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Bastille Day 2022 : où fêter le 14 juillet à San Francisco ?

Après deux années sans festivités, la fête du 14 juillet est de retour à San Francisco, et les manifestations pour célébrer la prise de la Bastille ne manqueront pas. Voici notre sélection.

L’incontournable kermesse d’Embarcadero

La fête battra son plein au cœur de San Francisco avec la reprise de la grande kermesse annuelle organisée par le Comité Officiel des Associations françaises de la Baie de San Francisco le samedi 16 juillet. À partir de 11am et jusqu’à 6:30pm, il y aura de la musique avec Bistro Moustache, Rue 66, Dernière minute, et & Friends Band, un tournoi de pétanque, des démonstrations de danses tahitiennes, des courses de garçons de café, une exposition de vieilles Citroën, des visites guidées et de nombreux stands de produits et commerces français. Plus d’infos.

Avec son assiette (et son verre !)

À San Francisco, sur Belden Lane, plusieurs restaurants de cette ruelle très agréable fêteront la fête nationale le jeudi 14 juillet de 5pm à 9:30pm, avec menus spéciaux, musique française et distribution gratuite de bérets. Les réservations sont recommandées chez Café Bastille, B44 Catalan Bistro, Sam’s Grill, Café Tiramisu, Leleka et Toy Soldier. Plus d’infos.

Musique, crêpes et vins seront à déguster sur Treasure Island le samedi 16 juillet de 1pm à 4pm. Crêpes et libations françaises seront au menu Treasure Island Wines, le tout accompagné en musique par le groupe Bistro Moustache. Plus d’infos.

Les restaurants Left Bank de Menlo Park, Larkspur et San José proposeront tous un menu spécial Bastille Day le jeudi 14 juillet, avec salade de tomates, fricassée de poulet, steak au poivre et clafoutis, le tout accompagné d’une dégustation de vins pétillants et champagne. Ces menus sont disponibles au déjeuner et au dîner. À Larkspur, on pourra profiter de musique live de 12pm à 8pm, tandis qu’un accordéoniste accompagnera le dîner à Menlo Park et San José. Plus d’infos.

Chez Amélie à Fairfax, le 14 juillet se fêtera le jour même, avec menu spécial, et concours de pétanque organise2 toute la journée. Plus d’infos.

En musique

Le Jazz Hot sera en concert au Mechanics Institute de San Francisco le jeudi 14 juillet de 7pm à 9pm. Au programme, du jazz manouche, dans la pure tradition du Quintette du Hot Club de France, fondé en 1934 par le guitariste Django Reinhardt. Plus d’infos.

Pour des sons plus électro, le DJ français Franky Boissy vera vibrer le rooftop du Charmaine à San Francisco le. jeudi 14 juillet de 5pm à 8pm. Plus d’infos. 

La soirée se poursuivra le même soir de 9pm à 2am au Barbarossa Lounge dans le Financial District, où les platines tourneront sous les mains expertes de plusieurs DJs , le tout accompagné de cocktails spécialement concoctés pour l’occasion. Plus d’infos.

Pour les nostalgiques des yéyé ou des pattes d’eph’, la soirée Bardot a Go Go se tiendra pour la 24e année au Rickshaw Stop de San Francisco le samedi 16 juillet à partir de 9pm. Au programme, les incontournables de la pop française des années 60 : Dutronc, Hardy, Gainsbourg, Polnareff et bien sûr BB!  Plus d’infos.

La French Restaurant Week fait son retour en juillet

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Il est temps de remettre le couvert. Après deux années de pause pour cause de pandémie, la French Restaurant Week fait son retour à New York du lundi 11 au dimanche 17 juillet. « J’ai mis tellement d’énergie dans ce projet. On ne pouvait pas tout arrêter », s’exclame Séverine Picquet, fondatrice de l’événement et présidente de l’agence de communication MPB Agency. Elle organisait, mercredi 6 juillet, une soirée de lancement de la plateforme de réservation au restaurant La Sirène SoHo.

Quatre restaurants participent à l’opération fondée en 2011 sur le modèle de la fameuse New York Restaurant Week : Bar Tabac (Carroll Gardens), Excuse my French (Lower East Side), La Sirène SoHo et La Sirène Upper West Side. Ils proposeront des menus à prix fixe pour le déjeuner et/ou le dîner.

Repartir de zéro après la pandémie

Relance oblige, le nombre de participants est moins important cette année que pour la dernière édition pré-pandémie, qui a rassemblé plusieurs dizaines de restaurants. « Cette année, l’organisation a été un défi pour plusieurs raisons. Beaucoup de restaurants ont fermé. Pour les autres, il y a eu une rotation importante dans les équipes. Certains n’ont pas assez de budget, de personnel…  Il a fallu quasiment repartir de zéro, reconnaît Séverine Picquet. Mais la French Restaurant Week est mon bébé. Il s’agit d’aider les chefs, mais aussi de faire la promotion de la France, mon pays. »

Didier Pawlicki, le patron de La Sirène, fait partie des chefs qui s’en sortent bien, mais la visibilité offerte par l’événement, suivi par près de 10 000 personnes sur Instagram, ne peut pas faire de mal. « On veut continuer à être dans le coup », dit-il. Pendant cette semaine tricolore, il servira un menu déjeuner à 30 dollars (steak tartare, saumon avec ragout de champignons…) et un dîner à 60 dollars. « Organiser une French Restaurant Week est une très bonne idée. On devrait faire une Japanese Restaurant Week et plein d’autres événements comme ça ! » À bon entendeur.

Le Bal Français joue les prolongations du 14 juillet

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Dans le cadre des célébrations du 14 juillet, Le Bal Français revient à Los Angeles pour sa troisième édition et joue les prolongations le samedi 16 juillet dès 9pm. Rendez-vous au club Los Globos, dans le quartier de Silver Lake, une adresse mythique à Los Angeles, ouverte dans les années 30 et qui logea successivemment l’American Legion hall, un club gay, un site de rave-partys ainsi qu’une discothèque à musique latino.

L’équipe du Bal Français et son DJ iconique, DJ Belekboy, feront danser les foules sur les sons de Stromae, Johnny, Sardou, Céline Dion mais aussi les Daft Punk, David Guetta, Aka Nakamura et Mylène Farmer. Et pour célébrer comme il se doit l’événement, un voyage A/R Paris/LA, en partenariat avec French bee, est à gagner.

Christopher Weissberg, le nouveau député «surprise» des Français d’Amérique du Nord

Une surprise. Christopher Weissberg sait qu’on ne va pas forcément le croire, mais il l’assure : malgré les rumeurs récurrentes qui l’ont donné maintes fois ministre, Roland Lescure ne s’attendait pas à être nommé dans le nouveau gouvernement Borne et lui, de fait, à devenir député. « Les gens ont l’impression que tout est écrit (en politique), alors qu’en fait, rien n’est écrit du tout. » Il rappelle volontiers que personne ne s’attendait avec certitude à ce que la majorité présidentielle soit minoritaire à l’Assemblée nationale et que ses piliers, comme Richard Ferrand au perchoir, soient battus aux législatives. « Il n’y avait pas de scénario écrit “je le prends comme suppléant, il sera député et moi je serai ministre. Le pouvoir ne marche pas comme ça. » 

Pas un hasard malgré tout si ce Franco-Américain de 36 ans a été choisi comme suppléant après son passage au cabinet de Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’État chargé du Tourisme, des Français de l’étranger et de la Francophonie et devenu ministre en décembre 2021 avec l’attribution en plus du portefeuille des PME. « Roland (Lescure) savait que j’avais l’expérience pour faire le job tout de suite et que je pourrai le faire bien. » Christopher Weissberg a passé un peu plus d’un an et demi au Quai d’Orsay, après avoir été le conseiller politique de Roland Lescure à la présidence de la commission des Affaires économiques au Palais Bourbon. Ce n’est d’ailleurs pas sa seule expérience en cabinet, ayant dirigé, entre ses 27 et 29 ans, celui de la vice-présidente du conseil régional d’Ile-de-France.

Député accessible à tous

Christopher Weissberg compte être un député de terrain, « accessible à tous les Français » installés aux États-Unis et au Canada. Il évoque souvent le pays voisin nord-américain qu’il connaît bien. Il a fait ses études au Québec, diplômé de l’Université de Montréal en Sciences politiques et Gouvernement et d’un master en droit de l’énergie, de l’environnement et des ressources naturelles. C’est encore au Canada qu’il s’est frotté aux journalistes, nommé en 2016 conseiller Communication et Relation presse aux Offices jeunesse internationaux du Québec, avant de diriger la campagne de Roland Lescure l’année suivante. Il a le contact facile avec la presse, et entend bien l’avoir auprès de ses compatriotes.

Rencontrer des Français dans des villes comme San Diego ou Springfield dans l’Illinois – exemples qu’il donne – est une priorité pour le nouveau député. Divorcé et père d’une petite fille de 6 ans domiciliée à Paris, Christopher Weissberg prévoit de partager son temps, à part égale, entre la France – l’Assemblée nationale – et les États-Unis. « Ma fille est avec moi une semaine sur deux », précise-t-il. Ses responsabilités parentales devraient donc rythmer son emploi du temps.

Les leçons des législatives

Les critiques à l’encontre de son prédécesseur – pas assez présent dans la circonscription -, exprimées dans les urnes lors des législatives le mois dernier, ont été entendues, assure le nouveau député. À lui de trouver l’équilibre entre les bancs de l’Assemblée nationale à Paris, là où s’effectuent les arbitrages politiques, et les rencontres de terrain dans la circonscription d’Amérique du Nord. « Évidemment, c’est plus dur d’avoir de la proximité quand on est député des Français de l’étranger que lorsqu’on est élu député de la Nièvre et qu’on a juste trois heures de route à faire pour aller dans sa circo. » 

Christopher Weissberg voit son travail de député comme celui d’un « documentariste » : aller voir et écouter des Français qu’on a peu ou pas l’habitude d’entendre – « ça fait partie de mes obsessions » dit-il -, des Français installés de longue date aux États-Unis, en dehors des grandes villes comme New York et Montréal. « Pendant la campagne, nous sommes allés à Buffalo (au nord de l’État de New York). On y a trouvé 60 Français, une communauté hyper intéressante, avec une valeur ajoutée énorme pour la France. Des gens qui ont des boîtes, loin des cœurs habituels, qui ont une influence très importante et qui apportent beaucoup. Ces gens, on ne les voit jamais. »

Développer le réseau Flam

Christopher Weissberg a deux autres priorités en tête : développer le réseau Flam pour tous ceux qui n’ont pas accès aux Lycées français – géographiquement ou financièrement – et poursuivre la modernisation des services consulaires, son autre « obsession » de début de mandat, en tentant notamment d’obtenir davantage de moyens. Dans ses cartons également, la création d’une nouvelle association des Français de l’étranger, plus proche de la majorité présidentielle. Une alternative, semble-il proposer, aux Français du Monde – réputée à gauche – et à l’Union des Français de l’étranger (UFE) – association ancrée à droite. Engagé très tôt derrière Emmanuel Macron, Christopher Weissberg a fondé le mouvement En Marche à Montréal. « J’étais son premier adhérent », aime à souligner Roland Lescure.

En attendant de devenir officiellement député le jeudi 4 août prochain, soit un mois après la nomination de Roland Lescure à Bercy selon la procédure officielle, Christopher Weissberg fêtera le 14 juillet à Saranac Lake, dans les Adirondacks. Les terres héritées de son grand-père, Juif new-yorkais installé dans cette région du nord de l’État après avoir vécu plusieurs années en France. Le jeune député, guitariste de jazz à ses heures perdues, jouera dans le restaurant français qu’il y a créé il y a douze ans, Left Bank Café, et y chantera la Marseillaise. Rien ne vaut un Bastille Day pour entamer une tournée dans sa nouvelle circonscription.

Vueling relie désormais la Californie à la France via Barcelone

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La compagnie aérienne lowcost Vueling vient d’ouvrir ses liaisons entre Paris, Nice, Bordeaux, Marseille et Lyon et les deux villes californiennes Los Angeles et San Francisco. Des vols qui proposent une escale de 5h45 maximum à Barcelone, via l’aéroport Barcelone El Prat, le trajet vers les États-Unis étant ensuite opéré par la compagnie Level (les compagnies Vueling et Level appartiennent au même groupe IAG).

Depuis l’aéroport d’Orly, les vols sont proposés les lundi, mercredi, jeudi et samedi vers Los Angeles et les mardi, jeudi, samedi et dimanche vers San Francisco. D’autres vols sont également programmés depuis l’aéroport de Nice Côte d’Azur, Bordeaux, Marseille et Lyon avec des départs vers Los Angeles et vers San Francisco à des jours similaires ou différents.

« La croissance du réseau nous permet d’offrir davantage de vols en correspondance aux voyageurs qui souhaitent se rendre dans ces destinations de la côte californienne via notre hub de Barcelone » explique Jordi Pla, le directeur du réseau Vueling.

Selon Lucía Adrover, Directrice Commerciale de Level, « grâce au réseau de connexions de Level et Vueling, nous apportons à nos clients un large éventail de destinations qui se connectent entre elles de manière simple et en une seule réservation. Toutes les lignes exploitées par Level sont programmées pour être en correspondance avec les lignes court et moyen-courriers de Vueling, de façon à ce que les clients de Vueling puissent réserver un vol vers Los Angeles ou San Francisco, avec une correspondance directe à Barcelone avec la ligne Level. »

Les réservations sont disponibles via les sites de Level et Vueling Global.

Charlotte et Jeremy : l’aventure sur les routes américaines pour choisir où vivre

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Alors qu’elle a toujours imaginé sa vie d’adulte en France et proche des siens, Charlotte consent, il y a un peu plus de dix ans, à assouvir un des rêves de son mari : vivre à l’étranger. Le jeune couple pose ses bagages quelques mois au Japon puis à Canberra en Australie. Après à peine une semaine passée loin de la France, Charlotte est conquise et s’imagine déjà vivre autour du monde.

Dans cet épisode de French Expat, nous retrouvons Charlotte et Jeremy dix ans plus tard à Los Angeles. Ils nous racontent comment ils ont réalisé leur rêve américain. On y découvre aussi la reconversion professionnelle de Charlotte qui, d’éducatrice de la petite enfance en crèche, est devenue danseuse de cabaret ! Aujourd’hui parents d’une petite fille de trois ans, ils viennent d’achever un périple de quelques 56 000 kilomètres en un an sur les routes américaines, avec pas moins de 23 États traversés et 63 villes visitées.

Charlotte et Jeremy nous partagent leurs découvertes et dévoilent le système d’évaluation des villes qu’ils ont développé en famille. Ont-ils trouvé la ville idéale pour leur famille ? Un épisode qui va vous faire voyager sur les routes de l’Amérique !

Retrouvez Charlotte et Jeremy sur leur chaîne Youtube.

Production :

  • Enregistrement et réalisation par Anne-Fleur Andrle
  • Habillage sonore et mixage par Alice Krief (Les Belles Fréquences)

[Vidéo] Les opportunités d’investissement dans la terre aux États-Unis

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Lors d’un webinaire d’une heure organisé le 6 juillet 2022, Pierre Rizk a abordé les sujets suivants :

– Les opportunités d’investissement dans la terre aux États-Unis avec l’entreprise francophone LandQuire

– Devenir actionnaire : découvrez les opportunités d’actionnariat chez LandQuire, pour profiter d’une plus-value importante à la revente de la société dans 3-5 ans (estimée à entre x5 et x10 de sa valorisation actuelle)

– Les événements à venir pour en savoir plus et s’impliquer

Visionnez le replay du webinaire sur notre chaine YouTube

? Inscrivez-vous gratuitement sur la marketplace landquiredeals.com, pour avoir accès à toutes les offres

? Pour bénéficier de votre consultation en ligne offerte avec Pierre Rizk, c’est ici
Vous pouvez également contacter Pierre par email à : [email protected]

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Bastille Day 2022 : où célébrer le 14 juillet à Los Angeles ?

À l’occasion de la Fête nationale, voici un petit tour d’horizon des meilleures adresses de Los Angeles pour célébrer Bastille Day comme il se doit.

Festivités du jeudi

Le Beverly Center mettra la France à l’honneur en parant son Grand Court de Bleu Blanc Rouge. Le jeudi 14 juillet après-midi, vous pourrez jouer à la pétanque, apprécier les danses de French Cancan, de la musique live et même du dessin. Une petite faim ? Pitchoun Bakery est là pour vous régaler avec ses éclairs glacés aux couleurs du drapeau français, ses croissants et ses tartes aux fruits. Pour les fashionistas, la marque française Maje offre à ses clients une pochette pour tout achat entre 300 et 500$, et un tote bag au-delà de 500$. Attention à ne pas partir sans aller saluer le concierge, une surprise attend tous les Français présentant leur passeport ! Beverly Center, 8500 Beverly Blvd, Los Angeles. De 2pm à 5pm.

Les éclairs aux couleurs de la France chez Pitchoun Bakery.

À quelques centaines de mètres de là, Mr Marcel vous offre une pause gourmande. Pour célébrer la fête nationale, l’institution française du Farmer’s Market propose au menu des spécialités culinaires méconnues aux États-Unis, comme l’andouillette à la moutarde, les ravioles de Royan ou le baba au rhum. Et pour parfaire ce petit bain de France, un accordéoniste jouera tout au long de la journée des airs du pays. Mr Marcel, The Original Farmers Market, 6333 W 3rd St #150, Los Angeles. De 11am à 9pm.

Autre option pour un petit gueuleton franchouillard : Garçons de Café. Le bistrot frenchy de Downtown décline pour ce 14 juillet les traditionnelles planches de fromages et charcuterie, accompagnées de bon pain (comme on aime), et de bon vins français (comme on aime aussi). Pour satisfaire tous les goûts et toutes les bourses, Garçons de Café propose 3 catégories de verre (10$/14$/18$), un blanc et un rouge pour chaque. Et s’il vous reste de la place pour une petite douceur sucrée, laissez vous tenter par leur crème brulée, que vous pourrez déguster au rythme de chansons françaises jouées lors d’un concert live. Garçons de Café, 541 S Spring, au sein de Spring St Arcade, Los Angeles. De 2pm à minuit. Pas de réservation nécessaire.

Coucou French Classes propose une soirée guinguette jusqu’au bout de l’envie. Au programme : dégustation de spécialités françaises et de vins naturels grâce au trailer de Vinovore, un caviste de Silver Lake qui ne travaille qu’avec des vigneronnes. Une fois sustenté, il sera temps de se dépenser. Pour ça, comptez sur une course de garçons de café dont le gagnant remportera un prix, et sur le DJ set d’Allison Ferrera pour faire chauffer vos pieds, et le dance floor. À la lumière des lampions et des étoiles, comme dans un bal de village. 2400 Hyperion Ave #1a, Los Angeles. À partir de 6pm. Entrée gratuite, pensez à confirmer votre venue en écrivant à adminla@coucoufrenchclasses.com.

Une fois n’est pas coutume, French Tuesday vous donne rendez-vous cette fois un jeudi pour leur traditionnelle soirée Bastille Day organisée en partenariat avec le Consulat général de France à Los Angeles. Les festivités auront lieu en soirée au restaurant La Bohême. Vous pourrez boire un verre ou dîner en terrasse, tout en regardant les danseuses de French Cancan du groupe Cabaret Versatile, sur les meilleurs sons français jusqu’à la première heure du 15 juillet. Fête nationale oblige, il est vivement conseillé de venir vêtu aux couleurs du drapeau française ! La Bohême, 8400 Santa Monica Boulevard, West Hollywood. De 7pm à 1am. Tickets (entre 18$ et 60$) à réserver ici.

Normandie Bakery est également de la partie. La boulangerie française, aussi connue à LA que sa chef Josette, propose un buffet campagnard de 5pm à 9pm, sur la terrasse de son établissement de West Adams : amuse-bouches, charcuterie, fromages, couscous, gratin dauphinois, bœuf bourguignon, et pour le dessert, une surprise du chef pâtissier ! Des vins au verre ou en bouteille sont disponibles à la carte, parfait pour apprécier les classiques de jazz français interprétés, rien que pour vous, en live par Sylvie Boisel. Normandie Bakery, 3022 S Cochran Ave, Los Angeles. De 5pm à 9pm. Tickets 39,50$, écrire à [email protected] pour réserver ou sur Instagram.

Du rab le samedi  

Forte du succès de la première édition, la boulangerie Sweet Lily organise de nouveau cette année un tournoi de pétanque le samedi 16 juillet. Rendez-vous à leur établissement dès 4pm, avec vos boules si vous en avez, pour constituer les équipes. En guise de bienvenue, un verre de Ricard est offert à tous les participants. Le gagnant repartira avec une bouteille de Pastis et un bon cadeau de 50$ de chez Sweet Lily. Le buffet salé (mini-croissants, tartines, tartes, sandwiches…) et sucré (éclairs, macarons, crêpes…) sera l’occasion parfaite de goûter vos favoris. Sweet Lily, 3315 Cahuenga Blvd W, Los Angeles. À partir de 4pm. Tickets à 50$ pour les adultes, 25$ pour les enfants de plus de 12 ans, gratuit pour les moins de 5 ans. Réservez jusqu’au 14 juillet par téléphone au 323 499 1888.

Frenchly Yours organise cette année la première Bastille Day Party à Orange County ! Pour l’occasion, la consule générale de France à Los Angeles, Julie Duhaut-Bedos, sera de la fête. Rendez-vous le samedi 16 juillet à 6pm à Santa Ana, au 1912, pour déguster des spécialités françaises (quiches, charcuterie, fromage, pains et pâtisseries), assister à un spectacle de French Cancan, et se déchaîner sur le dance floor au son de DJ Djemel Chergui. Le billet d’entrée, à 139$, comprend la participation à une tombola, avec la possibilité de gagner deux aller/retour pour Paris avec Tahiti Nui. Une partie des bénéfices sera reversée à l’association The Boys and Girls Club of Central Coast. The 1912, 305 North Spurgeon Street, Santa Ana. De 6pm à 10pm. Réservez vos billets (139$) ici.

Pour ceux qui veulent continuer de faire la fête, cap sur LA. Le Bal Français vous donne rendez-vous pour jouer les prolongations le samedi 16 juillet à partir de 9pm dans la mythique salle Los Globos à Silver Lake. DJ Belekboy aux platines, soyez prêt à vous déhancher toute la nuit sur les sons qui ont bercé votre enfance et adolescence, de Stromae à Johnny, en passant par Michel Sardou, Aka Nakamura, David Guetta, Mylène Farmer, et Céline bien sûr. Un voyage en France plus rapide (et moins cher !) qu’un aller/retour LAX/CDG. Et la bonne nouvelle, c’est qu’il y a vraiment deux A/R Paris/LA avec French Bee à gagner ! The Globos, 3040 Sunset Blvd, Los Angeles. À partir de 9pm. Réservez vos billets (entre 15 et 25$) ici.

Retrouver l’antre d’un super-héros à New York

Pour ce nouveau défi, Family Way vous donne rendez-vous en face de Grand Central Terminal au numéro 90 sur la 42nd Street. Vous vous situez alors devant le restaurant Pershing Square. Si vous êtes fan de Marvel, ce lieu peut vous rappeler une scène de bataille du film Avengers

New York, ville des comics 

Conçues à l’origine pour stimuler les ventes de journaux, proliférer des idées nouvelles, ces bandes dessinées américaines étaient intégrées à ce média. Puis du fait de leur succès, elles ont vite fait l’objet d’éditions spéciales.

Premier super-héros, Superman est né en 1938 après une publication dans Action Comics №1. Il sera rejoint par Batman un an plus tard. L’engouement pour ces super-héros a été immédiat. Ces personnages se déclinent sur de nombreux supports et intègrent la culture populaire. Imaginés par des firmes new-yorkaises (la plupart sont issus de DC Comics ou Marvel), créés par des auteurs locaux, évoluant dans des univers très similaires à Big Apple (Gotham, Metropolis), New York s’est imposée comme la ville des super-héros.

Le défi

Family Way vous propose de partir à la découverte de l’antre d’un super-héros. Pour cela, il vous suffit de chercher le bâtiment qui a accueilli Clark Kent, alias Superman, lorsqu’il travaillait ici comme journaliste. Pour cela, vous avez deux options. En longeant la 42nd street (côté des chiffres pairs) sans dépasser Tudor Grove Playground au numéro 328, vous pouvez rechercher un beau bâtiment Art Déco, reconnaissable par son inscription The news building au dessus de la porte d’entrée ou par sa façade sculptée représentant des travailleurs. Autre option, vous pouvez jeter un coup d’œil à l’intérieur des bâtiments et rechercher celui dont le lobby est décoré d’une très imposante maquette de la Terre accompagnée d’instruments météorologiques en laiton. Vous reconnaîtrez sans doute ce bâtiment filmé dans « Superman » sous le nom de Daily Planet. Si vous avez un doute, rendez-vous sur www.family-way.com.

Nos adresses de super-héros

Pour vous immerger dans l’univers des super-héros, rendez vous :

  • chez Forbidden planet. La boutique vous propose comics, figurines et toutes sortes de jouets et objets associés à ces univers fantastiques
  • dans l’un des deux magasins Midtown comics du quartier, l’un à Times Square et l’autre à Grand Central 
  • pour une visite guidée avec Top Dog Tour ou New York Off Road
  • chez Brooklyn superhero supply si vous voulez réussir à combiner un achat de costume de super-héros avec une bonne action en aidant des enfants à développer leurs talents d’écriture
  • à l’événement Comic Con du 6 au 9 octobre 2022. C’est l’occasion de rencontrer des artistes, des éditeurs, de découvrir des costumes, des jouets et d’autres passionnés
  • au Pershing Square pour une petite faim. Vous pouvez opter pour un pancake, un burger ou simplement un café.

 

« Carmen » de Bizet et une ribambelle d’opéras à Miami Beach

C’est l’un des opéras français les plus populaires et les plus joués au monde, « Carmen » de Georges Bizet est à l’affiche du Miami Beach Classical Music Festival qui se déroule jusqu’au dimanche 31 juillet dans plusieurs lieux de la ville.

Ayant suscité de nombreux scandales lors de ses débuts en 1875, l’ultime chef-d’œuvre du compositeur français de renom sera joué à deux reprises, les jeudi 21 et samedi 23 juillet à 7:30pm au Faena Forum (3300 Collins Ave, Miami Beach).

Organisé chaque été depuis plus de dix ans, ce festival de musique classique annonce par ailleurs la représentation de « La Flûte enchantée », le dernier opéra de Mozart, le dimanche 10 juillet à 2pm au Temple Emanu-El (1701 Washington Ave, Miami Beach), ainsi que « L’Or du Rhin » de Richard Wagner, le samedi 16 juillet à 7:30pm au Temple House (1415 Euclid Ave, Miami Beach).

Au programme également, « Le Songe d’une nuit d’été » de Benjamin Britten, l’opéra adapté de la pièce de théâtre homonyme du célèbre dramaturge britannique William Shakespeare. À voir ou revoir le vendredi 22 juillet à 7:30pm et le dimanche 24 juillet à 1:30pm au Faena Forum (3300 Collins Ave, Miami Beach).

Les amateurs du genre pourront également apprécier « L’Orfeo », composé au début du XVIIème siècle par Claudio Monteverdi. Considéré comme le premier chef-d’œuvre de l’histoire de l’opéra, cette création sera jouée le samedi 23 et le dimanche 24 juillet à 5pm au Faena Forum (3300 Collins Ave, Miami Beach).

Yann Coatanlem, l’ex-banquier new-yorkais qui croit à un capitalisme plus juste

Au détour du récent documentaire de Guy Lagache « Un président, l’Europe et la guerre », diffusé sur France 2 le 30 juin, on aperçoit un livre posé sur le bureau d’Emmanuel Macron. Le capitalisme contre les inégalités, le dernier ouvrage de Yann Coatanlem, Français de New York, figure bien connue de la communauté française locale, ancien directeur de l’analyse économique de Citigroup. Et surtout, depuis la sortie de son ouvrage en avril (co-écrit avec l’Espagnol Antonio de Lecea), un des économistes français en vue, écouté par ceux qui croient à un capitalisme réformable, plus juste et social. Et cherchent les solutions…

Réponse à Piketty

Emmanuel Macron n’est pas le seul lecteur de l’ouvrage. Il a été loué depuis sa sortie par nombre d’économistes de renom, d’Olivier Blanchard à Philippe Aghion. De son côté, Thomas Piketty, le très engagé auteur de Le Capital au XXIème siècle, référence de la dénonciation des inégalités, a entamé un échange par email avec Yann Coatanlem, discutant et contestant plusieurs de ses arguments. Ce n’est ni un hasard, ni pour déplaire à Yann Coatanlem : « la genèse du livre, c’est notre envie de répondre à Thomas Piketty, explique-t-il. Non pas son constat sur les inégalités -que nous partageons largement- mais ce qu’il préconise, c’est-à-dire taxer plus. Notre thèse c’est que taxer plus ne résoudra pas les inégalités, mais qu’il y a bien un moyen de réorienter le capitalisme pour lutter contre inégalités. »

Mais l’ouvrage qui en résulte va au-delà d’un pamphlet anti-Piketty. Il est bien plus sérieux, mêlant, en 500 pages, à la fois un traité d’histoire des inégalités et un mode d’emploi politique pour une croissance plus inclusive. Une double préoccupation dont la genèse est sans doute à chercher du côté du parcours des deux auteurs. Économistes, ils sont aussi « praticiens » : Yann Coatanlem comme ex-banquier, devenu fondateur de startup; son co-auteur Antonio de Lecea, fonctionnaire de la Commission européenne, ancien conseiller notamment de Romano Prodi. Et ils en tirent la conviction que l’objectif de justice sociale et celui d’efficacité économique sont non seulement réconciliables, mais se renforcent l’un l’autre. « Notre objectif finalement, résume l’auteur, c’est de réconcilier libéraux et progressistes. »

On vit mieux aujourd’hui, mais…

Fondamentalement, Le capitalisme contre les inégalités est donc un travail de synthèse, adepte du « en même temps ». Un souci de l’équilibre qui, pour certains critiques – Piketty en est à coup sûr-, confine à un dangereux équilibrisme. S’ils reconnaissent les inégalités produites par le système capitaliste, les auteurs s’empressent aussi de souligner une vérité bien établie, mais souvent rendue inaudible, à savoir qu’ « on vit considérablement mieux aujourd’hui en France qu’en 1975, et le pouvoir d’achat est moins inégalitaire ». Entre la fin des Trente Glorieuses et 2016, l’INSEE montre que le niveau de vie médian après redistribution a augmenté de 56% en euros constants. Ce souci d’équilibre a sans doute l’inconvénient de moins frapper les imaginations que les incantations pré-révolutionnaires d’autres, mais il présente l’avantage d’offrir des solutions réalistes, fondées sur un diagnostique mesuré. Face à une logique qui consiste à vouloir « prendre aux riches » pour ainsi espérer faire baisser « mécaniquement » les inégalités, les auteurs du Capitalisme contre les inégalités insistent, eux, sur « l’équité dans toutes ses dimensions (éducation, mobilité, rentes, externalités, discriminations, sécurité, climat, corruption, fraudes…) ». 

Inégalités d’accès

Plus qu’aux inégalités de revenus -qu’ils ne délaissent pas pour autant, en défendant par exemple l’idée de revenu universel-, c’est à ce qu’ils appellent les « inégalités d’accès » qu’ils veulent s’attaquer en priorité. C’est la bonne vieille égalité des chances, où l’on constate que la France, qui s’en tire plutôt mieux que les autres en terme d’égalité de revenu (grâce notamment à une puissante redistribution fiscale), a des résultats catastrophiques lorsqu’on regarde ces « inégalités d’accès ». L’éducation par exemple : comment expliquer qu’un système qui parle d’égalité des chances à toutes les sauces a vu « en trente ans (…) le niveau de calcul des élèves de CM2 [baisser] de 30% »; ou encore qu’en 2015 un tiers des hommes cadres sont fils de cadres, contre un quart de 1977 à 2015, montrant que la reproduction des élites est plus marquée aujourd’hui, et la mobilité sociale est en France une exception culturelle dont on se passerait volontiers : « En France il faut en moyenne six générations pour qu’un enfant des familles en bas de l’échelle des revenus atteigne le revenu moyen. Seule la Hongrie fait pire… »

Que faire alors ? La liste des préconisations est longue, à la hauteur de l’ambition -réformer le capitalisme. Pour ces adeptes d’une pensée complexe, les causes des inégalités étant multiples, elles appellent des réponses multidimensionnelles, transversales, alliant des réformes globales, systémiques, et des réponses individualisées. En matière d’éducation par exemple, ils soulignent que l’argent dépensé n’est pas la seule clé du succès, quand l’on sait que la France ou les États-Unis sont parmi les nations qui dépensent le plus par élève pour des résultats plus que décevants en matières d’égalité. « La véritable égalité des chances ne provient pas d’une dépense scolaire identique mais d’un travail de remise à niveau le plus individualisé possible » disent-ils, mettant l’accent sur les expériences de soutien scolaire individuel systématique dès la toute petite enfance, qui ont montré leur succès dans plusieurs pays. 

Retour de l’antitrust

La réflexion va de l’attendu au plus suprenant, comme l’application du concept d’inégalités aux entreprises elle-même. Il faut disent-ils, rétablir « l’égalité des chances entre les entreprises », c’est-à-dire agir en amont pour empêcher la constitution de monopoles de fait par exemple ou de rentes de situation. Cela sera, affirment-ils « plus efficace et socialement moins coûteux que de devoir les corriger en aval par des politiques redistributives ». La solution qu’ils préconisent ici est ancienne : revitaliser l’antitrust, notamment contre les géants de la tech. En clair, plutôt que d’être obnubilés par les insolents revenus affichés par les milliardaires d’internet -et essayer en vain de leur reprendre-, regardons plutôt si ces fortunes causent un désavantage à autrui. Dans le cas des géants du Net, la réponse est, disent-ils, largement oui. L’État doit donc agir. On est loin de l’ultra-libéralisme que beaucoup de leurs adversaires attendraient sans doute avant d’avoir lu le livre, mais brouiller les pistes n’est pas le moindre des mérites de nos deux auteurs.  

Le capitalisme contre les inégalités, Yann Coatanlem et Antonio de Lecea, PUF.

Bastille Day 2022 : où célébrer le 14 juillet à Washington DC ?

De plus en plus populaire à DC, le Bastille Day, c’est-à-dire le 14 juillet, est célébré à travers de nombreux événements. French Morning fait le tour des rendez-vous à ne pas rater à Washington.

Célébrer la Vendée à La Maison Française

Comme chaque année, le Comité tricolore met en avant une région française. Cette année, la Vendée est à l’honneur avec une dégustation de Cognac organisée par l’association américaine des distilleries pour célébrer la fête nationale. Un concert est également au programme jusqu’à 10pm avec Veronneau, un duo composé de la chanteuse franco-cannadienne Lynn Veronneau accompagnée à la guitare par son époux Ken Avis. Une exposition d’art mural sera également de la partie avec les œuvres de l’artiste Rajan Sedalia. Rendez-vous le vendredi 15 juillet à partir de 7pm à La Maison Française de l’Ambassade de France. Billet à partir de 180 dollars et à réserver ici. L’événement est également une collecte de fonds du Comité Tricolore donc tous les profits de la soirée contribueront à soutenir sa mission caritative.

Cours d’histoire à Lafayette Square

Ed Moser, un ancien scénariste du Tonight Show et plume de la Maison Blanche, propose une visite des places rendant hommage aux Français. Il invite les visiteurs à le suivre dans les rues de DC pour en apprendre davantage sur l’histoire française aux États-Unis et son influence sur le continent. Une belle manière de célébrer la fête nationale française. Le guide du Bastille Day Tour of Famous Franco-Americans donne rendez-vous le jeudi 14 juillet à 6pm à Lafayette Square. Le tour dure environ 2 heures, et coûte 23 dollars. À réserver ici.

Un bon repas spécial Bastille Day

Après deux années difficiles, le restaurant Bastille reprend sa jolie tradition avec un menu spécial 14 juillet. Pour 55 dollars par personne, le restaurant d’Alexandria met en avant les plats très français qui peuvent soigner un mal du pays : moules-frites, salade niçoise, escargot provençales, crème caramel ou encore, mousse au chocolat. Mieux vaut réserver en appelant au 703-519-3776 ou en envoyant un email à [email protected]. Dans le quartier de Capitol Hill, Bistrot Cacao propose également un menu en trois temps pour 90 dollars: entrée, plat et dessert aux choix ! À réserver ici.

Musique et pique-nique à Tenleytown

Selon les habitants du quartier, Fessenden Park est en train de devenir le petit quartier français de Tenleytown. Pour célébrer la présence française dans ce coin de DC, l’association Tenleytown Main Street organise une journée Bastille Day pour déguster des quiches et des profiteroles, boire du Perrier, de l’Orangina et de la sangria à la rose. Pour les sportifs, un jeu de pétanque classique sur gazon est également au menu. L’accordéoniste Russell Wilson accompagnera les activités en musique. Billets entre 5 et 20 dollars à réserver ici.

Un cour de cuisine avec l’AFDC

Envie de cuisiner pour sa famille ou les amis pour l’occasion ? L’AFDC propose de cuisiner des petits farcis à la provençale, un plat classique de la cuisine de la Côte d’Azur. Anina Belle Giannini et Sébastien, son époux et chef français à DC, montreront comment réaliser cette délicieuse recette provençale. Le cours de cuisine se fera en ligne, ce samedi 9 juillet de 3pm à 5pm. Cet événement sera en anglais avec quelques mots et expressions en français. Gratuit pour les membres de l’Alliance Française de Washington. À réserver ici.

Regarder le Tour de France

Pour les fans de vélo, le Tour de France est de retour à partir du 14 juillet. Metrobar, un bar associatif fondé près du Rhode Island Avenue Metro station, invite tous les amoureux des deux-roues à venir célébrer la fête nationale et le départ de la course. Pas de réservation nécessaire. Plus d’informations ici.

Jazz français à Mr Henry’s

La petite salle de concert Henry’s, dans le quartier de Capitol Hill, propose une soirée jazz et musique contemporaine en l’honneur de la fête nationale française avec des chansons d’Edith Piaf, Charles Aznavour, Michel Legrand, etc… Les portes ouvrent à 6pm. L’entrée coûte 15 dollars et les billets sont à réserver ici.