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Bastille Day 2021 : où fêter le 14-Juillet à Los Angeles ?

Le Bastille Day 2021 va être gourmand et rythmé à Los Angeles. Il faut bien rattraper la précédente édition qui s’est déroulée en plein confinement. Tour d’horizon des événements à ne pas manquer mercredi 14 juillet.

Concert, film et tombola chez Coucou
La fête nationale française aura des airs de fête des voisins chez Coucou, une école de cours de français à Silver Lake. Les festivités débuteront à partir de 5pm. Après une visite de l’école, les invités se délecteront d’un apéro en écoutant le concert de Keveen Baudouin et Todd Dahlhoff (7pm) sur la terrasse de Coucou. Puis, suivra la projection de courts-métrages français (C’était un rendez-vous de Gilles Lelouch et Je sens le beat qui monte en moi de Yann Le Quellec) en partenariat avec la Vidéothèque, et une invitation à s’enjailler sur le dance floor jusqu’à 11pm. En parallèle, une tombola est organisée (permettant de gagner des cours chez Coucou, du vin français, du cidre Aval, des cours chez Paris Pilate ou des produits français de Loupiotte Kitchen) tout au long de l’événement pour collecter des fonds pour 826LA, une organisation à but non lucratif dédiée à soutenir les étudiants âgés de 6 à 18 ans. Coucou Los Angeles, 2400 Hyperion Ave, Suite 1A, Los Angeles. RSVP auprès de [email protected].

Voir en bleu-blanc-rouge au Beverly Center
L’ambiance sera également bleu-blanc-rouge au Beverly Center, où le 6e étage se transforme en French Quarter, le 14 juillet de 1pm à 5pm. Cet événement façon “Place du Tertre” regroupera plusieurs performances artistiques mettant en avant la culture française (French Cancan, chant, dessin, peinture, etc). Vous pourrez aussi vous délecter de macarons et mini viennoiseries tricolores devant un écran représentant une rue parisienne. Bonus : sur place (mais aussi dans sa boutique à Downtown), Pitchoun Bakery a imaginé éclairs, tartelettes, croissants, choux, ainsi que d’autres viennoiseries et pâtisseries aux couleurs de la France. Beverly Center, 8500 Beverly Blvd, Los Angeles.

Une fête gourmande chez Loupiotte Kitchen
Du côté de Los Feliz, Loupiotte Kitchen met les petits plats dans les grands. Sarah Bessade et Antoine Blandin hébergent une belle fête le 14 juillet (sans réservation) avec de la musique. Pour l’occasion, ils ont prévu un menu spécial ($45) à base de kir, oeufs mayonnaise, moules-frites et mousse au chocolat. Les Français et francophiles sont attendus entre 6pm et 9:30pm. Loupiotte Kitchen, 1726 N Vermont Ave, Los Angeles.

De la pétanque chez Sweet Lily
Qui dit 14-Juillet, dit bien souvent concours de pétanque chez Sweet Lily Bakery. Près de Toluca Lake, Thibaut Leymarie et Marine Le Faucheur ont souhaité célébrer la fête nationale en grande pompe avec un buffet sucré (crêpes, éclairs, macarons, choux…) et salé (sandwich, pizza, burger, salade), accompagné d’un verre de Pastis. Car tirer ou pointer, ça creuse. Les festivités débuteront mercredi 14 juillet à 5pm. Comptez $48 par adulte, $25 par enfant. Sweet Lily Bakery, 3315 Cahuenga Blvd W, Los Angeles. Réservations au (323) 499-1888.

Se déhancher à la soirée de French Tuesdays
Chaque année, la soirée “Bastille Day Celebration” organisée par French Tuesdays déplace les foules. Et elle revient en force à La Boheme, à West Hollywood, mercredi 14 juillet de 6 pm à minuit. Pour vous fondre dans l’ambiance, une tenue bleu-blanc-rouge est vivement recommandée. Tickets à partir de $15. La Boheme, 8400 Santa Monica Boulevard, West Hollywood.

Un “happy hour” de folie à Garçons de Café
Le “Bastille day” sera synonyme d’happy hour prolongé chez Garçons de Café à Downtown. Les propriétaires l’étendent de midi à 10pm, proposant vin et bières pour $7, des plateaux de charcuterie ou fromages à $10, mais aussi du houmous et des sandwiches. L’ambiance y sera à la bonne franquette avec une décoration appropriée et un fond sonore patriotique. Garçons de Café, 541 S Spring St UNIT 114, Los Angeles.

Une belle fête chez Chef Josette
Vous allez pouvoir guincher chez Normandie Bakery. La cheffe Josette organise une grande fête mercredi 14 juillet, de 4pm à 9pm dans son patio de West Adams avec un concert de The French Toasts. Aux fourneaux, elle a concocté un menu ($49) avec plateau de charcuterie et fromages, un plat (burger, merguez ou poulet mariné) accompagné de salade, et en dessert une tarte aux pommes normande ou une mousse au chocolat. Possibilité d’amener son vin ($20 de droit de bouchon). Normandie Bakery, 3022 S Cochran av, Los Angeles. Réservations à [email protected].

Coq au vin et accordéon chez Monsieur Marcel
La gastronomie française sera mise à l’honneur chez Mr Marcel au Grove. Le chef Christophe Breat propose aux clients un menu spécial comportant une planche de charcuterie ($32), du coq au vin ($26), des merguez ($18), ainsi qu’une tarte tatin ($13). Et pour vous mettre dans l’ambiance, le repas (de 11am à 8pm) sera rythmé par un accordéoniste de 4 à 8pm. Monsieur Marcel, 6333 W 3rd Street, Los Angeles. Réservations au (323) 939-7792.

Le Marais Bakery s’installe à Mill Valley

Après deux ans et demi d’attente et de travaux, le Marais Bakery a enfin ouvert ses portes en plein coeur de Mill Valley, à trente-cinq minutes au nord de San Francisco. Cette ouverture est une extension naturelle au succès que rencontre Le Marais à San Francisco, où la boulangerie compte déjà trois enseignes, dans la Marina, le Castro et Polk Gulch. “Nous avons beaucoup de clients qui n’hésitent pas à traverser le Golden Gate pour venir nous rendre visite à San Francisco“, souligne Patrick Ascaso, fondateur du Marais. “Nous avons trouvé un endroit idéal, très lumineux, dans un ancien entrepôt entièrement rénové pour accueillir un restaurant.” 

Le Marais Bakery à Mill Valley a d’abord ouvert la boulangerie début juin, et propose désormais son menu bistro du jeudi au dimanche. “Notre objectif est d’étendre ces horaires, pour ouvrir le bistro tous les jours et même le soir. Pour le moment, le manque de personnel, cuisiniers et en salle, nous en empêche.”

Pour diriger les cuisines de Mill Valley et de Castro désormais, Patrick Ascaso a fait appel à un ami de longue date, Emmanuel Pradet, rencontré il y a plus de trente-cinq ans : “Nous avons travaillé ensemble dans la restauration lorsque j’étudiais à New York, et nous nous étions promis de le refaire. C’est désormais chose faite, puisqu’après sept ans passés chez Barneys New York à Beverly Hills, Emmanuel nous a rejoint au Marais, en tant qu’executive chef.” Le chef français apportera une touche très LA, avec grillades et salades au menu du Marais, à découvrir désormais à Mill Valley. 

Bastille Day 2021 : retour des festivités du 14 juillet en Floride

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Annulées en 2020 en raison de la pandémie de Covid-19, les festivités du 14 juillet reviennent en fanfare cette année à Miami et dans le reste de la Floride. Tour d’horizon des événements à ne pas manquer pour célébrer Bastille Day, comme le surnomment les Américains.

Ça va guincher sur les berges de la Miami River. La société événementielle French & Famous, co-fondée par les Français Éric Even et Cyril Kadouch, organise une soirée intitulée « Circus ». Les festivités se dérouleront le mercredi 14 juillet de 7pm à 2am au Wharf, un établissement en plein air implanté sur les rives de la rivière. Au programme : performances acrobatiques, jongleurs, magiciens, danseurs, musiciens et tournois de pétanque. Sortez vos bérets, marinières et autres clichés français puisque les habits tricolores sont fortement conseillés. 114 SW North River Dr, Miami – (786) 538-2502 – Infos et réservation ici. French Morning, partenaire de l’événement, sera également de la partie et pour fêter ça vous offre de gagner 5 paires de ticket. Pour participer au tirage au sort, remplir ce formulaire ci-dessous:[gravityform id=”72″ title=”false” description=”false”]

Les mélomanes apprécieront la soirée aux rythmes français organisée par le restaurant Le Zoo à Bal Harbour. L’établissement fera appel au chanteur et multi-instrumentiste français Vincent Raffard, le leader du groupe international The French Horn Collective, pour mettre l’ambiance dès 7pm. 9700 Collins Ave #135, Miami Beach – (305) 602-9663 – Infos et réservation ici

Le patriotisme sera aussi à l’honneur sur la côte ouest de la Floride où l’Alliance Française de Naples célèbrera avant l’heure la fête nationale lors d’un dîner organisé le vendredi 9 juillet dès 6pm au Café Normandie autour de spécialités culinaires françaises. 3756 Tamiami Trail N, Naples – (239) 276-4125 – Infos et réservation ici

Ambiance bleu-blanc-rouge également à Tampa où la French American Business Council of West Florida (FRAMCO) fera coup double pour commémorer la prise de la Bastille. Présidée depuis plus d’un an par Christian Bréchot, l’ancien directeur de l’Institut Pasteur, la chambre de commerce prévoit, en collaboration avec le détachement de l’armée française à Tampa, un événement le mercredi 14 juillet de 6pm à 8:30pm à bord du navire SS American Victory, un bateau-musée qui mouille dans le port de la ville. 705 Channelside Dr, Tampa – Sur invitation

La FRAMCO s’associe par ailleurs à l’Union des Français de l’étranger (UFE) de Tampa afin d’organiser une soirée festive pour les amoureux de bons petits plats français qui se déroulera le vendredi 16 juillet dès 6pm au restaurant Chez Faby en plein centre-ville. 500 N Tampa St, Tampa – (813) 919-4842 – Info et réservations ici

Les couleurs françaises seront également célébrées par l’Alliance Française de Sarasota qui prévoit un apéritif dinatoire le mercredi 14 juillet de 6pm à 8pm au sein de l’établissement Bird Key Yacht Club. 301 Bird Key Dr, Sarasota – 941-955-0700 – Infos et réservation ici

Célébrez Bastille Day avec Le Bal Français le 17 juillet à Brooklyn

La soirée préférée des Français et Francophiles de New York est enfin de retour. Les cofondateurs du Bal Français Valentin Delouis et Maxime Aubin (également journaliste à French Morning) vous convient le samedi 17 juillet à partir de 9pm au Kings Hall, une magnifique salle de 800 personnes située à East Williamsburg dans le célèbre complexe Avant Gardner (Brooklyn Mirage).

Fini la distanciation sociale : venez trinquer et danser bras dessus, bras dessous jusqu’au petit matin sur nos bons vieux tubes français (Aya Nakamura, France Gall, Booba, Johnny Hallyday, Mylène Farmer, Édith Piaf et tous les autres…)

Le Bal Français est une soirée “comme à la maison”, ouverte à toutes et tous dans un esprit festif et convivial. Nombre de tickets limité. Pour prendre sa place, c’est par ici. 

Alexandra : Ouvrir un bar en pleine pandémie à New York

Dans cet épisode, Anne-Fleur Andrle part à la rencontre d’Alexandra, direction les États-Unis. On s’envole cette semaine pour une histoire d’entreprenariat tintée de pandémie à Brooklyn! Si vous êtes fans de New York, prenez le temps de lire les 5 conseils de Clémentine Galey pour découvrir la ville qui ne dort jamais.

?Habillage sonore/mix : Alice Krief (Les Belles Fréquences https://www.lesbellesfrequences.com/)

Ouvrir un bar à vin et pétanque français à l’autre bout du monde, ça vous parle ? Ajoutez-y une pandémie mondiale qui ferme tout avant l’ouverture, un contexte social difficile avec des manifestations parfois violentes, et surtout une énergie incroyable littéralement prête à abattre des montagnes, ainsi que le soutien inconditionnel d’un conjoint suiveur et amoureux … c’est une recette qui marche et c’est l’histoire d’Alexandra, qui nous raconte son expatriation et comment elle en est venue à ouvrir WineMak’her, au coeur de Brooklyn.

Si vous souhaitez découvrir le bar d’Alexandra, c’est par ici que ça se passe : https://winemakher-bar.com/

Sinon, saviez-vous que durant les trois dernières minutes de chaque épisode nous demandons à nos invités de livrer leurs trois recommandations et coups de cœur à ne surtout pas manquer dans leur ville d’expatriation ou pays d’adoption ? Ces favoris peuvent être des restaurants, des visites, des expériences, des souvenirs, des plats à découvrir, bref toutes les recommandations sont complètement authentiques et vous permettent de découvrir la destination de chaque épisode tel un local:

  1. La première chose à faire en arrivant à Brooklyn selon Alexandra, c’est d’aller se balader dans Dumbo. Dumbo c’est un quartier qui est juste entre le pont de Brooklyn et le pont de Manhattan. Non seulement le quartier regorge de petites boutiques et de café super sympas mais c’est surtout la vue sur Manhattan qui a éblouie notre invitée. Depuis la rive, de jour comme de nuit, elle vous conseille donc de prendre le temps d’observer les gratte-ciels de loin.
  2. Ensuite, il ne faut pas hésiter à s’enfoncer dans Brooklyn et notamment dans les quartiers de Park Slope ou de Bushwick. Ces deux quartiers offrent deux ambiances différentes mais toute aussi typique l’une que l’autre. À Bushwick, vous ne lâcherez pas votre téléphone/appareil photo lorsque vous tomberez sur des graffitis à couper le souffle. Le street art y est une tradition et les murs laissés vierges se font rares. Dans Park Slope, ce qui vous fera craquer c’est de vous y rendre au printemps pour voir les cerisiers en fleurs devant les maisons \”brownstone\”colorées, faites de pierres.
  3. Enfin, New York étant une terre d’immigration, vous pourrez y trouver les meilleurs restaurants du monde entier. C’est la nourriture mexicaine qui a gagné le coeur d’Alexandra depuis qu’elle est aux États-Unis. Et pour satisfaire cette envie, elle vous conseille d’aller déjeuner ou dîner à Nuevo Mexico, un restaurant voisin de son bar. Son plat préféré ? Des “pulled pork enchiladas” : des enchiladas (tortilla de maïs, sauce, fromage) au porc braisé.

Bonus : En parlant de supers restos, Alexandra nous a donné quelques adresses des restaurants/bars des femmes qui l’ont accompagnée dans son expatriation et le lancement de son établissement. Voici où vous pouvez retrouver ces boss ladies sur instagram : @southslopeeatary, @zulawine et @casitaofbk.

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Profitez de l’été pour apprendre le français !

[Agenda partenaire] Que vous débutiez ou que vous souhaitiez approfondir vos connaissances en français, suivre les cours et les ateliers de l’AFSCV est un excellent moyen de vous enrichir. Profitez de votre temps libre cet été pour vous détendre en apprenant. Il s’agit d’une excellente opportunité, pour tous les âges.

Session d’été de l’Alliance Française Silicon Valley

L’inscription à la session d’été (19 juillet au 24 septembre) est ouverte. De plus, pour toute inscription à un cours de 10 semaines, l’Alliance Française Silicon Valley vous offre six mois d’abonnement à TV5Monde !

Les cours de l’AFSCV sont soigneusement conçus pour vous aider à atteindre vos objectifs en français.

Contact

Venez rendre visite à l’AFSCV le samedi 17 juillet, de 10h à 12h pour faire connaissance avec les enseignants et profitez-en pour récupérer vos manuels pour vos classes

Adresse : 14107 Winchester Blvd, Suite T, Los Gatos, CA 95032
Téléphone : (408) 445-2095
Courriel : [email protected]
Site : afscv.org

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Note: les “agendas partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Bastille Day: où fêter le 14-Juillet à Washington DC

Comme chaque année, Washington accueille de nombreuses soirées pour fêter le 14 juillet comme il se doit. Petit tour des célébrations à venir.

A l’Ambassade de France

Le Comité Tricolore Washington DC invite tous les amoureux de la France à célébrer Bastille Day sous le thème de “La Savoie” dans les locaux de la Maison française, le vendredi 16 juillet de 7pm à 10pm (4101 Reservoir Rd NW). La soirée comprend un dîner avec une sélection de plats préparés par les meilleurs chefs locaux, une vente aux enchères silencieuses et un concert pour assurer l’ambiance musicale de la soirée. Les billets sont en vente entre 150 et 950 dollars.

Comme annoncé par French Morning, la petite Lady Liberty prendra la route direction Washington DC, où elle sera installée pour une période de dix ans au moins, dans les jardins de la résidence de l’ambassadeur de France, dans le quartier de Kalorama. L’inauguration aura lieu le 14 juillet, à l’occasion de la fête nationale française.

Un pique-nique virtuel avec l’Alliance française de Washington DC

L’AFDC célébrera le 14 juillet lors d’un atelier pique-nique, avec une démonstration de cuisine par Anina Belle Giannini, pour apprendre à cuire sa propre baguette. A vos bérets! Cet événement est gratuit. Samedi 10 juillet sur Zoom, de 3pm à 5pm. Inscription en ligne: gratuit pour les membres de l’AFDC, 5 dollars pour les non-membres.

Un verre de vin à DC Bonjour Books

L’organisation Ktown Ladies à Kensington organise une célébration du 14-Juillet à la librairie française de Kensington, Bonjour Books DC. Quoi de plus Français que de boire un verre de vin en lisant de la littérature dans la langue de Molière en achetant quelques gourmandises fabriquées en France. L’organisation encourage les participants à apporter une bouteille de vin ou champagne français à partager. Le 14 juillet de 7pm à 9pm à Bonjour Books, 3758 Howard Ave, Kensington, MD.

Chansons et restaurants en Virginie et dans le Maryland

En nommant son restaurant “Bastille”, on se doit de fêter le 14 juillet! Les propriétaires, Christophe et Michelle Poteaux, proposent un menu de trois plats pour 49 dollars du 14 au 17 juillet. 606 N. Fayette Street, Alexandria, VA.

Un autre restaurant, Normandie Farm, organise un concert autour de ‘Bastille Day” le samedi 10 juillet avec la chanteuse Cindy Moses. De 7pm à 11pm au 10710 Falls Road, Potomac, MD.

Toujours en chanson, la mezzo soprano Elizebeth Barnes chantera des airs d’opéra français au Secret Garden at the Rectory lors d’une soirée en l’honneur de la France le samedi 17 juillet. Deux concerts auront lieu, l’un à 4pm et l’autre à 7pm. Pour les billets, comptez 149 dollars par personne. Au programme, “La chanson bien douce” d’Ernest Chausson, “Chanson D’avril” de Georges Bizet ou encore “Nuit d’Etoiles” par Claude Debussy. 711 Princess Street, Alexandria, VA.

Baleines, ours, orignaux, loups… Où voir de la “wildlife” en Alaska

L’Alaska est le plus grand État des États-Unis (1.717.854 km2), mais aussi le plus sauvage et le moins densément peuplé.

L’hiver, les foules se pressent à Fairbanks pour observer les aurores boréales. Mais «la terre du soleil de minuit» est aussi une destination estivale pour les amoureux de nature -de mi mai à mi-septembre quand les températures sont plus clémentes. Car le territoire regorge de trésors avec le Denali, le point culminant des États-Unis (6 190 mètres d’altitude), des glaciers accessibles par bateau ou kayak, des lacs aux eaux transparentes, des villes dépaysantes où l’on parle russe (l’Empire russe céda ses territoires nord-américains aux États-Unis en 1867), ainsi que sa faune caractéristique des milieux froids (grizzli, caribou, orignal, ours blanc).

Et c’est bien cette “wildlife” qui fascine, chaque touriste étant à l’affût des histoires d’ours ou de voir brouter un orignal sur le bord de l’autoroute. French Morning vous offre quelques “tips” pour croiser la route de ces animaux.

Camper, randonner ou prendre l’avion pour croiser des ours

Un ours noir observé le long de la Skilak Lake road. /Photo Fabien Le Floc’h

Il n’y a pas de secret. Plus on s’éloigne de la civilisation, plus on a de chance de se retrouver nez à nez avec un ours noir ou un grizzly (en essayant de conserver une distance et en respectant les règles) . La meilleure option pour une rencontre avec le mammifère reste donc le camping sauvage, “backcountry”. On vous recommandera notamment de choisir cette option dans le parc national du Denali (à 4 heures de route d’Anchorage). Le parc de 2,4 millions d’hectares offre des territoires vierges, sans chemin de randonnée, où il faudra lire une carte topographique pour arriver à destination et choisir son campement. Là, vous serez seul avec pour seuls partenaires les animaux sauvages. Pour vous orienter, le bureau qui livre les “backcountry permits” pourra vous aiguiller (permis à réserver par email ou sur place, gratuits) et même vous prêter un “bear canister”. Si vous voulez vous enfoncer dans le parc au delà du 15e miles, il faudra aussi réserver la navette qui le traverse. Si vous appréciez le confort, vous pourrez aussi prendre le bus touristique, à bord duquel il est commun de croiser des ours.

Au sud d’Anchorage, de nombreux spots sont fréquentés par les bêtes à quatre pattes -et ne nécessitent pas une immersion si sauvage. A un trajet en bateau taxi de la ville d’Homer, se trouve le Kachemak Bay State Park. Très sauvage, il offre de nombreuses opportunités pour randonner ou camper, tout en bénéficiant d’une table de pique-nique et de toilettes (pas de réservation obligatoire, premier arrivé premier servi).

Vous pourrez également monter votre tente du côté de la Skilak Lake Road sur la péninsule de Kenai, qui dispose de cinq campings. Près de ce lac, il est commun d’observer des ours noirs et leurs petits en plein repas. Et si vous voulez dormir dans un vrai lit, arpentez tout de même cette route non pavée ou choisissez une de ses nombreuses randonnées pour en observer.

Enfin, là où se trouve le saumon, vous trouverez l’ours. Deux rivières sont particulièrement appréciées des ours en été (vérifier la saison du saumon, pas avant fin juin) : Brooks falls dans le parc national de Katmai (accessible via bateau taxi ou petits avions de Homer pour $695) et la Russian river dans la péninsule de Kenai (accessible à pied, 1h30 aller-retour). La pêche des ours s’observe alors de plateformes en bois, un spectacle exceptionnel.

Si c’est l’ours polaire qui vous intéresse, il faudra s’envoler pour le nord. Il n’est pas rare d’en voir s’aventurer à Barrow. Mais gare à vous ! Pour les observer en toute sécurité, vous pourrez effectuer des excursions avec un guide de cette bourgade de 4800 habitants. Car, entre août et octobre, ils sont nombreux à se rassembler le long de la côte près de l’île Barter, où se trouve le village de Kaktovik.

Autre type d’ours à observer : le “kodiak” qui habite les îles de l’archipel du même nom et qui est considéré comme le plus grand des ours (près de 500 kg en moyenne). De nombreuses excursions sont proposées à la journée et en hydravion pour aller les observer en compagnie d’un guide. Avec Kingfisher Aviation, il faudra débourser en moyenne $625 pour une demi-journée. Autre option : depuis le Kodiak Brown Bear center & Lodge sur Camp Island, vous pourrez embarquer dans un canoë/kayak pour une courte promenade vers des sites d’observation. Une expérience mémorable mais onéreuse.

Lever la tête pour voir des aigles américain

Un aigle observé à Seward. /Photo Fabien Le Floc’h

La profusion de saumons attire aussi les “bald eagles” (pygargue à tête blanche), l’emblème des États-Unis depuis 1782. Il y en a pléthore en Alaska : on en dénombre 30.000. Notre conseil : lever la tête lorsque vous marchez le long de la côte, dans les îles ou près des lacs et des rivières. A Seward, vous pourrez en voir voler de la plage ou sur la randonnée Tonsina Creek Trail. De manière générale, le sud de l’Alaska (péninsule de Kenai ou détroit du Prince William) est propice avec ses lacs, ses villes côtières (Whittier, Homer, Seward et Valdez) et ses rivières.

Plus à l’est, vous pourrez les observer voler autour de la rivière Chilkat (du mile 8 à 31 de la Haines Highway) qui accueille la plus grande concentration de “bald eagle” du pays à l’automne.

Garder l’oeil ouvert sur la route pour admirer le caribou et l’orignal

Un orignal vu sur la route à l’intérieur du parc du Denali. /Photo Sandra Cazenave

Sur la route du Denali, à un carrefour à Homer, sur le sentier côtier Tony Knowles à Anchorage ou le long de la Highway 1, vous pourrez croiser des orignaux (les plus grands de la famille des cerfs) ou caribous, en train de manger ou de traverser avec leurs petits. Voilà pourquoi il ne faut pas rouler trop vite, pour profiter de ce spectacle et de cet animal majestueux. Il ne sert donc pas à grand chose de les chercher, il faut davantage scruter le bord des routes, les régions forestières (et particulièrement les zones récemment brûlées) et le chemin de fer (jusqu’à Denali). En été, optez pour les lacs (celui de Ptarmigan accessible via une randonnée) et les étangs, où ils pataugent. Et si vous en rencontrez un, pensez bien à lui laisser son espace. Et s’il vous charge, les rangers recommandent de “courir”.

Rencontrer ou entendre le loup au parc du Denali
Vous aurez plus de chance de l’entendre la nuit (si vous backpacker dans le parc) que voir le loup en meute. De l’aveux des rangers du parc de Denali, “c’est une chance d’en croiser” car ils ne seraient qu’une centaine sur l’ensemble du parc. Mais ce n’est pas une raison pour perdre espoir. Pour augmenter vos chances, on vous conseillera de vous armer de jumelles. Selon des habitués, ils sont le plus souvent vus entre la rivière Savage et le centre d’accueil d’Eielson (accessibles en bus).

Embarquer pour observer des baleines et des orques

Un orque vu du bateau à Seward. /Photo Fabien Le Floc’h

Baleines, dauphins et orques peuplent les fjords de l’État, et en particulier dans le parc national de Kenai Fjords. C’est en été que ces animaux marins sont les plus visibles, les baleines grises arrivant dès le mois d’avril. En mai, ce sont les orques, puis les baleines à bosse en juin. Ces animaux sont à admirer depuis le rivage de Seward (avec l’aide de jumelles). Mais si vous n’avez pas la patience ou le matériel, montez à bord d’une excursion en bateau (Kenai Fjords Tours propose pour 153 dollars un tour de 6 heures, lunch inclus ; et Major Marine Tours offre des excursions à partir de 94 dollars). Sous les conseils avisés de l’équipage, vous pourrez voir des loutres, des baleines et orques enchaînant un ballet dans les eaux glacières de Resurrection Bay. Un spectacle d’autant plus appréciable que des jumelles sont prêtées aux passagers. Autre option : partir en kayak au milieu des Fjords avec Adventure 60 North (dès 99 dollars la demi-journée).

Dernière option si vous n’avez pas de chance
Il arrive tout de même que certains repartent bredouille. Pour vous éviter cette frustration, faites une halte par l’Alaska Wildlife Conservation Center. Ce sanctuaire de 80 hectares se dédie à la préservation des animaux et accueille en son sein des animaux sauvages orphelins ou blessés, tels que des loups, des grizzlis, des ours noirs, des renards, des wapitis, des cerfs, des caribous, des lynx, des grands ducs ou des bisons. Il faudra débourser 17 dollars par personne pour arpenter le sanctuaire en voiture. Alaska Wildlife Conservation Center, Mile 79, Seward Hwy, Girdwood.

DataDome, le chasseur de robots malveillants, lève 35 millions de dollars

Il y a les gentils et les méchants « bots », ces robots du Web qui se baladent partout sur Internet. Et la mission de DataDome est d’identifier les robots malveillants en temps réel et de les bloquer pour les empêcher de lancer leurs cyber-attaques. Pour ce faire, la startup française vient de boucler un tour de table de série B de 35 millions de dollars auprès d’Elephant, un fonds de capital-risque américain, suivi par son actionnaire historique, le français Isaï. « Nous étions en contact avec une dizaine de VCs depuis notre première levée de fonds. Nous avons choisi Elephant pour leur double expertise SaaS et e-commerce, qui sont à la fois ce que nous sommes et le secteur que nous visons. Nous avons aussi été impressionnés par la qualité de leur compréhension de notre métier», explique Benjamin Fabre, cofondateur de DataDome.

Aux côtés de son partenaire Fabien Grenier, cet originaire de Marseille en est déjà à la troisième aventure entrepreneuriale. C’est en travaillant sur leur dernière startup, Trendy Buzz, un outil de monitoring du contenu des sites Web, blogs et réseaux sociaux pour la gestion de la e-réputation, que les deux hommes ont eu l’idée de DataDome. « Nous étions surpris que nos robots d’indexation n’étaient jamais bloqué par les sites web. Nous nous sommes demandé quelle part du trafic internet est générée par des bots ». Réponse : la moitié du trafic mondial sur la Toile n’est pas surveillée, ce qui permet aux robots malveillants d’industrialiser leurs opérations de piratage.

Lancé fin 2015, DataDome a rapidement trouvé ses premiers clients en France avec Le Bon Coin, Blablacar ou Fnac-Darty, puis a levé son premier tour de table de 3,5 millions d’euros auprès d’Isaï et une quinzaine de business angels en 2018, notamment pour ouvrir son bureau à New York. Aujourd’hui, le groupe y génère 35 % de ses revenus, et va accélérer. « Les États-Unis vont devenir notre premier marché dans les douze prochains mois ». Il compte de grands noms américains parmi ses clients, comme le New York Times, Foot Locker ou encore AngelList, pour lesquels ses cyber-analystes surveillent en permanence le trafic, partout dans le monde. La jeune pousse, qui emploie une dizaine de personnes à Union Square, compte recruter en force et passer à 30 salariés d’ici un an. Mais aussi muscler son équipe R&D et optimiser son outil d’intelligence artificielle, face à une menace qui évolue en permanence.

Car l’enjeu des bots est complexe : selon le dernier rapport de l’institut Kount à l’automne dernier, 88 % des entreprises digitales et d’e-commerce déclarent qu’il devient difficile pour elles de détecter des bots de plus en plus performants, et 25 % d’entre elles ont perdu plus de 500.000 dollars à cause d’attaques de bots dans les 12 derniers mois. Mais elles considèrent aussi que les « bons » robots, ceux utilisés par Google et autres moteurs de recherche, sont essentiels à leur succès.

Pour accompagner l’essor américain, Benjamin Fabre a pris une décision personnelle importante : avec son COO-CFO, Olivier Trabucato, ils vont déménager à New York. A l’été ou à l’automne prochain au plus tard, en fonction des délais très aléatoires des visas.

Moi Impat : un retour “difficile mais formidable”

Expatriée pendant 15 ans, revenue depuis 15 ans, tel est, résumé, le parcours et le choix de vie de Bénédicte de Saint-Pierre, 67ème invitée de « Moi Impat ».

Et visiblement, pour Bénédicte, l’Espagne n’était pas qu’une question d’horaire. Le retour sur le sol français avec 3 enfants nés là-bas, s’est révélé compliqué. Apprendre les codes de l’école française à ses enfants « espagnols » n’est pas forcément de tout repos mais fait partie de ces nouveaux apprentissages post expatriation. La compensation pouvant venir aussi des nouvelles opportunités professionnelles inattendues.

Et cette impression curieuse que rien n’avait changé alors qu’on avait vécu mille choses de l’autre côté de la frontière. Pour finalement se dire que l’impatriation, c’est aussi fort que l’expatriation.

Listen to “Episode 68: Bénédicte de Saint Pierre” on Spreaker.

Décès de Jacques Brion, figure emblématique de la communauté française à Miami

Les Français de Miami sont en deuil après le décès de Jacques Brion qui s’est éteint ce lundi 5 juillet des suites d’une longue maladie contre laquelle il se battait avec courage, ténacité et optimisme.

« C’est une grande perte. Jacques était bienveillant et extrêmement actif depuis de nombreuses années au sein de la communauté française, nous confie Laurent Gallissot, le consul général de France à Miami. Il était disponible et jouait un rôle fédérateur en favorisant les échanges dans les domaines éducatif, culturel, économique et social comme en témoigne notamment le festival French Weeks qu’il avait créé ».

Père de deux enfants, Jacques Brion était connu et unanimement apprécié des expatriés francophones de Floride où il vivait depuis près d’une trentaine d’années. Promoteur immobilier, il avait été président de la Chambre de Commerce Franco-Américaine (FACC), et avait par ailleurs relancé l’Alliance Française de Miami en 2018. Il venait d’être réélu en mai dernier conseiller des Français de l’étranger, un poste qu’il occupait depuis 2014, année des premières élections consulaires.

« Je siégeais avec Jacques au conseil consulaire depuis mai 2014, où j’avais pu constater sa ténacité ainsi que son grand professionnalisme, souligne Franck Bondrille dans un communiqué. Nous avions en commun notre engagement pour la communauté française de Floride et Jacques était devenu un ami ».

Un hommage lui sera rendu le mercredi 14 juillet lors de la cérémonie organisée dans les jardins de la résidence consulaire.

Ouverture d’un programme de français FLAM à Hoboken

La rentrée s’annonce encore plus française que d’ordinaire à Tessa. L’école internationale de Hoboken (New Jersey) accueillera, dès la rentrée, un nouveau programme de français FLAM (Français langue maternelle) en after-school et en cours du samedi matin.

Ce programme tout beau tout neuf est proposé par PhilaFLAM, une association de parents qui opère déjà des classes de français en Pennsylvanie et à Princeton. Il est né de la rencontre (virtuelle) entre Marine Havel, la présidente de PhilaFLAM et de la fédération des FLAM aux États-Unis, et d’Isabelle Bonneau, la fondatrice de Tessa, lors d’un webinaire sur l’enseignement du français.

Le futur programme de Hoboken s’adresse à des enfants (3-18 ans) qui n’ont pas accès au français à l’école américaine, mais qui ont des parents francophones soucieux de les voir conserver la maîtrise de la langue. “Notre but est de transmettre la culture et la langue francophone de manière à ce que les enfants restent francophones, pas qu’ils le deviennent“, résume Marine Havel. Un positionnement qui lui permet de ne pas rentrer en concurrence avec des écoles bilingues ou multilingues comme Tessa, qui forme des petits bilingues, y compris des anglophones sans parents francophones.

Pendant l’after-school, en semaine, les activités proposées seront axées sur le ludique – “on va faire du théâtre, de la chanson, de la lecture d’histoires, peut-être du foot…” – tandis que les cours du samedi seront plus académiques. L’enseignement sera intégralement en français et permettra à ceux qui le souhaitent de se préparer au DELF (Diplôme d’Etudes en Langue Française) et à d’autres examens en langue française. “On prend le meilleur des deux mondes: la pédagogie nord-américaine très positive, tournée vers le travail en équipe et on l’applique à la langue française“, reprend Marine Havel.

Pour ce premier pas à Hoboken, PhilFLAM espère toucher le “petit village” des familles locales issues de tout le monde francophone, mais cela pourrait prendre du temps car beaucoup ont quitté New York et sa région pendant la pandémie. Marine Havel compte cependant sur leur retour progressif “d’exil” et le bouche-à-oreille pour grossir les rangs des inscrits. “On va découvrir la demande à Hoboken. Mais on ne stresse pas. On sait que les parents ne sont pas encore dans l’optique de la rentrée“.