Ce webinaire gratuit d’une heure a pour but d’aider toute personne expatriée aux États-Unis, ou projetant de s’y expatrier, à comprendre le système de taxes américain, en répondant aux questions suivantes :
– Quels sont les points de réflexion essentiels (impôts sur les revenus, donations, successions) ?
– Sélection d’un visa, quelles sont les implications fiscales ?
– Quel régime d’imposition s’applique pour les non-résidents, non-domiciliés (« NRND ») américains qui investissent ou font affaires aux États-Unis ?
– Comment structurer vos investissements/vos affaires aux États-Unis en tant que NRND américains ?
– Quelles sont les conséquences fiscales au décès du NRND américain ?
– Qui est un contribuable américain ?
– Quel régime d’imposition s’applique aux contribuables américains (impôts sur les revenus, donations, succession) ?
– Quelles sont les responsabilités fiscales du contribuable américain ?
– Quelles sont les erreurs déclaratives les plus fréquentes commises par nos clients devenus contribuables américains ?
– Contribuables délinquants, quelles sont les pénalités encourues, et comment régulariser sa situation fiscale ?
– Quelles sont les conséquences fiscales américaines liées à un retour dans son pays d’origine (l’abandon du statut de carte verte ou de la citoyenneté américaine) ?
[Article partenaire] Dallas International School (DIS) est la seule école internationale de l’agglomération de Dallas-Fort Worth.
Fondée en 1991, l’école suit le programme scolaire national français et les directives sur les connaissances et compétences essentielles du Texas en primaire et au collège. Au lycée, les élèves choisissent l’un des deux programmes de baccalauréat – le baccalauréat français ou le baccalauréat international – pour leurs deux dernières années. Ces deux programmes sont des cours pré-universitaires rigoureux, dispensés dans le monde entier, qui répondent aux besoins des lycéens très motivés.
Apprendre dans un environnement international dès la maternelle
De la maternelle à la terminale, les élèves de DIS sont initiés à une perspective globale, grâce notamment à des programmes académiques multilingues et multiculturels uniques. Les élèves grandissent dans un environnement international et se mettent au défi, explorent leur créativité et augmentent leur confiance et leurs compétences métacognitives en apprenant dans deux langues ou plus.
C’est un fait : le monde est interconnecté comme jamais auparavant. C’est pourquoi il est primordial de faire en sorte que nos jeunes soient capables de naviguer dans cette réalité. À DIS, les étudiants sont habitués à côtoyer des personnes du monde entier dès leur plus jeune âge. Ils sont habitués à travailler avec des personnes différentes d’eux, à parler d’autres langues, à embrasser des cultures différentes.
Les enseignants de DIS sont eux-mêmes de nationalités différentes et viennent d’autres continents et cultures. Les élèves absorbent donc l’esprit du monde très tôt et cela devient un mode de pensée naturel pour eux. Ils deviennent des penseurs matures et ouverts d’esprit, capables de se débrouiller dans de nombreux contextes différents et stimulants.
La maîtrise de plusieurs langues : un atout majeur pour leur avenir
La maîtrise du français, de l’anglais et d’une ou plusieurs autres langues vivantes est un facteur crucial pour la réussite des futurs citoyens du monde. Apprendre une autre langue, ce n’est pas seulement ouvrir les portes essentielles de la communication, c’est aussi découvrir une autre façon de voir le monde, d’aborder les problèmes et de trouver des solutions à ces problèmes.
Les élèves multilingues savent qu’il existe plus d’une manière de résoudre les problèmes et d’appréhender le monde. Ils sont ouverts aux autres, ce qui signifie qu’ils ont une empathie et une compréhension accrues. Ils peuvent synthétiser ce qu’ils apprennent dans leurs cours dans les différentes langues, en abordant le contenu académique sous différents angles. C’est un avantage indéniable que DIS offre à ses élèves par rapport aux autres écoles monolingues.
À propos de Dallas International School
Pour en savoir plus sur Dallas International School, rendez-vous sur le site internet de l’école.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
L’expatriation… Certains partent sur un coup de tête, d’autres pour vivre autre chose, voire changer totalement de vie. Dans French Expat, on a vu aussi que l’expatriation peut être subie, ou encore, dans certains cas, qu’il s’agit tout simplement d’une étape ou d’un procédé qui se répète.
Peu importe les raisons de l’expatriation : quand on part de chez soi, de là d’où on vient, le fait de quitter son pays, que l’on soit préparé ou non, représente toujours un chamboulement important, et pas seulement les premières semaines.
Au cours des 12 derniers mois, j’ai échangé avec l’une d’entre vous après que celle-ci n’apprenne son départ pour New York.
Maman de 2 jeunes enfants, alors basée aux Émirats Arabes Unis, elle m’a raconté sans concession comment elle se préparait à cette nouvelle vie, comment elle parlait de ces changements à venir à ses enfants ou encore quels étaient ses états d’âme avant le départ, pendant le déménagement et après son arrivée aux États-Unis.
Cécile Atta, que vous connaissez peut-être aussi sous le pseudo de Desperate DiploWife, se livre sans filtre et je vous mets au défi de ne pas y retrouver une petite partie de votre histoire à vous aussi. Et pour clore tout ceci, nous avons enregistré toutes les deux une conversation afin de faire le point quelques mois après son arrivée dans la ville qui ne dort jamais.
French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.
Vous êtes-vous déjà étonné, voire agacé, de l’enthousiasme sans limite de vos collègues ou amis américains, qui ponctuent chaque fin de phrase d’un Amazing! et collent sur leur frigo des aimants Be Happy ou Think Positive ?
Ne vous inquiétez pas, vous n’êtes pas les premiers. Déjà en 1835, le philosophe Alexis de Tocqueville remarquait que les Américains possèdent « une foi vive dans la perfectibilité humaine. » Un siècle plus tard, l’auteur et cinéaste Jean Cocteau affirme dans Lettre aux Américains qu’être pessimiste aux États-Unis serait être « coupable d’un crime. » Y a-t-il un optimisme typiquement américain ? La question bête du jour se penche sur ce cliché.
La pensée positive, ce crédo américain
En 2014, une étude du Pew Research Center révélait que plus de 40% des Américains décrivaient leur journée comme étant « particulièrement bonne », contre 17% des Européens – les Africains étant à 47%. Une étude du World Value Survey en 2014 montre que 36% des Américains estiment avoir été « très heureux » dans les dix dernières années, dépassant les autres pays sondés.
Mitch Horowitz, historien et auteur du livre One Simple Idea: How Positive Thinking Reshaped Modern Life, décrit l’optimisme comme « un trait typiquement américain » qui remonte à la période coloniale, lors de la création des États-Unis. Le mythe fondateur de l’Amérique, pays de migrants,est celui de l’homme nouveau qui arrive sur une terre nouvelle avec « un sentiment d’expansion et de possibilité sans fin », explique-t-il, sentiment alors strictement réservé aux colons blancs.
Pour Mitch Horowitz, l’optimisme américain prend une forme particulière au milieu du XIXe siècle, qu’il appelle « la métaphysique de l’esprit positif ». C’est l’idée que nos pensées ont des conséquences directes sur le monde réel, que l’on peut changer sa réalité en changeant son attitude mentale, d’où l’importance de cultiver des pensées positives. Cette idée, émise par des transcendantalistes américains comme Ralph Waldo Emerson ou Henry David Thoreau, se diffuse rapidement. Pour Mitch Horowitz, son succès s’explique notamment par le manque de soins médicaux de l’époque.
« Beaucoup de personnes se sont tournées vers des thérapies alternatives, notamment des techniques de guérison mentale car la médecine moderne était encore très peu avancée », explique-t-il. Ironiquement, c’est un pharmacien français et expert en hypnotisme, Emile Coué – auteur de la célèbre méthode -, qui lors de ses voyages aux États-Unis en 1920, répand le mantra « De jour en jour, je me sens de mieux en mieux », repris plus tard dans une chanson des Beatles, « Getting Better ».
Au début du XXe siècle, le positive thinking fait l’unanimité au sein de courants très différents : dans les discours de suffragettes comme Emma Curtis Hopkins ou de l’activiste afro-américain Marcus Garvey, qui y voient un potentiel émancipateur pour les opprimés. Jusqu’à aujourd’hui, cette pensée persiste sous différentes formes, que ce soit dans les pubs de Nike, dans les livres de développement personnel, dans les églises évangéliques ou dans les cercles New Age. « C’est peut-être la seule perspective qui unit des gens très différents dans la société américaine », selon Mitch Horowitz. Mais nombreux sont ceux qui critiquent aussi cet optimisme américain, à tendance individualiste et matérialiste, cette injonction à la positivité qui fait de tout malheur un échec personnel.
La fin de l’optimisme américain?
L’optimisme américain aurait-il atteint son apogée ? En 2022, une nouvelle étude du Pew Research Center montre que seulement 21% des Américains sont satisfaits de l’état du pays. « Avant, pour entrer dans la vie politique américaine, il fallait absolument professer un optimisme dans l’avenir. Pensez aux slogans d’Obama “Yes We Can” ou de Reagan “Nothing is Impossible” mais je pense que cette héroïsation de l’optimiste est révolue », affirme Mitch Horowitz.
D’après lui, ce changement est dû à l’élection de Donald Trump, dont le mouvement est fondé dans la colère plus que dans l’optimisme, et à l’avènement des réseaux sociaux, où le langage dominant est celui du sarcasme et de la haine. On peut ajouter à cela le meurtre de George Floyd et la pandémie covid, et on comprend pourquoi la nouvelle génération ne se réclame pas facilement optimiste. Un sondage réalisé par Gallup en 2022 montre que le nombre d’adultes américains qui pensent que leurs enfants auront une meilleure qualité de vie qu’eux a baissé de 18% depuis 2019. La dernière fois que ce pourcentage était aussi bas remonte à 2011, peu après la crise financière de 2008-2009 qui marquait déjà un tournant dans l’humeur collective du pays.
C’est un fait. Si les grandes maisons de luxe françaises ont depuis longtemps investi le marché américain, les marques françaises du prêt-à-porter restent peu nombreuses à avoir réussi leur entrée. Suivant les exemples d’Isabel Marant, Sézane, Maison Kitsuné, A.P.C et AMI, Officine Générale, qui défile à Paris depuis 2014 avec son vestiaire masculin très inspiré du style parisien, creuse aujourd’hui son sillon aux États-Unis.
Une boutique à Pacific Palisades
Déjà lancé en 2021 à New York, avec une première boutique sur Lafayette Street, dans le quartier de Soho inaugurée il y a un peu plus d’un an lors de la réouverture des frontières post-pandémie, Pierre Mahéo, le fondateur d’Officine Générale, vient de doubler la mise à Los Angeles avec une première adresse dans le quartier cossu de Pacific Palisades, entre Santa Monica et Malibu.
La boutique Officine Générale à New York sur Lafayette Street
« L’attention des clients américains pour Officine Générale a commencé dans nos boutiques parisiennes où les New-Yorkais étaient nombreux à venir, explique le créateur breton. Les chiffres de notre e-shop ont confirmé l’engouement des clients de New York, Los Angeles et San Francisco et nous a encouragé à investir le marché américain. La qualité de nos vêtements, fabriqués en Europe, l’accessibilité de nos prix et le style parisien parle aux Américains. Je n’ai pas Gary Cooper et Clark Gable comme sources d’inspiration, mais plutôt Jean-Paul Belmondo, Benjamin Biolay et Roger Vadim et cela se ressent dans l’attitude et l’esprit de nonchalance d’Officine Générale. »
Une 2e boutique à Hollywood
Soutenu par le groupe d’investisseurs The Untitled Group depuis 2021, la marque Officine Générale devrait poursuivre son expansion américaine dans les prochains mois, un marché où la marque réalise la moitié de ses ventes wholesale. À Los Angeles, Pierre Mahéo ajoutera en mars prochain, une seconde adresse sur North Sycamore Avenue, à Hollyoood et une deuxième à New York, à la fin de l’année, sur Madison Avenue.
La boutique Officine Générale à Pacific Palisades.
« À chaque fois, ma stratégie est la même, poursuit Pierre Mahéo. J’analyse le dynamisme du quartier, la présence aux alentours de restaurants, de coffee-shop, de boutiques qui détermine le trafic de la clientèle. À Pacific Palisades, nous nous invitons au cœur d’un village commercial qui compte Alfred Coffee, les magasins bio d’épicerie et de diététique Erewhon et aussi les boutiques de Bottega Veneta, Saint Laurent et bientôt Isabel Marant. Même chose à Hollywood, où nous nous inscrivons dans un vrai parcours shopping passant par Bode, Just One Eye ou la Galerie Half. »
Pariant sur un style sobre, la boutique Officine Générale de Los Angeles marque une évolution dans le concept d’aménagement des boutiques de la griffe. Dans un style sobre, décoré de mobilier de bois, les collections se présentent autour de quelques œuvres d’art choisies par Pierre Mahéo et sa compagne Nina Haverkamp, dont la composition boisée et recyclée de l’artiste Michael Schouflikir et les collages signées Miriam Tölke. Une série de sculptures de mains et de poteries au style mid-century complètent le décor, et les cabines d’essayage se couvrent, comme dans les magasins de New York et Paris, de beaux rideaux en flanelle.
Cookies et bilinguisme : vous avez au moins deux bonnes raisons d’assister au petit-déjeuner d’information de l’école PS 5 Ronald E. McNair à Brooklyn.
Les parents de l’école et tous les curieux qui souhaitent se renseigner sur le programme français-anglais de l’établissement public de Bed-Stuy sont conviés à Bonjour Breakfast, le samedi 11 février. Du café et des cookies seront servis.
PS 5 fait partie des écoles publiques new-yorkaises à avoir lancé un programme d’immersion bilingue ces dernières années. Le sien date de 2018. Dans de tels programmes, l’enseignement se déroule en anglais et en français. Les élèves sont issus, pour moitié (quand cela est possible), de familles anglophones et francophones.
Les enfants sont les bienvenus au petit-déj de l’école.
Enfant, alors qu’il vivait encore en Tunisie, patrie de son père, Nessim Zouaoui voulait – par atavisme familial – être entrepreneur. Seulement entrepreneur, quel que soit le secteur. Et cette envie a guidé sa vie dès le début. D’abord lors de ses études, en France. Il fréquente simultanément les bancs de l’EM Lyon et ceux de l’école Centrale de Lyon. Il en ressort détenteur d’un double diplôme qui fait de lui à la fois un businessman et un ingénieur.
Entrepreneur dans n’importe quel secteur donc, mais pas n’importe où. Nessim Zouaoui veut aller vivre et créer son entreprise aux États-Unis, nulle part ailleurs. Il vit aujourd’hui à New-York et dirige une entreprise, 2250, qui fabrique et commercialise des produits de beauté. L’entreprise, basée au Texas, est toute jeune mais la vision et l’enthousiasme de ses créateurs pourraient lui assurer de beaux lendemains.
Car Nessim Zouaoui et son associé mexicain font le pari que l’intelligence artificielle peut être un vecteur de croissance important pour la cosmétique. Et bien qu’elle s’attaque à de gros mastodontes du secteur, cette société a déjà acquis, en quelques mois, une petite notoriété par son produit. Un démarrage d’excellente pour ce jeune homme de 30 ans qui n’ambitionne rien d’autre que de « faire évoluer le monde » ! Et aujourd’hui, à ses côtés, ils sont 8, de 6 nationalités différentes, prêts à en découdre pour cet objectif.
https://www.spreaker.com/user/10781102/pad_76
Notre article sur Nessim Zouaoui et 2250 : lire ici.
Dans le froid new-yorkais, les envies de bons plats chauds familiaux ne manquent pas. Sylvie Bigar, elle, aime le cassoulet en toute saison. La journaliste franco-suisse, spécialiste de cuisine et de voyage, nourrit une véritable passion pour le célèbre plat du Sud-Ouest, comme elle l’a révélé dans son livre Cassoulet Confessions: Food, France, Family, and the Stew That Saved My Soul (Confessions de cassoulet : nourriture, France, famille et le ragoût qui m’a sauvé l’âme). Un livre drôle et tendre comme nous l’évoquions au moment de sa sortie en septembre dernier, et que l’auteure vient présenter cette semaine au 92nd Street Y, Upper East Side et que l’on pourra suivre en ligne.
Sylvie Bigar échangera avec le chef new-yorkais Eric Korsh. Elle racontera comment un reportage qui paraissait simple de prime abord – retrouver, dans le sud de la France, les origines du cassoulet – a déclenché une obsession culinaire et s’est mué en une quête d’identité. Elle a ajouté différentes recettes de cassoulet, de la traditionnelle à une version rapide. Aucune excuse donc pour ne pas se mettre aux fourneaux.
La conversation se déroulera en virtuel le mercredi 8 février de 6:30pm à 8pm. 35$ à réserver ici. Cassoulet Confessions: Food, France, Family, and the Stew That Saved My Soul est paru aux éditions Hardie Grant Books.
C’est un « micro-quartier » qui s’étend sur à peine trois blocs, entre Allen et Canal St, à l’intersection de Chinatown et du Lower East Side. Autrefois populaire et résidentiel, l’endroit accueille désormais des bars et restaurants branchés, et a hérité récemment du nom de Dimes Square, traduisez « le quartier/la place des gens beaux ».
Clandestino, entre authenticité et gentrification
« C’est vraiment parti d’une blague de la part des nouveaux habitants du coin, qui ont emménagé ces 10 dernières années. Ils ont appelé le quartier Dimes Square en rapport à sa gentrification, et le terme est resté », explique Jeffrey Simon, nouveau patron du Clandestino depuis 2020, un dive bar réputé qui tente de rester éclectique. « J’ai commencé à travailler dans le bar en 2006, à une époque où il y avait peu d’options pour boire un verre et manger dans le quartier. La clientèle a évolué depuis, on accueille aussi bien des peintres, galeristes que des docteurs et des avocats ».
« Cœur de la coolitude à New York » pour le Guardian, « Phénomène culturel » pour le site local The Infatuation, Dimes Square est particulièrement agréable en été, où les terrasses du Clandestino et des bars voisins s’étendent sur la rue, donnant au quartier des faux airs de Paris. L’hiver, la fréquentation ne désemplit pas grâce à une pléthore de bons restaurants.
Le Dive, un bistro à la française
Parmi eux, Dimes Square accueille depuis mai 2022 un bistro à la française, Le Dive (37 Canal St). Imaginé par l’Américain Jon Neidich, déjà derrière le restaurant Le Crocodile à Brooklyn, l’établissement offre une décoration vintage, chinée sur le marché aux Puces de Saint-Ouen en région parisienne. À l’étage principal, on trouve un grand bar assorti de quelques tables rondes de café, et une grande baie vitrée qu’on peut ouvrir sur la rue. De quoi apprécier une bonne planche de fromage (18$), de charcuterie (18$) ou un steak tartare (21$), accompagné d’un verre de vin (15-17$). La suite de la soirée se passe au sous-sol, où les beautiful people du quartier viennent danser après le dîner. « C’est un endroit à l’image du XIème arrondissement de Paris, où l’on peut fumer une cigarette en terrasse, ou boire un coup à l’intérieur »,résume Jon Neidich.
Dimes Square fait également la part belle aux cuisines du monde. À deux pas du Dive se trouve le restaurant Kiki’s (130 Division St), beau bâtiment avec ses poutres en bois apparentes qui sert des classiques de la cuisine grecque (Moussaka à 16,75$, agneau grillé 29,75$). L’établissement a gardé son ancienne devanture en lettres chinoises, symbole de l’évolution du quartier . « Chinatown continue de perdre du terrain depuis vingt ans, et le rythme s’est accéléré depuis la pandémie avec seulement 50% de taux d’occupation des logements », observe Jeffrey Simon. On vous recommande également le coloré Jajaja Mexicana (162 E Broadway), restaurant mexicain vegan qui dispose de trois autres adresses à New York, et Kopitiam (51 E Broadway), un petit établissement de spécialités malaisiennes, qui à la différence des deux autres, est accessible sans réservation.
Le développement de Dimes Square ne devrait pas s’arrêter là puisqu’un hôtel de luxe, le Nine Orchard (9 Orchard St), a vu le jour il y a huit mois, tout comme un gigantesque gratte-ciel résidentiel avant lui, le One Manhattan Square (225 Cherry St), situé à quatre blocs de là. « Mon ancien quartier me manque souvent, reconnaît Jeffrey Simon. Mais quand j’observe ma clientèle et mes voisins derrière mon bar, je me dis que ce qu’on a aujourd’hui n’est pas mal non plus. »
[Article partenaire] Iron Bodyfit, l’enseigne française à succès, s’installe à New York, avec un premier studio d’électrostimulation musculaire (EMS) à Chelsea.
L’électrostimulation : un concept qui va vous changer la vie
Vous n’êtes pas un⸱e fanatique de sport ? Vous manquez de temps pour entretenir votre corps et votre esprit ? Vous êtes du genre à vouloir des résultats quasi immédiats sur votre silhouette ? Iron Bodyfit est LA solution pour vous et votre summer body 2023.
Les séances d’électrostimulation musculaire (EMS*) sont supervisées par un coach certifié qui vous accompagne tout au long de votre parcours.
Concrètement, l’électrostimulation, comment ça marche ?
Avec l’électrostimulation, vos muscles se contractent sous l’effet des impulsions électriques (de faible intensité) envoyées via des électrodes placées sur une combinaison adaptée. Cette technique, testée et approuvée par la Food and Drug Administration américaine, ne présente aucun risque, et ce quelle que soit votre condition physique.
« Notre volonté est de rendre le bien-être accessible à tous », indique Alex Lagoutte, propriétaire du studio new-yorkais.
Lors de votre première séance Iron Bodyfit, un coach EMS réalise votre scan corporel appelé « Iron Diag » permettant de récolter vos informations (mensurations, poids, pourcentages de masse grasse et musculaire, posture). En fonction des résultats et des objectifs personnels, le programme d’entrainement évolue : musculation, raffermissement, tonification, perte de cellulite ou de poids, réduction des douleurs chroniques, remise en forme, réduction du stress et de l’anxiété…
« Pendant une séance, vous stimulez jusqu’à huit groupes musculaires en même temps, le tout associé à des mouvements d’entraînement. C’est la grande force du concept. Chaque séance de 25 minutes correspond à 4 heures d’activité physique intense dans une salle de fitness classique, ce n’est pas rien ! », continue Alex Lagoutte.
L’essayer, c’est l’adopter
Chez Iron Bodyfit, la première session est offerte. Et soyez prêt⸱e⸱s, car l’essayer c’est l’adopter. « On ressent un bien-être immédiat et on a envie de recommencer dès le lendemain » déclare John, récemment abonné au studio de Chelsea.
Chaque mois, un nouveau bilan est réalisé pour mesurer l’évolution, et adapter l’intensité des séances en conséquence. Différents abonnements sont proposés selon les besoins, à raison d’une séance par semaine en général.
Les bienfaits de l’électrostimulation musculaire
Ce concept est reconnu scientifiquement pour avoir des effets bénéfiques sur la santé physique, physiologique et psychologique. Les bienfaits de l’électrostimulation, combinée aux mouvements exécutés, sont nombreux. Outre sculpter/tonifier le corps, la perte de poids, et le gain de muscles, on peut ajouter une augmentation de l’endurance, un soulagement des articulations ou des douleurs dorsales, ou encore une augmentation de la production naturelle de collagène afin de raffermir la peau ainsi qu’une amélioration de la circulation sanguine.
Cela permet également de diminuer le stress, l’anxiété, les tensions générées par notre quotidien (particulièrement apprécié lorsqu’on vit à New York…), d’aider à (r)établir une connexion esprit-muscles et équilibrer les énergies.
« Tous nos studios sont à taille humaine. On prend le temps de connaître nos clients, leurs antécédents physiques, habitudes de vie et habitudes alimentaires, afin d’adapter au mieux le concept et d’avoir les meilleurs résultats », affirme Alex Lagoutte.
L’électrostimulation musculaire pratiquée chez Iron Bodyfit permet de façonner et de tonifier vos muscles, et, de ce fait, de garder ou de retrouver votre forme et votre énergie en quelques séances seulement. C’est un concept simple et efficace qui a déjà séduit des milliers de personnes à travers le monde, notamment en France, en Suisse, en Belgique ou encore en Grande-Bretagne où des studios sont implantés depuis plusieurs années.
Un concept qui se développe mondialement
Iron Bodyfit Chelsea
L’enseigne se développe actuellement à grande vitesse au Canada et aux États-Unis. Déjà présent à Miami, Iron Bodyfit s’est déployé New-York, sous la direction d’Alex Lagoutte.
Selon lui, « l’EMS est fait pour les New-Yorkais ! Notre rythme de vie effréné rend notre temps encore plus précieux et joue parfois sur notre volonté et notre motivation à prendre soin de nous. Iron Bodyfit est LA solution sur-mesure correspondant à notre mode de vie».
D’autres studios ouvriront bientôt leurs portes en Floride : Brickell, Edgwater, Plantation, Weston, Fort Lauderdale et Boca Raton. « D’ailleurs, si vous partagez nos valeurs d’excellence, de rigueur et de motivation, et si vous avez envie de développer un concept qui fait du bien au corps et à l’esprit, vous pouvez vous aussi devenir franchisé ! », ajoute Alex Lagoutte.
Venez découvrir ce nouveau type d’entraînement sur-mesure, Iron Bodyfit Chelsea vous offre une séance d’essai !
Les séances d’EMS proposées avec un coach permettent de faire travailler les 8 groupes musculaires de son corps simultanément, en seulement 25 minutes par semaine, avec des résultats inégalés en termes d’efficacité pour développer ses muscles et améliorer son bien-être global.
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Survoler le Grand Canyon en hélicoptère, longer la faille de San Andrea en Jeep, camper dans le désert… Voilà le quotidien de Laurie Gounelle, 37 ans, guide privée installée à San Diego, au sud de la Californie. À la tête de sa compagnie depuis 2020, Laurie en Californie, la Française exerce un métier que l’on pourrait résumer ainsi : organisatrice de voyages de rêve dans l’Ouest des États-Unis.
L’aventure sur-mesure
Quand elle ne fait pas découvrir San Diego aux visiteurs, elle les emmène dans les magnifiques parcs nationaux de l’Arizona, de l’Utah, du Wyoming ou de la Californie. Sur quelques jours ou plusieurs semaines, elle monte des circuits « aventure » de A à Z. Conduire le minibus, décharger la remorque, préparer les repas pour 15 personnes ne lui fait pas peur. Détentrice d’un permis poids lourd et d’un permis moto, cette intrépide est aussi secouriste en milieu éloigné. « Cela me donne l’autorisation de guider de grosses randonnées dans certains parcs, comme le Grand Canyon », précise-t-elle. Laurie Gounelle aide aussi des groupes à préparer leur itinéraire avant de les laisser partir seuls.
Mais ces derniers temps, ce sont surtout ses séjours haut de gamme qui attirent des clients du monde entier. « Pour les agences de tourisme françaises, je suis devenue celle à qui on peut tout demander », sourit Laurie Gounelle. Grâce à son réseau de prestataires, elle propose des expériences sur-mesure, y compris les plus folles. « J’ai accompagné des géologues dans les mines abandonnées du désert du Mojave. J’ai fait visiter Los Angeles à des gens qui avaient un budget faramineux, énumère-t-elle avec son léger accent du sud. Cela comprenait un tour en hélicoptère avec champagne au-dessus du Hollywood Sign, une visite VIP des Studios Universal, les plus beaux restaurants… »
«Rendre les gens heureux»
De plus en plus d’entreprises font appel à elle pour organiser des séminaires inoubliables. Hydravion au-dessus du Golden Gate bridge à San Francisco, road trip en décapotables à Los Angeles, montgolfière au-dessus du désert, initiation au surf ou au baseball… Les business trips qu’elle organise pour ces grosses compagnies, « en fonction de leur budget et de leur demande », ont de quoi faire tourner la tête. La jeune femme, elle, ne boude pas son plaisir. « Partager ces moments-là, vivre ces rencontres, c’est extraordinaire, savoure-t-elle. Jamais je n’aurais imaginé que je vivrais ça un jour ! »
Son aventure américaine a débuté il y a 18 ans, comme jeune fille au pair à San Francisco, puis à Hawaii. Elle travaille ensuite dans l’événementiel à Montréal pendant 8 ans, où elle pilote des projets à gros budget. Au Canada, celle qui a grandi dans une cité HLM du sud de la France tombe amoureuse des grands espaces et de la randonnée. Quand on lui propose de devenir guide dans les parcs de l’Ouest américain, elle a le déclic. « Partir à l’aventure, être avec les gens, transmettre, j’ai adoré », se souvient-elle.
Elle se forme pour devenir guide et en 2016, s’installe à San Diego, où elle se lance à son compte. Son activité, qui fonctionne uniquement par le bouche à oreilles, et son positionnement sur un créneau unique, lui permet aujourd’hui d’être à l’équilibre. « J’ai beaucoup de demandes, c’est très encourageant », se réjouit-elle. Son objectif pour 2023 ? « Je n’ai pas de projets de grandeur, balaie-t-elle avec son franc parler. Tout ce que je veux, c’est être heureuse et rendre les gens heureux ! »
Après les pluies diluviennes de janvier, c’est le froid qui s’est installé sur la région de San Francisco. On n’est pas prêt de sortir manches courtes et shorts des placards, alors quoi de mieux que de rafraîchir sa garde-robe avec des pulls tout doux, des manteaux bien chauds, des jeans qui mettent en valeur ?
Les Parisiennes, dont le but est de limiter la surconsommation et le gaspillage liés à l’achat de vêtements, organise une nouvelle vente de vêtements de seconde main le vendredi 10 (11am-4pm) et le samedi 11 février (10am-1pm). Ce pop up se déroulera dans un jardin privé de San Francisco, dont l’adresse sera communiquée juste avant la vente. Karen Tussiot, créatrice des Parisiennes, partage chaque jour sur son compte Instagram un aperçu des vêtements disponibles à la vente.
Pour les 0-12 ans, Picky Monday proposera une belle sélection de vêtements pour enfants. Ce pop up sera également l’occasion de découvrir les bijoux originaux de la créatrice SiporaAguia.