Peut-on laisser partir l’autre par amour ? Partir en couple vivre à l’étranger, on l’a souvent vu dans French Expat. Bien souvent, l’un des deux conjoints trouve un emploi et ensemble les amoureux font le grand saut, ou encore ensemble ils plaquent tout et cherchent, par tous les moyens, à réinventer leur vie. Mais que se passe-t-il quand l’un des conjoints rêve de partir vivre à l’étranger, alors que l’autre n’est pas mobile ? C’est l’histoire que je vais vous raconter aujourd’hui.
Virginie Morrisset rencontre son mari à Berkley en Californie il y a plus de 10 ans. Les tourtereaux rentrent s’installer dans le centre de la France, du côté de Bourges, et deviennent les heureux parents de deux petites filles. Si Virginie est prof de français et rêve de repartir vivre aux États-Unis, son mari, magistrat, ne peut exercer sa profession ailleurs qu’en France. Cela aurait pu être la fin de leur histoire d’amour ou encore de ce projet d’expatriation, mais ce serait bien mal connaître le couple. Il y a un an et demi, Virginie a traversé l’Atlantique pour s’installer en banlieue de Washington DC avec ses deux filles, loin mais avec le soutien de son mari.
French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.
Labellisée pour la première fois en 2020, la French Tech Miami, dont l’objectif est de faciliter l’installation de start-up tricolores dans la mégalopole floridienne et promouvoir l’attractivité de la France auprès des entrepreneurs et investisseurs locaux, vient de voir son label renouvelé pour trois ans.
Une communauté de 150 entrepreneurs
Partie intégrante d’un réseau de près de 120 capitales et communautés labellisées sur le territoire français et dans une cinquantaine de pays à travers le monde, la French Tech Miami est particulièrement dynamique dans les secteurs de la technologie, de la santé, de l’hôtellerie ou encore de la restauration. « Nous sommes désormais plus de 150 entrepreneurs français à nous retrouver régulièrement afin de partager nos idées et ainsi créer une synergie », se félicite Stanislas Coignard, président de la French Tech Miami et fondateur de la société F.FWD, qui accompagne les start-up françaises dans leur conquête du marché américain.
Parmi la dizaine de communautés French Tech au pays de l’Oncle Sam, la mégalopole floridienne tire son épingle du jeu en raison d’une fiscalité attrayante, mais pas seulement. « L’un des avantages de Miami, qui est une ville multiculturelle offrant une bonne qualité de vie, est sa position géographique stratégique au carrefour des Amériques, ce qui en fait une plaque tournante pour les sociétés cherchant à établir une présence en Amérique latine et dans les Caraïbes », souligne Stanislas Coignard.
Le défi du prix de l’immobilier à Miami
Cependant, la French Tech Miami doit également faire face à des défis d’une ampleur inédite depuis la pandémie de Covid-19. « Il est devenu plus cher de s’installer dans la ville car les prix de l’immobilier ont fortement augmenté en raison de l’arrivée massive de Californiens et New-Yorkais notamment, et la concurrence dans le secteur de la technologie est de plus en plus intense, détaille le dirigeant. Les entreprises doivent ainsi être en mesure de se différencier pour réussir. On joue désormais dans la cour des grands, ce qui est très stimulant. »
Afin de développer davantage cet écosystème technologique et digital et ainsi fédérer ses différents acteurs, la French Tech Miami organise une série de rencontres professionnelles, des conférences et des tables rondes, ainsi que des rendez-vous annuels, à l’image des French Tech Capital Days. Soutenue par le consulat général de France à Miami et par la Chambre de Commerce Franco-Américaine de Floride (FACC), la seconde édition de cet événement, qui réunira une quarantaine de start-up tricolores et des investisseurs américains, se tiendra sur deux jours, les mercredi 19 et jeudi 20 avril, dans le quartier de Downtown à Miami. « Chacun pourra ainsi bénéficier de l’expérience d’entrepreneurs déjà implantés, conclut Stanislas Coignard, mais aussi être aidé dans la recherche de financements. »
[Article partenaire] Si la pandémie de COVID tend petit à petit à devenir un souvenir, il est indéniable que les conséquences qu’elle a entraînées et les changements qui s’en sont suivis sont, eux, plus que jamais d’actualité.
Et s’il y a un marché qui a particulièrement été transformé par cette crise, c’est bien le marché de l’immobilier.
Michael Wiesenfeld, agent immobilier francophone basé à Miami, nous en parlait en octobre dernier, et affirmait qu’en termes d’immobilier, Miami était « la grande gagnante de la pandémie de COVID ». Qu’en est-il aujourd’hui ?
French Morning s’est entretenu avec le broker pour faire le point sur l’immobilier à Miami en février 2023.
Le marché immobilier à Miami pendant le COVID
Concernant l’immobilier à Miami, si l’année 2021-2022 ne devait être définie que par un mot, ce serait : effervescence. En effet, au pic du COVID, on a assisté à une fuite de la population des grandes villes américaines (New York en particulier) vers des villes côtières en Floride, offrant un cadre de vie plus agréable, moins de restrictions, et surtout, de grands espaces pour mieux vivre le travail à distance.
Conséquence naturelle : le marché immobilier s’est alors drastiquement accéléré. Les transactions immobilières se sont faites dans l’urgence – malgré un inventaire somme toute assez faible – si bien que les prix se sont envolés.
Toutefois, ce boom du marché immobilier à Miami semble s’essouffler depuis l’été 2022. « Il n’y a rien d’alarmant, c’est en partie le revers de la médaille de l’ébullition du marché pendant le COVID », déclare Michael Wiesenfeld.
Mais c’est néanmoins incontestable : le marché s’est ralenti et les transactions immobilières sont moins nombreuses, mais les prix se maintiennent.
Miami en février 2023 : un marché immobilier ralenti
Selon l’agent immobilier, plusieurs raisons expliquent ce ralentissement du marché immobilier à Miami. « La raison principale, c’est vraiment la hausse des taux d’intérêt », affirme Michael Wiesenfeld. Effectivement, les acheteurs sont là, mais se retiennent, en attendant de voir comment évoluent l’inflation et les crises géopolitiques/énergétiques, qui impactent directement les taux d’intérêts fixés par la Réserve fédérale américaine.
Et pour cause : les taux d’intérêt sont montés jusqu’à 7% en fin d’année 2022, un pic jamais vu depuis vingt ans. Actuellement, ces derniers sont descendus et le broker parle de « dynamique optimiste » : il est possible aujourd’hui d’emprunter à un taux de 6% ; taux qui devrait continuer à baisser d’ici quelques mois. Pour rappel, dans les quinze ans qui ont précédé le COVID, les taux étaient entre 4 et 6%. Nous ne sommes donc pas à des niveaux de « jamais vu », mais les gens ont rapidement pris goût aux taux bas (entre 2.5 et 3.5%) dont nous avons bénéficié pendant la crise du COVID.
La deuxième raison, directement liée à la première, est le manque d’inventaire. « Durant le COVID, et même pendant les dix années précédentes, les gens ont pu acheter à des taux bien plus bas. Ils n’ont donc aucun avantage à revendre maintenant, explique Michael Wiesenfeld. On a ainsi beaucoup de vendeurs qui espèrent revendre au prix auquel ils ont acheté au plus haut du COVID. Mais au vu de la conjoncture actuelle, c’est difficilement envisageable. On a donc des biens qui stagnent sur le marché, en attendant que les vendeurs alignent leurs prix ».
Se concentrer sur la location
Comment la situation va-t-elle évoluer dans les prochains mois ? Seul l’avenir nous le dira. Cependant, Michael Wiesenfeld est optimiste : « On voit du mouvement depuis la mi-janvier. Le marché reprend peu à peu ».
Et pour les propriétaires, Michael Wiesenfeld se veut rassurant. Le marché des rentals (locations), quant à lui, bat son plein. Il est donc primordial de prendre soin de votre – ou de vos – bien, ainsi que de vos locataires, afin d’optimiser sa rentabilité.
Le Freud Group, property management à Miami
Lors d’un investissement locatif, on pense souvent à l’avant achat, avec notamment la recherche du bien et le financement, mais on néglige parfois l’après. Comment trouver des locataires ? À qui faire appel pour les travaux ? Comment gérer plusieurs lots à la fois, sur la durée et parfois à distance ?
Michael Wiesenfeld et sa femme Zelda, par le biais du Freud Group, ont mis en place, depuis 2012, une activité de property management (gestion locative) pour vous accompagner dans la gestion de votre bien. Les services proposés se regroupent en quatre catégories :
L’aspect marketing de la mise en location : Michael et Zelda vous proposent toute une palette d’outils marketing pour mettre en avant votre bien et le louer au plus vite. Cela passe par des photos et des vidéos de qualité, ainsi que des modélisations 3D en réalité virtuelle, mises en ligne sur différentes plateformes et sites spécialisés etc…
Une analyse du marché pragmatique pour lister votre bien à un prix juste et optimisé, afin de le faire partir au plus vite et vous permettre de ne pas perdre des semaines de loyers.
Un accompagnement minutieux des locataires et des propriétaires : Michael et Zelda sont en contact direct avec les locataires et peuvent, par le biais de leur réseau de partenaires (plombiers, hommes à tout faire, serruriers…), répondre aux demandes des locataires de manière rapide et efficace, et ainsi assurer leur satisfaction.
Une expertise dans tous les types de travaux/rénovations. Michael et Zelda ont de l’expérience : ils ont entièrement refait à neuf de nombreuses propriétés de prestige, ainsi que plusieurs dizaines de lots suite à l’achat de deux immeubles. Ils seront donc à même de vous conseiller et de vous mettre en relation avec des artisans pour réaliser les travaux et optimiser votre bien d’un point de vue locatif.
Exemple de lot du projet de rénovation Happylivin, achat de deux immeubles à Miami par Michael et Zelda
« Des locataires heureux, ce sont des locataires plus enclins à renouveler un contrat, et ce malgré une augmentation de loyer », affirme Michael Wiesenfeld. C’est donc dans cette optique d’offrir la meilleure expérience aux locataires et, in fine, aux propriétaires, que le Freud Group accompagne chacun de ses clients. « Avec le locatif, les problèmes arriveront dans tous les cas : fuites d’eau, problèmes avec le mobilier … Ce qui fera la différence, c’est la manière dont ces problèmes seront gérés », continue l’agent immobilier.
Également, le couple ayant centralisé la plupart des biens dont il s’occupe sur un seul et même compte Airbnb, chaque bien bénéficie des près de 400 reviews positives postées. Concrètement, cela signifie que, grâce au service excellent apporté par Michael et Zelda sur la centaine biens qu’ils gèrent, et du fait de l’algorithme Airbnb, votre bien se retrouvera dans les premiers résultats sur la page de recherche.
En savoir plus
Pour contacter Michael Wiesenfeld, que ce soit pour un projet d’achat immobilier à Miami, ou pour lui confier le management de votre bien, n’hésitez pas à le contacter au +1 646-785-5388 ou par email à [email protected].
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[Article partenaire] Êtes-vous à la recherche d’une opportunité d’investissement aux États-Unis ? Si oui, LandQuire est là pour vous.
Cette société innovante vous permet d’investir dans les terrains américains grâce à une plateforme automatisée. LandQuire est un moyen facile et sûr pour les francophones de réaliser des investissements immobiliers rentables aux États-Unis.
LandQuire, qu’est-ce que c’est ?
LandQuire est une entreprise française créée en 2020 par Thibaut Guéant et Romain Daniellou. Son concept est d’offrir une solution clé en main pour les investisseurs qui souhaitent investir dans l’immobilier aux États-Unis. La société utilise des bases de données sophistiquées pour acquérir des terrains de qualité à des prix avantageux. Ces terrains sont ensuite revendus ou utilisés pour construire des maisons préfabriquées. Les bénéfices sont par la suite partagés avec les investisseurs.
Depuis sa création, la société a connu une croissance rapide, réalisant plus de cent transactions, pour un montant global de douze millions de dollars et un prix de revente d’environ dix-huit millions de dollars.
La particularité de LandQuire est que l’entreprise utilise les technologies de façon innovante, afin d’offrir aux investisseurs une solution facile et rapide pour investir dans les terrains aux États-Unis. La société exploite de vastes bases de données pour acquérir des parcelles de qualité à des prix significativement décotés (entre 30 et 45% de la valeur du marché).
Une équipe d’experts est également à disposition afin d’analyser et d’acheter les meilleures parcelles. Ces derniers sont présents tout au long du processus, de la recherche des parcelles jusqu’à leur revente. Les investisseurs peuvent ainsi diversifier leur portefeuille d’investissements aux États-Unis, le tout sans avoir besoin de connaissances spécifiques sur le marché immobilier américain.
Les avantages de l’investissement immobilier aux États-Unis
Investir dans l’immobilier aux États-Unis peut être complexe, surtout pour les investisseurs étrangers qui ne connaissent pas bien le marché immobilier local. Pourtant, les avantages sont nombreux. En effet, les taux d’imposition sont bien plus intéressants qu’en France, et le dollar est une valeur refuge pour les investisseurs désireux de diversifier leurs portefeuilles.
Comment investir avec LandQuire ?
Pour investir avec LandQuire, il suffit de s’inscrire gratuitement sur la plateforme landquiredeals.com, choisir un projet, et prendre contact avec l’entreprise. Tout le reste est géré par l’équipe LandQuire ; vous n’avez rien à faire, sinon d’attendre votre retour sur investissement lors de la revente des parcelles/maisons.
Comment contacter LandQuire ?
Vous pouvez contacter l’équipe LandQuire par e-mail à l’adresse suivante : [email protected], ou par téléphone, en composant le +1 (954) 248-0306.
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Nous vous donnions rendez-vous en ligne mardi 11 avril 2023 pour un webinaire dédié aux différentes étapes de l’acquisition d’un bien résidentiel à New York en 2023.
De la négociation du contrat d’achat au “closing”, en passant par les options de prêts hypothécaires résidentiels ou encore les changements à prendre en compte suite à la crise sanitaire, vous aurez après avoir visionné ce webinaire toutes les cartes en main pour réaliser votre investissement dans la Big Apple.
– Betty Benzakein, spécialiste des prêts hypothécaires conventionnels et jumbo pour les emprunteurs internationaux et nationaux chez HSBC.
Contact : [email protected] / 516-341-6020
La saison régulière de la NBA a fermé ses rideaux et laissé place au « play-in » du 11 au 14 avril, un barrage d’accession aux play-offs qui concerne toutes les franchises ayant terminé entre les 7e et 10e places. Les play-offs débuteront ensuite le samedi 15 avril. Tour d’horizon des joueurs français engagés dans la compétition.
Rudy Gobert, Minnesota Timberwolves
Quelle mouche a piqué le pivot de Minnesota, auteur d’un coup de poing sur l’un de ses coéquipiers lors du dernier match de saison régulière le 9 avril ? Transféré en grande pompe chez les « Wolves » en juillet dernier, Rudy Gobert (30 ans) a connu une saison difficile, entre performances en baisse et difficulté à s’intégrer dans le collectif de sa franchise (8e à l’Ouest). L’international tricolore a donc fini par laisser éclater sa colère, et a été suspendu pour le premier match de « play-in » joué ce mardi 11 avril. Sans lui, les Timberwolves se sont inclinés face aux Los Angeles Lakers sur le score de 108-102. Ils pourront se racheter le vendredi 14 avril en affrontant le vainqueur de la rencontre entre New Orleans (9e) et Oklahoma City (10e), qui a lieu le mercredi 12 avril.
Nicolas Batum, Los Angeles Clippers
Nicolas Batum et les Clippers sont quant à eux directement qualifier pour les play-offs, en ayant décroché la 6e place de la conférence Ouest. Ils auront fort à faire en affrontant les Phoenix Suns de Kevin Durant (5e), dans une série au meilleur des sept matches qui débute le dimanche 16 avril. Pour sa 15e saison en NBA, le vétéran français (34 ans) a joué un rôle de complément à Los Angeles, où il a participé à 78 matches pour une moyenne de 6,1 points et 3,8 rebonds. Plus que les chiffres, son impact s’est fait ressentir à la fois en attaque et en défense, au point de terminer les derniers matches dans la peau d’un titulaire. Son entraîneur Tyronn Lue lui fait une confiance aveugle, et sait à quel point son expérience sera importante en play-offs.
Ousmane Dieng, Oklahoma City Thunder
Pour sa première saison dans la Ligue, le tout jeune ailier (19 ans) a connu des hauts et des bas, avec seulement 39 matches et une moyenne de 14,6 minutes passées sur les parquets. Sa franchise du Thunder a été en revanche l’une des grandes surprises de la saison, en accrochant une place en play-in grâce à un effectif jeune entraînée par l’excellent Mark Daigneault (10ème place à l’Ouest). Opposé à New Orleans le 12 avril, OKC a créé la surprise en remportant ce match 123-118, et va donc affronter les Timberwolves vendredi 14 avril, pour la dernière place qualificative en play-offs.
Evan Fournier, New York Knicks
Nos Français ont décidément vécu une saison compliquée. Evan Fournier en sait quelque chose, puisqu’il a été sorti de la rotation des New York Knicks par l’entraîneur Tom Thibodeau. L’arrière français (30 ans) avait pourtant réalisé une première belle saison chez les Knicks en battant le record de trois points de sa franchise, mais il a ensuite été déclassé puis carrément remplacé par des plus jeunes joueurs. Fournier a participé à seulement 27 matches cette saison, profitant des blessures des uns et des autres. Les Knicks ont terminé avec un bilan solide sans lui, accrochant la 5e place à l’Est. Ils affronteront Cleveland (4e) à partir du samedi 15 avril. Une série que l’international tricolore devrait suivre du banc, à moins qu’une blessure lui permette de tomber à nouveau le jogging.
Le mardi 18 avril prochain, la plupart d’entre vous devront déclarer leurs revenus à l’Internal Revenu Service (IRS), le fisc américain. Comme chaque année, French Morning a préparé un guide de la fiscalité américaine qui vous donne de nombreuses clés. Que doit-on déclarer de chaque côté de l’Atlantique ? Comment remplir sa déclaration ? Quelles nouveautés en 2023 ?
Au risque de vous décevoir, une grande partie des programmes d’aide liés à la pandémie ayant expiré, les déductions sont moins généreuses cette année. « Comme si l’inflation ne suffisait pas, cette année s’annonce comme une année de remboursements d’impôts décevants pour de nombreuses personnes, peut-être surtout pour les parents », peut-on lire sur le site d’information The Hill. Quant à l’IRS, il prévient que de nombreux contribuables pourraient recevoir des remboursements « nettement inférieurs » cette année.
Retour en arrière pour le «Child Tax Credit»
Vous allez encore plus regretter le quotient familial français cette année si vous avez plusieurs enfants. Rappelez-vous : l’année dernière, le président Biden avait temporairement élargi l’application du crédit pour enfant (le Child Tax Credit) à tous les enfants de moins de 18 ans et il en avait augmenté le montant, qui pouvait aller jusqu’à 3.000$ (enfants de 6 ans et plus) et 3.600$ (moins de 6 ans) en 2021, en fonction des revenus.
Les démocrates n’ayant pas réussi à prolonger ces règles, la générosité de l’Oncle Sam retombe en 2022. Le crédit redevient applicable aux enfants de 16 ans et moins (si vous avez un enfant de 17 ans, dommage il ne comptera pas) et son montant ne peut pas excéder 2.000$. Par ailleurs, il est limité dans le cas de revenus taxables excédant 400.000$ pour les couples mariés déclarant conjointement et 200.000$ pour les personnes déclarant séparément. « Il peut être égal à moins de 2.000$ par an quand les parents mariés commencent à gagner plus de 400.000$ par an, et peut être réduit jusqu’à zéro avec bien plus de revenus », souligne Emmanuel Jaegle, CPA.
Attention : depuis la réforme fiscale Trump, si votre enfant n’est pas né aux États-Unis ou n’a pas de numéro de sécurité sociale, il ne vous donnera droit qu’à une maigre portion du crédit. « Seuls les enfants nés aux États-Unis et qui ont un numéro de sécurité sociale américain permettent d’obtenir la déduction de 2000$ (ou moins en fonction des revenus). Les enfants qui ne sont pas nés aux États-Unis ou qui ne sont pas devenus américains ou carte verte peuvent en bénéficier mais le montant de la Child Tax Credit est limité à 500$ par enfant dans le meilleur des cas », prévient Emmanuel Jaegle.
Moins de cadeaux fiscaux sur les dons
En 2020, l’administration fiscale avait annoncé que les personnes qui pratiquaient la déduction standard pourraient déduire 300$ en plus au titre des dons en espèces effectués au bénéfice d’associations caritatives reconnues par l’IRS (qualified). Pour l’année fiscale 2021, les couples mariés déclarant conjointement ont ainsi pu déduire jusqu’à 600$ de cette manière et la déduction passait sous la ligne de calcul de l’AGI, de sorte qu’elle ne l’affectait plus.
Cette déduction dite above-the-line n’est plus disponible cette année. Les personnes qui souhaitent déduire leurs dons de charité n’ont plus qu’une option : détailler leurs déductions (avec les itemized deductions).
Pour prendre connaissance de tous les changements de l’année, mais aussi comprendre les notions de résidence fiscale, s’y retrouver dans le millefeuille fiscal américain où les écarts entre États sont importants, éviter les pièges fiscaux de l’expatriation aux États-Unis et obtenir les réponses à bien d’autres questions grâce à des cas pratiques et conseils d’experts, remplissez ce formulaire.
Rares sont les pays qui exigent encore des voyageurs étrangers d’être vaccinés contre le covid pour fouler leur sol. Les États-Unis en font partie.
Depuis la réouverture des frontières en novembre 2021, les passagers non-américains ou non résidents légaux permanents (carte verte) de 18 ans et plus doivent prouver, avant d’embarquer, avoir reçu une vaccination complète pour pouvoir entrer aux États-Unis. Des vaccins qui peuvent dater de plus de deux ans… Aucune preuve n’est exigée concernant les doses de rappel (boosters).
Cette obligation, qui semble encore scrupuleusement respectée par certaines compagnies aériennes, devait être supprimée le lundi 10 avril. Elle a été prolongée d’un mois, et reste donc en vigueur jusqu’au jeudi 11 mai, date de la fin officielle de l’état d’urgence sanitaire aux États-Unis. Plus aucune restriction ne sera alors appliquée, et les tests, vaccinations et traitements, dont des millions d’Américains ont bénéficié gratuitement durant trois ans, ne seront plus pris en charge par l’État fédéral. Leurs coûts seront alors transférés aux compagnies d’assurance privées et aux gouvernements locaux.
L’état d’urgence national, distinct de l’état d’urgence sanitaire, a lui officiellement pris fin ce lundi 1o avril : Joe Biden a en effet ratifié une loi adoptée par le Congrès supprimant cette mesure mise en place il y a trois ans et plusieurs fois reconduite. Selon les chiffres officiels, les États-Unis ont payé le plus lourd tribut à la pandémie avec 1,13 million de morts. L’administration Biden a annoncé un plan de 5 milliards de dollars pour financer la recherche sur la prochaine génération de vaccins contre les futurs variants du coronavirus.
Passage par Buenos Aires pour ce vingtième épisode de Révolution bilingue à la rencontre de Keren Benoliel, auteur et éditrice française, installée en Argentine depuis plusieurs années.
La lecture pour les enfants à cœur, Keren a fondé les Éditions Quel Toupet ! qu’elle a voulu multilingue, avec des livres en français, en espagnol et en anglais.
Lever des capitaux frais auprès de ses investisseurs, c’est bien, mais le faire quand on n’a pas encore besoin d’argent et que d’autres rament pour séduire de nouveaux VC, c’est une réelle prouesse. Et la preuve d’un business model résilient et efficace.
C’est le cas de Benjamin Fabre, CEO fondateur de DataDome, un logiciel qui, grâce à l’intelligence artificielle, détecte les robots malveillants et la fraude en ligne. Il vient de collecter 42 millions de dollars auprès d’InfraVia Growth, avec Elephant et ISAÏ. Après avoir bouclé un tour de table de série B de 35 millions de dollars en juillet 2021, la start-up n’était pas particulièrement pressée mais a su saisir les opportunités. « Il y a un an, les investisseurs étaient focus sur les NFT et les cryptos, la cybersécurité était presque passée au second plan. Cela a bien changé aujourd’hui », dit-il en souriant. Le retournement de la conjoncture, les hausses de taux et l’assèchement du marché qui s’en est logiquement suivi a changé les priorités.
Des investisseurs plus prudents
Les VC (Venture Capitalists, investisseurs dans les start-up) ne sont plus à la recherche de la prochaine pépite avec un taux de croissance à quatre chiffres, mais favorisent les jeunes pousses raisonnables dans leur développement, et surtout économes. « Nous avons des discussions régulières avec les investisseurs, notre profil financier est sorti du lot et a généré de l’intérêt. Nous avons décidé d’en profiter et de lever maintenant, pour se concentrer sur le développement de l’activité au deuxième trimestre », explique l’entrepreneur. Il précise que les investisseurs sont devenus plus rationnels et exigeants sur les métriques. Sans aucun doute, les ratios de burn – l’argent brûlé par les start-up pour financer leur croissance – par rapport à la croissance, sont scrutés, mais aussi le taux de perte de clientèle. « Nous avons apprécié cette rigueur dans les due diligence, cela montre qu’ils comprennent ce qu’on fait et peuvent nous aider dans notre développement. »
La frayeur SVB
Au final, DataDome a décidé de faire entrer un seul nouvel actionnaire, InfraVia Growth, qui rejoint l’américain Elephant et le français ISAÏ. « C’est la façon dont on fonctionne. On préfère que nos investisseurs aient un intérêt significatif au développement de la société », explique Benjamin Fabre. Il a pris son temps de parler aux participations des fonds candidats pour s’assurer que son nouvel investisseur soit impliqué et apporte des compétences au board. Seule frayeur avant le closing du deal, la descente aux enfers de Silicon Valley Bank (SVB). « Nous n’avions qu’une très faible exposition à SVB, mais un de nos fonds était aussi concerné. Cela a retardé le closing mais heureusement, tout s’est réglé après quelques jours. »
Et la valorisation dans tout ça ? « Nous avons toujours été consistant sur les valos, même pendant la folie de 2021, ce qui nous permet de doubler notre valorisation entre les deux tours, et d’avoir une trajectoire cohérente sur ce plan », assure le dirigeant de DataDome.
Les États-Unis, premier marché
Car la start-up, qui a ouvert un bureau à New York en 2018 (50 salariés aujourd’hui), a, depuis, largement essaimé aux États-Unis. Elle a affiché 120 % de croissance de ce côté de l’Atlantique l’an passé, si bien que les États-Unis sont devenus son premier marché, à plus de 50 % de ses revenus.
Certes, un paradigme a changé dans le monde de la tech depuis 2021 : le lancement en fanfare de ChatGPT. Pour Benjamin Fabre, il aura deux impacts majeurs dans l’industrie. « Avec ChatGPT, dit-il, la génération du contenu devient gratuite et illimitée, donc il faut savoir si elle vient d’un humain ou d’un robot. D’autre part, elle va accroître la capacité des robots dans leurs initiatives comme la fraude à l’influence, les faux comptes et les contenus ». Une menace, et une opportunité unique pour DataDome qui recherche les contenus soumis par des bots. Le problème est en particulier très prégnant pour les médias, l’e-commerce et les annonces, les trois segments de prédilection de la start-up. Prochain défi de taille pour DataDome : la rentabilité, d’ici deux à trois ans. Sa rigueur budgétaire lui sera utile pour cette étape importante.
[Article partenaire] Comment trouver la meilleure option pour la scolarité de son enfant lors d’un départ à l’étranger ?
Si l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE) propose de nombreux lycées français hors de France, qui s’engagent à respecter le programme de l’Education nationale, l’enseignement à distance peut également présenter de nombreux atouts, comme alternative ou comme complément à la scolarité en expatriation.
Par ailleurs, l’enseignement à distance peut aussi permettre de revoir les points essentiels d’un programme grâce à des programmes de révisions ; ou encore renforcer l’apprentissage de l’anglais grâce à des programmes spécialement conçus pour l’ouverture internationale.
Faire l’école à la maison pour plus de flexibilité
Les lycées français sont surtout présents dans les capitales et les grandes métropoles, et certains établissements peuvent manquer de places pour accueillir les nouveaux élèves. Par ailleurs, alors que de nombreux lycées du réseau AEFE offrent un niveau académique très élevé, certains peuvent, au contraire, peiner à satisfaire les attentes de parents exigeants ou d’élèves qui souhaitent se préparer à des études supérieures sélectives. Pour toutes ces situations, l’école à distance représente une alternative sérieuse pour une scolarité réussie, qui couvre toutes les matières d’une classe donnée, sur la base d’un programme scolaire enrichi.
Avec les écoles à distance du collectif CEDRE France, l’enfant bénéficie :
de tous les éléments d’instruction fournis par l’école (programmes clé en main, supports de leçons, exercices, corrections, évaluations)
du suivi de professeurs diplômés d’État
de relevés de notes, bulletins trimestriels et avis de passage
d’une attestation de scolarité
de l’accompagnement de l’équipe pédagogique, notamment pour le choix des spécialités de première et pour la réalisation de la procédure Parcoursup
d’examens blancs en visioconférence pour les épreuves orales du baccalauréat
Où qu’il soit, l’élève est scolarisé et accompagné de manière individualisée, jusqu’à son retour en France.
Un complément à une scolarité en présentiel
Les écoles à distance peuvent aussi permettre de compléter la scolarité avec une ou plusieurs disciplines, par exemple pour approfondir une matière ou pour suivre une option non proposée dans l’établissement du pays d’accueil. Comme l’explique Vincent Viard, responsable pédagogique à l’EIB à distance, « les familles expatriées ont souvent un niveau d’exigence élevé quant à la qualité de l’enseignement dispensé à leurs enfants. Certains parents souhaitent donc un renforcement dans certaines matières, comme le français, les mathématiques, voire une langue étrangère ».
Une inscription possible partout et à tout moment de l’année
L’inscription dans un établissement d’enseignement à distance du collectif CEDRE France est très simple pour toutes les familles expatriées. Elle peut s’effectuer à tout moment, même en cours d’année, comme en témoigne la maman de Joseph, depuis Abu Dhabi : « le rythme de l’école sur place ne convenait absolument pas à notre fils. Il devait se lever à 5h30 chaque matin pour prendre le bus, il n’avait pas de véritable pause déjeuner… Avec la chaleur, c’était compliqué, d’autant plus qu’il s’ennuyait en classe. En discutant avec d’autres mamans, j’ai découvert l’EIB à distance et cela nous a convaincus : la semaine suivante, on inscrivait notre fils ! ».
À noter : Les élèves expatriés n’ont pas à effectuer de demande d’autorisation d’instruction en famille pour suivre une scolarité à distance. L’inscription dans l’une des écoles à distance du collectif CEDRE France est donc possible à tout moment de l’année, c’est notamment précieux pour les familles qui résident dans l’hémisphère sud avec un calendrier scolaire différent.
Des options pour favoriser le bilinguisme en anglais
Dès le collège, les écoles du collectif CEDRE France proposent des options pour un apprentissage renforcé des langues, en particulier l’anglais. Ils ont, par exemple, la possibilité de préparer un double baccalauréat français-américain : le Dual Diploma. En travaillant l’anglais, l’histoire, le gouvernement et l’économie des États-Unis trois à quatre heures par semaine, via un cursus complémentaire entièrement en ligne, les élèves seront bilingues en fin de terminale, auront appris à travailler avec des interlocuteurs américains et auront également une meilleure facilité d’accès aux universités américaines, tout en ayant obtenu le baccalauréat français en parallèle.
Riwenn, qui a obtenu ce double diplôme avec Hattemer Academy, témoigne : « Sur le plan culturel, j’ai appris l’histoire et le fonctionnement du système politique américain. C’est un point de vue qui permet de porter un autre regard sur notre histoire. Les cours d’économie permettent d’aborder des notions pratiques qui nous concernent ou nous concerneront tous directement : les banques, les taxes, les assurances, les investissements, les placements… Il comble en quelque sorte les vides du cours français de sciences économiques et sociales qui décrit principalement les mécanismes généraux. Les cours du Dual Diploma sont donc intéressants à la fois sur le plan philosophique, géopolitique, historique, économique et simplement culturel ».
Par ailleurs, l’EIB à distance propose le premier programme de préparation aux certifications de Cambridge à distance pour le collège et le lycée. « Dans le cadre de la certification Cambridge, que j’ai passée récemment, j’ai eu environ dix-huit heures de cours avec un professeur d’anglais qui m’a beaucoup aidé sur des domaines aussi vastes que la grammaire, la prononciation en anglais et le vocabulaire. L’examen s’est très bien passé et je pense que c’est parce que j’avais été très bien préparé ! Les séances étaient ludiques parce qu’on discutait de sujets en anglais, tout en apprenant ! » témoigne Ylan qui a suivi ce programme à distance.
Le retour en France facilité
L’enseignement à distance permet aux enfants de conserver un lien avec le système éducatif français. La scolarité partielle permet ainsi de maintenir un bon niveau en langue française, en particulier quand l’enfant est scolarisé dans un établissement ne proposant pas de cursus en français, et ainsi de se réadapter facilement lors du retour en France.
À l’issue du parcours, le relevé de notes permet de valider un niveau pour le passage en classe supérieure dans la matière concernée. Le retour en France et la réintégration dans l’école présentielle n’en sont que simplifiés, et les enfants se réadapteront facilement et pourront par exemple passer leur baccalauréat avec de bons résultats.
CEDRE France accompagne les familles dans leur projet d’expatriation, afin de les aider à trouver la meilleure solution pour assurer la continuité pédagogique de leurs enfants.
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[Article partenaire] Dans quel quartier investir à Paris ? Si vous cherchez à investir à Paris pour une belle rentabilité, vous avez plusieurs options.
Le plus important pour les expatrié·e·s, et même de manière générale, est de se faire accompagner par des personnes de confiance qui connaissent parfaitement le marché et y sont implantées. Investissement-Locatif.com vous conseille.
Le choix du quartier
Tout d’abord, le quartier de Montmartre est très populaire, car il attire bon nombre de touristes et offre un cadre pittoresque. Cependant, les prix de l’immobilier y sont élevés.
Le quartier de Belleville, quant à lui, est un choix moins cher et tout aussi prometteur.
Le quartier de La Chapelle est également en hausse grâce à son emplacement stratégique près de la Gare du Nord et de la Gare de l’Est. Il est donc facilement accessible en transports en commun.
Enfin, le quartier de République est également une option intéressante en raison de sa situation centrale et des nombreux commerces et restaurants qu’il propose.
Quel que soit le quartier, il est important de bien étudier le marché avant de vous lancer dans l’investissement immobilier.
Quel budget pour investir à Paris ?
Le budget à prévoir pour investir à Paris dépendra de nombreux facteurs, tels que la zone, l’arrondissement, l’état de l’immeuble, ou encore la taille et la qualité du bien. En général, il est recommandé d’avoir un budget minimum de 200 000 euros pour l’achat d’un appartement à Paris.
Cependant, les biens sur les zones les plus demandées et les plus recherchées, tels que les arrondissements les plus centraux, les biens de luxe et les immeubles haussmanniens, peuvent atteindre plusieurs millions d’euros.
Pour les personnes souhaitant investir avec un budget plus limité, il est alors possible de se tourner vers des quartiers en développement, tels que les zones situées en périphérie de Paris (18ème, 19ème et 20ème), où les prix sont plus abordables.
Dans tous les cas, un investissement à Paris peut être rentable, mais il est important de bien réfléchir à ses objectifs et sa situation financière avant de se lancer.
Quel type d’appartement choisir pour investir à Paris ?
Pour investir à Paris, il est important de considérer plusieurs critères afin de choisir le type d’appartement le plus adéquat.
Tout d’abord, il est recommandé d’opter pour des biens immobiliers situés dans des quartiers attractifs et bien desservis par les transports en commun. Les studios et les petites surfaces sont particulièrement recherchés pour leur rentabilité locative, surtout dans les zones touristiques et étudiantes.
Néanmoins, il est aussi possible d’investir dans des appartements plus grands et de qualité pour des loyers plus élevés, comme investir dans une colocation, mais cela nécessite un budget plus important. Il faut également tenir compte de l’état de l’immeuble et de la copropriété, ainsi que de la concurrence sur le marché immobilier parisien. En somme, le choix de l’appartement idéal dépend des objectifs d’investissement de chacun·e et de la stratégie à adopter pour optimiser sa rentabilité.
En quoi consiste le projet Grand Paris ?
Le projet Grand Paris est un projet d’aménagement urbain ambitieux visant à transformer l’agglomération parisienne en une métropole du XXIe siècle. Il s’agit de repenser l’organisation spatiale de la région parisienne afin de la rendre plus attractive, plus compétitive et plus durable.
Le projet comprend plusieurs volets : la création d’un réseau de transport performant (Grand Paris Express) ; l’amélioration des conditions de vie des habitant·e·s (logements, espaces verts, équipements publics) ; le développement économique de la région (zones d’activités, pôles de compétitivité) ; et enfin la promotion de la culture et du patrimoine. L’objectif est de faire de la métropole parisienne une référence mondiale en matière de qualité de vie, d’innovation et de développement durable.
Investir à Paris : lancez-vous !
À condition d’être bien réalisé, un investissement à Paris peut avoir une très bonne rentabilité, tout en vous assurant un pied-a-terre si vous souhaitez rentrer en France par la suite.
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