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S’évader le temps d’un week-end dans l’archipel des Keys

Reliées entre elles par l’Overseas Highway, une route bordée d’un côté par l’océan Atlantique et de l’autre par la baie de Floride et le golfe du Mexique, les îles paradisiaques de l’archipel des Keys, situées aux portes des Caraïbes, dégagent une atmosphère sereine et apaisante, loin de l’effervescence de Miami.

Key Largo

Le Christ des Abysses © John Pennekamp Coral Reef State Park

Porte d’entrée des Keys, Key Largo, considérée comme la capitale mondiale de la plongée, fait partie des Upper Keys, le premier groupe d’îles de l’archipel. Prévoyez un masque, un tuba et une paire de palmes avant de vous rendre au John Pennekamp Coral Reef State Park, niché au coeur de l’île. Crée en 1963, le premier parc sous-marin protégé des États-Unis est l’un des sites de plongée à ne pas manquer dans les Keys. Vous pourrez notamment contempler le Christ des Abysses, une statue en bronze du sculpteur italien Guido Galletti, qui repose à six mètres de profondeur. Et si vous n’êtes pas à l’aise sous l’eau, embarquez sur un bateau à fond de verre afin d’admirer les poissons et coraux colorés de la région.

Islamorada

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© Grégory Durieu

Autoproclamé capitale mondiale de la pêche sportive, le petit village d’Islamorada, qui s’étend sur plusieurs îles, incite les férus de la discipline à taquiner le goujon. Robbie’s offre notamment des excursions au large permettant de jouer du moulinet le temps d’une demi-journée dans le bleu de l’océan Atlantique à la recherche de gros poissons longeant le courant océanique Gulf Stream. Le club nautique propose par ailleurs de nourrir un banc de tarpons qui a élu domicile près des pontons de la marina, une attraction locale et populaire. Les passionnés de plongée sous-marine, quant à eux, apprécieront une visite à l’History of Diving Museum qui retrace l’histoire de la discipline en exposant différents scaphandres, de petits sous-marins, ainsi que du matériel de plongée. À proximité, le Theater of The Sea, qui figure parmi les plus anciennes attractions des Keys, héberge des tortues, des raies et des requins. Fondé en 1946, ce parc marin entouré de mangrove permet à ses pensionnaires d’évoluer en semi-liberté et offre à ses visiteurs l’occasion de se familiariser avec les merveilles que renferme le monde sous-marin.

Marathon

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© Grégory Durieu

Située à mi-chemin entre Key Largo et Key West et appartenant aux Middle Keys, la ville de Marathon est très prisée des amateurs de sports nautiques qui s’adonnent aux joies des nombreuses activités proposées par les différents prestataires dont les enseignes se succèdent le long de la route. Après l’effort, le réconfort puisque vous pourrez poser votre serviette sur Sombrero Beach, une longue plage de sable blanc qui s’étire dans un cadre idyllique au sud de la ville, ou encore sur celle du Curry Hammock State Park, bordée de mangrove et de feuillus tropicaux.

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© Pixabay

De leur côté, les amoureux des animaux se rendront au Turtle Hospital qui recueille les tortues marines blessées afin de les soigner et s’est donné pour mission de protéger ces espèces menacées qui affluent chaque année par centaines vers le Sud de l’État de Floride pour déposer leurs œufs sur le littoral durant la nuit. Ce sont principalement les tortues luths, les plus grosses du monde pouvant peser plus de 700 kilos, les vertes ou encore les caouannes. Le refuge animalier propose des visites éducatives de ses installations permettant notamment d’observer les patientes à carapace en salle de convalescence où elles récupèrent avant d’être relâchées.

Lower Keys

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Old Seven Mile Bridge © Grégory Durieu

Ayant figuré dans de nombreux films comme « Permis de tuer », seizième opus de la saga James Bond, ou encore « Mission Impossible III » avec Tom Cruise, le Seven Mile Bridge est, comme son nom l’indique, un pont qui enjambe les eaux cristallines sur sept miles, soit plus de onze kilomètres. Le célèbre édifice permet ainsi d’accéder aux Lower Keys, une multitude d’îles dispersées dans la partie la plus au sud de l’archipel des Keys. Sur Big Pine Key, la plus grande île de la zone, la végétation est luxuriante au sein du Bahia Honda State Park, un parc d’État qui possède également de magnifiques plages baignées autant par l’océan Atlantique que par le golfe du Mexique.

Le cerf des Keys © Grégory Durieu

C’est aussi sur Big Pine Key que se trouve le National Key Deer Refuge, une réserve naturelle protégeant principalement le cerf des Keys, une espèce endémique. Vous pouvez tenter d’observer le plus petit cervidé d’Amérique du Nord en empruntant, à l’aube ou au crépuscule, le Manillo Wildlife Trail ainsi que le Watson Nature Trail, deux courts sentiers. 

Key West

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© Grégory Durieu

Ville la plus méridionale de l’État de Floride appartenant aux Lower Keys, Key West s’étend sur près d’une vingtaine de kilomètres carrés. Ici, aux confins d’une Amérique tropicale, l’ambiance est bohème et décontractée, voire carrément festive certains soirs du côté de Mallory Square, la place principale de la ville sur laquelle jongleurs, clowns, musiciens et autres artistes se rassemblent pour divertir les badauds venus apprécier le coucher de soleil.

Keys
© Grégory Durieu

La soirée se poursuit sur Duval Street, la rue la plus animée de Key West qui rassemble bon nombre de bars et restaurants. Les becs sucrés en profiteront pour déguster une part de Key lime pie, un dessert composé d’une pâte brisée ainsi que d’un mélange de jus de citrons verts, d’œufs et de lait concentré. Les amateurs de mets salés, quant à eux, goûteront les traditionnels conch fritters, des beignets de conques, un mollusque dont le coquillage en spirale est utilisé comme instrument de musique à vent.

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Harry S. Truman Little White House © Grégory Durieu

Key West, c’est aussi la ville de nombreux écrivains tels le dramaturge Tennessee Williams, la poétesse Elizabeth Bishop, sans oublier le romancier Ernest Hemingway, qui y a notamment séjourné dans les années 1930. Vous pouvez visiter le Ernest Hemingway Home and Museum, la bâtisse blanche du défunt auteur dont le jardin reste envahi par des chats polydactyles, les descendants des animaux de compagnie du lauréat du prix Nobel. Héritage de la culture américaine, la Harry S. Truman Little White House, une bâtisse en bardeaux blancs nichée au coeur d’Old Town, le quartier historique de Key West, a été la résidence secondaire du trente-troisième président américain ainsi que de plusieurs de ses prédécesseurs. Et pour profiter d’une vue imprenable sur la ville, montez jusqu’au sommet du Key West Lighthouse Museum, le phare historique de Key West.

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Southernmost Point © Grégory Durieu

Aucune visite à Key West ne serait complète sans une séance photo au Southernmost Point, une bouée d’amarrage surdimensionnée symbolisant le point le plus méridional des États-Unis. Ici, vous êtes bien plus près de La Havane que de Washington D.C. puisque que la capitale cubaine se trouve à seulement 90 miles, soit un peu moins de 145 kilomètres. Une proximité qui a permis à Key West de tisser avec Cuba des liens historiques et culturels qui remontent à plus de 150 ans. Les passionnés d’histoire se rendront notamment au San Carlos Institute qui abrite une école, un théâtre, une bibliothèque, une galerie d’art ainsi qu’un musée visant à documenter l’empreinte culturelle cubaine à Key West, avant de pousser la porte du restaurant El Meson De Pepe, attirés par un odeur alléchante qui en émane. Cette institution familiale, dirigée par le chef Pepe Diaz, concocte bon nombre de plats traditionnels cubains tels la ropa vieja à base d’effiloché de boeuf mariné et le picadillo réalisé avec de la viande hachée, des oignons et des épices.

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© Grégory Durieu

 

The Thing About France, ep.2: Thomas Chatterton Williams

Pour ce deuxième épisode de la saison 3 de The Thing About France, Liesl Schillinger reçoit Thomas Chatterton Williams.

L’écrivain, auteur récemment de Self-Portrait in Black and White: Unlearning Race, vit en France depuis dix ans d’où il écrit notamment pour le New York Times, Harpers et The Guardian. Ces dernières semaines, il a provoqué la polémique aux Etats-Unis en étant à l’origine d’une tribune signée par quelque 150 intellectuels et artistes américains, dénonçant la “cancel culture” et ce qu’il considère comme les excès de la gauche anti-raciste américaine. L’interview a été enregistrée avant cette polémique, mais Thomas Chatterton Williams y développe longuement sa pensée sur le sujet, mais aussi son amour pour la France ou encore sa passion pour James Baldwin.

Faire un test en 72 heures aux Etats-Unis : mission impossible ?

L’annonce du Premier ministre a fait du bruit dans la communauté française des Etats-Unis qui préparait ses valises et les passeports pour un départ en août. Selon le nouveau décret du lundi 27 juillet 2020, un test PCR (viral) effectué moins de 72 heures avant le départ est exigé pour les voyageurs partant des Etats-Unis pour rentrer en France, sous peine de se voir refuser l’embarquement. Cette mesure prend effet dès ce samedi 1er août.

Sur le site du CDC, il est précisé que les tests envoyés en laboratoire sont « un processus qui peut prendre quelques jours ». De nombreux Français se retrouvent donc à quelques jours de leur vol, avec des adresses d’hôpitaux qui ne promettent en rien d’avoir des résultats en 72 heures.

Au Texas, l’un des Etats les plus touchés par la pandémie, Chantal s’inquiète pour son vol du mercredi 5 août. Elle raconte qu’elle a « contacté sept ou huit cliniques », et qu’« il faudrait [qu’elle] aille à Houston (à plus de trois heures de route) pour faire un test rapide ; même[son] docteur ne peut pas me garantir un résultat en moins de 72 heures ». Alors qu’elle préparait ses valises pour revoir ses enfants et ses petits-enfants, la Française est très inquiète. « J’ai écrit au député M. Lescure et au Premier ministre, à l’ambassade et à différents consulats », car elle estime que le décret est « discriminatoire pour les résidents des Etats-Unis », mais elle n’a reçu, pour l’instant, « aucune réponse et aucun soutien ».

Pour les expatriés qui se préparaient à rentrer définitivement en France, c’est l’incompréhension. « Mon mari, mon fils et moi partons lundi 3 août », explique Clémence, qui habite à Dallas. « C’est cinq jours pour recevoir les résultats ici », raconte-t-elle, en pleine organisation de déménagement. Comme beaucoup de voyageurs, elle a contacté les institutions officielles pour avoir plus de renseignements : « le consul du Texas nous a dit lundi qu’il avait fait remonter l’impossibilité de faire des tests à la France, mais depuis, nous n’avons pas de nouvelles de sa part. »

Dans le Sud également, en Caroline du Nord, Alexia Loiacono, qui réside dans les environs de Raleigh, doit décoller dimanche 9 août. « J’ai passé deux jours à appeler tous les centres de test de la région, voire même certains à deux ou trois heures autour de moi, aucun n’est capable de produire les résultats du test PCR en moins de cinq jours », a-t-elle confié. Dans les zones où l’épidémie est repartie, les laboratoires sont débordés. « Plusieurs endroits m’ont même dit qu’ils ne garantissaient pas de résultats sous cinq jours à cause de la forte demande », assure-t-elle.

A Miamisburg, dans l’Ohio, Marion Bagialtsalief explique être « censée voyager ce lundi 3 août, avec un décollage à 5.45pm de Chicago ». Dès qu’elle a eu vent du décret, elle a « prévu de faire deux tests, un vendredi matin très tôt pour résultats le samedi et un le samedi matin dans un autre centre sans être sûre d’avoir les résultats avant lundi ». La clinique qu’elle a contactée promet des résultats sous « deux jours ouvrés maximum ».

De source diplomatique, des aménagements de la mesure seraient à l’étude pour permettre notamment de se faire tester à l’arrivée à l’aéroport mais aucune confirmation officielle n’était possible à l’heure de la mise en ligne de cet article. En attendant, les consulats se sont mobilisés pour avoir une page en ligne où différentes adresses sont répertoriées pour se faire tester, dont certains centres garantissant des résultats en 48h, à Los Angeles, New York, San Francisco, Boston notamment. Stephanie Kamaruzzaman, conseillère consulaire pour la 6e circonscription (Delaware, DC, Maryland, Pennsylvanie, Virginie et Virginie occidentale), a publié deux adresses pour aider les voyageurs dans la région de Washington DC. « Si vous êtes mis en difficulté parce que vous partez le 1er août en France et ne trouvez pas un lieu de test avec résultat rapide où le réaliser demain 29 juillet dans notre circonscription consulaire de Washington (ou ailleurs aux Etats-Unis si vous voyez ce post), merci de m’en tenir informée », a-t-elle indiqué.

Les Etats-Unis lèvent les interdictions d’entrée pour certains Européens

En vigueur depuis mars 2020, le « travel ban » – qui interdit l’entrée sur le territoire américain à toute personne étrangère ayant séjourné en Europe (espace Schengen plus UK et Irlande) pendant les 14 jours précédents – reste en vigueur. Mais l’administration américaine a annoncé il y a quelques jours une série d’exceptions pour « intérêt national ». Dans les faits, elles assouplissent le régime en place. Voici un guide pour vous aider à vous y retrouver.

Les étudiants autorisés à entrer aux Etats-Unis

Dans les faits, la quasi-totalité des étudiants étrangers titulaires d’un visa (F ou M) sont désormais autorisés à entrer sur le territoire américain. Contrairement aux autres catégories (voir ci-dessous), ils sont automatiquement exemptés du travel ban et n’ont donc aucune démarche spécifique à effectuer avant de se présenter à l’aéroport.

Les étudiants qui n’ont pas encore obtenu leur visa peuvent le demander auprès des consulats américains en France. Les services opèrent à horaires réduits, mais il est possible de prendre rendez-vous. Plus d’informations ici.

Les étudiants titulaires d’un visa J-1 (cas plus rares d’étudiants-chercheurs notamment) peuvent également être autorisés à entrer sur le territoire, mais ils doivent en faire préalablement la demande auprès du consulat américain. En revanche, les stagiaires et autres VIE (J-1 intern ou trainee) ne sont pas concernés et ne peuvent donc toujours pas entrer sur le territoire.

Enseignants et chercheurs

Titulaires de J-1, ils peuvent également bénéficier de l’exemption pour « intérêt national ». C’est notamment le cas des professeurs de français des programmes bilingues et écoles d’immersion. Contrairement aux étudiants, ils doivent demander une exemption auprès de leur ambassade américaine.

Les exemptions pour business

Les titulaires de visas E-1 ou E-2 (investisseurs) peuvent également demander une exemption pour être autorisés à entrer sur le territoire.

Les dirigeants d’entreprise et « executives » qui « fournissent une direction stratégique nécessaire au succès de la compagnie » peuvent également également être autorisés à entrer aux Etats-Unis, tout comme certains techniciens et spécialistes dont la présence est jugée indispensable pour mettre en œuvre des équipements ou installations.

Enfin, les athlètes professionnels peuvent également être autorisés à entrer.

La procédure pour demander une exemption

Pour les personnes présentes sur le territoire français, l’exemption s’obtient en envoyant un email à [email protected] avec l’objet « CONSIDERATION FOR NATIONAL INTEREST EXCEPTION – [nom de famille] » en joignant les informations suivantes : date de naissance, numéro de passeport, raison et dates du voyage. Plus d’informations ici.

Cette exemption peut être accordée aussi bien à des titulaires de visas qu’à des personnes ayant un ESTA. Par ailleurs, les personnes non titulaires de visa ou d’ESTA peuvent faire une demande pour les mêmes raisons « d’intérêt national » en prenant un rendez-vous sur le site.

Quarantaine à l’arrivée

La question de la quarantaine à l’arrivée aux Etats-Unis est incertaine. Si l’ambassade des Etats-Unis à Paris se contente de noter qu’une quarantaine « peut être imposée à l’arrivée » par la police aux frontières, d’autres, comme l’ambassade de Bruxelles indiquent qu’il faut accepter cette quarantaine volontaire pour pouvoir demander l’exemption.

Tests COVID-19 à l’entrée en France : ce qu’il faut savoir

(Mis à jour avec le décret publié le 28 juillet 2020)

Annoncée vendredi par le premier ministre Jean Castex, la mesure entre en vigueur le 1er août. Si vous avez prévu un retour en France, il faut donc vous préparer : un résultat négatif de test au coronavirus sera exigé pour les personnes arrivant de seize pays, dont les Etats-Unis.

De quel test s’agit-il ?

Il s’agit du test dit PCR (virologique), donc le test de dépistage du virus, et non pas du test sérologique (qui indique que des anti-corps sont présents et donc que la personne a été préalablement infectée). Ainsi, même si vous avez fait le test sérologique et que vous êtes porteur d’anti-corps, il vous faudra tout de même faire un test PCR pour pouvoir prendre l’avion.

Qui est concerné ?

Toutes les personnes de onze ans ou plus en provenance des Etats-Unis et des quinze autres pays visés : Afrique du Sud, Algérie, Brésil, Inde, Israël, Koweït, Madagascar, Oman, Pérou, Qatar, Serbie, Turquie, Bahreïn, Emirats arabes unis et Panama.

Puis-je faire le test en arrivant à l’aéroport à Paris ?

Non, pas en provenance des Etats-Unis. Il faudra présenter un test négatif, réalisé au maximum 72 heures avant, pour pouvoir embarquer. Des centres de dépistage vont être mis en place à Roissy, mais seulement pour les voyageurs en provenance de pays où les tests sont difficiles à obtenir localement, soit douze des pays de la liste. Seuls sont soumis à l’obligation de présenter un test à l’embarquement les voyageurs venant des Etats-Unis, du Bahreïn, des Emirats arabes unis et du Panama.

L’attestation de voyage est-elle toujours obligatoire ?

Oui, l’obligation de test s’ajoute aux autres limitations. L’entrée en France en provenance des Etats-Unis est donc toujours interdite, sauf pour les ressortissants français ou européens. Il vous faudra donc présenter l’attestation de voyage, disponible ici.

(Le décret du 27 juillet, publié le 28).

 

5 spots magnifiques où camper près de New York

Facilement accessibles depuis New York City, ils sont parfait pour une évasion d’un week-end ou plus. A l’heure de la mise en ligne, ils étaient tous ouverts malgré la Covid-19, avec parfois quelques aménagements aux règles (pensez aux masque à l’accueil!).

Harriman Outdoor Center

Crédits : Harriman Outdoor Center

Le Harriman Outdoor Center est parfait pour une première expérience de camping. Il promet un week-end ressourçant, en pleine nature. Situé au bord du lac Breackneck Pond, à deux heures de route de New York, il est possible d’y louer un espace où planter sa tente, à $30 la nuit. Pour plus de confort, l’Harriman Outdoor Center propose aussi des cabanes à partir de $141 la nuit pour 4 personnes. Les résidents du camping peuvent louer gratuitement des canoës et partir randonner dans les environs. Il est accessible en transports en commun depuis Tuxedo Park Train Station en navette. 200 Breakneck Rd, Haverstraw, NY 10927.

Malouf’s mountain campground

Crédits : Malouf’s mountain campground

Cette fois-ci encore accessible en transports en commun depuis la gare de Beacon, ce camping est situé en pleine forêt et à l’avantage de proposer deux types d’emplacements. Le premier est situé sur une plateforme en bois et contient de quoi faire à manger (plaques électriques, de quoi faire du feu, des couverts, table de pique-nique…) et le deuxième est plus primitif, il faudra planter sa tente directement sur le sol et emmener de quoi se préparer à manger. Pour une nuit dans le premier type d’emplacement, il faudra compter $95. Une fois sur place, de nombreuses activités sont disponibles : découverte de Beacon, pêche, randonnée, kayak… Beacon, NY 12508.

North-South Lake Campground

Crédits : Alexander Gude

Le North-South Lake Campground est un camping d’État connu pour ses paysages grandioses et les nombreux lacs qui l’entourent. Situé au cœur des montagnes Catskills, on peut y observer des cascades et parfois même des ours. L’endroit s’explore via ses nombreux sentiers de randonnée mais aussi depuis les lacs grâce aux locations de barques et de kayak. La location d’emplacement de camping est plutôt bon marché puisqu’il faut compter $22 par nuit et $5 de plus pour les non-résidents de l’État de New York, pour pouvoir planter sa tente au North-South Lake Campground. County Route 18, Haines Falls, NY 12436.

Mohican Outdoor Center

Les amateurs de randonnée devraient apprécier le Mohican Outdoor Center. Situé non loin du célèbre Appalachian Trail, un sentier de randonnée qui traverse 14 États de l’Est des États-Unis, ce camping installé à 90 minutes de voiture de New York propose de nombreuses activités et formes d’hébergement : Cabanes pouvant accueillir jusqu’à 16 personnes, tentes proposées à la location ou espaces pour planter sa propre tente. Une cuisine permet aux voyageurs le souhaitant de préparer leurs propres repas, il est aussi possible d’en acheter un sur place. Il est aussi possible de se baigner dans l’étang Catfish Pond, ou d’y naviguer grâce à la location de bateaux du camping. 50 Camp Mohican Road
Blairstown, NJ 07825.

Watch Hill Fire Island Campground

Crédits : NPS Photo/J. Peters

Si vous préférez la mer aux lacs, le Watch Hill Fire Island Campground est fait pour vous. Ce camping les pieds dans le sable est situé sur l’île de Fire Island, tout à l’Est de New York. Il propose de faire du glamping (dormir dans une grande tente fixe et équipée d’un lit double) ou d’emmener sa propre tente. Pendant l’été, le glamping coûte entre $150 et $195 et l’espace pour planter sa tente sans électricité, $35. L’endroit est idéal puisqu’il est situé dans les dunes et à seulement quelques minutes à pied de la plage. On peut y accéder grâce à la Long Island Rail Road, puis en prenant le ferry. Fire Island National Seashore, Burma Rd, Patchogue, NY 11772.

[Replay] Préparer son retour en France : gestion de patrimoine international et transfert de fonds

Vous préparez votre retour en France ?

Vous vous demandez quelles sont les démarches à entreprendre pour bien préparer votre impatriation ?

Vendredi 24 juillet, nous invitions des experts à prendre la parole lors d’un webinaire dédié. Ils ont présenté les différents aspects de l’impatriation à préparer, expliqué comment le faire, et ont répondu à vos questions.

Retrouvez le webinaire en replay ci-dessus ou directement sur la page YouTube de French Morning.

Vous pouvez télécharger le support de la présentation ici.

Contactez nos experts

Christèle Biganzoli, co-fondatrice du cabinet de gestion patrimoniale FIGEP

Email : [email protected]

Amélie Deschênes, directrice des partenariats chez OFX – transferts d’argent à l’international.

Email : [email protected]

Alexandre Quantin, MBA, RICP®, partenaire chez USAFrance Financials® – cabinet de conseil spécialisé dans la gestion de patrimoine des Français aux États-Unis.

Email : [email protected]

Une conférence Zoom sur l’ouverture d’un programme bilingue à Lower Manhattan

Malgré plusieurs tentatives, Lower Manhattan n’a jamais pu avoir son programme bilingue public. Cela va-t-il changer ?

Les parents qui veulent s’impliquer dans ce nouvel effort sont conviés à une conférence sur Zoom le lundi 27 juillet. Seront présents: plusieurs élus, des responsables de districts scolaires, des représentants des conseils d’éducation (CEC) des districts 1, 2 et 3 et de l’enseignement bilingue.

Cette réunion permettra aux “parents français de faire preuve de leur volonté de mettre en place un tel programme“, précise Stéphane Lautner, le papa qui a participé à l’ouverture des nouvelles classes bilingues dans l’Upper East Side. Il note que ce programme, qui ouvrira à la rentrée, a environ 40 enfants inscrits et une liste d’attente de 70 personnes. Il fait partie d’une équipe de francophones de New York (qui comprend aussi Amélie Derrieux-Sable, Nadia Levy et Catherine Rémy) ambitionnant de développer l’offre bilingue dans la ville.

Peut-on passer par le Mexique pour revenir aux Etats-Unis ?

« Nous étions stressés. Ce n’était pas le périple le plus agréable », reconnaît Vanessa Richard. Cette Française de New York, qui s’est retrouvée bloquée en France avec son mari à la suite de l’interdiction de voyager décrétée par Donald Trump mercredi 11 mars, voulait retourner aux Etats-Unis. Elle a essayé de passer par la Martinique, mais Air France l’a « refoulée », elle et son époux, titulaires respectivement de visas O-3 et O-1.

Ils décident alors d’explorer une autre option: un passage par le Mexique qui, contrairement à l’espace Schengen et d’autres pays, n’est pas visé par le « travel ban » de l’administration américaine. « Ça nous avait été suggéré par les avocats de mon mari comme une possibilité », indique Vanessa Richard. Après avoir contacté les compagnies aériennes et l’ambassade de France au Mexique, ils décident de tenter le coup. En mai, ils se rendent donc à Mexico City, où ils passent la quatorzaine requise, avant d’atterrir à JFK. « Les agents étaient plus cool que d’habitude comme il y avait moins d’arrivées », observe même la Française. Le couple passe tout de même par la salle des contrôles, où un agent vérifie qu’ils ont bien passé quatorze jours complets sur le sol mexicain. « Ça a pris cinq minutes. »

Alors que l’interdiction de voyager se prolonge entre les Etats-Unis et l’Europe, cette piste mexicaine fait l’objet d’un regain d’intérêt de la part de Français qui veulent regagner les Etats-Unis. A l’heure actuelle, seuls les binationaux, les titulaires de carte verte et de visas diplomatiques sont autorisés à rentrer sur le territoire américain quand ils proviennent de France. A l’inverse, les détenteurs de visas non-immigrants (L, H, J, E…) ne sont pas autorisés à revenir directement de l’Hexagone.

Pour l’heure, le Mexique (et beaucoup d’autres pays) ne fait pas l’objet d’une telle interdiction. Selon le site de l’ambassade américaine à Mexico City, les frontières aériennes, ferroviaires et maritimes avec les Etats-Unis restent ouvertes, à la différence des passages terrestres (limités aux travailleurs essentiels). Une politique récemment reconduite jusqu’au jeudi 20 août. En théorie, les titulaires de visas non-immigrants peuvent donc passer par la case mexicaine tant qu’ils respectent une quatorzaine avant de se rendre aux Etats-Unis et que des vols directs sont proposés (ce qui n’est pas le cas de tous les pays non visés par une interdiction de voyage).

Titulaire d’un visa E-2, Gaby, un Français qui a souhaité rester anonyme, a fait un aller-retour entre Los Angeles et le Mexique, fin juin, pour faire tamponner son visa et rester deux ans de plus aux Etats-Unis. « Je ne voulais pas m’éterniser car les frontières pouvaient être refermées à n’importe quel moment », dit-il. A son retour à LAX, l’agent d’immigration l’a laissé passer, lui et sa famille, en demandant simplement comment s’était passé leur séjour de 24 heures. Comme il ne venait pas d’un pays « interdit », il n’a pas eu à faire sa quatorzaine sur place. « On n’est jamais confiant à 100%. Il y avait 1% de chance que cela ne marche pas », dit le Français. Quand on lui demande s’il conseillerait à des personnes venant de France de passer par le Mexique, il répond que « cela dépend de chacun. Si une partie de la famille est coincée en France, si vous avez le temps et les moyens de faire une quatorzaine au Mexique, pourquoi ne pas prendre le risque ? Au pire, vous retournerez en France. »

Opération risquée

L’opération demeure risquée. D’un point de vue sanitaire d’abord, tout déplacement accroît le risque de transmission du virus et les voyages non-essentiels restent fortement déconseillés par les autorités. Ensuite, la « réglementation change tout le temps », observe Laurent Vonderweit, avocat d’immigration en Californie. « Il commence à y avoir des clusters au Mexique. Les frontières peuvent être refermées du jour au lendemain. Sortir des Etats-Unis, c’est prendre un risque. On déconseille de le faire, surtout si c’est pour des vacances. » L’avocat rappelle que l’autorisation d’entrée sur le territoire est donnée in fine par l’agent d’immigration à l’aéroport d’arrivée, même si un visa est déjà dans le passeport.

Restaurateur à Los Angeles en visa E-2, Vincent Samarco a lui eu des déconvenues lors de sa première tentative de passage. Arrivé à Tijuana de France, fin avril, il tente de passer la frontière avec sa fiancée américaine, mais les services d’immigration les stoppent dans leur élan, contactant Interpol pour vérifier les précédents voyages du restaurateur. Ils doivent alors se rabattre sur une location à Rosarito, une station balnéaire au sud de Tijuana, où ils passeront leur quatorzaine obligatoire. « Le 5 mai, on a réussi à passer la frontière, et ils n’ont rien contrôlé », explique Vincent Samarco. Lui est entré aux Etats-Unis par voie terrestre, option pourtant réservée aux travailleurs essentiels selon les textes. Le Français indique avoir simplement présenté une preuve de résidence aux Etats-Unis. « J’avais fait des recherches sur Internet. Tout le monde m’avait déconseillé de le faire, mais j’y suis allé au culot », explique l’entrepreneur qui emploie douze personnes.

Bloqué par Air France

Pour sa part, Julien López, Français basé à Phoenix, a eu des problèmes au départ de France. Après avoir tenté de rentrer aux Etats-Unis via les DOM-TOM, idée qu’il a dû abandonner en raison d’annulations de vols, ce titulaire d’un visa de fiancé K-1 indique qu’Air France lui a interdit d’embarquer à bord d’un vol pour le Mexique en arguant – à tort – qu’il n’avait pas le droit de le faire. D’autres passagers ont visiblement eu le même problème car l’ambassade du Mexique en France a jugé bon de publier un communiqué, début juin, précisant qu’en raison « d’erreurs non imputables aux gouvernements du Mexique ou de la France, une compagnie aérienne n’a pas permis à des ressortissants français d’embarquer à destination du Mexique, sans document officiel justifiant le voyage. »

Elle rappelle en outre qu’« à ce jour, les frontières du Mexique restent ouvertes à quiconque souhaite se rendre au Mexique à partir de l’Europe. Il n’y a aucune restriction liée à la pandémie et aucun justificatif n’est requis pour prendre l’avion. » Bloqué par Air France, « j’ai décidé de prendre Aeromexico (la compagnie mexicaine, ndlr). Ils connaissent la réglementation », indique Julien López. Après deux semaines de Airbnb au Mexique, il rentre à Los Angeles sans encombres. « L’agent d’immigration m’a posé les mêmes questions que d’habitude », précise-t-il. « Finalement, j’ai eu plus de difficultés en France que pour entrer aux États-Unis. »

« Le meilleur moyen d’avoir le cœur net sur ce qu’on peut faire est de contacter les ambassades », poursuit Vanessa Richard. Si son voyage s’est bien passé, elle reconnait la part de risque qu’elle a pris. « On a eu peur de tomber malade au Mexique. D’autant qu’on n’avait pas d’assurance pour nous couvrir là-bas et que le coût de la santé est élevé », dit-elle.« Il y a quelque chose d’absurde au fait de devoir passer par un pays qui a de nombreux cas de COVID-19 alors que la situation s’améliore en Europe. »

Avec Sandra Cazenave

Le foie gras n’est plus banni en Californie, une “victoire symbolique” pour ses défenseurs

Nouveau rebondissement dans la saga sur le foie gras et la Californie, qui dure depuis 2004, année où la vente de produits “issus du gavage d’une volaille dans le but d’agrandir son foie” a été interdite par la loi. Mardi 14 juillet, soit le jour de la fête nationale française – “un bon timing” pour Ariane Daguin, responsable et créatrice de l’entreprise D’Artagnan à New York -, le juge de la Cour de district central de Californie, Stephen V. Wilson, a déterminé que la vente de foie gras n’était pas contraire à la loi si le vendeur se trouve hors de Californie et que le produit est livré sur le territoire de l’Etat par un tiers.

Il a ainsi répondu favorablement à une partie des demandes de producteurs américains et canadiens, et de restaurateurs, qui fustigeaient les dispositions de la loi interdisant la vente de foie gras produit hors de la Californie.

“Cette décision réaffirme que l’interdiction du foie gras est vraiment ridicule et frivole, et ne punit que les Californiens qui font du commerce de volaille et de palmipède”, note Ariane Daguin, surnommée “la reine du foie gras aux Etats-Unis”. Cette décision ne remet pas en cause l’interdiction de produire du foie gras en Californie.

Une victoire “symbolique” donc, dont les effets n’ont pas tardé. Ainsi, l’entreprise D’Artagnan a reçu plus de commandes émanant de la Californie les 15 et 16 juillet, que durant la saison des fêtes de Noël. “Ils ont voté avec leur portefeuille”, pour Ariane Daguin.

Une décision “positive”, abonde Sébastien Lesage, président de l’Association des éleveurs de canards et d’oies du Québec (AECOQ) qui est l’un des artisans de cette longue bataille judiciaire, avec le producteur Hudson Valley Foie Gras et le chef de Hot’s Kitchen (aujourd’hui fermé), Sean Chaney. “L’Etat ne pouvait pas empêcher d’autres Etats ou pays de vendre leurs produits, cela contredit la réglementation sur le libre marché des denrées.” Cette nouvelle n’est pas anecdotique, puisque la Californie représentait 20 % du marché pour les producteurs de foie gras au Québec.

Pour lui, le plus important reste le “message positif que la décision envoie pour la consommation du foie gras”, contre la mauvaise presse des lobbies et activistes. Ainsi, Sébastien Lesage tient à rappeler les mesures mises en place dans les fermes québécoises : “nos élevages sont encadrés par des associations de vétérinaires, notre guide des bonnes pratiques a été validé en 2018, on respecte le bien-être des animaux.” Il regrette que “le foie gras soit un symbole facile à attaquer”, alors qu’il ne représente qu’une petite industrie. Une industrie qui a perdu plus de 70 % de ses clients (principalement des restaurants haut de gamme) en raison de la crise sanitaire et des mesures de confinement.

Quid des restaurants californiens

Mais qu’est-ce que cette décision change concrètement pour les professionnels californiens ? “Ca ne change rien, ça reste un produit réservé aux connaisseurs”, répond Laurent Vrignaud, propriétaire de plusieurs restaurants Le Moulin dans Orange County. Celui qui fabrique du foie gras au torchon, à partir de foies importés, était empêché d’en vendre depuis janvier 2019. “Le foie gras est en ce moment (avec la Covid) le cadet de nos soucis.”

Malgré la confusion créée par cette décision, il est toujours illégal de proposer ce mets au menu des restaurants. Enfin, “rien n’est très clair”, fait remarquer Vincent Samarco, propriétaire du restaurant Belle Vie à Los Angeles. “Je vais regarder consciencieusement la loi, mais il me semble qu’il faut juste que le foie soit livré par une tierce partie, il y a une manière de le vendre en toute légalité. Je compte le remettre au menu dès que je peux”, lâche celui qui défend la gastronomie française.

Il reste toujours une solution qui n’a pas (encore) été réprimée et se pratique : les clients peuvent apporter leur foie gras et payer un chef pour le préparer.

Une bataille de gagnée, mais pas la guerre

Et “cette longue saga judiciaire n’est pas encore terminée”, fait remarquer Sébastien Lesage. Ce mets français avait été interdit en 2012, autorisé en 2015, puis à nouveau suspendu et restauré en 2017, avant d’être prohibé en 2019. “Nous sommes toujours en appel pour que cette “interdiction de produire dans l’Etat” soit supprimée”, assure Ariane Daguin.

Et elle a également une autre bataille en tête : contre le conseil municipal de New York qui a décidé de bannir “la vente et le stockage de certains produits avicoles dont les oiseaux issus du gavage”, à partir de 2022.

“La décision californienne montre aux New Yorkais qu’on ne se laisse pas faire et qu’on est en train de gagner”, argue-t-elle, rappelant leur victoire contre la ville de Chicago. “Ils n’ont aucune excuse pour prendre de pareille décision, et ils refusent nos invitations à la ferme pour vérifier le bien-être des animaux”, regrette-t-elle. “J’ai vu dans un article du Wall Street Journal que même l’USDA (département de l’Agriculture des Etats-Unis) va se battre à nos côtés. Ce sera plus simple car c’est un “abus de pouvoir” d’une municipalité.”

L’AECOQ, pour qui New York est un marché important, s’implique également en démarchant lobbies et conseillers municipaux pour empêcher ce “ban”. “Si cela ne suffit pas, nous irons en justice, il faut faire valoir l’Etat de droit”, plaide Sébastien Lesage, qui s’interroge, un peu désespéré : “Est-ce qu’on va pouvoir mettre fin à ce débat sans fin ?”

Un été à New York en famille : et pourquoi pas le surf ?

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Family Way vous partage durant l’été quelques chouettes activités à réaliser à New York City avec ses enfants. L’occasion de vivre une expérience tous ensemble ou simplement de s’occuper pendant une période que l’on n’avait pas forcément prévu de passer ici. Et vous verrez que les activités de plein air ne manquent pas à New York.

Vous rêvez de prendre le large, de vous évader et de quitter le béton New Yorkais ?  Rien de mieux qu’aller se ressourcer avec une activité au bord de la mer : le surf.

A partir de 4-5 ans, appréciée par les ado et sans limite d’âge, c’est une activité à partager en famille. En outre, vous pouvez choisir la formule adaptée et opter pour des semaines de camp ou simplement pour une session. 

Le plaisir de la glisse vient très vite même si vous êtes débutant. Les écoles sont équipées de planches que l’on appelle “longboard” qui permettent de rapidement pouvoir avoir des sensations et surtout de réaliser le fameux “take off” ou “pop up”  permettant de se lever sur la planche.

Pour cette activité, il vous suffit de vous rendre à Rockaway Beach. Accessible en voiture, en bus, en métro ou même en ferry, Rockaway vous donne non seulement accès à de très belles plages pour la baignade mais est surtout réputée pour le surf.

On trouve plusieurs écoles comme New York Surf School et Locals sur la 69ème rue. 

Un maillot de bain suffit, l’équipement est fourni y compris le t-shirt de surf.

[Webinaire] Préparer son retour en France : gestion de patrimoine international et transfert de fonds

Retrouvez le replay du webinaire ici 

La situation actuelle oblige, ou incite, de nombreux expatriés français à rentrer au pays. C’est une décision importante qui nécessite une préparation adéquate.

Rendez-vous vendredi 24 juillet à 12pm ET pour un webinaire dédié.

Christèle Biganzoli et Thierry Renard, associés fondateurs du cabinet de gestion patrimoniale FIGEP, aborderont durant ce webinaire les grandes notions à connaître et à exécuter avant le départ et à l’arrivée en France afin d’optimiser sa situation civile, fiscale et patrimoniale. Quelques exemples de cas pratiques seront abordés.

Alexandre Quantin, MBA, RICP®, Wealth Management Advisor et Partenaire chez USAFrance Financials® détaillera pour nous la “checklist du départ”, mais aussi les opportunités patrimoniales aux USA ainsi que les options pour le 401k et les plans de retraite.

Amélie Deschênes, directrice des partenariats chez OFX, nous expliquera comment gérer les transferts d’argent internationaux qui accompagnent bien souvent un retour en France, en évitant les surcharges.

Vous aurez l’occasion de poser vos questions aux intervenants en direct.

[Inscription ici]