En vigueur depuis mars 2020, le « travel ban » – qui interdit l’entrée sur le territoire américain à toute personne étrangère ayant séjourné en Europe (espace Schengen plus UK et Irlande) pendant les 14 jours précédents – reste en vigueur. Mais l’administration américaine a annoncé il y a quelques jours une série d’exceptions pour « intérêt national ». Dans les faits, elles assouplissent le régime en place. Voici un guide pour vous aider à vous y retrouver.
Les étudiants autorisés à entrer aux Etats-Unis
Dans les faits, la quasi-totalité des étudiants étrangers titulaires d’un visa (F ou M) sont désormais autorisés à entrer sur le territoire américain. Contrairement aux autres catégories (voir ci-dessous), ils sont automatiquement exemptés du travel ban et n’ont donc aucune démarche spécifique à effectuer avant de se présenter à l’aéroport.
Les étudiants qui n’ont pas encore obtenu leur visa peuvent le demander auprès des consulats américains en France. Les services opèrent à horaires réduits, mais il est possible de prendre rendez-vous. Plus d’informations ici.
Les étudiants titulaires d’un visa J-1 (cas plus rares d’étudiants-chercheurs notamment) peuvent également être autorisés à entrer sur le territoire, mais ils doivent en faire préalablement la demande auprès du consulat américain. En revanche, les stagiaires et autres VIE (J-1 intern ou trainee) ne sont pas concernés et ne peuvent donc toujours pas entrer sur le territoire.
Enseignants et chercheurs
Titulaires de J-1, ils peuvent également bénéficier de l’exemption pour « intérêt national ». C’est notamment le cas des professeurs de français des programmes bilingues et écoles d’immersion. Contrairement aux étudiants, ils doivent demander une exemption auprès de leur ambassade américaine.
Les exemptions pour business
Les titulaires de visas E-1 ou E-2 (investisseurs) peuvent également demander une exemption pour être autorisés à entrer sur le territoire.
Les dirigeants d’entreprise et « executives » qui « fournissent une direction stratégique nécessaire au succès de la compagnie » peuvent également également être autorisés à entrer aux Etats-Unis, tout comme certains techniciens et spécialistes dont la présence est jugée indispensable pour mettre en œuvre des équipements ou installations.
Enfin, les athlètes professionnels peuvent également être autorisés à entrer.
La procédure pour demander une exemption
Pour les personnes présentes sur le territoire français, l’exemption s’obtient en envoyant un email à [email protected]avec l’objet « CONSIDERATION FOR NATIONAL INTEREST EXCEPTION – [nom de famille] » en joignant les informations suivantes : date de naissance, numéro de passeport, raison et dates du voyage. Plus d’informations ici.
Cette exemption peut être accordée aussi bien à des titulaires de visas qu’à des personnes ayant un ESTA. Par ailleurs, les personnes non titulaires de visa ou d’ESTA peuvent faire une demande pour les mêmes raisons « d’intérêt national » en prenant un rendez-vous sur le site.
Quarantaine à l’arrivée
La question de la quarantaine à l’arrivée aux Etats-Unis est incertaine. Si l’ambassade des Etats-Unis à Paris se contente de noter qu’une quarantaine « peut être imposée à l’arrivée » par la police aux frontières, d’autres, comme l’ambassade de Bruxelles indiquent qu’il faut accepter cette quarantaine volontaire pour pouvoir demander l’exemption.
(Mis à jour avec le décret publié le 28 juillet 2020)
Annoncée vendredi par le premier ministre Jean Castex, la mesure entre en vigueur le 1er août.Si vous avez prévu un retour en France, il faut donc vous préparer : un résultat négatif de test au coronavirus sera exigé pour les personnes arrivant de seize pays, dont les Etats-Unis.
De quel test s’agit-il ?
Il s’agit du test dit PCR (virologique), donc le test de dépistage du virus, et non pas du test sérologique (qui indique que des anti-corps sont présents et donc que la personne a été préalablement infectée). Ainsi, même si vous avez fait le test sérologique et que vous êtes porteur d’anti-corps, il vous faudra tout de même faire un test PCR pour pouvoir prendre l’avion.
Qui est concerné ?
Toutes les personnes de onze ans ou plus en provenance des Etats-Unis et des quinze autres pays visés : Afrique du Sud, Algérie, Brésil, Inde, Israël, Koweït, Madagascar, Oman, Pérou, Qatar, Serbie, Turquie, Bahreïn, Emirats arabes unis et Panama.
Puis-je faire le test en arrivant à l’aéroport à Paris ?
Non, pas en provenance des Etats-Unis. Il faudra présenter un test négatif, réalisé au maximum 72 heures avant, pour pouvoir embarquer. Des centres de dépistage vont être mis en place à Roissy, mais seulement pour les voyageurs en provenance de pays où les tests sont difficiles à obtenir localement, soit douze des pays de la liste. Seuls sont soumis à l’obligation de présenter un test à l’embarquement les voyageurs venant des Etats-Unis, du Bahreïn, des Emirats arabes unis et du Panama.
L’attestation de voyage est-elle toujours obligatoire ?
Oui, l’obligation de test s’ajoute aux autres limitations. L’entrée en France en provenance des Etats-Unis est donc toujours interdite, sauf pour les ressortissants français ou européens. Il vous faudra donc présenter l’attestation de voyage, disponible ici.
Facilement accessibles depuis New York City, ils sont parfait pour une évasion d’un week-end ou plus. A l’heure de la mise en ligne, ils étaient tous ouverts malgré la Covid-19, avec parfois quelques aménagements aux règles (pensez aux masque à l’accueil!).
Harriman Outdoor Center
Crédits : Harriman Outdoor Center
Le Harriman Outdoor Center est parfait pour une première expérience de camping. Il promet un week-end ressourçant, en pleine nature. Situé au bord du lac Breackneck Pond, à deux heures de route de New York, il est possible d’y louer un espace où planter sa tente, à $30 la nuit. Pour plus de confort, l’Harriman Outdoor Center propose aussi des cabanes à partir de $141 la nuit pour 4 personnes. Les résidents du camping peuvent louer gratuitement des canoës et partir randonner dans les environs. Il est accessible en transports en commun depuis Tuxedo Park Train Station en navette. 200 Breakneck Rd, Haverstraw, NY 10927.
Malouf’s mountain campground
Crédits : Malouf’s mountain campground
Cette fois-ci encore accessible en transports en commun depuis la gare de Beacon, ce camping est situé en pleine forêt et à l’avantage de proposer deux types d’emplacements. Le premier est situé sur une plateforme en bois et contient de quoi faire à manger (plaques électriques, de quoi faire du feu, des couverts, table de pique-nique…) et le deuxième est plus primitif, il faudra planter sa tente directement sur le sol et emmener de quoi se préparer à manger. Pour une nuit dans le premier type d’emplacement, il faudra compter $95. Une fois sur place, de nombreuses activités sont disponibles : découverte de Beacon, pêche, randonnée, kayak… Beacon, NY 12508.
North-South Lake Campground
Crédits : Alexander Gude
Le North-South Lake Campground est un camping d’État connu pour ses paysages grandioses et les nombreux lacs qui l’entourent. Situé au cœur des montagnes Catskills, on peut y observer des cascades et parfois même des ours. L’endroit s’explore via ses nombreux sentiers de randonnée mais aussi depuis les lacs grâce aux locations de barques et de kayak. La location d’emplacement de camping est plutôt bon marché puisqu’il faut compter $22 par nuit et $5 de plus pour les non-résidents de l’État de New York, pour pouvoir planter sa tente au North-South Lake Campground. County Route 18, Haines Falls, NY 12436.
Mohican Outdoor Center
Les amateurs de randonnée devraient apprécier le Mohican Outdoor Center. Situé non loin du célèbre Appalachian Trail, un sentier de randonnée qui traverse 14 États de l’Est des États-Unis, ce camping installé à 90 minutes de voiture de New York propose de nombreuses activités et formes d’hébergement : Cabanes pouvant accueillir jusqu’à 16 personnes, tentes proposées à la location ou espaces pour planter sa propre tente. Une cuisine permet aux voyageurs le souhaitant de préparer leurs propres repas, il est aussi possible d’en acheter un sur place. Il est aussi possible de se baigner dans l’étang Catfish Pond, ou d’y naviguer grâce à la location de bateaux du camping. 50 Camp Mohican Road Blairstown, NJ 07825.
Watch Hill Fire Island Campground
Crédits : NPS Photo/J. Peters
Si vous préférez la mer aux lacs, le Watch Hill Fire Island Campground est fait pour vous. Ce camping les pieds dans le sable est situé sur l’île de Fire Island, tout à l’Est de New York. Il propose de faire du glamping (dormir dans une grande tente fixe et équipée d’un lit double) ou d’emmener sa propre tente. Pendant l’été, le glamping coûte entre $150 et $195 et l’espace pour planter sa tente sans électricité, $35. L’endroit est idéal puisqu’il est situé dans les dunes et à seulement quelques minutes à pied de la plage. On peut y accéder grâce à la Long Island Rail Road, puis en prenant le ferry. Fire Island National Seashore, Burma Rd, Patchogue, NY 11772.
Vous vous demandez quelles sont les démarches à entreprendre pour bien préparer votre impatriation ?
Vendredi 24 juillet, nous invitions des experts à prendre la parole lors d’un webinaire dédié. Ils ont présenté les différents aspects de l’impatriation à préparer, expliqué comment le faire, et ont répondu à vos questions.
Alexandre Quantin, MBA, RICP®, partenaire chez USAFrance Financials® – cabinet de conseil spécialisé dans la gestion de patrimoine des Français aux États-Unis.
Malgré plusieurs tentatives, Lower Manhattan n’a jamais pu avoir son programme bilingue public. Cela va-t-il changer ?
Les parents qui veulent s’impliquer dans ce nouvel effort sont conviés à une conférence sur Zoom le lundi 27 juillet. Seront présents: plusieurs élus, des responsables de districts scolaires, des représentants des conseils d’éducation (CEC) des districts 1, 2 et 3 et de l’enseignement bilingue.
Cette réunion permettra aux “parents français de faire preuve de leur volonté de mettre en place un tel programme“, précise Stéphane Lautner, le papa qui a participé à l’ouverture des nouvelles classes bilingues dans l’Upper East Side. Il note que ce programme, qui ouvrira à la rentrée, a environ 40 enfants inscrits et une liste d’attente de 70 personnes. Il fait partie d’une équipe de francophones de New York (qui comprend aussi Amélie Derrieux-Sable, Nadia Levy et Catherine Rémy) ambitionnant de développer l’offre bilingue dans la ville.
« Nous étions stressés. Ce n’était pas le périple le plus agréable », reconnaît Vanessa Richard. Cette Française de New York, qui s’est retrouvée bloquée en France avec son mari à la suite de l’interdiction de voyager décrétée par Donald Trump mercredi 11 mars, voulait retourner aux Etats-Unis. Elle a essayé de passer par la Martinique, mais Air France l’a « refoulée », elle et son époux, titulaires respectivement de visas O-3 et O-1.
Ils décident alors d’explorer une autre option: un passage par le Mexique qui, contrairement à l’espace Schengen et d’autres pays, n’est pas visé par le « travel ban » de l’administration américaine. « Ça nous avait été suggéré par les avocats de mon mari comme une possibilité », indique Vanessa Richard. Après avoir contacté les compagnies aériennes et l’ambassade de France au Mexique, ils décident de tenter le coup. En mai, ils se rendent donc à Mexico City, où ils passent la quatorzaine requise, avant d’atterrir à JFK. « Les agents étaient plus cool que d’habitude comme il y avait moins d’arrivées », observe même la Française. Le couple passe tout de même par la salle des contrôles, où un agent vérifie qu’ils ont bien passé quatorze jours complets sur le sol mexicain. « Ça a pris cinq minutes. »
Alors que l’interdiction de voyager se prolonge entre les Etats-Unis et l’Europe, cette piste mexicaine fait l’objet d’un regain d’intérêt de la part de Français qui veulent regagner les Etats-Unis. A l’heure actuelle, seuls les binationaux, les titulaires de carte verte et de visas diplomatiques sont autorisés à rentrer sur le territoire américain quand ils proviennent de France. A l’inverse, les détenteurs de visas non-immigrants (L, H, J, E…) ne sont pas autorisés à revenir directement de l’Hexagone.
Pour l’heure, le Mexique (et beaucoup d’autres pays) ne fait pas l’objet d’une telle interdiction. Selon le site de l’ambassade américaine à Mexico City, les frontières aériennes, ferroviaires et maritimes avec les Etats-Unis restent ouvertes, à la différence des passages terrestres (limités aux travailleurs essentiels). Une politique récemment reconduite jusqu’au jeudi 20 août. En théorie, les titulaires de visas non-immigrants peuvent donc passer par la case mexicaine tant qu’ils respectent une quatorzaine avant de se rendre aux Etats-Unis et que des vols directs sont proposés (ce qui n’est pas le cas de tous les pays non visés par une interdiction de voyage).
Titulaire d’un visa E-2, Gaby, un Français qui a souhaité rester anonyme, a fait un aller-retour entre Los Angeles et le Mexique, fin juin, pour faire tamponner son visa et rester deux ans de plus aux Etats-Unis. « Je ne voulais pas m’éterniser car les frontières pouvaient être refermées à n’importe quel moment », dit-il. A son retour à LAX, l’agent d’immigration l’a laissé passer, lui et sa famille, en demandant simplement comment s’était passé leur séjour de 24 heures. Comme il ne venait pas d’un pays « interdit », il n’a pas eu à faire sa quatorzaine sur place. « On n’est jamais confiant à 100%. Il y avait 1% de chance que cela ne marche pas », dit le Français. Quand on lui demande s’il conseillerait à des personnes venant de France de passer par le Mexique, il répond que « cela dépend de chacun. Si une partie de la famille est coincée en France, si vous avez le temps et les moyens de faire une quatorzaine au Mexique, pourquoi ne pas prendre le risque ? Au pire, vous retournerez en France. »
Opération risquée
L’opération demeure risquée. D’un point de vue sanitaire d’abord, tout déplacement accroît le risque de transmission du virus et les voyages non-essentiels restent fortement déconseillés par les autorités. Ensuite, la « réglementation change tout le temps », observe Laurent Vonderweit, avocat d’immigration en Californie. « Il commence à y avoir des clusters au Mexique. Les frontières peuvent être refermées du jour au lendemain. Sortir des Etats-Unis, c’est prendre un risque. On déconseille de le faire, surtout si c’est pour des vacances. » L’avocat rappelle que l’autorisation d’entrée sur le territoire est donnée in fine par l’agent d’immigration à l’aéroport d’arrivée, même si un visa est déjà dans le passeport.
Restaurateur à Los Angeles en visa E-2, Vincent Samarco a lui eu des déconvenues lors de sa première tentative de passage. Arrivé à Tijuana de France, fin avril, il tente de passer la frontière avec sa fiancée américaine, mais les services d’immigration les stoppent dans leur élan, contactant Interpol pour vérifier les précédents voyages du restaurateur. Ils doivent alors se rabattre sur une location à Rosarito, une station balnéaire au sud de Tijuana, où ils passeront leur quatorzaine obligatoire. « Le 5 mai, on a réussi à passer la frontière, et ils n’ont rien contrôlé », explique Vincent Samarco. Lui est entré aux Etats-Unis par voie terrestre, option pourtant réservée aux travailleurs essentiels selon les textes. Le Français indique avoir simplement présenté une preuve de résidence aux Etats-Unis. « J’avais fait des recherches sur Internet. Tout le monde m’avait déconseillé de le faire, mais j’y suis allé au culot », explique l’entrepreneur qui emploie douze personnes.
Bloqué par Air France
Pour sa part, Julien López, Français basé à Phoenix, a eu des problèmes au départ de France. Après avoir tenté de rentrer aux Etats-Unis via les DOM-TOM, idée qu’il a dû abandonner en raison d’annulations de vols, ce titulaire d’un visa de fiancé K-1 indique qu’Air France lui a interdit d’embarquer à bord d’un vol pour le Mexique en arguant – à tort – qu’il n’avait pas le droit de le faire. D’autres passagers ont visiblement eu le même problème car l’ambassade du Mexique en France a jugé bon de publier un communiqué, début juin, précisant qu’en raison « d’erreurs non imputables aux gouvernements du Mexique ou de la France, une compagnie aérienne n’a pas permis à des ressortissants français d’embarquer à destination du Mexique, sans document officiel justifiant le voyage. »
Elle rappelle en outre qu’« à ce jour, les frontières du Mexique restent ouvertes à quiconque souhaite se rendre au Mexique à partir de l’Europe. Il n’y a aucune restriction liée à la pandémie et aucun justificatif n’est requis pour prendre l’avion. » Bloqué par Air France, « j’ai décidé de prendre Aeromexico (la compagnie mexicaine, ndlr). Ils connaissent la réglementation », indique Julien López. Après deux semaines de Airbnb au Mexique, il rentre à Los Angeles sans encombres. « L’agent d’immigration m’a posé les mêmes questions que d’habitude », précise-t-il. « Finalement, j’ai eu plus de difficultés en France que pour entrer aux États-Unis. »
« Le meilleur moyen d’avoir le cœur net sur ce qu’on peut faire est de contacter les ambassades », poursuit Vanessa Richard. Si son voyage s’est bien passé, elle reconnait la part de risque qu’elle a pris. « On a eu peur de tomber malade au Mexique. D’autant qu’on n’avait pas d’assurance pour nous couvrir là-bas et que le coût de la santé est élevé », dit-elle.« Il y a quelque chose d’absurde au fait de devoir passer par un pays qui a de nombreux cas de COVID-19 alors que la situation s’améliore en Europe. »
Nouveau rebondissement dans la saga sur le foie gras et la Californie, qui dure depuis 2004, année où la vente de produits “issus du gavage d’une volaille dans le but d’agrandir son foie” a été interdite par la loi. Mardi 14 juillet, soit le jour de la fête nationale française – “un bon timing” pour Ariane Daguin, responsable et créatrice de l’entreprise D’Artagnan à New York -, le juge de la Cour de district central de Californie, Stephen V. Wilson, a déterminé que la vente de foie gras n’était pas contraire à la loi si le vendeur se trouve hors de Californie et que le produit est livré sur le territoire de l’Etat par un tiers.
Il a ainsi répondu favorablement à une partie des demandes de producteurs américains et canadiens, et de restaurateurs, qui fustigeaient les dispositions de la loi interdisant la vente de foie gras produit hors de la Californie.
“Cette décision réaffirme que l’interdiction du foie gras est vraiment ridicule et frivole, et ne punit que les Californiens qui font du commerce de volaille et de palmipède”, note Ariane Daguin, surnommée “la reine du foie gras aux Etats-Unis”. Cette décision ne remet pas en cause l’interdiction de produire du foie gras en Californie.
Une victoire “symbolique” donc, dont les effets n’ont pas tardé. Ainsi, l’entreprise D’Artagnan a reçu plus de commandes émanant de la Californie les 15 et 16 juillet, que durant la saison des fêtes de Noël. “Ils ont voté avec leur portefeuille”, pour Ariane Daguin.
Une décision “positive”, abonde Sébastien Lesage, président de l’Association des éleveurs de canards et d’oies du Québec (AECOQ) qui est l’un des artisans de cette longue bataille judiciaire, avec le producteur Hudson Valley Foie Gras et le chef de Hot’s Kitchen (aujourd’hui fermé), Sean Chaney. “L’Etat ne pouvait pas empêcher d’autres Etats ou pays de vendre leurs produits, cela contredit la réglementation sur le libre marché des denrées.” Cette nouvelle n’est pas anecdotique, puisque la Californie représentait 20 % du marché pour les producteurs de foie gras au Québec.
Pour lui, le plus important reste le “message positif que la décision envoie pour la consommation du foie gras”, contre la mauvaise presse des lobbies et activistes. Ainsi, Sébastien Lesage tient à rappeler les mesures mises en place dans les fermes québécoises : “nos élevages sont encadrés par des associations de vétérinaires, notre guide des bonnes pratiques a été validé en 2018, on respecte le bien-être des animaux.” Il regrette que “le foie gras soit un symbole facile à attaquer”, alors qu’il ne représente qu’une petite industrie. Une industrie qui a perdu plus de 70 % de ses clients (principalement des restaurants haut de gamme) en raison de la crise sanitaire et des mesures de confinement.
Quid des restaurants californiens
Mais qu’est-ce que cette décision change concrètement pour les professionnels californiens ? “Ca ne change rien, ça reste un produit réservé aux connaisseurs”, répond Laurent Vrignaud, propriétaire de plusieurs restaurants Le Moulin dans Orange County. Celui qui fabrique du foie gras au torchon, à partir de foies importés, était empêché d’en vendre depuis janvier 2019. “Le foie gras est en ce moment (avec la Covid) le cadet de nos soucis.”
Malgré la confusion créée par cette décision, il est toujours illégal de proposer ce mets au menu des restaurants. Enfin, “rien n’est très clair”, fait remarquer Vincent Samarco, propriétaire du restaurant Belle Vie à Los Angeles. “Je vais regarder consciencieusement la loi, mais il me semble qu’il faut juste que le foie soit livré par une tierce partie, il y a une manière de le vendre en toute légalité. Je compte le remettre au menu dès que je peux”, lâche celui qui défend la gastronomie française.
Il reste toujours une solution qui n’a pas (encore) été réprimée et se pratique : les clients peuvent apporter leur foie gras et payer un chef pour le préparer.
Une bataille de gagnée, mais pas la guerre
Et “cette longue saga judiciaire n’est pas encore terminée”, fait remarquer Sébastien Lesage. Ce mets français avait été interdit en 2012, autorisé en 2015, puis à nouveau suspendu et restauré en 2017, avant d’être prohibé en 2019. “Nous sommes toujours en appel pour que cette “interdiction de produire dans l’Etat” soit supprimée”, assure Ariane Daguin.
“La décision californienne montre aux New Yorkais qu’on ne se laisse pas faire et qu’on est en train de gagner”, argue-t-elle, rappelant leur victoire contre la ville de Chicago. “Ils n’ont aucune excuse pour prendre de pareille décision, et ils refusent nos invitations à la ferme pour vérifier le bien-être des animaux”, regrette-t-elle. “J’ai vu dans un article du Wall Street Journal que même l’USDA (département de l’Agriculture des Etats-Unis) va se battre à nos côtés. Ce sera plus simple car c’est un “abus de pouvoir” d’une municipalité.”
L’AECOQ, pour qui New York est un marché important, s’implique également en démarchant lobbies et conseillers municipaux pour empêcher ce “ban”. “Si cela ne suffit pas, nous irons en justice, il faut faire valoir l’Etat de droit”, plaide Sébastien Lesage, qui s’interroge, un peu désespéré : “Est-ce qu’on va pouvoir mettre fin à ce débat sans fin ?”
Family Way vous partage durant l’été quelques chouettes activités à réaliser à New York City avec ses enfants. L’occasion de vivre une expérience tous ensemble ou simplement de s’occuper pendant une période que l’on n’avait pas forcément prévu de passer ici. Et vous verrez que les activités de plein air ne manquent pas à New York.
Vous rêvez de prendre le large, de vous évader et de quitter le béton New Yorkais ? Rien de mieux qu’aller se ressourcer avec une activité au bord de la mer : le surf.
A partir de 4-5 ans, appréciée par les ado et sans limite d’âge, c’est une activité à partager en famille. En outre, vous pouvez choisir la formule adaptée et opter pour des semaines de camp ou simplement pour une session.
Le plaisir de la glisse vient très vite même si vous êtes débutant. Les écoles sont équipées de planches que l’on appelle “longboard” qui permettent de rapidement pouvoir avoir des sensations et surtout de réaliser le fameux “take off” ou “pop up” permettant de se lever sur la planche.
Pour cette activité, il vous suffit de vous rendre à Rockaway Beach. Accessible en voiture, en bus, en métro ou même en ferry, Rockaway vous donne non seulement accès à de très belles plages pour la baignade mais est surtout réputée pour le surf.
La situation actuelle oblige, ou incite, de nombreux expatriés français à rentrer au pays. C’est une décision importante qui nécessite une préparation adéquate.
Christèle Biganzoli et Thierry Renard, associés fondateurs du cabinet de gestion patrimoniale FIGEP, aborderont durant ce webinaire les grandes notions à connaître et à exécuter avant le départ et à l’arrivée en France afin d’optimiser sa situation civile, fiscale et patrimoniale. Quelques exemples de cas pratiques seront abordés.
Alexandre Quantin, MBA, RICP®, Wealth Management Advisor et Partenaire chez USAFrance Financials® détaillera pour nous la “checklist du départ”, mais aussi les opportunités patrimoniales aux USA ainsi que les options pour le 401k et les plans de retraite.
Amélie Deschênes, directrice des partenariats chez OFX, nous expliquera comment gérer les transferts d’argent internationaux qui accompagnent bien souvent un retour en France, en évitant les surcharges.
Vous aurez l’occasion de poser vos questions aux intervenants en direct.
Un plongeon au coeur des Everglades est une bonne option pour se mettre au vert. Loin du tumulte de la ville, vous pourrez arpenter, à pied ou à vélo, l’un des nombreux chemins de randonnée du parc national créé en 1934 pour protéger un écosystème fragile, tout en admirant une multitude d’oiseaux, des lamantins ou encore quelques alligators. Même s’il couvre une surface de plus de 600.000 hectares à la pointe sud de la Floride, seule une infime partie est accessible aux amoureux de la faune et de la flore via le Tamiami Trail au Nord et près d’Homestead au Sud.
Reliant Miami sur le littoral atlantique à Tampa sur la côte du golfe du Mexique, le Tamiami Trail est l’artère la plus fréquentée afin de découvrir les richesses du parc national des Everglades. Pour une première approche, arrêtez-vous à Shark Valley, un lieu-dit où vous pourrez vous balader à proximité d’alligators vivant en pleine liberté le long d’une piste asphaltée formant une boucle d’une vingtaine de kilomètres. Les cyclotouristes, quant à eux, s’empresseront de louer des vélos au Shark Valley Visitor Center, tandis que les moins sportifs apprécieront de s’installer confortablement à bord d’un tram le temps d’une visite commentée de deux heures par un ranger du parc national. Au bout du chemin, la Shark Valley Observation Tower, une tour d’observation haute d’une quinzaine de mètres, offre une vue imprenable sur les environs.
Si Shark Valley constitue un moyen efficace de découvrir le parc national des Everglades, il existe cependant d’autres manières d’explorer les lieux, comme une virée en hydroglisseur. Idéale pour arpenter la zone, cette embarcation à fond plat propulsée par une gigantesque hélice aérienne permet d’approcher au plus près le maître des lieux, l’alligator, et de s’enfoncer dans la prairie humide. Souvent considéré à tort comme un vaste marécage, le parc national des Everglades est en réalité une immense rivière peu profonde qui s’écoule imperceptiblement vers le sud-ouest jusqu’à la baie de Floride, alimentée par la rivière Kissimmee et le lac Okeechobee.
La plupart des prestataires se sont installés le long du Tamiami Trail, vous n’aurez pas de peine à les trouver. L’Everglades Safari Park, dont les immenses panneaux publicitaires se succèdent le long de la route pour vous inciter à vous arrêter, offre des tours combinés à des spectacles animaliers avec des alligators. D’autres prestataires comme Miami Off Road proposent une expérience plus intimiste en français. Et certains lieux comme le Miccosukee Indian Village, un village traditionnel entièrement reconstitué, permettent de préserver la culture amérindienne et l’histoire des tribus de la région.
En continuant votre route vers l’ouest sur le Tamiami Trail, vous pénétrerez au sein de la Big Cypress National Preserve, dont l’accès est gratuit. Cette réserve abrite un écosystème différent dominé notamment par d’immenses forêts de conifères tropicales. L’Oasis Visitor Center propose de nombreuses expositions permettant de se familiariser avec la faune et la flore de cette zone. Vous pourrez aussi faire une halte à la Big Cypress Galery située à proximité. Cette galerie d’art expose les clichés du talentueux photographe américain Clyde Butcher qui subliment les paysages de la région. En empruntant la Loop Road, une route scénique longue d’une quarantaine de kilomètres, vous traverserez une forêt humide de pins et de cyprès et aurez ainsi un aperçu de la végétation luxuriante de la zone.
Créé au début du XXème siècle pour accueillir les ouvriers travaillant à la construction du Tamiami Trail, Everglades City est aujourd’hui un petit village de pêcheurs dans lequel quelque 500 âmes résident. Installé près de la marina, le Gulf Coast Visitor Center propose de partir explorer les Ten Thousand Islands, un labyrinthe d’îles de palétuviers et de voies navigables dans la baie de Floride. Lamantins, dauphins et balbuzards cohabitent dans cette zone d’eau salée du parc national des Everglades. De retour sur la terre ferme, prenez la direction du Museum of the Everglades, un petit musée aménagé dans l’ancien lavoir du village qui présente une collection retraçant l’aventure humaine dans la région.
Porte d’entrée des Everglades, fondée en 1913 à mi-chemin entre Miami et l’archipel des Keys, Homestead est la deuxième plus ancienne municipalité du comté de Miami-Dade. Richesses incontestées de la région, les exploitations agricoles s’étendent à perte de vue. Véritable institution dans la ville, Robert Is Here dispose de stands colorés regorgeant de fruits et légumes locaux et exotiques allant des caramboles aux sapotes en passant par les papayes et les mangues. Vous pourrez aussi découvrir les innombrables variétés fruitières cultivées dans la région au Fruit & Spice Park, un écrin de verdure d’une trentaine d’hectares abritant bananiers, manguiers et autres arbres fruitiers.
En poursuivant votre route vers l’ouest, Homestead s’éloigne pour laisser place à un décor beaucoup plus sauvage, parsemé de forêts de pins et de mangroves. Longue d’une soixantaine de kilomètres, l’Ingraham Highway permet de s’enfoncer véritablement au coeur de la partie Sud des Everglades avant de déboucher sur Flamingo, un petit village surnommé « Bout du monde » par les pionniers qui y ont établi leur campement à la fin du XIXème siècle.
L’entrée dans le parc national s’effectue au Ernest F. Coe Visitor Center puis, tout au long de la route, vous aurez l’occasion de faire plusieurs haltes afin d’emprunter des chemins balisés. À la première bifurcation, le Royal Palm Visitor Center donne accès à deux sentiers de randonnées, l’Anhinga Trail et le Gumbo Limbo Trail qui vous donneront un bon aperçu de la faune et de la flore de la région. La route s’achève enfin au Flamingo Visitor Center et sa marina depuis laquelle vous pourrez faire une croisière dans la baie de Floride ou vous promener le long des quais pour tenter d’apercevoir quelques alligators et lamantins.
Damien Balsan est le French Boss de la semaine, entrepreneur heureux et qui sort de la crise du coronavirus considérablement renforcé. Cet homme de 52 ans, créateur d’un fond de finance participative qui aide de jeunes entrepreneurs à se lancer, a “profité” – et de quelle manière – de la pandémie: investissement dans une entreprise, rachat (via Zoom !) d’une autre, lancement d’une troisième. Pour lui qui, jeune, avait beaucoup misé sur le marché émergent du Mexique, les choses ont changé. Et il n’est plus forcément nécessaire de s’éloigner de la France pour investir. C’est l’essentiel du message qu’il nous envoie de Boston, où il vit aujourd’hui, un message qui sort intact du Covid 19. pas une virgule n’a changé. Listen to “Episode 24: Damien Balsan” on Spreaker.
[Article partenaire] Alors que nous passons l’été sur fond de crise sanitaire, les jeunes expatriés ayant prévu de commencer un cursus en France en septembre ne savent plus sur quel pied danser.
Est-il encore possible d’envisager un semestre, une année, un bachelor, en France dès septembre 2020 ?
Nous avons interrogé Cécile Maury,chargée de développement international en Amérique du Nord et Maxime Gambini, directeur délégué marketing et commercial d’Excelia Group (anciennement Sup de Co La Rochelle).
Déjà, pourquoi étudier en France lorsque l’on est expatrié·e aux États-Unis ?
“Les avantages du système éducatif français sont nombreux, notamment par contraste avec le système américain par exemple” commence Cécile Maury. “Hormis ces avantages importants tels que les tarifs moindres et les aides au logement pour étudiants, c’est surtout un retour au source que les jeunes expatriés recherchent en venant faire des études en France.”
S’immerger à nouveau dans la langue française, retrouver une culture que certains d’entre eux n’ont que peu connue : c’est ce qui pousse de nombreux jeunes expatriés à revenir habiter quelques années le Pays des Lumières.
Étudier en France, c’est aussi s’ouvrir des portes tout en se laissant le choix : certaines écoles françaises possèdent des accréditations qui rendent leurs diplômes reconnus à l’international. C’est le cas de La Rochelle Business School, l’école de commerce d’Excelia Group, qui possède la triple accréditation AACSB, EQUIS et AMBA. “Seules 1% des Business Schools dans le monde peuvent se prévaloir de cette « triple couronne » et nous en faisons partie” ajoute fièrement Cécile Maury.
Il est vrai que ces accréditations, en plus de garantir la qualité de l’enseignement, font la différence pour les étudiants venus de l’étranger : ceux-ci peuvent, une fois le diplôme en poche, choisir de rester en France comme de repartir aux États-Unis par exemple.
À la rentrée 2020, ça se passe comment ?
“Chez Excelia, nous sommes prêts à recevoir les étudiants dans les meilleures conditions en septembre”, enchaîne Maxime Gambini.
Déjà au plus fort de la crise, l’école était à l’avant-garde : fermeture rapide de l’école avec une dématérialisation des enseignements et une mise en place d’un suivi pour tous les étudiants.
“Nous sommes rodés sur l’enseignement à distance” explique Maxime Gambini. “Nous avions de l’expérience avec le distanciel, que nous pratiquons déjà sur une partie de nos cours de management.”
À la fermeture du campus, ce sont tous les enseignants qui se sont mobilisés pour assurer une bonne transition de leurs cours au format digital. Il ne s’agissait pas de simplement mettre à disposition en ligne le contenu qui aurait été abordé en cours. Les professeurs ont gardé le contact avec leurs élèves, et leur ont apporté un suivi et un soutien, même en dehors du cadre classique des cours : une “cellule covid” a ainsi été montée rapidement avec une ligne direct que les étudiants pouvaient appeler en cas de besoin ou de question.
“Nous avons réalisé il y a quelques semaines une enquête au sein de nos élèves afin qu’ils puissent donner leur avis sur notre gestion de la crise, et nous avons eu un excellent taux de satisfaction.” ajoute Maxime Gambini.
Si les écoles d’Excelia Group ont réagi si promptement, c’est aussi parce qu’elles étaient parmi les mieux placées pour être informées : l’école accueille chaque année de nombreux étudiants venus de l’étranger, et en envoie autant en stage ou échange aux quatre coins du monde. “Nous avions des étudiants en Chine, nous avons donc suivi la situation de près et toutes les mesures ont été prises pour les rapatrier dans les meilleurs délais et conditions de sécurité.”
Pour ce qui est de la rentrée 2020, l’organisation des cours a été adaptée aux mesures préventives. Ainsi, 30% des cours auront lieu en distanciel, 40% en présentiel, tandis que les 30% restants seront réinventés sous forme de projets collaboratifs. De chez eux, les étudiants travailleront en équipe sur des projets concrets, tout en étant coachés par un professeur.
“L’une des valeurs clés du groupe Excelia est l’apprentissage par l’expérience” continue Maxime Gambini. “Si les étudiants ne peuvent pour le moment pas être en temps plein sur le campus, nous souhaitons qu’ils continuent à vivre des expériences stimulantes et à créer en équipe”.
Sur le campus justement, les consignes de sécurité seront scrupuleusement respectées, avec des salles de cours aménagées pour assurer un respect des distances de sécurité, un nombre d’étudiants sur site rationalisé et la mise à disposition de masques et de gel hydroalcoolique.
Pourquoi choisir le groupe Excelia pour ses études en France ?
“La première chose qui me vient, c’est vraiment le cadre de vie qui est exceptionnel à La Rochelle” nous confie Cécile Maury. Avec ses rues pavées, sa forteresse médiévale, mais aussi ses trois plages et sa proximité de l’île de Ré et de l’île d’Oléron, la 5ème ville la plus visitée de France a de quoi faire rêver. Mais ce n’est pas tout, car comme nous le rappelle Cécile Maury, la Rochelle est aussi et avant tout une ville dynamique et universitaire, avec un grand nombre d’étudiants, notamment internationaux.
La ville de La Rochelle offre un cadre de vie exceptionnel aux étudiants – Port des Minimes
En plus de bénéficier d’un cadre de vie exceptionnel, aller dans une école du groupe Excelia, c’est également faire confiance à une institution d’expérience. D’abord un Institut d’Etudes Françaises créé par la chambre de commerce et d’industrie de La Rochelle en 1931 (aujourd’hui devenu au sein du groupe Excelia, La Rochelle Academy), puis naissance de l’école supérieure de commerce en 1988, anciennement Sup de Co, plus récemment l’école de tourisme et l’école digitale, le groupe Excelia est fort de son histoire et de son ancrage dans le paysage éducatif français et international. “Nous sommes reconnus par les réseaux d’entreprises locales et internationales qui font confiance à Excelia et accueillent tous les ans nos étudiants” continue Cécile Maury.
L’expérience à l’international est, selon la philosophie du groupe Excelia, une partie primordiale de l’éducation et du développement personnel des jeunes adultes. C’est également un véritable atout dans le monde du travail : entre 90 et 100% des élèves du groupe Excelia sont embauchés dans les 6 moisaprès la fin de leur programme ou même avant la fin de leurs études.
L’école ne se repose pas sur ses lauriers pour autant, et développe encore des projets forts qui l’ancrent encore plus dans le “monde d’après”. “Nous étions déjà pionniers dans l’enseignement de la RSE (responsabilité sociétale des entreprises, ndlr) et autour du développement durable” explique Maxime Gambini. “Nous continuerons dans ce sens, en développant la digitalisation de nos programmes, l’internationalisation de nos cursus et l’innovation pédagogique.”
Une école en France, un accompagnement aux États-Unis
Les écoles du groupe Excelia ont l’habitude d’accueillir des élèves venus de l’étranger et de les accompagner dans leur propre pays avant leur expérience en France via les sept bureaux du groupe Excelia répartis sur quatre continents. Si vous êtes basé·e aux États-Unis et que vous souhaitez rejoindre le groupe Excelia en 2020, vous avez même droit à une interlocutrice dédiée, notre invitée Cécile Maury. Basée dans l’état de Louisiane, elle répondra à vos questions et vous accompagnera dans toutes vos démarches, avant et après votre admission : de la constitution du dossier de candidature, aux conseils sur le choix du programme et de sa langue d’enseignement (français ou anglais), en passant par des explications sur le curriculum, ou l’aide pour bien choisir son logement à La Rochelle.
Enfin, toujours dans une logique d’accompagnement des étudiants venant de l’international, l’école proposera pour la rentrée 2020 des options de rentrée différée. “Les étudiants arriveront quand ils le pourront, nous les accueillerons au fil de l’eau, avec la mise en place de cours en ligne en attendant. Ou bien ils préfèreront une rentrée décalée en janvier 2021, ou encore ils auront la possibilité de reporter leur intégration d’un an.” conclut Maxime Gambini.
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