Vous souhaitez acheter un bien immobilier aux États-Unis ? La Big Apple est depuis de nombreuses années l’objet de toutes les convoitises.
À l’occasion de notre salon en ligne “Bien Vivre aux États-Unis“, nous vous proposons lundi 12 septembre 2022 une conférence dédiée au marché immobilier new-yorkais.
Avec nos invités experts, Betty Benzakein d’HSBC et Yann Rousseau de Barnes, nous allons notamment aborder :
– Le processus d’acquisition et de location à New York
– Le point sur l’état du marché immobilier à New York City, dans le Westchester et le Connecticut
– Les formalités d’installation ou de “relocation”
– Les quartiers à privilégier
– Les différents produits immobiliers disponibles
– Le rôle de l’agent immobilier
Christopher Weissberg a entamé une vaste tournée au Canada et aux États-Unis afin de rencontrer les Français de la circonscription, sa première du genre depuis qu’il a succédé à Roland Lescure, début juillet, au poste de député des Français de l’étranger de la première circonscription. Il avait promis d’être « accessible à tous » et d’être « un députéde terrain », un engagement qu’il semble vouloir concrétiser en proposant de rencontrer tous ceux qui souhaitent faire connaissance et échanger sur « les priorités des Français en Amérique du Nord » et « les sujets qui s’annoncent pour la rentrée ».
Après le Canada, la Côte-Est des États-Unis et le Texas, Christopher Weissberg se rendra en Californie ce week-end. Il sera :
à Los Angeles les dimanche 4 et mardi 6 septembre, avec une étape à San Diego pour Labor Day, lundi 5 septembre. Le député participera notamment, le 6 septembre au consulat de LA, à une table ronde consacrée à l’industrie du cinéma et de l’audiovisuel à Hollywood, en présence de Français du secteur.
à San Francisco les jeudi 8 septembre et vendredi 9 septembre. Christopher Weissberg assurera notamment les permanences au consulat de SF le 9 septembre de 11:30am à 1pm.
Le détail des rencontres sera donné dans les prochains jours sur les réseaux sociaux du député.
Le musée d’art moderne de San Francisco fait sensation. Cet été, il a inauguré l’une des plus importantes expositions de ces dernières décennies sur le travail de l’artiste mexicain Diego Rivera. La rétrospective, intitulée « Diego Rivera’s America », présente la vision du peintre sur le Mexique et les États-Unis. Et elle la décline à travers plus de 150 œuvres d’art. Des peintures, dessins, croquis et fresques murales à admirer jusqu’au 02 janvier 2023.
Art et engagement social
L’exposition se concentre sur la prolifique production de Rivera entre les années 1920 et 1940. L’artiste est alors au sommet de sa carrière et ses peintures reflètent sa vision de l’Amérique. Des toiles inspirées par ses fréquents voyages et son amour de l’humain. « Rivera était profondément préoccupé par la transformation de la société et la formation de l’identité. L’identité mexicaine, bien sûr, mais aussi l’identité américaine, au sens le plus large du terme. Il croyait que l’art avait le pouvoir de changer le monde. C’est aujourd’hui un artiste essentiel à explorer dans une perspective contemporaine », explique le conservateur invité James Oles.
Son Amérique invite en effet à réfléchir à l’histoire et aux défis communs qui relient les hommes au-delà des frontières politiques. L’exposition met ainsi en lumière le goût de Rivera pour la culture populaire, la famille, le travail, la justice, la révolution industrielle et prolétarienne. Le tout dans des compositions réalistes aux couleurs intenses et aux formes arrondies.
Diego et Frida à San Francisco
La rétrospective s’organise par thématiques, selon les lieux que l’artiste a traversés et en fonction de ses sujets favoris. Une salle transporte par exemple le public à Tehuantepec, puis à Manhattan, quand une autre présente ses créations humoristiques pour le ballet moderniste H.P. (Horsepower). Deux salles consacrent par ailleurs San Francisco. On y découvre notamment les dessins préparatoires de sa célèbre fresque « Allegory of California » (1931) ou encore le mural « Still Life and Blossoming Almond Trees » (1931).
Ce choix met en valeur l’attachement de l’artiste à la ville et l’influence qu’il a encore sur toute la région. C’est là qu’il peint ses premières peintures murales aux États-Unis, dans les années 30. C’est aussi là qu’il se remarie avec Frida Kahlo en 1940, après un bref divorce. Trois portraits représentant leurs amis san franciscains et réalisés par Frida Kahlo sont d’ailleurs dévoilés.
Réunies pour la première fois, ces œuvres offrent un aperçu inédit de l’époque à San Francisco. Elles affirment également combien les deux artistes appartiennent à l’identité locale. Plusieurs évènements durant le mois de septembre – comme le festival Mini Mural ou la venue d’artistes en résidence – célèbrent cet héritage. Programme et infos ici. Enfin, n’oubliez pas avant de sortir du musée de passer voir la gigantesque fresque murale « Pan America Unity». Elle conclut parfaitement l’exposition et reste visible jusqu’à l’été 2023.
Le Armory Show est de retour au Javits Center, du vendredi 9 au dimanche 11 septembre et marque le coup d’envoi de la rentrée culturelle de New York. Durant trois jours, la foire accueillera plus de 240 galeries d’art contemporain venues de plus de trente pays, dont la France, ainsi que de nouveaux programmes, visites guidées, conférences et évènements artistiques.
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En septembre, le Roxie Theater de San Francisco programmera des classiques francophones à voir (ou revoir) avec plaisir. Du vendredi 2 septembre au jeudi 8 septembre, le cinéaste Krzysztof Kieślowski sera à l’honneur avec la projection de sa trilogie « Trois Couleurs: Bleu, Blanc, Rouge », réalisée en 1993 et 1994.
Porté par Juliette Binoche, « Bleu » raconte la reconstruction d’une femme après l’accident de voiture qui a coûté la vie de sa fille et de son mari. Ce film a été récompensé d’un Lion d’or à la Mostra de Venise. « Blanc » relate la séparation d’un Polonais et de sa femme française, incarnée par Julie Delpy. Ce film a reçu un Ours d’argent du meilleur réalisateur à Berlin. Quant à « Rouge », il traite de la solitude, le rôle principal étant tenu par Irène Jacob. Ce dernier volet de la trilogie a un palmarès impressionnant : trois nominations aux Oscars 1995, six nominations aux César 1995, et un César de la meilleure musique. Les films seront diffusés en français avec des sous-titres.
« Le charme discret de la bourgeoisie » de Luis Buñuel (1972) sera programmé du samedi 10 septembre au mercredi 14. Oscar du meilleur film étranger en 1973, il met en scène trois amis qui tentent vainement d’organiser un repas ensemble, mais qui en sont empêchés par des événements imprévus. Il met notamment en scène Stéphane Audran, Bulle Ogier et Jean-Pierre Cassel.
Pour son 21ème long-métrage, François Ozon renoue avec un cinéaste allemand qu’il admire : Rainer Fassbinder. « Peter Von Kant » est en effet une interprétation libre de la pièce de théâtre « Les Larmes amères de Petra von Kant », que Fassbinder avait écrite et adaptée lui-même à l’écran en 1972. Après « Gouttes d’eau sur pierres brûlantes », c’est la deuxième pièce de Rainer Fassbinder que François Ozon transpose sur grand écran.
Porté par Denis Ménochet et Isabelle Adjani, Peter Von Kant relate la passion dévorante de Peter (Ménochet) pour Amir, un jeune homme de 23 ans, que lui a présenté Sidonie (Adjani). L’actrice Hanna Schygulla, qui jouait l’objet du désir de Petra dans le film de Fassbinder, interprète ici la mère de Peter.
Ce film signe la troisième collaboration entre François Ozon et Denis Ménochet, après « Dans la maison » (2012) et « Grâce à Dieu » (2018).
Le film est projeté à travers les États-Unis, en particulier à New York (à l’IFC Center), San Francisco (à l’Opera Plaza), Los Angeles (au Laemmle Glendale), Chicago, Seattle, et à Washington DC (au Landmark Theatres).
Ce jeudi 1er septembre, c’est la rentrée des classes dans de nombreux pays. Pour certaines familles françaises et francophones, celles qui ont décidé de quitter leur pays pour vivre à l’étranger, cette période de l’année correspond à un nouveau départ. French Morning souhaite les accompagner avec un nouveau podcast à destination des enfants, afin d’aider les plus jeunes à bien vivre l’expatriation : « Romy et le grand déménagement ».
Ce conte moderne, la toute première fiction audio pour enfants sur le thème du départ à l’étranger, invite les familles à plonger dans l’histoire de Romy, une petite fille de cinq ans qui apprend, par ses parents, qu’elle va quitter sa vie en France pour vivre aux États-Unis. Incarnée par Lucy Mancuso, une jeune expatriée française établie en banlieue de Denver (Colorado), Romy est chamboulée par ces changements annoncés. Elle a peur de la nouvelle vie qu’on lui propose, elle est nostalgique de son quotidien en France, elle ne comprend pas tout. Puis, progressivement ce tourbillon d’émotions laisse place à l’excitation et la joie, et c’est finalement accompagnée de sa famille que notre jeune héroïne s’expatrie et découvre sa nouvelle vie.
« French Morning fait partie du quotidien de milliers de Français vivant aux États-Unis depuis quinze ans, explique Emmanuel Saint Martin, fondateur et directeur général du French Morning Media Group. Nous les accompagnons dans l’aventure de l’expatriation, souvent en famille. En nous aventurant pour la première fois dans la production de fiction avec “Romy et le grand déménagement”, nous espérons faciliter ces moments cruciaux de transition pour toute la famille. »
Un outil pour le départ
Ce conte audio d’une quinzaine de minutes a été pensé comme un outil générateur de conversations au sein des familles affectées par l’expatriation. S’il existe beaucoup de contenus pour les adultes sur le départ, on en trouve assez peu adaptés pour les enfants qui suivent leurs parents. « J’espère que cette histoire audio pourra être une aide pour les parents qui ont pour projet d’immigrer en famille. Que les enfants se reconnaîtront dans l’histoire de la petite Romy. Je vois cet épisode comme un outil, un support pour les familles et une façon légère d’aborder un grand changement qui peut générer quelques angoisses aux enfants, indique l’autrice, Fanny Jolly. C’est ainsi que j’ai eu envie de créer le personnage de Romy. » Fanny Jolly vit dans le Wisconsin au Nord des États-Unis depuis 2016 avec son mari et leurs trois filles. Originaire de Haute-Marne, cette jeune maman qui a grandi entre Clefmont et Chaumont raconte que lorsque son mari et elle ont décidé de s’expatrier, elle a vite constaté qu’il n’y avait pas de livre dédié au sujet de l’immigration pour les enfants.
Un conte audio par des Français d’Amérique du Nord
Fidèle à sa mission de fédérer les Français d’Amérique du Nord, French Morning a eu à cœur de collaborer avec des Français, des francophones et des francophiles établis aux États-Unis afin de donner vie à cette histoire. Ainsi les acteurs sont installés dans le Massachusetts et dans le Colorado, l’autrice vit dans le Wisconsin et la réalisatrice dans le Colorado.
L’histoire de « Romy et le Grand Déménagement » a été imaginée et écrite par Fanny Jolly. Cette histoire a vu le jour grâce aux voix de Lucy Mancuso dans le rôle de Romy, Benoit Cavard dans le rôle de Papa, Tuyen Bui-Lally dans le rôle de Maman, Colette Lemarie dans le rôle de Maminou et Cécilia Vernes dans le rôle de la maîtresse d’école. Cette histoire est racontée et réalisée par Anne-Fleur Andrle. Enfin, cet épisode a été habillé et mixé par Alice Krief.
Pour terminer la saison en beauté, ce n’est pas un « French Expat » que je vous propose d’écouter mais bel et bien le British qui aime se moquer des Français et qui en a même fait son métier. Aujourd’hui, l’humoriste Paul Taylor nous raconte comment l’expatriation, dans son enfance, a eu un impact sur l’adulte qu’il est devenu. Il revient sur son arrivée et sa vie en France. Avec beaucoup de tendresse, Paul Taylor lève le voile sur son parcours aux quatre coins du globe. Témoignage sans filtre, drôle et… ça fait du bien d’entendre Paul Taylor de l’autre côté du micro !
Crédit photo : Laura Gilli
Réalisation : Anne-Fleur Andrle
Habillage & Mixage : Alice Krief
Si vous venez d’arriver aux États-Unis ou projetez d’y immigrer bientôt, vous avez certainement commencé à vous renseigner sur les principales démarches à faire et les milles choses à préparer. Mais quoi de mieux qu’une discussion avec des personnes qui ont vécu cette situation pour vous aiguiller sur les choses à ne pas oublier ou à prioriser ?
Lors d’un salon en ligne organisé du 12 au 16 septembre 2022, French Morning vous propose notamment une conférence intitulée “L’arrivée aux US : bons plans d’expats”, lors de laquelle vous aurez l’occasion de rencontrer virtuellement des expatriés francophones installés aux États-Unis.
Formalités administratives, budget, écoles, choc culturel : les intervenants vous partageront leur expérience et répondront à vos questions en direct.
Vous avez pu bénéficier de conseils d’experts pour bien comprendre le fonctionnement de l’assurance santé aux États-Unis et optimiser les coûts de votre protection santé.
Les experts d’AgoraExpat ont traité des spécificités du marché américain, des différents types de couvertures santé proposés, ainsi que du lexique de l’assurance santé américaine (notions de “deductibles”, “co-payment”, “co-insurance” et “out of pocket”).
Nous avons également abordé la notion de “market place”, et parlé de la CFE (Caisse des Français de l’Etranger) et de son fonctionnement.
Christopher Weissberg a entamé une vaste tournée au Canada et aux États-Unis afin de rencontrer les Français de la circonscription, sa première du genre depuis qu’il a succédé à Roland Lescure, début juillet, au poste de député des Français de l’étranger de la première circonscription. Il avait promis d’être « accessible à tous » et d’être « un députéde terrain », un engagement qu’il semble vouloir concrétiser en proposant un tête à tête de 15 minutes à tous ceux qui souhaitent faire connaissance et échanger sur « les priorités des Français en Amérique du Nord » et « les sujets qui s’annoncent pour la rentrée ».
Après le Canada et la Côte-Est des États-Unis, Christopher Weissberg passera la fin de la semaine au Texas. Il sera :
le vendredi 2 septembre à Houston, au consulat général de France, de 9:30am à 12pm, 777 post Oak Boulevard, Suite 600. Prendre rendez-vous ici. Le soir, à partir de 7:30pm, Christopher Weissberg propose de partager un verre au bar Kirby House, 1015 Gessner Rd., et de discuter du « sentiment des Français à Houston face aux actualités politiques et juridiques du Texas ».
le samedi 3 septembre à Austin, au Batch Café, de 9:30am à 11am, 3223 Manor Rd. Prendre rendez-vous ici; et en fin de journée, à partir de 6pm, le député propose de rencontrer la communauté française au Banger’s Sausage House & Beer Garden, 79 Rainey St.
Le député des Français d’Amérique du Nord, Christopher Weissberg, a entamé une tournée de la circonscription.
Pianiste prodige, Sofiane Pamart réconcilie les nouvelles générations à la musique classique. Après l’Accor Arena en novembre à Paris, il se produira à New York le lundi 5 décembre sur la scène du National Sawdust à Brooklyn, à Harvard, dans le Massachusetts le mardi 6 décembre et à Los Angeles le jeudi 8 décembre à la Masonic Lodge du Hollywood Forever Cemetery.
Le pianiste des rappeurs
Au début des années 80 en France, le piano c’était Richard Clayderman. La mèche blonde, le nœud papillon et le costard blanc, le pianiste invitait la musique romantique dans les chaumières. Et dans les ascenseurs. Et puis il y eut Hélène Grimaud, la pianiste, éleveuse de loups. Et évidemment, Yann Tiersen dont la bande originale du Fabuleux destin d’Amélie Poulain déclencha des vocations par milliers.
En 2022, il y a désormais Sofiane Pamart. Dit « le pianiste des rappeurs ». Un look teinté de Gucci et Versace. Des lunettes noires. À 32 ans, l’homme, qui ne quitte jamais son piano, dépoussière un milieu souvent hermétique au grand public.
« Le piano et moi, c’est une histoire qui commence à l’âge de 4 ans, explique Sofiane Pamart. Sur mon petit clavier-jouet, j’avais répété la mélodie du Parrain, du compositeur Ennio Morricone. Ma mère a tout de suite compris que j’avais l’oreille absolue. C’est comme cela que j’ai atterri au Conservatoire de musique de Lille à 6 ans. »
Le langage de la musique
Petit-fils d’immigré marocain, arrivé sans un sou, et disparu dans les mines du Nord de la France, Sofiane Pamart grandit aux côtés d’une maman professeur de lettres. « J’ai eu rapidement envie de reproduire ce que ma mère faisait. Dédier sa vie à la maîtrise d’un langage. Le mien était celui de la musique. La lire, l’écrire, voilà ce pour quoi j’étais destiné. » Ambitieux, poussé par une mère aimante et autoritaire, il se rêve en champion du piano. Le « Piano King », c’est lui. Il sera le meilleur du monde.
Rebelle avoué. Revanchard sur le coup du sort de son histoire familiale, il franchit une à une les étapes du Conservatoire. Son frère et sa sœur suivent le même exemple. Lui au piano, elle au violon. À 23 ans, il est médaillé d’or du Conservatoire de Lille et commence à faire entendre ses morceaux. « Rapidement j’ai compris que les gens s’identifiaient à mon parcours. En cassant les codes du milieu, j’ai compris que je réussissais à capturer l’attention d’un public. Mais je n’ai aucune envie de théoriser sur la question. La musique sans parole a ce pouvoir de libre interprétation totale. Chacun peut y construire sa propre histoire. »
Séduire les Américains
Fan absolu de Chopin, Ravel et Debussy, le pianiste se fait rapidement remarquer en collaborant avec les rappeurs de la scène française, Kery James parmi eux, Grand Corps Malade ou Joey Starr. « Le rap m’inspire depuis que je suis petit. Clamer haut et fort son succès quand rien ne vous y prédestine, cela me touche. Je fais partie de ces artistes des milieux populaires qui ont envie de réussir. Le rap véhicule une liberté que j’aime, et qui me construit. »
En 2019, Sofiane Pamart signe un premier album, « Planet », sacré disque d’or, enchaîne par une série de concerts où ses compositions personnelles font mouche. « Composer est un exercice naturel. L’inspiration peut arriver à n’importe quel moment, confie le pianiste. Quand l’émotion arrive, j’essaie de la capturer immédiatement. Partout où je voyage, j’ai besoin d’un piano. Je ne peux pas m’en passer. » S’ensuit un second album, « Letter », sorti en février dernier et une première tournée solo. Au mois de novembre, il deviendra le premier pianiste soliste à remplir l’AccorHotel Arena, avant 3 concerts prévus aux États-Unis.
« C’est un voyage excitant qui se prépare, s’enthousiasme Sofiane Pamart. Beaucoup rêvent de conquérir les États-Unis. C’est un marché énorme, une montagne à gravir et il y a généralement peu d’élus. J’ai envie de séduire les Américains, de faire voyager ma musique sans parole. S’ils m’adoptent, il y aura un avant et un après, c’est sûr. »