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Où acheter des chocolats de Pâques à Los Angeles?

Le printemps est là et la fête de Pâques, qui aura lieu cette année le dimanche 9 avril, approche à grands pas. À Los Angeles, les vitrines de vos boulangeries et chocolateries préférées s’emplissent d’œufs, de lapins ou d’autres créations en chocolat plus inattendues. French Morning vous indique les adresses qui feront le bonheur des petits et des grands. Une liste non exhaustive, donc si vous n’y figurez pas, faites-vous connaître, écrivez-nous !

Des lapins graphiques chez Milla Chocolates

À Los Angeles, Milla Chocolate propose des lapins très graphiques. © Milla Chocolate

À Culver City, Milla Chocolates est une maison réputée pour ses créations aux motifs géométriques et ses grands cacaos de République Dominicaine, du Pérou ou du Venezuela. Pour Pâques, en plus de son assortiment de chocolats fins, la boutique propose des demi-œufs dorés fourrés d’un praliné noisette-framboise ainsi que ses fameux lapins en chocolat très graphiques. Ces bunnies cachent un cœur de praliné pistache fait maison. Ils sont vendus dans d’élégants coffrets cadeaux noirs qui se déclinent en plusieurs versions, de 25 à 115 $, avec un ou deux lapins, accompagnés d’orangettes, de douceurs au chocolat, d’un thermos à chocolat chaud… Un cadeau gourmand à offrir à Pâques. Ouvert du mardi au jeudi de 10 am à 5 pm, le vendredi de 10 am à 4 pm, le week-end de 10 am à 5 pm (fermé le lundi). Commande en écrivant à [email protected] ou par téléphone (310) 876-1021; 9414 Venice Blvd, Culver City

Entre tradition et modernité chez Valerie Confections

Dans sa nouvelle boutique de Glendale, Valerie Confections propose une farandole de créations chocolatées pour Pâques. Trois sortes d’œufs sont proposées dans de jolies boîtes à rubans : un œuf en chocolat doux-amer fourré de caramel liquide et décoré à la feuille d’or (40$ la boîte de 12); un œuf en chocolat blanc crémeux incrusté de framboises et de pétales de roses (18$ la boîte de 6); un œuf en chocolat au lait fourré d’une ganache crémeuse au chocolat noir (18$ la boîte de 6). De jolies tablettes en chocolat noir, au lait ou blanc (13$ chacune) ornées de moulages old-school de lapins vous replongeront en enfance. Côté modernité, la maison propose la boîte de truffes au chocolat Eat me, avec son topping rose inspiré d’Alice au pays des Merveilles (25$ la boîte de 9). Valerie Confections, 1936 W Glenoaks Blvd. Glendale – 213-739-8149

Du chocolat Valrhona chez Pitchoun Bakery

Les œufs de Pitchoun Bakery sont décorés de délicates fleurs de cerisiers. © Pitchoun Bakery

À l’approche de Pâques, les vitrines de Pitchoun, à Downtown et Beverly, débordent de springs treats : desserts, œufs et truffes en chocolat, friture, lapins, cookies… Des spécialités faites maison à partir de chocolat Valrhona. En chocolat noir, au lait ou blanc, l’œuf « signature » de 7 inches (23$) est décoré à la main de délicates fleurs de cerisiers et de papillons. Comptez 20$ pour un assortiment de 6 œufs en chocolat présentés dans une boîte à offrir (ou s’offrir). La maison vend aussi des sachets de friture (7$) et d’œufs en chocolat emballés à cacher dans le jardin (7$ les 10 ). Si vous êtes nombreux, vous opterez peut-être pour une boîte de truffes en chocolat d’½ lb (32$) ou d’1lb (54$). Celles-ci sont déclinées en trois versions : chocolat au lait praliné, chocolat noir grand marnier et chocolat blanc cointreau. Il est conseillé de passer votre commande à l’avance. Pitchoun Downtown 545 S Olive St. Los Angeles – 213.689.3240 [email protected]; Pitchoun Beverly 8500 Beverly Blvd. – #103 Los Angeles – 323.381.5328 

Des escarpins en chocolat chez Sweet Lily Bakery

Chez Sweet Lily Bakery, les créations en chocolat sont réalisées par Thibaut Leymarie, propriétaire de l’enseigne avec sa compagne Marine Lefaucheur et pâtissier depuis 28 ans. Au terme d’un travail long et minutieux, ces pièces seront vendues à Pâques sous des cloches en verre façon « La Belle et la Bête » dans leurs boutiques d’Hollywood et de Culver City, ouverte récemment. Le couple proposera par ailleurs les escarpins en chocolat (25$) qui ont connu un grand succès l’année dernière. Sans oublier les oeufs en chocolat noir, au lait ou blanc remplis de friture (20$ les gros oeufs, 15$ les moyens), les lapins, les pâtisseries en forme de nids (8$) et les sacs de petits crustacés et poissons en chocolat (10$). Des gourmandises qui se vendent en un instant ! Commande possible via mail Sweet Lily Cahuenga 3315 Cahuenga Blvd Los Angeles – 323.499.1888; Sweet Lily Culver City 9516 Culver Blvd, Culver City – 424.603.4064 

Un choix royal chez Compartés

Une des nombreuses boîtes de chocolats proposés par le chocolatier artiste Compartés pour Pâques à Los Angeles. © Compartés

Cette année encore, le chocolatier Compartés a réalisé de véritables bijoux en chocolat pour Pâques. Difficile de choisir parmi ces dizaines de trésors aux parfums recherchés, dont certains sont vegans ou gluten free. Lapins en chocolat dorés ou argentés, œufs fourrés au peanut butter, panier géant en chocolat rempli d’un assortiment de gourmandises, déclinaisons de boîtes de truffes en chocolat de tous genres… À quelques jours de Pâques, le choix est vaste dans sa boutique très chic de West Adams. Les commandes sont également possibles en ligne. Compartés Chocolatier, 5735 West Adams Blvd Los Angeles.

«Lala» printanier chez Ladurée

© Ladurée

Chez Ladurée, à Beverly Hills, Pâques rime avec finesse et tradition. Lapins, œufs et macarons sont présentés dans de jolies boîtes aux allures printanières. Avec ses longues oreilles dressées sur la tête, « Lala » le lapin s’habille en chocolat noir, au lait, blanc ou teinté de rose (15$). Gravés d’une couronne de fleurs, les gros oeufs en chocolat, noir ou au lait, existent en deux tailles, small (29$) ou large (41$) et renferment des chocolats Ladurée. La maison propose aussi des boîtes de 20 petits œufs fourrés, des sachets de chocolats maison et des œufs emballés. Sans oublier ses fameux macarons, disponibles dans des boîtes de 8 (30$) ou de 18 (67$). La spécialité du chef Julien Alvarez ? Un « coated » macaron tout chocolat enrobé de cacao indonésien. Certaines créations sont disponibles à la livraison – commander en ligne. Ladurée, 311 N Beverly Drive Beverly Hills – (310) 623-1100.

Une journée à LA pour célébrer les Jeux Olympiques de Paris 2024

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Organisée par le Consulat Général de France à Los Angeles et la Paris Saint-Germain Academy LA, « La Journée Olympique et Paralympique 2023 » célèbrera, le samedi 8 avril à l’International School of Los Angeles, le sport dans tous ses états… et la nomination de Paris comme ville hôte des prochains Jeux Olympiques de 2024.

Toute la journée, de 10am à 7pm, le public est invité à participer à des ateliers autour du sport, particulièrement du basketball et sa version fauteuil, du football et sa version cécifoot pratiquée par des athlètes déficients visuels, et aussi du volley-ball, de la danse et même de l’e-gaming.

La Journée Olympique à Los Angeles

Pour animer la journée, les organisateurs ont réuni la crème de la crème des athlètes, avec entre autres, les Français Emilie Gomis, médaillée olympique en 2012, le spécialiste du triple saut Cheikh Touré, double médaillé aux Jeux Olympiques, et Joël Bouraïma, coach des stars. Des professionnels de l’e-gaming viendront également partager leurs expériences et connaissances.

L’événement fera également rencontrer tout un panel d’experts, des pros du fitness à la production de films et du cinéma d’animation, des compositeurs et paroliers en musique, des danseurs et directeurs artistiques. Une somme de talents pour célébrer la créativité et l’esprit d’équipe, avec musique et bonnes cuisines au rendez-vous.

Expo à NY: la NOUVELLE VAGUE de G&O Art et Maison 10

Chaque collection présente 10 artistes contemporains et 10 marques choisies dans 10 catégories différentes (design, beauté, parfums, maison…) pour une période de 10 semaines. C’est le concept original de Maison 10, une galerie concept-store au cœur de NoMad et une plateforme ayant pour principe de base le consumérisme éthique. Chaque client peut en effet choisir, parmi 10 organisations de bienfaisance, celle qui va recevoir un don à hauteur de 10% de son achat.

Un concept qui a séduit G & O Art. L’agence d’artistes, créée il y a 23 ans par Odile Gorse et son mari Ghenadie Burlacu, aime trouver des lieux insolites pour exposer des œuvres d’artistes contemporains d’horizons divers et « provoquer des coups de cœurs ». G & O Art a notamment collaboré avec l’Ambassade et le Consulat de France aux États-Unis, le FIAF, l’agence « Parks & Recreations » de la ville de New York ou encore les Nations Unies.

G & O Art et Maison 10 collaborent donc ensemble sur la collection NOUVELLE VAGUE exposée jusqu’au samedi 15 avril. Les prix des œuvres commencent à un peu moins de 1500 dollars. Sur la dizaine d’artistes présentés, trois le sont par l’agence d’Odile Gorse et de Ghenadie Burlacu : la sculptrice Olivia de Saint Luc, le peintre Paul Boulitreau et le photographe David Arky. Et parmi les marques présentes, celle, française, de cosmétiques Carlina.

Les camps d’été en français pour les enfants à NYC et sa région

C’est le traditionnel casse-tête annuel des parents : que faire de nos chères têtes blondes pendant les deux mois d’été ? Pour vous aider à faire votre choix, French Morning vous a préparé une sélection des Summer camps en français à New York et dans la région. Ne tardez pas à réserver car ils se remplissent rapidement.

Début d’été 

  • Lycée Français de New York (Manhattan)

Du lundi 24 juin au le vendredi 12 juillet. Apprendre le français tout en s’amusant, c’est la promesse des summer camps du Lycée français de New York. Répartis en quatre tranches d’âges (camp d’éveil pour les enfants de 3 ans, camp découverte pour les enfants de 4 à 5 ans, camp d’exploration pour les enfants de 6 à 7 ans et camp création pour les 8-10 ans), les programmes de l’établissement privé de l’Upper East Side proposent de nombreuses activités dont la cuisine, l’art, la pétanque et bien sûr les jeux. Attention, il n’a lieu que sur trois semaines : celles du 20 juin, du 27 juin et du 3 juillet. Inscrivez-vous pour les détails et recevoir les updates ici.

  • The Ecole (Manhattan)

Du lundi 26 juin au vendredi 14 juillet. Ce Summer camp proposé par l’école bilingue de Gramercy pour les 3-10 ans se déroulera sur deux campus, celui de la maternelle (3-5 ans) et celui de l’élémentaire (6-10 ans). Prévu de 8.30am à 5pm (de 8.15am à 4.30pm pour l’élémentaire), le camp veut offrir aux enfants francophones, anglophones et autres, une expérience d’immersion bilingue par le biais d’activités artistiques et sportives, avec une thématique par semaine (jeux olympiques, cirque, Fort Boyard par ex). Des activités jets d’eau et piscine gonflable sont prévues sur le toit de l’école, ainsi que des excursions dans des parcs et des musées dans la ville.

Prix à la demi-journée de 8:30am à 11:45am ou de 1:15pm à 4:45pm : 100$; journée : 180$; la semaine: 760$. Le déjeuner pizza est offert le vendredi. The Ecole (Maternelle) – 206 Fifth Avenue, NY – et élémentaire – 111 East 22nd Street, NY. Plus d’infos ici.

Immersion culturelle et artistique

  • FIAF (Manhattan et Montclair, New Jersey)

Le FIAF propose un camp de vacances « les Petits artistes » pour aider les enfants à libérer l’artiste en eux, qu’ils soient débutants en français ou francophones. Les camps sont répartis par âge : du Kindergarten à 5th grade, le camp « Fun in French » est centré sur le jeu, l’exploration et les thématiques hebdomadaires portent sur l’expression artistique comme la musique, la danse, la peinture, le théâtre et même les bandes dessinées. Du lundi au vendredi, à la journée ou demi-journée, de 9am à 12pm : 419$ par semaine, et 9am-4pm : 789$ par semaine.

Du 20 juin au 11 août, de 6th à 8th grade : les jeunes auront des ateliers interactifs et des visites de musées, parcs et centres culturels de la ville pour découvrir la littérature, le cinéma, la musique, la danse et le cirque, la photographie et l’architecture etc, tout en améliorant leur français. Du lundi au vendredi de 1:30pm à 4:30pm : 499$ par semaine.

De 6th à 12th grade, le camp d’immersion en français est réparti entre cadets (6th à 8th grade) et juniors (9th à 12th grade). Une approche multidisciplinaire qui encourage les interactions en français à travers des jeux de rôle pour stimuler l’intérêt et l’imagination des jeunes. Le camp se focalise sur la communication orale, mais aussi donne des bases solides pour lire et écrire en français, avec 4 classes de niveaux. Ce programme prépare aussi aux examens du DELF JUNIOR. Du lundi au vendredi, de 9:45am à 12:45pm : 399$ par semaine.

En parallèle, du samedi 24 juin au vendredi 1er septembre, les cours de français de l’été ont lieu une fois par semaine (45 à 90 minutes) sur 5 et 10 semaines, sont destinés à l’apprentissage du français pour les enfants, qu’ils soient débutants ou non. Plus d’infos sur tous les camps ici.

  • Bleu Blanc Rouge (Manhattan)

A Manhattan, le summer camp Bleu Blanc Rouge, qui existe depuis 2010, est un camp focalisé sur l’art et l’écologie en français de 3 à 11 ans. Les enfants apprennent le français couplés à des activités amusantes comme le théâtre, l’art, le chant, danse, sport, la cuisine, des visites de musées. Une activité thématique est prévue chaque semaine. Le lieu sera situé entre Union Square et Flatiron. Prix de 900 dollars par semaine, du lundi au vendredi de 9am à 3pm.​

Pour les jeune de 12 à 18ans, le but est d’apprendre et ne pas perdre son français en vacances, avec des cours de 45 ou 90 minutes sur Zoom. Les cours sont donnés par une équipe de professeurs natifs, professionnels et détendus. Les inscriptions peuvent être faites à la carte de 1 à 5 fois par semaine, en classe individuelle ou par groupe de 3 élèves. Prix de 85$ pour 45 min et 140$ pour 90min. Plus d’infos ici.

Pour le plus jeune âge

  • Les Petits Poussins Too (Harlem) 

La preschool bilingue de Harlem, qui est en pleine expansion avec cinq adresses à West Harlem, Downtown Brooklyn et Upper East Side, et deux ouvertures en vue à West Harlem et Dumbo en 2023, organise son camp d’été du 3 juillet au 18 août, de 8am à 6pm. Ici, les enfants sont répartis en classes d’âges de nourrissons (3-12 mois), tout-petits (12-24 mois), toute petite section (2 ans), petite section (2,5-3,5 ans) et grande section (3,5-5 ans), passeront beaucoup de temps en extérieur. Il propose une grande flexibilité, avec plusieurs programmes (selon les disponibilités) de cinq jours, trois jours (lundi, mercredi, vendredi) ou deux jours (mardi, jeudi) de 8am a 3pm ou bien la journée complète. Les Petits Poussins suit son propre curriculum inspiré du système français et américain, avec des thématiques et un focus sur l’art et le jeu. Les thèmes seront estivaux avec beaucoup de joyeux moments dehors ! Plus d’infos ici.

  • La Petite Ecole (Manhattan)

Située à la fois dans l’Upper West Side et à Greenwich Village, la Petite École propose un camp d’été pour les enfants en preschool (de 2 ans 1/2 à 5 ans, et de 2 à 5 ans du lundi au vendredi). Du 19 juin au 14 juillet, ils pourront participer à des cours de cuisine, prendre le bus jusqu’à Staten Island, découvrir Matisse au MoMa ou le Musée d’Histoire Naturelle, ou encore s’amuser à Central Park (pour les inscrits dans l’Upper West Side) ou dans Washington Square Park (à Greenwich Village). Comptez 725$ pour une semaine, et 590$ pour la semaine du 4 juillet (du lundi au vendredi de 9am à 3pm). Il est conseillé de s’inscrire au minimum pour 2 semaines pour les plus petits, pour l’adaptation. Plus d’infos ici.

  • Smith Street Maternelle (Brooklyn)

L’école maternelle, qui compte trois campus à Carroll Gardens (607 Henry Street), Gowanus (388 Carroll Street) et Brooklyn Heights (166 Monatgue Street), ouvre ses portes pour l’été avec des camps à la semaine en français, où les enfants sont immergés en français à travers les jeux, l’art, la musique, les histoires et des expériences scientifiques. Les classes sont ouvertes à tous les niveaux, et l’objectif affiché est de s’amuser au maximum, tout en absorbant de nouveaux mots de vocabulaire, de nouveaux concepts et formes d’expression créative. Les sessions sont menées par des éducateurs bilingues. Le programme, qui se déroule du lundi 26 juin au vendredi 4 août, se compose de semaines thématiques, et les enfants peuvent venir de 1 à 6 semaines. Le camp demi-journée des 2-4 ans (9am à 11:30am) coûte 525$ par semaine, la journée complète (9am-2:30pm) coûte 700$. Il faut compter 100$ par semaine pour étendre jusqu’à 4pm et 25$ par semaine pour déposer ses enfants à 8:30am. Plus d’infos ici.

  • Mini-camps à Clinton Hill (Brooklyn)

La Française Anne-Sophie Devouassoux, ancienne professeure à l’ISB de Brooklyn, propose des mini-camps en français dans le quartier de Clinton Hill, où les enfants auront la possibilité d’explorer, créer et même cuisiner, tout en profitant d’activités en extérieur. Les camps ont lieu les semaines des 26 juin, 5 juillet, 21 août et 28 août, de 9am à 4:30pm. La semaine coûte 600$ (360$ pour celle du 5 juillet), et la journée 130$, et des réductions sont appliquées pour la fratrie. Le camp a lieu au 970 Kent Avenue, contacter [email protected].

Pour les sportifs

  • PSG Academy (Long Island) 

Des stages intensifs pour les footballeurs et footballeuses en herbe, fans du PSG (ou pas). Du lundi 10 au vendredi 14 juillet à Long Island University à Greenvale, Long Island. Les enfants, entourés des coachs officiels du club, pourront améliorer leurs performances footballistiques. À l’issue du camp, ils repartiront avec un ou plusieurs prix et l’équipement complet de la PSG Academy. Du lundi au vendredi de 9am à 3pm, la semaine s’élève à 575$. Plus d’infos ici.

Pour des expériences insolites

  • Bonjour New York (Manhattan)

Des balades à poney ou des traites de vache à la ferme, du trampoline géant, des ateliers de bougie aux cours de batterie. Bonjour New York propose des summer camps riches en activités très diverses pour les enfants de 3 ans et demi à 11 ans, le tout en français bien sûr. L’objectif est de prendre confiance et de s’amuser dans la langue de Molière, quel que soit son niveau. Les camps sont situés dans trois campus : Downtown Brooklyn (lieu à venir), Upper West Side (Ecole Solomon Schechter – 805 Columbus Avenue) et TriBeCa (German School Manhattan – 74 Warren St).

Les enfants passent deux tiers de leur temps dans des activités extérieures, avec des jeux d’eau, natation, du jardinage, de l’exploration et des randonnées, de la zumba, de la peinture, des ateliers de fabrication de bougie, de tie dye, des expériences scientifiques, de la cuisine etc. Une sortie (au musée, à l’aquarium ou dans un parc d’attraction etc) est organisé par semaine. Bonjour NY enseigne aussi l’importance de l’écologie avec l’utilisation de matériaux recyclés. Vous pouvez ajouter des activités payantes, comme STEM ou le football. Les Summer camps sont organisés du lundi 26 juin au vendredi 25 août, la semaine coûte 695$, avec un tarif dégressif pour plusieurs semaines. Plus d’infos ici.

Pour la nature

  • The Language and Laughter Studio (Brooklyn)

Depuis quinze ans, the Language and Laughter Studio accueille les enfants de 3 ans et demi à 7 ans, pour un camp totalement immergé dans la nature, puisqu’il se tiendra dans le parc de Fort Greene. Du mardi 20 juin au vendredi 28 juillet, les enfants vont développer leur capacité à gérer leur environnement en résolvant des problèmes et en construisant leur confiance en eux. Le programme a pour vocation de les aider à devenir des étudiants résilients, créatifs et indépendants. Le camp a lieu exclusivement en extérieur (sauf en cas de mauvais temps, il sera rapatrié dans l’adresse de Nevins Street) de 9:30am à 2:30pm, et le français est enseigné dans cet environnement immersif, à travers des activités artistiques. Il coûte 700$ par semaine.

Pour les plus petits, le French Summer Mini Camp accueille les enfants de 3 mois à 3 ans, avec la participation d’un adulte. Il a lieu tous les jours, de 9:30am à 10:30am, pour un minimum de 2 jours par semaine. Aucun niveau de français n’est requis mais il est seulement demandé de venir avec un esprit ouvert ! Le camp a lieu dans le centre de Beorum Hill et les enfants seront immergés en musique, chants, rythme, poésie et art, et ils connecteront avec des éléments de la nature avec leurs cinq sens, tout cela en français. Ils commenceront aussi à explorer les thèmes de la maternelle comme les couleurs, formes, tailles et animaux. Minimum de 8 enfants par semaine. Enfin, un Summer camp en ligne est proposé du mercredi 14 juin au dimanche 9 juillet pour les 3 à 7 ans, tous les jours sauf le mercredi, de 10:30am à 11:15am. The Language and Laughter Studio – 139 Nevins Street Brooklyn. Plus d’infos sur tous les camps ici.

Pour apprendre l’histoire

  • French American Academy (New Jersey)

Cette école propose dans ses locaux son Summer camp bilingue sur ses deux campus d’Englewood et Jersey City, pour les enfants de 3 à 11 ans. Le camp se déroulera du lundi 26 juin au vendredi 18 août à Jersey City et du lundi 26 juin au vendredi 21 juillet à Englewood. Les activités de langues sont thématiques et en français tandis que les sports, l’art et les classes spéciales (STEM, cuisine, musique) sont en anglais ou en français. Cette année, le thème est « Passé et Présent – Personnes et civilisation autour du monde », les enfants vont explorer d’anciennes civilisations comme Les Gaulois, Les Mayas et l’Égypte Ancienne, mais aussi l’Australie et l’Afrique pour découvrir ses secrets et mystères. Les débutants sont bienvenus. 605$ pour les enfants extérieurs à FAA, 485$ pour les élèves de l’école, réductions pour plusieurs semaines et les frères et sœurs. 209 Third Street, Jersey City. Plus d’infos ici.

Multilinguisme

  • Tessa International School (New Jersey) 

Ayant pour vocation l’apprentissage des langues étrangères (espagnol, français et mandarin), les camps d’été « fun, friends and discoveries » de Tessa ont pour but d’immerger les jeunes dans une culture différente à travers des programmes ludiques dans la langue de leur choix. Au programme : des activités de plein air, travaux manuels, chansons et jeux seront de la partie, avec un nouveau thème chaque semaine. Ces camps s’étaleront du lundi 26 juin au vendredi 25 août. Les journées vont de 8:30am à 4pm. Sont également disponibles des options d’une demi-journée de 8:30am à 12pm et un after care jusqu’à 6pm. L’inscription se fait par semaine : de 536$ pour une journée complète pour 1 enfants, 963$ pour 2 enfants, prix dégressif jusqu’à 9 semaines, et vous avez aussi l’option demi-journée, de 234$ à 275$, pour un minimum de 2 semaines. 720 Monroe Street Suites E105-106 Hoboken, infos ici

Pour les plus grands, loin de New York

  • Tekakwitha (Maine) 

Un camp de vacances dans le Maine, et qui a l’avantage de se situer au bord du lac Androscoggin. Cela permet d’offrir des activités nombreuses aux enfants de 8 à 17 ans, séparés en 4 classes d’âge : les Campeurs pour les 8-10 ans et 11-12 ans, les Explorateurs de 13 ans et les Pionniers de 14 à 17 ans. Les 8-10 ans qui viennent entre 2 semaines et 1 mois, ils pourront bénéficier d’activités comme baignades, kayak récréatif, escalade, tir à l’arc, des jeux thématiques, arts et artisanats. Sans parler des olympiades, tournoi de soccer et une initiation au camping. Du samedi 24 juin au samedi 17 août, comptez 1945$ pour 13-14 jours et 3369$ pour 27 jours.

Pour les 11-12 ans, le camp de 27 jours propose aux enfants des « défis à leur mesure », pour repousser leurs limites, et l’accent est mis sur le développement des amitiés. Outre ces activités, les 13 ans ont aussi l’opportunité de participer à un « rallye-défi » sur 24 heures, avec des défis, énigmes et missions spéciales. Ils partent aussi pour une expédition de 4 jours en montagne afin de s’initier au trekking sur les pistes Appalaches. Enfin, le séjour des 14-17 ans est axé sur la préparation et la réalisation d’une expédition en montagne de 8 à 17 jours, selon le groupe d’âge. Chaque groupe de 10 est accompagné par deux animateurs-guides. Camp Tekakwitha, 67 Camp Tekakwitha Rd, Leeds. Plus d’infos ici.

Thierry Mugler, grandiose et subversif au Brooklyn Museum

Un peu plus d’un an après la mort du célèbre couturier Thierry Mugler, le Brooklyn Museum inaugure une rétrospective sur sa vie, à l’image de l’artiste : grandiose, provocatrice et profondément subversive. L’exposition « Thierry Mugler : Couturissime », au Brooklyn Museum, s’ouvre de façon intense, sur fond de musique menaçante : devant nous, un hologramme 3D en taille réelle, réalisé par l’artiste québécois Michel Lemieux, met en scène la pièce La Tragédie de Macbeth, qui était présentée par la Comédie Française au Festival d’Avignon de 1985, et pour laquelle Thierry Mugler a conçu des costumes monumentaux.

Exposition Thierry Mugler: Couturissime au Brooklyn Museum @Anne-Laure Mondoulet

La «glamazone», femme forte et érotique

La visite donne une vision d’ensemble du travail du couturier, depuis ses designs de haute couture à ses photographies de mannequins dans ses créations, en passant par des costumes de théâtre, des clips de musique et bien sûr ses fragrances dont l’emblématique Angel, qui fête ses 30 ans.

Ancien danseur professionnel, Thierry Mugler se reconvertit dans les années 70 comme couturier et défie la norme en créant la « glamazone » (contraction de glamour et amazone), une représentation de la femme moderne, ambitieuse, aux épaules extra-larges et aux tenues provocatrices, en pleine possession de son pouvoir érotique. Tout au long de ses trente années de création, Thierry Mugler n’a de cesse de repousser les limites de la mode avec des tenues extravagantes, l’utilisation de matériaux d’avant-garde comme le verre, le plexiglas, le PVC, la fausse fourrure, le latex ou encore le chrome.

Exposition Thierry Mugler: Couturissime au Brooklyn Museum @Anne-Laure Mondoulet
Exposition Thierry Mugler: Couturissime au Brooklyn Museum @Anne-Laure Mondoulet
Exposition Thierry Mugler: Couturissime au Brooklyn Museum @Anne-Laure Mondoulet

La photographie, sa deuxième passion

La visite est organisée par thématiques : fantastique, glamour, science-fiction, érotisme et la nature, qui fascinait l’artiste et qu’il respectait avec l’utilisation de matières recyclées et la fausse fourrure, bien avant les autres grandes maisons de couture. Thierry Mugler a également participé à l’essor de la photographie de mode dans les magazines, et sa passion pour le sujet l’a conduit à des collaborations avec les plus grands photographes : Helmut Newton, Guy Bourdin, David La Chapelle, Karl Lagerfeld, Ellen von Unwerth, et tant d’autres.

Le couturier a organisé des séances photos dans des endroits improbables comme au milieu des dunes du Sahara, sur une banquise du Groenland ou au sommet de gratte-ciels de Manhattan. Par la photo, il a magnifié la beauté de ses muses et des plus célèbres mannequins des années 90, comme Carla Bruni, Claudia Schiffer, Naomi Campbell, Estelle Lefébure.

Exposition Thierry Mugler: Couturissime au Brooklyn Museum @Anne-Laure Mondoulet
Exposition Thierry Mugler: Couturissime. @ Brooklyn Museum

Futurisme, robots et science-fiction

Une pièce entière est par ailleurs consacrée à la fascination de Thierry Mugler pour le futurisme et les robots, dont une vitrine jonchée de câbles électriques et designée par l’artiste berlinois Philipp Fürhofer. Dans son travail, le couturier s’est largement inspiré de l’univers de la science-fiction, des héroïnes de BD, d’armures médiévales et autres types d’uniformes pour créer des tenues futuristiques, comme Maschinenmensch, ce bustier en métal et PVC, qui a nécessité six mois de travail. Des prouesses techniques pour sublimer des personnages féminins tout-puissants.

Un clip avec George Michael 

Enfin, il s’est aussi frotté à la musique et au film, en réalisant le clip de George Michael, Too Funky, avec les top models Linda Evangelista, Eva Herzigova, Estelle Lefébure, Tyra Banks entre autres. Son œuvre a eu un succès international retentissant, et il a par exemple été choisi pour créer les costumes de la troupe Cirque du Soleil en 2003, ou encore les tenues de scène de la chanteuse Beyoncé pour sa tournée I am de 2009. « Dans mon travail, j’ai toujours essayé de faire apparaître les gens plus forts qu’ils ne le sont vraiment », a dit Thierry Mugler. Trente ans plus tôt, un visionnaire du women empowerment.

Oeufs, poules, lapins: où trouver des chocolats de Pâques à Miami?

À Pâques, impossible de faire l’impasse sur les délices cacaotés. Voici une sélection d’adresses à Miami et sa région où dénicher poules, lapins et autres douceurs en chocolat afin de s’adonner, le dimanche 9 avril, à l’incontournable chasse aux œufs. Une liste non exhaustive, donc si vous n’y figurez pas, faites-vous connaître, écrivez-nous !

Miami

Nul doute que vous croquerez à pleines dents les petits œufs, poussins et lapins en chocolat noir intense ou au lait crémeux (de 1,95 $ à 150 $) qui trônent fièrement dans les vitrines de l’Atelier Monnier, une enseigne gourmande dotée de quatre points de vente dans l’aire métropolitaine de Miami. 848 Brickell Ave, Miami – (305) 456-5015; 1300 Collins Ave, Miami Beach – (786) 359-4033; 9825 SW 40th St, Miami – (786) 452-7780; 9563 S Dixie Hwy, Pinecrest – (305) 666-8696

Afin de célébrer comme il se doit Pâques, l’établissement Romanicos Chocolate sort le grand jeu aux amateurs de douceurs cacaotées. Située sur Coral Way, cette adresse propose entre autres des lapins en chocolat (12 $), des boîtes de dix petits œufs (20 $) ou encore un élégant œuf extra large garni de friandises (59 $). 2337 Coral Way, Miami – (305) 854-9936

Originaire de La Rochelle, Éric Buffenoir, qui est à la tête de l’enseigne Bonjour Bakery disposant de deux points de vente dans la région, vous fera fondre de gourmandise avec ses œufs en chocolat de plusieurs tailles (7,49 $ à 27,49 $) ainsi que ses petits lapins (7,49 $). 16650 SW 88th St, Miami – (786) 534-8141; 1435 N Park Dr, Weston – (786) 534-8141

Les artistes dans l’âme quant à eux dirigeront leurs pas vers Exquisito Chocolates où sont vendus des kits permettant de décorer soi-même ses œufs en chocolat (59 $). Ouverte sur Calle Ocho, l’artère principale du quartier cubain de la métropole floridienne, cette boutique propose également des œufs en chocolat fourrés de ganache caramel mais aussi de praliné (à partir de 14 $). 2606 SW 8th St, Miami – (786) 558-4580

North Miami Beach

Comme son nom le laisse présager, Le Chocolatier est une boutique de North Miami Beach où tout ou presque tourne autour de spécialités à forte teneur en cacao, toutes plus alléchantes les unes que les autres. Vous aurez l’embarras du choix : noir, au lait, avec des éclats d’amandes fraîches, de noisettes ou encore de noix de pécan. Le chocolat est ici revisité sous toutes ses formes. 1840 NE 164th St, Miami – (305) 944-3020

Coral Gables

Les becs sucrés pousseront la porte de l’établissement Chocolate Fashion où la liste des délices chocolatés faits maison n’en finit pas de s’allonger : chocolat noir, au lait ou blanc, agrémenté d’amandes fraîches, de noisettes ou encore avec un zeste d’orange. Il y en a pour tous les goûts et tous les budgets. 248 Andalusia Ave, Coral Gables – (305) 461-3200

South Miami

Les effluves cacaotés chatouillent les narines dans cette boutique de South Miami, tout bonnement baptisée Garcia Nevett, où les sœurs éponymes confectionnent leurs chocolats à partir de fèves de cacao provenant du Vénézuela, leur terre natale. Susana, qui a fait ses classes à l’institut Le Cordon Bleu de Paris avant d’intégrer l’école d’arts culinaires Lenôtre à Rungis, et Isabel proposent des petits poussins, des lapins ainsi que des œufs fourrés de caramel et de praliné (6 $), mais aussi une grosse poule garnie (30 $). 7312 Red Rd, Miami – (305) 749-0506

Un œil à travers les vitrines de l’établissement Cécile Bakery + Café implanté sur Sunset Drive suffit à faire oublier tout projet de régime. Cette enseigne propose une collection d’œufs et de lapins décorés de toutes les couleurs (8,50 $ à 15,50 $). 5744 Sunset Dr, South Miami – (305) 397-8206

Aventura

Les créations de Pâques de l’enseigne Ladurée à Aventura raviront les papilles des petits comme des grands gourmands. La célèbre maison de pâtisserie française troque pour l’occasion macarons contre œufs en chocolat estampillés de l’initial de la marque, renfermant de savoureuses petites douceurs cacaotées (29 $ à 41 $), et lapins individuels aux trois chocolats (15 $). 19501 Biscayne Blvd, Aventura – (305) 331-3613

2023 : quelle est la situation du marché immobilier à New York et alentours ?

[Article partenaire] Investir dans l’immobilier de l’autre côté de l’Atlantique, et à New York plus particulièrement, peut faire peur : comment se porte le marché ? Faut-il attendre ou acheter maintenant ? Votre bien risque-t-il de perdre de la valeur ? Où acheter : à New York même ou aux alentours ? 

French Morning s’est entretenu avec Yann Rousseau, Directeur associé de l’agence BARNES New York, afin de faire le point sur la situation du marché immobilier new-yorkais et en périphérie, notamment dans le Westchester et Connecticut.

Situation du marché immobilier new-yorkais en 2023

Un ralentissement en fin 2022 …

En termes d’immobilier, New York a connu une très forte activité en 2022 et ce jusqu’à l’été, avant de faire face, en septembre, à une réduction significative du nombre de transactions. Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette baisse : d’une part, la situation économique américaine en fort ralentissement, avec une augmentation des taux d’intérêt, une inflation galopante et une dépréciation des valeurs boursières, notamment dans le secteur de la tech. D’autre part, la situation géopolitique en Europe – avec la chute de l’euro et la guerre en Ukraine – qui a entraîné une baisse de la quantité d’acheteurs étrangers. 

« Tous ces facteurs cumulés ont entraîné une diminution du nombre d’acquéreurs sur le marché new-yorkais, explique Yann Rousseau. Cependant, comme New York est un marché solide, il n’y a pas eu de baisse de prix. Le marché s’est équilibré tout seul ». 

.. mais un marché sain et stable sur le long terme

L’agent immobilier continue : « Quand on dit que le marché immobilier américain est en crise, il s’agit en réalité d’autres destinations, pas de New York. Ici, c’est resté tout à fait stable, il y a même eu une légère augmentation en fin d’année 2022. On a effectivement observé assez peu de transactions, mais il s’agissait de transactions saines, au prix du marché ». 

« À chaque crise, qu’elle soit sanitaire, pétrolière, économique, ou encore suite au terrorisme, le marché à New York a certes ralenti, mais s’est toujours rattrapé très rapidement ensuite », précise le broker. Et en effet, l’histoire semble confirmer les propos de Yann Rousseau : depuis les années 70, le marché new-yorkais est en constante croissance (+3% par an en moyenne). « Davantage qu’une crise, le marché new-yorkais est plus simplement en hibernation et repart déjà de plus belle au printemps »

Quels biens immobiliers acheter à New York en 2023 ?

Acheter à New York s’inscrit ainsi complètement dans une stratégie de long terme. « Contrairement à d’autres villes américaines, les prix ne risquent pas de baisser à New York. Il est donc toujours temps d’y investir et de réaliser une plus-value par la suite ».

Par ailleurs, le marché du locatif bat son plein : les prix des locations ont augmenté de 30% depuis l’année dernière et se maintiennent. C’est donc le bon moment pour investir dans du locatif. « Les meilleurs biens pour le locatif, ce sont ceux qui sont en plus forte demande, soit les studios (car en entrée de gamme de prix) soit les appartements de grande taille (trois chambres ou plus) car ils sont en inventaire très restreint sur New York », conseille Yann Rousseau. Également, pour faciliter la location, le choix du quartier est primordial. 

« On a assisté à quelques très grosses transactions à NoLita dernièrement, un micro-quartier à l’est de Soho. Ces transactions ont confirmé ce que nous voyons depuis plusieurs années ; à savoir que la partie sud-est de Manhattan se gentrifie de plus en plus » déclare Yann Rousseau.

Pour conclure, le marché immobilier new-yorkais reste fidèle à lui-même, et offre toujours des opportunités d’investissements sûrs, stratégiques et durables. Cependant, New York est une ville cosmopolite et dynamique, qui attire des investisseurs du monde entier. Les prix au mètre carré y sont donc très élevés. Si vous souhaitez de grands espaces, le ticket d’entrée peut donc très vite monter. Dans ces cas-là, les villes périphériques à New York peuvent être une solution intéressante.

Où acheter en périphérie de New York ?

Certains comtés voisins offrent un cadre de vie très agréable, à des prix plus abordables que New York, tout en restant proches de la Big Apple.  Accessibles en train, le Connecticut et le Westchester se sont retrouvés sous le feu des projecteurs lors de la pandémie de COVID, comme nous l’indiquait Yann Rousseau lors d’une interview en 2022. 

Loin du brouhaha de la ville, ces comtés calmes et verts offrent de magnifiques paysages, de nombreuses activités extérieures, de très bonnes écoles et surtout de plus grands espaces. 

Situation des marchés immobiliers du Westchester et du Connecticut en 2023

« Le marché du Westchester et celui du Connecticut fonctionnent à peu près de la même manière, explique Yann Rousseau. Nous sommes actuellement sur des marchés d’acheteurs, c’est à dire que les transactions sont généralement à l’avantage de ces derniers ». Historiquement cependant, le Westchester et le Connecticut sont plutôt des marchés de vendeurs. Si vous souhaitez acheter, c’est donc le moment.

« L’inventaire est en forte baisse, mais comme le nombre de ventes n’augmente pas non plus, les prix se maintiennent. On remarque même une légère hausse des prix », continue le broker. Une bonne nouvelle donc : possibilité de plus-value lors de la revente. 

« Par ailleurs, nous sommes actuellement sur des marchés plutôt liquides, avec un temps de mise en marché de 60+ jours », continue Yann Rousseau. À titre de comparaison, à New York, le temps de mise en marché est d’environ 100 jours. 

Concernant les prix, ils sont, sans surprise, nettement inférieurs aux prix new-yorkais. Dans le Westchester par exemple, comptez environ $380 au square feet, un prix de vente médian de $700 000, et un prix moyen d’un million de dollars. Selon Yann Rousseau, « cette différence entre le prix médian et le prix moyen témoigne d’un marché immobilier plutôt haut de gamme, avec des propriétés de luxe qui tirent la moyenne vers le haut »

Pour le Connecticut, les prix sont de l’ordre de 20% inférieurs à ceux du Westchester. Toutefois, cela varie fortement d’une ville à une autre. « À Greenwich par exemple, le prix médian est de plus de deux millions de dollars », conclut l’agent immobilier. 

L’importance de se faire accompagner lors d’un achat immobilier

Yann Rousseau

À condition de bien le réaliser, un investissement à New York, dans le Connecticut ou dans le Westchester sera donc toujours un investissement sûr et fiable.

Mais afin d’éviter toute mauvaise surprise, il est primordial de se faire accompagner par des experts qui connaissent parfaitement le marché, qui y sont physiquement et historiquement implantés, et qui peuvent vous conseiller en fonction de votre projet, qu’il s’agisse d’un achat résidentiel ou locatif. 

L’agence BARNES, présente à New York depuis plus de dix ans, et disposant de bureaux à Manhattan, Larchmont (Westchester) et Greenwich (Connecticut), est spécialisée dans la promotion internationale de l’art de vivre à la française et accompagne depuis toujours les Français·e·s lors de leurs expatriations.

BARNES met à votre disposition sa solide équipe d’experts locaux francophones, qui maîtrisent parfaitement la zone, afin de vous accompagner tout au long de votre projet. N’hésitez pas à les solliciter.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site internet de l’agence.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Améliorer ses relations interculturelles grâce à l’intelligence émotionnelle (EQ)

[Article partenaire] L’intelligence émotionnelle est cruciale pour la réussite professionnelle au XXIe siècle. Elle est encore plus importante pour les expatrié·e·s qui naviguent dans une nouvelle culture.

Aurélien Mangano, coach au sein de DevelUpLeaders, l’a expérimenté dans sa carrière et ses plus de dix ans à l’étranger.

Les émotions peuvent avoir un impact sur la vie professionnelle, il est donc important de les comprendre et de les contrôler.

Émotions: que sont-elles?

Les émotions peuvent être décrites comme un sentiment transitoire, habituellement provoqué par une stimulation venue de l’environnement. Elles constituent une partie normale et essentielle de notre identité, nous communiquent des informations sur le monde qui nous entoure et nous aide à naviguer dans celui-ci.

Elles affectent notre façon de penser, de ressentir et de nous comporter. Toutes les émotions n’ont pas le même effet sur nous, certaines sont productives alors que d’autres sont contre-productives.

Nous leurs prêtons généralement peu d’attention et ne pouvons en identifier que quelques-unes. Si on vous demande de citer des émotions, vous allez probablement dire : la joie, la colère, la tristesse et la peur. Pourtant, cela ne représente qu’un spectre très restreint de nos émotions. Ce manque de connaissances peut entraîner des conséquences néfastes sur notre capacité à comprendre et à gérer nos émotions.

Émotions = signe de «faiblesse»?

En minimisant ou en refoulant nos émotions, nous perdons la capacité de les identifier et de les comprendre, entrainant des problèmes de santé et émotionnels sur le long terme. En les considérant comme une faiblesse, nous nous privons de l’opportunité de les utiliser pour améliorer notre compréhension de nous-mêmes et de notre environnement. Il faut changer notre attitude envers elles et les considérer comme un élément normal et sain de notre vie.

Émotions sur le lieu de travail

Les émotions peuvent impacter significativement la vie professionnelle et surviennent fréquemment sur le lieu de travail. Les émotions telles que la colère, la frustration, le stress, l’anxiété ou encore la tristesse peuvent impacter notre capacité de concentration, décision, communication et résolution des problèmes, menant à un épuisement professionnel.

D’un autre côté, des émotions positives telles que la joie, la satisfaction et la motivation peuvent améliorer notre productivité et nos performances. Il est donc important de créer un environnement de travail émotionnellement positif pour maximiser la motivation et la performance des employés. 

Séparer sa vie personnelle de sa vie professionnelle 

Pour éviter la frustration et améliorer le bien-être au travail, il est important de ne pas séparer sa vie personnelle et professionnelle. Cela signifie prendre en compte ses émotions et les gérer de manière appropriée, en utilisant des techniques de gestion du stress, une communication honnête avec les collègues et en gérant ses propres attentes.

Les comprendre et les gérer peut conduire à une meilleure performance professionnelle, des relations améliorées et un bien-être personnel accru. Il est crucial d’investir du temps et des efforts pour développer ces compétences. En ne séparant pas sa vie personnelle et professionnelle, nous pouvons atteindre une plus grande harmonie et équilibre entre les deux aspects de notre vie.

Améliorer l’intelligence émotionnelle (EQ) au travail ?

Vous pouvez améliorer votre EQ en suivant plusieurs étapes :

  • Accordez-vous le droit à l’erreur

Les erreurs sont inévitables et nécessaires pour permettre de se développer. Sans cela, vous ne serez jamais productif et créatif.

  • Instaurez une culture de la confiance

Partager vos émotions, surtout celles qui sont inconfortables, est une façon de montrer votre vulnérabilité. Tous les membres de votre organisation doivent se sentir à l’aise pour être eux-mêmes et s’exprimer.

  • Soyez présent

Prenez le temps de communiquer avec votre équipe afin d’inspirer confiance et permettre d’établir des relations positives.

  • Écoutez plus que vous ne parlez

Les personnes qui éprouvent des émotions négatives ne cherchent pas toujours une solution. Elles veulent souvent simplement s’exprimer et libérer leurs émotions. Les écouter permet de leur donner le sentiment d’être entendues et vous établit comme une ressource fiable sur laquelle on peut compter.

Conclusion

l’EQ joue un rôle crucial dans notre réussite professionnelle et personnelle. Les employés doivent être conscients de leurs propres émotions et de leur impact sur leur environnement.

Les expatriés, en particulier, doivent appréhender l’importance de la compréhension et de la gestion des émotions pour naviguer à travers les différences culturelles de leur nouveau pays. L’intelligence émotionnelle permet d’améliorer les relations, la communication, la résolution de conflits et, ainsi, de créer un environnement de travail positif et productif.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site de DevelUpLeaders et contactez. Aurélien Mangano par mail pour un un accompagnement personnalisé : [email protected]

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

[Vidéo] L’investissement en nue-propriété : coupler la sécurité et la performance

L’investissement immobilier résidentiel sur le marché français a démontré sa forte résilience et sa solidité face à une crise comme celle du COVID.

Cette résilience et le déséquilibre structurel entre l’offre et la demande de logements dans les zones attractives a fini par convaincre les investisseurs institutionnels et privés de revenir en masse sur le résidentiel. Le volume de transactions atteint des sommets tant en nombre qu’en volume d’investissements.

Dans ce secteur porteur, la «nue-propriété» tire son épingle du jeu. Cet investissement peu connu a le vent en poupe. Pourtant l’offre est rare et lorsqu’elle existe, elle reste peu de temps sur le marché.

Catella Patrimoine, acteur incontournable de l’investissement en nue-propriété, intervenait lors de notre webinaire du 28 mars 2023 pour tout vous dire sur cet investissement basé sur le droit commun et qui ne fait appel à aucune loi de défiscalisation précaire.

Visionnez le replay

Contactez Catella Patrimoine
[email protected] / 0769400227

Alexis Buisson présente «Kamala Harris l’héritière» à l’Alliance Française de Pasadena

Les candidats à la présidentielle américaine de 2024 commencent à se faire connaître. Chez les républicains, Donald Trump a tenu son premier meeting de campagne le 25 mars au Texas et Nikki Haley s’est lancée dans la course le mois dernier; côté démocrate, Marianne Williamson est la première candidate officielle à l’investiture mais les Américains attendent toujours la décision de Joe Biden, le président sortant. Sa vice-présidente aussi : Kamala Harris sera, quoi qu’il arrive, sous le feu des projecteurs dans deux ans – voire avant en cas de pépin de santé de son boss –, soit en tant que VP, soit en tant que candidate, dauphine naturelle du président sortant. Mais qui est-elle vraiment ? Serait-elle prête pour le poste suprême ? Est-elle destinée à devenir la première femme de l’histoire des États-Unis à diriger le pays ou sa carrière s’arrêtera-t-elle aux portes de la vice-présidence ?

Alexis Buisson, journaliste de French Morning, a voulu en savoir plus sur cette personnalité politique, fille d’immigrés jamaïcain et indien, ancienne procureure de Californie et ex-sénatrice au Congrès américain, sur les personnes qui ont influencée sa carrière et sur l’impact qu’elle a aujourd’hui sur les Américains. Ses recherches l’ont mené à écrire un livre « Kamala Harris l’héritière », publié aux éditions L’Archipel et qu’il présentera à l’Alliance Française de Pasadena, le mardi 4 avril à 7pm, lors d’une conversation avec Agnès Chareton, journaliste à French Morning. Une séance de signatures clôturera la rencontre.

La conversation se déroulera en français. Réservation ici (gratuit pour les membres, 15$ pour les non-membres).

Pourquoi les États-Unis utilisent-ils (encore) les degrés Fahrenheit?

Les Celsius ont beau être utilisés dans la majeure partie des pays, cela n’est pas le cas aux États-Unis. Tout est en Fahrenheit ici, des prévisions météo à la prise de température chez le médecin (la température moyenne du corps humain est 98,24°F). Pour comprendre pourquoi et répondre à notre « Question bête » de la semaine, un peu d’histoire, comme toujours.

Au XVIIIe siècle, le Fahrenheit était l’unité de mesure de la température la plus répandue dans le monde. Elle a été mise en place en 1724, par le physicien allemand Daniel Gabriel Fahrenheit. C’était avant qu’un autre physicien, suédois, Anders Celsius, ne crée sa propre échelle en 1742, en prenant pour points de référence le point de congélation de l’eau pour le 0°C et d’ébullition pour 100°C. Facile !

Daniel Gabriel Fahrenheit © Anonyme – Public domain

Dans les années 1960 et 70, l’échelle Celsius commence progressivement à se répandre dans le monde, jusqu’à devenir officielle dans de nombreux pays, comme dans les pays membres de l’Union Européenne. Mais les États-Unis n’ont pas suivi cette harmonisation. En effet, l’effort de « métrification », qui visait, dans les années 60, à convertir le pays de l’Oncle Sam aux standards de mesures utilisés dans le reste du monde – via la création du US Metric Board, l’adoption du Metric Conversion Act notamment – a été accueilli avec beaucoup de réticence par la population américaine, ce qui a abouti au recul des autorités sur le sujet.

Résultat : les États-Unis sont l’un des rares pays – une dizaine dans le monde, dont le Libéria, les Bahamas ou les îles Caïman – à continuer à utiliser l’unité de mesure Fahrenheit. « Nous avons hérité du système britannique et avons toujours eu une résistance voire une peur face au changement », affirme Bridy Phillips, de la National Oceanic and Atmospheric Administration. Sans compter que les Celsius, bien que plus faciles à comprendre, sont moins précis que les Fahrenheit. Certains pays utilisent d’ailleurs les deux systèmes, comme le Belize. Et la communauté scientifique, y compris celle des États-Unis, utilise très régulièrement les Celsius… et doit ensuite reconvertir les résultats en Fahrenheit !

C’est donc l’habitude et les difficultés qu’entraînerait un changement de système qui expliquent la poursuite de l’utilisation des degrés Fahrenheit aux États-Unis. Rappels utiles :

  • Point de congélation : 32°F = 0°C
  • Point d’ébullition : 212°F = 100°C
  • Température du corps : 98,6°F = 36,9°C
  • Degré Fahrenheit = (degré centigrade x 9/5) + 32
  • Degrés centigrades = (degrés Fahrenheit – 32) x 5/9

Une première version de cette Question bête a été publiée le 17 février 2014.

Yvan et Margot Heraud: «Je ne l’ai pas vue grandir, mais elle pourra me voir vieillir»

Yvan Heraud et son épouse Isabelle avaient le projet de partir vivre aux États-Unis, ils étaient même sur le point de reprendre un restaurant en Floride quand ils ont découvert qu’ils attendaient Margot, leur fille. Ils sont donc restés vivre et travailler en France, à la montagne.

Lorsque Margot a 16 ans, elle décide de partir faire un échange aux États-Unis. Et c’est après seulement 6 mois passés dans le Maine qu’elle le sait : sa vie est ici, elle ne veut plus en repartir. Elle poursuit ses études dans le Vermont, puis à Washington DC et enfin à Denver, dans le Colorado. Sauf que pendant ce temps-là, Yvan n’a jamais abandonné son envie d’exercer son métier au pays de l’Oncle Sam.

Alors avec sa fille unique loin de lui, le rêve américain se rappelle à Yvan : il décide de se rapprocher de Margot. Évidemment, rien ne s’est passé comme prévu, mais fort heureusement, à l’heure où j’écris ces quelques mots, la famille est enfin réunie pour le meilleur… car le pire est déjà passé.

French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : SpotifyApple PodcastDeezerGoogle PodcastPodcast AddictAmazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.