Vous êtes entrepreneur aux États-Unis ou souhaitez le devenir ?
Entreprendre aux États-Unis implique différents point de vigilance, notamment au niveau légal : – Comment structurer une entreprise américaine ? – À partir de quand faut-il payer des impôts américains ? – Comment les lois internationales s’appliquent-elles à vous ? – Comment protéger votre propriété intellectuelle ?
Rejoignez-nous en ligne le vendredi 16 septembre prochain pour une webconférence dédiée à ces questions, en compagnie de Daniel Koburger et Alexandre Leturgez-Coianiz de KBL Roche. Vous aurez l’occasion de poser vos questions en direct.
Cette conférence vous est proposée dans le cadre du salon en ligne « Bien Vivre aux États-Unis ».
Pour un·e Français·e s’expatriant aux États-Unis, le système de santé américain peut être déboussolant. Quelle couverture santé choisir pour se protéger ? Comment optimiser les coûts de cette couverture ? Comment éviter les mauvaises surprises ?
Rendez-vous en ligne le jeudi 15 septembre pour une webconférence gratuite dédiée à ce sujet crucial.
Eric Thoby, expert chez AgoraExpat, vous expliquera tout ce qu’il y a à savoir sur le système de santé américain et répondra à vos questions en direct.
Cette conférence vous est proposée dans le cadre du salon en ligne « Bien Vivre aux États-Unis ».
La rentrée s’annonce croustillante en Floride. French Morning organise une nouvelle édition de son concours de la meilleure baguette et du meilleur croissant, en partenariat avec la French American Association of Crafts and Trades (FAACT).
Cette grande finale aura lieu le dimanche 23 octobre au National Hotel de Miami Beach. Un jury de professionnels désignera la meilleure baguette et le meilleur croissant 2022 (Grand Prix). Le public (c’est vous !) pourra se promener de stand en stand pour se faire sa propre opinion (il y aura aussi de la charcuterie, du fromage et du vin) et voter lui aussi pour sa Best Baguette et son Best Croissant (Fan Prize). Les billets, pour participer à la finale, sont à réserver dès maintenant ici.
Cette semaine, pour ouvrir la saison 4 du podcast French Expat, nous vous proposons de découvrir l’histoire de Justine établie dans le Nord des États-Unis. Justine a 30 ans, mariée à l’homme de sa vie Michael, maman comblée de 3 enfants, et à la tête d’une entreprise de création de nœuds en tous genres pour les enfants, French Cuties.
Après avoir passé près de 10 ans près de New York, elle s’installe dans le Wisconsin. Des mentalités parfois bien différentes, une diversité un peu moins importante mais Justine et sa famille aiment leur vie en banlieue de Milwaukee. Ils l’adorent même. Détenteurs de green card, fameuses cartes de résident permanent aux États-Unis, Justine et son mari envisagent même de devenir américains comme leurs enfants. Tout va bien donc.
Pourtant, le 10 juin dernier, Justine se réveille nauséeuse. Elle a un léger retard de règles, et surtout une grosse intuition. Quelques heures plus tard, sa suspicion est confirmée : elle est enceinte. Pour la 4ème fois. Une grossesse non désirée, non planifiée à laquelle elle décide de mettre un terme. Et là, commence une course contre la montre. Alors que l’on sait que la Cour suprême américaine s’apprête à révoquer le droit à l’avortement dans les jours qui suivent, elle se heurte à des professionnels qui refusent de l’aider. Aujourd’hui, Justine nous raconte son cheminement à travers le Wisconsin et l’Illinois, à la fin de cette deuxième semaine de juin, avec son mari.
Les ressources en ligne dont Justine parle dans l’épisode sont les suivantes :
C’est une tradition bavaroise qui perdure depuis plus de deux siècles. Créé lors des noces du prince Louis de Bavière et de la princesse Thérèse de Saxe-Hildburghausen, l’Oktoberfest de Munich, le plus grand évènement consacré à la bière, a depuis largement essaimé, s’exportant chaque année aux quatre coins du globe. La Floride est notamment de la partie.
À Wynwood, on prend les devants. Le quartier du street art de Miami accueillera la fameuse fête de la bière du vendredi 9 au dimanche 11 septembre au Wynwood Marketplace. Trois jours de festivités durant lesquels vous pourrez entrechoquer vos pintes mousseuses et déguster des spécialités bavaroises, tout en écoutant de la musique traditionnelle. 2250 NW 2nd Ave, Miami – (305) 461-2700 – Infos et réservation ici
Se targuant d’être la plus ancienne fête de la bière en Floride, l’Oktoberfest Miami enchaînera deux week-ends de célébration. Organisée depuis plus d’un demi-siècle par l’association culturelle allemande German-American Social Club of Greater Miami, cette manifestation festive sera animée par des chants traditionnels, des costumes bavarois, sans oublier les innombrables chopes de bière bien remplies. Du vendredi 14 au dimanche 16 octobre et du vendredi 21 au dimanche 23 octobre – 11919 SW 56th St, Miami – (305) 552-5123 – Infos et réservation ici
Oktoberfest Miami.
Les amateurs de houblon se presseront également au Regatta Park dans le quartier de Coconut Grove, où se tiendra le Grovetoberfest qui fait son grand retour. Les organisateurs de cet évènement vous mettront littéralement dans l’embarras du choix puisque pas moins d’une centaine de variétés de bières, dont certaines venues tout droit d’Allemagne, seront proposées à la dégustation. Samedi 5 novembre de 2pm à 7pm – 3500 Pan American Dr, Miami – Infos et réservation ici
Les effluves de blondes, de brunes ou encore d’ambrées chatouilleront par ailleurs les narines du côté de l’Evelyn Greer Park à Pinecrest, dans le sud de Miami, qui prendra des airs de biergarten lors du Pine-toberfest Beer Festival. Une demi-douzaine de food trucks seront également au rendez-vous pour un dîner gourmand sur fond de musique live. Samedi 1er octobre de 5pm à 9pm – 8200 SW 124th St, Pinecrest – (305) 234-2121 – Infos et réservation ici
Les membres du German American Club à Hollywood quant à eux porteront un toast à la gemütlichkeit, cette expression allemande qui décrit une sensation de bien-être. À grand renfort de pintes de bière bavaroise, l’association culturelle vous permettra de maintenir un état d’esprit positif à l’occasion de son Oktoberfest qui se jouera en trois actes. Les samedis 24 septembre, 8 et 22 octobre de 6pm à 11pm – 6401 Washington St, Hollywood – (954) 322-6227 – Infos et réservation ici
Oktoberfest Oakland Park.
Chemises à carreaux recommandées du côté d’Oakland Park, près de Fort Lauderdale, où la fête de la bière prendra ses quartiers du vendredi 7 au dimanche 9 octobre dans le Jaco Pastorius Park. Ce sera l’occasion d’engloutir plusieurs bretzels et de lever bon nombre de chopes de bières tout en criant « prost ! », qui signifie « à votre santé ! » dans la langue de Molière. Du vendredi 7 au dimanche 9 octobre – 4000 N Dixie Hwy, Oakland Park – (954) 630-4500 – Infos et réservation ici
Les breuvages houblonnés couleront par ailleurs à flots dans une ambiance décontractée à Lake Worth où l’American German Club of the Palm Beaches mettra les petits plats dans les grands – ou plutôt les galopins dans les chopines – le temps d’une fête de la bière qui s’étalera sur deux week-ends. Du vendredi 7 au dimanche 9 octobre et du vendredi 14 au dimanche 16 octobre – 5111 Lantana Rd, Lake Worth – (561) 967-6464 – Infos et réservation ici
Musique live, saucisses, bretzels chauds et autres spécialités allemandes que vous ferez glisser avec une gorgée de bière, ainsi que danses et musiques folkloriques : ce sont les ingrédients du cocktail détonant concocté par l’association culturelle German American Society of Central Florida à Orlando qui, pour rien au monde, ne manquerait cette célèbre fête bavaroise. Les samedis 1er et 22 octobre de 12pm à 10pm – 381 Orange Ln, Casselberry – (407) 834-0574 – Infos et réservation ici
Vous pourrez également relâcher la pression ou au contraire la saisir au Curtis Hixon Waterfront Park dans la baie de Tampa, mais aussi déguster quelques plats typiques de la cuisine allemande. Au programme également, différentes animations, dont le stein hoisting qui consiste à tenir une chope de bière le plus longtemps possible, bras tendu, ou encore un concours durant lequel les hommes tenteront de séduire le jury en affichant leur plus belle barbe ou moustache. Du vendredi 7 au dimanche 9 octobre – 600 N Ashley Dr, Tampa – Infos et réservation ici
Si le mot « crédit » peut faire peur en France, il n’en est rien aux États-Unis.
Les Français en font généralement l’expérience une fois arrivés de l’autre côté de l’Atlantique, et ont souvent du mal à comprendre ce que représentent le credit score ou encore le credit history.
Pourtant, ces notions sont très importantes et les comprendre est indispensable pour vivre aux États-Unis.
Pour vous aider à y voir plus clair, nous vous donnons rendez-vous le mercredi 14 septembre pour une webconférence gratuite en compagnie d’Alexandre Quantin, vice-président d’USAFrance Financials, cabinet de gestion privée qui assiste la communauté francophone aux États-Unis dans le cadre de leurs problématiques patrimoniales internationales.
Un moment sera dédié à vos questions en direct.
Cette conférence vous est proposée dans le cadre du salon en ligne « Bien Vivre aux États-Unis ».
Si vous êtes expatrié·e – ou si vous souhaitez partir vivre aux États-Unis, vous n’êtes pas sans savoir que les questions de visas peuvent rapidement devenir un frein à l’expatriation, et qu’il est facile de s’y perdre entre toutes les options.
De plus, les visas comme le E2 par exemple n’ont qu’une durée limitée et nécessitent de nouvelles démarches administratives au bout de quelques années.
Alexandra Merz, CEO de L&F Investor Services, le partenaire des entrepreneurs pour réussir une immigration aux Etats-Unis, s’est exprimée sur le sujet lors d’un webinaire gratuit d’une heure organisé le 7 septembre 2022. Elle a mis en lumière une solution durable : la carte verte EB2-NIW.
Alexandra a notamment répondu à ces questions : – Qu’est-ce que la carte verte EB2-NIW, et depuis quand existe-t-elle ? – Faut-il forcément avoir recours à un avocat pour obtenir une carte verte ? – Combien de temps pour recevoir le précieux sésame ? – La carte verte EB2-NIW est-elle valable pour tous les membres de la famille ? – Combien coûte un dossier, et quelles sont les chances de réussite ?
Depuis l’arrivée de l’administration Biden à la Maison Blanche, quels ont été les changements dans la politique d’immigration américaine ? Quels impacts sur les candidatures à l’immigration à venir pour 2022 et 2023 ?
Rendez-vous en ligne mercredi 14 septembre pour une webconférence gratuite sur ce thème avec Maître Sophie Raven.
Maître Raven est une avocate francophone ayant plus de 17 ans d’expérience dans la pratique du droit d’immigration américain, et pratiquant dans le but d’aider les ressortissants étrangers et leurs employeurs -ou des membres de leurs familles- à venir aux États-Unis pour y travailler et y vivre, soit de façon temporaire, soit permanente.
Cette conférence vous est proposée dans le cadre du salon en ligne « Bien Vivre aux États-Unis ».
Que ce soient les carrières des Baux-de-Provence (Carrières des Lumières), la base sous-marine de Bordeaux avec ses quatre bassins miroirs (Bassins des Lumières) ou encore l’ancienne fonderie à Paris (Atelier des Lumières), les lieux d’expositions immersives de Culturespaces sont souvent insolites, toujours spectaculaires. À New York, le groupe français a une nouvelle fois déniché un espace inattendu : une ancienne banque pour immigrés catholiques irlandais, l’Emigrant Industrial Savings Bank. Situé aux 49-51 Chambers Street dans le quartier du Civic Center, l’imposant bâtiment de style Beaux-Arts a longtemps été délaissé faute de projet à sa hauteur. 3000 mètres carrés de surface qui ne demandaient qu’à revivre et qui accueillent désormais le Hall des Lumières. Et c’est l’exposition « Gustav Klimt: Gold In Motion » qui inaugurera, le mercredi 14 septembre, ce premier centre permanent d’art numérique de Big Apple.
« Nous recherchons toujours des lieux emblématiques et iconiques, explique Fouques d’Aboville, Directeur international de Culturespaces depuis 5 ans. C’est systématiquement au moins un an de travaux ». En l’occurence, ceux de New York auront duré deux années. Le bâtiment, classé monument historique en 1985 par la Landmarks Preservation Commission, date de 1912 et constituait à l’époque la plus grande banque des États-Unis. Les New Yorkais découvraient l’architecture en « H » des gratte-ciel, une construction propice à la pénétration de la lumière, si recherchée à l’intérieur des skycrappers.
La banque a quitté son siège en 1965 et l’a vendu à la ville, qui l’a utilisé comme bureaux municipaux. En 2013, le maire Michael Bloomberg cherchait (déjà) à réduire les espaces de bureaux dans Manhattan. Le bâtiment a été revendu au groupe immobilier Chetrit pour 89 millions de dollars. Les deux tours ont été depuis converties en appartements de luxe et l’architecture centrale, salle principale de la banque historique, louée il y a deux ans à Culturespaces et à son partenaire new-yorkais l’agence IMG. Le montant du lease reste confidentiel. « Chaque nouveau projet est un défi, on a une base de coûts évidemment très importante », reconnaît Fouques d’Aboville.
L’Emigrant Industrial Savings Bank a été gardée « dans son jus » et, comme dans les sept autres espaces des Lumières de Culturespaces, intégrée dans la création immersive. Les portraits et paysages lumineux de Gustav Klimtépousent ainsi l’architecture du lieu, des murs de marbre aux colonnes monumentales, jusqu’aux anciens guichets XIXème de la banque. Chacune des frises et corniches est incorporée dans le projet numérique.
« L’exposition nous entoure du sol au plafond, tous les éléments du décor sont animés », souligne Foulques d’Aboville. Nous avons une installation technologique exceptionnelle et extrêmement complexe. Sans se vanter, c’est ce qui se fait de mieux au monde. » Maintes fois copié – on se souvient du cafouillage de l’an dernier avec la prolifération des expositions immersives sur Van Gogh – mais fort de dix années d’expérience, le pionnier des centres d’art numérique reste imbattable côté moyens avec 130 vidéo-projecteurs installés dans tous les recoins du lieu.
Sous la houlette d’un Français bien connu à New York, Pierre Battu, récemment nommé General Manager du nouveau centre d’art, la découverte de l’exposition commence par l’ancienne salle principale de la banque. Vaste espace qui s’étend sur un block, de Chambers Street à Reade Street, ses plafonds à caissons de douze mètres de hauteur sont remarquables, garnis de panneaux de vitraux dont la plupart d’origine. Elle se poursuit sur la mezzanine, qui offre une vue plongeante sur cette salle impressionnante. La visite s’achève au sous-sol où la présence du coffre-fort historique avec sa lourde porte blindée confère une ambiance particulière. L’ancienne réserve à billets a été tapissée de miroirs où se reflètent les images de l’exposition « Recording Entropia » sur les vastes possibilités de l’esprit humain. Car en plus de l’exposition « longue » (environ une heure) consacrée à Gustav Klimt, des expositions « courtes » ou mi-projections seront également présentées, dont un film sur Friedensreich Hunderwasser, un architecte et artiste autrichien inspiré par Klimt, un autre sur l’histoire du bâtiment ou encore une création contemporaine du studio Nohlab intitulée 5 Mouvements – 5 différents types de mouvements corporels.
« On fait découvrir l’art aux visiteurs uniquement par l’immersion et par les sens », précise Foulques d’Aboville, en réponse aux critiques sur les expositions immersives, accusées de dénaturer l’œuvre des artistes. Une façon totalement différente de découvrir l’art qui intéresse un panel extrêmement large de personnes, que ce soient des amoureux de l’art et de la culture ou des gens qui ne mettent jamais les pieds dans un musée. Le visiteur est libre de déambuler comme il veut, il découvre aussi bien l’exposition que le bâtiment. »
Selon le responsable de Culturespaces, la digitalisation du processus des expositions répond également à la difficulté de monter de grandes rétrospectives. « C’est de plus en plus compliqué d’obtenir des prêts d’œuvres, les expositions temporaires se raréfient parce-que les coûts de transports augmentent, le prix des assurances également, les musées n’ont pas forcément la place suffisante… On ne s’est jamais présentés comme un musée. On apporte l’art dans une ville. Les gens viennent, apprécient ou non le concept », assure Foulques d’Aboville, avant d’ajouter que 9 visiteurs sur 10 apprécient l’expérience immersive, selon les sondages et réseaux sociaux du groupe. La liste des projets s’allongepour Culturesaces : après la France, la Corée du Sud, Dubaï, Amsterdam et New York cette année, les Lumières se porteront sur l’Allemagne. L’ouverture du Phoenix des Lumières à Dortmund est prévu pour la fin de l’année et le Port des Lumières à Hambourg en 2024.
Rendez-vous en ligne mercredi 14 septembre pour une webconférence dédiée à l’expatriation en famille, et plus particulièrement avec un.e ou plusieurs adolescent.es.
Nous aborderons notamment le sujet de l’orientation des jeunes expatriés, et trois expertes vous donneront les clés d’une expatriation réussie.
Avec :
– Joan Delmouly de Eureka Study. Joan est consultante en orientation scolaire, et accompagne des jeunes de 14 à 25 ans.
– Lorraine Favre de Lorraine Favre Coaching, coach parental accompagnant les parents dans leurs relations avec leurs enfants et ados, en conscience des besoins de chacun.
– Magdalena Zilveti de Intelligence Nomade, psychologue et art-thérapeute accompagnant enfants, adolescents et adultes.
Pour les familles françaises récemment installées dans la circonscription de New York ou pour celles dont la situation financière a brutalement changé depuis la clôture de la première campagne boursière le 25 février dernier, c’est le moment de déposer une demande de bourse scolaire. Le consulat de France à New York a lancé sa seconde campagne pour 2022-2023 : il acceptera les dossiers jusqu’au vendredi 16 septembre inclus. Cette campagne est également ouverte aux parents qui, pour une raison majeure telle une maladie, n’ont pas pu présenter leur dossier lors de la première campagne en janvier-février et à ceux qui souhaitent une révision de la décision prise à l’issue de la première campagne boursière.
Pour rappel, peuvent bénéficier d’une bourse, dans le cadre d’une scolarisation dans un établissement relevant de l’AEFE, les enfants qui remplissent les critères suivants :
être de nationalité française
résider avec leur famille (père et/ou mère, tuteur légal)
être inscrits au registre des Français établis hors de France, tout comme la personne qui effectue la demande de bourse (père, mère, tuteur)
pour ceux inscrits dans une école maternelle, être âgés d’au moins trois ans au cours de l’année civile de la rentrée scolaire
fréquenter un établissement homologué par le ministère de l’Éducation nationale ou, à titre dérogatoire, en cas d’absence, d’éloignement ou de capacité d’accueil insuffisante d’un établissement homologué, un établissement dispensant au moins 50% d’enseignement en français
fréquenter régulièrement les cours
au-delà de l’âge de scolarisation obligatoire (16 ans), ne pas avoir un retard scolaire de plus de 2 ans (excepté ce cas, l’attribution d’une bourse n’est pas subordonnée aux résultats scolaires).
Pour déposer un dossier au Consulat, il faut prendre rendez-vous. Le rendez-vous ne concerne que les première demandes. Pour les demandes de révision, le dossier peut être envoyé ou déposé au Consulat. La suite de la procédure : le Conseil consulaire des bourses se réunira début novembre, puis la seconde Commission nationale des bourses se réunira à Paris en décembre et avisera les familles de ses décisions fin décembre.
Rendez-vous en ligne mardi 13 septembre pour une webconférence gratuite dédiée à la gestion de patrimoine, la fiscalité et la retraite, entre la France et les États-Unis.
Trois experts vous donneront les informations nécessaires pour faire les bons choix.
Avec :
– Alexandre Quantin, Partner et directeur des investissements chez USAFrance Financials. Alexandre a plus de 10 ans d’expérience en gestion patrimoniale pour les Français aux États-Unis.
– Olivier Sureau, expert-comptable diplômé et CPA, co-fondateur de JADE FIDUCIAL, société de comptabilité et fiscalité pour les entreprises et particuliers français et américains basés notamment aux États-Unis
– Philippe Plantadi, en charge du développement sur les continents américain et européen chez Novelvy Retraite, cabinet privé qui accompagne ses clients dans l’information et l’accomplissement de leurs droits retraite
Cette conférence vous est proposée dans le cadre du salon en ligne « Bien Vivre aux États-Unis ».