Accueil Blog Page 455

Fotografiska, le nouveau temple de l’image à New York

Les amateurs de photo sont en transe: une des institutions majeures de la photographie contemporaine arrive à New York. Fotografiska ouvre ses portes samedi 14 décembre au 281 Park Avenue South, à l’angle de la 22e Rue. L’adresse prestigieuse abrite l’un des joyaux de l’architecture new-yorkaise, un bâtiment classé de cinq étages de style Renaissance flamande, construit en 1894. Longtemps propriété d’organisations religieuses, l’ancienne Church Missions House se mue en lieu multi-conceptuel où le pouvoir de communication de l’image apparaît sous toutes ses formes, du cliché argentique au documentaire multimédia.

Ce nouveau rendez-vous artistique est l’extension new-yorkaise du Fotografiska de Stockholm, conçu en 2010 par les frères suédois Per et Jan Broman et devenu, en moins de dix ans, une référence incontournable de la photographie. Fotografiska, financé par des fonds privés, n’a rien d’un musée classique – sa collection propre est très réduite – ou d’une institution comme le Centre International de la Photographie (ICP) à Manhattan. Ce n’est pas une galerie d’art car aucune œuvre présentée n’est à vendre. « Plus qu’un espace où nous montrons de l’art, c’est un lieu où l’on vient vivre une expérience », explique le photographe allemand Yoram Roth, président du conseil d’administration et chargé du développement à l’international du groupe Fotografiska.

Plusieurs expositions tournantes, montées directement avec les photographes, les collectionneurs privés et les musées, sont présentées en même temps entre les deuxième et quatrième étages. Le 1er étage est dédié au restaurant Verōnika, nommé d’après la sainte patronne des photographes et dirigé par le groupe de Stephen Starr, aux commandes notamment de Le Coucou, Upland, Buddakan et Morimoto à New York et de Chez la Vieille à Paris. Les évènements et discussions occuperont le cinquième et dernier étage. « On vient à Fotografiska non seulement pour les photographies, mais aussi pour prendre le temps d’échanger et pour une expérience culinaire, estime Yoram Roth. De nombreux musées offrent cela mais nous avons l’approche la plus inclusive ». Fotografiska restera ouvert tard le soir, jusqu’à 23 heures, voire minuit du jeudi au samedi.

Les œuvres de cinq artistes confirmés, dont quatre femmes, font l’ouverture : la célèbre photographe de mode allemande Ellen von Unwerth présente les corps sensuels de ses superbes modèles, un contraste saisissant avec les paysages dépouillés de la Suédoise environnementaliste Helene Schmitz ; les portraits inspirés du peintre Gustav Klimt de l’artiste multimedia afro-américaine Tawny Chatmon font écho aux mises en scène cinématographiques de l’Israélien Adi Nes.

« Le lancement de Fotografiska est réalisé en partenariat avec le magazine TIME, précise la directrice des expositions Amanda Hajjar, venue de la galerie Gagosian. Le travail incroyable d’Anastasia Taylor-Lind, consacré à la maternité, est exposé. » La photojournaliste anglo-suédoise s’est penchée sur les différents modes de garde d’enfants aux Etats-Unis, des nannies aux day care, « un thème qui touche tous les New Yorkais ».

L’inauguration a été retardée de plusieurs mois en raison des importants travaux de rénovation des quelque 4 000 m2 du bâtiment historique afin de pouvoir accueillir 500 000 visiteurs par an, selon les prévisions. Après Stockholm, Tallin en Estonie et New York, le groupe poursuivra son développement européen avec un quatrième Fotografiska, à Londres l’an prochain.

Kendji Girac en concert à Miami

MISE A JOUR: la production a annoncé le 25 février l’annulation de ce concert.
La carrière de Kendji Girac a de quoi donner le tournis. A 23 ans, le vainqueur de The Voice France 2014 a déjà à son actif trois albums, vendus à près de quatre millions d’exemplaires. Il pourra désormais ajouter l’Amérique à son palmarès, avec deux concerts à New York le 27 février et à Miami le 1er mars, au North Beach Bandshell.
Au programme, le mélange de pop et de mélodies gipsy de son enfance, qui a fait le succès en France de “Andalouse” ou “Conmigo” et la setlist qui remplit en France les plus grandes salles.

Un papa franco-américain se mobilise pour créer un programme bilingue à Manhattan

L’histoire de Stéphane Lautner ressemble à celle de beaucoup d’autres parents devenus des militants de l’éducation bilingue. Père de deux filles de 5 et 7 ans, ce Franco-Américain qui parle français “en permanence” à ses enfants n’a pas souhaité les scolariser dans un établissement franco-américain privé, trop onéreux.

Il s’est tourné vers le système public mais, dans son quartier de l’Upper East Side, aucune école n’offre de programme français-anglais. “Ce n’est pas en parlant le français uniquement à la maison que les enfants vont apprendre à lire et écrire correctement. C’est via le portail de l’éducation que cela se fait“, explique ce New-Yorkais de naissance, fils d’une mère française et d’un père d’origine allemande.

Employé d’une banque française, il a donc décidé de se retrousser les manches. Après avoir participé au lancement cette année d’un afterschool de l’association EFNY (Education française New York) dans l’école de son aînée, PS 527, il voit plus grand. Vendredi 13 décembre, il organise une réunion publique dans l’Upper East Side, en présence notamment d’un élu local et d’une représentante du Département de l’Education, pour démontrer l’intérêt des parents d’élèves pour le lancement, à la rentrée 2020-2021, d’un programme bilingue public (Kindergarten-5th Grade) au sein du District 2. L’initiative est soutenue par les Services culturels de l’Ambassade de France aux Etats-Unis et le consulat de France à New York.

Le District 2 recouvre presque tout Manhattan sous la 96eme rue (à l’exception de l’Upper West Side et du Lower East Side). “Je veux que tous les parents francophones du District 2 participent à cette réunion, qu’ils aient des enfants dans la fourchette d’âge recherchée ou pas, et les parents anglophones qui veulent un tel programme“, déclare-t-il.

Plusieurs initiatives menées par des parents français ont vu le jour dans le passé au sein de ce vaste district scolaire (à Battery Park City, TriBeCa et Midtown), mais aucune n’a abouti. “Le District 2 est assez bien loti en terme d’inscriptions dans les écoles locales et de résultats scolaires. Les dirigeants d’établissements ne voient donc pas l’intérêt de créer un programme bilingue, qu’ils considèrent comme une source de problèmes pour le recrutement et la certification des enseignants“, analyse Stéphane Lautner. La majorité des programmes bilingues lancés ces dernières années l’ont en effet été dans des écoles en difficulté, à la recherche d’outils pour attirer des élèves supplémentaires.

Autre défi, selon lui: même si le District est très étendu, les écoles locales recrutent au sein de zones restreintes, ce qui ne permet pas de mobiliser un grand nombre de familles.

Stéphane Lautner ne se démonte pas pour autant. Selon lui, “l’intérêt existe” chez les parents. Il en veut pour preuve le doublement des classes de l’afterschool de français d’EFNY à PS 527 en quelques mois (de deux à quatre). Il dit aussi avoir l’oreille des autorités du District. “Il est possible que ce projet n’aboutisse pas à temps pour l’entrée de ma plus jeune fille en Kindergarten. Mais je ne veux rien lâcher. Je le fais pour les générations futures“.

Photos: Gastronomie et paillettes à La Soirée 2019

(Agenda partenaire) Le 8 novembre dernier au San Francisco City Hall avait lieu La Soirée, le principal événement de collecte de fonds de la Chambre de Commerce Franco-Américaine de San Francisco.

Le thème de cette 38ème édition était “Le Grand Bleu” : l’occasion pour les organisateurs de prendre de bonnes résolutions environnementales en limitant l’utilisation du plastique pendant l’événement et en y incluant une discussion sur le thème de l’engagement des entreprises pour lutter contre la pollution plastique.

Pendant la soirée, les invités ont pu déguster le meilleur de la gastronomie locale avec 40 stands à disposition et un dîner VIP pensé par les chefs Roland  Passot (La Folie), Gérald Hirigoyen (Piperade), Nicolas Delaroque (Nico), John Chacon (Vineyard Table), Claude Le Tohic & Yannick Dumonceau (ONE65), Juan Contreras (Atelier Crenn).

C’est ensuite avec une Dance Party et un Fashion Show réalisé par Les Parisiennes et Petits Pas que les invités ont continué la soirée, avec pour certains une belle surprise : grâce à Air France, French Bee et Calparrio, sponsors de l’événement, un grand tirage au sort a été organisé parmi les invités et quelques chanceux sont repartis avec des billets d’avion aller-retour pour Paris ou Tahiti ou encore avec un séjour de 7 nuits au Club Med. Les autres sponsors de l’événement étaient Planisware et LNB Accounting.

Retour en images sur l’événement (photos Octamedia, Violaine Lenoir et Huie Dinwiddie) :

—————-
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Alex Grardel, sur les traces des nouveaux pèlerins américains

Un sac à dos, un téléphone et un compte instagram… Alex Grardel voyage léger, pour mieux aller à la rencontre de ses sujets. Le jeune français a entrepris un voyage, à pied et en stop, dans l’histoire américaine, sur les traces de ce phénomène très américain des “pélerinages”.

L’idée de ce projet, dont il espère notamment faire une série de podcast à son retour, lui est venue en France, lors d’une messe d’hommage à Johnny Hallyday. “Je me suis aperçu qu’on était vraiment dans le pèlerinage”. Le but n’est pas religieux, mais les attributs, la forme et souvent les motivations sont les mêmes, qui fait, dit-il, “partie de l’identité américaine”. En apprenant que plus de 600.000 personnes passent chaque année sur la tombe d’Elvis, ce diplômé de l’ESSEC, passé par la pub (Havas notamment), décide de faire son sac et de partir en stop à travers les Etats-Unis, pour un voyage qui est d’abord un pèlerinage personnel: le film Into The Wild de Sean Penn, qui raconte l’histoire vraie d’un auto-stoppeur, a inspiré, il y a douze ans, son goût pour l’auto-stop. Et c’est lors d’un des ses précédents voyages qu’il a découvert Jack Kerouac, le prophète de tous les routards du monde, auteur de “Sur la route”.

Alex Grardel devant le bus de “Into The Wild”.

Alex Grardel a pris la route il y a trois mois, en Alaska, pour voir le “magic bus” de Into The Wild et achèvera son périple fin décembre à San Francisco à la St John Coltrane Church, où l’on vénère le musicien de jazz. Entre temps, il se sera arrêté sur les tombes d’Abraham Lincoln, Jack Kerouac, Jimi Hendrix. Il aura également fait halte au Mémorial du 11 septembre à New York, sur les lieux de la fusillade de Columbine High School dans le Colorado, au site amérindien de Wounded Knee ou encore à Grace Land avec les fans d’Elvis… L’éclectisme est au coeur du projet: “le lien entre tous ces pèlerins c’est la recherche d’un connection, d’un lien avec les disparus. Même si l’objet n’est pas forcément religieux, leur expérience est très souvent mystique”. Le pélerinage est, dit-il, “avant tout une expérience personnelle, intime, que chacun fait à sa façon. Il y a évidemment une opposition de classe entre les gens que j’ai rencontrés à Paris sur la tombe de Lafayette et les fans de Jimi Hendrix dans l’Etat de Washington”.

Avec un fan de Jimi Hendrix (Crédit: Alex Grardel).

L’auto-stop est un élément essentiel de l’aventure. S’il a pratiquement disparu de la culture américaine (il est même illégal dans le New Jersey, l’Utah et le Nevada), il reste le meilleur moyen de voyager et de faire des rencontres assure l’aventurier, pour lequel “des gens ont souvent fait des détours de plusieurs heures, juste pour moi, parce qu’ils aimaient nos conversations. Le mythe de la route existe toujours, je ne compte plus les gens qui m’ont dit à quel point ils auraient rêvé de faire ce que je fais”. Le hasard de la route fait aussi bien les choses, comme lorsque cette conductrice de l’Utah qui l’a pris à bord s’est avérée être une ancienne partenaire d’affaires de Courtney Love, la femme de Kurt Cobain, alors qu’il était en route vers le mémorial érigé pour l’ancien leader de Nirvana, dans l’Etat de Washington.

A l’issue de son voyage Alex Grardel espère lancer une série de podcasts racontant son périple et nourrie des dizaines d’heures d’interviews glanées lors des rencontres avec ces pèlerins américains. En attendant, vous pouvez le retrouver sur sa page Facebook.

Ciné-concert: Gaumont restoré

Avant la Gaumont, le géant du cinéma, il y avait Léon Gaumont, le fondateur de la compagnie, ingénieur et pionnier du cinéma au début du XXème siècle.
Cette séance de “ciné-concert” présente L’X Noir, un film de 1916, une parodie de Fantomas, entièrement restauré. Le film de 40 minutes déploie toute le savoir-faire de Léon Gaumont, notamment en matière d’éclairage et de cadrage.
Avant L’X Noir, quatre court-métrages montrant des animaux seront diffusés: Dressage d’oiseaux (1910, 4 minutes); La Course à la saucisse (Alice Guy Blaché, 1907, 5 minutes); Onésime aime les bêtes (Jean Durand, 1913, 6 minutes); et Le petit Chantecler (Émile Cohl, 1910, 8 minutes).

Les oeuvres seront montrées accompagnées au piano par Andrew Simpson.

Plus d’informations ici

Huit bûches de Noël originales à savourer à Los Angeles en 2019

La dinde digérée, il est temps de se préoccuper du dessert incontournable de Noël: la bûche! Voici notre sélection d’adresses pour la trouver à Los Angeles.
De l’écorce en bûche chez Lark Cake Shop

La célèbre bûche de Lark Cake Shop.

Chez Lark Cake Shop, une pâtisserie spécialisée dans les gâteaux de mariage, la bûche se distingue par son réalisme. Ce « sponge cake » est fourré de mousse au chocolat, et recouvert d’un glaçage en chocolat pour ressembler à une branche d’arbre. Une seule taille, pour 15 à 20 personnes à 55 dollars, est proposée. A commander 24 heures à l’avance. Lark Cake Shop à Silver Lake: 3337 W Sunset Blvd; et à Pasadena: 1355 N Hill Ave, Pasadena.
De la french touch en bûche chez Frenchifornia

Pour vous rappeler les saveurs des bûches françaises, concoctées notamment par les grand-mères durant les fêtes, rendez-vous chez Frenchifornia à Pasadena, qui propose deux types de bûche traditionnelles pour les fêtes. Elles sont composées d’une génoise, d’une crème au beurre et recouvertes de pâte à sucre et d’amandes torréfiées. Deux parfums sont proposés : vanille et chocolat. Pour la taille, elle est adaptée à vos besoins, et personnalisable avec le pâtissier. Comptez 6,50 dollars par personne. Vous pourrez aller la chercher jusqu’au mardi 24 décembre à 12 pm (à commander trois jours en avance). Frenchifornia, 247 E Colorado Street, Pasadena.
De la dynamite en bûche chez Pitchoun Bakery

Pitchoun Bakery continue de nous surprendre avec ses créations. Mention spéciale pour la Bomb Log (en forme de dynamite de noël), à base d’un biscuit à l’orange, d’une crème au citron et d’une confiture de cerise. En outre, la famille Souliès a imaginé d’autres bûches artisanales : Hazel Log (biscuit à la noisette et mousse au chocolat et praliné), Snowflake Log (biscuit sablé, recouvert d’une mousse vanille-caramel et de poires caramélisées), le Mont Blanc Log (base sablée, crème de marrons et meringue, le tout surmonté de crème fouettée) et la Tradition (à base de génoise et crème au beurre vanille, café, chocolat ou Grand-Marnier). Vous les trouverez en grand format pour 6 à 8 personnes à 37 dollars, excepté la tradition à 32 dollars (aussi disponibles en format individuel). Les commandes ([email protected]) doivent être prises 48 heures à l’avance (le 20 décembre pour les récupérer au réveillon de Noël). Pitchoun à Downtown (545 South Olive street, à Los Angeles) et au Beverly Grove (8500 Beverly Blvd. – #103).
Le Canada en bûche chez Ladurée

Chez Ladurée, une création originale fait son apparition chaque année. Le millésime 2020 est canadien. La bûche signature “Atoca”, créée par le chef Patrice Demers, mêle sirop d’érable, mousse au chocolat, gâteau à la farine de sarrasin et canneberges. Vous la trouverez en boutique dès le 4 décembre (à commander 24 heures en avance). Pour la déguster, il faudra débourser 76 dollars pour une bûche destinée à 6-8 personnes, 9,50 dollars pour une individuelle. Le pâtissier célèbre pour ses macarons propose également d’autres bûches classiques : la Marquise au chocolat-noisette, la Mademoiselle aux fruits, la Favorite à la pistache, la Marie-Antoinette à la rose, ainsi que la Duchesse à la châtaigne, Ladurée au Grove ( 189 The Grove Dr, Los Angeles) et à Beverly Hills (311 N Beverly Dr, Beverly Hills).
Des associations de saveurs en bûches chez Michelina

Le pâtissier de Michelina a concocté quatre types de “yule log” cette année. Les clients pourront savourer la bûche roulée traditionnelle au chocolat ou à la noisette et caramel beurre salé (comptez 75 dollars pour 6 à 8 personnes). Autre option : la bûche garnie de mousse : au chocolat et noisette, ainsi qu’une version à la cerise (avec une mousse mascarpone vanille, de la confiture à la cerise, recouverte de chocolat blanc) à 65 dollars. Pour varier les plaisirs, elles sont également proposées en format individuel pour 10 dollars. Pour épater vos convives avec ces desserts, pensez à les commander avant le vendredi 20 décembre. Michelina, The Original farmer’s market, 6333 W 3rd St, Los Angeles.
Des figurines sur la bûche chez Dominique Ansel

Votre gourmandise sera également aiguisée dans l’antre de Dominique Ansel. Ses chefs pâtissiers ont concocté deux bûches, disponibles pour 48 dollars au Grove : une version mixant chocolat et caramel (gluten free) et une aux châtaignes d’Aubenas (avec une bavaroise à l’orange et la vanille, relevée de whisky). Les modèles sont décorés d’un pingouin et Père Noël en meringue, respectivement. Elles peuvent rendre 6 à 8 personnes heureuses. Mais pour cela, elles doivent être commandées 48 heures à l’avance en ligne ou en personne dans les boulangeries du 14 au 24 décembre. Dominique Ansel, 189 The Grove Dr, Los Angeles.
Du gluten free en bûche chez LA Chouquette

Chez La Chouquette, deux bûches de Noël ont été concoctées (pour 8 à 10 personnes, comptez 70 dollars) : une chocolat-noisette (avec un cœur de praliné et une ganache de chocolat noir) et un mont-blanc au coeur cassis (à base de crème au marrons et de chantilly). Elles seront également disponibles en bûches individuelles au prix de 9 dollars. A réclamer jusqu’au 23 décembre (à commander 48 heures en avance). La Chouquette, 7350 C Melrose Avenue, Los Angeles. LA Chouquette, 7350 Melrose Ave, Los Angeles.
De la pièce montée chez Pascal Patisserie

Chez Pascal Patisseries, à Woodland Hills, vous aurez le choix entre une bûche à la mousse au chocolat et café (prix de 28 à 60 dollars, selon la taille), une aux pommes et à la vanille (prix de 28 à 60 dollars), ainsi qu’un Croquembouche Tower Noel (une pièce montée, prix sur demande). Pour pouvoir les déguster, il faudra les commander au moins 4 jours avant le réveillon de Noël. Pascal Patisserie, 21040 A Victory Blvd, Woodland Hills.

Heroes Motors, l'empire de Serge Bueno, s'étend désormais jusqu'à Malibu

L’atelier de Serge Bueno sur La Brea avenue a fait le tour des journaux télévisés, fin 2017. C’est dans son antre que Johnny Hallyday aimait s’arrêter boire un verre, discuter de moto. Mais Heroes Motors est bien plus qu’un lieu de pèlerinage pour les fans du taulier. Le garage, ouvert depuis 2015, est une destination pour les passionnés et collectionneurs de deux-roues. Et Serge Bueno a voulu aller plus loin.
Vestes en cuir, casques, gants, sculptures, livres en édition limitée ou montre : le Parisien a imaginé et conçu une gamme de produits dérivés “made in USA” pour offrir un “lifestyle” aux amateurs de ses bécanes. Après avoir ouvert une boutique sur Melrose, il développe un peu plus son univers avec une seconde adresse de vente à Malibu, inaugurée le samedi 7 décembre.
Vous ne trouverez pas cet artiste de la bécane dans ses magasins, “les vitrines” de sa marque. Il préfère passer son temps les mains dans le cambouis dans l’atelier, sa “galerie d’art”, à restaurer une Majestic datant de 1929 arrivée en pièces détachées. Un travail d’orfèvre qui dure jusqu’à 400 heures, pendant lesquelles il répare, révise les boîtes de vitesse, refait les chromes, la peinture… “Notre esprit, c’est de retaper les motos de manière authentique, dans le respect du produit tout en offrant des performances optimales”, affirme ce perfectionniste, qui réalise également des “customs” à la demande.
Des modèles qu’il vend entre $15.000 et $500.000 : “la rareté fait le prix, tout comme la restauration”, défend-il. Et le marché américain fut une vraie aubaine pour le restaurateur de grosses cylindrées : “il y a beaucoup plus de collectionneurs qu’en France, et une vraie culture de la moto ancienne”, note cet autodidacte qui les considère comme des “morceaux d’histoire”. Sur un des murs du garage, on peut notamment admirer “une pièce de musée, une Peugeot de 1904”. “C’est une addiction, dès qu’on commence à en acheter, on ne s’arrête plus.” A partir de son réseau en France et en Europe, forgé durant plus de 20 années, il exporte les motos vintages à retaper. Heroes Motors a ainsi trouvé sa place à Los Angeles, et assis sa réputation au travers des salons professionnels (triomphant notamment au concours d’élégance de Beverly Hills).
Son talent artistique ne s’est pas toujours exprimé par ce biais-là. Diplômé de l’Ecole Nationale des Beaux-Arts à Paris, ce dessinateur s’orientait vers une carrière d’architecte, touchant à la photographie, la peinture et la décoration intérieure. En lieu et place de cela, il va diriger plusieurs agences de communication pendant une dizaine d’années, collectionnant en parallèle des motos venues du monde entier. Une passion qui a débuté quand Serge Bueno, à 20 ans, a acheté une vieille Peugeot pour la retaper. Outre l’esthétisme, il admire la performance des deux-roues, ayant concouru lors de rallyes de motocross pendant plus de 10 ans en Tunisie et au Maroc, jusqu’à une chute en 2011.
Faisant le pari fou (et très californien) de vivre de sa passion, il a décidé il y a six ans de changer radicalement de vie en vendant son agence, et en s’installant à Los Angeles, “un endroit idéal pour rouler”. Dès la première année, le quinquagénaire réussit à vendre sa collection personnelle de quarante bécanes. Un investissement nécessaire pour monter son garage, puis ses boutiques. Depuis, les collectionneurs s’arrachent ses motos haut-de-gamme, comme les commerçants qui s’en servent pour “habiller leurs boutiques”. Et Serge Bueno peut continuer à exprimer son art dans son atelier, et dans les collections de vêtements et accessoires qu’il crée pour Heroes Motors.

Heroes Motors, l’empire de Serge Bueno, s’étend désormais jusqu’à Malibu

L’atelier de Serge Bueno sur La Brea avenue a fait le tour des journaux télévisés, fin 2017. C’est dans son antre que Johnny Hallyday aimait s’arrêter boire un verre, discuter de moto. Mais Heroes Motors est bien plus qu’un lieu de pèlerinage pour les fans du taulier. Le garage, ouvert depuis 2015, est une destination pour les passionnés et collectionneurs de deux-roues. Et Serge Bueno a voulu aller plus loin.

Vestes en cuir, casques, gants, sculptures, livres en édition limitée ou montre : le Parisien a imaginé et conçu une gamme de produits dérivés “made in USA” pour offrir un “lifestyle” aux amateurs de ses bécanes. Après avoir ouvert une boutique sur Melrose, il développe un peu plus son univers avec une seconde adresse de vente à Malibu, inaugurée le samedi 7 décembre.

Vous ne trouverez pas cet artiste de la bécane dans ses magasins, “les vitrines” de sa marque. Il préfère passer son temps les mains dans le cambouis dans l’atelier, sa “galerie d’art”, à restaurer une Majestic datant de 1929 arrivée en pièces détachées. Un travail d’orfèvre qui dure jusqu’à 400 heures, pendant lesquelles il répare, révise les boîtes de vitesse, refait les chromes, la peinture… “Notre esprit, c’est de retaper les motos de manière authentique, dans le respect du produit tout en offrant des performances optimales”, affirme ce perfectionniste, qui réalise également des “customs” à la demande.

Des modèles qu’il vend entre $15.000 et $500.000 : “la rareté fait le prix, tout comme la restauration”, défend-il. Et le marché américain fut une vraie aubaine pour le restaurateur de grosses cylindrées : “il y a beaucoup plus de collectionneurs qu’en France, et une vraie culture de la moto ancienne”, note cet autodidacte qui les considère comme des “morceaux d’histoire”. Sur un des murs du garage, on peut notamment admirer “une pièce de musée, une Peugeot de 1904”. “C’est une addiction, dès qu’on commence à en acheter, on ne s’arrête plus.” A partir de son réseau en France et en Europe, forgé durant plus de 20 années, il exporte les motos vintages à retaper. Heroes Motors a ainsi trouvé sa place à Los Angeles, et assis sa réputation au travers des salons professionnels (triomphant notamment au concours d’élégance de Beverly Hills).

Son talent artistique ne s’est pas toujours exprimé par ce biais-là. Diplômé de l’Ecole Nationale des Beaux-Arts à Paris, ce dessinateur s’orientait vers une carrière d’architecte, touchant à la photographie, la peinture et la décoration intérieure. En lieu et place de cela, il va diriger plusieurs agences de communication pendant une dizaine d’années, collectionnant en parallèle des motos venues du monde entier. Une passion qui a débuté quand Serge Bueno, à 20 ans, a acheté une vieille Peugeot pour la retaper. Outre l’esthétisme, il admire la performance des deux-roues, ayant concouru lors de rallyes de motocross pendant plus de 10 ans en Tunisie et au Maroc, jusqu’à une chute en 2011.

Faisant le pari fou (et très californien) de vivre de sa passion, il a décidé il y a six ans de changer radicalement de vie en vendant son agence, et en s’installant à Los Angeles, “un endroit idéal pour rouler”. Dès la première année, le quinquagénaire réussit à vendre sa collection personnelle de quarante bécanes. Un investissement nécessaire pour monter son garage, puis ses boutiques. Depuis, les collectionneurs s’arrachent ses motos haut-de-gamme, comme les commerçants qui s’en servent pour “habiller leurs boutiques”. Et Serge Bueno peut continuer à exprimer son art dans son atelier, et dans les collections de vêtements et accessoires qu’il crée pour Heroes Motors.

Finissez l'année en beauté au District

(Article partenaire) Accueillez la nouvelle année en beauté ce 31 décembre ! Le District met les petits plats dans les grands pour vous proposer une soirée somptueuse.
Profitez d’un buffet de fromage, charcuterie, ou encore fruits de mer ; les amateurs de viande ne seront pas oubliés avec un coin rôtisserie. En dessert, une sélection de pâtisseries sera proposée par Le District. Côté boissons, profitez d’un open bar et d’un toast au champagne Moët & Chandon à minuit. Enfin, pour assurer l’ambiance, le DJ Sasha Barbot vous fera danser toute la nuit.
Le marché français Le District est situé à Brookfield Place, à quelques pas du World Trade Center et de ses nombreuses lignes de métro : idéal pour une soirée festive sans avoir à conduire dans les rues bondées de Manhattan.
Réservez vos places pour la soirée ici.
—————-
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Finissez l’année en beauté au District

(Article partenaire) Accueillez la nouvelle année en beauté ce 31 décembre ! Le District met les petits plats dans les grands pour vous proposer une soirée somptueuse.

Profitez d’un buffet de fromage, charcuterie, ou encore fruits de mer ; les amateurs de viande ne seront pas oubliés avec un coin rôtisserie. En dessert, une sélection de pâtisseries sera proposée par Le District. Côté boissons, profitez d’un open bar et d’un toast au champagne Moët & Chandon à minuit. Enfin, pour assurer l’ambiance, le DJ Sasha Barbot vous fera danser toute la nuit.

Le marché français Le District est situé à Brookfield Place, à quelques pas du World Trade Center et de ses nombreuses lignes de métro : idéal pour une soirée festive sans avoir à conduire dans les rues bondées de Manhattan.

Réservez vos places pour la soirée ici.

—————-
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Où trouver sa bûche de Noël à Miami ?

Elle est la star des fins de repas des fêtes. Voici une sélection non-exhaustive d’adresses à Miami et sa région où trône la traditionnelle bûche de Noël, yule log comme l’appellent les Américains.
Parmi les petits nouveaux, le Villeurbannais Matthieu Bettant et sa femme Miriam, qui ont récemment ouvert Bettant Bakery à South Beach, proposent trois parfums de bûches : au chocolat, au praliné et aux fruits exotiques. Chaque dessert pouvant servir 6 personnes coûte 35 dollars. La bûchette individuelle est facturée 5 dollars. 1043 Washington Ave, Miami Beach – (305) 673-5522
Meilleur ouvrier de France, le chef pâtissier Georges Berger qui est à la tête de Mirabelle à Downtown Miami concocte des bûches qui se déclinent en deux saveurs différentes : la « Chocolate Decadent » qui se compose d’une mousse au chocolat agrémentée de vanille bourbon et de rhum sur une dacquoise pralinée, et la « Chestnut and Blackcurrant » garnie d’une mousse aux marrons et aux cassis sur un biscuit à la vanille. Chaque création nourrissant de 8 à 10 personnes coûte 38 dollars. 114 SE 1st St, Miami – (786) 440-6561
Corine Lefebvre et son mari Joël, qui ont récemment déménagé leur enseigne Buena Vista Deli dans le quartier de Midtown à Miami, raviront les papilles des gourmands grâce à leurs quatre parfums de bûches : trois créations au chocolat se déclinant en différentes saveurs – caramel, passion et framboise – ainsi qu’une recette à la crème pâtissière et chantilly sur une base de brownie et crémeux au chocolat. Comptez 38 dollars pour 6 personnes et 62 dollars pour 12 convives. 3252 NE 1st Ave Suite 107, Miami – (305) 576 3945
L’Atelier Monnier, qui dispose de quatre points de vente, mise sur trois bûches aux goûts variés. La « Lait Crunchy » composée d’une mousse au chocolat au lait et crème de praline sur une dacquoise pralinée, la « Noir Vanille » garnie d’une mousse au chocolat noir et crème de vanille sur une dacquoise aux noix de pécan, et la « Rose de Noël » à la mousse de vanille et mascarpone agrémentée d’un crémeux de compote de fruits rouges sur une dacquoise aux framboises et fraises. Prévoyez 44,95 dollars pour ces desserts qui peuvent servir 6 à 9 convives. Plusieurs adresses : Pinecrest, Brickell, South Beach et Bird Road – (305) 456-5015
À Miami Beach, Brigitte Cavallero et son fils Bastien, épaulés par le chef pâtissier Stéphane Merlat, proposent aux becs sucrés trois parfums de bûches dans leur enseigne Maison Valentine : une première aux fruits exotiques et coulis de framboises sur un biscuit à la pistache, une autre à la mousse au chocolat noir et crème brûlée garnie de caramel, et enfin une au chocolat au lait et crémeux praliné sur un biscuit croquant aux noisettes. Le dessert pour 6 personnes coûte 48 dollars et la part individuelle est affichée à 8 dollars. 1112 15th St, Miami Beach – (786) 535-1432
Comment ne pas céder à la tentation face aux bûches de Paul sur Lincoln Road à Miami Beach. L’établissement met en vente pas moins de sept créations : la « Bûche Chalet » à la mousse au chocolat et aux noisettes sur un gâteau éponge aux amandes, des bûches roulées au citron meringué ou au chocolat, d’autres aux fruits rouges, au chocolat praliné, une recette façon charlotte aux fruits frais, ainsi qu’une couronne au chocolat et praliné. Les prix varient de 24 à 39 dollars selon le dessert disponible en deux tailles : pour 4 ou 8 personnes. Il est aussi possible d’acheter des parts individuelles vendues entre 5 et 6 dollars. 450 Lincoln Road, Miami Beach – (305) 531-1200
Toujours sur Lincoln Road, la boulangerie-pâtisserie Les Moulins La Fayette met en vitrine quatre modèles de bûches : une recette aux trois chocolats, une autre inspirée du cheesecake aux fruits rouges, une bûche façon Saint-Honoré à la fraise, et celle au chocolat et caramel. Prévoyez 44,95 dollars pour 8 convives et la bûchette individuelle est facturée 6,50 dollars. 211 Lincoln Rd, Miami Beach – (786) 773-1400
Enfin, à La Bonne Adresse à Hollywood, le chef pâtissier Julien Van Steenwinckel et sa soeur Émilie, chef chocolatière, renouvellent leurs classiques et proposent aux gourmands cinq recettes à base de mousse façon entremets : chocolat praliné et framboise, citron meringué, noisettes et praliné, trois chocolats, ou encore passion, mangue et noix de coco. Chaque modèle, pour 8 personnes, coûte 60 dollars. Il est également possible d’acheter des parts individuelles. 2003 Harrison St, Hollywood – (954) 927-6458