[Article partenaire] Après trois ans de voyages compliqués pour les fêtes de fin d’année, cette année semble rimer avec retour en France pour beaucoup d’expatriés français.
À priori, pas de fermeture de frontières pour causes sanitaires à l’horizon. Vous allez enfin pouvoir retrouver vos proches et le vieux continent pour les fêtes. Mais attention ! Les prix des vols augmentent vite. Réservez vos vols en avance et faites des économies.
French bee, la compagnie aérienne qui relie les États-Unis et la France
French bee est la première compagnie aérienne française smart cost et long courrier. Équipée d’une flotte d’Airbus A350-900 dernier cri, avec la cabine la plus silencieuse du marché, French bee vous garantit des vols confortables à prix défiant toute concurrence.
À bord : des sièges en cuir dans toutes les classes, avec renforts pour les lombaires et appuie-tête réglable en hauteur et en largeur, des écrans HD tactiles extra-larges avec un programme de divertissements gratuits et généreux, sans oublier la connectivité proposée en option.
Quatre routes entre les États-Unis et Paris Orly pour Noël
French bee opère déjà depuis quelque temps à New York, San Francisco et Los Angeles. Et cette année, en décembre, la compagnie ouvre une nouvelle route au départ de Miami.
Programme de Noël
Pour prévoir les vacances de Noël, French bee a divisé le mois de décembre en deux parties, en augmentant la fréquence des vols à partir du 19 décembre et jusqu’au 1er janvier 2023.
Première quinzaine : deux vols par semaine (à partir du 15 décembre), le jeudi et samedi, à partir de $453 (aller simple).
Deuxième quinzaine : trois vols par semaine (lundi, jeudi et samedi), à partir de $349 (aller simple).
Attention, les prix sont susceptibles d’augmenter rapidement.
Préparez votre vol avec French bee
Avec French bee, préparez votre voyage à la carte et payez le prix qui vous convient. Trois classes sont disponibles :
BASIC : plus petit prix pour votre plus grand plaisir
SMART : une classe économique et des services en plus
PREMIUM : un maximum de confort, et toujours plus de services
Vous pouvez ajouter les services que vous souhaitez, à tout moment. Bagage en soute, repas à bord, siège premium, équipements sportifs, embarquement prioritaire … C’est vous qui décidez. Retrouvez toutes les informations ici.
Alors, prêt(e) à réserver vos vacances de fin d’année ? Pas une minute à perdre !
—————- Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Incroyable mais vrai. Après 17 albums et autant d’années de carrière, une multitude de prix prestigieux au compteur et des concerts dans les plus grandes salles du monde, le trompettiste virtuose de 41 ans a toujours le trac avant de monter sur scène. « J’ai l’impression d’être encore tout jeune ! J’ai autant de stress et d’excitation, toujours aussi peur que les gens n’apprécient pas, mais c’est un stress sain, un bon trac. »
La tournée américaine d’Ibrahim Maalouf commence, d’abord au Canada (Montréal, Québec City et Toronto) puis aux États-Unis (Boston, New York, Washington, Los Angeles et San Francisco). « Je suis ravi car j’ai peu l’habitude de jouer en Amérique du Nord. À part à New York, qui est la capitale du jazz, les gens me connaissent peu aux États-Unis. J’ai l’impression de me présenter sur scène en disant : “Bonjour je suis Ibrahim Maalouf et je suis trompettiste”, c’est très frais et très chouette. »
« Enfant, je n’aimais pas la trompette »
S’il semble difficile d’imaginer devoir encore présenter le jazzman franco-libanais, tentons d’en dresser un portrait succinct mais fidèle. Ibrahim Maalouf, c’est d’abord un objet : la trompette, à 4 pistons (la traditionnelle n’en a que 3) offrant la possibilité de jouer les quarts de ton, essentiels à la musique arabe. Une création de son père, Nassim Maalouf, lui-même trompettiste, qui lui a mis la main à l’instrument dès ses 7 ans. « Enfant, je n’aimais pas la trompette, je trouvais que ça cassait les oreilles. Mon père jouait fort, avec un son aiguë, la trompette haute dans la plus grande tradition française, ça ne me ressemblait pas, moi qui était timide et introverti. Ce que j’aimais, c’est que mon père s’intéresse à moi. »
Mû par cette recherche du regard paternel, le jeune Ibrahim travaille son répertoire classique avec des facilités évidentes, le menant à accompagner son père en tournée dès ses 8 ans. « Le voir fier de moi, c’est ce qui m’a fait continuer. Jusqu’au jour où la trompette m’a adoptée et j’ai accepté qu’elle m’aille. » C’était en mars 2002. Le musicien a 21 ans, et vient de remporter un nouveau concours de trompette à Fairfax, aux États-Unis. Pourtant, il reste hésitant sur la voie à suivre. Depuis toujours, l’enfant né en pleine guerre civile au Liban nourrit des rêves d’architecture.
Dans sa chambre, à Etampes en Essonne, où il grandit à partir de ses 5 ans, il tapisse ses murs de posters des Twin Towers à New York, et de collages du Beyrouth qu’il projette de reconstruire. « Je rêvais d’en faire le New York du Moyen-Orient. » Il se rend donc à New York, dont le symbole de liberté a été rasé six mois auparavant, le 11 septembre 2001. « J’étais là, face à Ground Zero, et j’ai eu une révélation : on peut détruire des bâtiments mais on ne peut pas détruire une mélodie. Ce jour-là, j’ai choisi la trompette, j’ai choisi de construire une culture qui se voit les yeux fermés. »
L’art de l’improvisation
Au-delà de la double culture occidento-orientale à laquelle on le limite parfois, la culture d’Ibrahim Maalouf est plus universelle, celle d’un rapport à la musique instinctif et libre, inculquée par sa mère pianiste, Nada. « En parallèle de l’éducation musicale très stricte et classique de mon père à la trompette, j’ai eu la chance d’apprendre au piano avec ma mère à vivre la musique, à exprimer ce que je ressentais, sans avoir peur de me tromper. »
Un art de l’improvisation au cœur de son œuvre artistique, et qu’il cherche à prodiguer au plus grand nombre : création en 2011 de la première classe d’improvisation musicale au Conservatoire Régional de Paris et au Pôle Supérieur Paris Boulogne, parution en 2021 d’un essai pour le grand public « Petite philosophie de l’improvisation » (Ed. des Equateurs), fondation en 2022 du premier orchestre classique d’improvisation, le Free Spirit Ensemble… « On a tous cette capacité naturelle en nous, mais on vit dans un monde où on refuse l’erreur. Or personne ne peut construire, ne peut créer sans se tromper ! L’improvisation c’est l’ADN de l’acceptation de soi et des autres. » Une philosophie de vie au cœur d’ailleurs de son dernier album « Capacity to love ».
La voix de Sharon Stone
Car Ibrahim Maalouf, c’est aussi une musique engagée. Dans les actes : en composant un hymne à la mémoire des victimes des attentats de 2015, chanté par Louane lors d’un hommage national; en remontant le premier sur la scène du Bataclan, avec Sting, après les attentats du 13 novembre; en (ré)interprétant La Marseillaise devant 6 millions de téléspectateurs au pied de la Tour Eiffel le 14 juillet 2021… Dans ses morceaux, évidemment : sa reprise de Beyonce, «Run the World », mise en images dans un clip féministe; la musique du film documentaire de Xavier de Lauzanne, « 9 jours à Raqqa », mettant en avant le combat d’une femme maire pour reconstuire sa ville sous l’Etat islamique; son dernier titre « Money », avec le rappeur Erick The Architect, dénonçant le pouvoir de l’argent…
« Avant, je trouvais que dire que ma musique était engagée était d’une banalité absurde. Aujourd’hui, je ne m’en cache plus. Peut-être parce que je suis né, en pleine guerre, sous les bombes, j’éprouve une sorte d’urgence à faire en sorte que les gens s’entendent. » Pour arriver à cela, il faut faire (ré)entendre. Ibrahim Maalouf ouvre son 17e opus sur le discours final de Charlie Chaplin dans « Le Dictateur ». « C’est un texte que j’aime beaucoup et qui, 80 ans plus tard, est malheureusement toujours autant d’actualité. »
La conclusion est laissée à Sharon Stone qui énonce un texte écrit par ses soins faisant écho à celui de Chaplin. « J’avais envie de clôturer l’album sur la voix d’une femme puissante, et profondément libre, avec un message déjà entendu, mais qu’il faut rabâcher encore et encore puisqu’il n’est toujours pas intégré. »
Un album « plein de couleurs »
Au total, 14 titres et autant de collaborations : D Smoke, Dear Silas, M, Flavia Coehlo… « J’ai rencontré des artistes qui m’ont donné envie de sortir de ma zone de confort, de me confronter à quelque chose que je maîtrise moins. Je n’ai pas envie de devenir un spécialiste de ma spécialité, mais plutôt de faire les choses à ma façon, sans copier. »
Résultat : un album « plein de couleurs », à la croisée des chemins du rap, du hip-hop et du R&B, avec pour ligne directrice la trompette. « J’ai grandi avec Snoop Dog, IAM, NTM… Cette musique, c’est ma génération, mais je n’avais encore jamais osé car j’avais l’impression de ne pas être légitime. En grandissant, on se dit qu’on n’ a plus de temps à perdre. » Un temps qui semble extensible pour le compositeur/interprète/arrangeur/producteur, menant mille projets à la fois. Un artiste touche-à-tout et toujours surprenant, jamais là où on l’attend. Qui sait s’il n’est pas lui-même le premier surpris.
Le jazzman Ibrahim Maalouf @ Quincy Jones Productions
Les amateurs de pâtés en croûte, pithiviers et autres brioches feuilletées ont dû patienter tout l’été pour en déguster à nouveau. Fin août, après trois mois de travaux, Maison Nico a rouvert ses portes, et la queue de gourmets (et de gourmands !) s’est instantanément reformée devant l’épicerie fine située dans Jackson Square.
Une gamme élargie
Lancée fin 2020, Maison Nico surfe sur l’engouement d’une clientèle pour un savoir-faire charcutier que peu maîtrisent à San Francisco. Les clients s’arrachent ces mets délicats qui mêlent des saveurs inédites, comme le pâté en croûte canard, pomme et boudin noir, ou l’aspic de la mer au vivaneau et confit de tomate. La brioche feuilletée a vu sa renommée exploser sur les réseaux sociaux, et sa popularité ne se dément pas.
C’est ce succès qui a dicté la récente fermeture de Maison Nico. « On était à cours de produits à la mi-journée, car nous n’avions pas les moyens de produire plus, explique Nicolas Delaroque, fondateur de Maison Nico. Nous avons alors décidé de réaliser les travaux qui permettraient de répondre à cette forte demande. »
Un nouveau four et une étuve sont ainsi venus compléter la cuisine ouverte, et le laboratoire en sous-sol a été réaménagé pour augmenter la production de viennoiseries et pâtisseries. « Auparavant, nous devions alterner le sucré et le salé dans les fours. Maintenant, nous avons des fours dédiés, ce qui permet de bien faire pousser les pâtes pour les viennoiseries. Avec ce nouvel agencement, on peut produire le volume nécessaire pour répondre aux demandes de nos clients. »
Fidèles et nouveaux clients
À voir la file qui serpente dans la rue, les tables sur le trottoir qui sont toutes occupées, les clients qui défilent devant le comptoir, et les plateaux de croissants, de brioches feuilletées et de pains au chocolat dans les vitrines en continu, Maison Nico semble avoir trouvé son allure de croisière.
Le menu s’est par ailleurs étoffé : « Nous avons étendu notre gamme, avec des pains au chocolat, des croissants aux amandes et fruits de saison, des tartelettes, des choux.. » La clientèle a, elle aussi, évolué avec le retour des employés dans les bureaux du Financial District. « Ils s’arrêtent le matin pour boire un café et manger un croissant, ou à la sortie du bureau pour un verre de vin et de la charcuterie », note Nicolas Delaroque. « On a également gardé les fidèles qui nous suivent depuis l’époque du restaurant. »
En effet, avant Maison Nico, Nicolas Delaroque était à la tête de Chez Nico, un restaurant étoilé au Michelin. En 2020, gardant le même bâtiment, le chef a décidé de se réinventer en lançant une épicerie fine. Pas question de revenir au restaurant, l’arrivée des nouveaux fours ayant mangé une bonne partie de la salle à manger d’antan.
En revanche, Nicolas Delaroque prévoit d’étendre encore son menu, ainsi que ses horaires : « On envisage d’organiser les soirées avec un sommelier qui présenterait une sélection de vins et les associerait avec notre charcuterie. »
La fête bavaroise est de retour à New York pendant plus d’un mois jusqu’au 31 octobre. Voici cinq endroits où lever le coude (et votre chope de bière) à New York. (l’alcool est à consommer avec modération).
Watermark Bar
Pour une expérience authentique, direction le Watermark Bar situé sur le Pier15 au Seaport de Downtown Manhattan. Ce grand beer garden dispose à la fois d’un intérieur, d’une terrasse posée sur l’eau et d’un rooftop où vous attendent des festivités quotidiennes jusqu’au 31 octobre. Parmi elles : dégustation de bières allemandes et pretzels géants, musique, masskrugstemmen (jeu qui consiste à tenir sa bière à bout de bras le plus longtemps possible), et serveurs.ses en costumes traditionnels. Les organisateurs vous invitent à réserver gratuitement votre billet à l’avance sur ce lien. 78 South St Pier 15, (212) 742-8200.
Houston Hall
Quel meilleur endroit qu’un beer hall allemand pour fêter l’Oktoberfest ? Le magnifique Houston Hall, bâtiment centenaire aux poutres en bois apparentes situé à West Village, est ouvert tous les soirs jusqu’à minuit et jusqu’à deux heures du matin le samedi. Ici, on trinque à la chope d’un litre de bière (22-23$) sur l’une des grandes tables de banquet à disposition. Menu ici. Le soir, l’endroit se transforme en dance-floor géant et accueille une clientèle d’étudiants. 222 W Houston St, (212) 675-9323.
Loreley Beer Garden
Ce restaurant allemand du Lower East Side dispose d’un patio façon beer garden au fond de l’établissement. Les patrons du lieu vous attendent du 15 septembre au 16 octobre pour célébrer l’Oktoberfest comme en Allemagne. Il y aura des bières locales, des pretzels et autres plats traditionnels préparés pour l’occasion, du keg tapping (ouverture du fût de bière), le tout avec une décoration travaillée du restaurant. Nombreux happy hour et promotions selon les jours, la liste ici. 7 Rivington St, (212) 253-7077.
Radegast Hall & Biergarten
À l’image de Houston Hall, le Radegast est un autre lieu d’exception situé à Williamsburg à Brooklyn. Ce beer hall ancien prévoit les choses en grand pour la fête de la bière prévue les 17, 24 septembre et 1er octobre. Les festivités commenceront à 3pm par un concert de cuivres, suivi par les concours féminins et masculins de masskrugstemmen, avant la traditionnelle cérémonie du keg tapping à 6pm. La soirée continuera ensuite autour de bratwurst, currywurst et kielbasa grillées sur place, avant qu’un DJ fasse danser tout le monde jusqu’à 3am. 113 N 3rd St, (718) 963-3973.
Brooklyn Brewery
La célèbre brasserie de Williamsburg organisera une journée de dégustation pour l’Oktoberfest le 2 octobre prochain, avec concert de polka, saucisses et pretzels, et une réduction de 2$ sur les bières pendant l’événement. De quoi tester les nombreux breuvages de l’établissement. 79 N 11th St, (718) 486-7422.
Vous êtes parent, francophone, aux États-Unis ? Quelles sont les options d’éducation bilingue pour votre enfant ?
Du 3 au 7 octobre 2022, des milliers de parents auront l’occasion de venir découvrir en ligne les options d’éducation bilingue disponibles pour leurs enfants dans quatre grandes régions des États-Unis, en assistant à des webinaires de présentation et en interagissant en direct avec les représentants des écoles et des programmes périscolaires représentés.
Vous êtes parent, francophone, aux États-Unis ? Quelles sont les options d’éducation bilingue pour votre enfant ?
Du 3 au 7 octobre 2022, des milliers de parents auront l’occasion de venir découvrir en ligne les options d’éducation bilingue disponibles pour leurs enfants dans quatre grandes régions des États-Unis, en assistant à des webinaires de présentation et en interagissant en direct avec les représentants des écoles et des programmes périscolaires représentés.
Une session sera dédiée aux solutions pour un enseignement en français en Floride, avec Aurélie Delahalle Jackson de l’APEM French Program, Roger Pardo de FIPA- French International Program Association, et Anthoni Dominguez du Consulat Général de France à Miami.
L’édition 2022 de la Bilingual Education Fair des États-Unis est sponsorisée par :
Vous êtes parent, francophone, aux États-Unis ? Quelles sont les options d’éducation bilingue pour votre enfant ?
Du 3 au 7 octobre 2022, des milliers de parents auront l’occasion de venir découvrir en ligne les options d’éducation bilingue disponibles pour leurs enfants dans quatre grandes régions des États-Unis, en assistant à des webinaires de présentation et en interagissant en direct avec les représentants des écoles et des programmes périscolaires représentés.
Une session sera dédiée à l’éducation française au Texas, avec Jacques A. Weber et Mathilde Sonnier de la Austin International School, Isabelle Bettler de FLAM USA, et Kerry Briard de la Dallas International School.
L’édition 2022 de la Bilingual Education Fair des États-Unis est sponsorisée par :
Vous êtes parent, francophone, aux États-Unis ? Quelles sont les options d’éducation bilingue pour votre enfant ?
Du 3 au 7 octobre 2022, des milliers de parents auront l’occasion de venir découvrir en ligne les options d’éducation bilingue disponibles pour leurs enfants dans quatre grandes régions des États-Unis, en assistant à des webinaires de présentation et en interagissant en direct avec les représentants des écoles et des programmes périscolaires représentés.
Vous êtes parent, francophone, aux États-Unis ? Quelles sont les options d’éducation bilingue pour votre enfant ?
Du 3 au 7 octobre 2022, des milliers de parents auront l’occasion de venir découvrir en ligne les options d’éducation bilingue disponibles pour leurs enfants dans quatre grandes régions des États-Unis, en assistant à des webinaires de présentation et en interagissant en direct avec les représentants des écoles et des programmes périscolaires représentés.
Cette semaine, French Expat continue sa série de podcasts en immersion dans les écoles bilingues de Boston. Après un épisode à la Milton Public School, direction la ville de Cambridge, accolée à Boston.
J’ai choisi de me rendre dans cette école car son histoire et son approche m’ont interpellée. L’EFGB, aussi connue sous le nom de École Française de Greater Boston, n’a pas toujours été une école traditionnelle. Il s’agit d’une école communautaire initialement créée il y a une quinzaine d’années par des parents d’élèves français installés dans la région de Boston qui souhaitaient offrir des alternatives financièrement abordables aux familles afin d’apprendre le français à leurs enfants. Initialement un programme de cours de français after school – après l’école donc -, c’est aujourd’hui une école multi campus qui propose une scolarité de la petite section de maternelle au CM2.
Merci à Hervé Seux (cofondateur de l’école) ainsi qu’à l’équipe enseignante et aux enfants pour leur participation et leur accueil chaleureux au sein de l’école.
[Article partenaire] On ne le répètera jamais assez, lors d’un achat immobilier aux États-Unis, il est primordial de se faire accompagner par un agent immobilier qualifié et de confiance. D’autant plus lorsque l’on est français et, par conséquent, pas familier avec le système immobilier américain.
Jean-Luc Teinturier est un agent immobilier franco-américain, installé entre Manhattan et Greenwich, Connecticut depuis trente ans. Jean-Luc revient sur la situation actuelle de ces deux marchés.
Bonjour Jean-Luc, pouvez-vous nous décrire votre parcours : comment êtes-vous arrivé dans l’immobilier ?
Jean-Luc Teinturier : J’ai tout d’abord acquis une expérience en tant que salarié Directeur de filiale à New York. Je me suis ensuite dirigé vers l’entrepreneuriat, notamment sur des créations et cessions d’entreprises. Et depuis 2013, j’ai décidé de me lancer en tant qu’agent immobilier dans les États de New York et du Connecticut.
L’immobilier m’a toujours plu. J’ai effectué plusieurs transactions à titre personnel en tant que marchand de biens. Ces expériences m’ont apporté de nombreuses connaissances, qui me permettent aujourd’hui de comprendre et de m’adapter à chaque demande et problématique de mes clients ; que ce soit pour une location, un investissement immobilier ou tout simplement pour une résidence principale, en gardant en tête la revente à plus ou moins long terme.
Comment bien s’entourer lors de la réalisation d’un projet immobilier à New York ?
Jean-Luc Teinturier : Ces années d’expérience m’ont permis d’apprendre à connaître et de m’entourer de professionnels français et/ou américains en qui j’ai une entière confiance : experts-comptables, fiscalistes, banquiers et avocats … Ces professionnels sont indispensables pour conseiller mes clients et les aider à prendre les meilleures décisions, limiter les risques et optimiser leur investissement immobilier.
Par ailleurs, j’ai la chance de travailler au sein du groupe Coldwell Banker, qui est le leader mondial de l’immobilier de prestige, numéro un dans le Connecticut et septième agence immobilière à New York. Coldwell Banker est présent dans plus de cinquante pays, notamment en Europe.
Comment se porte le marché de l’immobilier à New York ?
Jean-Luc Teinturier : Avant toute chose, il est important de noter que le COVID a, comme partout ailleurs dans le monde, changé beaucoup de choses à New York, et l’immobilier n’y a pas échappé. À Manhattan par exemple, cela fait maintenant trois ans que le marché est en chute. Nous sommes désormais sur un marché d’acheteurs dans ce borough. Brooklyn quant à lui se maintient bien, notamment car les prix y sont bien plus raisonnables. Des quartiers entiers au nord comme Williamsburg, Greenpoint, ou encore Bushwick, Bedford et Stuyvesant se gentrifient à leur tour, ce qui se traduit par une augmentation constante des loyers et des prix de vente. Il en va de même pour Midwood, situé au cœur de Brooklyn, où le prix des appartements neufs a augmenté de plus de 20% en trois ans.
Pour en revenir à Manhattan, comme dit précédemment, les prix de vente ont fortement baissé. Cependant, les loyers ont connu depuis un an de très fortes hausses, ce qui améliore la rentabilité pour les propriétaires.
Le ticket d’entrée est donc certes plus cher, mais il y a toujours de réelles opportunités à saisir pour du locatif ou pour se loger (pied-à-terre ou résidence principale), car les prix de l’immobilier à moyen terme à Manhattan vont remonter.
Investir dans l’immobilier à New York est-il toujours intéressant, compte-tenu des charges ?
Jean-Luc Teinturier : Oui, il faut cependant être vigilant au quartier et faire appel à un agent immobilier de confiance qui saura vous conseiller. En termes de property tax et charges de copropriété, Brooklyn est beaucoup plus avantageux que Manhattan ; que ce soit pour des condominiums, des coop ou des petits immeubles. La rentabilité y est supérieure : de 4 a 6 % pour Brooklyn contre 2 à 3% pour Manhattan.
Vous habitez à Greenwich, Connecticut. Recommanderiez-vous à vos clients d’y investir également ?
Jean-Luc Teinturier : Oui ! La ville de Greenwich, Connecticut, où je réside depuis plus de trente ans, offre une qualité de vie exceptionnelle. On y trouve notamment une plage réservée aux habitants de la ville, des écoles privées, un lycée ainsi qu’une école maternelle et secondaire publique d’un excellent niveau. Il y a par ailleurs huit golfs ainsi qu’un centre ville charmant rempli de restaurants qui sauront ravir les plus gourmands.
En ce qui concerne les chiffres, les taxes immobilières ou property tax y sont deux à trois fois inférieures à celles du Westchester.
Enfin, le charme, la sécurité, la proximité à Manhattan (moins d’une heure) sont autant de raisons qui font de Greenwich une ville où il fait bon vivre.
Où conseilleriez-vous d’acheter à Greenwich, Connecticut ?
Jean-Luc Teinturier : Greenwich comporte cinq quartiers, donc cinq micro marchés : Byram au sud, Greenwich downtown au centre avec Midcountry et BackCountry, Cos Cob, Riverside et enfin Old Greenwich.
À Greenwich Midcountry et BackCountry, vous aurez la possibilité d’acquérir une belle maison avec un terrain d’un acre (plus de 4 000 mètres carré) ou plus, avec ou sans piscine (terrain piscinable). Cos Cob, à l’origine un quartier d’immigrés italiens, compte un peu moins de 10 000 habitants. Ce quartier est central et proche du centre ville, de la gare et à dix minutes de la plage. Les prix y sont plus modérés. Pour finir, Riverside et Old Greenwich sont les deux quartiers les plus proches de la plage, donc très prisés par les familles.
Quels sont les prix de l’immobilier à Greenwich ?
Jean-Luc Teinturier : Le prix moyen actuel d’une maison à Greenwich est de 2.3 millions de dollars et semble se stabiliser. Il faut toutefois garder en tête que l’inventaire est faible, pour une forte demande : il vous faudra donc un dossier solide préparé en amont et être prêt à faire une offre. Il y a en effet plus de dix acquéreurs en moyenne pour une vente.
Les prix du mètre carré à Greenwich restent en moyenne deux à trois fois moins élevés qu’à Manhattan et inférieurs à ceux de Brooklyn. La différence est encore plus flagrante si vous allez un peu plus au Nord, à Norwalk ou à Wilton par exemple.
Êtes-vous disponible pour accompagner de futurs acquéreurs francophones dans leur investissement à Greenwich ou New York ?
Jean-Luc Teinturier : Bien-sûr ! Que ce soit pour un achat, une vente ou une location à New York ou dans le Connecticut, je serai ravi de prendre en charge votre recherche que j’assumerai comme si c’était pour moi même, en intégrant bien vos objectifs à moyen et long terme.
N’hésitez pas à me contacter, par téléphone et sur WhatsApp au 203.550.5945 ou par mail à l’adresse suivante : [email protected].
—————- Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Dans quelle zone acheter ? Quelles sont les opportunités du moment ? Quel est l’état du marché en 2022, quelles prévisions pour 2023 ? Quelles sont les 7 erreurs à éviter ?
Nous vous donnions rendez-vous mardi 20 septembre 2022 pour un webinaire dédié au sujet avec Renaud de Tilly et Marius Coulon de DE TILLY REAL ESTATE.