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French Boss, Rémy Raisner : « La ténacité est le dénominateur commun à tous les entrepreneurs ».

Rémy Raisner, invité de French Boss cette semaine, n’a plus peur de grand-chose.  Car, à trente-neuf ans, il a déjà connu le pire de ce que peut connaître un jeune entrepreneur. Dès l’âge de vingt-sept ans, il s’est trouvé, à son corps défendant, confronté à la crise. Et quelle crise ! Une des plus importantes qu’ait connue le monde financier. Rémy a lancé sa société d’investissement immobilier en 2009, au lendemain du krach boursier de l’automne 2008. Le pari était risqué et les premiers résultats alarmants. « Les trois premières années ont été une traversée du désert ». Douze ans plus tard, sans être complètement gagné, ce pari est en passe de l’être.

Rémy, fils du très célèbre animateur-producteur de télévision des années soixante Albert Raisner, a toujours voulu et toujours su qu’il serait entrepreneur. Et ses études américaines l’ont convaincu de faire sa vie professionnelle dans ce pays, dans l’immobilier. Il a rapidement posé ses valises à New-York et n’en est jamais véritablement reparti. L’essentiel de son activité d’investisseur dans l’immobilier a pour cadre le quartier de Brooklyn, « celui qui a le plus profité du Covid ».

Combativité et ingéniosité transpirent de chacun des propos de Rémy. Ces qualités lui ont permis de vaincre deux crises et d’imposer peu à peu Raisner Group comme un acteur important de l’immobilier de Brooklyn, dans des volumes d’affaires qui peuvent aller de 1 à 100.

Mais au fil de la conversation, on découvre aussi que le personnage est beaucoup plus éclectique qu’il n’y paraît. Car Rémy est aussi journaliste à sa manière, chroniqueur sur des sujets qui, parfois, débordent de sa compétence première. Et dans des médias dont les noms font rêver bon nombre de pigistes: Huffington Post, Forbes, Le Monde… Ces expériences certes lui « aèrent l’esprit », mais contribuent aussi et surtout à faire de lui un homme multicarte. Ce qu’il voulait être quand il a débuté… Pour le cas où les crises seraient plus fortes que lui.

Listen to “Episode 49: Rémy Raisner” on Spreaker.

Expatriés : préparez votre retraite dès le début de votre vie active

[Article sponsorisé] Vous travaillez à l’étranger ou vous envisagez de le faire ?
Voici des conseils pour optimiser le montant de votre future retraite.

Je pars travailler à l’étranger : ai-je intérêt à adhérer à la Caisse des Français de l’Etranger (CFE) ?

Tant que vous continuez à percevoir des bulletins de salaires français et que vous cotisez en France, cela n’aura aucune incidence sur votre future retraite, quel que soit le pays dans lequel vous allez travailler.

À l’inverse, la situation diffère si vous êtes expatrié avec un contrat de travail local. Dans ce cas, vous ne cotiserez plus en France mais dans votre pays d’expatriation. S’il s’agit d’un pays de l’espace économique européen ou d’un pays qui a signé une convention bilatérale de Sécurité Sociale avec la France, vos périodes à l’étranger seront alors prises en compte pour déterminer votre durée d’assurance “tous régimes confondus” en tant que trimestres validés.

Cela signifie que ces périodes à l’étranger seront retenues pour calculer la durée d’assurance qui sert à déterminer si vous avez le droit au taux plein ou non. En revanche, cela ne sera pris en compte ni pour le calcul de votre salaire annuel moyen, ni pour apprécier votre durée d’assurance dans le régime général français.

Si vous partez dans un pays qui n’a pas signé de convention de sécurité sociale avec la France, vos périodes d’expatriation ne seront pas retenues, sauf si vous adhérez à la CFE, auquel cas vos trimestres seront décomptés en tant que trimestres cotisés avec report de salaire sur votre compte.

Si votre employeur a prévu de cotiser pour vous, là encore, la question ne se pose pas. Peu importe si l’opération est rentable ou pas, dès lors que cela ne vous coûte rien !

Préparer sa retraite grâce à l’investissement

Investir dans l’immobilier dès le début de la vie active permet de préparer sa retraite en créant un patrimoine solide sur le long terme.

Expat’Invest vous accompagne dans votre investissement.

Vous souhaitez :

– Vous construire un patrimoine immobilier solide et durable
– Préparer votre retraite
– Protéger vos proches
– Percevoir des revenus défiscalisés*

En investissant avec Expat’Invest, vous bénéficiez des avantages de la location meublée gérée et profitez de l’expertise d’Expat’Invest pour toute la gestion du bien : recherche de locataires, état des lieux, quittances, paiement des charges, entretien… Un avantage non négligeable lorsque l’on vit à l’étranger.

Expat’Invest vous accompagne dans vos investissements immobiliers locatifs en France grâce à un dispositif 100% digital : informations, signature de la réservation, suivi administratif et acte de vente.

* Dans le cadre de la Location Meublée Non Professionnelle (LMNP), revenus nets d’impôts à due proportion du montant des investissements. Source Nathalie Cheysson-Kaplan, 28/04/ 2021, www.capital.fr

Qu’est-ce que l’investissement locatif géré ?

L’investissement en LMNP (Location Meublée Non Professionnelle) vous permet de devenir facilement propriétaire d’un bien immobilier meublé tout en le mettant en location. Vous bénéficiez alors de revenus locatifs et vous vous constituez un capital sur le long terme. Ce statut vous permet en outre de générer des revenus complémentaires rapidement et de bénéficier d’avantages fiscaux très intéressants.

Le LMNP géré vous aide également à investir sans avoir à vous occuper de la gestion de votre bien. Réside Études, expert de l’investissement locatif meublé, vous décharge en effet de toutes les contraintes liées au statut de propriétaire telles que la recherche du locataire, mais aussi toutes les démarches administratives.

Pour aller plus loin : webinaires sur l’investissement locatif

Visionnez en rediffusion les webinaires organisés par Réside Études et l’Union des Français de L’Étranger, qui vous expliquent en détails les spécificités du statut LMNP, le bail commercial et comment optimiser votre épargne en vous donnant des solutions concrètes.

Les webinaires sont animés par les retours d’expériences de Léa Calhan et Marion Fougeret, conseillères en immobilier d’investissement Expat’Invest.

Replays

Le Webinaire du 4 février 2021 – L’immobilier géré
Le Webinaire du 10 juin 2021 – Optimiser son épargne 

Pour plus d’informations, contactez les conseillers Expat’Invest :
Sur le site : www.expat-invest-reside-etudes.com
Par téléphone : 01 88 88 10 69.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Où déguster une bonne glace cet été à New York ?

L’article préféré des gourmand(e)s. Voici nos adresses favorites dans la Big Apple.

Sugar Hill Creamery

Manger une glace à Sugar Hill Creamery, c’est un peu savourer un morceau de Harlem. Cette enseigne créée en 2017 par un couple d’entrepreneurs vivant dans le nord de Manhattan depuis quinze ans fait le bonheur des petits et grands enfants. Ses glaces aux noms amusants (“Sweet Socialism”, “Right thing to say”…) sont inspirées des racines caribéennes et “mid-western” de ses fondateurs, Nick et Petrushka Bazin Larsen. On vous recommande le “Harlem Sweeties” (brownie, caramel et miel). Le menu comporte également des glaces proposées en rotation et quelques spécialités (sandwich de glace, brownie sundae…). Sugar Hill Creamery, c’est deux magasins: l’un à Harlem (184 Lenox, entre 119 et 120th St) et, depuis 2020, à Hamilton Heights (3629 Broadway entre 149 et 150th St)

Tipsy Scoop

Bourbon, rhum, sangria, margarita… Histoire de faire gagner du temps et de titiller notre palais, Tipsy Scoop propose des glaces aromatisées à la liqueur à Kips Bay à Manhattan. Vous êtes plutôt mangue-margarita ou fraise-sangria? N’allez pas croire en tout cas que l’alcool s’est évaporé au cours de la préparation, chaque boule contient l’équivalent d’une bière légère. Vous aurez compris: l’abus de glace est dangereux pour la santé! Tipsy Scoop, 217 E 26th St. Deuxième adresse à Williamsburg, 270 Metropolitan Ave.

Leo

Un vrai trésor caché. Il faut passer la porte de la pizzeria Leo à Williamsburg et demander la seule glace servie ici, la “soft serve” (8$). Elle contient un sorbet fraise et melon, sur lequel sont versées quelques gouttes d’huile d’olive italienne qui font toute la différence. L’ensemble est délicieux tout en restant léger. Les parfums changent régulièrement. Les pizzas sont également très bonnes. Ouvert tous les jours de midi à 19h. 123 Havemeyer St.

Van Leeuwen

Parti d’un food truck à Brooklyn, ce glacier artisanal fête cette année ses 13 ans et compte la bagatelle de 17 adresses à New York et est également présent à Los Angeles. Parmi les parfums classiques, on vous recommande le très délectable Earl Grey. La marque propose une gamme vegan, parfaite pour ceux qui sont intolérants au lactose. Vous pouvez également retrouver leurs pots de glace dans de nombreux supermarchés gourmets. Multiples adresses à travers New York.

16 Handles

Une autre chaîne qui fait dans la glace pour le moins calorique. Ici on se sert soi-même et la spécialité du lieu est le “frozen yogurt”. Une fois ses parfums choisis, on ajoute des “toppings” sur le dessus, tout aussi coquins (ourson gélifié, morceaux de cookies, d’Oreo, etc). Cinq choix de taille de pots, le “medium” de 9oz (26cl) est bien assez gros. Une dizaine d’adresses à travers New York dont Manhattan et Brooklyn. Options vegan.

Découvrez trois superbes maisons situées à Larchmont, dans le Westchester

[Article partenaire] Le Lower Westchester continue d’attirer les acheteurs désireux de quitter la ville pour avoir plus d’espace, mais qui souhaitent néanmoins un trajet court pour retourner au bureau à temps plein ou partiel.

Il n’est pas trop tard pour acheter et profiter de l’été.

France Tucker, agente immobilière franco-américaine, connaît la région comme sa poche : elle vit dans le Westchester depuis que ses parents français expatriés y ont emménagé, en 1966. Elle nous présente trois joyaux actuellement sur le marché.

Une superbe maison coloniale en briques de 1947

Cette maison est située à Larchmont Woods, à quelques pas de la gare de Larchmont, et siège sur une magnifique propriété de plus d’un hectare, donnant sur une rue tranquille en cul-de-sac. La cuisine gastronomique est parfaite pour recevoir et s’ouvre sur une terrasse privée en bois et sur le jardin. La cinquième chambre et la salle de bain sont accessibles par un escalier séparé, idéal pour les invités ou une nounou. Un escalier complet mène au grenier, qui est considéré comme un espace de rangement aménagé mais qui n’est pas comptabilisé dans la superficie en mètres carrés, au même titre que le sous-sol, aménagé en salle de jeux. La maison a été magnifiquement entretenue au fil des ans, avec de nombreuses mises à jour récentes, y compris deux chargeurs de voiture électrique dans le garage pour une Mercedes et une Tesla.

Chambres : 5
Adresse : 184 Barnard Road, New Rochelle, NY 10804
Prix de vente : $1,345,000

Une magnifique maison familiale, en face d’un parc

Découvrez ce que cette maison située à Larchmont a à vous offrir : située à trois pâtés de maisons de l’école Chatsworth, en face du parc de l’école Hommocks, de la patinoire, de la piscine. Profitez de l’été à la plage Manor ; marchez, faites du vélo ou conduisez jusqu’à la gare de Larchmont. La maison occupe un emplacement de choix !

Chambres : 5
Adresse : 11 Birch Lane, Larchmont, NY 10538
Prix de vente : $1,135,000

Une maison coloniale chic et moderne 

Il s’agit d’une construction ultramoderne, au cœur de Larchmont Village, à un pâté de maisons de l’école Chatsworth et à quatre pâtés de maisons de la gare. Cette maison coloniale chic et moderne est le mélange parfait entre le traditionnel et le contemporain. Construite sur le site d’une maison plus ancienne, à l’exception des fondations d’origine qui ont été refaites, la maison est entièrement neuve. La porte d’entrée en acajou faite sur mesure s’ouvre sur une maison remplie de lumière, avec des plafonds de 12 pieds dans la cuisine/salle familiale et l’escalier flottant en acajou à tous les étages.

Chambres : 5
Adresse : 28 Wendt Avenue, Larchmont, NY 10538
Prix de vente : $2,499,000

Pour vos besoins immobiliers à Larchmont, n’hésitez pas à contacter France Tucker.

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Au Succulent, les mets sénégalais rencontrent la cuisine française à Park Slope

Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’aventure new-yorkaise de Mélanie et Xavier Delcourt a connu des rebondissements.

Originaire du Cameroun, Mélanie s’est formée à la cuisine en France, en passant par de nombreux établissements prestigieux comme le Ritz et le restaurant du Palais de Tokyo à Paris. “J’ai eu la chance de travailler avec les meilleurs comme Thierry Marx et Jean-François Piège”, précise-t-elle. C’est lors de vacances en famille aux États-Unis il y a quelques années que l’idée d’ouvrir un restaurant au pays de l’Oncle Sam émerge dans la tête du couple. “Xavier était plutôt partant pour San Francisco. Moi je ne rêvais que de New York”. 

Les deux amoureux tentent un premier projet à Manhattan en 2018 qui tourne rapidement au cauchemar. Ils dépensent des dizaines de milliers de dollars dans un local qui n’ouvrira jamais, s’estimant “volés par l’agent immobilier“. Le couple jette alors son dévolu sur Brooklyn et Park Slope, où ils ouvrent leur restaurant Le Succulent en janvier 2019, “un établissement semi-gastronomique avec des plats français et camerounais très travaillés”, présente Mélanie Delcourt. Leur première année est consacrée par un bel article publié par le New York Times en décembre.

Le couple est alors convaincu que son business va enfin décoller, mais c’est sans compter sur la pandémie qui force le restaurant a fermé ses portes en mars 2020. Depuis, Mélanie et Xavier Delcourt accumulent les retards de loyer face à un propriétaire non conciliant. Pire, ce dernier les poursuit aujourd’hui en justice pour le règlement des sommes impayées, ce qui met en péril la survie du Succulent. “On a l’impression de naviguer à vue au milieu de la tempête en ce moment”, résume Xavier, qui s’occupe du service. “On s’est encore une fois mal entourés car ne nous connaissons pas assez bien l’aspect légal aux États-Unis. Notre agent immobilier a mal négocié notre bail”, ajoute Mélanie.

Très inquiet, le couple met les bouchers doubles en cuisine pour espérer retrouver une activité plus normale. Mélanie a fait évoluer sa carte et propose désormais deux plats traditionnels sénégalais revisités, le Yassa (base de riz et d’oignons accompagnés de poulet ou poisson avec une sauce moutarde et citron), et le Chebu Jen (poisson faisandé avec ses légumes cuits dans un bouillon de tomate). “Le brunch est plus français avec notamment une salade niçoise, une césar et des crêpes parisiennes jambon fromage”, ajoute Mélanie. “Il y a peu de restaurants dignes de ce nom à New York qui proposent une cuisine française avec une vraie identité africaine”.

Le local situé à quatre blocs de Prospect Park dispose d’une trentaine de chaises. L’intérieur est sobre mais cosy. “On cible une clientèle qui apprécie manger des mets raffinés et qui veut passer un moment au calme, loin de l’agitation”, explique Xavier. La terrasse sur la rue peut également accueillir une dizaine de personnes. “On a mis des mois à obtenir une licence d’alcool. Ça nous permet enfin de proposer des bonnes bouteilles de vin et de la bière”, complète Mélanie.

Le couple espère relever la tête rapidement et vous attend nombreux dans son restaurant.

Le parc volcanique de Lassen, une excursion sulfureuse

Situé à 400 kilomètres au Nord-Est de San Francisco, le Lassen Volcanic Park fourmille de surprises : geysers bouillonnants, mares de boues odorantes, lacs cristallins, volcans et anciennes forêts de conifères. Des paysages sauvages qu’il est préférable de visiter entre juillet et septembre. La météo, plus clémente, permet d’accéder aux différentes parties du parc. Deux jours suffisent à le traverser, mais trois sont préférables pour profiter des très nombreuses randonnées qui le sillonnent. Tour d’horizon des incontournables.

Les stars du parc : les volcans

Dans la région, la terre s’exprime depuis des millions d’années. Elle abrite ainsi quatre types de volcans : stratovolcan, bouclier, cône et dôme de lave. Le plus connu, c’est le Lassen Peak, un volcan endormi qui domine le décor du haut de ses 3187 mètres d’altitude. Ascension et sensations lunaires garanties. Sa dernière éruption, en 1914, a entraîné trois ans de forte activité volcanique, ce qui qui a redessiné les paysages alentours. Aujourd’hui, on en admire les résultats : parties désertes, détruites par des coulées de lave (comme la Devastated Area) ; dômes volcaniques comme Chaos Crags, un ensemble de débris rocheux ; ou encore cônes de cendres comme Cinder Cone (2105 mètres) aux pieds duquel s’étendent des dunes de lave recouvertes de cendres (Painted Dunes).

L’animation hydrotermale

À une vingtaine de kilomètres sous la surface, du magma en fusion provoque encore des phénomènes géothermaux. Et pour les découvrir, détour par Bumpass Hell et Sulphur Works. Le premier site concentre le plus d’activité hydrothermale du parc. Il se parcoure via une randonnée se terminant sur des passerelles en bois. Le sentier de 4,8 km aller-retour évolue entre des sources en ébullition, des marres de boue chaude et des fumerolles dont l’odeur pique le nez. Le tout sur fond montagneux. Bien balisée, la promenade permet en outre d’apprécier de près les nuances de turquoise des eaux brûlantes.

Bumpass Hell
© Charlotte Attry

Le second site, Sulphur Work, est une zone moins vaste, le long de la route principale. Elle se repère grâce au dégradé d’orange, jaune et ocre de la roche locale. On y trouve la même activité géothermale qu’à Bumpass Hell et la même odeur d’œuf pourri. Cette dernière est liée au gaz volcanique produit par le magma : l’hydrogène sulfuré.

De lac en lac

Formés à la fonte des glaciers, de nombreux lacs sont éparpillés dans l’ensemble du parc. Et si l’on emprunte la route scénique qui le traverse du Nord au Sud sur 48 kilomètres, on peut s’arrêter sur les rives de plusieurs d’entre eux, faire du kayak, pêcher ou se baigner. Parmi les plus réputés : Manzanita Lake (dont on peut faire le tour et où se trouvent des chalets, un camping et un musée), Juniper Lake (le plus grand avec les lacs de Butte et Snag), Helen Lake (à 2500 mètres d’altitude), Emerald Lake ou Summit Lake. De plus petits lacs blottis entre les monts se méritent en s’éloignant davantage.

Avec tout ça, pas étonnant que certains surnomment le Lassen Volcanic Park le Yellowstone de Californie.

7 “farmers markets” où trouver des produits locaux à Miami

Tomates gorgées de soleil, mangues sucrées et juteuses ou encore fraises parfumées : chaque saison apporte son lot de saveurs qui abondent par cageots sur les étals des marchés de producteurs locaux de Miami et ses alentours.

Coconut Grove Saturday Organic Farmers Market

Les amateurs du genre affluent chaque samedi de 10am à 7pm sur Grand Avenue dans le quartier de Coconut Grove, où depuis près de deux décennies le Coconut Grove Saturday Organic Farmers Market est un parfait exemple d’agriculture biologique. Ce marché fermier est une étape incontournable pour faire le plein de fruits et légumes frais, d’épices, de miels ou encore goûter à une panoplie de fromages artisanaux. 3300 Grand Ave, Miami – (305) 238-7747 – Infos ici

Vizcaya Village Farmers Market

Chaque dimanche de 9am à 2pm, le Vizcaya Village Farmers Market offre une pause bucolique au coeur d’un site de cinq hectares implanté dans le quartier de Coconut Grove en face de la villa Vizcaya, édifiée il y a plus d’un siècle par James Deering, et de ses jardins à la française. Ce marché bio de producteurs locaux accueille quelques étals, tous plus colorés les uns que les autres, proposant tous les produits du quotidien. 3250 S Miami Ave, Miami – (786) 600-0120 – Infos ici

Market at MDD

Aux côtés des marques mondiales clinquantes du luxueux centre commercial à ciel ouvert de Design District, qui s’articule autour de deux zones piétonnes, une poignée de producteurs et artisans locaux prennent leurs quartiers chaque dimanche de 1pm à 6pm sur Jungle Plaza à l’occasion du Market at MDD. D’un étal à l’autre, les principes sont identiques : le local et le bio règnent en maîtres. 3801 NE 1st Ave, Miami – (305) 318-6148 – Infos ici

Aventura Market

Autre temple de la consommation, Aventura Mall, l’un des plus grands centres commerciaux de Floride, abrite chaque samedi (de 10am à 9pm) et dimanche (de 12pm à 8pm) les stands colorés de plus de 80 vendeurs lors de l’Aventura Market. Vous pourrez y dénicher des objets d’artisanat local, des confitures, des confiseries, des épices ainsi que vous rafraîchir en sirotant un jus de fruits garanti sans résidus de pesticides ou encore en dégustant une glace artisanale. 19501 Biscayne Blvd, Aventura – (305) 935-1110 – Infos ici


Lincoln Road Farmers Market

S’étalant chaque dimanche de 9am à 6:30pm le long de la plus ancienne rue commerçante de Miami Beach, le Lincoln Road Farmers Market est le marché fermier le plus connu et le plus touristique de la ville. Permettant de s’approvisionner en produits frais et de qualité, tout en soutenant l’économie locale, vous y trouverez des fruits et légumes, des fleurs fraîchement coupées, quantité de pains artisanaux, du miel, ou encore des confitures faites maison. Lincoln Road, Miami Beach – (305) 531-0038 – Infos ici

Yellow Green Farmers Market

Toujours animé depuis sa création à Hollywood, le Yellow Green Farmers Market renferme chaque samedi et dimanche de 9am à 4pm bon nombre de producteurs locaux et regorge de stands rivalisant de couleurs et de saveurs. De la boucherie à la boulangerie en passant par le primeur et la poissonnerie, vous n’aurez que l’embarras du choix. À côté des étals de produits frais, le lieu accueille également une multitude de vendeurs de vêtements, d’art ou encore de bijoux, ainsi que de petits stands de restauration où vous pourrez déguster une cuisine variée et bon marché. 1940 N 30th Rd, Hollywood – (954) 513-3990 – Infos ici

Robert Is Here

Permanent et ouvert tous les jours de 9am à 6pm, Robert Is Here est une véritable institution à Homestead. Le lieu dispose de stands colorés regorgeant de fruits et légumes locaux et exotiques allant des avocats aux caramboles en passant par les sapotes et les papayes. Comme son nom l’indique, Robert Moehling, le fondateur de l’établissement, officie au quotidien derrière son comptoir et propose par ailleurs bon nombre d’épices, quelques herbes fraîches, d’appétissants chutneys ainsi qu’une vaste gamme de miels. 19200 SW 344th St, Homestead – (305) 246-1592 – Infos ici

Mode, livres, comédie, coaching de vie : les multiples vies d’Elodie Attias

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Se battre contre un cancer, suivre une carrière dans l’entreprise familiale, créer une entreprise de coaching, monter un one-woman show, écrire deux livres… Du haut de ses 39 ans, Elodie Attias semble avoir vécu plusieurs vies. Mais elles sont en fait toutes imbriquées.

Si l’entrepreneuse lance aujourd’hui The HeartWorkers, (inaugurée le 8 juillet), c’est grâce à son instinct. Une “impulsion” qui l’a notamment poussée à participer à la loterie de la carte verte en 2003 alors qu’elle devait partir finir ses études à Milan. Ce fameux sésame lui a sauvé la vie. “J’ai remporté la loterie et j’ai continué les démarches, qui comportaient une radio des poumons et un examen du sang”, explique la Française. C’est lors de ces examens que les médecins lui découvrent une tumeur osseuse.

Cette histoire et son combat contre le cancer qui durera plusieurs mois, elle les raconte dans son livre “The Lucky Card” (“La carte chance”). En rémission à l’âge de 25 ans, la jeune femme est alors tiraillée entre l’envie de poursuivre l’héritage familial, au sein d’Attias group (agent de sourcing pour l’industrie de la mode) ou d’écouter son côté artistique. La deuxième option l’emporte, Elodie Attias s’inscrit dans une école de comédie musicale.

Mais ses hésitations ont la vie dure… Au lieu de partir en tournée, elle rejoint finalement l’entreprise familiale, pour laquelle travaille déjà sa soeur jumelle. Sa vie est alors toute tracée : elle rencontre celui qui deviendra son mari, s’installe à Paris où elle crée un département accessoires chez Attias Group. “Mais je m’éteignais, je ne me sentais plus vivante”, se souvient-elle. Elle décide alors de tout quitter, “de suivre son intuition” et part à New York en 2015. Mais sa carte verte est devenue caduque.

Ce nouvel obstacle ne l’arrête pas. Elle postule à un VISA O-1 avec l’objectif de transformer son livre en script pour en faire un film. À Los Angeles, où elle subvient à ses besoins grâce à ses économies et écrit son second livre “We are heroes”, ce sont d’autres sirènes que celles d’Hollywood qui l’attirent. “Je me suis découvert une passion pour l’évolution de la conscience, dans le fait d’aider les autres et de développer mon intuition”, assure Elodie Attias. Elle se rend compte qu’elle coache naturellement les personnes qu’elle rencontre, enorgueillie par les apprentissages de ses changements de vie successifs. Cette nouvelle voie la pousse à se former au coaching ontologique, au “sound healing” (thérapie musicale) et au “restorative yoga”, jusqu’à devenir coach de vie.

“Je veux aider les gens à découvrir l’intelligence du coeur (un état de conscience qui se caractérise par la compassion, l’amour et la reconnaissance), les aider à traduire leurs émotions et à accéder à leur plein pouvoir”, définit-elle. “Grâce à mes “outils”, j’arrive à gérer mon empathie et ressens les énergies en mouvement.” Capable de parler des heures du sujet avec passion, elle rencontre ensuite Aurélie Brisac à Los Angeles, directrice de l’innovation pour l’association Green Dot Public Schools.

Les deux amies viennent de lancer ensemble The HeartWorkers, entre la France et les États-Unis. Avec cette structure, leur but est “d’aider les personnes à découvrir leur intelligence du coeur au travers de cours en ligne (un sur l’éveil et la liberté, un autre sur l’intuition), de coaching pour particuliers, ainsi que de retraites spirituelles (en physique et en virtuel). Elles ont aussi écrit une trilogie destinée aux enfants et adolescents intitulée “Rishi”, une sorte de “Petit Prince”.

Toujours aussi créative, Elodie Attias a également monté un one-woman show intitulé “Elo… Dis Nous Tout !” qu’elle a joué au Santa Monica Playhouse. La Française s’amuse à utiliser l’humour, “qui permet de se détacher de ses émotions, d’aider les gens à découvrir leur vraie nature et à faire confiance en la vie”. Plus généralement, chacun de ses projets sont “destinés à aider les gens et donner de l’espoir”. 

4 activités à faire à Puerto Escondido, la perle mexicaine du Pacifique

Puerto Escondido, le “port caché” en français, porte très bien son nom. Située à seulement une heure de vol au sud de Mexico City, cette petite ville de la côte pacifique du Mexique est un trésor encore à l’abri du tourisme de masse. Réputée pour ses magnifiques plages, ses surfeurs et sa faune marine, Puerto Escondido est la destination idéale au départ des États-Unis. Voici quatre activités pour profiter de votre séjour sur place.

Rapprochez vous au plus près des dauphins

Crédit photo : Omar’s Sportfishing & tours à Puerto Escondido

Le centre-ville de Puerto Escondido dispose d’une grande plage appelée “Playa Principal” où de nombreux bateaux sont ancrés dans l’eau, de retour de la pêche ou en attente de touristes. C’est ici que vous trouverez Chencho, un local d’une soixantaine d’années qui organise des sorties pour aller voir les dauphins dans la baie. Les départs sont organisés tout au long de la semaine au lever du soleil à 7am, et il est possible de partir entre une heure et trois heures en mer (50$ pour deux personnes l’heure). Le départ du port est impressionnant puisqu’on dispose derrière nous d’une vue sur la Sierra Madre del Sur, une chaîne de montagnes à la végétation dense où se trouve Oaxaca City, la capitale de l’Etat du même nom. Une fois au large, les dauphins ne tardent pas à faire leur apparition et à venir s’amuser en nageant autour du bateau. Lors de note visite le 28 juin, nous avons pu en voir une dizaine à un mètre de nous à peine. Trois espèces vivent dans les eaux de Puerto Escondido : grand dauphin, dauphin à long bec et dauphin tacheté. Pour contacter “Capi” Chencho par WhatsApp : +52 954 102 4023.

Surfez sur des vagues de quatre mètres

Crédit photo : Oasis Surf & Spanish School

Puerto Escondido offre une atmosphère très particulière héritée du mouvement hippie dans les années 1970. Ici, les routes sont encore en terre ou en sable par endroit, et les bars et restaurants sont fait de bric et broc. C’est aussi et surtout LE repaire des surfeurs qui viennent profiter de conditions exceptionnelles: des vagues énormes de quatre à dix mètres pendant la saison des pluies (mai à septembre). Les plus expérimentés se donnent rendez-vous sur la grande plage de Zicatella (3km de long au sud du centre ville), mais il est également possible de vous tester au surf si vous êtes débutant à la plage Carrizalillo, une magnifique crique un peu plus en retrait de l’océan où les vagues sont moins délirantes (sud-ouest du centre ville).

Observez et nagez au milieu du plancton phosphorescent

Crédit photo : Vidasurf ecotours

C’est une autre activité immanquable dans la région. Le lagon de Manialtepec se situe à une vingtaine de minutes à l’Ouest de Puerto Escondido. Plusieurs agences locales comme Vidasurf Ecotours organisent des sorties de trois heures à la tombée de la nuit pour aller observer un phénomène rare : de microscopiques organismes marins qui fabriquent de la lumière grâce un procédé chimique appelée bioluminescence. Après être arrivé sur place (vers 8pm), votre guide vous expliquera tout ce qu’il y a à savoir sur l’écosystème du lagon et sur ces mini créatures intrigantes. Vous embarquerez ensuite sur un bateau pour vous baigner dans le noir au milieu de cette lumière bleue magique… Un moment inoubliable qui vous coûtera seulement 25$ par personne.

Libérez des bébés tortue à l’eau

Crédit photo : Maxime Aubin

Les habitants de Puerto Escondido et de sa région sont très engagés dans la protection des tortues marines, une espère menacée. Située à une 40aine de kilomètres de la ville à l’Est, le centre éco-touriste Escobilla est une association composée uniquement de bénévoles qui récoltent les oeufs des tortues sur la plage Escobilla pour les mettre à l’abri des prédateurs (oiseaux et crabes principalement). Pour seulement 11$ par personne, un guide vous accompagnera jusqu’à ce sanctuaire où naissent tous les jours plus de 300 bébés tortue. Vous pourrez choisir votre ou vos petits préférés que vous relâcherez ensuite sur la plage, à quelques mètres des vagues. Observez ces bébés tortue se tirer la bourre et se diriger naturellement vers la mer est une expérience assez extraordinaire.

French Expat le Podcast : la peur en avion épargne-t-elle les expats?

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Le stress et la peur de l’avion sont des phénomènes normaux qui touchent bon nombre de personnes. On aurait tendance à penser que les expats et les grands voyageurs, ayant l’habitude, ne sont pas touchés par cette phobie. Pourtant, il semblerait que nous ayons tord. Cette semaine, le podcast part en reportage pour suivre des experts en la matière. 

Moi c’est Anne-Fleur. Vous connaissez sans doute ma voix car je suis l’hôte du podcast. Je vis aux Etats-Unis depuis un peu plus de 10 ans. J’ai toujours beaucoup voyagé, à la fois pour le boulot et pour mes loisirs. Sauf depuis environ 18 mois : avec l’arrivée de la pandémie, comme quasiment tous les habitants de la planète, j’ai dû arrêter d’un coup. Et puis il y a quelques semaines, j’ai décidé de rentrer faire une visite surprise pour le mariage de ma sœur fin mai. Et … surexcitée d’enfin retrouver ma famille, une fois les billets réservés, j’ai commencé à faire des cauchemars toutes les nuits menant à ce voyage. Moi qui n’avais jamais eu trop peur en avion, j’étais terriblement anxieuse à l’idée de me retrouver dans les airs au-dessus de l’océan. De perdre le contrôle. De mettre mon petit garçon, qui voyageait avec moi, en danger.

À mon retour, j’ai lancé un sondage sur mon compte Instagram, principalement suivi par des expats francophones autour du monde. Sur 575 réponses, pas moins de 35% des répondants m’ont avoué avoir peur en avion. Ça fait quand même plus de 200 personnes. Alors oui, je me suis sentie moins seule mais en engageant la conversation avec certains d’entre eux, j’ai réalisé que cette peur pouvait être très handicapante pour bon nombre d’expatrié.e.s. Mais aussi pour ceux qui doivent voyager pour le boulot et n’osent pas avouer leur peur, les grands-parents de nos enfants qui ont peur de monter dans l’avion pour venir rencontrer leur famille à l’autre bout du monde, les mamans qui doivent voyager seule avec leurs enfants. Les exemples ne manquent pas.

C’est le début des congés d’été. Bon nombre d’entre nous s’apprêtent à repartir en voyage pour la première fois depuis longtemps, et certains d’entre nous sont anxieux. Alors je suis partie à la rencontre du centre de gestion du stress aéronautique d’Air France pour vous faire découvrir quelques moyens de mieux vivre ce stress. J’ai aussi discuté avec Anthony Deringer, un de mes invités de la saison 1 que l’expatriation avait permis de se reconvertir en pilote de ligne.

En général, à la fin de chaque épisode, on vous donne quelques conseils pour découvrir la destination de notre invité. Aujourd’hui comme nous avons établi que la peur de l’avion n’épargne pas les expats, on a décidé de vous partager quelques pistes pour surmonter votre peur de l’avion, si comme nous vous êtes dans la team stressée (yeah ?) :

  1. Tester la sophrologie : La sophrologie est un ensemble de techniques mentales qui agissent sur le corps pour équilibrer les émotions et les sensations corporelles. Il peut s’agir d’exercices de visualisation mentale ou d’exercices de respiration par exemple. Et si vous n’avez pas le temps d’aller voir un.e sophrologue avant votre prochain vol, il existe des vidéos youtube qui en quelques minutes vous forcent à travailler sur la perception de votre environnement et votre respiration.
  2. Donner sa chance à l’hypnose. Cette méthode s’est prouvée efficace pour améliorer le sommeil, le système immunitaire, aider à arrêter de fumer ou diminuer le stress. C’est donc en toute logique qu’elle pourrait fonctionner pour la peur de l’avion. Et pour ceux qui ont peur de ne pas se souvenir de leur séance, sachez que l’hypnose ne supprime pas vos souvenirs et vous serez complètement conscient tout le long de votre session.
  3. Communiquer avec le personnel de bord : ils sont là pour vous rassurer, ça fait partie de leur entraînement et de leur job et si on en croit notre pilote interviewé, ça leur fait même plaisir :).
  4. Échanger avec un psychologue. Car oui la peur de l’avion est une phobie comme une autre, qui peut être adressée et comprise grâce à un introspection plus profonde sur les raisons de son existence.
  5. Donner un sens positif à vos déplacements en avion : l’associer à du positif en long en large et en travers. Se rappeler que voyager ça peut signifier retrouver son amoureux au bout du monde, partir en vacances, retrouver ses proches enfin!
  6. Tester le stage Anti-Stress Air France ou celui d’une autre compagnie selon où vous vous trouvez dans le monde. Ces stages sont conçus spécialement pour vous rassurer et vous donner les outils grâce à des rencontres avec du personnel naviguant ou même des exercices en simulateur.

Si vous avez aimé l’épisode, rendez-vous sur Apple Podcast, Tumult ou Castbox pour lui donner 5 étoiles et un commentaire.

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Phoenix, Arizona, le nouvel Eldorado pour les investisseurs immobiliers

[Article partenaire] JustInvestNow, spécialiste de l’investissement immobilier aux USA, se développe encore une fois ! Vous devinez où ?
Bienvenue à Phoenix, Arizona !

Pourquoi JIN se développe-t-il en Arizona?

– Toujours dans le but d’offrir à ses clients une diversification de patrimoine, JIN vous propose, cette fois-ci, de le faire en profitant du soleil de l’Arizona.

– L’Arizona, l’Etat du Grand Canyon et du désert de Sonora, est un marché en pleine croissance, de par son immigration constante, l’implantation de grandes entreprises et son tourisme local.

– JIN veut profiter des opportunités immobilières actuelles avant que les prix n’augmentent et deviennent inaccessibles.

Le fonctionnement de cet investissement

– Cet investissement est similaire au concept du “TimeShare“. Chaque propriété est détenue par un nombre prédéfini d’actionnaires qui se partagent les bénéfices à hauteur de leur investissement.

– Les actionnaires peuvent profiter du bien pour leurs vacances et il sera loué, le reste de l’année, en Airbnb.

– Les parts seront proposées sur la base de la valeur de la maison une fois les rénovations terminées. Le coût des parts vendues sera en général de 20% de la valeur de la maison, soit une moyenne de 5 propriétaires par maison.

JIN s’occupe de la gestion complète du bien.

Les produits de JustInvestNow à Phoenix

Localisation : Scottsdale

– Produit exclusivement de type Airbnb.
– Rendement locatif de 6 à 10%.
– Prix d’achats entre $350,000 à $1,000,000 (cela varie en fonction des quartiers, de la surface, etc).
– Toutes les maisons comprennent une piscine privée.

Pourquoi investir à Phoenix et plus précisément à Scottsdale ?

– Environ 100,000 personnes ont déménagé en Arizona en 2020 pour bénéficier d’une meilleure qualité de vie comparée à celle de Californie et ce, sans sacrifier le climat chaud. La côte californienne reste à seulement 5 heures de route.

– Scottsdale est une ville en pleine expansion située à 5 minutes de Phoenix et qui est considérée comme le Beverly Hills de Los Angeles.

– C’est aussi une ville pleinement active avec de nombreux bars, restaurants ou hôtels (800), tous récemment construits.

– Phoenix et Scottsdale sont des villes dites “neuves”.

– En quelques mots : un climat chaud et ensoleillé, une population croissante, de nouvelles entreprises qui continuent de s’implanter, une économie stable, une ville animée dont la valeur augmente, ainsi qu’une excellente plus-value pour les biens immobiliers.

Des faits

– La population de Phoenix et sa région continue de croître avec un afflux de personnes en provenance de Californie ou du Midwest.

– De nouveaux développements importants sont en cours, tels que Ritz Carlton et Fendi, avec la construction d’une sous-division de maisons à Scottsdale. Ce type de projets attire une nouvelle population, qui fait prendre de la valeur à la ville de Phoenix et sa région.

Un peu plus sur la ville de Phoenix

Phoenix, capitale de l’Arizona, est située au sud-ouest des États-Unis. Sa région est prisée pour son climat chaud et ensoleillé, mais aussi pour sa vaste zone métropolitaine, composée de plusieurs villes, surnommée la Vallée du soleil. La ville de Phoenix est connue pour ses stations thermales haut de gamme, ses parcours de golf conçus par Jack Nicklaus, et ses boîtes de nuit animées. Autre site d’intérêt : le jardin botanique du désert qui expose une grande variété de cactus et plantes locales.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site internet de JustInvestNow.

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Note: le contenu “partenaire” n’est pas écrit par la rédaction de French Morning. Il est fourni par ou écrit sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Le groupe français Alstom va livrer ses premières rames de TGV aux Etats-Unis

L’équipementier ferroviaire Alstom a décroché il y a cinq ans le contrat de modernisation des trains de la ligne reliant Boston à Washington, D.C. La livraison des 28 rames commandées, initialement prévue pour juin dernier, est désormais imminente. « La première rame, en attente des derniers accords avec le client au niveau des inspections, est sur le point de quitter le site », indique Didier Cuadrado, directeur du projet. Leur mise en service est maintenue pour 2022.

Le Français connaît bien la boutique, où il travaille depuis 22 ans. « J’ai commencé en France en 1999, où je faisais déjà partie des équipes en charge du premier train Acela, qui circule actuellement entre Boston et Washington, D.C. » Pour cet appel d’offres, il se souvient que l’entreprise « a fait face à ses concurrents européens habituels : Siemens, Bombardier, CAF et Talgo. Les Chinois n’étaient pas présents, et les Japonais ont rapidement jeté l’éponge. »

En vertu du Buy American Act (législation protectionniste selon laquelle les achats directs du gouvernement fédéral américain concernant les transports publics doivent être produits aux Etats-Unis), la fabrication des nouvelles rames à grande vitesse est majoritairement assurée sur place, dans la petite ville new yorkaise d’Hornell. Alstom a toutefois obtenu des dérogations, qui concernent essentiellement « les chaudrons des voitures passagers, fabriqués dans notre usine en Italie ; et les composants de système de freins, qui ne sont pas disponibles en Amérique du Nord car nous utilisons une technologie européenne », explique Didier Cuadrado. Basé en banlieue de New York, il passe 80% de son temps à Hornell, dans l’ouest de l’Etat. « La ville a joué un rôle central dans la maintenance des locomotives à vapeur jusqu’à la moitié du XXe siècle, et même un peu après », rappelle-t-il. « Son déclin s’est amorcé avec l’expansion de l’automobile et de l’avion. » En 1987, Alstom y rachète une usine. Le groupe y emploie aujourd’hui plus de 800 ouvriers, se plaçant ainsi comme le premier employeur de la municipalité.

Assemblage de la voiture-bar des nouvelles rames Avelia Liberty dans l’usine Alstom à Hornell (Amtrak)

L’entreprise française assurera la construction et la maintenance des rames à grande vitesse pour Amtrak. « Sur le modèle des TGV français, chaque rame comportera deux motrices et un certain nombre de voitures passagers neuf dans le cas du modèle Avelia Liberty, dédié au marché américain », détaille Didier Cuadrado. Onze voitures donc au total, avec la possibilité d’en ajouter trois supplémentaires pour s’adapter au flux de voyageurs. La capacité de ces nouveaux trains est fixée à 386 passagers, soit une augmentation d’environ 25% par rapport aux anciens.

Amtrak envisage d’utiliser l’Avelia Liberty à 160 miles par heure, soit un peu moins de 260 kilomètres par heure. « Nous le testons à près de 280 kilomètres par heure, mais le train a été conçu pour aller jusqu’à 300 », précise Didier Cuadrado, ajoutant qu’« aux Etats-Unis, le voies ne permettent pour l’instant pas d’atteindre cette vitesse là. »

La proposition de l’administration Biden d’investir quelque 620 milliards de dollars dans les transports a été particulièrement bien accueillie par Alstom, qui « espère voir une montée assez rapide des commandes liées au fait que le gouvernement américain essaie de pousser les infrastructures ferroviaires ». Didier Cuadrado rappelle que « les Etats-Unis ont été l’un des pionniers du rail. Certains corridors régionaux ont définitivement de l’avenir : entre Boston et Washington, D.C. par exemple, mais aussi entre Saint-Louis et Chicago, Dallas et Houston, San Francisco et Los Angeles, ou encore Portland, Seattle et Vancouver. »