Accueil Blog Page 381

“We Give Collab” : une vente solidaire de créations new-yorkaises et angelinos sur Instagram

C’est le projet de quatre Françaises qui vous donnent rendez-vous du 4 au 7 décembre sur Instagram pour une vente aux enchères exceptionnelle. “Nous mettrons à la vente une trentaine de produits et créations d’artistes new-yorkais et angelinos, dont la plupart sont Français, sur notre page @we_give_collab. Et les bénéfices seront reversés à l’association Entourage, qui lutte contre l’exclusion et l’isolement en France”, explique Aude Adrien, photographe et journaliste à New York depuis dix ans.

C’est Faustine Badrichani, qui est peintre dans la Big Apple, qui a eu l’idée de ce projet solidaire en mars, après avoir donné plusieurs de ses oeuvres à la plateforme américaine Still We Rise, qui fonctionne sur le même principe que We Give Collab. “C’est un modèle gagnant-gagnant dans lequel les marques participent pour une cause importante en faisant don de créations, ce qui est bénéfique pour elles en terme d’image et de visibilité. Les acheteurs sont contents de leur côté de contribuer à une action solidaire tout en achetant de beaux produits ou œuvres”, résume Aude Adrien.

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par We Give Collab (@we_give_collab)

Accompagnées par Camille de Laurens et Marine de Bouchony, qui dirigent une agence de communication entre Paris et Marseille, les quatre amies ont lancé leur première vente en mars en France, au début de l’épidémie de la Covid-19, où elles ont récolté plus de 30 000€ pour le fonds d’urgence AP-HP pour soutenir le personnel hospitalier. Fortess de ce succès, elles remettent le couvert et lèvent 81 000€ entre avril et mai pour l’initiative Protège Ton Soignant. “Depuis notre création, nous avons récolté plus de 111 000 € pour les soignants, et 67 000 € au profit de La Maison des femmes de Saint-Denis, qui soigne et accompagne les femmes victimes de violence et leurs enfants”, explique Aude Adrien. “Près de 500 marques et artistes nous ont déjà̀ rejointes : des noms célèbres comme Isabel Marant, Lancel, Julien Doré, Guerlain ou Jacquemus”. 

La vente prévue entre New York et Los Angeles débutera le 4 décembre à 1pm et s’arrêtera le 7 à la même heure. Les participants ont rendez-vous sur la page Instagram de We Give Collab qui publiera une trentaine de lots à la vente pendant le weekend. Si vous êtes intéressé(e) par une création, il vous suffit d’écrire le montant de votre enchère en commentaire. Aude Adrien et son équipe, aidée par une cinquième française sur Los Angeles, Olivia Anthonioz, vous indiqueront ensuite la marche à suivre si vous avez gagné. Parmi les artistes participants à New York et Los Angeles, la photographe Marilou Daubé, les peintres Faustine Badrichani et Kristin Texeira, la créatrice de bijoux Camille D, les fleurs d’Ode à la Rose, les albums photos de Mootsh, ou la marque de vêtements pour bébé et enfants Mademoiselle à SOHO. “Nous aurons aussi d’autres oeuvres d’artistes locales, ainsi que des accessoires et des expériences. Bref, tout ce qu’il faut pour faire son shopping de Noël de manière solidaire, en aidant les plus démunis”, ajoute Aude Adrien.

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par We Give Collab (@we_give_collab)

Après cette vente américaine, les quatre Françaises prévoient une grande tombola solidaire qui démarrera pendant la troisième semaine de janvier. “Nous voulons lever un maximum d’argent pour LinkedOut, un réseau professionnel créé par Entourage pour ceux qui n’ont pas la chance d’en avoir un justement, et qui sont sans emploi”, explique Aude Adrien. We Give Collab est aidé dans cette tâche par le skipper français Thomas Ruyant, qui est actuellement en lisse dans le Vendée Globe avec un bateau floqué aux couleurs et au logo de LinkedOut. “L’objectif est de mettre en valeur 80 personnes en recherche d’emploi auprès d’entreprises pour qu’elles trouvent un travail”, résume Aude Adrien.

Noël 2020 : 10 idées cadeaux made in SF par des artisans français

La dinde de Thanksgiving à peine avalée, on pense déjà aux fêtes de fin d’année. Pour vous aider à remplir votre hotte, nous avons sélectionné plein d’idées piochées chez les artisans français de la Bay Area. A vos listes !

Pour le premier Noël de bébé

Jouets, déco, vêtements, accessoires, doudous, …Le choix ne manque pas chez Sew Francisco, et chaque objet peut être personnalisé. Sa créatrice, Emeline Moutarde, fabrique tout elle-même sur mesure et à la demande, proposant des tissus tous plus mignons les uns que les autres. Plus d’infos.

Pour ceux et celles qui prennent soin de leur corps et de la planète

Savons, sels de bain, shampooing, après-shampooing…Soucieuse de n’utiliser que des ingrédients naturels et bannir les produits chimiques et les plastiques nuisibles à l’environnement, la marque Body Délice, créée par une Lyonnaise à San Francisco, propose toute une gamme beauté. Pour Noël, elle a même créé, en collaboration avec Sew Francisco, des coffrets produits de beauté et accessoires pour hommes et pour femmes. Plus d’infos.

Pour les surfeurs, ou ceux qui rêvent de le devenir 

Et si on joignait l’utile au beau et au durable grâce à la marque Côte Ouest ? Les housses pour planche de surf créées par Florence Leroy sont fabriquées à base de chute de tissus, dans une démarche anti-plastique et zéro-déchet. Plus d’infos.

Pour quelqu’un de spécial

Le cadeau personnalisé a particulièrement la cote cette année, et les créations de Cotton Five raviront à la fois les fans de déco de Noël et les passionné(e)s de mode. On peut en effet choisir des décorations brodées soit avec une initiale, soit avec la carte d’un lieu cher à son coeur, ou jeter son dévolu sur un sweat-shirt ou un sac orné d’un message personnel. Le tout made in SF par les doigts de fée de Laura. Plus d’infos.

Pour les lecteurs, petits et grands

Nous vous avions présenté Pacita, la fée des tétines imaginée par notre collaboratrice Charlotte Attry, et qui aide les enfants à se débarrasser d’une habitude qui peut devenir encombrante. L’auteure de la East Bay a sorti il y a quelques semaines un ouvrage qui dédramatise une période très redoutée par les femmes : la ménopause ! Ce livre est en français et disponible soit à la livraison depuis la France, soit en livre numérique ici.

Pour les nostalgiques

Vous en avez assez de voir des mouchettes s’inviter dans votre cuisine pour goûter à vos fruits ? Happy Fruit propose des garde-manger en aulne ou en pin, fabriqués à la demande.  On peut y conserver des fruits, ou affiner un bon fromage. De quoi donner un petit côté diablement rétro à votre cuisine. Plus d’infos.

Pour les aventuriers

Vous avez l’impression de connaître San Francisco par coeur ? Jérôme Ribeiro propose des visites plus qu’originales, puisqu’elles se déroulent en side-car. Piloté d’un main de maître dans les collines de la ville, le side car permet de découvrir les incontournables, ainsi que des coins inédits sous un oeil nnouveau, le nez au vent. On peut également pousser jusqu’à Napa et Sonoma, pour goûter les vins du coin. Plus d’infos.

Pour les fans de déco originale

Donner une deuxième vie à des meubles, en les détournant souvent de leur usage initial, c’est le défi que Sandrine Marguot relève avec sa marque Ellesenfish. Le résulat est étonnant, souvent coloré, et ajoutera ce petit je ne sais quoi à votre intérieur. Plus d’infos.

Pour les coquettes

Bracelets, pendentifs, boucles d’oreille…Dans les mains de Kromatine, la pâte polymère se transforme en bijoux modernes et colorés, qui apporteront une touche de pop made in Oakland à toutes les tenues. Plus d’infos.

 

Graceful, une app pour se souvenir de ceux et ce qui comptent

0

« C’est quand déjà l’anniversaire de ma nièce ? » « Qu’est-ce qu’elle n’a pas aimé la dernière fois la voisine ? » Si vous vous posez souvent ce genre de questions, l’app Graceful est faite pour vous. Tout juste lancée par Claire Saccoccini à San Francisco, elle a pour ambition de faciliter et nourrir les relations personnelles.

Pour cette maman à l’agenda bien chargé, les pense-bêtes sont utiles. « J’ai réalisé qu’on se reposait sur la technologie pour plein d’aspects de nos vies. Faire les courses, gérer les comptes en banque, prendre rendez-vous chez le médecin… Mais que pour enrichir nos relations les plus précieuses, les applications mobiles sont très nombreuses : calendriers, Facebook, Whatsapp, etc. On s’y perd. L’idée de Graceful, c’est de tout centraliser sans rien remplacer. » Elle s’adresse en priorité à ceux qui, comme elle, « croient en la technologie pour être plus organisés, et sont plus détendus une fois les choses planifiées ».

« L’app a 3 fonctions principales. La première consiste à organiser ses contacts de façon visuelle – un peu à la Marie Kondo, et à les ranger dans des groupes, par couleur. » Ensuite, l’utilisateur peut remplir une fiche individuelle par contact. « C’est là que ça demande un peu d’investissement », reconnaît l’entrepreneure. « On note toutes les infos au sujet de ceux qui comptent, des détails aux choses plus importantes. » On ajoute les dates clefs, les noms des enfants, des animaux de compagnie, les derniers cadeaux échangés… De petites icônes illustrent le mode de vie. Un équilibriste jonglant sur un ballon pour les « mamans couteaux-suisse ». Une machine à laver pour les papas impliqués. Un van et des planches de surf pour ceux qui sont à la recherche d’adrénaline etc.

Enfin, le dernier volet de l’application a vocation à pousser les gens à passer à l’action. « Ça peut être envoyer une carte, un cadeau, dire merci, dire pardon… » 

De la pub à l’entrepreneuriat

« On est tous très occupés, surtout cette année. Et on aimerait se rappeler davantage de ce qui compte pour nos proches. » Cette envie, Claire Saccoccini en a toujours eu conscience. Mais c’est il y a quelques mois, pour ses 40 ans, qu’elle décide d’agir, poussée par les circonstances. « Je devais commencer un nouveau job le jour du confinement, et finalement ils ont annulé mon contrat. Ça a été un catalyseur », explique-t-elle. 

Après avoir passé 10 ans dans la production de publicité à Paris, et 6 en Californie à travailler sur la stratégie de marque pour des start-up, la voilà prête à créer la sienne. Et vite. « Je me suis donnée 3 mois entre le moment où j’ai eu l’idée et le moment où mon app était sur l’App Store. » Son mari, issu du monde du digital, l’aide pour le côté technique. « Il s’est aussi donné 3 mois pour coder Graceful app sans pourtant connaître le bon langage de programmation. » Mission accomplie. « Je me suis faite violence en lançant quelque chose de très simple sur le plan du design, que j’améliore en fonction des retours. »

Les évolutions à venir

« Au-delà de garder le contact, il y a aussi l’idée de célébrer la personne à laquelle on tient. » Une manière de concrétiser sa pensée que Claire Saccoccini envisage de développer via des partenariats. « Cela ne sera pas forcément mercantile, on n’a pas toujours besoin de cadeau, ça peut juste être un petit mot. » L’entrepreneure pense par exemple à PunkPost. « Une start-up qui permet de dicter un message, préciser le style souhaité ainsi que l’occasion fêtée. Puis un illustrateur dessine la carte et l’envoie au destinataire pour quelques dollars ».

Autre évolution possible : « pouvoir échanger des fiches contact avec d’autres utilisateurs de l’app. » Un développement qui serait compatible avec la culture locale. Originaire du Sud de la France, Claire Saccoccini reconnaît que « c‘est quelque part très américain comme application. En France, on est peut-être plus discret, plus distant et c’est vrai qu’ici ça compte énormément ce type d’attentions. Mais j’espère que c’est aussi international. »

Contrairement à la concurrence, Graceful n’a pas été pensée pour l’aspect professionnel. « Ce n’est pas une app pour briller en société, elle n’est pas basée sur la performance ou le networking. Même si, ceux dont le métier est imbriqué avec leur vie perso ajoutent souvent leurs collègues », remarque la fondatrice. The Graceful app sera en revanche très utile pour rendre plus agréable le prochain repas de Noël. Y compris s’il se déroule en ligne.

Shopping, patinoire et curling au marché de Noël de Bryant Park à New York

Si la plupart des marchés de Noël de la ville ont été annulés en raison de la deuxième vague de contamination à la Covid-19, le grand marché de Noël de Bryant Park s’est réorganisé pour rester ouvert.

Mesures sanitaires et sécurité renforcée

Le “Winter Village” est de retour jusqu’au 3 janvier avec des règles adaptées à la situation sanitaire. Les organisateurs ont réduit notamment le nombre de stands de 70% et réorganisé l’espace pour éviter tout regroupement trop important. La patinoire passe uniquement à ciel ouvert cette année, et l’ensemble du marché de Noël est désinfecté quotidiennement. Enfin, le port du masque est obligatoire sur place, pour les visiteurs comme pour les commerçants qui proposent des moyens de paiement sans contact.

Créateurs et entrepreneurs locaux 

Les vendeurs sont moins nombreux cette année, mais l’accent a été mis sur des marques et produits locaux. Vous retrouverez notamment la marque de macarons pour chien Bonne & Filou créée à New York par le Français Nicolas Nemeth. L’entrepreneur de 30 ans espère devenir le “Ladurée pour chien” avec des petits gâteaux sains pour nos animaux à quatre patte vendus par boîte de six, et disponibles en cinq saveurs : menthe, lavande, fraise, rose et vanille pour 23,99$. Parmi les autres idées de cadeau de Noël, on vous conseille les puzzles très new-yorkais de New York Puzzle Company, les sacs en cuir faits à la main de l’artiste Aleja Avila, ou les objets en tout genre et vêtements de seconde main de Brooklyn Woke Vintage. Les stands sont ouverts du lundi au vendredi de 11am à 8pm et le weekend de 10am à 8pm.

Des activités pour petits et grands

Au delà des boutiques, le “Winter Village” met à disposition une grande patinoire à ciel ouvert cette année. L’accès y est gratuit en s’inscrivant sur ce lien, comptez entre 21 et 36$ la réservation des patins à glace selon la période. Vous préférez tenter l’expérience du curling sur tapis ? Le marché de Noël vous propose de réserver un “family package” d’une heure et demie de jeu avec votre propre terrasse couverte en forme d’igloos, avec chocolat chaud et snacks. Comptez 250$ pour une famille de 4, 475$ pour 8. La formule “adultes” contient quant à elle au choix bière ou vin + snacks pour 300$ (4 personnes), ou 575$ (8).

“Un accueil auquel on ne s’attendait pas”: Angelina arrive aux États-Unis

C’est “Black Friday”. Au coin de la 40ème rue et de la 6th Avenue à Manhattan, une longue file d’attente s’est formée sur le trottoir. Au milieu des passants, entre un camion de ciment et une zone de chantier où s’affairent quelques ouvriers, Mickaël Cova s’occupe de faire rentrer les clients au compte-goutte dans le tout nouveau Angelina de New York, ouvert le 17 novembre. “C’est fou. Les New-Yorkais nous ont réservé un accueil auquel on ne s’attendait pas du fait de la conjoncture actuelle. Ils sont même prêts à faire la queue un long moment pour pouvoir vivre l’expérience Angelina“, s’exclame le Français.

Ce dernier fait partie du trio derrière ce lancement très attendu. Ancien expert-comptable, il s’est allié avec deux de ses cousins – dont le financier Julien Zerbib – pour ouvrir le fameux salon de thé à New York, première implantation de la marque aux États-Unis après l’Asie et le Moyen-Orient. Basés en France en attendant de s’installer de manière permanente aux États-Unis, ils travaillent sur place avec Anthony Battaglia, un ancien du restaurant français Le Coq Rico qui a également participé à l’ouverture des boulangeries Maison Kayser aux États-Unis. Il est le directeur des opérations de cette “master franchise”, formule où la maison-mère (le groupe Bertrand, propriétaire de plusieurs hôtels, restaurants réputés, comme la Brasserie Lipp et Le Procope, et de fast foods) et les franchisés se partagent les royalties sur des marchés stratégiques.

Avec mes associés, nous nous sommes aperçus qu’il y avait une demande aux États-Unis pour la food française de haute-qualité. Nous avons saisi l’opportunité, confie Mickaël Cova. Il y a une forte demande à New York en particulier, avec sa large communauté française et ses touristes, pour ce genre de concept. Angelina est typiquement le service qui peut plaire aux New-Yorkais”.

Le projet d’ouverture est dans les cartons depuis plus de deux ans. “Pendant tout l’été 2018, on a écumé les rues de New York à la recherche d’un espace“, se souvient-il. En début d’année, les associés ont jeté leur dévolu sur un petit espace situé au rez-de-chaussée d’un bâtiment résidentiel de luxe de 72 unités à côté de Bryant Park. Malheureusement pour les admirateurs d’Angelina, la Covid a rebattu les cartes. L’ouverture, initialement prévue pour le printemps, a dû être reportée à cause des retards pris dans la réalisation des travaux et l’obtention des permis. “La question d’arrêter ne s’est pas posée plus que ça car nous avons une clientèle loyale qui attendait l’ouverture et nous sommes conscients du potentiel de la marque à New York et dans le reste du pays“, explique Mickaël Cova.

À la différence de ses concurrents, Angelina peut compter sur une clientèle internationale déjà très fidèle, séduite par l’univers raffiné de la marque fondée en 1903 et fréquentée par Coco Chanel et d’autres célébrités. Sans oublier ses produits iconiques, dont son fameux chocolat chaud onctueux qui fait sa réputation dans le monde entier. Contrairement à Maison Kayser, qui a parié sur des ouvertures en série et une croissance rapide (avant de fermer boutique sur fond de pandémie), “nous ne voulons pas avoir des enseignes à tous les coins de rue, souligne Anthony Battaglia, qui a passé un an chez Maison Kayser USA en 2015. Si on peut avoir trois ou quatre adresses à New York, ça sera notre maximum“.

Des ouvertures sont envisagées dans d’autres villes (Miami, Washington, Dallas, Los Angeles, Las Vegas…), mais “on veut déjà voir comment la marque sera perçue avant de penser au développement en dehors de New York, ajoute Mickaël Cova. L’établissement de New York offre un large éventail de pâtisseries à emporter – dont son classique dessert Mont-Blanc – et un salon de soixante places avec un menu complet de plats américains et français, le tout dans un décor chic et lumineux doté de lustres aux allures de pièces montées, de miroirs et de peintures de paysages. Toutes les pâtisseries sont faites sur place, à l’exception des macarons, par la cheffe-pâtissière Noémie Tessier, venue de France. Angelina vend aussi des produits dérivés (thés, chocolats chauds…) sur place et en ligne. Elle a déjà reçu des commandes de Californie, du Texas et du Midwest, preuve de son rayonnement en dehors de la Grosse Pomme, selon son équipe dirigeante aux États-Unis.

Mickaël Cova et Anthony Battaglia restent discrets sur l’investissement réalisé pour ouvrir cette première adresse. (Selon le profil de l’un des associés, quelque quatre millions d’euros ont été investis dans l’opération par le groupe immobilier IDEC). Ils sont plus bavards sur d’autres chiffres: “Quand on a ouvert, on a dû réorganiser notre outil de travail pour faire face à la demande. Nous étions à 150-200 pâtisseries par jour. On en sort 1 000 maintenant“, précise Anthony Battaglia. Une bonne performance compte-tenu du fait que la Covid a vidé le quartier de Midtown, où Angelina a élu domicile, de ses touristes internationaux et d’une partie de ses résidents et bureaux. “Nos clients se réjouissent qu’on soit venu à eux car ils ne peuvent pas voyager à cause de la Covid-19, ajoute Mickaël Cova. Dans le passé, ils sont allés dans notre établissement historique de la Rue de Rivoli ou ailleurs dans le monde. Angelina a un fort potentiel de développement“.

Covid-19 & fermeture des écoles publiques : la grogne des parents s’organise dans la baie de SF

Alors que les prises de position en faveur d’une réouverture des écoles publiques encore fermées se multiplient dans la presse américaine, des parents français de la Baie de San Francisco se mobilisent pour attirer l’attention sur le sujet. Le samedi 5 décembre à 10 heures, des parents du BUSD – Berkeley Unified School District – organisent une marche et une manifestation pacifique pour se faire entendre. Avec masques et distanciation.

Virginie Goubier, mère de deux enfants scolarisés en classes de K et de 2d, fait partie des parents à l’initiative du mouvement. « On cherche à attirer l’attention de l’opinion et faire évoluer la situation. Nos enfants n’ont pas été en classe depuis le mois de mars… Ça doit être une priorité » assure-t-elle. Un point de vue partagé par d’autres parents comme Christine Polycarpe, mère d’un fils inscrit au lycée, en 10ème , et d’une fille au collège, en 7ème. « On veut secouer les puces des décisionnaires et dire aux professeurs : on comprend vos craintes de retourner enseigner en personne, mais on ne peut pas laisser tomber toute une génération par peur… ».

Céline Perier, mère de 3 garçons de 15, 13 et 8 ans, précise : « le remède est pire que le mal… ». Cette scientifique de l’université de Berkeley confie même se sentir abandonnée et espérer pouvoir ouvrir le dialogue avec la manifestation de samedi. « Mes enfants ont besoin d’aller à l’école. Moralement, c’est difficile. Surtout pour mon grand qui passe son temps sur écran à un âge où les relations sont très importantes. Mon petit lui, décroche un peu. Ce n’est pas le retard qui me fait peur, mais qu’il ne voit plus le sens, qu’il perde l’envie d’apprendre, le but… » explique-t-elle.

Défendre la santé mentale des plus jeunes

Jeanne Noble, médecin aux urgences au sein du groupe UCSF soutient la démarche de ces parents et souligne la détresse que les enfants éprouvent actuellement. « L’isolement mois après mois pour ces jeunes est un vrai problème. Nous voyons une augmentation des taux de dépression, d’anxiété et des troubles alimentaires. Les pensées suicidaires et comportements autodestructeurs ont augmenté de 160% depuis mars. Et ce n’est que la partie émergée de l’iceberg… ». Son intervention filmée se trouve en ligne sur le site des parents de Berkeley.

Face à un tel constat, Virginie Goubier, journaliste, décide donc de faire bouger les choses. « Quand on voit qu’en France tout ferme sauf les écoles et que cette stratégie est adoptée par plusieurs pays européens, on se demande ce qu’il se passe ici ! Je râlais toute seule alors j’ai décidé de mettre ma rage dans quelque chose de constructif » raconte-elle. Après une lettre envoyée aux parents de son école, elle récolte de nombreuses réponses d’autres parents tentant d’avancer dans leur coin. Ils se rallient et lancent leur collectif. La pétition qu’ils font ensuite circuler a déjà rassemblé presque 400 signatures.

Soutenir une école égalitaire

« Je fais tout ça pour mes enfants, car je crois profondément à l’école publique. Là, ils sont en train de saccager ses valeurs. Ça se passe bien à la maison, mais je me bats pour une école plus juste ! » affirme Virginie Goubier. Car à l’heure de l’école à domicile, les inégalités entre les différents groupes socio-économiques ne cessent de se creuser. « J’ai un tuteur pour nous aider et j’ai presque honte par rapport à ceux qui ne peuvent pas se le permettre… Je crois au service public et la fermeture des écoles provoque une augmentation des inégalités dans une société déjà individualiste… » précise Céline Perier. Et Christine Polycarpe d’ajouter : “la Californie clame des valeurs de justice et d’inclusion. C’est triste qu’elle participe au décalage des richesses…“.

Les dates de rentrée officielles annoncées par les écoles publiques encore fermées varient à travers la Baie. Nombre d’entre elles visent le mois de janvier, mais l’augmentation des cas, l’arrivée du froid, des fêtes et les nouvelles mesures de restriction risquent d’empêcher ce plan. « On a tout simplement loupé le bon créneau pour ouvrir en octobre. Parce que les écoles n’étaient pas prêtes et les enseignants réticents… Maintenant, il faut que tout le monde se mette d’accord de manière transparente – le district, les syndicats et les parents – afin d’accueillir les enfants dès que l’État l’autorisera… » explique Virginie Goubier.

Plusieurs autres mouvements s’organisent dans les environs et partagent le même objectif. À l’instar de celui de San Francisco (« Decreasing the distance ») ou d’Oakland (OUSD Parents). Tous souhaitent obtenir un plan de réouverture clair et précis. “On voudrait aussi que l’État de Californie priorise l’éducation en personne avant la réouverture des bars ou des salles de sports…”  conclut Virginie Goubier. Un message récurrent qui sera affiché lors de la manifestation du samedi 05 décembre.

 

Des cadeaux de Noël pour soutenir les entrepreneurs français de Miami

La chasse aux cadeaux de Noël est lancée. French Morning vous aide en vous suggérant quelques idées originales afin de choyer vos proches tout en soutenant l’économie locale en cette période difficile.

Intérieur cosy

Coussins, lampes de table, assiettes et serviettes, l’artiste peintre Bénédicte Blanc-Fontenille propose une multitude d’accessoires inspirés de ses peintures, qui conviendront à tous les goûts. Pour peaufiner une décoration intérieure, vous pouvez également jeter un oeil aux créations originales en macramé confectionnées par la Française Zoé Bancel, qui a récemment lancé sa marque The Frenchie Knot, ou encore offrir un nain de jardin d’Ottmar Hörl ou une réplique miniature de la Vénus de Milo vendus à un tarif abordable par Musart, une boutique en ligne d’objets et de produits dérivés de différentes oeuvres d’art, créée par le Français Vincent Grégoire.

Habillé pour « l’hiver »

De la robe au tee-shirt en passant par la combinaison, la Parisienne Élise Granjot, aujourd’hui installée à Miami Beach, confectionne des créations à la fois élégantes et confortables estampillées Zélivia + Co. À la tête de la marque NATH&LA, la Française Nathella Coletta, qui a également emménagé à Miami Beach, propose de nombreuses pochettes et sacs aux couleurs de la ville. Marie-Laure Desnoulez, quant à elle, engagée dans une démarche écologique et responsable, a créé Bichōn, sa marque de tee-shirts et casquettes qui arborent une broderie revisitant certains clichés de Miami.

Accessoires chics

Les adeptes de bijoux apprécieront les montres et bracelets en bois tropicaux de la marque Enbois créée par le Franco-haïtien Maxim Thurière. De son côté, la marque SanaVibe, récemment lancée par deux Françaises installées à Miami, propose une collection de bracelets réalisés à la main avec des pierres qui apaisent et stimulent nos émotions comme  l’oeil de tigre qui éloigne notamment les énergies négatives.

Littérature francophone

Ceux qui aiment la lecture apprécieront « Un Amour de Football », le dernier ouvrage de l’écrivain Michel Tessier dans lequel un pari est lancé entre une équipe de football amateur des beaux quartiers de Paris et une équipe de Marseille. Les fans de littérature francophone dévoreront également « Irma et les autres », second roman de l’auteure Anna Alexis Michel et finaliste Prix Plume du Jury 2020, ou encore « Sweet Soul Life of A Pastry Chef », un livre autobiographique signé par le chef pâtissier Georges Berger, Meilleur ouvrier de France.

Ces deux derniers auteurs pourront vous dédicacer un exemplaire de leur livre lors du marché de Noël organisé ce samedi 5 décembre de 10am à 5pm dans les jardins de la résidence consulaire où vous trouverez par ailleurs sur les nombreuses étals d’autres idées de cadeaux originaux.

Des cadeaux de Noël “made by French” à Los Angeles

Noël arrive à grands pas… Pour la première fois, nombre de Français expatriés vont le fêter à Los Angeles. Tout en faisant plaisir à vos proches, vous pouvez soutenir les petits commerces et l’artisanat français. French Morning vous en présente quelques-uns (liste non-exhaustive).

Des chaussures pour tous les pieds

Des chaussures Golden Age. /Photo DR

Pour les chaussures, l’offre est diverse. Golden Age, qui possède deux boutiques à Los Angeles (à Hollywood et Silverlake), propose des vêtements vintage (comme des bleus de travail et des salopettes venus d’Europe), ainsi que des chaussures à talons conçues au Brésil. Elles sont imaginées par Ludovic, un ancien ingénieur pour sneakers chez Decathlon, qui rend hommage à des films de l’âge d’or hollywoodien et à des actrices mythiques. On y trouve des sandales à haut talon (dont les “Mina” qui rappellent un costume de Dracula) comme des Santiags (au moins 200 dollars par paire). Autre style : les chaussures imaginées par Alexandre Benaim, le fondateur de MOBS, qui s’est inspiré des sandales en Tanzanie “simple, élégante et fonctionnelle” (de 155 à 245 dollars). Enfin, les chaussures tout-terrain éco-responsables et vegan de Guillaume Linossier : Saola (comptez 100 dollars pour femmes et hommes). Le plus : le tissu est réalisé à partir de matériaux recyclés quand les semelles sont synthétiques ou à base d’algues.

Des oeuvres d’art pour tous les goûts
Les amateurs d’art ne seront pas en reste… De nombreuses artistes françaises, installées à Los Angeles, rivalisent d’ingéniosité : vous pourrez opter pour les affiches aux allures enfantines d’Anais Godard (à partir de 27 dollars) ou les photos uniques et surréalistes de Reine Paradis (prix sur demande).

Un livre pour tous les âges
Et pourquoi pas un peu de lecture ? L’artiste Loan Chabanol a imaginé tout un univers dans Bleuboo, l’histoire d’un monstre bleu qui rencontre la dernière chenille de la forêt. Pour les plus grands, amateurs de découvertes, pensez au guide insolite d’Emilien Crespo : “The Soul of Los Angeles”, dans lequel il offre une version condensée ce qu’il faut vivre dans la cité des anges.

Emilien Crespo tient le fruit de 10 ans de recherches entre ses mains. /Photo S.C.

Du CBD pour tous les besoins (et envies)
Quitte à être en Californie, autant profiter de ses possibilités, dont le CBD. Cette substance active extraite du plant de chanvre, voisine du THC, est particulièrement prisée pour ses effets relaxants et antalgiques, sans vous rendre “stone”. La boutique Full Spectrum Organix à West Hollywood propose toute une gamme de produits : des gouttes personnalisées, des cosmétiques (baume à lèvre, boule effervescente pour le bain, huile de massage, …) ainsi que des “edibles” (nourriture) faits maison par Anna et le Français Alexandre Benichou.

Des accessoires pour toutes les bourses
Installée à Sierra Madre, Anne-Laure Battarel (ancienne sage-femme libérale) s’est reconvertie dans la couture avec De Paris à L.A . Une marque “qui raconte un peu de notre aventure familiale”. Formée au New York Institute of Art and Design, elle conçoit et réalise à la main une gamme diverse de produits textiles dans son atelier à domicile : des accessoires (pochettes à bijoux, trousses à maquillage, pochettes de sac, porte-clés), des sacs, des articles pour enfants (gigoteuses, hochets, bavoirs, couvertures), ainsi que de la décoration de chambre d’enfants. Tous les produits peuvent être personnalisés et sont réalisés avec des tissus importés de France. Elle a aussi développé une ligne d’accessoires de beauté “eco-friendly” à usages multiples (lingettes démaquillantes, gants exfoliants), certains utilisant du bambou biologique. Prix allant de 13 à 60 dollars.

Des meubles pour les plus petits

Les jouets en plastique, c’est démodé. Place aux créations de Louis Garcia, installé à Huntington Beach, qui conçoit des meubles pour enfants d’inspiration Montessori. On y trouve des chaises en bois, des bascules, des crochets muraux ou des dominos en bois. En plus d’être esthétiques, ils seront adéquats pour les tout petits.

Des savons pour tous les corps
Et si Noël avait une saveur de Provence ? C’est possible grâce à la boutique Au Savon de Provence à Temecula (au sud de Los Angeles), tenue par un Béarnais. Vous y trouverez du savon de Marseille traditionnel ou aux senteurs du pays, ainsi que des éponges de mer, des gels douches au miel, des flocons de rose ou des boules effervescentes pour le bain. De quoi confectionner un coffret parfait (commande possible).

De la joaillerie pour toutes les femmes
Les bijoux de Karine Tellier, originaire de Québec, sont créés à Costa Mesa. Grâce à la technique à la cire perdue, elle reprend des formes inspirées de la nature et de l’architecture, travaille l’or et l’argent pour donner du relief à ses manchettes et boucles d’oreilles. Bref, des pièces uniques et féminines qui se portent au quotidien. Coup de cœur pour les “Reflect Long post earrings”. Pour les offrir, il faudra débourser entre 39 et 119 dollars.

Des lunettes pour toutes les têtes
Il n’y a pas de saison pour porter des lunettes de soleil (et plus particulièrement quand on vit en Californie). Depuis une dizaine d’années, le Français Michel Atlan utilise des montures vintage authentiques des années 70, qu’il remet au goût du jour. Un “must” que vous trouverez dans plusieurs points de vente.

Une platine vinyle révolutionnaire pour tous les mélomanes
Pour les amateurs de musique et de technologies, ne cherchez plus… Imaginée à Los Angeles par Charles-Henri Pinhas et dessinée par le designer suisse Yves Béhar, Love Turn Table est une platine vinyle intelligente et connectée. Pour ce petit bijou, une véritable innovation en matière de musique, il faudra débourser 329 dollars.

[Webinaire] Opportunités d’investissement avant la fin d’année : parlons du “non-coté”

Vous vous demandez quelles sont les solutions d’investissement à privilégier pour cette fin d’année ? L’univers feutré du “non-coté”, peu mis en avant par les banques, attire de plus en plus les investisseurs Français expatriés.

Investir dans le non coté, c’est :
? investir dans des portefeuilles diversifiés (d’obligations non cotées, d’opérations de promotion immobilière et de marchand de bien, …)
? avoir un potentiel de performance supérieur aux classes d’actifs traditionnelles (actions, obligations, immobilier)
? avoir la possibilité de réaliser de bons rendements mais accepter un certain niveau de risque sur un horizon cible
? rechercher des placements qui ont du sens en participant au développement de petites et moyennes entreprises

Lors de ce webinaire, 5 experts des groupes EQUANCE et 123IM vous ont donné de nombreux conseils et ont répondu à vos questions en direct.

Visionnez le replay ici

Pour aller plus loin :

? Contacter le Siège du Groupe Equance à [email protected] ou directement Florent HOUSSAIS, Directeur du développement et spécialiste des US Persons à [email protected]

Téléchargez le support de présentation ici.

Moi Impat : Choc culturel pour famille (très )nombreuse

0

Surprise, bonheur, parfois désillusion, sont des sentiments que connaissent bien tous ceux que l’on appelle les “impatriés”. Pour son podcast “Moi Impat”, French Morning tend son micro à des Français qui racontent comment ils ont vécu leur retour au pays.

Ce 53ème numéro vous propose de suivre Agnès Gouesse dans les tribulations de son retour en France. Rencontrer Agnès c’est parler famille nombreuse. 6 filles au compteur et les problèmes inhérents à un retour inattendu : pas d’école parce que pas d’adresse, pas d’adresse parce que pas de logement. Le tout raconté avec force et optimisme.

Listen to “Episode 53: Agnès Gouesse” on Spreaker.

[Webinaire] Working from anywhere : les enjeux pour l’employeur et l’employé

Le télétravail s’est démocratisé depuis le début de la crise sanitaire : aujourd’hui de nombreux employés, parfois appelés “nomades numériques” ou “digital nomads”, peuvent travailler de n’importe où dans le monde.

Mais quels sont les risques à prendre en compte, aussi bien du côté de l’employeur que de l’employé ? Couverture sociale et médicale, immigration, impôts et taxes, etc…

Durant ce webinaire, 4 experts de KPMG vous éclairent sur le sujet au travers de deux cas concrets. Retrouvez-le en intégralité ci-dessus ou sur notre page YouTube.

CONTACTER LES EXPERT·ES

Valérie Boissou
KPMG partner-in-charge of US-French corridor – NYC
Contact : [email protected]

Sofiane Jaidi
KPMG senior manager – Global Mobility Services – NYC
Contact : [email protected]

Christina Cure
KPMG senior manager – Global Mobility Services – NYC
Contact : [email protected]

Stephanie Chartier
KPMG Avocats Director – Global Mobility Services – Paris
Contact : [email protected]

Comment investir dans l’immobilier aux États-Unis ?

0

[Article partenaire] Vous faites partie de ces personnes qui trouvent qu’il est plus avantageux de faire travailler son argent en l’investissant plutôt que de le placer dans une banque ? Vous avez constaté que le marché immobilier en France croit à une vitesse grand V et qu’il est difficile de faire de bonnes affaires ?

Ainsi, vous vous dites : pourquoi ne pas investir dans l’immobilier locatif aux États-Unis ? Et vous avez totalement raison. Les USA sont un eldorado pour l’immobilier. Il est encore facile de faire l’acquisition de très bonne affaires avec des rentabilités à 2 chiffres. Des études ont montré que le taux de rendement net en France tournait autour de 4%, alors qu’il est de 10% aux États-Unis !

Plusieurs options s’offrent à vous :

  1. Se débrouiller par soi-même : si c’est votre choix, vous risquez de changer d’avis après avoir lu cet article
  2. Faire appel à une agence basée en France : attention à la facturation qui risque d’être élevée, et au manque de liberté
  3. Faire appel à une agence basée aux États-Unis non francophone : veillez à vous assurer que vous avez bien compris tous les termes de l’accord pour éviter d’être déçu·e
  4. Faire appel à une agence basée aux États-Unis et francophone : c’est le meilleur choix pour un investissement serein qui minimise les risques.

La question du financement

La première question à laquelle nous devons répondre est celle du financement. En effet, si vous n’avez pas les capitaux disponibles il peut être très compliqué d’investir dans l’immobilier aux États-Unis. Les banques françaises seront frileuses de vous suivre par peur de l’inconnu. Les banques américaines prêtent très difficilement aux non-résidents permanents, ou elles demandent un apport de plus de 30%.

Cependant, rassurez-vous : tout n’est pas perdu si vous n’avez pas les capitaux. Nous vous invitons à en parler avec nous en réservant une consultation gratuite.

La question de la fiscalité

Il faut savoir qu’aux États-Unis vous avez un impôt :

– Fédéral : ce sont les impôts du pays, l’équivalent de l’impôt sur le revenu en France
– Par « state » ou état : ce sont les impôts que vous payez en fonction de l’état où se trouve votre bien. Il est différent en fonction de l’état.

La convention de non double imposition France/USA signée en 1978 vous permettra de payer vos impôts une seule fois. Cependant vous aurez à déclarer vos revenus aussi aux États-Unis.

Investir dans l’immobilier locatif : à l’année ou dans le saisonnier ?

Ce sont deux types d’investissements différents avec des biens cibles différents. Dans les deux cas vous devez faire appel à une agence de gestion locative pour gérer les locataires et les entrées/sorties. INVEST US vous propose un service clé en main qui comprend la gestion de votre bien.

En fonction du type d’investissement choisi, vous ne ciblerez pas les mêmes villes. En effet, nous vous conseillons d’investir par exemple à Cleveland pour un investissement locatif à l’année. Cleveland est une ville dite « familiale » attractive car elle offre :

– Des emplois stables
– Des activités de tous genres
– De bonnes universités
– L’immobilier y est abordable (prix d’entrée 55,000€) avec des rentabilités à 2 chiffres + 16%

Il est bon de savoir qu’aux USA il existe certains cas où les loyers peuvent être pris en charge par l’État fédéral américain, vous évitant ainsi des impayés au niveau de vos loyers. Nous appelons ces biens des “sections 8”. Si vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à réserver une consultation gratuite avec nous.

Si vous choisissez un investissement locatif saisonnier, nous vous conseillons des villes touristiques comme Orlando ou Miami. Les rentabilités sont moins élevées mais les touristes sont là toute l’année. Le gros avantage, c’est que vous pourriez bénéficier d’un pied-à-terre aux États-Unis.

Choisir un professionnel sur place

Le choix d’une agence immobilière local est primordial pour réussir votre investissement immobilier aux États-Unis. En effet, lorsque l’on investit dans un autre pays, il est rare que l’on connaisse tous les pièges à éviter.

Grâce à votre partenaire immobilier tel qu’INVEST US, vous serez capable d’investir aux USA et plus particulièrement à Cleveland en toute tranquillité. En effet, INVEST US est composée d’une équipe d’experts locaux et francophones. Avec plus de 400 maisons vendues et 8 ans d’expérience, INVEST US est une référence dans le domaine de l’investissement immobilier locatif.

Quelque soit votre question, ils sauront vous répondre précisément et avec professionnalisme en moins de 48h.

Voici une liste de questions dont vous pouvez déjà trouver les réponses ici :
– Peut-on acheter aux États-Unis en étant francophone et non-résident américain ?
– Quels sont les frais à prendre en compte dans le calcul de la rentabilité
– Y a-t-il d’autres frais à prévoir ?
– Faut-il prévoir des frais de travaux ?
– Quelle structure juridique pour acheter un bien aux États-Unis ?
– Doit-on acheter en son nom propre ?
– Quelles sont les étapes de l’acquisition d’un bien immobilier ?
– Est-ce à moi de m’occuper de la gestion locative de mon investissement ?
– Et si je souhaite revendre mon investissement ?
– Comment sont payés les loyers ?
– Que se passe-t-il si un locataire ne paye pas son loyer ?

Nous vous conseillons de trouver une agence immobilière qui vous proposera un service clé en main pour vous permettre d’investir depuis le confort de votre maison. C’est le cas d’INVEST US qui dans son service d’investissement passif tout inclus s’occupe pour vous :

– De trouver les meilleures opportunités, notamment à Cleveland
– De toutes les démarches administratives
– Du processus d’acquisition
– De la gestion locative du bien
– Du paiement des loyers
– De la revente si besoin

Thibaut Guéant, fondateur d’INVEST US et expert immobilier, vous conseille d’investir aux Etats-Unis et plus particulièrement dans la ville de Cleveland. Ce n’est en aucun cas une utopie ou une folie si vous êtes bien entourés.

Depuis la crise des subprimes, les prix ne cessent d’augmenter mais de très bonnes affaires vous attendent.

N’hésitez pas à réserver votre consultation gratuite en ligne avec Thibaut Guéant et à suivre INVEST US sur les réseaux sociaux :

Facebook / Instagram / LinkedIn / YouTube

—————-
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.