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Rendez-vous aux nouveaux arrivants pour le “grand café de rentrée” de DC

Pour les nouveaux arrivants et les anciens, l’association Washington Accueil Association (WAA) organise son traditionnel Grand café de la rentrée le mardi 28 septembre à la Maison française. Pour l’occasion, la nouvelle équipe de l’association est heureuse de se présenter, avec Danielle Galand en tant que présidente et Karine Folliet en tant que vice-présidente.

L’association, qui accompagne l’installation des immigrés français dans la région de Washington DC, en profitera pour présenter son programme d’activités pour la saison 2021-2022. Les membres ont d’ores et déjà la possibilité de renouveler leur adhésion. Les non-membres pourront quant à eux s’inscrire en envoyant nom et prénoms à [email protected] afin de participer à ce grand café.

Les inscriptions sont ouvertes sur le site de l’association ici. Pour une adhésion à l’année, comptez 50 dollars par famille, et 25 dollars pour les étudiants.

Les Français vaccinés enfin autorisés à (re)venir aux Etats-Unis 

On n’y croyait plus ! En novembre, les Etats-Unis rouvriront leurs frontières aux voyageurs internationaux vaccinés. L’annonce a été faite ce lundi 20 septembre par Jeff Zients, le coordinateur de la lutte contre la pandémie à la Maison Blanche. Après 18 mois d’attente, les Français installés sur le sol américain pourront enfin se rendre en France et en revenir, ou encore recevoir leurs familles et amis chez eux.

C’est donc la fin d’un long “travel ban” imposé par l’ancien président américain Donald Trump et maintenu par son successeur Joe Biden. Et l’aboutissement, pour les Européens, d’interminables négociations entre Bruxelles et Washington. 

L’administration américaine pose toutefois ses conditions : les visiteurs devront montrer, à l’embarquement avant de s’envoler pour les Etats-Unis, la preuve qu’ils sont totalement vaccinés, ainsi qu’un test Covid négatif datant de moins de 72 heures. L’agence américaine de santé publique exige également des compagnies aériennes qu’elles récupèrent les coordonnées de leurs passagers afin de faciliter le traçage – la plupart le font déjà. Pas de quarantaine en revanche imposée à l’arrivée. 

Au passage, les règles sont renforcées pour les Américains non vaccinés en voyage à l’étranger et de retour dans leur pays. Ils devront présenter un test covid négatif réalisé dans les 24 heures précédant leur embarquement pour les Etats-Unis et en effectuer un autre une fois rentrés chez eux.

Cette levée de l’interdiction d’entrer aux Etats-Unis suscite un énorme soulagement pour les expatriés. Elle tombe également à pic. L’Assemblée générale des Nations unies s’ouvre à New York avec cette épineuse question en suspens. La réouverture des frontières permettra peut-être de détendre un peu les relations franco-américaines, mises à mal ces derniers jours par l’annonce d’une nouvelle alliance stratégique entre Washington, Londres et Canberra, au détriment de Paris.

Jean-Yves Le Drian à New York sur fond de crise diplomatique

Après la colère, les explications ? Le ministre français des Affaires étrangères, à New York pour l’ouverture de la 76ème Assemblée générale des Nations unies, compte bien, en tout cas, en obtenir.

Depuis l’annonce à Washington, mercredi 15 septembre, du nouveau partenariat stratégique trilatéral entre les Etats-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie, Jean-Yves Le Drian ne mâche pas ses mots pour dénoncer le “coup dans le dos” donné par son allié historique, donnant le ton de sa venue aux Etats-Unis. “Il y a eu mensonge, il y a eu duplicité, il y a eu rupture majeure de confiance, il y a eu mépris, donc ça ne va pas entre nous, ça ne va pas du tout”, déclarait le ministre samedi soir sur France 2.

Washington affiche la surprise

L’administration Biden a reconnu avoir été surprise par la virulence de la réaction française. Paris a rappelé brusquement son ambassadeur à Washington – une première dans l’histoire des relations franco-américaines – après avoir annulé, vendredi dernier à l’ambassade, un gala censé célébrer l’amitié franco-américaine.

En privé, les responsables américains attribue cette grosse colère à des questions de politique intérieure française, Emmanuel Macron étant en campagne pour sa réélection en vue du scrutin présidentiel de l’an prochain.

Washington cherche malgré tout à jouer l’accalmie et assure travailler à “résoudre” ses différends avec Paris. Joe Biden et Emmanuel Macron devraient avoir une conversation téléphonique “dans les prochains jours”, “à la demande du président américain” a tenu à préciser l’Elysée. Le chef de l’Etat français n’avait pas prévu de se rendre à New York, pour la deuxième année consécutive, en raison notamment de l’interdiction de voyager imposée par les Etats-Unis.

Il reviendra donc au chef de la diplomatie américaine, Anthony Blinken, de calmer son homologue français cette semaine à l’ONU. Les deux hommes se sont déjà rencontrés et s’apprécient, de l’aveu même de Jean-Yves Le Drian. Si aucun tête-à-tête n’est encore annoncé, plusieurs réunions sont prévues au niveau ministériel, autant d’occasions de s’expliquer.

Une brouille familiale menace La Grenouille de fermeture

C’est une institution française de New York qui risque de fermer ses portes dans les prochaines semaines. Ouvert depuis 1962 à Midtown East, le restaurant La Grenouille se trouve au milieu d’une bataille judiciaire entre l’ancien propriétaire des lieux, Charles Masson, et le nouveau depuis 2014, son petit frère Philippe.

Le premier reproche au second d’avoir “abandonné” le restaurant pendant la pandémie et de s’être servi dans la caisse à plusieurs reprises, selon la plainte déposée auprès du tribunal des successions de New York consultée par le New York Post. Il est notamment question d’un prêt d’un million de dollars contracté par Philippe et non-remboursé depuis, qui mettrait en péril l’activité de l’établissement. Charles Masson ajoute qu’une saisie immobilière des lieux est “imminente”. “C’est faux”, lui répond Philippe, qui affirme que La Grenouille n’est pas en danger et a rouvert ses portes normalement depuis plusieurs semaines en suivant les réglementations imposées par la ville.

Les querelles entre les deux frères Masson ne sont pas nouvelles. Charles, l’ancien co-propriétaire avec sa mère Gisèle, s’est retiré du business après la mort de celle-ci en 2014. Il justifiait alors son choix par des “disputes familiales” et “une situation toxique”. Quatre ans plus tard, il souhaite récupérer l’affaire et dépose plainte auprès du tribunal des successions en expliquant que Philippe, le nouveau propriétaire, se sert de La Grenouille comme de son “ATM personnel”. Son petit frère le traite en échange “d’incompétent” et de “raciste envers les employés”.

Le restaurant, qui doit fêter ses 60 ans l’année prochaine, a accueilli de nombreuses célébrités dans le passé comme Paul Newman, Frank Sinatra et Yves Saint-Laurent. Il offre une carte de plats traditionnels français comme les cuisses de grenouille (46$) et le steak tartare (34$), dans un décor qui se veut chic et fleuri. L’établissement est, pour l’heure, toujours ouvert.

Comment vivre (plus) écolo aux États-Unis ?

Nombreux sont les Français dont la conscience écologique se réveille ou s’aiguise au contact de la culture consumériste américaine. On se demande alors comment faire pour continuer -ou commencer- à vivre de manière respectueuse de l’environnement.

Lors d’une conférence en ligne gratuite organisée vendredi 17 septembre 2021, nous invitions un panel d’expatriés et d’experts à partager leurs conseils pour adopter un mode de vie éco-responsable aux États-Unis.

Marie Mourad est sociologue et consultante spécialisée dans la réduction du gaspillage. Sa thèse de doctorat portait sur la lutte contre le gaspillage alimentaire en France et aux États-Unis. Elle mène en ce moment des projets pour l’Agence française de la transition écologique (Ademe) et pour la Ville de San Francisco. Au quotidien, sa famille essaye de réduire son impact environnemental en limitant au maximum le gaspillage et les déchets, et en redistribuant des objets ou des aliments trouvés dans les poubelles de New York.

Dorothée Pierrard s’est installée à New York en 2006. C’est en travaillant auprès des aveugles dans les communautés pauvres de la ville qu’elle a pris conscience de l’injustice environnementale et sociale causée par la pollution. En parallèle de s’engager dans un style de vie Zéro Déchet, elle a alors utilisé l’illustration et la photographie pour s’engager dans diverses coalitions et campagnes environnementales de la ville telles que Bag It NYC, Manhattan Swab et Transportation Alternatives.

Delphine Pilarski, directrice artistique vivant en Californie depuis 2008, est une environnementaliste passionnée. Elle a créé un site internet pour encourager la pratique du Zéro Déchet aux États-Unis. Elle propose des sessions de coaching privé ou en groupe, des conférences sur le changement climatique dans les centres culturels et les Alliances Françaises, ainsi que des ateliers éco-citoyens “Earth Day is every Day” pour les adolescents/enfants dans les écoles américaines et des cours dans son studio d’art. Elle est également la créatrice du groupe Facebook Zéro Déchet USA pour les Français habitant aux USA.

?  Visionnez le replay sur le site de l’événement

Cette conférence en ligne a eu lieu dans le cadre du salon Bien Vivre aux États-Unis édition 2021, sponsorisé par USAFrance Financials, cabinet de gestion privée et patrimoniale pour les francophones expatriés aux États-Unis.

Comment attirer, retenir et récompenser ses salariés aux États-Unis ?

Vous avez implanté -ou cherchez à implanter- une entreprise aux États-Unis ?

Vendredi 17 septembre 2021, nous vous donnions rendez-vous pour une conférence en ligne dédiée à l’acquisition et la rétention de talents aux États-Unis.

Avec Hélène Touré de YER, agence internationale de recrutement et Armelle Petiau-Levy d’USAFrance Financials.

?  Visionnez le replay et accédez aux coordonnées des intervenantes sur le site de l’événement

Cette conférence en ligne a eu lieu dans le cadre du salon Bien Vivre aux États-Unis édition 2021, sponsorisé par USAFrance Financials, cabinet de gestion privée et patrimoniale pour les francophones expatriés aux États-Unis.

S’expatrier en famille aux États-Unis : les impacts juridiques

Mariage, naissance, divorce : tout cela arrive aussi aux expats… Et parfois, la vie transatlantique implique des complications juridiques.

Vendredi 17 septembre 2021, nous vous donnions rendez-vous avec Hélène Carvallo et Anne-Carole Plaçais du cabinet FAAN Law, avocates spécialisées en droit de la famille entre la France et les États-Unis, pour une conférence gratuite en ligne.

Les deux expertes vous ont exposé les principaux éléments à prévoir selon votre situation, vous ont donné de nombreux conseils et ont répondu à vos questions en direct.

?  Visionnez le replay et accédez aux coordonnées des intervenantes sur le site de l’événement

Cette conférence en ligne a eu lieu dans le cadre du salon Bien Vivre aux États-Unis édition 2021, sponsorisé par USAFrance Financials, cabinet de gestion privée et patrimoniale pour les francophones expatriés aux États-Unis.

Cherry on Top, le nouveau rooftop d’une francophile à Bushwick

Un nouveau rooftop sur les terres des backyards. Cherry on Top a ouvert ses portes dans le ciel de Bushwick début septembre, au première étage d’une fabrique de glaces. Derrière ce beau projet se cache une Américaine francophile du Vermont, Cerise Zelenetz, qui s’est notamment inspirée de l’ambiance des bars à vin parisiens pour monter l’affaire. Cette illustratrice a passé deux ans à étudier l’art et la mode dans la capitale française et ne s’en est toujours pas remise. “Toute la culture, la considération accordée aux choses, la manière dont les Français apprécient la vie, le temps de la réflexion… J’ai beaucoup aimé l’état d’esprit, notamment la possibilité de s’assoir seule dans un restaurant sans être jugée”, explique la patronne, assise au rez-de-chaussée de son bar.

C’est en France qu’elle s’est découvert une passion pour les vins naturels, ces breuvages produits de manière artisanale et respectueuse de l’environnement, sans ou avec une quantité limitée de sulfites. En tant qu’illustratrice, elle collabore avec plusieurs marques de vins et aiguise son palais au contact de plusieurs professionnels du milieu. Quand des amis glaciers d’OddFellows, avec qui elle travaille sur la décoration de leurs magasins, lui proposent de lancer un bar à vin dans leur fabrique de Bushwick, elle accepte de relever le défi.

Le menu, élaboré par Cerise Zelenetz et Jordan Anderson, un ancien de Maison Première, est composé de snacks (burrata, lentilles, salade…). Il accompagne une sélection d’une quarantaine de vins provenant des États-Unis et du monde entier. “Je veux proposer des vins qu’on ne trouve nulle part ailleurs, des vins peut-être moins tendance, mais plus abordables et bons“, glisse-t-elle. Les précieuses bouteilles sont renfermées dans une petite cave vitrée du rez-de-chaussée, qui attire immédiatement l’attention quand on entre dans ce bar dominé par le blanc et le rouge. L’intérieur est décoré de petits tableaux et de motifs peints à la main. Leur style évoque les dessins de Jean Cocteau. Les touches de France sont ici et là, avec notamment la phrase “c’est l’écriture sur le mur” inscrite dans les toilettes. “Beaucoup de bars recrutent des agences pour faire l’intérieur. Je voulais quelque chose de plus personnel“, observe Cerise Zelenetz, qui a aussi fait les coussins.

Le rooftop, lui, a dû être entièrement construit et aménagé. Plusieurs tables rondes blanches sont installés au milieu de bacs de fleurs colorées et de plantes. L’espace peut accueillir 70 personnes, contre 30 en bas. Cerise Zelenetz voudrait organiser des rencontres avec des vignerons, des soirées comédie et même des sessions de jardinage. De quoi l’occuper avant un éventuel passage en France. “À chaque fois, je reste plus longtemps que prévu !“.

Maison Porcella perpétue l’art charcutier français en Californie

C’est en plein cœur du comté de Sonoma, à Cloverdale, que Maud et Marc-Henri Jean-Baptiste sont venus s’installer en 2018. Leur but ? Ouvrir une charcuterie dans le respect de la tradition culinaire française et faire découvrir ces spécialités au plus grand nombre. Leur entreprise, Maison Porcella, du nom de la loi romaine du Ve siècle qui codifie la transformation du porc, de son élevage à la production de charcuterie, s’est surtout développée pendant la pandémie. “Beaucoup de Français, éloignés de leurs familles, ont voulu retrouver les saveurs de leur pays natal… On a vu une explosion des “charcuterie boards” et nous avons commencé à nous faire un nom dans la région.” 

Si Maison Porcella n’a pas encore de magasin, ses produits sont toutefois disponibles au marché fermier d’Healdsburg, le mardi et le samedi, et à la livraison une fois par mois dans toute la Bay Area, de Ukiah à San José, et par correspondance. 

Crédit: Craig Lee, Tim Dere

Au menu, nous avons le pâté grand-mère, un incontournable qui a accompagné toute mon enfance“, confie Marc-Henri Jean-Baptiste. “Je fais aussi des rillettes, qui me rappellent ma famille dans le Sud-Ouest de la France, des tourtes, et du jambon parisien.” Et son épouse Maud d’ajouter : “Je n’aurais pas déménagé aux Etats-Unis sans la garantie d’avoir mon jambon parisien !

Formé chez Boulud, Ducasse et Vérot

Avant de créer Maison Porcella, Marc-Henri Jean-Baptiste a perfectionné son art culinaire auprès des meilleurs, d’abord aux Etats-Unis puis en France. Né à New York d’une mère française et d’un père haïtien, il se destine d’abord à des études de politique, avant d’intégrer le New England Culinary Institute.Je voulais vraiment me consacrer à une activité qui rapproche les gens. Ces moments privilégiés se passent souvent autour d’un repas, et mes origines me rattachent fortement à la gastronomie française qui est reconnue dans le monde entier.Les stages s’enchaînent, d’abord à San Francisco chez Scott Howard, puis Boulevard et Chez Panisse. Ensuite direction le Tennessee où Marc-Henri Jean-Baptiste découvre la charcuterie et les métiers de la viande.

Mais le chef ambitionne de se former en France. “J’ai travaillé pendant quatre mois pour Daniel Boulud à New York, avant de partir sur la Côte d’Azur pour rejoindre Alain Ducasse au Louis XV à Monaco pendant trois ans, puis, à son invitation, devenir chef de partie au nouveau restaurant du Plaza Athénée à Paris qui a obtenu deux étoiles.” Marc-Henri Jean-Baptiste confie à Alain Ducasse son envie de se spécialiser dans la charcuterie, et ce dernier présente le chef à Gilles Vérot, la référence de l’art charcutier français. “J’ai commencé à la Maison Vérot, rue Lecourbe, où j’ai appris toutes les techniques de fabrication de la charcuterie et les recettes traditionnelles. J’ai fini second dans son nouvel atelier parisien.

Désormais installé avec sa famille en Californie, Marc-Henri Jean-Baptiste a importé son savoir-faire dans la région de San Francisco. “On peut proposer une qualité gastronomique en sourçant des produits de qualité localement, assure-t-il. Le comté de Sonoma est une région d’élevage de poulets, de canards et de porcs. Mon but est de faire connaître et de transmettre la tradition de la charcuterie aux Etats-Unis.” Petite entreprise familiale qui ne compte pour l’instant que le couple Jean-Baptiste, Maison Porcella prévoir de lancer bientôt une charcuterie box et envoie désormais ses produits dans tout le pays.

Investir dans le locatif : la clé pour se constituer un patrimoine fiable et durable

[Article partenaire] Malgré la crise sanitaire, le marché immobilier ne cesse d’évoluer et annonce un avenir prometteur. L’investissement locatif promet de belles années grâce aux taux d’intérêts très bas.

L’état du marché immobilier en 2021 devrait être meilleur que celui de l’année passée.

Durant la crise du COVID, l’immobilier n’a pas connu de naufrage irréversible, contrairement à ce qui avait été annoncé. Les investissements restent stables, que ce soit dans le neuf ou l’ancien. La relance économique devrait être bénéfique pour 2022. Il est donc temps d’investir !

Des taux historiquement bas

Les banques prêtent à des taux historiquement bas, avec une moyenne de 1,06 % en juin 2021. Selon la Banque centrale européenne, les taux devraient rester stables et bas jusqu’à la fin de l’année 2021.

Des prix qui montent

Même si l’augmentation se fait progressivement et lentement, les prix de l’immobilier continuent bel et bien de monter cette année. Le marché de l’ancien est particulièrement concerné, tandis que celui du neuf suit son évolution. L’augmentation des prix a pour résultat la prolongation de la durée d’emprunt des ménages et des investisseurs.

En juin 2021, la durée moyenne d’un prêt immobilier était de 237 mois, soit pratiquement vingt ans. Un chiffre qui a été allongé de huit mois par rapport à décembre 2020, d’après l’Observatoire Crédit Logement / CSA.

L’investissement locatif reste sûr et stable

Au deuxième trimestre 2021, l’investissement locatif est resté relativement constant. Les perspectives pour l’année prochaine sont du même ordre et assurent une volonté de la part des Français à investir dans la pierre.

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(1)  Dans le cadre de la Location Meublée Non Professionnelle (LMNP), revenus nets d’impôts à due proportion du montant des investissements.
 Source : E-Gerance, le 10 septembre 2021

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

À la découverte d’un autre Las Vegas

Pour la plupart des visiteurs, Las Vegas se résume à son célèbre Strip, ses nombreux casinos et ses spectacles grandioses. Mais la ville recèle aussi des lieux insolites et de vastes espaces à explorer, bien loin de cette réputation sulfureuse qui aura donné à la capitale du jeu son surnom de Sin City (“ville du péché”). Des musées hors du commun à Red Rock Canyon, en passant par le lac Mead, tour d’horizon des sorties et balades qui valent vraiment le détour.

Des musées pas banals

Si Las Vegas n’est pas vraiment reconnue comme un haut lieu culturel telles New York ou Los Angeles, la ville possède néanmoins quelques musées et attractions qui méritent que l’on s’y attarde. À Downtown se trouve le musée de la mafia. Dans ce grand bâtiment des années 30 qui abritait une cour de justice et un bureau de poste, les visiteurs profiteront d’une expérience immersive dans le monde de Bugsy Siegel, l’un des plus célèbres mafieux de la ville, et autres gangsters. Le musée de la mafia présente de nombreux objets d’époque et il est même possible d’assister à un procès virtuel dans l’ancien prétoire.

Dans le quartier de North Las Vegas, il est indispensable de faire une halte au musée des néons. Fondé en 1996, ce musée à ciel ouvert rassemble des dizaines d’enseignes lumineuses de casinos aujourd’hui disparus. Pour en profiter pleinement, il est plus judicieux de s’y promener à la tombée de la nuit.

Autre lieu, autre ambiance, avec le musée des essais atomiques. Durant plusieurs décennies, notamment dans les années 50 et 60, le Nevada a été le théâtre des tests de bombes nucléaires effectués par le gouvernement américain. Affilié à la Smithsonian Institution, ce lieu présente des artefacts rares, comme un réacteur nucléaire.

Enfin, s’il vous reste un peu d’énergie, allez vous faire une petite frayeur dans le musée hanté de Zak Bagans. Ce dernier a réuni à Downtown des centaines d’objets effrayants qui sont exposés dans une maison datant de 1938. Et pour ceux qui ne sont pas convaincus, une aventure nocturne, organisée le week-end, devrait les faire changer d’avis.

L’appel de la nature

À moins de 30 minutes à l’ouest de Las Vegas se trouve le parc national de Red Rock Canyon. Avec ses montagnes rougies par la présence de fer dans la roche, ce site fait partie des lieux à ne pas manquer. Très facile d’accès, Red Rock Canyon propose une “loop”, un circuit fermé qui permet d’en faire le tour pour découvrir de magnifiques paysages. Il est aussi possible d’y admirer la faune et la flore, le long des nombreux sentiers de randonnée aménagés sur place. En raison de la pandémie de Covid-19, il est impératif de réserver afin de pouvoir accéder à la route touristique. Pour les amateurs de balades équestres, un ranch situé à proximité de l’entrée du parc, décline différentes formules pour une chevauchée digne de l’épopée du Far West.

Dans le même esprit, le mont Charleston se trouve à moins d’une heure du Strip. Loin de la chaleur de Las Vegas, ce paradis des randonneurs de tous niveaux s’enorgueillit de sentiers plus ou moins longs, aux panoramas magnifiques sur les montagnes et le désert. Sans oublier la station de ski Lee Canyon, dont les pistes ouvrent généralement dès le mois de novembre jusqu’à début avril. Inutile de se soucier du matériel puisqu’une boutique spécialisée permet d’y louer skis et snowboards.

Plus à l’est, le lac Mead offre un oasis de fraîcheur inattendu. Ce lac artificiel, le plus grand des États-Unis, a été créé lors de la construction du barrage Hoover dans les années 30. On peut s’y baigner, louer un bateau à la marina et profiter d’une croisière dînatoire d’une durée de deux heures, sur un bateau à roue identique à ceux décrits par Mark Twain dans Les Aventures de Tom Sawyer. Après ou avant la visite du lac Mead, un arrêt au barrage Hoover s’impose, afin de découvrir ce gigantesque ouvrage d’art.

Dans un tout autre registre, les amateurs d’ornithologie et de photographie trouveront leur bonheur dans une réserve protégée où vivent plus de 270 espèces différentes. À l’origine, ce site devait simplement accueillir des bassins de rétention d’eau mais des centaines d’oiseaux en ont décidé autrement. Attention : la réserve ferme à 2pm. Grâce à ces nombreux lieux et grands espaces, Las Vegas montre un tout autre visage qui vous fera presque oublier les sirènes du Strip.

Escalade diplomatique: Paris rappelle son ambassadeur à Washington

À « gravité exceptionnelle », « décision exceptionnelle ». C’est en ces termes que le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a justifié sa décision de rappeler l’ambassadeur de France aux Etats-Unis, Philippe Etienne, et son homologue en Australie, Jean-Pierre Thebault. Jamais une telle décision n’avait été prise par la France vis-à-vis de ces deux pays, notamment de son allié historique, les États-Unis.

Paris ne décolère pas depuis l’annonce, mercredi 15 septembre, du partenariat stratégique entre Washington, Londres et Canberra et de l’annulation par l’Australie d’un gros contrat d’achat de sous-marins à la France.

C’est donc pour « consultations » comme le veut l’usage lors d’une crise diplomatique que Philippe Etienne se retrouve dans l’avion pour Paris, comme il l’a confirmé sur Twitter : « Je suis rappelé à Paris pour des consultations. Cela fait suite à des annonces qui affectent directement la vision que nous avons de nos alliances, de nos partenariats et de l’importance de l’Indo-Pacifique pour l’Europe. » Pas d’autre commentaire du côté de l’ambassade à Washington.

La porte-parole du Conseil de sécurité nationale, Emily Horne, a aussitôt assuré que le contact n’était pas rompu avec Pari: « Nous comprenons leur position et nous continuerons à nous engager dans les prochains jours pour résoudre nos différends, comme nous l’avons fait à d’autres moments au cours de notre longue alliance. »

L’Elysée semble donc bien décidé à riposter à la décision « brutale » de Joe Biden et au « coup dans le dos » de l’Australie, comme le dénonçait Jean-Yves Le Drian au lendemain de l’annonce de la nouvelle alliance. Emmanuel Macron et Joe Biden auraient pu profiter de l’Assemblée générale des Nations unies pour s’expliquer en tête-à-tête la semaine prochaine à New York. Mais le chef de l’Etat français n’a pas prévu de faire le déplacement.