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5 raisons de choisir le Lycée Français de San Francisco (LFSF)

(Article partenaire)

1. Une référence en terme d’éducation bilingue

Une éducation multilingue de grande qualité, c’est la mission du Lycée Français de San Francisco (LFSF). Depuis plus de 50 ans, LFSF ouvre la marche en matière d’éducation multilingue dans la baie de San Francisco, et est la seule école offrant un enseignement véritablement multilingue et multiculturel, avec une section internationale du primaire au secondaire. 
L’enseignement bilingue dispensé est constamment inspiré des dernières recherches linguistiques et pédagogiques. Le LFSF est en contact régulier avec le laboratoire canadien de Dr. Ellen Bialystok, Lifespan Cognitive Development, à York University, de même que le centre de recherche “Dynamique du langage in situ” de l’Université de Rouen. Le directeur adjoint de ce groupe, Mehmet-Ali Akinci, faisait en octobre dernier une présentation aux enseignants du LFSF sur le bilinguisme et l’acquisition du langage chez les enfants bilingues.  

2. Un parcours individualisé et résolument international

La richesse et la rigueur du programme proposé au LFSF permet de former les enfants d’aujourd’hui à devenir les acteurs responsables et avertis de demain. Parfaitement bilingues en français comme en anglais, nos élèves parlent généralement une ou deux autres langues et sur les trois campus de l’établissement, quelques 50 nationalités et 36 langues sont représentées !

Les élèves peuvent bénéficier d’un parcours personnalisé, jalonné d’expériences enrichissantes et formatrices représentant des occasions uniques de s’ouvrir sur le monde et sur la vie active. 
Parmi elles, le Start’up Lycée organisé en partenariat avec la HULT international Business School, met chaque année nos entrepreneurs en herbe en situation de création d’entreprise, guidés et entourés par des professionnels de la Silicon Valley.
Un partenariat avec le directeur du département d’intelligence artificielle de l’université de Stanford, ou avec des entreprise de pointe, leur permet de comprendre l’application pratique de leurs apprentissages. 
Des voyages à but humanitaire en Tanzanie, au Pérou, ou au Vietnam, permettent par le biais d’une action précise d’apporter une aide directe aux populations locales avec lesquelles les élèves sont amenés à vivre pendant leur séjour.

3. Une offre éducative complète : dès l’âge de 2 ans et jusqu’à la Terminale

Pour optimiser la mise en place du bilinguisme, l’immersion linguistique doit se faire tôt. Au LFSF elle commence au plus jeune âge avec La Petite Ecole qui, dès l’âge de 2 ans, accueille les tout petits.  Ce programme, offert sur le campus de Sausalito, est la préparation idéale à la Maternelle et a pour mission d’inspirer les enfants, de susciter en eux le désir d’apprendre tout en leur permettant d’affirmer et de développer leur personnalité.
Dès la Petite Ecole, et en maternelle, les enfants jouent et apprennent ensemble, socialisent et interagissent tout en s’immergeant dans la langue française. Ils explorent la langue orale et de multiples formes de communication : langage corporel, comédie et expression artistique. Ils développent leur motricité globale et fine. Ils apprennent à raisonner et à organiser leurs pensées, tout en explorant le monde qui les entoure. 
Naturellement, les élèves suivent le parcours proposé par le LFSF, forgeant au cours des années, des liens d’amitié durables et développant un fort sentiment d’appartenance. Sur la promotion 2019 des jeunes bacheliers, près de 60% se connaissaient depuis la maternelle !

4. Un réseau international qui s’adapte à votre vie de famille 

LFSF est aussi la seule école homologuée et conventionnée de la côte ouest des États-Unis. Qu’est ce que cela veut dire ? Au-delà de la garantie de qualité que cette double affiliation représente, cela signifie aussi que LFSF fait partie du vaste réseau des quelques 500 établissements français établis dans les grandes villes mondiales. Par conséquent, où que votre vie professionnelle vous mène, ce réseau vous offre la possibilité d’assurer une continuité dans l’éducation de vos enfants.

5. Une qualité et un savoir-faire qui ont fait leurs preuves

Le programme signature du LFSF, stratégiquement axé sur les langues et les cultures qui y sont associées, forme naturellement des jeunes adultes à dimension internationale. Les bénéfices de l’éducation unique qu’ils reçoivent ainsi que la qualité du suivi dont ils bénéficient leur permet de réussir de façon exceptionnelle aux examens tels que le baccalauréat français.. En 2019 encore, le LFSF fut fier d’afficher un taux de réussite de 100% avec 84% de mentions et 30% de mentions TB. Il est important de souligner que ces résultats exceptionnels ne sont pas seulement le fait d’enfants français. La communauté du LFSF est très diverse.
Les élèves du LFSF peuvent mettre en avant un profil intéressant, unique et  particulièrement séduisant pour les universités internationales les plus prestigieuses. 
L’Europe, et la France en particuliers, sont des destinations importantes, en plus de l’Amérique du Nord (USA et Canada). Afin de mieux connaître et comprendre les options post-bac en France, LFSF organise un Salon Sup France 2019 , le 14 décembre prochain, pour permettre aux élèves et aux parents de se familiariser avec la myriade d’options offertes aux étudiants qui choisissent d’explorer les études post-bac en France et notamment trouver des réponses aux questions concernant le choix des programmes d’études, des écoles adaptées à chaque voie et bien plus encore.
Apprenez-en plus sur LFSF en consultant leur site web. Vous pouvez également les contacter directement ici ou encore déposer une candidature via leur plateforme dédiée.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Un nouveau gâteau français à Austin

« Comment offrir au client ce qu’il veut quand il veut ? », c’est à partir de cette réflexion que Antoine Chassonnery et Audrey Sigoure ont décidé de lancer leur nouveau concept de pâtisserie française sous le nom de FoliePop’s.
Leur première boutique ouvrira à Austin au printemps 2020, dans le centre commercial de Hill Country Galleria. FoliePop’s est un gâteau à trois composants : la Foliebase en forme de nid agrémenté d’une crème pâtissière et surmonté d’une boule en chocolat rempli d’un coulis que l’on craque pour mélanger tous les parfums. « Nous voulions que le client soit aussi le chef, il choisit parmi 8 options de bases, 8 options de crèmes et 8 options de boules de coulis. Au total, le consommateur à la possibilité de créer 512 combinaisons en taille originale ou mini », explique Audrey Sigoure, co-fondatrice de la société. Une version salée de cette gourmandise existe aussi sur le même principe  mais avec seulement 3 options de bases, 3 crèmes (bolognaise, tartiflette, légumes), et 3 fromages à gratiner. Chaque consommateur aura la possibilité de confectionner son propre gâteau, selon ses goûts et ses envies. L’idée est de permettre à chacun de découvrir de nouvelles saveurs et de faire plaisir.
Séduits par la ville d’Austin et son dynamisme, lors d’un voyage familial, les deux français décident de sauter le pas et de quitter Dubaï où ils travaillaient tous deux pour Fauchon, célèbre marque de gastronomie de luxe française. « Nous pensons qu’une pâtisserie de qualité au travers d’un produit unique et personnalisable correspond pleinement à l’évolution du mode de consommation aux États-Unis», commente Antoine qui en tant que chef travaille déjà sur de nouveaux arômes. « C’est un gâteau qui se réinvente tous les jours à l’infini. Aussi, nous faciliterons les choix avec des recommandations et des suggestions tous les mois », renchérit ce dernier. En parallèle, une activité traiteur-pâtissier de luxe viendra compléter cette offre.
A moyen terme, le couple envisage d’ouvrir une dizaine de magasins satellites à Austin et d’étendre le nombre de boutiques pour FoliePop’s au Texas, peut-être en franchise. Plusieurs hôtels et restaurants se sont, par ailleurs, manifestés pour établir des collaborations dans un futur proche. Décidés à révolutionner la pâtisserie française, ils envisagent à très long terme d’ouvrir un centre de formation, voire de vendre leurs produits chez les distributeurs.

Patrick Timsit joue "Le Livre de ma Mère" au Theatre Raymond Kabbaz

Après avoir enthousiasmé le public américain avec son spectacle “On ne peut pas rire de tout”, l’humoriste français Patrick Timsit revient à Los Angeles. Cette fois, il présente “Le Livre de ma Mère” (“Book of My Mother”), dirigé par Dominique Pitoiset, qui sera joué en français sur la scène du Theatre Raymond Kabbaz le vendredi 31 janvier et samedi 1er février 2020.
Toujours corrosif, parfois grinçant, Patrick Timsit aime le comique de situation. Avec ce nouveau spectacle, adaptation de l’œuvre d’Albert Cohen parue en 1954, il change de registre. Il incarne seul en scène un chant du deuil, celui d’un fils meurtri par l’absence de sa mère qui exprime ses remords, ses regrets et sa gratitude. Dans une pièce meublée d’un grand bureau de travail que surplombe un écran de projection, l’humoriste propose une interprétation sobre, toute en émotion contenue.

Avec une première boutique à Beverly Hills, IKKS part à la conquête de l'ouest

Aux prestigieux noms du luxe français (Chanel, Louis Vuitton ou encore Cartier) qui ont tous pignon sur rue au coeur de Rodeo Drive à Beverly Hills, il faut désormais en ajouter un nettement moins connu aux Etats-Unis: IKKS Paris. La boutique de presque 100 m2 offre depuis début novembre les collections junior -destinées aux enfants de 3 mois à 18 ans- de la marque française au style rock et sport-chic.
Derrière cette ouverture, la première sur le territoire américain, se trouve un couple de Français, Joyce Lopuszanski et Matthieu Lecuyer. “Après la naissance de notre fille, je me suis rendu compte qu’aux Etats-Unis, il n’y a que des vêtements bas de gamme pour les enfants ou trop classiques et chers”, résume le Bordelais de 39 ans.
Ils ont alors le projet d’ouvrir un concept store dédié aux enfants, “avec des vêtements à la vente et un espace café avec un bar à jus”, se remémore l’ancien pilote professionnel qui a couru en tant que membre de l’équipe Oreca, Peugeot Sport ou Lamborghini, avant de faire une pause dans sa carrière. Il contacte alors différentes marques de prêt-à-porter françaises pour les convaincre de participer à ce projet. Et finalement, IKKS -disposant de nouveaux investisseurs- revient vers eux pour leur proposer une autre idée : développer le réseau de la marque fondée en 1987 par Gérard Le Goff aux Etats-Unis. Amateur de challenges et d’aventure, le couple prend la master-franchise (contrat conférant l’exclusivité du développement en franchise d’une enseigne) en investissant leurs fonds propres. “Même si la marque est très connue à l’international, avec 3600 boutiques dans 45 pays, il y a beaucoup de travail à faire aux Etats-Unis“, assure Matthieu Lecuyer qui a déjà lancé une trentaine d’entreprises, allant des voitures de collection au médical. Mais il est convaincu par le produit : “c’est la seule marque pour enfants créée pour eux en utilisant les codes de l’adulte”.
Passés par Miami, New York et Vegas (où ils vivent), les Français ont hésité concernant la localisation de leur première installation. Le choix de Beverly Hills s’est imposé, pour le Bordelais expatrié aux Etats-Unis depuis 15 ans, qui le considère comme “le plus gros marché du monde après l’Asie”. New York leur semblait alors trop prématuré : “Beaucoup de marques ont échoué. Il faut s’y installer quand le réseau est déjà solide.
Pour un développement vertueux, le couple de Français veut multiplier les opérations marketing, que ce soient des castings, des événements VIP, des défilés avec les clients, des levées de fonds… “Il faut faire le show aux Etats-Unis. On vise notamment les célébrités qui ont des enfants”, aspire Joyce Lopuszanski, qui prend pour exemple la réussite de Christian Audigier, “le roi du marketing”. Ancienne danseuse pour le Crazy Horse à Paris et Las Vegas, elle a une certaine expérience du commerce, après un passage par les jeans Rockstar.
Leur objectif pour IKKS : ouvrir deux ou trois magasins en leur nom, puis livrer des magasins clés en main. Avant cela, ils prévoient de passer 6 mois dans la boutique de Rodeo Drive, histoire de s’assurer de son bon fonctionnement. Si la marque séduit, ils aimeraient par la suite ouvrir une boutique dans le “fashion island” à Newport Beach, plutôt que dans un des “malls” hors de prix de la ville. “Nous refusons de nous précipiter, on préfère qu’il y ait d’abord un attachement des clients à la marque“, argue l’ancien pilote, qui veut également créer une formation IKKS pour ses équipes futures et pouvoir importer à terme les collections pour adultes. Avant cela, ils prévoient de mettre en place la vente en ligne aux Etats-Unis, qui sera “une simple question de jours”.

À Harlem, une visite sportive pour François Hollande

Quelque chose se passe ?“, demande un jeune garçon dans le gymnase de l’école Dream à East Harlem. Il a raison d’être surpris. François Hollande vient de débarquer avec un cortège d’une bonne trentaine d’invités, de journalistes et photographes, alors qu’une quarantaine d’élèves balancent des pochons dans des cerceaux aux quatre coins de la salle tels des lanceurs de poids.
L’ancien chef de l’Etat est venu participer, lundi 18 novembre, à la signature d’un nouveau partenariat entre Dream et l’association française Sport dans la Ville, lauréate 2018 d’une bourse de La France s’engage, fondation lancée en 2014 par François Hollande pour soutenir des projets solidaires. Les deux groupes, mis en relation en 2004 sous l’impulsion d’un mécène (l’entreprise de jeux vidéos Atari), cherchent à favoriser l’insertion de jeunes défavorisés à travers le sport.
Dream est “une innovation autour du sport. On a tous à apprendre des autres. Aux Etats-Unis, pays très libéral avec un président que je n’ai pas besoin de présenter, on pourrait se dire: qu’est-ce qui se fait ? Qu’est-ce qui ne se fait plus ? Il y a des innovation sociales d’une très grande qualité qui peuvent inspirer notre pays“, indique l’ex-président, qui est reparti avec un maillot de basket aux couleurs de l’école.
Avec sa partenaire l’actrice Julie Gayet, le PDG de Carrefour (et soutien de Sport dans la Ville) Alexandre Bompard et le nouvel ambassadeur de France aux Etats-Unis Philippe Etienne, il a fait une visite guidée du siège de Dream, une association fondée en 1991 qui aide 2 500 jeunes à Newark, East Harlem et le South Bronx au travers de programmes extra-scolaires, de camps d’été et de “charter schools” (écoles publiques à gestion privée). L’association, qui a connu une forte croissance ces dernières années, vient d’ouvrir une nouvelle “charter school” dans le South Bronx, quartier pauvre du Bronx.
François Hollande s’est ensuite livré, en anglais et en français (avec l’assistance d’un traducteur) à une séance de questions-réponses avec un groupe d’élèves auxquels il a notamment rappelé qu'”être Américain, c’est être responsable du reste du monde“. Ils l’ont interrogé pèle-mêle sur le leadership, l’importance du sport en France, la colonisation, la possibilité d’une compensation financière française pour l’esclavage en Haïti. “Merci pour l’invitation!“, a plaisanté l’ex-élu, visiblement surpris par la teneur des questions. Une étudiante lui a demandé s’il se considérait comme communiste, déclenchant l’hilarité de la salle.
Mais les deux stars de l’événement étaient bien Sport dans la Ville et Dream. Chaque été depuis quinze ans, “entre vingt et trente jeunes” de l’association française créée en 1998 viennent faire du volontariat au sein de Dream à New York tandis qu’une “vingtaine” de jeunes de Dream se rendent en France, précise Philippe Oddou, fondateur et président de Sport dans la Ville, qui s’occupe de 8 000 jeunes répartis dans 45 quartiers prioritaires en France. “Ce sont des programmes qui changent la vie de nos jeunes. Il y a un avant et un après. Ils quittent pour la première fois leur quartier. Du jour au lendemain, ils sont projetés dans une réalité différente, qui leur donne de la force“, poursuit Philippe Oddou.
Le nouveau partenariat signé lundi pour une durée de cinq ans permet d’accroitre le nombre de jeunes participant aux programmes d’échanges, de renforcer les partenariats entre les deux associations et le secteur privé et de favoriser les échanges de bonnes pratiques. Gol de Letra, l’association de réinsertion de l’ex-footballeur Raì, participe aussi à ce nouveau partenariat, mais la star du ballon rond n’a pas pu être présente à l’événement faute d’ESTA.

Miami Art Week 2019 : suivez le guide

La grand-messe de l’art contemporain revient à Miami. Rendez-vous incontournable des collectionneurs aguerris et amateurs venant des quatre coins du monde, la Miami Art Week se tiendra du lundi 2 au dimanche 8 décembre avec, comme point d’orgue, l’édition 2019 d’Art Basel Miami Beach sans oublier les différentes foires et expositions satellites. 
Le vaisseau amiral
Pour sa dix-huitième édition, Art Basel Miami Beach recevra du jeudi 5 au dimanche 8 décembre près de 200 galeries internationales triées sur le volet au Miami Beach Convention Center dont l’enseigne parisienne Applicat-Prazan qui exposera notamment les oeuvres de grands peintres français comme Jean Dubuffet et Pierre Soulages. Cette foire, qui attire chaque année plus de 70.000 visiteurs, inaugurera par ailleurs « Meridians » une nouvelle section dédiée aux oeuvres surdimensionnées. 1901 Convention Center Dr, Miami Beach – Infos ici
Les satellites
Plus ancienne foire d’art contemporain de Miami, Art Miami célébrera cette année son trentième anniversaire et accueillera plus d’une centaine de galeristes venus du monde entier du mardi 3 au dimanche 8 décembre au Art Miami Pavilion. Parmi eux, deux Français dont les galeries sont implantées à Wynwood : Lélia Mordoch, qui viendra présenter les oeuvres de Julio Le Parc, un artiste argentin explorant toutes les facettes de l’art cinétique, ainsi que Fabien Castanier, qui exposera notamment les oeuvres de Speedy Graphito, l’un des pionniers du mouvement street art en France. NE 14th Street & Biscayne Bay, Miami – Infos ici
Située à proximité, la foire CONTEXT, petite soeur d’Art Miami, mettra en lumière de nombreux artistes internationaux du mardi 3 au dimanche 8 décembre. La galeriste française Emmanuelle Grelier exposera notamment les oeuvres de deux françaises : Anne de Villeméjane et Laurence Perratzi qui abordent les questions de masculinité et féminité. NE 14th Street & Biscayne Bay, Miami – Infos ici
Réputée pour promouvoir les travaux les plus innovants, SCOPE Miami Beach rassemblera cette année plus de 130 galeries venues de Paris, New York ou encore Berlin du mardi 3 au dimanche 8 décembre au Scope Pavilion situé sur la plage d’Ocean Drive. L’artiste peintre française Laurence de Valmy, représentée par la galerie londonienne Kahn Gallery, exposera les oeuvres de sa série intitulée « Embrace », toutes inspirées de l’histoire de l’étreinte traitée par des artistes de renom comme Auguste Rodin et Gustav Klimt. 801 Ocean Dr, Miami Beach – Infos ici
Le marathon culturel passera également par Aqua Art Miami qui investira comme chaque année l’hôtel éponyme au style Art déco sur Collins Avenue. Transformé pour l’occasion en salle d’exposition, l’établissement permettra aux visiteurs de déambuler de chambre en chambre afin d’apprécier les oeuvres d’une cinquantaine d’artistes en milieu de carrière. Présente pour la troisième année consécutive, la Française Carole Jury, représentée par la galerie italienne Alessandro Berni Gallery, présentera les peintures à l’huile de sa dernière série intitulée « Flying Kite ». 1530 Collins Ave, Miami Beach – Infos ici
Les amoureux d’objets d’art décoratifs aux lignes futuristes ne manqueront pas de se rendre à Design Miami où de nombreux galeristes français comme Philippe Gravier, Patrick Seguin ou encore Didier Krzentowski feront également escale du mardi 3 au dimanche 8 décembre à proximité du Miami Convention Center de Miami Beach. 1850 Convention Center Dr, Miami Beach – Infos ici
Propulsant les artistes locaux et internationaux émergents, Pulse, qui se tiendra du jeudi 5 au dimanche 8 décembre à l’Indian Beach Park de Miami Beach, permettra notamment de se laisser subjuguer par les œuvres du Lyonnais Nicolas Pegon qui gravitent principalement autour de l’érotisme et la bestialité. 4601 Collins Ave, Miami Beach – Infos ici
Les expositions
Les inconditionnels du bestiaire en résine colorée ou en métal évidé de Richard Orlinski vont être ravis. En partenariat avec la galerie Markowicz Fine Art, implantée à Design District, le sculpteur parisien exposera certaines pièces de sa collection « Born Wild » au Mondrian South Beach jusqu’au lundi 27 janvier. Le vernissage de cette exposition aura lieu le mercredi 4 décembre à 7pm. 1100 West Ave, Miami Beach – Infos ici
À Wynwood, l’Art Center accueillera de nombreux artistes internationaux du jeudi 5 au dimanche 15 décembre dont la Française Bénédicte Blanc-Fontenille qui exposera certaines pièces de sa série intitulée « Permanent Stream Excerpt » mêlant photographie et peinture à l’huile. Ces oeuvres réalisées sur des plaques d’aluminium s’inscrivent dans la continuité de ses travaux effectués autour de ses peintures flottantes. 151 NW 36 St, Miami – Infos ici
Dans le quartier de Design District, la marque française de prêt-à-porter Zadig & Voltaire présentera le vendredi 6 décembre quelques pièces de sa dernière collection, fruit d’une collaboration exclusive avec l’artiste vénézuélienne Jormi Graterol. 102 NE 40th St, Miami – Infos ici
Le Miami Photo Center, l’association du Français Frédéric Friedmann, organise la seconde édition du concours « Vision Excellence Awards » qui récompensera les travaux photographiques de passionnés le dimanche 1er décembre à 6pm au Miami Limited Edition. Les vainqueurs des quatre catégories verront ensuite leurs clichés exposés à la Miami International University of Art & Design. 2214 N Miami Ave #101, Miami – Infos ici
L’artiste française pluridisciplinaire Anna Alexis Michel présentera certaines pièces de sa série intitulée « The Meringue Project », un projet de photographie conceptuelle autour d’une meringue figurant le sexe féminin. Ces oeuvres, qui seront exposées le jeudi 5 décembre au Gran Paraiso dans le quartier d’Edgewater à l’occasion du cinquième anniversaire de l’agence immobilière Viac Luxury Real Estate, seront à découvrir parmi celles d’autres artistes français comme le peintre Harry Guzzi ou encore le photographe Michel Tessier. 480 NE 31st St, Miami – Infos ici
Enfin, les amateurs de graffitis pourront en apprendre davantage sur le développement de cet art de rue grâce au Museum of Graffiti qui ouvrira ses portes le jeudi 5 décembre en plein coeur de Wynwood, le quartier du street art de Miami. L’établissement mettra notamment en lumière les oeuvres de spécialistes de la discipline comme les New-yorkais Sonic et Dondi White ou encore le Franco-Américain JonOne. 299 NW 25th Street, Miami – Infos ici

French Ecolo, Ep.2: Waterdiam, la "super eau" d'Anthony Ginter à Miami

Face aux rapports alarmistes sur l’état de la planète, ces Français des Etats-Unis ont décidé de se retrousser les manches. Ils sont entrepreneurs, militants, scientifiques ou encore explorateurs: French Morning leur donne la parole dans son podcast “French Ecolo”.
Aujourd’hui, direction l’Université de Miami pour rencontrer Anthony Ginter, le co-fondateur de la start-up Waterdiam. Lui et son équipe sont en train de mettre au point une “super eau” ou une eau de “troisième génération”, comme ils l’appellent, qui permettrait de prévenir certaines maladies. Cette eau améliorée, obtenue grâce à une technologie qui utilise des électrodes de diamant, a obtenu des résultats très prometteurs dans le domaine agricole. Elle a été testée sur des millions de chevaux, poulets, vaches en Europe et aux Etats-Unis, ainsi que sur des fruits et légumes. Anthony Ginter rêve d’un monde où son eau 3.0 permettrait aux agriculteurs de se passer de produits chimiques et de médicaments pour traiter leurs animaux et végétaux.
Listen to “Episode 2: Waterdiam, la “super eau” d’Anthony Ginter à Miami” on Spreaker.

Sarkozy et Hollande: bataille d’ex à New York

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Le hasard du calendrier les amuse sans doute, mais ce qui les amuse plus encore c’est de feindre d’ignorer l’autre. Nicolas Sarkozy et François Hollande étaient au même moment, lundi et mardi, à New York. Le premier fait le coup du mépris quand on l’interroge sur la présence de son vainqueur de 2012 (“qui ça?”); le second lance une vacherie (“la discrimination positive parait déjà pré-historique, comme celui qui l’a inventée”). Mais au fond, lors de ces déplacements new-yorkais, les deux ex sont dans le même rôle: chacun travaille à sa trace dans l’histoire. Ils le font par des voies opposées. Le premier en refusant de parler politique, le second en en parlant beaucoup.

A la librairie française Albertine -dont il fut à l’origine alors qu’il était président-, assis au fond d’un large fauteuil, derrière une table en bois, Nicolas Sarkozy cache mal un ennui certain. Au bout d’une grosse heure de séance de signatures de son livre de mémoires Passions pour quelque 200 fans new-yorkais, l’ancien président pousse un soupir: “c’est fatigant”…

A la poignée de journalistes venus le voir là, il ne veut dire qu’une chose: qu’il n’a rien à dire. “Je ne suis plus en politique, je ne veux plus faire ce jeu des petites phrases”. Il lancera tout de même la petite pique aux journalistes: “je vois bien que je vous manque…”.

Sarkozy: “Je suis très occupé”

La veille au soir, à l’occasion du gala de la fondation américaine de Sciences Po, le message est le même: la vie politique c’est fini, et c’est très bien comme ça. Interviewé sur la scène par la journaliste de CNN International Hala Gorani, il s’insurge quand elle lui demande si cette vie-là lui manque, si l’échec de 2012 lui a pesé. “J’ai un nouveau challenge, j’ai une vie dans le privé, j’ai intégré des conseils d’administration de grands groupes, je suis avocat, j’ai un emploi du temps très occupé. Le challenge pour moi de réussir dans l’activité privée après avoir réussi dans l’activité publique, c’est un challenge formidable; Otez vous cette idée qu’on n’a qu’une vie et qu’il n’y a qu’un seul vecteur. Sans doute, si je n’avais pas été élu président de la république, j’aurais eu un manque, mais je l’ai été…”

La politique lui manque d’autant moins, dit-il, que “ce à quoi on assiste aujourd’hui ce n’est pas la politique que j’aime. Moi j’aime la vision, le leadership, les choses épiques, au fond j’aime la verticalité. Les réseaux sociaux, c’est l’horizontalité. Moi je ne suis pas fait pour l’horizontalité. Je pense que l’égalité, c’est un mensonge; je suis pour la justice, pas pour l’égalité. Il faut accepter de s’affranchir de l’égalité si on veut la justice (…). Si on est passionné par l’égalitarisme, on ne peut pas respecter la différence. Quand il faut faire semblant que tout se vaut, ça ne m’intéresse pas, je ne suis pas adapté à cette politique là”.

Ce gala de la “Science Po American Foundation”, qui récolte des fonds aux Etats-Unis pour le compte de l’école parisienne, était le but principal du voyage de Nicolas Sarkozy à New York. “Je leur devais bien ça, dit-il à la tribune lundi soir. J’ai gardé une dette envers Sciences Po: quand j’étais jeune, peu de gens m’aidaient. Je suis reconnaissant pour cette institution qui m’a accueilli”. Il n’a jamais fait mystère d’avoir été un élève médiocre, mais devant ce parterre d’anciens élèves de l’antre de l’élite française, l’ancien président avait un message principal: finalement, j’ai plutôt bien réussi… et ce n’est pas une défaite électorale qui va y changer quoique ce soit. La trace qu’il veut laisser est celle d’un battant, sorti de nulle part et arrivé au sommet. 

Hollande: “je ne cesse de relire mon discours sur la finance”
Quelques heures auparavant, François Hollande était pour sa part à East Harlem, pour marquer la signature d’un nouveau partenariat entre l’association française Sport dans la Ville et l’américaine Dream, toutes deux impliquées dans la ré-insertion de jeunes défavorisés par le sport. Devant un groupe de lycéens de la charter school opérée par Dream, lui aussi a cherché à faire passer sa vision de la politique. “Il faut avoir l’idée que l’engagement politique n’est pas solitaire. La vie politique se fait avec les autres“, a-t-il expliqué. À une journaliste qui l’interroge sur la présence à New York de son prédécesseur, il répond avec un sourire en coin: “C’est bien que New York soit le lieu où se rendent les anciens présidents. Il n’est pas prévu que l’on se rencontre. Je ne sais pas ce qu’il y fait. Si vous avez des informations, vous me les donnerez”. 

François Hollande à la Maison Française de NYU (crédit Alexis Buisson)

Mardi matin, alors que Nicolas Sarkozy dédicaçait son livre à Albertine, le socialiste présentait son petit dernier Répondre à la crise démocratique devant un parterre d’étudiants et d’enseignants de NYU, à l’invitation de Yann Coatanlem, président du conseil d’administration de la Maison Française de l’université. Les participants, auxquels des tracts critiquant certains aspects du bilan de François Hollande avaient été distribués par d’autres jeunes à l’extérieur de la Maison Française, n’étaient pas venus avec des questions en carton. Le modérateur de la conservation a commencé par poser une question sur la popularité retrouvée de l’ex-chef de l’Etat après son impopularité record pendant son mandat.
Islam, laïcité, loi travail et précarité des jeunes, récente immolation d’un étudiant devant le CROUS de Lyon qui a accusé Hollande, Sarkozy et Macron et l’Union européenne d’être responsables des “incertitudes” sur son avenir: les étudiants aussi ont abordé des questions chaudes et l’ont renvoyé face à son bilan. Un d’eux, un Français, citant un extrait de son fameux discours du Bourget, lui a demandé pourquoi le “socialisme au pouvoir” avait été “incapable” de régler le problème de la “finance“, que le candidat Hollande avait érigé en “ennemi” lors de ce discours fondateur. “Je ne cesse de le relire quand je voyage ou ne dors pas la nuit car je le trouve toujours juste, a indiqué l’ancien président. La finance n’est pas que le capitalisme. C’est une version du capitalisme. Elle ne se vainc pas sur un quinquennat“, a-t-il admis.
Un autre l’a attaqué sur les violences policières qui ont émaillé son mandat, dont l’épisode de l’évacuation de Notre-Dame des-Landes. François Hollande s’est montré agacé: “Vous auriez pu parler aussi des violences faites aux forces de l’ordre, du nombre de policiers blessés par les manifestants. Vous auriez pu parler aussi d’éléments recrutés dans les milieux les plus populaires de la nation qui sont eux aussi frappés, gazés et parfois attaqués… Vous auriez pu parler de toutes les violences. La violence n’est pas que celle de l’Etat, a-t-il dit. Notre soulèvement moral doit être pour condamner toutes les violences”. 
Avant de repartir, il a exhorté son auditoire à “comprendre la complexité“, une manière peut-être de demander un peu de clémence. “On voudrait que ça soit simple, avec les bons, les méchants, le bien et le mal. Donald Trump l’a compris. Il a une vision primaire si je puis dire. Mais mon expérience montre que c’est moins binaire qu’on ne le pense. C’est plus complexe, a-t-il fait valoir. Un tweet, c’est une réaction, un discours comme celui du Bourget c’est une démonstration. Or, qui a le temps d’écouter une démonstration ?
Emmanuel Saint-Martin et Alexis Buisson

La Chambre de commerce de Houston fête le beaujolais 2019

Pour les épicuriens et les amateurs de vin, le troisième jeudi du mois de novembre, c’est toujours une bonne occasion de se faire plaisir. Cette année encore, le beaujolais ne manquera pas à l’appel et sera au coeur de la soirée organisée par la Chambre de commerce franco-américaine le jeudi 21 novembre au Union station de Minute Maid Park.

Au programme, vins et fromages français, musique jazz en live, spectacle de danse et un défilé de mode avec Neiman Marcus.

L’open bar, de 6:30 pm à 10:30 pm, donne aussi accès aux mets salés. Du canard sauce beaujolais, du boeuf bourguignon, et du ragoût de lapin sont entre autres annoncés.

BAC français ou IB : à Rochambeau, les élèves auront le choix

(Article partenaire) Le paysage de l’éducation change constamment d’une génération à l’autre. À Rochambeau The French International School, les élèves auront bientôt la possibilité de choisir entre le baccalauréat français ou le Baccalauréat International*. Bien qu’ils soient semblables dans leur perspective internationale et leurs exigences rigoureuses, ces programmes mettent l’accent sur l’acquisition d’ensembles de compétences et d’exigences linguistiques différentes et correspondent à des profils d’élèves différents.

Le baccalauréat français, « le Bac » fait la fierté du système éducatif français. Un programme d’études rigoureux et bien structuré apprend aux élèves à étudier efficacement et de façon autonome. Il leur donne les bases générales dont ils ont besoin pour réussir dans toutes les matières, tout en leur offrant la possibilité de suivre des cours spécialisés dès la première. À Rochambeau, l’accent est mis sur les langues avec une troisième langue obligatoire à partir de la sixième ; les élèves peuvent choisir entre l’espagnol, l’allemand, l’arabe, et/ou le grec et le latin. Le type d’élève qui s’épanouit dans ce programme maitrise le français, a le sens du travail, et apprécie la pensée critique. 

À Rochambeau, à partir de la classe de première, les élèves peuvent opter pour l’Option Internationale du Bac, « L’OIB », une option bilingue très compétitive du baccalauréat français. Le programme d’études français est complété par des cours accréditée par l’American College Board de littérature, histoire et géographie en anglais.

Le Baccalauréat International, « IB » est un programme d’enseignement international de deux ans exigeant. Le programme d’études est centré sur l’étudiant et basé sur l’enquête, avec un fort accent sur l’ouverture d’esprit internationale. On attend des étudiants qu’ils soient bien organisés, autonomes, maîtrisant l’anglais et enthousiastes à l’égard du travail de groupe et des discussions de type socratique. Rochambeau offrira certains des cours en français permettant aux étudiants de suivre le programme du diplôme bilingue : anglais-français.

En plus de décrocher le baccalauréat français ou IB, les élèves de Rochambeau pourront obtenir le High School Diploma américain de l’État du Maryland. Les diplômés auront alors une multitude d’options devant eux : en moyenne, 40% d’entre eux poursuivent leurs études en France, 28% aux États-Unis, 22% au Canada, 6% au Royaume-Uni et 4% ailleurs dans le monde. Que les élèves de Rochambeau choisissent de suivre le cursus du Bac français ou de l’IB, ils seront non seulement bien préparés à l’enseignement supérieur, mais ils seront aussi des citoyens équilibrés et ouverts d’esprit, prêts à affronter un monde en pleine mutation.

Les admissions sont ouvertes ici.

*Le programme IB sera offert à partir de 2021-2022 en classe de première.

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Marcel Duchamp au Hirshhorn Museum à Washington

L’exposition “Marcel Duchamp: The Barbara and Aaron Levine Collection” présente une cinquantaine d’oeuvres de l’artiste français, données par un couple de collectionneurs américains.
L’occasion de voir certaines des plus fameuses oeuvres de Duchamp et surtout de découvrir le processus créatif de celui que bien des artistes du XXè siècle considéraient comme l’un des plus importants d’entre eux.
Plus d’information sur l’exposition ici.
 

Les artistes de Together We Art récoltent des fonds pour les jeunes en difficulté

Des artistes français se mettent au service de la jeunesse en difficulté et organisent la seconde édition de la foire d’art contemporain Together We Art au profit de l’association LP4Y le 21 novembre au Beekman Reim Building.
Créée par les entrepreneurs Jean-Marc et Laure Delaporte, l’Association LP4Y, qui fête ses 10 ans cette année, lutte pour l’intégration sociale et professionnelle de jeunes vivant dans une situation d’extrême pauvreté. Le champ d’action de l’association, essentiellement en Asie jusqu’alors, s’élargit cette année avec l’ouverture de nouveaux centres autour du bassin méditerranéen (Liban et Egypte) et la création de deux centres de formation, l’un à Paris et l’autre à New York. 

Au programme de la journée, une discussion sur la technique de la fonderie par Anne de Villeméjane (11:30am), une peinture en direct de Carole Jury (12:30pm) et une discussion sur l’art et le multimédia ou comment animer une toile par Lenaic Mercier (5 pm). Tous les trois sont des artistes française résidents à New York.

Huit autres artistes français, peintres, sculpteurs et photographes seront présents pour présenter leur travail : Laurence Belotti, Gaelle Hintzy Marcel, Béatrice Drouhin, Luis Da Cruz, Christine Galvez, Pascale Roux de Bézieux, Louise Laffaille et Lawrence Schiller.

L’année dernière, l’évènement avait rassemblé 350 personnes et les 40 oeuvres vendues avaient permis le financement d’un nouveau centre LP4Y.

Le thème de la campagne 2019, Audacieux, a inspiré les artistes dont les 125 œuvres seront vendues au profit de LP4Y pour financer deux nouveaux centres de projets de vie.