancey Street. Tel: 212 533 2111). Tickets ici.
un réveillon au frais
Pensez à vous couvrir !


– Le “New Year’s Eve Ball Drop” à Times Square est certainement le plus incontournable des réveillons new yorkais. Très prisé par les touristes, il est recommandé d’arriver tôt. Times Square commence à se remplir dès 16h30 à partir de la 43ème rue en direction du nord, entre Broadway et la 7ème avenue…
– Grand feu d’artifice à Brooklyn, au niveau de Prospect Park
-“Brooklyn Bridge Walk into the New Year
$30 par personne? A partir de 22h00
un réveillon au chaud
Pour tous ceux que n’effraient pas une bonne gueule de bois le lendemain, s’offre la solution boîte de nuit. Voici donc quelques adresses:
– « Made in Italy »
à l’Angel Orensanz center, 172 Norfolk Street.
La soirée commence à 21h, open bar jusqu’à 4h du matin. Les tickets sont vendus à la Coppola Storta Store, 246 Mott Street. (tel : 212 226 4104).
Entrée :$160, table VIP : $250. Si vous arrivez à partir de 1h : $90; Si vous arrivez à partir de 2h : $70
French Tuesday »
au 90 Madison Avenue. Tel: 212 840 6078
Réservé uniquement aux membres et à leurs invités. De 20h30 à 4h. Entrée $75.
Pink elephant »
527 West 27th street.
De 21h à 6h. Open Bar de 21h à 3h.
– Royale
506 Fifth Avenue, Brooklyn. Tel: 718 840 0089
Entrée $60, Open Bar 21h à 2h.
Et pour encore plus de bonnes adresses, voir ici
un réveillon original
– “New Year eve Rock’n Roll Karaoké” au Arlene’s Grocery, 95 Stanton Street. Pour chanter les plus grands titres d’AC/DC, Guns N Roses, Nirvana ou Oasis.
Entrée $10
– Course dans Central Park avec le New York Road Runners pour commencer l’année du bon pied. Renseignements ici

-“New Years Eve at New York Water Taxi“, South Street Seaport – Pier 17. Un réveillon sur l’eau, pourquoi pas? Feu d’artifice et open bar au programme. Et si vous vous inquiétez de manquer le ball drop de Times square, rassurez vous, un écran plasma diffusera l’évenement en direct sur le bateau.
De 22h à 1h.

Que faire le 24 ?

0

New York String Orchestra présente le concerto n°22 de Mozart
au Carnegie Hall
Avec le chef d’orchestre américain Jaime Laredo et le pianiste israélo-américain Yefim Bronfman.
Le 24 décembre à 19h
Tickets de 18 à 48$ ici ou au 212-247-7800
Hansel and Gretel au Metropolitan Opera

Dernières places en vente pour la représentation de 13h ici
prix 99$
150 W 65th St
The radio City Christmas Spectacular

Les Rockettes dancent le 24 à 11h, 14h et 16h30 au Radio City music hall, 1260 6th Avenue

Dernières places à partir de 70$ en vente ici
Jazz Nativity “Bending Toward The Light” au Birdland
Tickets 40$ ici Tel : 212 581-3080
Lonely Avant-Garde Jew on Christmas

avec Rashanim, Frantic Turtle et Pitom au Parkside Lounge à 20h
Les écouter ici
Saint Vincent Church
123 W, 23rd street
Messe en français à minuit
Christmastide Eucharist Service à Saint John the divine cathedral

Messe à 22h30.
En raison des restaurations en cours, les places sont limitées. Pour assister à la messe contacter Adriana Sween au (212) 316-7483 ou par e-mail [email protected]
Christmas Eve Festive Eucharist
à Trinity Church
Le 24 décembre de 18 à 19h
Une célébration traditionelle avec des chants de Noël
Saint Patrick Church
Messe de Noël pour les petits à 17h30
460 Madison Avenue
Sans oublier quelques bons restaurants:
Restaurant Florent
Restaurant français au coeur du Meatpacking district, 69 Gansevoort St
Menu de Noël à 37$, menu habituel également disponible
Ouvert 24/24, réservation au 212-989-5779
Capsouto freres

Restaurant français, menu de Noël à 35$
451 Washington street
Réservation au 212-966-4900
Tocqueville
Restaurant franco-américain, 1 E 15th Street
Menu de Noël à 95$
Réservation 212-647-1515