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Le café-boulangerie Maman s’installe à Washington

Le café Maman était, jusque-là, uniquement présent à New York, Toronto et Montréal. Mais pendant ces deux années de Covid, Benjamin Sormonte et son épouse Elisa Marshall ont décidé de se lancer à Washington DC avec trois ouvertures de magasins. Un à Bethesda Row en juin, puis deux autres en septembre à Georgetown et Union Market, des quartiers connus du paysage washingtonien. 

Les premiers cafés/boulangeries Maman ont été lancés en 2014 à New York, lorsque Benjamin Sormonte, Elisa Marshall et un troisième associé, le chef étoilé Armand Arnal, ont repris une ancienne boutique de posters à SoHo pour la transformer en restaurant décoré comme une maison de famille provençale. 

Le café fait-maison familial

Des éloges ont suivi, en particulier pour « le nouveau cookie aux pépites de chocolat le plus impressionnant de NYC », selon Grub Street (Oprah Winfrey est également une grande fan). Alors qu’Armand Arnal est maintenant de retour dans le sud de la France, Benjamin Sormonte et Elisa Marshall ont finalement transformé Maman en une « marque lifestyle » avec 15 magasins à Manhattan et Brooklyn, ainsi qu’à Montréal et Toronto.

« Maman, un concept de café fait-maison familial », explique Benjamin Sormonte. « Maman, ça vient du fait qu’on voulait rendre hommage à nos mères, là où on se sentait bien », raconte-t-il, alors que les trois associés vivent dans des « one bedroom » à New York, en quête d’espace pour se sentir à la maison… mais ailleurs. Pour le menu, les fondateurs vont rester fidèles aux plats proposés dans les autres cafés. On y retrouvera « une cuisine simple, comme chez maman », indique-t-il. Le point fort des recettes, « c’est que tout est fait maison », sauf « le pain », précise-t-il. 

Des moyens financiers

Le choix de Washington DC s’est fait un peu par hasard, au gré des pérégrinations des deux entrepreneurs. « On a été agréablement surpris par DC », lance Benjamin Sormonte, soulignant qu’ils ont « eu la chance de pouvoir réfléchir pendant la pandémie, d’aller à droite, à gauche, et d’enfin visiter la capitale ». Il connaît quelques propriétaires d’espace commerciaux disponibles et, finalement, le couple signe trois contrats de location sur Washington et dans le Maryland. Alors que les choix de Bethesda Row et de Georgetown peuvent paraître évidents, Maman a également sélectionné Union Market, plus surprenant de voir ce lieu figurer parmi ces trois nouvelles adresses. « Union Market m’a rappelé Greenpoint à NYC », confie Benjamin Sormonte, attiré par la transformation du quartier et par son côté très familial.  

Après l’ouverture de 15 cafés à New York, deux au Canada et les trois dans la région de Washington, Maman comptera 20 adresses cet automne. « On était autofinancé jusqu’à 2020 et, depuis, nous avons un nouveau partenaire », confie encore Benjamin Sormonte, heureux, estime-t-il, d’avoir le soutien de la société de capital-investissement TriSpan pour cette nouvelle aventure. 

Les cafés de Maman à DC seront similaires aux autres, avec des menus remplis de pâtisseries, de quiches, de salades, de sandwichs et de ces célèbres cookies aux pépites de chocolat. L’atmosphère des magasins sera également dans le même style, avec des meubles antiques et des touches de décoration française, de quoi soigner n’importe quel mal du pays !  

Législatives 2022 : Alain Ouelhadj, candidat de Reconquête!

Dans le cadre de la campagne des législatives françaises, French Morning dresse le portrait de chacun des candidats au poste de député des Français d’Amérique du Nord (États-Unis et Canada). Le premier tour du scrutin commencera dès le vendredi 27 mai pour le vote en ligne, et se tiendra le samedi 4 juin dans les bureaux de vote.

Aujourd’hui, Alain Ouelhadj, le candidat de Reconquête!, le parti créé par Éric Zemmour. Le polémiste anti-immigration est arrivé en troisième position au premier tour de la présidentielle en Amérique du Nord avec plus de 8% des suffrages exprimés, deuxième dans la circonscription consulaire de Miami, avec un quart des voix, l’un de ses scores les plus élevés aux États-Unis.

Candidat de Floride

Installé depuis près d’une quinzaine d’années en Floride, Alain Ouelhadj, qui brigue pour la première fois le mandat de député, a été investi candidat à l’élection législative sous la bannière Reconquête! d’Éric Zemmour pour la circonscription d’Amérique du Nord.

Après la désillusion de la présidentielle, le Français de 66 ans, né à Laval, en Mayenne, d’une mère bretonne et d’un père d’origine berbère, entend bien peser sur le résultat de ce scrutin. « Je veux être le candidat de l’union nationale telle que proposée par Éric Zemmour, un homme que j’ai découvert il y a très longtemps, à l’époque où il était polémiste à la télévision. Ce qui me plaît chez lui, au-delà des idées, c’est qu’il n’est pas un politicien comme les autres : il est issu de la société civile et ne manie pas la langue de bois », raconte fièrement Alain Ouelhadj, qui se targue d’être un zemmourien de la première heure, l’un des adhérents pionniers du parti.

Priorité aux petites entreprises et à l’éducation

Diplômé d’HEC, cet entrepreneur réside à Miami Beach où il dirige actuellement une société spécialisée dans le mobilier de bureau. Ancien président de la Chambre de commerce franco-américaine de Floride (FACC), Alain Ouelhadj propose, dans son programme, des mesures spécifiques afin d’aider les TPE-PME françaises qui exportent vers le Canada et les États-Unis ou celles qui souhaitent venir s’y implanter. « Nous voulons notamment instaurer un guichet unique d’accueil qui leur permettrait d’être mieux accompagnées, car actuellement il est difficile d’identifier qui est qui et qui fait quoi, souligne-t-il. Elles pourraient ainsi gagner du temps, et donc de l’argent, mais aussi éviter de commettre des erreurs par méconnaissance, car les difficultés sont nombreuses surtout dans un pays qui n’est pas le nôtre. »

Père de trois enfants, ses idées pour les Français d’Amérique du Nord concernent également le développement de l’enseignement. « À partir du moment où l’on dit qu’il faut que la langue française perdure, il faut alors y mettre les moyens, insiste-il. Le gouvernement français doit ainsi verser des subventions beaucoup plus conséquentes car il faut embaucher au minimum 20% d’enseignants de l’Éducation nationale supplémentaires », détaille Alain Ouelhadj qui veut également revoir l’attribution des bourses scolaires. « Nous souhaitons doubler le plafond du quotient familial à ne pas dépasser afin que davantage de familles puissent en bénéficier. »

Critique du mandat Lescure

Alain Ouelhadj pense également au retour en France. « Pour que nos compatriotes n’aient qu’un seul interlocuteur, nous allons créer un guichet unique qui permettra de regrouper toutes les démarches administratives au même endroit », explique-t-il. Sur le même sujet, le candidat aux élections législatives souhaite par ailleurs supprimer le délai de carence pour bénéficier de la prise en charge de l’assurance maladie. « Je ne trouve pas normal qu’un Français ayant travaillé plusieurs années en France n’ait aucune protection sociale lors de son retour, alors qu’un étranger, même en situation irrégulière, peut bénéficier de l’Aide médicale d’État (AME), s’insurge-t-il, reprenant un thème anti-immigration cher à Éric Zemmour. Il ne faut pas que nos compatriotes se sentent abandonnés. »

Entres autres mesures, le candidat de Reconquête! veut supprimer la contribution sociale généralisée (CSG) et la contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS) pour les Français d’Amérique du Nord. « Si vous êtes installé en Italie ou à Malte, vous êtes exonéré, par contre en habitant aux États-Unis, vous devez les payer, ce qui est une vraie discrimination », indique Alain Ouelhadj qui entend être un homme de terrain. « Le rôle d’un député, c’est d’être proche de ses compatriotes, de les écouter et surtout de défendre leurs intérêts, et non pas de rester sur les bancs de l’Assemblée comme ce qui a été fait ces cinq dernières années. »

Son suppléant est Charles Berson Dietsch, lui aussi adhérent du parti Reconquête!. Diplômé de l’ESCP Business School de Paris, ce chef d’entreprise dans le domaine de la cybersécurité est âgé de 48 ans et réside, depuis cinq ans à Montréal.

Un mois de mai cinéma au FIAF

Ambiance salles obscures au FIAF pour ce printemps. Plusieurs projections sont au programme jusqu’au mardi 31 mai, dans le cadre de deux évènements :

CinéSalon, de retour après deux ans de pandémie, du mardi 3 au mardi 31 mai, en présence de l’artiste française Jeanne Cherhal. La chanteuse, qui sera également sur la scène du FIAF le 25 mai, est la chef d’orchestre de la programmation cette année. L’artiste a choisi les films qui seront projetés chaque mardi, en commençant par « The Piano » (« La Leçon de piano »), le film de Jane Campion sortie en 1993, Palme d’or du festival de Cannes. Le film sera projeté ce mardi 3 mai.

Le mardi suivant, le 10 mai, sera projeté « Vagabond » (« Sans toit ni loi »d’Agnès Varda, qui avait fait le plein de Césars en 1986 (notamment Meilleur film, meilleure réalisatrice, meilleure actrice pour Sandrine Bonnaire); « BPM » (« 120 battements par minute ») de Robin Campillo le 17 mai; la comédie « Life is a Long Quiet River » (« La vie est un long fleuve tranquille ») d’Étienne Chatiliez – 37 ans déjà ! – le 24 mai; et enfin le drame psychédélique « Mulholland Drive » de David Lynch le 31 mai. Avec cette sélection, Jeanne Cherhal entend rendre hommage au cinéma qui a marqué sa vie.

Par ailleurs, le lundi 16 mai, le FIAF organisera une projection spéciale du documentaire « The Girl Who Wore Freedom », un hommage au jour-J de l’occupation allemande jusqu’à la libération par les Alliés, et à la longue amitié franco-américaine. Le documentaire dévoile les histoires touchantes de témoins de cette époque turbulente. Dany Patrix, qui sera présente à la projection, Maurice Lecoueur, Henri-Jean Renaud et d’autres parlent d’un lien fort reliant, encore aujourd’hui, des générations de Français libres aux libérateurs américains.

Moi Impat : Pour réussir l’impatriation, «il faut penser sa vie différemment»

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Pour Laurence Poplimont, notre 89ème invitée, il était impossible de rentrer et de ne rien faire. Après 20 ans à Abu Dhabi à la tête d’un salon de coiffure et d’esthétique, le changement de vie qui se profilait dans le Var ne devait pas perturber l’idée qu’elle se faisait de ce retour. Un retour qu’elle a voulu professionnel jusqu’au bout avec une reconversion dans le secteur de l’immobilier. Cette orientation professionnelle s’est imposée pour des raisons à la fois pratiques et financières, sa maigre retraite ne lui en laissant pas le choix. Laurence met un point d’honneur à maîtriser sa vie professionnelle avec l’objectif d’acquérir les compétences nécessaires. Sinon, débarquer dans un village où elle ne connaissait personne, elle en faisait son affaire !

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Pourquoi célèbre-t-on le Cinco de Mayo aux États-Unis ?

Cinco de Mayo signifie « 5 mai » en espagnol. Et contrairement à ce que l’on pourrait croire, ce n’est pas la Fête de l’Indépendance au Mexique. C’est un jour férié, mais il ne donne pas lieu à de grandes festivités dans le pays, excepté dans l’État de Puebla. Alors pourquoi célèbre-t-on cette date anniversaire aux États-Unis ? C’est la Question bête de la semaine.,

Le Cinco de Mayo figure parmi les nombreuses journées de commémoration au Mexique, et plus encore aux États-Unis. Derrière cette date se cache un moment fort de l’histoire mexicaine, car elle célèbre une victoire de son armée contre les Français lors de la bataille de Puebla, le 5 mai 1862. Ce jour-là, la progression des armées françaises se heurte à une résistance farouche dans cette ville fortifiée. Environ 4 500 soldats mexicains, commandés par le général Ignacio Zaragoza, font face à quelque 7 000 soldats français bien mieux équipés et rompus à l’exercice militaire. Pourtant, les Français seront vaincus et devront se retirer. Cette défaite française est un tournant pour le Mexique, même si, malheureusement, cela ne durera pas. Un an plus tard, Napoléon III enverra cette fois-ci 30 000 hommes qui marcheront sur la capitale mexicaine et prendront position dans le pays.

Une longue guérilla contre la France

L’intervention française au Mexique remonte à 1861, car son président, Benito Juárez, avait annoncé son refus de payer les dettes mexicaines envers la France, l’Espagne et l’Angleterre. En représailles, la France avait alors choisi de régler son compte au Mexique. Mais ce n’est pas la seule raison. Pour Napoléon III, il s’agissait aussi de venir contrebalancer la puissance montante des États-Unis et de créer un gigantesque empire catholique en Amérique du Sud.

Le conflit opposant la France au Mexique va ainsi durer jusqu’en 1867, année durant laquelle les Français se retireront du pays. En effet, depuis la fin de la guerre de Sécession, les Américains ont largement intensifié leur soutien militaire à la résistance mexicaine. Devant cette guérilla, Napoléon III préférera abandonner, d’autant plus qu’il ne souhaite pas engager de conflit plus profond avec les États-Unis, et qu’en Europe, la Prusse commence à montrer des velléités de guerre contre l’Empire.

Une fête très populaire aux États-Unis

Fête nationale optionnelle au Mexique, le Cinco de Mayo y est principalement commémoré dans l’État de Puebla. Les Mexicains accordent en effet plus d’importance au 16 septembre 1810, date de l’indépendance du pays. C’est donc aux États-Unis, que le Cinco de Mayo est devenu un événement très populaire qui met en avant la culture mexicano-américaine. Les premières festivités ont commencé en Californie où elles sont observées chaque année depuis 1863.

Selon le magazine Time, la célébration du Cinco de Mayo s’est vraiment ancrée dans les mœurs dans les années 40, au moment de l’essor des mouvements chicanos. Cela s’est encore accéléré dans les années 80, avec la publicité et l’implication de nombreuses entreprises spécialisées dans la bière, le vin et la tequila. Preuve de sa popularité chez les Américains, le Cinco de Mayo génère des ventes de bière d’un niveau équivalent à celles du Super Bowl. On compte aussi, par centaines, les différents évènements organisés aux États-Unis, et plus particulièrement, dans le sud-ouest du pays et à New York City avec sa célèbre parade.

(Photos Schutterstock)

Retour en France : quelle école bilingue pour mon enfant à Paris ?

Du 9 au 13 mai 2022, French Morning Media Group organise le salon en ligne “Retour en France”.

Au programme : 7 conférences, 11 experts pour vous aider à préparer votre retour en France le plus sereinement possible.

La quatrième session de ce salon avait lieu jeudi 12 mai et était dédiée aux écoles bilingues à Paris.

Visionnez le replay sur notre chaine YouTube

Pour en savoir plus sur les intervenants : 
Site web de Union School : https://unionschool.paris/fr/ 
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L’édition 2022 du salon en ligne Retour en France est sponsorisée par Investissement Locatif.

Retour en France et gestion de carrière : relever le défi

Du 9 au 13 mai 2022, French Morning Media Group organise le salon en ligne “Retour en France”.

Au programme : 7 conférences, 11 experts pour vous aider à préparer votre retour en France le plus sereinement possible.

La cinquième session de ce salon avait lieu jeudi 12 mai et était dédiée à la gestion de carrière.

Visionnez le replay sur notre chaine YouTube

Avec Julien Fortuit, coach de vie et de carrière.
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L’édition 2022 du salon en ligne Retour en France est sponsorisée par Investissement Locatif.

Famille : gérer l’impact psychologique du retour en France

Du 9 au 13 mai 2022, French Morning Media Group organise le salon en ligne “Retour en France”.

Au programme : 7 conférences, 11 experts pour vous aider à préparer votre retour en France le plus sereinement possible.

La sixième session de ce salon avait lieu vendredi 13 mai et était dédiée à la gestion de l’impact psychologique du retour en France sur la famille.

Visionnez le replay sur notre chaine YouTube

En partenariat avec :
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L’édition 2022 du salon en ligne Retour en France est sponsorisée par Investissement Locatif.

Retrouvez le bon goût des pâtisseries françaises au Salon Sucré New York

[Article partenaire] Bienvenue au Salon Sucré, la nouvelle boutique de Chef Simon Herfray dans le quartier de Lower East Side à Manhattan !

Au menu : pâtisseries et vin

Cette pâtisserie allie très habilement les viennoiseries, petits gâteaux et autres gourmandises d’une pâtisserie raffinée et moderne française, avec un bar à desserts qui offre des desserts sophistiqués accompagnés d’un « wine pairing ».

L’idée de wine pairing (associer un mets à un vin) dans une pâtisserie est un concept moderne et intrigant. Au Salon Sucré, chaque dessert va de pair avec un vin spécialement sélectionné pour la dégustation.

Le wine pairing va bien au-delà du champagne et des vins typiquement servis avec des mets sucrés, et inclut un large choix de vins blancs et rouges ainsi que du cidre de Bretagne. Chef Simon Herfray est particulièrement ravi de vous présenter des vins du vignoble Château Potensac en Médoc, dont son frère Sébastien est le Maître de Chais, près de Bordeaux. Chef Simon a notamment créé certains desserts spécifiquement pour accompagner une sélection de ces vins. Le pain perdu servi avec fruits et crème anglaise est son favori et s’allie parfaitement avec le Crémant Loire ou le Menetou rouge. Le petit gâteau Matcha, si joliment décoré, est une délicieuse combinaison de marmelade de mandarine et de mousse Matcha. Le cheese cake aux pommes et la coupe de chocolat sont aussi beaux que bons !

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Une passion pour la Pâtisserie Française

Chef Simon Herfray

Né en France, Chef Simon a été formé en Vendée à l’art de la création de fines pâtisseries françaises. Après avoir terminé sa Maîtrise comme Chef Boulanger-Pâtissier, il a parcouru le monde et a travaillé dans de célèbres restaurants à Sydney et à Londres, avant de rejoindre les États Unis. Son expertise a été remarquée par plusieurs critiques et il a été cité dans le New York Times, Gotham, HuffPost, NY Eaters et d’autres publications.

Sa passion et son enthousiasme pour concocter de nouvelles créations aux saveurs diverses l’ont amené à ouvrir le Salon Sucré où il se réjouit de partager ses délicieuses créations inédites avec ses amis et un public à la recherche de pâtisseries raffinées. C’est un véritable coin de France que Chef Simon partage dans son espace accueillant.

Vous trouverez cette expérience unique au Market Line, “sous” Essex Market, situé au coin de Delancey St et Essex St. Asseyez-vous à ce beau comptoir de marbre à la forme ondulée ou à une des charmantes petites tables et laissez vos papilles vous transporter en France.

Salon Sucré peut aussi accueillir vos réunions ou événements privés.

À votre tour, adonnez vous à la pâtisserie

Son désir de partager ses connaissances et son savoir-faire a conduit Chef Simon à ouvrir l’Atelier Sucré en 2014 dans le East Village. Son équipe et lui-même offrent des cours de pâtisserie et de cuisine incluant macarons, croissants, éclairs, pâtes, etc… accessibles à tout niveau !
Pour en savoir plus sur les cours disponibles, rendez-vous sur le site de l’Atelier Sucré et pour plus d’informations sur le Salon Sucré, c’est par ici.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Acheter, louer, investir en France : faire le bon choix au moment du retour

Du 9 au 13 mai 2022, French Morning Media Group organise le salon en ligne “Retour en France”.

Au programme : 7 conférences, 11 experts pour vous aider à préparer votre retour en France le plus sereinement possible.

La troisième session de ce salon avait lieu mercredi 11 mai et était dédiée à l’immobilier en France.

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Sponsor officiel du salon en ligne Retour en France, édition 2022

French bee lancera son Paris-Miami en décembre

French bee met le cap sur la Floride. Après le lancement de Paris-New-York en 2020, Paris-San Francisco l’an dernier, et tout récemment Paris-Los Angeles, la première compagnie aérienne française low cost long-courrier a annoncé, vendredi 29 avril, l’ouverture d’une liaison entre Paris et Miami. Elle sera mise en service le 15 décembre prochain.

Cette nouvelle ligne sans escale sera assurée par un Airbus A350-1000 flambant neuf entre l’aéroport international de Paris-Orly 4 (ORY) et celui de Miami (MIA). La compagnie aérienne proposera trois vols hebdomadaires durant toute l’année. « Nous sommes heureux de poursuivre notre expansion aux États-Unis, déclare dans un communiqué Jean-Paul Dubreuil, le président du Groupe Dubreuil, propriétaire de French bee (anciennement French blue). Il existe un lien historique entre la France et les États-Unis et French bee se positionne comme une alternative de qualité pour le voyage des touristes et des familles françaises et américaines ».

Aux côtés de sa grande sœur Air Caraïbes, l’autre compagnie aérienne du groupe, qui relie les Antilles, French bee desservira donc bientôt quatre destinations majeures aux États-Unis. Outre ses lignes américaines, cette compagnie aérienne low cost propose des vols vers Saint-Denis (La Réunion) et vers Papeete (Tahiti) en Polynésie française, via San Francisco. 

Créée en 2016, French bee opère actuellement une flotte composée de cinq avions Airbus : quatre A350-900 et un A350-1000. Un second appareil A350-1000 sera livré d’ici l’hiver prochain. Le prix d’appel pour un vol direct entre Paris et Miami n’a pas encore été dévoilé.

Série Netflix « Johnny par Johnny » : l’Amérique passionnément

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Sortie le 29 mars sur Netflix, la série « Johnny par Johnny » (« Johnny Hallyday: Beyond Rock » sur Netflix US) retrace la vie et les 57 années de carrière musicale de l’icône française du rock décédée en 2017. Commenté en partie par le chanteur lui-même grâce à des extraits d’interviews et des archives oubliées, ce documentaire, découpé en cinq épisodes d’une trentaine de minutes chacun, est une déclaration d’amour aux États-Unis.

L’enfance imaginée au Texas

C’est un homme marqué par une enfance solitaire et itinérante que nous présente Netflix dans le premier épisode. Abandonné par son père à l’âge de sept mois, Jean-Philippe Smet (de son vrai nom) est recueilli par sa tante et grandi auprès de deux cousines danseuses, qu’il suit partout en représentation à travers l’Europe. Le mari de l’une d’entre elles n’est autre que Lee Halliday, un danseur et chanteur américain qui va profondément marquer le jeune Jean-Philippe. « C’est sûrement la personne qui m’a servi de père, qui m’a élevé et appris un peu la danse », confie Johnny Hallyday en expliquant le choix de son nom de scène. Né d’une mère parisienne et d’un père belge, le jeune homme invente le récit d’une enfance aux États-Unis en grandissant, déclarant avec aplomb devant la presse avoir grandi en partie au Texas.

Lors de ses premiers pas sur scène au tout début des années 1960, Johnny Hallyday est considéré comme un rockeur avant-gardiste. Il s’inspire en fait de son idole de l’époque, Elvis Presley, poussant la ressemblance physique et allant jusqu’à reproduire toutes ses mimiques de chant et de danse. Le succès est au rendez-vous et va façonner encore un peu plus le rêve et le désir d’Amérique de l’artiste.

Pionnier des spectacles « à l’américaine »

À ses débuts, Johnny Halliday faisait figure de pionnier. La série rappelle que c’est lui qui a organisé les premiers concerts « à l’américaine » en France, mêlant tout à la fois danse, chant, jeu d’acteur, cascades et pyrotechnie. Son spectacle au Palais des Glaces en 1969 est un modèle du genre, Johnny Hallyday enchaînant les personnages dont celui d’un boxeur en plein combat au milieu d’un ring.

Trois ans plus tard, il va encore plus loin en organisant la première tournée itinérante, le « Johnny Circus », où il chante sous un chapiteau chaque soir pendant plus de deux mois à travers 70 villes de France. « Je ne suis pas un chanteur qui vient juste chanter ses petites chansons. Il faut faire rêver les gens », résume-t-il dans l’épisode 2. Marié à l’époque à Sylvie Vartan, l’artiste partage cette tournée avec une chanteuse américaine, Nanette Workman, avec qui il aura une brève histoire à ce moment-là.

Las Vegas, concert de la démesure

Après son divorce d’avec Sylvie Vartan en 1980, c’est à Los Angeles que va se ressourcer le chanteur. L’épisode 4, « Mon Amérique à moi », est dédié à l’amour de Johnny Hallyday pour les États-Unis. Il nous embarque d’abord dans un road-trip en moto de New York à la Californie en 1990, avant un retour par l’Hexagone et le Parc des Princes, où Johnny organise un immense concert pour ses 50 ans en 1993 avec une réplique impressionnante du Golden Gate Bridge de San Francisco sur scène. Trois ans plus tard, l’icône du rock se lance dans le projet de sa vie : se produire à Las Vegas devant les Américains.

Mais devant la difficulté de la tâche, l’artiste et son équipe décident plutôt de faire venir ses fans français en affrétant la bagatelle de 22 avions pour eux. La scène est surréaliste et le concert raté avec un Johnny Halliday stressé et diminué physiquement. Une blessure de plus pour le chanteur qui aurait tant aimé faire carrière aux États-Unis. Il finira par emménager à Los Angeles en 2007 avec sa cinquième femme, Læticia, dans la ville bling-bling des étoiles de Sunset Boulevard. « Johnny, c’est Hollywood revu et corrigé par la Foire du Trône », résume à merveille une voix-off dans le troisième épisode.