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Gainsbourg, Kateb et Seydoux au programme du Mill Valley Film Festival

Lancé en 1977 pour promouvoir le cinéma indépendant et international, le Mill Valley Film Festival fêtera, du jeudi 6 au dimanche 16 octobre, sa 45ème édition. Des centaines d’œuvres, d’horizons et de formats variés, seront projetées dans sept cinémas de la Bay Area, et en ligne.

La France sera représentée à travers sept longs métrages, dont plusieurs feront leur première aux États-Unis grâce à ce festival.

Close (2022)

Réalisé par le Belge Lukas Dhont, « Close » raconte l’histoire de deux adolescents de 13 ans, Rémi (Gustav De Waele) et Léo (Eden Dambrine). Leur amitié est si fusionnelle qu’ils essuient les moqueries de certains camarades qui les soupçonnent d’homosexualité. Léo décide d’affirmer sa virilité en prenant ses distances avec Rémi. Quand un drame les sépare, Léo se rapproche de Sophie (Émilie Dequenne), la mère de Rémi. Close a reçu le Grand Prix au dernier festival de Cannes. Le réalisateur Lukas Dhont s’était fait connaître du grand public grâce au film « Girl », qui racontait l’histoire d’une jeune fille trans qui voulait devenir danseuse étoile. Ce film avait été primé en 2018 par la Caméra d’or à Cannes.

Vendredi 14 octobre à 6pm au Sequoia CineArts, 25 Throckmorton Ave, Mill Valley, CA , et samedi 15 octobre à 8pm au Smith Rafael Art Center, 1118 4th St, San Rafael, CA. Billets

Corsage (2022)

L’actrice Vicky Krieps incarne Elizabeth d’Autriche, la célèbre Sissi rendue populaire il y a plus de soixante-cinq ans par Romy Schneider dans le film éponyme. Contrairement à son aînée, qui campait une jeune princesse, Vicky Krieps offre dans « Corsage »l’image d’une impératrice vieillissante et anorexique, qui se contraint à porter des corsets très serrés pour garantir une taille de guêpe de 40 centimètres ! Le film est réalisé par l’Autrichienne Marie Kreutzer.

Dimanche 9 octobre à 1:30pm au Smith Rafael Art Center, 1118 4th St, San Rafael, CA, et samedi 15 octobre à 7pm au Lark, 549 Magnolia Ave, Larkspur, CA. Billets.

Un petit frère (Mother and son) (2022)

https://www.youtube.com/watch?v=4typLu0SN8Y

Réalisé par Leonor Serraille, « Un petit frère » raconte l’immigration d’une famille ivoirienne vers la France. Rose et ses deux fils s’installent à Paris en 1989. Le film suit chacun de ces trois protagonistes pendant vingt ans, éclairant ainsi de différentes manières ce parcours de l’intégration, dans une France où le Lepénisme gagne de plus en plus de terrain. Avec Annabelle Lengronne, Stéphane Bak, et Ahmed Sylla.

Vendredi 7 octobre à 4pm et mercredi 12 octobre à 3pm au Smith Rafael Art Center, 1118 4th St, San Rafael, CA. Billets

Un beau matin (2022) 

« Un beau matin », film franco-allemand de la réalisatrice Mia Hansen-Løve, met en scène Sandra (Léa Seydoux), une mère célibataire qui tente de faire soigner son père (Pascal Greggory), un brillant professeur diminué par une maladie neuro-dégénérative. Elle retrouve Clément, un ami perdu de vue, avec lequel s’engage une relation incertaine. Nicole Garcia et Melvil Poupaud complètent le casting de ce film bouleversant.

Le samedi 8 octobre à 4pm au Smith Rafael Art Center, 1118 4th St, San Rafael, CA, et le dimanche 9 octobre au BAMPFA, 2155 Center St, Berkeley, CA. Billets

Nos frangins (2022)

« Nos frangins » est un film de Rachid Bouchareb qui relate la mort de Malik Oussekine. Dans la nuit du 5 au 6 décembre 1986, ce jeune homme de 22 ans meurt, roué de coups par des policiers, en marge des manifestations étudiantes contre la loi Devaquet. Le Ministère de l’Intérieur tente d’étouffer l’affaire, les policiers incriminés sont condamnés à des peines avec sursis. Avec Reda Kateb, Lyna Khoudri, Raphaël Personnaz.

Mercredi 12 octobre à 7pm au Sequoia CineArts, 25 Throckmorton Ave, Mill Valley, CA, et le jeudi 13 octobre à 3pm au Smith Rafael Art Center, 1118 4th St, San Rafael, CA. Billets

Rodeo (2022)

Julia adore la moto. Dans un milieu exclusivement masculin, elle trouve sa place en faisant preuve d’une audace et d’un sang-froid à toute épreuve. Elle se trouve vite mêlée aux trafics qui gangrènent le milieu où elle évolue. « Rodéo » est le premier long-métrage de la réalisatrice française Lola Quivoron, et offre son premier rôle principal à Julie Ledru.

Dimanche 9 octobre à 6pm au Sequoia CineArts, 25 Throckmorton Ave, Mill Valley, CA, et lundi 10 octobre à 7pm au Smith Rafael Art Center, 1118 4th St, San Rafael, CA. Billets

Les passagers de la nuit (2022)

Charlotte Gainsbourg incarne Elisabeth, qui vient d’être quittée par son mari, la seule histoire d’amour qu’elle ait jamais eue. Elle se retrouve seule à gérer son quotidien et celui de ses deux enfants. Elle trouve un emploi dans une émission de radio de nuit animée par Vanda Dorval (Emmanuelle Béart), et y fait la connaissance de Talulah, une jeune un peu paumée qu’elle va prendre sous son aile.

Samedi 8 octobre à 6pm au Smith Rafael Art Center, 1118 4th St, San Rafael, CA, et dimanche 9 octobre à 3pm au Sequoia CineArts, 25 Throckmorton Ave, Mill Valley, CA. Billets. 

L’hôtel Fouquet’s New York ouvre ses portes à Tribeca

Au 456 Greenwich Street, au coin avec Desbrosses Street et en plein cœur du quartier paisible de Tribeca, un imposant immeuble de couleur terracotta se dresse sur un bloc entier. Nous sommes devant le premier hôtel Barrière Fouquet’s des États-Unis, qui ouvre enfin ses portes ce jeudi 29 septembre.

À l’intérieur, un lobby aux tons chaleureux – rose pâle, vert amande, jaune lumineux – dénote avec le caractère industriel des façades de ce quartier. Gilles Stellardo, Directeur général de Barrière Fouquet’s New York, nous accueille avec enthousiasme, tout en gardant un œil sur tous les détails à peaufiner avant le grand jour. « Notre designer – Martin Brudnizki – est passionné d’Art Déco, il a tout conçu de A à Z pour cet hôtel, même les tissus dont la Toile de Jouy qui a été commandée chez Schumacher Hospitality », explique-t-il.

Le Titsou, surnom de famille

Au fond du lobby, une discrète porte coulissante en bois s’ouvre pour nous faire pénétrer dans le bar de l’hôtel, le Titsou – en référence au surnom donné par Diane Barrière à son grand-père. Le long bar en marbre, le mur de miroirs et les fauteuils en velours donnent un aspect « sélect » et confidentiel de bar speakeasy à l’ensemble. Il est ouvert tous les jours de 5pm à 1am.

Derrière ce bar, le restaurant traditionnel Fouquet’s se veut être une adaptation conforme de la célèbre brasserie parisienne, avec ses fauteuils rouges, ses nappes blanches et des lustres de Venise au plafond. « La carte a été signée Pierre Gagnaire et illustre ce art de vivre à la française, où la gastronomie a une grande importance », explique Gilles Stellardo. Si la majorité des plats sont similaires ceux de Paris, environ un tiers du menu a été adapté à une clientèle new-yorkaise.

Un peu plus loin, un deuxième restaurant, végétarien, vient compléter l’offre du Fouquet’s : Le Par Ici Café, qui bénéficie d’une verrière susceptible d’être ouverte en été, fait la part belle aux plantes et aux plats plant-based, et un côté bar ambiance aux tons naturels est ouvert en journée pour préparer des jus frais aux clients de l’hôtel.

 

Spa et salle de cinéma

Retour à l’entrée, où une volée d’escaliers descend sur une œuvre d’art étonnante : un gorille coiffé d’une casquette en cristaux Swarovski tient une Tour Eiffel scintillante. Une œuvre clin d’œil à King Kong et Paris, créée par l’artiste français Eddy Maniez. « Un de nos propriétaires a flashé sur cette œuvre à New York, l’a acheté et a proposé de l’installer dans l’hôtel ».

Cet étage compte deux lieux uniques : un spa avec piscine, qui offre cinq salles de traitement avec des produits Biologique Recherche aux clients de l’hôtel, et une salle de cinéma de 70 places avec de confortables fauteuils et banquettes en velours moutarde, qui devrait accueillir des événements culturels croisés entre Paris et New York.

 

Les 97 chambres de l’hôtel, dont 31 suites et 5 appartements terrasse, se répartissent ensuite sur six étages. Conçues comme des boudoirs français, elles se composent de têtes de lit matelassées en vieux rose, de mobilier Art Déco et de salles de bain en marbre. Aux murs, des toiles de Jouy, créées en exclusivité pour l’hôtel, dépeignent des scènes de la vie locale à Tribeca.

Au 7ème étage, les suites bénéficient d’une terrasse sur la rue, et, comble du luxe, le Grand Appartement Terrasse duplex donne à voir une chambre majestueuse bleu roi, un salon salle à manger orné d’un papier peint conçu sur mesure, et une terrasse privée sur ce quartier habité par de nombreux VIP.

 

Un marché en plein rebond

La réalisation de ce projet ambitieux aura pris trois ans, un chantier compliqué par la pandémie en termes de permis, construction et approvisionnement, mais l’hôtel est une belle consécration des efforts fournis selon Gilles Stellardo. « Nous avons voulu créer un endroit avec une ambiance et un supplément d’âme où nos clients se sentent chez eux et sont en famille ».

L’hôtel Fouquet’s New York se situe à quelques blocs du Greenwich Hotel, est aussi proche du Mercer Hotel et du Crosby à Soho, mais pour son directeur, « il y a de la place pour tous, tant que l’on se situe sur un marché de niche. » L’hôtel va accueillir une majorité de clients américains qui viennent pour affaires, mais aussi des clients français et britanniques touristes, nostalgiques de New York – même si la parité euro-dollar risque d’être un frein à court terme. Le groupe peut en tout cas compter sur le rebond du marché hôtelier new-yorkais : selon CBRE, le prix moyen en 2022 devrait grimper de 30% et le revenu par chambre de 75% sur un an.

La Fédération Française de la Chaussure exporte ses créateurs à New York

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À partir du samedi 1er octobre, la Fédération Française de la Chaussure invite un collectif de marques françaises à New-York. Pendant 4 semaines, 6 griffes pointues, spécialistes de l’espadrille aux experts du talon aiguille, de la bottine, du mocassin français et même du chausson pour bébé, présenteront leurs collections au sein d’un pop-up baptisé French Edit, qui s’installera au concept-store Neighborhood Goods au Chelsea Market.

Après plusieurs pop-up organisés successivement à Hong-Kong, Shanghai et le dernier à Séoul en 2018, Michelle Guilloux-Bonnet, la déléguée générale de la Fédération Française de la Chaussure a piloté le projet en collaboration avec Business France et convaincu ainsi 6 marques de tenter l’expérience.

« Le marché américain est un marché prioritaire où les marques de chaussures françaises, en particulier premium et luxe, peuvent complètement jouer leur va-tout, explique-t-elle. Ce pop-up est une excellente opportunité de présenter une sélection de marques qui illustrent parfaitement l’esprit artisanal qui guide la chaussure française aujourd’hui. Un secteur qui compte plus de 200 entreprises françaises, qui fabriquent chaque année près de 14 millions de paires de chaussure “made in France”. »

Au sein du magasin Neighborhood Goods, un concept-store et café ouvert en 2019 au Chelsea Market, et dont la sélection va des marques de mode aux labels de cosmétiques en passant par les beaux-livres ou le seconde-main de luxe, le corner French Edit mettra en avant la créatrice Avril Gau qui fête cette année ses 20 ans de collections et dont les modèles de bottines, mocassins à talon et d’escarpins revisitent le chic parisien sur un mode contemporain.

Déjà présente à New-York via 3 boutiques (au 1015 Madison Avenue, au 1045 3rd Avenue et West Side au 145 W 57th Street), la marque française Arche sera également de la partie. Reconnaissables en un coup d’œil, les chaussures Arche se sont fait notamment connaître par leur style décontracté, leur cuir souple et leurs nombreuses déclinaisons colorées.

Autre marque courtisée des parisiens, la marque Anthology Paris, créée par Anthony Knopfer, présentera ses modèles de chaussures intemporelles pour hommes et femmes, soit sabots, escarpins, derbies et autres bottines. Pare Gabia, fondée en 1935 et dans le giron du groupe Royer, déjà présente à Los Angeles et Santa Monica, tentera de séduire les New Yorkais avec ses collections d’espadrilles contemporaines. Et Craie Studio, la griffe de maroquinerie et de chaussures, présentera ses modèles de chaussons pour bébés en cuir d’agneau et issus d’un tannage végétal.

Récemment créée, la marque Etre Amis complètera le bataillon des chausseurs français. À sa tête, Pascal Poulain et son épouse Angélique Dequiedt, ont mis au point une gamme de chaussures éco-responsables, toutes fabriquées en séries limitées à partir de matériaux et formes upcyclées.

En parallèle de l’ouverture du pop-up, une soirée cocktail s’organisera le mercredi 12 octobre à 5:30 au sein du corner French Edit au Neighborhood Goods du Chelsea Market.

Le judo désormais enseigné dans les écoles françaises aux États-Unis

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À l’approche des Jeux Olympiques de 2024, la Fédération Française de Judo, en collaboration avec l’AEFE, l’Agence pour l’enseignement du français à l’étranger, vient de lancer un tout nouveau programme international destiné à l’enseignement du judo et de ses valeurs dans les établissements d’enseignement français à l’étranger.

Choisi comme lycée pilote, le Lycée Français de San Diego accueillait le lancement officiel du programme, à la mi-septembre, autour de quatre champions olympiques, ainsi du Français et médaillé à Tokyo Luka Mkheidze, de l’Américain Ed Liddie, sacré à Los Angeles en 1984, de la Française Gevrise Emane, médaillée de bronze à Londres en 2012 et du vice-champion olympique aux J.O de Sydney, Larbi Benboudaoud, réunis sur les tatamis aux côtés des élèves.

Un sport sous-représenté aux États-Unis

« Ces deux prochaines années, plus de 200 élèves intégrés au réseau des écoles AEFE seront immergés pleinement dans l’esprit olympique à travers le « School Judo Challenge », explique Emily Sims, directrice du développement au Lycée de San Diego. « Parmi les temps forts à venir, la participation des élèves à un programme d’activités et d’éducation autour d’athlètes professionnels au centre olympique de San Diego, situé dans la commune de Chula Vista, et prévu en avril 2023. »

En attendant l’événement, les élèves seront amenés à étudier, à travers les classes d’histoire et de géographie, toute l’histoire des Jeux Olympiques et Paralympiques, à découvrir la géographie et les cultures du monde, la culture de l’hygiène de vie et de la santé et à développer leur sens critique. Ils pourront également exprimer leur côté créatif grâce aux activités artistiques qui s’intéresseront à la culture graphique relative aux Jeux Olympiques.

Sous-représenté aux États-Unis, le judo est aujourd’hui la quatrième discipline sportive la plus populaire en France. Les judokas français ont remporté ensemble plus de 147 médailles aux championnats du monde, et en ont décroché 48 en or.

« Plus qu’un sport, le judo véhicule des valeurs d’inclusion, à l’image de Luka Mkheidze, réfugié et médaillé aux Jeux Olympiques, poursuit Emily Sims, et des valeurs que nous souhaitons transmettre aux enfants. Il ne s’agit pas seulement d’un sport physique ou mental mais bien d’un sport qui forge le respect et la confiance. »

Ce que les parents doivent savoir sur l’éducation bilingue, une conférence avec Ellen Bialystok

Edit : Visionnez le replay ici

Le multilinguisme est un cadeau fait à nos enfants; c’est aussi un fascinant sujet de recherches. Peu de scientifiques y ont autant contribué qu’Ellen Bialystok, professeure de psychologie à l’université de York (Canada) et une de celles et ceux qui ont fait avancer la connaissance du « cerveau bilingue » ces vingt dernières années.

Ellen Bialystok est l’invitée d’un fire side chat à l’occasion de la Bilingual Fair 2022, évènement en ligne organisé par French Morning et consacré à l’éducation bilingue aux États-Unis. Cette conférence a lieu le jeudi 6 octobre à 4 pm (ET). Inscrivez-vous dès maintenant ici (gratuit).

La chercheuse présentera son dernier ouvrage, « Bilingual Children, Families, Education and Development », publié aux éditions TBR Books, un passionnant voyage dans l’état de la science du multilinguisme. Nous discuterons de ce que l’on sait aujourd’hui des conséquences du bilinguisme ou multilinguisme sur le cerveau mais aussi du multilinguisme dans la famille. Y-a-t-il un modèle préférable à un autre, notamment pour les parents de différentes nationalités et langues maternelles ? Y-a-t-il des recettes pour assurer la transmission de sa langue à ses enfants quand ils vivent et étudient dans une autre langue ? Les enfants bilingues sont-ils plus intelligents ? Réussissent-ils mieux dans la vie ? Ont-ils plus de mal à apprendre à lire ?

Ellen Bialystok répondra à ces questions et à celles que vous voudrez lui poser. Vous pouvez le faire d’ores et déjà par email à: [email protected] et pourrez également le faire en direct par chat. La conférence aura lieu en anglais.

La Bilingual Fair 2022 a lieu du 3 au 7 octobre. Inscrivez-vous pour assister à une des 12 conférences en ligne et pour découvrir l’offre d’éducation bilingue à travers les États-Unis. En savoir plus et inscriptions ici.

Les 5 mauvaises raisons de ne pas acheter à New York

[Article partenaire] La bourse joue aux montagnes russes, les taux d’intérêts s’envolent, l’inflation est au sommet… De quoi hésiter au moment de prendre ce qui est pour la plupart d’entre nous la plus importante décision financière de notre vie. Et pourtant, est-il bien raisonnable d’attendre ? 

Si vous visez New York, la réponse est probablement non. « Le meilleur moment pour acheter, c’est toujours aujourd’hui », résume Renaud de Tilly, fondateur de DE TILLY REAL ESTATE, et spécialiste de l’immobilier new-yorkais pour les expatriés européens.  Pour essayer d’y voir plus clair, voici cinq raisons de ne pas acheter qu’on vous opposera ces jours-ci, et pourquoi il est sans doute plus sage de ne pas en tenir compte…

1/ Les prix vont continuer de baisser

Il est vrai que les prix ont commencé à baisser en 2022. « On est clairement passé d’un ‘seller’s market’ à un ‘buyer’s market’ » constate Renaud de Tilly. La raison principale : après deux ans de pandémie qui ont largement « gelé » les prix, les vendeurs ont remis leurs biens à la vente après une pause « pandémie ». Ainsi, au niveau national, le nombre de logements en vente a augmenté de 26% sur les six premiers mois de 2022 par rapport à l’année précédente. 

Mais cela ne signifie nullement qu’on va vers une chute brutale des prix, en tout cas à New York. « Si on prend un peu de recul, on constate qu’au-delà des micro-variations de quelques mois, parfois un an, sur le long terme le marché de l’immobilier à New York monte régulièrement. Et fortement! ».

2/ Les taux d’intérêt ont beaucoup augmenté

Il est exact que les taux historiquement bas de ces dernières années sont désormais un souvenir. Mais il faut se méfier de l’effet d’optique : passer de 3% à 6% de taux peut sembler prohibitif, « mais il faut se souvenir qu’on est finalement revenu à des niveaux qu’on a déjà connu ; les taux sont en ce moment ceux qu’on connaissait il y a une vingtaine d’années », rappelle Renaud de Tilly. Il est également important de garder à l’esprit que, si les taux redescendent un jour, vous aurez toujours la possibilité de refinancer votre prêt immobilier à la baisse.

Surtout, quel que soit le choc à la vue du prêt immobilier, le taux du mortgage n’est pas et n’a jamais été le facteur le plus important au moment d’acheter. « Le plus important, financièrement, lorsque vous achetez une maison, est que vous commencez à construire votre patrimoine », rappelle l’économiste Brian Rugg, de Loandepot. « À attendre trop longtemps le bon taux, vous finissez par payer le prêt immobilier de quelqu’un d’autre : le propriétaire qui vous loue sa maison en attendant… ». 

La meilleure façon de penser à cela, résume une autre économiste, Danielle Hale, de Realtor.com, c’est de considérer qu’en empruntant pour devenir propriétaire « vous vous payez un loyer à vous-même ». Car « en prenant un prêt immobilier avec un taux fixe -au moins pour un certain temps- vous vous prémunissez contre l’inflation à venir ». 

3/ Acheter coûte maintenant plus cher que louer

Régulièrement, la presse publie des rapports montrant qu’acheter coûte plus cher que louer. Méfiez vous de ces rapports ! D’abord, il s’agit de comparaisons de dépenses mensuelles (ou annuelles). Elles sont pertinentes s’il s’agit de savoir si vous avez les moyens d’acheter (en restant en dessous du fameux 40% des revenus). Mais ces comparaisons ne prennent pas en compte les futures plus-values ni surtout le simple fait qu’en remboursant un prêt immobilier vous vous constituez une « épargne forcée ».

4/ Je sais que je ne passerai pas ma vie à New York, sans doute pas plus de cinq ans

C’est sans doute l’argument le plus sérieux en faveur de la location et contre l’achat. En dessous d’une certaine période, acheter n’a pas beaucoup de sens, notamment en raison des « closing costs » qu’il sera impossible de récupérer au moment de la revente. « Mais même si on ne prévoit de rester que trois ans, cela peut avoir du sens d’acheter, estime Renaud de Tilly. C’est en tout cas ce que montre l’étude de l’évolution des prix sur le long terme à New York : il faut avoir beaucoup de malchance, ou avoir été mal/pas conseillé, pour ne pas pouvoir faire à New York en trois ans une plus-value suffisante pour couvrir les coûts d’achat et de revente ». 

5/ En ces temps d’incertitude il est plus sage de louer

Rien n’est moins sûr : ces incertitudes font justement exploser le marché de la location, avec des loyers historiquement hauts. « Et le fonctionnement des locations à New York, où les baux sont en général d’un an, ne protège pas du tout les locataires contre une brutale augmentation des loyers » rappelle Renaud de Tilly. En choisissant la location par sécurité, vous risquez de devoir affronter une très forte hausse de loyer dans un an, alors qu’un prêt immobilier à taux fixe ou fixe puis variable (le plus fréquent aux États-Unis) vous protègera pendant au moins quelques années… 

Au bout du compte, le vrai risque, conclue Renaud de Tilly, « c’est d’attendre trop longtemps que les conditions soient idéales ».  Depuis que j’ai commencé ce métier, je n’ai jamais rencontré des gens qui, ayant décidé de ne pas acheter ne l’ont pas regretté quelques années plus tard. Le meilleur moment pour acheter, c’est toujours aujourd’hui !

Investissez à New York avec DE TILLY REAL ESTATE

Renaud de Tilly, fondateur de DE TILLY REAL ESTATE

Agence N°1 des francophones à New York, DE TILLY REAL ESTATE propose son expérience au service de ses clients francophones, américains et internationaux. Les experts connaissent parfaitement chaque quartier, car ils y habitent. Toute l’équipe de DE TILLY REAL ESTATE maîtrise la culture et les marchés français et internationaux. Ils peuvent ainsi facilement expliquer les nuances avec le marché new-yorkais. Tous les agents de l’équipe française sont bilingues français-anglais.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site internet de l’agence. 

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

S’ouvrir au monde au Lycée International de Boston

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Aujourd’hui, French Expat conclut sa série sur les écoles bilingues et l’apprentissage du français à l’étranger au Lycée International de Boston. L’école, qui accueille des enfants depuis la petite section de maternelle à la terminale, se situe à Cambridge, petite ville universitaire accolée à Boston.

le Buddy Bench dans la cour de récréation de l'ISB

L’ISB a été fondée en 1962 par Marie-Madeleine Berry. C’était, à l’époque, un jardin d’enfants et l’établissement était alors situé ailleurs en banlieue de Boston dans le sous-sol d’une église. Presque comme l’EFGB dont nous parlions la semaine dernière. Après pas mal de déménagements autour de la métropole de Boston, l’école grandit et étoffe les cursus scolaires avec une école élémentaire puis un collège et enfin un lycée. Depuis 2006, elle est homologuée par les autorités françaises.

Merci à Mehdi Lazar et Caroline Marlard ainsi qu’à l’équipe enseignante et aux enfants pour leur participation et leur accueil chaleureux.

Retrouvez simplement les autres épisodes de la série en suivant les liens suivants : Donner du sens au français pour ne pas le perdre à l’EFGB et Apprendre le français du monde à l’école publique de Milton.

French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music.

Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.

Ouragan Ian en Floride : quelques conseils utiles

Après avoir frappé Cuba, l’ouragan Ian poursuit sa route vers la Floride, via le golfe du Mexique. Il devrait s’abattre ce mercredi 28 septembre dans la région de la baie de Tampa. Selon les dernières prévisions du Centre national américain des ouragans (NHC), ce phénomène météorologique, qui s’est renforcé en ouragan de catégorie 4 (sur une échelle de 5) avec des vents soufflant à près de 250 km/h, pourrait être classé en catégorie 5 au moment de toucher terre. Les risques d’inondations dévastatrices sont très élevés.

Voici un rappel des principaux conseils à respecter.

Se tenir informé

Suivez les informations des différents médias locaux qui effectuent des mises à jour régulières des conditions climatiques, ainsi que celles de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) ou du National Hurricane Center (NHC).

Le consulat général de France à Miami est également mobilisé et dispose d’une page détaillée en français sur les conseils à respecter lors d’un ouragan. Une cellule de crise a notamment été mise en place. En cas d’urgence, n’hésitez pas à contacter l’équipe du consulat au (305) 403-4202 (entre 8:30am et 5pm) et au (786) 682-0834 (entre 5pm et 8:30am).

Prévoir un plan d’évacuation

En cas de danger, il est préférable de déterminer à quel endroit vous pourrez vous réfugier, que cela soit chez un proche, à l’hôtel ou dans l’un des abris d’urgences ouverts. 

Plusieurs comtés ont émis des ordres d’évacuation obligatoire pour les zones côtières les plus vulnérables : Charlotte, Citrus, Collier, Hernando, Hillsborough, Lee, Levy, Pasco, Pinellas et Sarasota. Toutefois, en fonction de la trajectoire de l’ouragan Ian, ces ordres d’évacuation pourraient se multiplier. Vous pouvez les consulter sur le site du Florida Disaster.

Certains comtés ont également pris la décision de fermer les établissements scolaires. Vous trouverez la liste des établissements concernés sur le site du Florida Department of Education.

Rester vigilant

Se trouver dans une zone non-évacuée ne signifie pas pour autant que le risque est nul. Tout au long de ce phénomène météorologique, restez à l’abri et rentrez les objets susceptibles de s’envoler. Tenez vous également à distance du front de mer. Les ouragans ont en effet tendance à faire monter le niveau des eaux et provoquer des inondations qui causent parfois plus de dégâts que les vents eux-mêmes. Une montée des eaux de plus de 3 mètres est attendue sur la côte du Golfe du Mexique, au sud de Tampa, dans la région d’Englewood et de Bonita Springs, là où l’ouragan doit toucher terre.

Faire des provisions

Pensez à stocker suffisamment d’eau en bouteille, des denrées non périssables, une trousse de secours ainsi que du matériel comme des lampes torches, des allumettes, ou encore une radio à piles.

La Maison de la France et de l’Europe baisse le rideau à Miami

Moins de cinq mois après son inauguration, la Maison de la France et de l’Europe ferme ses portes à Miami. Lancée en grande pompe par trois figures connues dans la communauté française, Paul Bensabat, Rod Kukurudz et son épouse Sandrine Mehrez Kukurudz, cette initiative privée avait pour vocation d’aider les acteurs économiques, institutionnels et culturels français et européens à se développer sur le territoire américain.

« Les entreprises, régions, ou villes françaises mais aussi européennes ne semblent pas encore réaliser que Miami est devenue une porte d’entrée majeure aux États-Unis, remarque Paul Bensabat, qui est également président de la Commission Amérique du Nord des Conseillers du Commerce Extérieur de la France. Les destinations traditionnelles telles New York et San Francisco font toujours figure de favorites, alors que l’activité économique est également en plein essor à Miami. »

Face à ce constat, les trois entrepreneurs ont dû se résoudre, bien malgré eux, à mettre fin aux activités de la Maison de la France et de l’Europe qui n’a pas suffisamment suscité d’intérêt. « Elle a surtout eu le tort d’être en avance sur son temps, estime Paul Bensabat. Car je suis convaincu que d’ici un ou deux ans, les gens se rendront compte de tout le potentiel de cette ville et voudront s’y implanter. On remettra alors peut-être ce projet sur la table, mais pour l’instant il n’est plus possible de le financer. »

Hébergé dans une bâtisse de 600 mètres carrés, surplombée d’une terrasse de près de 200 mètres carrés, le tout implanté à deux pas du quartier de Design District, cet espace est désormais proposé à la location pour des événements en attendant de trouver un repreneur.

Dansez sur le meilleur de l’électro française le 7 octobre à Brooklyn

Après deux soirées qui affichaient complet à l’Avant Gardner, le collectif Maison Disco est de retour le vendredi 7 octobre au Brooklyn Monarch pour célébrer la musique électronique française et son héritage.

Les deux DJs du soir, Sasha Rome et Ÿas, vous feront danser sur les classiques de Daft Punk, Justice, Cassius, Kavinsky, sur les sons plus récents de Yuksek, Polo & Pan, Gesaffelstein, et ceux de producteurs internationaux inspirés de la French Touch comme Purple Disco Machine, Chromeo et Boys Noize.

https://www.instagram.com/p/CiczzftLwZ8/

Maison Disco est une expérience auditive mais aussi visuelle : les organisateurs vont feront entrer dans un décor inspiré du musée du Louvre avec statues en marbre et colonnes anciennes.

Les tickets « Early Bird » ne sont plus disponibles. Places « General Admission » toujours en vente ici.

Les Macron à la Maison Blanche en décembre

Entre Joe Biden et Emmanuel Macron, « la boucle est bouclée » écrit le Washington Post. Leur relation, mise à mal l’an dernier après l’annonce par les États-Unis d’un accord de partenariat de sécurité avec l’Australie et de la vente de sous-marins nucléaires au détriment de la France, s’est bien réchauffée depuis. Au point que le président français et son épouse Brigitte seront reçus à la Maison Blanche le jeudi 1er décembre, en grande pompe : un dîner d’État sera donné en leur honneur, le premier de la présidence Biden. 

Cette visite « soulignera la relation profonde et durable entre les États-Unis et la France, notre plus vieil allié », a déclaré Karine Jean-Pierre, la porte-parole de la Maison Blanche – elle-même originaire de la Martinique. « Les dirigeants discuteront de notre partenariat étroit et continu sur les défis mondiaux communs et les domaines d’intérêt bilatéral. »

Depuis la « maladresse » – mot de Joe Biden – de son administration dans la gestion de la crise de l’an dernier, le président américain n’a pas tari d’éloges à l’égard d’Emmanuel Macron, perçu comme l’allié européen le plus solide face à la guerre menée par la Russie en Ukraine depuis sept mois. Lors de l’Assemblée générale des Nations unies la semaine dernière à New York, les deux dirigeants ont semblé sur la même ligne pour condamner l’escalade de Moscou et rejeter la responsabilité des crises alimentaires et énergétiques sur Vladimir Poutine. 

Les Macron encore premiers

Les Macron avaient déjà été les premiers à inaugurer les dîners d’État de la présidence Trump en 2018. L’ancien président américain, impressionné par le 14-Juillet qui lui avait offert Emmanuel Macron quelques mois plus tôt à Paris, avait fait les choses en (très) grand : tapis rouge, 21 coups de canon, cérémonie avec l’orchestre de l’Opéra national de Washington avant un diner d’État de 150 personnes –  vins fins et tarte aux nectarines infusée de miel de la Maison Blanche notamment au menu. La veille, les Macron avaient eu droit au survol de la capitale fédérale en hélicoptère et à un dîner au Mount Vernon, domaine du premier président américain George Washington.

Joe Biden optera peut-être pour un cérémonial plus sobre, mais il aura le souci de montrer la vitalité de sa présidence. Comme le rappelle la presse américaine, le dirigeant américain garde en mémoire le scepticisme de ses partenaires du G7 l’an dernier, quand il leur a assuré que l’Amérique était « de retour » (« America is back »). « Pour combien de temps ? » lui ont répondu en chœur ses homologues, Emmanuel Macron en tête.

À l’École Bilingue de Berkeley, une rentrée sous le signe de la neurodiversité

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[Article partenaire] L’École Bilingue de Berkeley, située à quinze minutes de San Francisco, est une école d’immersion bilingue de la maternelle à la quatrième où les élèves apprennent en français et en anglais.

Chaque jour, les élèves apprennent à parler, écrire et penser dans deux langues, devenant ainsi des apprenants ouverts d’esprit et adaptables qui découvrent le meilleur d’eux-mêmes tout en respectant les différences des autres. C’est grâce à cette philosophie que l’école a organisé en septembre, pour la deuxième année consécutive, une semaine de la neurodiversité.

La neurodiversité, qu’est ce que c’est ?

C’est l’idée que les êtres humains vivent et agissent dans le monde de manière différente parce que leurs cerveaux ne fonctionnent pas exactement de la même façon. Il n’y a pas de « normale » ou de « meilleure » façon de penser, d’apprendre ou d’interagir. Apprendre plus lentement, ou différemment, appartenir à une minorité, c’est accepter la différence et ne culpabiliser personne. Cette vision unique a été développée par Judy Singer, sociologiste australienne. Elle a été la première à utiliser le mot « neurodiversity/neurodiversité » à la fin des années 90. Avec des nouveaux courants pédagogiques centrés sur l’enfant, on observe de plus en plus que les élèves ne peuvent pas tous rentrer dans la même norme. Judy Singer, en utilisant ce terme, montre que ceux qui ne s’adaptent pas à cette norme ne sont pas inférieurs, n’ont pas des troubles, ne sont pas déficitaires, mais simplement différents, atypiques. On parle d’intelligences multiples.

C’est ainsi que toute l’équipe enseignante de l’École Bilingue de Berkeley a lu cet été : Neurodiversity in the classroom de Thomas Armstrong. Former les enseignants sur la neurodiversité est essentiel, car c’est comprendre que les différences d’apprentissage peuvent être une force pour la classe et apprendre à accompagner au mieux les élèves dans leur parcours scolaire. Les enseignants de l’École Bilingue s’arment de nouvelles techniques pour mieux accompagner leurs élèves et peuvent dès à présent reconnaître les forces de ces différences neurodéveloppementales (TDAH, Autisme, Dys) plutôt que leurs défis.

C’est un véritable changement de perspective, où chaque élève est valorisé. Les élèves et parents sont aussi impliqués dans cette transformation. C’est pourquoi, l’année dernière, l’École Bilingue a célébré sa deuxième semaine de la neurodiversité.

Une équipe de professionnels au service des familles et des enseignants

Cette année, l’équipe de Soutien d’EB est composée de dix professionnels :

Une coordinatrice d’équipe et spécialiste de l’apprentissage français, une spécialiste de l’apprentissage américaine, une orthophoniste française, deux psychologues américains, une enseignante spécialisée en FLE (Français Langue Étrangère) et ESL (English as Second Language), et deux coordinatrices des programmes scolaires (une française et une américaine) ainsi que les directeurs de division qui harmonisent les parcours entre l’élémentaire et le collège.

Ces experts interviennent dans les classes, en petits groupes, ou travaillent individuellement, selon les besoins. Certains sont francophones, d’autres travaillent en anglais ou en bilingue pour servir tous les types de situations. Le soutien est académique, en français et anglais mais pas seulement ! À l’école Bilingue de Berkeley, le bien-être physique et émotionnel des enfants est primordial. Grâce à un programme socio-émotionnel bilingue, les élèves apprennent à gérer les conflits et leurs émotions. Ce programme inclus dans les pratiques de classe est essentiel pour former les citoyens de demain.

L’École Bilingue de Berkeley est une école inclusive où tous les enfants se sentent accueillis et soutenus. Avec 418 élèves de la toute petite section (2ans) à la 4ème, l’école est homologuée par l’AEFE (Agence pour l’Enseignement Français à l’Étranger) et accueille une population internationale dont à peu près 30% de familles françaises. La mission de l’École Bilingue de Berkeley est de former des élèves créatifs et multilingues, prêts à se saisir avec confiance des bienfaits et des défis d’un monde interconnecté.

Si vous voulez en savoir plus sur l’École Bilingue de Berkeley et son programme bilingue, visitez leur site.

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