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Le Bal Français fête Noël le 10 décembre à New York

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Noël pointe déjà le bout de son nez… Le Bal Français vous attend le samedi 10 décembre pour fêter ça au Lot45 à Bushwick, une grande salle avec une piste de danse et un espace salon (411 Troutman Street).

Le programme de la soirée est très simple : le DJ français Nicosan vous fera danser jusqu’à très tard sur nos meilleurs tubes français, de Louise Attaque à Aya Nakamura en passant par Stromae, NTM, Daft Punk, Indochine, France Gall ou encore Magic System.

Le père Noël sera également de la partie et offrira des cadeaux pendant la soirée, et la compagnie aérienne French bee vous fera gagner deux billets d’avion AR Paris-New York.

Ouverture des portes à partir de 10pm. Tickets en vente ici.

https://www.instagram.com/p/CkzK7o6udlf/

Gala du FIAF : une nouvelle maternelle ouvrira à Montclair à la rentrée

C’est une annonce qui a suscité presque autant d’enthousiasme que l’apparition de Jean Reno sur l’estrade du Plaza, mardi soir : la création d’une nouvelle école maternelle à Montclair, dans le New Jersey. Sous les dorures de l’immense ballroom de l’hôtel iconique de Manhattan, la présidente du FIAF a attendu la fin de son discours pour dévoiler le projet d’ouverture de la preschool à la rentrée prochaine.

« Une belle façon de marquer le 125ème anniversaire de la fondation de l’Alliance Française de New York ! » a déclaré Tatyana Franck devant les quelque 500 convives invités à la soirée de gala de levée de fonds, avant la remise du trophée des Arts à l’acteur des « Visiteurs » et du Pilier d’Or à Ilham Kadri, PDG franco-marocaine du géant belge de la chimie Solvay, tous deux vivement ovationnés.

À l’instar de sa grande sœur de Manhattan créée il y a dix ans, la preschool FIAF de Montclair accueillera les enfants de 2 ans et demi à 4 ans. Les inscriptions débuteront le mois prochain, à partir du mercredi 7 décembre. L’école proposera deux classes par niveau, chacune limitée à 15 enfants. Les parents pourront choisir d’inscrire leur petit pour la journée, de 8:30am à 2:30pm, ou pour la matinée uniquement, de 8:30am à 12:30pm. Un after school sera également proposé, ouvert jusqu’à 6pm. 

L’acteur Jean Reno a reçu le Trophée des Arts du FIAF, mardi 15 novembre à New York. © Elisabeth Guédel

Les cours seront intégralement en français. L’objectif, indique le FIAF, est d’initier les tout-petits à la lecture, l’écriture, les chiffres, les sciences et les arts à travers des activités individuelles et collectives. L’accent sera également mis sur les activités dites de « motor skills », axées sur le développement du bien-être, de la gestion du corps et de l’appropriation de l’espace. 

Un pas de plus dans l’éducatif pour le FIAF, qui dispense déjà des cours de français au sein de sa branche de Montclair. Tatyana Franck compte également développer les programmes culturels à New York et dans le New Jersey. « Croyez-moi, nous avons de grands projets pour l’institution », a assuré la dirigeante du FIAF mardi soir, sous un tonnerre d’applaudissements.

Ilham Kadri, PDG du groupe belge Solvay, a reçu le Pilier d’Or du FIAF, mardi 15 novembre à New York. © Elisabeth Guédel

Mathieu Dochy (Mexique) : « Je suis parti pour être libre d’aimer qui je veux »

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Mathieu a grandi dans le Nord de la France, en pluicardie comme il aime appeler affectueusement cette région. S’il qualifie lui-même son enfance d’heureuse, il a aussi rapidement eu l’impression de ne pas être à sa place avec l’intuition que sa vie était ailleurs. « C’était comme une fuite en avant, je voulais me fondre dans la masse et surtout ne plus être le petit garçon efféminé du village. »

Rêvant de s’installer à Paris, c’est finalement quelques années plus tard, le jour de la Marche des Fiertés australienne, que Mathieu s’installe à Sydney. Et c’est là bas, à l’autre bout du monde, qu’il se re-découvre et réinvente sa vie.

Mathieu et son mari Gerardo sont dans le tracteur du papa de Mathieu dans les Hauts-de-France.

Enfin libre d’être lui, et d’aimer qui il veut, Mathieu est heureux : il a enfin la sensation d’être arrivé chez lui. Il se sent si bien dans cette nouvelle vie, qu’il fait tout pour que ses contrats soient renouvelés, et après quelques années sur place, il entame même les démarches pour acquérir la nationalité australienne. Sauf que tout ne s’est évidemment pas passé comme prévu. Mathieu rencontre Gerardo, un jeune étudiant Mexicain en fin de parcours universitaire. Si Gerardo fait battre son cœur, ce dernier lui explique très vite que sa vie, il ne l’envisage pas en Australie.

Malgré l’équilibre retrouvé en Australie, Mathieu décide de s’installer au Mexique et de donner une chance à cette histoire d’amour plus forte que toutes les autres. C’est aujourd’hui depuis Mexico City que Mathieu Dochy raconte au micro de French Expat son histoire emprunte de liberté et de détermination.

French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : SpotifyApple PodcastDeezerGoogle PodcastPodcast AddictAmazon Music.

Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.

Pourquoi appelle-t-on le football «soccer» aux États-Unis ?

Si un Américain vous propose de faire une partie de « football », on vous conseille de vous abstenir. Sauf si vous pesez 200 kilos. Football ici se réfère au football américain, tandis que notre football – le jeu qui se joue à 22, balle au pied – se dit soccer. Mais pourquoi cette différence ?

Pour répondre à cette question,  il faut se replonger dans l’histoire des deux sports. Au XIXe siècle, le football était un terme générique qui désignait l’ensemble des sports qui se jouaient avec une balle et qui consistaient à marquer des points dans le camp de l’équipe adverse. En d’autres termes, aussi bien le rugby que le football (européen) tombaient dans cette catégorie.

Pour régler les problèmes de disparités de règles, un groupe de jeunes sportifs s’est réuni  dans une taverne à Londres pour former la Football Association. Au bout d’intenses négociations, qu’on imagine arrosées, ils ont publié en 1863 « The Book of Rules of Association Football », un ouvrage codifiant les règles du foot tel qu’on le connaît aujourd’hui – d’ailleurs, c’est à la suite de l’élaboration de ces règles, interdisant le port de la balle, qu’un groupe d’étudiants britanniques inventa le rugby.

Ici et en Europe, le football codifié par la Football Association était appelé Association Football. Jusqu’au jour où des supporters ont décidé de raccourcir association en soc. « Des étudiants d’Oxford University ont utilisé le terme “socca” en 1889 et, en 1895, le terme “socker” et “soccer” était prédominant. De la même manière, le rugby était appelé “rugger” », précise Mark L. Ford, président de la Professional Football Researchers Association, un groupe d’historiens du football américain.

Selon ce spécialiste, à cette époque-là, aux États-Unis, le soccer et le football américain, qui faisait partie des nombreuses versions de football jouées dans le pays, coexistaient. Les journaux utilisaient alors le mot soccer et football pour « distinguer les deux sports, populaires en automne ».

Avec la montée en puissance du football américain aux États-Unis, ces appellations sont restées de côté-ci du pond. À l’inverse, en Grande-Bretagne et dans le reste de l’Europe, soccer n’a pas pris racine. « C’était un terme d’argot. Ce n’était pas un terme que les sportifs sérieux utilisaient là-bas, avance Mark L. Ford. Aux États-Unis, le football américain est monté en popularité, notamment parce que les étudiants à l’université préféraient y jouer pour se défouler. C’est devenu une tradition universitaire, avec des cheer leaders, etc. Un sport beaucoup plus coloré que le soccer. »

Une première version de cette Question bête a été publiée le 28 avril 2014.

Zoom sur la seule école internationale de l’agglomération de Dallas-Fort Worth

[Article partenaire] L’école internationale de Dallas (DIS) a été fondée en 1991 pour répondre aux besoins des employés français qui étaient relocalisés dans la région de Dallas par des entreprises basées à l’étranger.

Le meilleur des systèmes français et américain

En proposant un programme scolaire en accord avec celui du ministère français de l’Éducation nationale et des classes d’anglais, de mathématiques et de STEM (Sciences, Technologie, Ingénierie, Mathématiques) en langue anglaise, les enfants reçoivent les meilleurs aspects éducatifs des deux pays. Au fil du temps, les familles américaines de la région de Dallas se sont intéressées à l’éducation bilingue proposée à DIS et les inscriptions ont augmenté.

L’enseignement de l’espagnol et du mandarin comme troisième langue a été ajouté au programme en 2006, et l’école a été accréditée par l’Organisation du Baccalauréat International en 2007. DIS bénéficie désormais d’un partenariat éducatif avec l’Université du Texas à Dallas, qui permet aux lycéens d’utiliser les installations de l’université. Un nouveau campus secondaire a ouvert ses portes en janvier 2012 pour accueillir le collège et le lycée au 17811 Waterview Parkway près de l’UT Dallas.

Pourquoi choisir une éducation internationale ?

Le monde est plus que jamais interconnecté. C’est pourquoi il est important de faire en sorte que les élèves soient capables de naviguer dans cette réalité. À DIS, les étudiants sont habitués à côtoyer des personnes du monde entier. Ils sont habitués à travailler ensemble avec des personnes différentes d’eux, à parler d’autres langues, à embrasser des cultures différentes. Les enseignants de DIS représentent également plusieurs nationalités de différents continents et cultures. Les élèves absorbent donc l’esprit du monde dès leur plus jeune âge, et cela devient pour eux un mode de pensée naturel. Ils deviennent des penseurs matures et ouverts d’esprit, capables de se débrouiller dans de nombreux contextes différents et stimulants. 

La maîtrise du français, de l’anglais et d’une ou plusieurs autres langues vivantes est un facteur crucial pour la réussite des futurs citoyens du monde. Apprendre une autre langue, ce n’est pas seulement ouvrir les portes essentielles de la communication, c’est aussi découvrir d’autres façons de voir le monde, d’aborder les problèmes et de trouver des solutions à ces problèmes. Les élèves multilingues savent qu’il existe plus d’une voie. Ils sont ouverts aux autres, ce qui signifie qu’ils ont une empathie et une compréhension accrues. Ils peuvent synthétiser ce qu’ils apprennent dans leurs cours dans les différentes langues, en abordant le contenu académique sous différents angles. C’est un avantage indéniable que DIS offre à ses élèves par rapport aux autres écoles monolingues.

Pourquoi DIS ?

En offrant une éducation bilingue unique aux élèves, de la maternelle (à partir de 2 ans) au lycée, en anglais et en français, Dallas International School enseigne un solide socle de compétences qui couvre tous les fondamentaux proposés par d’autres écoles privées prestigieuses, tout en donnant aux élèves l’avantage d’acquérir une deuxième et une troisième langue tout au long de leur parcours scolaire.

Le programme académique rigoureux de DIS intègre avec succès le célèbre programme national français, les meilleures pratiques de l’éducation américaine et le programme unique de diplôme bilingue avancé du Baccalauréat International. L’environnement multiculturel de Dallas International School et la communauté active d’étudiants, d’enseignants, de personnel et de parents créent plus qu’une éducation – ils permettent aux étudiants de développer des compétences de pensée critique, de la créativité et une flexibilité d’esprit qui leur bénéficieront tout au long de la vie.

Pour en savoir plus sur Dallas International School, rendez-vous sur le site internet de l’établissement.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Vos cadeaux de fin d’année aux Galeries Lafayette Paris Haussmann

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Cette année encore, les lecteurs de French Morning ont droit à de jolis cadeaux, à retirer lors de leurs courses de Noël aux Galeries Lafayette Paris Haussmann !

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[Vidéo] Partir à l’étranger, revenir en France : comment Pôle emploi peut vous aider

Lors de ce webinaire gratuit d’une heure organisé le 16 novembre 2022 par French Morning Media Group en partenariat avec Pôle Emploi, Nicolas Simon, Responsable du département Offre de services internationale, et Claire Arenales Del Campo, Responsable d’équipe Mobilité internationale, tous deux à la direction générale de Pôle emploi, vous ont présenté les outils et services à votre disposition pour trouver un emploi à l’étranger, ou encore pour préparer un retour en France après une période de travail à l’étranger.

Visionnez le replay du webinaire sur YouTube

Pôle emploi agit au cœur d’un vaste écosystème à l’international pour accompagner la mobilité professionnelle des demandeurs d’emploi à l’étranger et les entreprises qui recrutent à l’international.

Avec des équipes dédiées à la mobilité internationale, Pôle emploi déploie une offre de services à distance et accompagne aussi les Français à l’étranger qui veulent préparer leur retour en France.

⬇️ Retrouvez ici les ressources et liens évoqués pendant la présentation
Inscription aux webinaires Pôle Emploi
Page résumant toutes les démarches pour préparer son retour en France
Accès à l’application Mobiville
Portail en ligne Pôle emploi – Mobilité internationale et la page Facebook
Je rentre en France avec Pôle emploi
L’allocation chômage à l’étranger
Informations sur la formation des Français de l’étranger
Page d’aide “Je démissionne pour suivre mon conjoint en Europe”

? Pour toute information complémentaire, n’hésitez pas à contacter les équipes de Pôle Emploi à : [email protected] 

Intégrer un MBA : comment réussir le GMAT ?

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Tous les mois, Isaac Foster, spécialiste du processus de candidature aux universités américaines et fondateur de I. Foster Learning, nous aide à comprendre le système éducatif américain, de la high school à l’université.

Les salariés et étudiants qui s’interrogent sur la possibilité de poursuivre un diplôme dit MBA doivent souvent passer par une étape redoutable : le Graduate Management Admission Test, ou GMAT. Considérée comme l’une des épreuves plus compliquées des tests standardisés américains, elle est perçue, à tort, comme uniquement nécessaire pour intégrer un MBA anglo-saxon. Or certaines écoles de commerce internationales l’exigent désormais, même en France (HEC, INSEAD…).    

Un QCM en temps limité

Un très bon score au GMAT est le graal pour rentrer dans les MBA. Similaire aux SAT et ACT (dont nous avons partagé les clés en septembre), le GMAT est un QCM chronométré d’une durée de 3h30 et réalisé sur ordinateur dans une salle spécialement dédiée à cet effet (il est parfois possible de le passer chez soi).  

L’examen est divisé en quatre parties : quantitative (mathématiques), verbale (grammaire et vocabulaire), l’écrit (mini-dissertation), et l’interprétation des données (analyse, mini-dissertation). Un score est donné sur 800 pour l’ensemble des sections quantitatives et verbales et c’est véritablement le seul qui compte. En effet, les scores des parties écrites et interprétation des données sont peu considérés par les écoles du commerce.  

Des astuces pour réussir cette épreuve :

  • Être tactique. Le temps du test est très court et minuté. Il y a très peu de temps pour compléter toutes les sections, il est impératif que le postulant fasse les bons choix sur le temps qu’il passe sur chaque question. Dans les sections quantitatives et verbales, le score du candidat est sévèrement abaissé si le candidat laisse des questions sans réponse. Il n’est par ailleurs pas possible de sauter une question pour y retourner plus tard. Il peut donc être plus judicieux de mettre une réponse même si on n’est pas sûr à 100% de sa réponse, et de passer à la question suivante. Par exemple, il n’est pas du tout recommandé de passer 6 minutes sur une question simplement parce-que vous souhaitiez y répondre.
  • Il est impératif de rafraîchir vos souvenirs en calcul mental : les calculatrices ne sont pas autorisées pendant l’examen, donc les postulants qui peuvent faire rapidement les calculs mentaux de multiplications/divisions, pourcentages, fractions, etc. ont un très (très) grand avantage. 
  • Lire les journaux en anglais, le plus régulièrement possible. La partie verbale a trois types de questions : grammaire, lecture de texte, et raisonnement. En lisant quotidiennement L’Economist ou The New York Times, le postulant sera beaucoup plus à l’aise en compréhension de textes en anglais. Il y a un monde entre savoir parler anglais et comprendre les dizaines de détails et nuances d’un article de fond. 
  • Diversifier sa préparation et son entraînement. Souvent, les postulants font l’erreur de se focaliser sur des test blancs et d’en faire des dizaines : c’est comme si une joueuse de basket s’entraînait en ne faisant que des matchs et pas de musculation avec des haltères, de frees-throw, etc. Certes, un test blanc une fois par mois est très important pour augmenter l’endurance et constater une potentielle progression de ses scores, mais il faut aussi revoir tout le reste (comme le calcul mental), se concentrer sur les sujets précis, revenir dix fois sur la même question de probabilité pour finalement la comprendre…
  • Garder en tête que, souvent, les écoles de commerces acceptent un test un peu similaire mais concurrent du GMAT, le GRE. Les différences sont moindres entre les deux tests mais certaines de ces différences peuvent être attirantes : l’utilisation par exemple d’une calculatrice est permise, et le postulant peut sauter une question pour y retourner plus tard. Normalement, les écoles n’ont pas une préférence entre les deux examens, mais il faut toujours vérifier cette information directement auprès de l’établissement.  
  • Finalement, certaines écoles ont annulé l’obligation de soumettre un score du GMAT depuis la pandémie de covid. Toutefois, même si c’est optionnel, un bon score peut distinguer un candidat et faire la différence. Bon courage !

Baromètre Expat Communication : ce mois-ci, on parle de codes culturels

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Pour cette dernière enquête de 2022, le Baromètre Expat Communication vous interroge sur les codes culturels dans votre pays d’expatriation.

Avant d’arriver dans un nouveau pays, les expatriés se renseignent sur leur future destination. Cette recherche d’informations recouvre différents domaines. Dans quelle mesure l’aspect culturel est-il pris en compte ? Comment éviter les faux pas dès le départ et identifier les “DOes” & “DON’T” ?  

– Une formation interculturelle est-elle nécessaire où que l’on s’expatrie ?

– Comment gérer les différences culturelles en milieu professionnel et personnel ? Une équipe multiculturelle : un atout ou un frein ? Le rôle du dirigeant est-il le même en équipe multiculturelle ?  

– Est-il nécessaire de connaître les codes pour appréhender une nouvelle culture ?  

Vous avez une anecdote à partager sur une expérience vécue : un espace commentaire vous est réservé pour cela dans cette enquête ! 

Durée : 5 mn
Accessible jusqu’au 30 novembre 2022

Je participe

French Boss, Muriel Girard-Perichon : passer du bénévolat à la création d’entreprise

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Il n’y a pas d’âge pour devenir entrepreneur, pas plus qu’il n’existe de chemin unique pour qu’en naisse l’envie. Muriel Girard Perichon, multiple diplômée, a démarré sa carrière en France en 1983. Et elle a donné à cette carrière un nouveau visage trente-huit ans plus tard, en 2021. Parce que, entre-temps, elle s’était découvert de nouvelles passions ; parce-que, aussi, les aléas de la vie personnelle l’avaient conduite à quitter Paris pour Londres au début des années 2000.

Sa maturation professionnelle va ainsi l’amener, après avoir évolué depuis toujours et avec succès comme salariée dans différentes entreprises privées, vers l’envie plus altruiste d’aider les autres, en leur faisant découvrir ce que, elle-même, ne connaissait pas quelques années plus tôt, la ville de Londres, son énergie et son histoire, sa tradition et sa différence. Ce sont les premiers pas dans le tourisme culturel et dans le bénévolat. Il s’agit, dans la réalité, du début de la route qui va l’amener vers l’entrepreneuriat, seul moyen pour elle d’arriver à mixer ce qui a toujours sommeillé en elle, l’indépendance, et ce qui a toujours été le premier moteur de sa carrière, l’ambition.

Cette femme à multiples facettes affiche maintenant – et de plus en plus – des curiosités – les siennes -, qui, au fil des ans, vont lui permettre d’étendre son périmètre d’influence à l’art, les langues, la culture sous toutes ses formes. Toute l’importance qu’elle attache à ces sciences saute aux yeux à la lecture du site internet de la société dont elle est aujourd’hui la fondatrice et unique actionnaire, LearnArtory (https://www.learnartory.com). Les mots langue, histoire, culture et art sont tous écrits avec une majuscule. Et chacune des visites guidées proposées par le site tente d’emprunter un peu à chacune. L’avenir jugera du réalisme du projet. Le Covid a pour l’instant retardé la mise en action. Nous n’en sommes qu’aux prémices. Mais le résultat, pour Muriel, se traduira plus en satisfaction personnelle, qu’en nombre de zéros derrière la virgule.

Voir la vidéo :

Écouter le podcast :

https://www.spreaker.com/user/10781102/pad-audio_41

Étudiants expatriés : l’International BBA pour construire votre avenir professionnel

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[Article partenaire] Face à l’émergence de nouveaux métiers, aux enjeux climatiques et énergétiques, et à la transformation des entreprises, les jeunes étudiants sont confrontés à des problématiques importantes, pour lesquelles le choix de cursus est primordial.

Pour les aider à construire leur projet professionnel, l’EDHEC International BBA prépare et accompagne les étudiants à chaque étape de leur parcours.

Une spécialisation progressive

Avec son programme bachelor, l’EDHEC offre aux étudiants la possibilité de moduler année par année leur parcours, selon leurs objectifs professionnels et personnels. En effet, durant les deux premières années d’enseignement, les élèves auront accès aux fondamentaux de l’entreprise et pourront étudier divers sujets tels que le marketing, l’économie internationale, le droit des affaires, les ressources humaines ou la finance d’entreprise. Ils auront également la possibilité de choisir des sujets d’approfondissement parmi plus de quatre-vingts électifs (sciences politiques, économie environnementale…) et de passer des certifications – notamment avec la Green Belt, une certification en développement durable.

« Mes deux premières années à l’EDHEC International BBA m’ont enseigné les fondamentaux du commerce et du management. Elles m’ont permis de peaufiner mes appétences académiques, les matières scientifiques (comptabilité, gestion, finance…) m’étant plus agréables, et de choisir la spécialisation ‘finance d’entreprise’ pour ma troisième année de cursus BBA. » Gem Kua, diplômé de l’EDHEC International BBA.

C’est ensuite en troisième et quatrième année que les étudiants vont choisir une spécialisation académique – marketing, finance, audit, RH – et une spécialisation métier e-commerce, banque d’investissement, luxe, entrepreneurship, retail, etc. – qui leur permettront de finaliser leur projet professionnel. Avec 400 heures de spécialisation au cours de leur cursus, le programme EDHEC international BBA offre aux étudiants les clés qui leur permettront d’occuper les postes les plus stratégiques en entreprise, quel que soit le domaine.

Jusqu’à 18 mois de stages

Afin de compléter leur formation académique, les étudiants effectuent chaque année un stage en entreprise, condition sine qua none au passage en année supérieure. Ces stages leur permettent de mettre en pratique les connaissances acquises en cours et d’arriver sur le marché du travail avec une expérience significative. En effet, selon le cursus choisi, les étudiants peuvent cumuler jusqu’à dix-huit mois de stages. 

« J’ai eu la chance de découvrir quatre entreprises, cumulant ainsi dix-huit mois d’expérience dans différents domaines du marketing (…). Forte de mes années au BBA et de mes expériences professionnelles, j’ai décidé de découvrir une autre facette du métier : le marketing opérationnel, en intégrant la Maison CHANEL. » Mélina Belouet, étudiante EDHEC International BBA.

Aller plus loin avec un Master of Science

68% des étudiants décident de poursuivre leurs études en Master à l’EDHEC ou dans de prestigieuses universités en France ou à l’étranger. Ces programmes spécialisés d’un an en anglais permettent aux étudiants d’acquérir une nouvelle compétence ou de renforcer leur expertise dans un domaine spécifique.

« De culture française et chinoise, j’ai obtenu mon bac au lycée français de Shanghaï avant d’intégrer l’EDHEC International BBA. L’EDHEC a complété mon profil international et m’a apporté des compétences en marketing du luxe ainsi qu’en conseil et stratégie. Le package en 5 ans proposé par l’EDHEC entre le BBA et la possibilité de poursuivre en MSc vous donne les outils pour vous construire un profil compétitif et international. » Sébastien Lapp, diplômé EDHEC International BBA.

Un service carrière dédié

Afin d’accompagner les étudiants dans leur projet, l’EDHEC a créé le « Career Centre ». Ce service dédié (à la formation) les aide à faire le pont entre la formation académique et la vie professionnelle, en les accompagnant tout au long de leur études. Il leur offre un véritable suivi personnalisé en fonction de leur profil et de leurs besoins. Fort d’un réseau d’entreprises partenaires, le Career Centre publie chaque année plus de 60 000 offres de stages et d’emploi et organise de nombreux événements tout au long de l’année. 

Bénéficier d’un réseau partout dans le monde

En intégrant l’EDHEC, les étudiants ont également accès à un puissant réseau de 53 000 diplômés, implantés dans plus de 130 pays. Conscient que le réseau est un puissant levier dans le monde professionnel, l’EDHEC connecte les étudiants aux professionnels en entreprise et leur permet de se confronter à leurs futurs challenges. Du groupe international à la start-up en pleine croissance, les étudiants trouveront dans chaque structure un ancien prêt à montrer la voie.

Grâce à l’équilibre entre spécialisation académique, spécialisation métier, expérience internationale et expérience professionnelle, l’EDHEC International BBA est un véritable tremplin pour l’emploi et un accélérateur de carrières. À l’issue de leurs études, 95% des diplômés ont trouvé un emploi en adéquation avec leur projet professionnel et 46% d’entre eux ont trouvé leur premier poste avant même de quitter l’école.

Téléchargez votre brochure EDHEC International BBA.

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Deux DJs français vont électriser Miami Beach

Ils font partie de la nouvelle génération de producteurs de musique électro française. Crystallmess, de son vrai nom Christelle Oyiri, qui entend casser les codes à travers ses sonorités, et le DJ nantais Simo Cell ambianceront le Miami Beach Bandshell le samedi 19 novembre à partir de 5pm. Ces deux artistes français sont à l’affiche de ReShape, une soirée musicale gratuite organisée sous les palmiers floridiens par l’agence artistique The Rhythm Foundation en partenariat avec la Villa Albertine et le consulat général d’Allemagne à Miami.

Aux côtés de ces étoiles montantes, d’autres DJs joueront des platines jusqu’à tard dans la nuit. Vous aurez l’occasion de danser sur les rythmes des artistes allemands Anna Schimkat et Lorenz Lindner, aka Molto, mais aussi ceux de producteurs locaux comme Charlie Soul Clap et Richie Hell qui enflamment régulièrement les dancefloors de la région.