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French Premiere : « En fanfare », le film feel good à ne pas rater en janvier

Avec plus d’1,3 million d’entrées en France en quatre semaines d’exploitation, le film « En fanfare » est le succès de fin d’année à ne pas manquer. Grâce à French Premiere, on pourra le découvrir en Californie en Géorgie lors de quatre projections : le mercredi 22 janvier à Santa Rosa et à Palo Alto, le jeudi 23 janvier à San Francisco, et le jeudi 30 janvier à Atlanta. Les billets sont en vente pour toutes les dates.

Thibaut Desormeaux est un chef d’orchestre mondialement connu. À la suite d’un malaise, il découvre qu’il est atteint d’une leucémie, qu’une greffe de moëlle d’un proche pourrait guérir. Des tests ADN révèlent qu’il n’est pas le fils de ses parents, mais qu’il a un frère, lui aussi adopté. Thibault part à sa recherche, et le rencontre dans sa ville natale du nord de la France. Jimmy a eu un tout autre destin : il travaille dans une cantine scolaire et joue du trombone dans l’orchestre locale. La musique semble être la seule chose que les deux frères ont en commun, mais ce lien va se renforcer quand l’harmonie perd son chef à la veille d’un concours. Thibault y voit l’opportunité d’aider son frère.

Réalisé par Emmanuel Courcol, « En fanfare » permet au talent de Benjamin Lavernhe (« Le sens de la fête », « Antoinette dans les Cévennes », « Jeanne du Barry ») et de Pierre Lottin (inoubliable Wilfried dans la série des « Tuche »), de s’exprimer pleinement : tous deux sont d’excellents musiciens, Benjamin Lavernhe jouant de la batterie et de la guitare, et Pierre Lottin du piano. Ils ont appris les morceaux en amont du tournage, ont pris des cours de direction d’orchestre et de trombone pour pouvoir tout interpréter eux-mêmes. L’alchimie entre les deux acteurs fonctionne très bien, et le succès rencontré par le film en salles confirme la bonne impression qu’il avait faite lors de sa projection au Festival de Cannes 2024.

Voici les détails des séances:

  • Mercredi 22 janvier à Santa Rosa : 7pm au Summerfield Cinemas, 551 Summerfield Rd, Santa Rosa, CA 95405. Billets.
  • Mercredi 22 janvier à Palo Alto : 7pm à l’Aquarius Theatre, 430 Emerson St, Palo Alto, CA 94301. Billets.
  • Jeudi 23 janvier à San Francisco : 7pm au Marina Theater, 2149 Chestnut St, San Francisco, CA 94123. Billets.
  • Jeudi 30 janvier à Atlanta : 7 pm au Tara Theater, 2345 Cheshire Bridge Rd NE, Atlanta, GA 30324. Billets.

Expos, films, concerts : Que faire à New York cette semaine

Retrouvez la sélection hebdomadaire French Morning des meilleurs évènements pour préparer vos sorties à New York.

Ce week-end et cette semaine

Amaury Faye – Winter JazzFest – Vendredi 10 janvier – The Bitter End

Dans le cadre du Winter Jazzfest qui se tient dans plusieurs lieux emblématiques new-yorkais du 9 au 15 janvier, l’évènement « Manhattan Marathon » du vendredi 10 recevra des dizaines d’artistes de la scène jazz internationale et notamment le pianiste français Amaury Faye qui se produira au Bitter End (ouverture des portes à 5pm et show à 6pm). Les billets ici

Une deuxième nuit de marathon jazz est programmée pour le samedi soir dans Brooklyn.

The Bitter End – 147 Bleecker St.

Flight into Egypt: Black Artists and Ancient Egypt 1876-Now – Vendredi 10 janvier – The Met

L’exposition Flight into Egypt: Black Artists and Ancient Egypt 1876-Now s’accompagne de performances live, une première dans l’histoire du Met. Toutes les semaines, un spectacle de musique et danse met en lumière les thèmes de l’Egypte Ancienne. Ce vendredi, c’est l’artiste multidisciplinaire originaire de Brooklyn Steffani Jemison qui viendra connecter l’exposition avec une interprétation multimédia pour deux représentations, à 3pm et 7pm. Plus d’informations

Performance Pyramid, The Tisch Galléries – The Met 5th Av.

Cinderella Samba – Samedi 11 janvier – Swedish Cottage Central Park

Recommandé pour les familles ayant des enfants de 3 à 8 ans, ce spectacle de marionnettes vous amène sur les traces du Carnaval de Rio de Janeiro avec une bande musicale samba. Des représentations sont également prévues en février. Billets ici (10$ pour les enfants, 15$ pour les adultes).

Swedish Cottage – Central Park, Delacorte Theater (West Drive & 79th St.)

Mayers Consulting Family Music Showcase – Samedi 11 janvier – Lincoln Center

Une sortie familiale pour tout âge avec une série de mini concerts d’artistes très variés: jazz, rétro-pop, hip-hop, soul… et dont certains sont primés ou nominés au GRAMMY. Gratuit à partir de 2pm. Plus d’informations ici.

David Rubenstein Atrium – Lincoln Center

Decreation – Jusqu’au dimanche 12 janvier – Whitney Museum

Derniers jours de l’exposition « Decreation » au Whitney Museum, hommage à la philosophe Simone Weil (1909-1943) qui a inventé ce concept, dans une exposition consacrée à Mark Armijo McKnight et qui met en scène des photographies en noir et blanc de cet artiste. « Decreation » explore le concept qui décrit une déconstruction intentionnelle du soi, un processus que Mark Armijo McKnight aborde par ses images de corps et de paysages dans des états intermédiaires, comme des figures anonymes engagées dans des jeux érotiques au milieu d’un environnement brutal. il en ressort un sentiment à la fois d’extase et d’affliction. Plus d’information ici.

Whitney Museum of American Art – 99 Gansevoort St.

Plein Sud – Mardi 14 janvier – L’Alliance New York

Deux projections de « Plein Sud » de Luc Béraud sorti en 1981 avec comme têtes d’affiche Patrick Dewaere et Clio Goldsmith, dans les rôles d’amants quittant le contexte politique tendu de Paris pour Barcelone (également, Jeanne Moreau et Guy Marchand). Plus d’informations ici sur les projections de 4pm et 7pm.

L’Alliance New York, Florence Gould Theater – 55 E 59th St.

Plus tard

Under The Radar Festival – Jusqu’au 19 janvier – Multi-sites

Une douzaine de spectacles expérimentaux est programmée chaque jour à l’occasion du Under The Radar Festival jusqu’au 19 janvier dans des lieux partenaires variés tels que le Lincoln Center, le BAM, La Mama etc. Retrouvez ici le programme complet. Le festival fête cette année sa 20e édition.

Restaurant Week – À partir du mardi 21 janvier

L’évènement culinaire revient du 21 janvier au 9 février, et les réservations ont ouvert le 7 janvier, pensez à vite réserver vos tables dès à présent pour profiter des menus à tarifs fixes. L’évènement bi-annuel (hiver et été) permet de découvrir plus d’une centaine de restaurants dans la ville, proposant un menus à tarif spécial et plus abordable. Comptez environ 30-40$ pour le déjeuner et 45-60$ pour le dîner.

À réserver dès maintenant

Yseult – Lundi 3 février – Bowery Ballroom

L’artiste française Yseult, qui a clôturé les Jeux olympiques de 2024 au Stade de France l’été dernier, entame une tournée nord américaine et sera à New York le lundi 3 février pour une seule date. Les places ici 

Bowery Ballroom Center – 6 Delancey St

Seong-Jin Cho – Mercredi 5 février – Carnegie Hall

Réservez dès à présent vos places pour cette représentation entièrement consacrée à Maurice Ravel dont on célèbre cette année le 150e anniversaire de la naissance. Le pianiste sud-coréen Seong-Jin Cho interprètera L’Œuvre pour piano seul du compositeur français.

Avec plusieurs représentations à guichets fermés au Carnegie Hall, il est encore temps de réserver un billet ici.

Stern Auditorium / Perelman Stage – Carnegie Hall – À l’angle de 57th Street et 7th Ave.

Hommage à Ravel – 14 au 22 mai – Lincoln Center

Dans le cadre du 150e anniversaire de la naissance de Maurice Ravel, le New York City Ballet proposera plusieurs représentations de quatre œuvres créées lors du festival de 1975 alors dédié au compositeur (musiques Ravel et chorégraphies Balanchine et Robbins). Plus d’information et le détail du programme ici

David H. Hock Theater – Lincoln Center

Incendies à Los Angeles : « Je suis partie en urgence, c’était apocalyptique »

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C’est un véritable ouragan de feu qui s’abat sur Los Angeles. Depuis plusieurs jours, des incendies attisés par un vent de Santa Ana d’une violence extrême pouvant dépasser 130 km/h, voire 160 km/h en montagne, ont réduit en cendres des quartiers entiers, notamment à Pacific Palisades et Altadena. Cinq personnes décédées, des milliers d’acres brûlés, plus de 100 000 personnes évacuées, au moins 2 000 maisons, écoles, commerces et autres infrastructures ravagés, et des pompiers toujours mobilisés, mercredi 8 janvier, pour tenter de contenir les flammes… Le désastre, dont le bilan définitif n’est pas encore connu, s’annonce comme l’un des pires de l’histoire de LA. French Morning a recueilli les témoignages de Français. Jeudi 9 janvier, Roland Lescure, député des Français d’Amérique du Nord, estimait dans un message sur LindekIn qu’entre 1200 et 1500 d’entre eux avaient dû fuir les flammes, certains ayant tout perdu.

« Complètement chaotique »

À Altadena, face à l’arrivée des flammes, Jeanne Roué a embarqué ses trois enfants et ses deux chiens dans sa voiture, passeports à la main, en chaussons et pyjamas. Mardi en fin de journée, le feu s’est déclaré brusquement à Eaton Canyon, à deux blocs de là. « On a commencé à avoir un peu de fumée, et 25 minutes après, les hélicoptères étaient au-dessus de la maison, les hauts-parleurs hurlaient : “evacuate now”. J’ai vu les flammes, j’ai senti la chaleur sur mon visage, ça m’a fait drôle » témoigne la Française, encore sous le choc. La famille a trouvé refuge chez des amis, près du Dodger stadium. Si l’air n’y est pas bon, au moins, le feu est loin.

Quand l’alerte a été donnée, elle était seule à la maison avec son aînée de 11 ans et ses jumeaux de 7 ans, son mari revenant de San Francisco. « Je suis partie en urgence, je n’ai pas réfléchi. C’était apocalyptique, raconte–t-elle, en évoquant la fumée épaisse, l’air irrespirable, les flammes qui se rapprochent. Les enfants ont eu peur, mais ils sont restés calmes. J’ai essayé de garder mon sang-froid. On s’est engagés sur la 210, c’était complètement chaotique. Des embouteillages, des arbres en plein milieu de la freeway. Les feux de signalisation ne marchaient plus… La police et les pompiers allaient dans tous les sens. Les gens avaient peur. » 

« On ne se sent pas seuls »

D’après une voisine, leur maison est heureusement encore debout. Ce n’est pas le cas de plusieurs de ses voisins, qui eux, ont tout perdu. « Les commerces ont brûlé. Une synagogue au bout de notre rue aussi. La Pasadena High School a été endommagée », énumère Jeanne. L’école des enfants est, elle, fermée, comme beaucoup dans les secteurs touchés. « Ils ont bien compris qu’on retournera chez nous quand on pourra, glisse-t-elle. On ne sait pas quand. Ce matin, je suis allée au CVS d’à côté acheter des brosses à dents. » En attendant, des amis mettent un logement à leur disposition gratuitement. « On ne se sent pas seuls, il y a une solidarité de fou » témoigne cette juriste et coach sportive, qui garde un moral d’acier.

Non loin de là, à South Pasadena, Pascale Bernadberoy n’a pas fermé l’œil de la nuit. Si elle n’a pas été menacée par les flammes, elle est encore sous le choc. « J’ai encore du mal à réaliser, dit-elle. Ça fait 25 ans que je suis là. Des feux, il y en a souvent, mais d’habitude, ils restent localisés dans les montagnes. Ils brûlent des petits chalets, mais des quartiers résidentiels, je n’avais jamais vu ça. Altadena, c’est un très joli quartier, très vert. Là, on dirait qu’il y a eu la guerre. » Ce mercredi, elle hébergeait une amie touchée par les coupures d’électricité, qui suite aux incendies, concernaient 4 millions de personnes en Californie du Sud.

Pasadena, une ville fantôme

Par précaution, Emmanuelle Franks a fermé l’Alliance française de Pasadena, dont elle est la directrice, ce mercredi 8 janvier. « Elle est très proche de la zone d’évacuation, de l’autre côté de la 210, et de nombreux professeurs et élèves ont été évacués, explique-t-elle. D’autres font face à des coupures d’électricité, et il est difficile de se déplacer. » Elle-même a dû récupérer ses enfants à l’école à cause des risques de pollution de l’air, et ne peut pas recharger sa voiture électrique. Si ce quartier n’a pas été touché, elle décrit une ville fantôme. Restaurants et cafés fermés, odeur de brûlé, cendres qui tombent du ciel, luminosité bizarre… « Cela fait 11 ans que je vis à Los Angeles, donc malheureusement, je suis habituée aux incendies, mais cet épisode est particulièrement violent. »

Mercredi soir, des Français se tenaient toujours prêts à évacuer, comme Bart, qui vit près de Pacific Palisades avec sa femme et leurs deux enfants. « Le quartier juste à côté est en évacuation obligatoire. La voiture est prête, s’il faut partir, on part » confirme le Français qui a déjà été évacué en 2018, lors du gigantesque Woosley Fire. Depuis, la famille s’est équipée de purificateurs d’air dans toutes les chambres, et sa femme s’est formée auprès des pompiers pour acquérir les bons réflexes.

Procédure d’urgence au consulat

Revenu en urgence du CES de Las Vegas, le Consul général de France à Los Angeles, Adrien Frier, a appelé une quinzaine de Français touchés par les incendies. À ce stade, dit-il, tous ont trouvé des solutions d’hébergement et se préparent à entamer des démarches auprès de leurs assurances. Le consulat travaille néanmoins à la mise en place d’une base de données pour faire l’intermédiaire entre les Français en recherche d’un hébergement et ceux qui ont une chambre disponible.

Une procédure d’urgence a par ailleurs été mise en place pour ceux qui auraient perdu leurs papiers d’identité. Alors que mercredi soir, un nouveau feu avait éclaté dans les Hollywood Hills, le consul exhortait les Français à « suivre très scrupuleusement les consignes d’évacuation et les directives des autorités américaines. »

Oliver Sureau rejoint USAFrance Financials: naissance de USAFrance Financials Group

[Article partenaire] USAFrance Financials, le cabinet de gestion de patrimoine dédié à la communauté française aux États-Unis, devient USAFrance Financials Group avec la création de deux nouvelles branches : USAFrance Multi-Family Office et USAFrance Business Services. Olivier Sureau, Expert-Comptable et Certified Public Accountant, rejoint également l’équipe en tant qu’Associé et Directeur de ces deux branches. Pour l’occasion, French Morning l’a interviewé en compagnie de Cédric Sage, fondateur de USAFrance Financials.

Quel est votre ressenti vis-à-vis de ce nouveau projet et partenariat ?

Cedric Sage : “Nous avions beaucoup d’attente pour ce partenariat avec Olivier. Cela fait des années que nous nous connaissons et nous sommes amis de longue date. Nous avons énormément de compatibilité entre nos valeurs personnelles ; ce partenariat s’annonce donc très fructueux, avec beaucoup de projets qui feront évoluer USAFrance vers un autre niveau.” 

Olivier Sureau : “Je suis ravi de me relancer dans une aventure entrepreneuriale, c’est une nouvelle étape pour moi et je suis content de pouvoir le faire avec des associés qui sont des amis et avec qui je partage des valeurs communes. C’est important lorsque l’on s’associe de bien connaître la personne. L’avantage avec Cédric, Alexandre, Adrien et Adam (ndlr : les autres associés d’USAFrance Financials Group) c’est que non seulement nous sommes amis, mais nous nous côtoyons professionnellement depuis de nombreuses années” 

Que souhaitiez-vous proposer avec ce projet, Olivier ?

Olivier Sureau : “Ce qui m’a motivé, c’était premièrement cette notion de nouveau projet et aussi, comme Jade (ndlr : Jade Fiducial, entreprise qu’il a créée en 2003), d’être précurseur. Donc ma motivation essentielle était de proposer quelque chose de nouveau, d’innovant et qui n’existe pas encore sur le marché. En outre, c’était aussi important pour moi de faire ce projet avec des personnes que j’apprécie beaucoup et qui avaient déjà une équipe.”

Olivier Sureau, Associé d’USAFrance Financials Group et Directeur d’USAFrance Multi-Family Office & d’USAFrance Business Services.

Comment qualifiez-vous cette réorganisation ?

Cédric Sage : “Cette réorganisation est plutôt un ajout de services afin de répondre à des besoins qui n’ont pas été explorés au travers d’USAFrance Financials. Bien entendu, cette entité continue d’octroyer un service de qualité pour les Français aux États-Unis en matière de retraite, succession, investissement, prévoyance etc. Désormais, il y aura deux autres unités : une qui répondra aux besoins des grandes fortunes avec des services exclusifs et d’excellence, et une autre qui s’adresse principalement aux entreprises françaises aux États-Unis.”

Olivier Sureau : “En effet, il ne s’agit pas vraiment d’une réorganisation, mais bien d’un nouveau développement, avec la création d’un groupe, qui inclut trois entités : USAFrance Financials, USAFrance Multi-Family Office et USAFrance Business Services.”

Pouvez-vous nous en dire plus sur les deux nouvelles branches ?

Olivier Sureau : “Le concept de Multi-Family Office pour les familles françaises en France existe, mais le même concept aux États-Unis pour les familles françaises n’existe pas. De fait, de nombreuses erreurs sont réalisées puisque de nombreuses familles avec un large patrimoine n’ont finalement rien préparé. Ainsi, lors d’un imprévu, les conséquences peuvent être dramatiques tant d’un point de vue fiscal, que juridique ou patrimonial. Business Services est quant à elle née du constat qu’il n’y a pas d’entreprises qui ont la compétence d’accompagner les sociétés françaises qui sont implantées aux États-Unis. On accompagnera donc les entrepreneurs au sein de problématiques culturelles, notamment la gestion des ressources humaines ou encore le développement et la croissance de la société, la succession.”

Cédric Sage : “Ce qui est très intéressant également, c’est le fait de pouvoir travailler avec toute une gamme d’experts dans divers domaines qui ont l’expertise et les ressources nécessaires pour accompagner nos clients. De ce fait, avec ces nouvelles branches, chaque plan que nous ferons pourra être implémenté sans aucune correction.”

Cédric Sage, CEO d’USAFrance Financials Group

Quelles sont les perspectives à l’horizon 2025 ?

Cédric Sage : “On va continuer ce qu’on a lancé avec USAFrance, et avec ces deux nouvelles branches, de nombreux développements sont à prévoir. On s’attend à une très belle année, avec une bonne croissance.”

Olivier Sureau : “En effet, l’objectif est de continuer à développer et consolider USAFrance et bien évidemment de développer ces deux nouvelles unités, et de montrer aux clients actuels qu’ils ont de nouvelles possibilités qui leur sont entièrement dédiées.”

Un mot pour conclure ?

Cédric Sage : “Mon intention quand j’ai lancé USAFrance Financials était d’aider les gens. D’une part la clientèle, mais aussi les équipes que nous embauchons. Par ailleurs, il y a un aspect philanthropique puisque l’on va essayer d’être beaucoup plus investis dans la communauté française, d’aider les gens, les associations afin de créer un cercle vertueux.”

Olivier Sureau : “En effet, une valeur supplémentaire que nous avons, c’est de vouloir aider la communauté française. Ainsi, il a été décidé récemment que le budget dédié aux œuvres caritatives sera doublé l’année prochaine.”

Retrouvez toutes les informations concernant USAFrance Financials Group sur le site internet.

Les communications écrites futures peuvent être uniquement en anglais. Les produits financiers et les services de conseil sont proposés par Park Avenue Securities LLC (PAS), membre de la FINRA et de la SIPC. OSJ : 150 S Warner Road, Suite 120, King of Prussia, PA 19406, tél. : 667.318.0801. PAS est une filiale détenue en totalité par The Guardian Life Insurance Company of America® (Guardian), New York, NY. USAFrance Financials n’est ni affiliée ni une filiale de PAS ou de Guardian. 7503147.1 Exp 1/27

Note : les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Le guide de la déclaration de revenus aux États-Unis, édition 2025

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Avant le 15 avril 2025, la plupart d’entre vous devra déclarer ses revenus à l’Internal Revenu Service (IRS), le fisc américain.

Comme chaque année, French Morning a préparé un guide de la fiscalité américaine qui vous donne de nombreuses clés.

Que doit-on déclarer de chaque côté de l’Atlantique ? Comment remplir sa déclaration ? Quelles nouveautés en 2025 ?

Téléchargez le guide gratuitement en remplissant le formulaire ci-dessous 👇

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« Not Arrogant, Just French » : La marque French Abroad exporte avec humour l’esprit français

C’est dans une petite rue du quartier du Marais à Paris que se cache l’entrée discrète du magasin éphémère de la marque French Abroad. En devanture, un t-shirt affiche fièrement : « Not arrogant, just French » (« Pas arrogant, juste français »). Le ton est donné. À l’intérieur, quelques portants soigneusement organisés, des étagères minimalistes, et des touristes américaines qui essaient les créations de cette jeune marque.

Derrière French Abroad, il y a Christian Lobet. Son histoire commence en 2016, bien loin des rues parisiennes, lors d’un séjour linguistique à Toronto, au Canada. À l’époque, cet étudiant français en commerce international veut renforcer ses bases d’anglais et choisit l’immersion à l’étranger. « La France me manquait terriblement, mais j’étais fasciné par le patriotisme des Canadiens : les drapeaux sur les maisons, leur fierté de leur culture. Je ressentais cette même fierté, en tant que Français mais j’avais plus de mal à l’exprimer. » Une fierté qui, chez lui, restait bridée par les connotations politiques du drapeau tricolore. Il réfléchit alors à une façon de réconcilier cette identité avec un esprit ouvert et décomplexé.

5000 euros pour commencer

C’est finalement un exercice, en apparence anodin, qui va tout changer. Lors d’un cours, un des professeurs de Christian Lobet lance une discussion autour du rêve. Chaque élève est invité à prendre la parole à tour de rôle afin de partager ce à quoi il aspire pour le futur. Christian Lobet, pris au dépourvu mais passionné de mode, improvise : « J’aimerais lancer une marque de vêtements qui ferait la promotion de la France à l’étranger ». Des mots qui auraient pu rester sans suite mais qui trouvent un écho tout particulier auprès de sa camarade de classe chinoise qui l’encourage immédiatement : « Mais c’est génial comme idée ! Fonce, vas-y, tu peux le faire ! » Des mots qui l’ont marqué, confesse-t-il avec émotion. « J’ai été surpris par son enthousiasme pour le moins contagieux. Huit ans plus tard, son enthousiasme et sa foi en moi continuent de me porter ».

L’acteur Bruno Gouery, qui joue Luc dans la série « Emily in Paris », est passé rendre visite à Christian Lobet dans son magasin. © French Abroad

Ce soir-là, en rentrant chez lui, l’étudiant en commerce international plonge dans l’univers de YouTube et regarde des dizaines de vidéos avec pour but d’apprendre à créer une marque de vêtements. La graine est plantée. Mais six mois après son arrivée au Canada, il est contraint de rebrousser chemin. Son père est malade et il veut être à ses côtés à Paris pour le soutenir. Son projet ne le quitte pas pour autant. En mai 2022, il passe à l’action avec une campagne de financement participatif lancée sur la plateforme Ulule. En quelques semaines seulement, pas moins de quarante contributeurs sont réunis et 5.000 euros récoltés. « Ce n’est pas grand-chose, mais à l’issue de cette campagne, j’ai réalisé que j’avais en fait réussi mon premier test client, explique-il avec fierté. J’étais prêt à lancer French Abroad. »

Quelques-unes des créations de Christian Lobet pour lancer sa marque de vêtements. © French Abroad

Un cadeau à Macron

Au lancement de la marque, trois articles sont proposés : le sweat-shirt « Oui Oui », le t-shirt « Not Arrogant Just French », ou « Excuse My English » (abandonné depuis) ou encore la casquette « Not on strike today » (« Pas en grève aujourd’hui »). Rapidement, l’entrepreneur est contacté par les Galeries Lafayette qui lui proposent deux pop-up au sein de leurs magasins du boulevard Haussmann à Paris. « Ça a été un sacré coup de projecteur pour nous et la suite de 2023 a permis de concrétiser tout ceci. On a fait une vidéo sur les réseaux sociaux qui est devenue virale. On a travaillé avec des influenceurs, comme AT Frenchies et Frenchlylo qui m’ont énormément aidé. Et puis, ça y est, on était vraiment lancé ! » French Abroad conquiert notamment les Américains de passage à Paris ainsi que les Français de l’étranger, en particulier ceux d’Amérique du Nord.

Mais Christian Lobet ne s’arrête pas là. En décembre 2023, il écrit une lettre au chef de l’État, Emmanuel Macron, accompagnée d’un pull « Not Arrogant Just French » qu’il lui adresse en cadeau de Noël. Contre toute attente, il reçoit une réponse dans laquelle le président français salue son « engagement en faveur d’une production française, qui contribue à promouvoir le savoir-faire » de la France.

Des boutiques pop-up aux États-Unis

En août dernier, French Abroad a reçou sa première grosse commande du Bon Marché : une reconnaissance majeure qui confirme le potentiel de la marque. Les ambitions sont grandes. « Je veux que French Abroad devienne une marque de référence pour tous ceux qui souhaitent porter un bout de France avec eux, que ce soit les Français de l’étranger, les futurs expats mais aussi les touristes », explique Christian Lobet. Inspiré par des marques comme New York or Nowhere, Christian imagine French Abroad suivre une trajectoire similaire. « Ils ont transformé le souvenir en un produit premium. Notre stratégie marketing est proche, et je suis convaincu que nous pouvons atteindre des sommets comparables. »

Il envisage de multiplier les magasins éphémères dans des villes dans lesquelles réside une importante communauté française aux États-Unis, comme New York ou Los Angeles, ainsi que d’ouvrir sa propre adresse de magasin. « Mon objectif est d’élargir notre impact en 2025 et 2026, tout en restant fidèles à nos racines. » Avec French Abroad, Christian Lobet ne vend pas seulement des sweats ou des t-shirts, il raconte une histoire, celle d’une fierté décomplexée et ouverte, d’un pont entre cultures. Avec beaucoup d’humour… bien français.

[Vidéo] Les clés pour préparer ou régler une succession transfrontière entre les États-Unis et la France

Nous vous donnions rendez-vous en ligne mardi 21 janvier 2025 à 12pm ET avec Hélène Carvallo et Anne-Carole Plaçais, avocates spécialisées en droit de la famille entre la France et les États-Unis, et Hélène Peisse, notaire, pour un webinaire gratuit.

Nos trois expertes ont exposé les principaux éléments à prévoir selon votre situation, et vous donneront de nombreux conseils.

Avec :
🎙️ Anne-Carole PLACAIS, Avocate au Barreau de Paris – ✉️ [email protected]
🎙️ Hélène CARVALLO, Avocate au Barreau de New York – ✉️ [email protected]
🎙️ Hélène PEISSE, Notraire associée – ✉️ [email protected]

Retrouvez le replay ci-dessous ou directement sur Youtube

L’ETA obligatoire pour transiter ou entrer au Royaume-Uni

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Depuis le 8 janvier, les Américains qui n’ont pas de visa de travail ou de statut de résidents au Royaume-Uni doivent obtenir une autorisation de voyage électronique (ETA) pour se rendre sur place, même pour y transiter seulement. Pour les Français, cette mesure sera appliquée à partir de ce mercredi 2 avril.

La mise en place de l’ETA, qui concerne tous les autres citoyens européens – sauf les Irlandais – et non européens, y compris donc les Américains, annoncée en septembre dernier par le gouvernement britannique, entre donc en vigueur. Jusqu’à présent, ce visa électronique n’était obligatoire que pour les personnes venant du Bahreïn, du Koweït, d’Oman, du Qatar, d’Arabie saoudite et des Émirats arabes unis.

Même système qu’aux États-Unis

La demande de cet ETA, très similaire à l’ESTA que l’on demande avant d’entrer aux États-Unis, peut se faire en ligne (ou via l’application UK ETA sur l’App Store d’Apple ou Google Play).

Il faut fournir une photo et répondre à une série de questions, pour ainsi permettre au gouvernement de contrôler les entrées sur son territoire. La décision est censée être rendue dans un délai de trois jours. Le coût ? 10£ (environ 12€ ou 13$). Mais à partir du 9 avril, le prix passe à 16£ (environ 19€ ou 20,70$). L’ETA est ensuite valable pour plusieurs entrées au Royaume-Uni sur une période de deux ans ou jusqu’à l’expiration du passeport du voyageur.

Si vous transitez par Londres ou par une autre ville britannique entre les États-Unis et l’Europe, vous devrez être munis de cet ETA.

Attention : vérifiez bien le site sur lequel vous achetez votre ETA. Il doit relever du gouvernement britannique (en langue anglaise) et le coût de l’ETA ne doit pas dépasser ceux qui sont indiqués ci-dessus.

Ce sont aux compagnies de transports (avion, train ou bateau) de vérifier, sous peine d’une amende pouvant aller jusqu’à 2.000£, cet ETA avant que le passager ne monte à bord. À l’arrivée, la police des frontières britannique contrôle également le document digital et peut poser des questions supplémentaires avant de décider d’autoriser ou non le voyageur à entrer. Comme pour les États-Unis, l’obtention de cet ETA ne garantit pas l’entrée sur le sol britannique. 

« Cette digitalisation permettra une expérience fluide pour les millions de personnes qui franchissent la frontière chaque année, y compris les visiteurs que nous accueillons chaleureusement au Royaume-Uni et qui devraient contribuer à hauteur de plus de 32 milliards de livres sterling à notre économie touristique cette année », a justifié Seema Malhotra, ministre de l’Immigration et de la Citoyenneté.

Publié le 17 septembre 2024. Mis à jour le 8 janvier 2025.

Elon Musk, l’influenceur en chef

Alors que Donald Trump sera investi président le 20 janvier prochain, Alexis Buisson, journaliste de French Morning et correspondant de La Croix aux États-Unis, décrypte les défis posés par ce retour au pouvoir. Pour son second mandat, il aura à ses côtés l’homme le plus riche du monde, Elon Musk, dont le rôle et l’influence sont considérables.

Quel sera son rôle une fois que Donald Trump retournera à la Maison-Blanche ? Peu de gens pensent qu’il se limitera au rôle que lui a confié le président élu, celui de codiriger une commission consacrée à la réduction drastique des dépenses fédérales.

Dans cet épisode bonus de « C’est ça l’Amérique », Alexis Buisson a tendu son micro à la romancière franco-américaine Julie Girard, autrice de plusieurs ouvrages inspirés de l’univers de la tech (Le Crépuscule des licornes, Les Larmes de Narcisse) parus chez Gallimard.

C’est ça l’Amérique, un podcast de La Croix en partenariat avec French Morning et le programme Alliance-Columbia.

Musimelange choisit Miami Beach pour célébrer Maurice Ravel

La série de concerts de musique de chambre Musimelange entame en beauté sa onzième saison, marquée par un changement de décor. Ce voyage musical, qui débutera le lundi 27 janvier à 7:30pm avec une soirée intitulée « Piano Trio » et s’achèvera mi-mai, proposera quatre représentations intimistes dans le cadre prestigieux du National Hotel à Miami Beach, joyau du style Art déco.

Dix musiciens, une première grâce aux dons

Ce nouveau chapitre s’ouvre sous les meilleurs auspices. Lors de la campagne annuelle Give Miami Day, une initiative philanthropique qui permet de faire un don en ligne à une cause de son choix en l’espace de 24h, Musimelange a récolté plus de 7 400 dollars grâce à la générosité d’une soixantaine de donateurs. « Je suis profondément touchée par cet incroyable soutien, confie la violoniste française Anne Chicheportiche, fondatrice du projet. Grâce à ces dons, nous avons notamment pu planifier un concert réunissant dix musiciens, une première pour nous, et c’est très enthousiasmant. »

Inspirée par les salons de la Belle Époque, la jeune quadra originaire d’Antibes a imaginé un concept multisensoriel alliant harmonieusement musique, gastronomie et vin, dans une ambiance conviviale favorisant les échanges. Ce moment culturel se décline en trois actes : une dégustation de grands crus accompagnés d’hors-d’œuvre ouvre les festivités, suivie d’un concert en petit comité. Enfin, douceurs sucrées et champagne sont proposés sur la terrasse, offrant l’opportunité d’échanger avec les instrumentistes de l’orchestre.

Dernier concert en hommage à Maurice Ravel

La soirée inaugurale promet une immersion dans l’époque romantique avec des œuvres de Liszt, Fauré et Mendelssohn, interprétées par le pianiste Kemal Gekic, la violoncelliste Ashley Garritson, et la maîtresse de cérémonie Anne Chicheportiche.

Trois autres rendez-vous rythmeront la saison : le lundi 10 mars pour une soirée baptisée « Baroque Splendor », lors de laquelle les musiciens interpréteront le Concerto Brandebourgeois n°2 de Bach et les chefs-d’œuvre de Vivaldi; le lundi 14 avril pour un concert intitulé « Transamazonia Ballet », mêlant jazz, musiques du monde et rythmes amazoniens; et enfin, le lundi 19 mai, la saison s’achèvera en apothéose avec « Tutti 4.0 », qui promet un répertoire éclectique, allant du Baroque au XXIe siècle, incluant des œuvres de Maurice Ravel jouées par la troupe Musimelange au grand complet pour commémorer le 150e anniversaire de la naissance du célèbre compositeur français.

Arthur Genre (New York) : Dépasser les clichés culturels pour mieux comprendre les Etats-Unis

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« Ils sont tous armés jusqu’aux dents, pour eux tout est amazing ou awesome, et leur gastronomie se résume aux hamburgers ». Ces clichés sur les Américains, on les connaît tous, mais qu’en est-il vraiment ?

Dans French Expat, Arthur Genre, journaliste et vidéaste français installé à New York, nous emmène au cœur de ce pays qu’il aime tant. Avec sa chaîne YouTube, il s’est donné pour mission de démystifier les États-Unis auprès d’un public francophone. Mais attention, pas question de brosser un portrait idéalisé. Arthur raconte l’Amérique telle qu’elle est, avec ses nuances, ses contradictions, et son incroyable richesse culturelle.

Arthur Genre revient sur son parcours personnel entre la France et les États-Unis, une aventure parsemée de défis et de découvertes, mais surtout d’apprentissages. En tant qu’observateur privilégié, il s’applique à rapprocher deux cultures qui, bien souvent, s’analysent au travers du prisme des stéréotypes. Les Américains voient parfois les Français comme des amateurs de vin et de baguettes, un peu snobs sur les bords. Quant aux Français, difficile pour eux de dissocier l’image des Américains de celle de cow-boys bruyants, fans de fast-food et de superlatifs. Arthur ne se contente pas de démonter ces idées reçues, il va plus loin en expliquant ce que ces clichés révèlent des différences culturelles. Son approche, à la fois drôle et intelligente, ne se limite pas à l’information. Elle ouvre la voie à une meilleure compréhension mutuelle.

Et puis, il y a cette question qui revient en filigrane : pourquoi ces stéréotypes persistent-ils encore autant ? Arthur réfléchit au rôle des médias, la manière dont ils façonnent nos perceptions, et les ponts qu’il est possible de construire entre ces deux mondes.

French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : SpotifyApple PodcastDeezerGoogle PodcastPodcast AddictAmazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.

Neige : Où skier dans la région de Washington ?

Le manteau blanc qui recouvre Washington DC donne envie de chausser les raquettes et les skis, ou simplement de se plonger dans l’ambiance d’après-ski. Que vous soyez un athlète chevronné ou un débutant désireux de dévaler la poudreuse, voici cinq destinations de ski autour de Washington qui promettent une jolie aventure hivernale.

À moins de 2h de DC

Liberty Mountain Resort : 16 pistes, jusqu’à 360 mètres d’altitude. Ouvert jusqu’en mars 2025

© Liberty Mountain Resort

Liberty Mountain Resort, située en Pennsylvanie à environ 1h30 au nord de Washington DC, est un paradis pour les amateurs de sports d’hiver. La station offre un mélange de pistes adaptées aux débutants et de pistes difficiles pour les skieurs et snowboarders avancés. Elle est ouverte les lundi et mardi de 9am à 8pm, les mercredi et jeudi de 9am à 9pm, le vendredi de 9am à 10pm, le samedi de 8am à 10pm, et le dimanche de 8am à 8pm. Comptez 99 dollars pour la journée avec un Epic Day Pass78 Country Club Trail, Fairfield, Pennsylvanie.

Whitetail Resort : 23 pistes, jusqu’à 550 mètres d’altitude. Ouvert jusqu’à fin mars 2025

© Whitetail Resort

Situé à moins de deux heures de route de DC, toujours en Pennsylvanie, le Whitetail Resort est un choix populaire auprès des Washingtoniens. Bénéficiant d’une variété de pistes adaptées à tous les niveaux de compétence, le domaine est ouvert tous les jours de 9am à 9pm, et ferment à 5pm le lundi, mardi et mercredi. Comme pour la station précédent, la journée coûte 99 dollars avec un Epic Day Pass. 13805 Blairs Valley Rd, Mercersburg, Pennsylvanie.

Entre 2h et 3h de DC

Wisp Resort : 33 pistes, jusqu’à 950 mètres d’altitude. Ouvert jusqu’au 30 mars 2025

© Wisp Resort

Niché dans les montagnes du Maryland, le Wisp Resort constitue une escapade pittoresque pour les amateurs de sports d’hiver. À environ trois heures de Washington DC, la station de ski propose une gamme variée d’activités, notamment le ski, le snowboard et même le snowtubing. Avec ses vues imprenables sur le lac Deep Creek et ses pistes bien entretenues, le domaine est ouvert de 9am à 9pm du mercredi au samedi, de 9am à 5pm du dimanche au mardi. Pour voir le niveau d’enneigement des pistes, la station a deux cameras accessibles en ligne. Comptez 99 dollars pour un pass à la journée le weekend, et 89 dollars pour la semaine. 296 Marsh Hill Road, McHenry, Maryland.

Massanutten Resort : 14 pistes, jusqu’à 900 mètres d’altitude. Ouvert jusqu’au 3 mars 2025

© Massanutten Resort

Massanutten Resort, situé à seulement 2h30 de Washington DC, est un joyau de la vallée de Shenandoah. La station bénéficie d’un dénivelé impressionnant et d’un large éventail de terrains, ce qui la rend adaptée aux skieurs de tous niveaux. Avec des tarifs abordables (52 dollars la journée), cette station de ski est ouverte de 9am à 9pm du vendredi au lundi inclus, de 9am à 5pm du mardi au jeudi. Avant de réserver, on peut regarder les pistes en temps réeel sur ce lien. 1822 Resort Dr. à McGaheysville en Virginie.

À plus de 3 heures de DC

Canaan Valley Resort : 47 pistes, jusqu’à 1305 mètres d’altitude. Ouvert jusqu’au 9 mars 2025.

© Canaan Valley Resort

Un peu plus loin de Washington DC, la Canaan Valley Resort offre une vraie expérience hivernale, haute en altitude pour la région, en Virginie occidentale. À environ trois heures de route, la vallée de Canaan est réputée pour sa beauté naturelle et ses chutes de neige abondantes. On peut voir le grand manteau sur toute la vallée avec les Live Cam du site. Comptez 80 dollars pour une journée le weekend ou 70 dollars pour 4 heures. Les pistes sont ouvertes tous les jours de 9am à 4:30pm donc il n’est pas possible de skier après le coucher de soleil. 230 Main Lodge Rd, Davis, Virginie Occidentale.