Accueil Blog Page 380

Le voilier-cargo breton de Grain de Sail arrive à New York (avec beaucoup de vin)

Quand on est Breton, on regarde en face et on voit New York”, commente Jacques Barreau. Le Morlaisien est à l’origine, avec son frère jumeau Olivier, de l’extraordinaire aventure Grain de Sail, une initiative qui vise à relancer le transport de marchandises à la voile entre les deux rives de l’Atlantique. Parti de Bretagne le 18 novembre, le premier voilier à effectuer la traversée doit arriver au Brooklyn Navy Yard le lundi 14 décembre, chargé de 14 500 bouteilles de vins français bio pour des cavistes et restaurateurs new-yorkais. Cela faisait depuis les années 1950 qu’un voilier-cargo n’avait pas été mis à la mer. “C’était difficile de faire comprendre ce projet atypique, mais une fois que les gens ont vu le bateau, ils ont compris“, explique Jacques Barreau, le directeur général de Grain de Sail – Olivier Barreau en est l’actionnaire majoritaire.

Grain de Sail a été imaginé en 2010, quand les deux frères descendants d’armateurs, qui travaillaient sur un projet lié aux énergies maritimes renouvelables, se sont intéressés “à la possibilité de décarboner le transport maritime”. “Nous sommes rapidement arrivés sur des solutions de type voilier-cargo, se souvient Jacques Barreau. Nous n’étions pas intéressés d’exploiter des vieux gréements. Nous voulions donner un coup de jeune à ce milieu“. Construire des voiliers, certes, mais que mettre dedans ? Ils s’arrêtent sur le cacao et le café – des “produits orientés plaisir“. Grain de Sail commence donc à produire son café en 2013 à Morlaix, puis vient le chocolat en 2016. “On est parti de zéro. On n’y connaissait rien”, glisse l’entrepreneur.

Disponibles dans plusieurs centaines de points de vente dans le Grand Ouest français, les cafés et chocolats Grain de Sail rencontrent un succès important, ce qui permet à la PME bretonne de financer, en 2018, la construction de son premier voilier, un deux-mâts de 22 mètres conçu pour transporter 50 tonnes de marchandises avec une empreinte carbone minime (son moteur n’est utilisé que pour manoeuvrer dans les ports). Inauguré en octobre à Lorient, le navire doit décharger ses bouteilles de vin à New York avant de gagner la République dominicaine, où il doit faire le plein de 33 tonnes de cacao notamment. Celui-ci sera ensuite transporté à Morlaix pour être transformé en chocolat. “Nous voulions éviter de nous positionner en transporteur simple. Nous voulions aussi être transformateurs de produits. Cela nous permet de ne pas être dépendants d’un client“, poursuit Jacques Barreau.

L’escale à New York était inscrite dans le projet “dès le départ”. “Les cafés et le cacao qui nous intéressaient étaient en Amérique latine. Il fallait traverser l’Atlantique. La transat’ est un symbole très fort“. Le voilier, baptisé Grain de Sail, restera à New York pendant “une dizaine de jours” et pourra accueillir, sur réservation, des petits groupes de visiteurs dans le respect des restrictions sanitaires. Grain de Sel effectuera, à terme, deux rotations transatlantiques par an. Ce premier navire sera rejoint par d’autres voiliers, qui doivent encore être construits, pour constituer une véritable flotte transportant épices, fèves de cacao et d’autres matières premières. “Dans les dix années qui viennent, on voudrait développer la torréfaction, couplée avec les navires, sur le territoire européen et la Côte Est des États-Unis, indique Jacques Barreau. Nous sommes rattrapés par le désastre environnemental. On essaie de montrer qu’une autre voie est possible. Cela ne passera pas uniquement pas la voile. Il faudra aussi compter sur des moteurs hydrogènes et d’autres solutions décarbonées“.

“Room 2806: The Accusation”, quand Netflix raconte l’affaire DSK

Musique anxiogène, plans de lieux vides et sans vie en guise d’illustrations, et puis le récit glaçant et détaillé de “l’affaire” avec des flashbacks… Bienvenue dans “Room 2806: The Accusation” (“Chambre 2806: L’affaire DSK”), le docu-série du Français Jalil Lespert sur le scandale DSK, sorti lundi 7 décembre sur Netflix. Le résultat est aussi glaçant sur le fond que réussi sur la forme.

Ce documentaire en quatre épisodes, qui remplit tous les canons des séries de “true crime” qui ont contribué au succès de Netflix, nous replonge dans l’ambiance folle du 14 mai 2011 et des jours qui ont suivi, quand Dominique Strauss-Kahn, alors directeur du Fonds Monétaire International (FMI), est accusé d’avoir violé Nafissatou Diallo, une employée de ménage immigrée du Sofitel à New York. Une affaire qui a eu raison des ambitions présidentielles du socialiste, qui est alors un personnage incontournable de la scène internationale, plongée en pleine crise économique et financière.

Tout est passé au crible: la vie de Nafissatou Diallo avant le 14 mai, les moments qui ont suivi le viol présumé, les rumeurs de complot contre l’ancien ministre des finances, son retour en France, mais aussi son ascension politique, son comportement envers les femmes… Jalil Lespert et son équipe racontent ce scandale hors-norme à travers les yeux de ceux qui l’ont couvert ou vécu, notamment “Nafi” Diallo elle-même, le chef de la sécurité du Sofitel, l’assistante de DSK au FMI et ses avocats, ainsi que certains enquêteurs. Il en ressort une série plutôt équilibrée par rapport à d’autres, qui permettra à chacun de se faire une opinion sur ce qu’il s’est passé dans la suite 2806 et sur le bien-fondé du choix du bureau du procureur de Manhattan de jeter l’éponge. (DSK a échappé au procès pénal à cause de doutes sur la crédibilité de son accusatrice, mais lui a versé jusqu’à 6 millions de dollars au civil).

Neuf ans après “l’affaire du Sofitel”, “Room 2806: The Accusation” montre que ce scandale, et les manifestations de femmes qu’il a entraînées aux États-Unis, portait en lui les germes du mouvement #MeToo, qui balayera le pays quelques années plus tard. Il rappelle aussi le fossé qui subsiste entre les US et la France sur la prise en charge des crimes sexuels et le traitement des victimes. Il contient des images d’archives qui révulseraient aujourd’hui aux États-Unis, comme l’extrait d’une émission de Thierry Ardisson où la journaliste Tristane Banon raconte, devant des invités amusés et blagueurs, l’agression sexuelle dont elle a fait l’objet par Dominique Strauss-Kahn alors qu’elle n’avait pas 30 ans. Les propos de Jack Lang qui, face caméra, trouve aujourd’hui encore le moyen de minimiser les actes attribués à son ami, qu’il décrit comme “sensuel“, paraissent sortis d’un autre temps, celle de l’ère pré-#MeToo. Ils sont difficilement supportables pour un public américain sensibilisé aux dynamiques qui interviennent dans les cas d’abus sexuels impliquant des hommes influents et des femmes sans ressources, parfois immigrées. Dominique Strauss-Kahn, qui n’a pas souhaité s’exprimer dans le documentaire, a d’ores-et-déjà annoncé qu’il allait raconter sa propre version des faits dans un documentaire sur sa vie prévu pour l’automne 2021.

5 restaurants français où commander votre repas de Noël à New York

Vous restez à New York pour les fêtes ? Vos restaurateurs français s’occupent de tout. Voici cinq menus à commander dès maintenant.

Benoit New York

Situé à Midtown, le bistro d’Alain Ducasse célèbre les fêtes de fin d’année avec un menu de trois plats pour 90$ par personne. Entrée au choix entre terrine de foie gras, légumes du jardin ou velouté de panais. Parmi les plat principaux, filet mignon aux poivres et son gratin dauphinois ou poitrine de canard délicatement épicée et sa purée de betterave, flétan poêlée ou rôti de morue pour les poissons. Les desserts mettent eux aussi l’eau à la bouche avec des profiteroles maison, bûche au chocolat et à la mandarine ou fromage blanc mangue et fruit de passion et sa meringue. Repas disponible à emporter le 24 (4pm à 9pm) et le 25 (12pm à 9pm). Benoit New York, 60 W 55th St, (646) 943-7373.

Le District 

Du côté du District à Battery Park City, le Liberty Bistro propose cette année une formule repas de Noël à 300$ pour 6-8 personnes. L’entrée comprend un plateau de fromages et de charcuterie avec son pain baguette, des crevettes à la sauce cocktail et une salade de jeunes betteraves avec du fromage de chèvre et des noix. Pour le plat principal, vous aurez le choix entre un filet de boeuf rôti ou un gigot d’agneau au romarin accompagnés d’une purée de pommes de terre, d’haricots verts et de jeunes carottes. Gateau au chocolat sans farine avec des framboises pour le dessert. Miam ! Le District propose également l’achat du plateau de fromage et charcuterie seul pour 95$. Liberty Bistro, 225 Liberty St, (212) 981-8588.

Daniel Boulud Kitchen 

Le célèbre chef français propose cette année une formule “Christmas Weekend Feast” avec tout ce dont vous aurez besoin pour vous régaler pour l’apéritif, le dîner et le brunch du lendemain. Parmi les amuse-bouches pour commencer, millefeuille de saumon fumée,  pomme de terre au caviar et à la crème fraîche et brioche de homard en gelée. Le repas comprend notamment une terrine de foie gras, de la sole normande et son riz à la truffe noire, et une bûche à la noisette en dessert. Le brunch de la mer du lendemain vous mettra tout autant en appétit avec pinces de crabes, homard, crevettes et ceviche d’hamachi. Comptez 1800$ la formule complète pour 4-6 personnes qui comprend également des viennoiseries et gateaux ainsi qu’une sélection de cinq fromages, ou 3600$ si vous êtes entre 8 et 10. Commande en ligne ici, à venir récupérer sur place. Daniel Boulud Kitchen, 60 E 65th St, (646) 831-4587.

ABC Kitchen

L’Alsacien Jean-Georges Vongerichten est aussi de la partie, avec son restaurant du Flatiron District, ABC Kitchen, qui ne propose que des produits locaux et biologiques, garantis sans pesticides, fertilisants, antibiotiques ou hormones. Pour Noël, le restaurant présente une formule dîner à 248$ pour deux. Salade de chicorée et de pommes en entrée, avec gouda, noisettes et truffe noire, entrecôte de boeuf maturée et son jus d’onion caramélisé en plat principal, accompagné de son gratin de pommes de terre à la truffe noire et ses brocolis grillés. Crumble à la pomme et au coing, et glace au lait de chèvre en dessert. Ce repas est disponible à la commande, à venir récupérer sur place le 25 décembre. ABC Kitchen, 35 E 18th St, (212) 475-5829.

Chez Oskar 

Du côté de BedStuy à Brooklyn, le restaurant français Chez Oskar prévoit également un menu spécial Noël à commander d’ici au 22 décembre. Comptez 130$ le repas pour deux personnes, l’offre pour 4 à 250$ comprend une demi-bouteille de chablis blanc, et une de bordeaux rouge. Bisque de homard et sa salade verte en entrée, côte de boeuf ou dorade entière et légumes de saison en plat principal, et bûche de Noël en dessert. Commandes disponibles par téléphone ou sur place. Chez Oskar, 310 Malcom X Boulevard, (718) 852-6250.

Livres  jeunesse : où dénicher des ouvrages en français ?

Offrir des mots en français aux enfants qui grandissent aux États-Unis, c’est précieux. On vous a sélectionné les solutions qui permettent de rester à la page.

Les Petits Livres, du neuf tous les mois

Basé à Seattle, lespetitslivres.com mise sur des formules d’abonnement afin de recevoir des livres et des bandes dessinées tous les mois allant des tout-petits jusqu’aux adolescents. Après lecture, les abonnés renvoient les ouvrages pour les remettre dans le circuit et donner l’occasion à d’autres de les lire. “Notre formule de trois livres par mois rencontre le plus de succès ($15,99). Pour les tranches d’âge, les catégories 3-5 ans et 5-7 ans sont les plus demandées”, explique Sophie Coffinières, la dirigeante. Et pour faire plaisir, il est aussi possible d’offrir des cartes cadeaux. La force du site est de s’appuyer sur un catalogue de 4 000 références. Pour les choisir, la responsable se rend sur des salons comme le Festival du livre jeunesse de Montreuil et elle commande auprès de la Fnac. Depuis peu, elle collabore avec Des livres et délices pour présenter des auteurs francophones ainsi qu’avec la start-up française Storyplayr, une plateforme de livres numériques et audio évolutifs où les parents peuvent enregistrer leur propre voix.

Des livres et délices, plus qu’une simple librairie

Des livres et délices est une librairie de Raleigh (Caroline du Nord) qui a basculé au tout numérique suite à la pandémie de la Covid-19. Créée par Laurence et Philippe Kneuss, deux Français installés aux USA depuis fin 2016, le site propose environ 3 000 titres pour adultes et enfants avec 90 % de livres en français. “Nous avons lancé le rayon enfant il y a un an et il représente 40 % de notre offre”, explique Laurence Kneuss. L’offre est par ailleurs très variée. “Nous proposons des titres de l’éveil à ladolescence avec des livres, des bandes dessinées ainsi que des livres éducatifs et des jeux”, précise-t-elle. Possédant le statut de librairie, la plateforme travaille avec des distributeurs français comme Hachette ou Interforum, ce qui lui permet d’avoir accès à un large catalogue d’ouvrages. Outre les livres, Laurence et Philippe Kneuss vendent également des produits alimentaires sucrés et salés.

My Bulle Toys, une plateforme ludo-éducative

Fanny et Nicolas Pacaud ont inauguré fin 2019 un site marchand de produits français pour les enfants. L’idée du couple ? Livrer l’éducation française à domicile. Comment ? Grâce à une offre variée de livres, de jeux éducatifs et de coffrets mensuels (adaptés selon l’âge et le sexe, à $29.90 ou $65.90). « On vit en Floride depuis cinq ans et on a toujours eu du mal à trouver des livres de qualité en français… On a ressenti le besoin et décidé de créer notre plateforme pour y répondre » raconte le co-fondateur Nicolas Pacaud. La particularité de My Bulle Toys : Fanny Pacaud est enseignante et apporte une attention toute particulière à la sélection d’ouvrages. Le stock se trouve en plus aux États-Unis, ce qui permet d’expédier en trois à quatre jours, et les tarifs d’envois sont négociés au plus bas (offerts pour les commandes de plus de $25). « On veut que les grands-parents puissent combler leurs petits-enfants depuis la France sans que ce soit coûteux ! » précise Nicolas Pacaud.

Lectures de France : 17 ans d’expérience

Arrivée aux États-Unis voilà 32 ans, Christine Cotton a lancé lecturesdefrance.com il y a 17 ans. Avec quelque 1 500 références pour tous les âges, le site se veut éclectique. “Notre offre est composée à 80 % de livres pour les 0-12 ans et 20 % pour les ados et adultes avec tout le parascolaire”, explique la fondatrice qui revendique son statut de librairie en ligne. “Si un client désire un titre que nous ne stockons pas, nous prenons les commandes spéciales même d’un seul exemplaire”, ajoute Christine Cotton. Afin de proposer un large choix, la libraire travaille en direct avec des éditeurs français, belges et espagnols. Elle se fournit aussi au Québec et auprès d’éditeurs africains.

Les livres d’occasion avec Suno Space

Père d’une petite fille de 4 ans, Aurélien Bonnet, expatrié à New York, s’est retrouvé confronté comme beaucoup d’expatriés à la difficulté d’assouvir la soif de livres et d’histoires de sa fille. D’où l’idée de créer une plateforme, exclusivement dédiée à la vente de livres d’occasion en ligne, Suno Space. Concept simple et efficace: on choisit son language, sa ville et on peut vendre et acheter les livres pour enfants qui rendront plus belle l’heure du coucher. “Les communautés locales sont une source immense de livres qu’il est par ailleurs compliqué de trouver, résume Aurélien. Et bien sûr c’est aussi la meilleure façon de sensibiliser les petits à la réutilisation et à la lutte contre le gaspillage!”

Les librairies internationales, relais de choix

Les librairies internationales peuvent passer commandes directement auprès des fournisseurs français. Penser à rechercher si on peut en trouver localement. Bonjour Books DC, par exemple, se situe dans la ville de Washington et expédie des livres tous les jours, partout aux US. Cette librairie dispose d’un stock immédiat de 1800 références dont 70% de livres jeunesse. Sur la Côte Ouest, on peut compter sur l’expérience de la librairie European Books & Media, à Oakland, pour trouver son bonheur.

Un éventail de solutions alternatives

D’autres Français ont imaginé des solutions originales pour se procurer des livres dans la langue de Molière. Sara Bourg par exemple avec Bookotroc, un site d’échanges de livres en ligne. Plus de 500 ouvrages sont actuellement disponibles dont 130 livres et magazines jeunesse. Sandrine Mehrez-Kukurudz, romancière vivant à New York, a fondé quant à elle les Rencontres des Auteurs Francophones. Les livres sélectionnés sont en vente sur l’e-boutique du même nom et dans le magasin new-yorkais French Wink. Plus d’une quinzaine de titres sont destinés au jeune public.

Certains autres relais méritent aussi de s’y arrêter, comme les bibliothèques municipales, qui abritent parfois des trésors, ou les Alliances Françaises, qui ont quelquefois constitué des bibliothèques au fil des ans.

Quant à ceux qui aiment lire en numérique, la culturethèque de l’Institut Français rassemble plus de 230 000 références. Entre autres, des bandes dessinées, des romans, des journaux et bientôt des mangas jeunesse. Pour s’y inscrire, il faut être membre d’un Institut français ou d’une Alliance française. Enfin, dans la même veine, la Bibliothèque des Amériques offre un accès gratuit à des milliers de livres numériques et audios d’auteurs francophones des Amériques. De quoi faire plaisir aux enfants en seulement quelques clics et en français !

Par Charlotte Attry et Laurent Garrigues

Pensez à votre bûche de Noël, les artisans français du Texas vous attendent !

Que sont les fêtes de fin d’années sans bûche ? Un Noël sans sapin, ou un jour de l’An sans compte à rebours… Et le choix du dessert n’est pas à prendre à la légère. Alors, pour épater et régaler vos invités à Noël, voici quelques adresses pour découvrir la sélection 2020 !

A Houston

La boulangerie French Gourmet Bakery vous offre le choix de cinq parfums: Moka, Noisettes ou mousse au chocolat, Chocolat blanc et chocolat framboise. Elles sont disponibles en deux tailles : 12-15 personnes ou 15-18 personnes D’autres gâteaux de Noël comme leur fameux cake aux fruits, gâteau tout chocolat, gâteau noir et blanc ou Grand Marnier et bien d’autres encore vous attendent également. Pensez à commander 48 heures à l’avance minimum !

Julie’s French Pastries propose trois modèles de bûches de deux tailles différentes. La petite sert 6 à 8 personnes et coûte 30$, la grande est pour 12 à 15 personnes (58$). « La noire délice», est un gâteau roulé à la vanille avec une mousseline de chocolat, garnie d’une crème brûlée à l’intérieur et un glaçage miroir noir tout autour. « La délice aux Noisettes » est un gâteau roulé à l’amande, mousse au caramel, un insert de crème de noisettes, de la crème brûlée à l’intérieur, le tout recouvert d’une ganache chocolat au lait. Enfin «  la délice aux fruits », est un gâteau roulé à la vanille,  mousse de fruits de la passion, confiture de framboises sans pépins et framboises fraîches. Le dernier jour pour commander votre bûche pour Noël est le 19 décembre. A noter que ces trois desserts seront aussi disponibles pour le 31 décembre, sur commande.

La Tartine de Houston réalise des bûches à base de beurre importé d’Europe avec deux saveurs à la clé: vanille/ pistache et chocolat/ganache au chocolat. Deux tailles sont disponibles (5/6 personnes et 10/12 personnes) et les dernières commandes seront prises le 21 décembre. Ces bûches seront également en vente pour le réveillon de fin d’année.

La chef Nga Rogers, de la pâtisserie Paris je t’aime présente cette année trois nouvelles saveurs pour embellir votre Noël : crème de champagne, poires pochées au Muscat, mousse de chocolat noir, ou alors si vous préférez la bûche noisette ou l’étonnante bûche marron au whisky et aux clémentines. Deux tailles servant 5 ou10 personnes, les bûches sont sans gluten et peuvent être commander jusqu’au 19 décembre. A noter que ces délices peuvent être déguster jusqu’à fin janvier mais toujours sur commande. Plusieurs gâteaux de Noël, pour 6, 8 ou 10 personnes sont également en vente.

Dans les magasins de Flo Paris, trois tailles de bûches vous sont proposées: 10 personnes, 15 personnes et 20 personnes (55$, 70$, 90$) toutes sur commandes jusqu’au 22 décembre. Elles se déclinent autour de quatre saveurs : la traditionnelle chocolat, la Concerto, la chocolat-caramel caramel et enfin la Red Velvet.

Bistro 555 a sélectionné 2 parfums pour Noël: bûche au chocolat et mousse de poire et bûche Grand Marnier /mousse orange. Ces bûches sont disponibles en 2 tailles (33$, 49$) allant de 8 à12 personnes. Les commandes peuvent être passées jusqu’au 22 décembre.

Pour votre table, Bonjour Café a élaboré 4 sortes de bûches : la Traditionnelle à base de crème de vanille, crème au beurre salé et confiture de framboise, l’exotique (poire, amandes, nougatine…), la fantaisie 3, à base de crème vanille, de crumble à la vanille, et de caramel et la fantaisie 4 à base de brownies, parfum cappuchino-crème de vanille, crumble vanille, avec un glaçage au caramel beurre salé. Elles existent en deux tailles de 5 à 10 personnes ou 8 à 10 convives (80$) et votre commande doit impérativement être payée et placée 3 jours à l’avance.

Chez Mademoiselle Louise, le pâtissier a réalisé cette année trois bûches aux saveurs différentes : chocolat praliné, la noix de coco ananas et gingembre et enfin la mousse de citron compotée de fruits rouges au poivre. Les 3 sont réalisées dans deux tailles (5/6 ou 10/12 personnes) et les commandes sont prises jusqu’au 20 décembre.

A Austin

L’authentique boutique La Pâtisserie propose une seule bûche, un roulé au chocolat et café avec sa crème au beurre traditionnelle, glacé avec un ganache au chocolat le tout décoré de macarons. Ce dessert est en taille unique, pour 12 à 16 personnes (60$). Vous pouvez passer vos commandes 3 jours à l’avance dans l‘une des deux boutiques.

La boulangerie Lorraine présente une seule sorte de bûche de Noël, appelée forêt noire, tout au chocolat, aux cerises et au kirsch. Elle se commande jusqu’au 18 décembre et n’existe qu’en une seule taille (4 personnes) pour un prix de 48$.

Pour ces fêtes de Noël, Julie Myrtille vous propose 2 parfums: une bûche 3 chocolats ou une « bûche casse-noisette ». Ces desserts sans gluten existent en une taille unique pour 6 à 8 personnes (68$) et peuvent être commander jusqu’au 17 décembre.

A Dallas

Dirigée par le chef Andrea Meyer, la pâtisserie Bisous Bisous, vous propose pour les fêtes une bûche de Noël classique version croquant au caramel et caramel ou alors au parfum de chocolat et noisettes. Une seule taille possible (45$) pour 12 convives. Vous avez jusqu’au 21 décembre pour les commander pour votre réveillon.

La pâtisserie Rush a une variation de trois bûches de Noël cette année : chocolat blanc, chocolat et crème au beurre ou bien tout chocolat. Ces desserts existent en plusieurs tailles, 6 à 8, 10 à 12 ou 12 à 14 personnes et la date limite pour passer votre commande est le 21 décembre.

Comme l’année dernière, the Main Street Bistro & Bakery affiche dans son menu de Noël deux sortes de bûche : framboise/chocolat blanc (6 ou 8/10 personnes, 32$ et 38$ et « la bomb » (sans gluten), dessert à base d’une génoise et d’une mousse au chocolat avec un glaçage au chocolat noir servant 6 personnes uniquement (32$). Les commandes seront prises jusqu’au 22 décembre.

Pour les adeptes du supermarché, Central Market offre une gamme de 3 bûches: chocolat, moka ou praline, dans une taille unique servant jusqu’à 10 personnes (25,99$).

A San Antonio 

Cette année, La Boulangerie  vous propose 4 types de parfums pour votre bûche de Noël : une bûche poire vanille et financier châtaigne ou alors un biscuit roulé citron, crémeux citron et meringue, bûche mousse de champagne crémeux pécan et dacquoise, enfin bûche chocolat, biscuit craquant praliné.  roulé aux fruits de la passion, mangue et ananas sur un biscuit sablé au coco ou un gâteau roulé au chocolat, caramel et noix de pécan enfin, un gâteau roulé framboise, citron vert et menthe. Faites votre choix entre trois tailles 4, 6 ou 8 personnes ($24, 36$ et 48$).

Petite sœur de la boutique d’Austin, la Boulangerie Lorraine offre également sa fameuse bûche de Noël tout au chocolat, aux cerises et au kirsch. Elle se commande jusqu’au 18 décembre et n’existe qu’en une seule taille (4 personnes) pour un prix de 48$.

Crèches et maternelles aux États-Unis : comment choisir ?

[Article partenaire] Vous êtes les heureux parents d’un nouveau né, d’un bout de chou de trois ans, ou les deux à la fois ? Alors vous vous êtes déjà confrontés au choix complexe du meilleur système de garde et d’écoles à votre disposition aux Etats-Unis.

Comprendre les différences d’approche

Avec ce même tronc d’arbre, certains élèves imaginent une promenade à cheval…

Si vous êtes une famille française expatriée, vous savez que l’un des diamants de l’Éducation Nationale est la fameuse « classe maternelle », dont la qualité éducative est reconnue dans le monde entier. La France attache la plus grande attention à l’éducation précoce des jeunes enfants, à tel point qu’il existe une formation et un recrutement différencié pour les enseignants de maternelle et ceux de primaire.

En France, les enfants y sont scolarisés dès l’âge de deux ans et suivent un programme très structuré, très progressif, très adapté aux groupes d’âges et conçu pour garantir l’acquisition des fondamentaux éducatifs que sont l’apprentissage du langage, de la lecture et du calcul. Les crèches publiques françaises sont également engagées dans une attitude pédagogique comparable pour préparer les enfants de 2 mois a deux ans à leur entrée en classe maternelle, notamment par la socialisation. 

…tandis que d’autres sont en pleine réparation ferroviaire.

La position américaine est souvent différente. Pour beaucoup, la scolarisation des enfants aux Etats-Unis démarre le plus souvent au Jardin d’enfants – trois ans après les enfants français en moyenne – ce qui n’empêche pas les jeunes américains de bénéficier de nombreuses stimulations au travers d’activités « à la carte », choisies par les parents : sports, arts, langues, yoga, musique, gymnastique et même aujourd’hui cours de code informatique ! Il n’est pas rare de voir les « nannies » de jeunes enfants non scolarisés courir pour les emmener d’une activité à l’autre toute la journée. Aux Etats-Unis, on privilégie le développement multi-compétences des enfants, qui acquièrent très tôt un sens de la performance.

Prendre en compte les besoins fondamentaux de tous les enfants 

Les élèves développent le langage par la découverte de la lecture…

Quel que soit le système éducatif ou le mode de garde que vous choisissez, américain, français ou bilingue, il est essentiel de vérifier que les besoins qui sont la base du développement harmonieux de votre enfant sont satisfaits :

– Les besoins physiques : manger sainement, être propre, être en bonne santé, être actif
– Les besoins intellectuels : construction du langage et des apprentissages de base
– Les besoins émotionnels : se sentir en sécurité, écouté, accueilli, être invité à s’exprimer à travers la parole et tout mode d’expression artistique
– Les besoins sociaux : appartenir à un groupe, construire des amitiés, interagir entre pairs

À cause de la crise sanitaire que nous vivons, vos priorités ont peut-être été bouleversées. Attention, celles de vos enfants ne le sont pas. Aujourd’hui comme hier, les enfants ont besoin d’être en contact avec la nature pour développer leur imaginaire, de continuer à expérimenter pour développer leur créativité, de continuer à apprendre pour assurer leur avenir et surtout, les enfants ont besoin de socialisation pour renforcer leur équilibre émotionnel. 

Le meilleur des deux mondes

… mais aussi par le chant lors de notre « Circle time » quotidien.

VHG Group Inc représente quatre crèches et écoles maternelles bilingues : Arc-En-Ciel (2014), Petits Poussins Too (2016), Bilingual Nest (2017) et Petits Poussins Brooklyn (2021). Nous accueillons des élèves de 3 mois à cinq ans. Nous sommes situés à Manhattan (Upper East Side et West Harlem) et prochainement à Downtown Brooklyn. Nous offrons un enseignement bilingue (français/anglais ; espagnol/anglais), aussi bien inspiré du programme scolaire national français, que des normes de l’État de New York. Notre programme académique est enrichi par de nombreuse activités d’éveil animées par des enseignants de musique, danse, yoga, et d’art en deux langues. Nos élèves de maternelle partent souvent en sorties-découvertes (de leur communauté, sortie culinaire, à la ferme, au musée). 

A VHG Group Inc., nous accueillons plus de 200 élèves par an avec une équipe de plus de 45 personnes (personnel et enseignants). Nous fournissons un environnement stimulant et chaleureux pour nos élèves qui viennent du monde entier. Nous accueillons des enfants de toutes les cultures. Nous veillons également à toujours respecter leur identité et leur patrimoine culturel. Nos professeurs, qui viennent de partout, les motivent et les guident à devenir indépendants, confiants et bienveillants, le tout dans un environnement bilingue et avec une forte conscience sociale. Le bien-être, le bonheur et le développement académique bilingue de nos élèves sont au cœur de nos valeurs. 

Nous continuons à accueillir, selon nos disponibilités, de nouveaux élèves pour cette année académique (2020/2021) et avons également commencer notre période d’admission pour l’an prochain (2021/2022).

Pour plus de renseignements, contactez vite nos directrices d’admissions : 

WEST HARLEM

– Marion ([email protected]) PETITS POUSSINS TOO: 2235A Frederick Douglass Bd.New York, NY 10027. 212-663-7777 (crèche ET maternelle bilingue français)

– Linda ([email protected]) BILINGUAL NEST: 300 Manhattan Ave. New York, NY, 10026. 212-665-3354 (crèche ET maternelle bilingue français ou espagnol)

UPPER EAST SIDE

– Melody ([email protected]) ARC EN CIEL: 1656 3rd Ave. New York, NY 10128. 212-410-0180 (maternelle bilingue français)

DOWNTOWN BROOKLYN

– Marina ([email protected]) PETITS POUSSINS BROOKLYN: 11 Hoyt Street, Brooklyn, NY, NY 11201. (Ouverture septembre 2021)

—————-
Note: le contenu “partenaire” n’est pas écrit par la rédaction de French Morning. Il est fourni par ou écrit sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Noël à New York en famille, version spéciale 2020

0

Si cette année, en raison du Covid-19, certaines animations ont dû être annulées, c’est pourtant l’année pour profiter de Noël à New York avec vos enfants. Pour quelle raison me direz-vous ? Eh bien tout simplement parce que les touristes ne sont pas là. Si vous habitez New York ou ses environs et que la foule vous dissuade d’habitude de venir en profiter, c’est le moment de faire le déplacement et vous ne risquez pas d’être déçu. New York, comme toujours, fait preuve d’adaptabilité et de créativité dans de telles épreuves. Tout a été fait pour ne pas gâcher cette magie de fin d’année si particulière à la ville. Les animations, les espaces ont été repensés comme c’est le cas par exemple du marché de Noël de Bryant Park. Enfilez le masque et c’est parti !

Contempler les vitrines de Noël

Une première activité sympathique en famille qui ne nécessite aucune réservation mais permet à tous de capter la magie de Noël est simplement de se rendre devant les vitrines des grands magasins. Toutes offrent des illuminations et des décors incroyables comme tous les ans. Cette année, elles revêtent en plus de l’espoir. Ainsi, Macy’s a choisi pour thème “Give, Love, Believe”, tandis que Bergdorf Goodman propose “Bergdorf Goodness” et Bloomingdale’s “Give Happy”. Ne manquez pas la pétillante boule disco géante avec un smiley qui inspire le bonheur sur l’adresse de Lexington Avenue. (elle propose également une vitrine olfactive), ou la vitrine “thank you” sur fond new-yorkais au Herald Square. Mais comme tous les ans, l’endroit à ne pas rater est bien sûr le grand magasin Saks. Outre ses somptueuses vitrines qui déclinent différentes façons de fêter Noël à New York, il offre encore cette année un spectacle de lumière éblouissant et renversant. Si vous ne savez d’ailleurs pas comment aborder cette visite de New York avec vos enfants, Family Way vous propose un petit parcours à télécharger (Noël à New York – FREE). En plus d’un itinéraire, il offre quelques jeux pour faire participer les enfants et donne quelques clés pour en apprendre davantage sur les traditions de Noël aux Etats-Unis.

Visiter le quartier de Dyker Heights 

Dyker Heights est un quartier résidentiel de Brooklyn à visiter au moment de Noël. En effet, les habitants déploient des moyens gigantesques pour décorer leurs maisons. Lutins, lumières, nutcrackers, anges, bonhommes de neige ou père Noël tout y est pour émerveiller petits et grands. Pour ne rien manquer, baladez vous de la 83rd à la 86th St, entre la 10th et la 13th Ave. Une des adresses à ne pas manquer se trouve sur la 84th entre la 11st et 12nd Ave. Et là encore, c’est facile, il vous suffit de rejoindre le quartier en métro (ligne D jusqu’à la 79th St ou 18 Ave + 15 min de marche pour rejoindre les maisons) ou en voiture, et de vous balader (de préférence à la tombée de la nuit).

Patiner avec ses enfants

Autre possibilité pour vivre pleinement l’expérience new-yorkaise à Noël en famille, pourquoi ne pas tenter la patinoire. Accessibles à différents endroits dans New York, les patinoires offrent en plus des cadres très diverses. A vous de choisir entre celle au cœur du Rockfeller center qui symbolise Noël, celle de Bryant Park située au milieu d’un charmant marché de Noël, celle de Brookfield Place en bordure de l’Hudson river ou celles au milieu des parcs (patinoires de Central Park et Prospect Park). Accessibles à tous, elles proposent généralement pour les plus petits des stabilisateurs qui leur permettront d’avoir un appui pour se lancer plus facilement. Évidemment, la patinoire nécessite un peu plus d’organisation, mais bonne nouvelle, les billets se réservent à l’avance.

Ainsi, la magie est là. New York regorge d’installations pour faire de Noël un de ses symboles, même en pleine tempête. Et si vous souhaitez juste vous poser et vous régaler, ne manquez pas le bon, le vrai chocolat chaud chez Angelina qui vient juste d’ ouvrir.

 

Le “cat business” fait le bonheur de Meowtel

0

54 millions minimum, peut-être le double. Le nombre de chats dans les foyers américains est considérable. Une niche qu’ont décidé d’exploiter Sonya Petcavich et Bruno Lévêque, co-fondateurs de Meowtel. « Une appli mobile et un site web qui permettent aux propriétaires de chats – ou cat parents comme on dit aux États-Unis – de trouver un cat-sitter fiable près de chez eux », expliquent-ils. Les deux entrepreneurs viennent d’ouvrir une boutique à Hayes Valley (San Francisco). Histoire de se faire connaître tout en sourçant des produits originaux pour minets. Une stratégie omnicanale prometteuse.

Bruno Lévêque a rejoint l’aventure début 2020. Il est désormais CTO et investisseur, après avoir lui-même été utilisateur de la plateforme créée en 2017. « Ma femme s’était inscrite comme cat-sitter, elle a été débordée par les demandes et je lui ai donné un coup de main. Il y avait des choses à améliorer sur le site web. Alors en tant qu’entrepreneur j’ai contacté Sonya pour la mentorer et la coacher un peu. Ayant moi-même eu cette chance plus jeune, c’était un bon moyen de passer le flambeau », raconte-t-il. 

Le co-fondateur et ancien CEO de PrestaShop (un logiciel e-commerce qui facilite la création de boutiques en ligne) venait d’avoir un AVC. « Pas de séquelles mais ça m’a bien secoué », confie-t-il. « J’ai décidé de sortir de l’opérationnel, de rester actionnaire et de faire autre chose. » Ayant lui-même deux chats, Plop et Ploppy, il s’intéresse de plus près au business du cat-sitting et retombe sur ses pattes avec Meowtel.

Fiabilité et expertise

La valeur ajoutée de Meowtel réside dans la vérification des cat-sitters. Les personnes sélectionnées sont fiables et très attentives au bien-être des chats. « Tout est très encadré, c’est ce qui plaît », révèle l’entrepreneur. Le processus comprend 5 étapes : contrôle de CV, vérification des références, background check, un questionnaire et un entretien video. Tout est fait pour mettre en confiance le cat parent – le terme est particulièrement approprié dans le cadre de ce service premium à domicile. Les chats restent dans leur environnement pour ne pas les perturber, ce sont les cat-sitters qui viennent à eux. L’entreprise retient moins de 10% des candidats, qu’elle assure par la suite. Les cat-sitters sont ainsi protégés en cas de blessures au cours d’une visite. Et les cat parents en cas de dommage ou de problème de santé du chat induits par la garde.

Le cat-sitter peut organiser une rencontre gratuite pour faire connaissance avec les petites boules de poils (ou gros matous). Il suivra à la lettre les instructions des propriétaires. Il donnera des nouvelles, photos comprises, via le chat de l’application (la messagerie pas l’animal). Le paiement se fera ensuite sur Meowtel. Les gardes durent 20, 40 minutes ou toute la nuit et le prix est déterminé par les cat-sitters qui sont des indépendants. « En moyenne c’est 25$, ce qui inclut le déplacement, le temps passé avec le chat, l’assurance etc. mais dans des villes comme New York ou San Francisco, ça peut monter à 40$ », détaille Bruno Lévêque. 

Tech Company et Small Business

L’entreprise a vocation à s’étendre à l’ensemble des États-Unis et compte déjà 300 cat-sitters actifs, principalement dans les 10 plus grandes villes du pays. « En réalité on en a plus mais dès qu’ils deviennent moins réactifs ou autre on les suspend. On ne veut vraiment que des gens engagés. Le temps moyen d’attente quand tu fais une demande de cat-sitting c’est moins de 10 minutes », annonce le CTO. Le but est d’atteindre rapidement 1000 cat-sitters pour faire face à l’affluence pendant les fêtes.

Meowtel est une petite entreprise technologique, en forte progression en dépit du contexte de Covid. « Nos clients voyageaient beaucoup, notamment pour le travail, alors au mois de mars ça a vraiment été très dur. Ensuite ça a repris. Les réservations ont ralenti mais la croissance compense et nous permet de faire mieux que l’an dernier. Contre toute attente. » Un record de demandes a même été enregistré pour Thanksgiving. Après avoir levé 785 000$ auprès d’angels et de deux fonds d’amorçage, Meowtel est prêt à partir à la conquête du marché du cat-sitting. En offrant un service spécialisé, centré sur la gente féline, Meowtel développe une expertise appréciée des cat parents. Ce Wag pour chats prodigue d’ailleurs moult conseils et informations sur son blog, tenu par les cat-sitters.  

Meowtel recrute

Pour l’an prochain, Bruno Lévêque s’est fixé des objectifs. « Renforcer notre présence mobile, recruter davantage de sitters et s’étendre, on voudrait être plus présents sur plus de petites villes », précise-t-il. « Pour l’instant on a des campagnes actives sur Facebook, on regarde en permanence sur Craigslist etc., en attendant un effet réseau. » Une tactique qui pourrait bien s’avérer payante. Tout en aidant les amoureux des chats qui veulent mettre du beurre dans les épinards, en temps de Covid. « Dans certaines villes, on voit que dès que le gouvernement fédéral arrête ses aides, on a plus de sitters parce que les gens cherchent un petit boulot. C’est ce qu’il s’est passé à LA où nous avons une soixantaine de personnes disponibles. » Dans la Bay Area, il y en a une dizaine pour l’instant. Lefty, le chat mascotte de l’enseigne du 327 Hayes Street, pourrait bien créer des vocations chez les passants.

Où commander son repas pour les fêtes de fin d’année à Miami ?

Noël approche à grands pas. En cette période si particulière, les entrepreneurs français ont retroussé leurs manches et s’affairent derrière les fourneaux afin de nous concocter un bon repas pour les fêtes de fin d’année. Voici une sélection non-exhaustive d’adresses où les ventes à emporter et les livraisons sont assurées à Miami.

À défaut de pouvoir nous réunir au restaurant M&V Cafe à North Miami, qui n’accueillera malheureusement pas ses clients en cette période des fêtes, le chef français Fabrice Di Rienzo et sa femme Stéphanie ont élaboré un menu à emporter des plus alléchants. À la carte, le couple propose notamment une soupe à l’oignon, des escargots en persillade, des toasts de foie gras ou encore du caviar. Filet mignon de boeuf, blanquette de poulet et filet de loup s’ajoutent au menu où figurent également une tarte tatin et quelques bûches de Noël. 12953 Biscayne Blvd, North Miami – (786) 658-7212 – Infos ici

Les gourmets saliveront d’avance en jetant un oeil au menu imaginé par Frédéric Joulin qui dirige l’établissement Semilla French Bistro & Wine Bar implanté sur Alton Road à Miami Beach. Le chef français propose un velouté d’artichauts aux truffes et ses copeaux de parmesans, du saumon fumé agrémenté de blinis au brie, miel et amandes grillées, ainsi qu’un filet de boeuf en brioche, sauce périgourdine, accompagné de gratin dauphinois. Pensez à garder un peu de place pour le dessert qui se compose d’un financier à la framboise et d’une part de bûche chocolat-noisettes. Le tout à commander et à venir récupérer sur place. Comptez 59 dollars par convive. 1330 Alton Rd, Miami Beach – (305) 674-6522 – Infos ici

À North Miami, Corentin Finot et Claude Postel, les co-fondateurs de Café Crème offrent de leur côté un large choix de bûches de Noël à emporter. La star des fins de repas des fêtes se décline en plusieurs saveurs allant du chocolat aux noisettes, en passant par la crème de marron et les fruits exotiques. Prévoyez de 24 à 54 dollars selon la taille des créations pouvant nourrir de 4 à 12 personnes. 750 NE 125th St, North Miami – (786) 409-3961 – Infos ici

Les becs sucrés se délecteront également des yule logs, comme les appellent les Américains, de la boulangerie-pâtisserie Maison Valentine à South Beach. Brigitte Cavallero et son fils Bastien, épaulés par le chef pâtissier Stéphane Merlat, proposent quatre créations originales : la « Hazelnut Escape » à la mousse au chocolat au lait et crémeux praliné sur un biscuit croquant aux noisettes, la « Red Lady » à la mousse au chocolat noir et coulis de framboises, la « Snowflake » à la mousse de noix de coco et fruits exotiques, ainsi que la « Exquisite Purse » en forme de sac à main luxueux à la mousse exotique légère, crémeux au chocolat Manjari sur un biscuit croquant à la noix de coco. Chaque création nourrissant 8 personnes coûte 69,95 dollars, sauf la « Exquisite Purse » qui est affichée à 99 dollars. 1112 15th St, Miami Beach – (786) 535-1432 – Infos ici

Le chef pâtissier Georges Berger, Meilleur ouvrier de France, fera par ailleurs saliver vos convives avec sa gamme de truffes et chocolats, tout comme Madeleine & Co qui réalise une recette traditionnelle du pain d’épices alsacien et confectionne des confitures artisanales, cuites au chaudron de cuivre, aux noms évocateurs comme « Jolly Jelly » aux fruits secs et à la figue qui accompagnera parfaitement votre toast de foie gras. Les fines bouches apprécieront également les flans au caramel, l’une des signatures du chef lyonnais Jérôme Fayolle installé à Miami.

Le Français Igor Darbo produit “Greatland”, son premier film indépendant à Hollywood

Alors que l’élection américaine a occupé (et continue d’occuper) les esprits, Igor Darbo espère faire mouche avec sa dystopie politique… Le film “Greatland” est disponible sur la plateforme de streaming d’Amazon Prime depuis le 1er novembre.

Produit par Popcorn & Friends, la société de production du Français basée à Los Angeles, le long-métrage de science-fiction offre une véritable satire où les habitants ne savent ni lire, ni écrire, ont pour enfants des lapins et sont contrôlés par une intelligence artificielle. L’intrigue se déroule autour d’une élection, où ils doivent choisir entre un chat et un chien pour guider leur pays. “Quand “1984” de George Orwell rencontre “Idiocraty” (Mike Judge) avec beaucoup d’humour et de farce”, résume le producteur qui s’est chargé de la logistique, de la recherche des financements et encore de la post-production. La partie artistique, dont l’écriture du scénario, était, elle, réservée à sa femme Dana Ziyasheva. Une véritable entreprise familiale.

Même si le film fait écho aux actualités, traitant d’une élection et d’un virus “venu de la nation du mal”, sa distribution n’a pas été aisée, eu égard de l’épidémie de la Covid-19. “Beaucoup de festivals ont été annulés, comme South by Southwest (Austin, Texas) où on avait prévu la première”, admet le Français. Son film accuse aussi le coup de la fermeture des salles de cinéma, et notamment celles de Los Angeles et New York : “ce n’est donc pas la dynamique espérée”, reconnaît-il. Mais loin de s’apitoyer sur son sort, il a déployé des efforts de marketing en ligne pour toucher un public plus large. “On est finalement moins impacté en tant que petits indépendants, que les blockbusters”, concède-t-il enfin.

“La chance de se réinventer”

“Greatland” est le troisième projet cinématographique du couple, le premier sur le territoire américain. “Après nos expériences en Chine et au Costa Rica, nous voulions toucher un public plus large”, défend Igor Darbo, qui ne minimise pas l’aspect économique : “il est plus simple de trouver des projets en anglais avec une viabilité économique”.

Le cinéma et Igor Darbo, c’est une histoire d’amour récente. Il tombe dans la production par hasard alors qu’il travaille en Chine en 2007-2008. “En tant que consultant, j’étais chargé de coordonner les équipes chinoises et européennes sur des projets dans le domaine des nouvelles technologies ; cela m’a amené à rencontrer des acteurs culturels locaux.” Certains lui proposent alors de coordonner des équipes sino-américaines ou franco-chinoises pour des films, cette fois. Et les offres se multiplient. “C’était une chance de se réinventer”, argue-t-il. “Ce que j’aime dans cette industrie, c’est le mélange entre l’artistique et la logistique, la mise en musique du tout.”

Il a alors le déclic : monter sa société de production avec sa femme, l’âme artistique du couple, une ancienne journaliste qui travaillait alors pour le service de presse du ministère des affaires étrangères du Kazakhstan. La société Popcorn & Friends va connaître son moment de gloire en obtenant en 2012 le prix du “meilleur projet de coproduction international” au 15e Shanghai International Film Festival pour “The Dragon Angel”.

La famille déménage par la suite au Costa Rica, où elle produit “Defenders of Life”, un film sur une tribu autochtone (sa femme est une fois encore à l’écriture du script), disponible sur Amazon Prime. Avant de s’attaquer au marché américain dès 2015. Igor Darbo espère que son long-métrage “Greatland” sera bientôt disponible en France, tablant sur le début 2021. Le film a, en effet, pu être présenté au festival international de Moscou en octobre, et a interpellé les festivals d’Angers et de Lyon.

En parallèle, le Français travaille sur un projet de film historique dans l’hexagone, qui relaterait la “croisade des enfants” en 1212. Mais il ne se limite pas à un seul projet, et planche déjà sur une suite pour “Greatland” qui a attiré l’attention des médias américains.

Une Française de New York lance “Bilingual Bebe”, une maternelle 100% en ligne

Anissa Bouderraoui habite à New York depuis 11 ans. Devenue maman récemment, elle a fait le même constat que beaucoup d’autres parents au moment de trouver une école maternelle en français pour son enfant. “Il y a peu de choix dans le public et l’enseignement dans le privé est très cher”, explique-t-elle. “Je suis très impliquée dans la communauté française ici. En échangeant avec beaucoup de parents, j’ai décidé de travailler sur l’ouverture d’une pré-school à Brooklyn, mais la Covid est arrivée entre temps”. 

Sur le point de signer un bail sur plusieurs années, Anissa Bouderraoui se ravise et opte finalement pour la création de “Bilingual Bebe” en octobre, une maternelle à distance “beaucoup plus flexible qui peut aider beaucoup de parents en ce moment et dans le futur”. Destinée aux enfants de trois à six ans, “Bilingual Bebe” fonctionne comme une vraie maternelle par les services qu’elle propose : des rencontres de 45 minutes en ligne suivant le programme de l’éducation nationale avec une institutrice française diplômée. “Ce sont des classes de cinq élèves avec une interaction et une participation constante de leur part. Au delà de la classe, nos professeurs sont disponibles à tout moment via notre plateforme pour communiquer ou apporter du soutien aux élèves”, raconte Anissa Bouderraoui.

En plus des cours, des vidéos d’activités sont proposées aux parents tous les jours via la plateforme de l’école, ainsi qu’un fascicule et du matériel livrés tous les mois à domicile pour les réaliser (plus de 60 pages d’activités de graphisme, de mathématiques, de logique, d’initiation à l’écriture, etc). “Les parents peuvent choisir le nombre de jours et l’heure à laquelle ils veulent que leur enfant assiste aux sessions. Ils peuvent utiliser Bilingual Bebe en after-school en complément d’une éducation anglophone, ou à leur rythme en optant pour le nombre de session et les horaires qui leur conviennent si l’enfant n’est pas encore scolarisé”, détaille Anissa Bouderraoui. “Nous offrons deux programmes : un programme full immersion en français uniquement, et un cursus bilingue avec des sessions en français et des sessions en anglais un jour sur deux”. 

La Française a choisi un modèle d’abonnement mensuel, résiliable à tout moment et à la carte. Comptez par exemple 149$ par mois pour 45 minutes de cours par semaine avec des videos d’activités guidées à faire à la maison, ou 745$ par mois pour le cursus à temps complet, cinq jours par semaine, qui comprend en plus l’accès à d’autres activités comme des cours de musique et de yoga. “Les enfants peuvent rejoindre une classe à tout moment dans l’année. On les mettra dans une classe adaptée avec l’organisation de sessions de rattrapage”. 

Un peu moins de deux mois après son lancement, “Bilingual Bebe” accueille déjà une dizaine d’enfants issus de familles multiculturelles ou américaines. Anissa Bouderraoui est convaincue du potentiel de l’enseignement à distance pour les tout petits, un modèle qu’elle a testé sur son fils de trois ans et demi. “C’est l’âge parfait pour apprendre une deuxième langue. Une classe de 45 minutes passe vite, ils en redemandent en général ensuite”. Vous voulez tester le concept ? “Bilingual Bebe” propose deux sessions d’essai gratuites.

Repas, bûche et cadeaux : organiser son Noël français à Washington DC

Les Français de Washington DC se préparent pour des fêtes de Noël particulières. Un bon moyen de soutenir ses compatriotes en organisant un Noël français grâce à de nombreuses adresses dans la capitale.

Commander son repas dans un restaurant

Dans le quartier de Shaw, à Convivial, le chef Cédric Maupillier propose un menu à 65 dollars pour se plonger dans les fêtes de Noël. Avec une entrée, un plat chaud et un dessert, les Français qui ont le mal du pays cette année pourront retrouver un repas traditionnel avec une soupe à l’oignon ou une salade d’endive au roquefort, ou encore avec un coq au vin, une grillade de dorade provençale, pour finir avec une bûche, un Paris-Brest ou une mousse au chocolat, la spécialité du chef. 801 O St NW, Washington. A commander en ligne sur leur site.

Dans le quartier des Palisades, le chef Claudio Pirollo du restaurant Et voilà a préparé un joli menu à trois plats pour 1 personne (69 dollars), 2 personnes (139 dollars) ou 4 personnes (259 dollars). Le menu est composé de plusieurs choix : une entrée au fois gras ou une salade de langouste, un chapon ou des côtes de boeuf, et une belle collection de desserts, le tout accompagné d’une bouteille de champagne et d’une baguette. 5120 MacArthur Blvd, Washington. Les pré-commandes sont possibles sur leur site.

A Great Falls en Virginie, L’Auberge Chez François propose une expérience gastronomique à la maison avec un menu pour 6 personnes à 495 dollars à commander en ligne. La commande est composée d’une bouteille de Charles de Fère Brut, une bisque de homard, le plat “Chateaubriand de L’Auberge” pour 6, sauce truffe (un mélange de champignons sauvages, haricots verts, pommes de terre rôties, légumes de saison),
des bibeleskaes alsaciens, et une bûche de Noël! 332 Springvale Rd, Great Falls.

Toujours en Virginie, le restaurant La Bastille propose la commande de ses menus de Noël en ligne dès à présent. Pour 69 dollars par personne, et un accord mets et vins pour 35 dollars, Christophe et Michelle Poteaux proposent trois plats où l’on retrouve les traditionnels saumons ou foie gras en entrée, dinde aux marrons ou filet de boeuf en plat chaud, trio de fromage ou bûche de Noël en dessert. De quoi plaire à toute la famille! 606 N Fayette St, Alexandria.

Quant au chef de Unconventional Diner, David Deshaies, il proposera également un menu qui sera bientôt disponible à la commande. Tout comme les restaurants La Piquette et Bistrot Lepic.

Commander sa bûche en boulangerie

Les boulangeries françaises donnent rendez-vous aux gournands avant fin décembre pour commander une bûche de Noël, le clou du repas! A Fresh Baguette, comptez entre 17 dollars et 40 dollars. Au menu, la bûche Elegance (chocolat, cœur chocolat, mousse chocolat), la Spéculos et cream cheese (mousse aux spéculos, à la carotte et au cream cheese), la Mascarpone Berry (avec de la confiture de fruits rouges) et enfin la Roulée Chocolat (ganache chocolat, biscuit chocolat). Fresh Baguette a 3 magasins situés à Bethesda (4919 Bethesda Avenue), à Georgetown (1737 Wisconsin Ave), et à Rockville (804 Hungerford Dr). Il est facile de passer commande en ligne avec l’application Fresh Baguette ou sur leur site internet.

A Dupont Circle, Un je ne sais Quoi… a également préparé une jolie collection de délice de Noël. Entre 35 et 77 dollars selon la taille, trois bûches (Merveilleux, Mont Blanc et Lemon Cracker) sont à commander par email à [email protected] avant le 22 décembre. 1361 Connecticut Ave NW, Washington.

La Pâtisserie Poupon de Georgetown vous réserve quatre parfums de bûche de Noël du 8 au 31 décembre: Grand Marnier, Forêt Noire, chocolat et noisette pour des prix allant de 45 dollars à 95 dollars selon les tailles (pour 6, 10 ou 20 personnes). La pâtisserie a également d’autres sucreries comme son arbre de Noël en macarons! 1645 Wisconsin Ave NW, Washington. A commander en ligne sur leur site internet.

Du côté de Tout de Sweet, à Bethesda, Jérôme Colin propose une sélection de bûches traditionnelles ainsi que des créations un peu plus originales pour les fêtes de fin d’année. Côté tradition, on retrouve des bûches au chocolat ou à la vanille pour 49 dollars/61 dollars selon la taille et vanille-café pour 51dollars/63 dollars. Pour les explorateurs culinaires, la boulangerie propose deux bûches plus sophistiquées, la bûche “caraïbes”, une praline mélangée à une mousse au chocolat noir et la bûche “Mix Berry” aux fruits rouges pour 54 dollars/66 dollars. 7831 Woodmont Avenue, Bethesda. Livraison ou à emporter à commander sur leur site et les applications.

Ladurée a concocté une petite collection gourmande de créations sucrées comme la bûche “La Marquise”, à base de noisettes et de mousse au chocolat (8,50 dollars pour une part, 68 dollars pour six à huit personnes). Pour les amateurs de pistaches et de macarons, la bûche “La Favorite” est également disponible à la vente. 3060 M St NW, Washington et à Union Station. A commander sur leur site internet.

Des idées cadeaux et déco

Pour vos cadeaux de Noël à Washington DC, plusieurs entrepreneurs français ont de quoi faire de belles surprises! Le studio Floraison propose des abonnements floraux pour avoir toujours un bouquet de fleurs fraîches à la maison. Elodie’s Naturals, une Française qui offre des cours de cosmétiques naturelles, a créé des coffrets cadeaux pour tout type de peaux sur son site.

L’importateur français basé à Bethesda, Apricot & Honey, a étoffé ses offres pour les particuliers cette année. Avec deux paniers gourmands (l’un à 78 dollars et l’autre à 122 dollars), les cuisiniers amateurs vont pouvoir se régaler. Pour plus d’informations, envoyez un email à [email protected].

Pour des livres en français, on n’oublie pas la référence dans la capitale, Bonjour DC Books à Kensington, qui propose les derniers ouvrages à succès en France, mais aussi énormément de choix pour les enfants et les ados, de quoi gâter toute la famille!