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The Renaissance International School : Une immersion trilingue

(Article sponsorisé) Un mélange de français, d’espagnol et d’anglais résonnent dans les couloirs et les salles de classe de The Renaissance International School (TRIS). Grâce à un programme d’immersion trilingue, nos élèves apprennent à lire, à écrire et à parler dans trois langues. Ils peuvent ainsi développer leur potentiel, approfondir ce qui les passionne et d’explorer le globe. Tous ces éléments créent un environnement propice à l’émergence de la prochaine génération de citoyens du monde.

Former des penseurs indépendants

En tant qu’école Montessori ouverte aux enfants dès l’âge de 2 ans et jusqu’au collège, avec un campus à Oakland et à Piedmont, nous encourageons nos élèves à développer un esprit indépendant, à trouver leur propre motivation et à se discipliner eux-mêmes. Plutôt que de leur donner les bonnes réponses, nous leur posons les bonnes questions et les guidons vers la découverte de leurs propres réponses. C’est ainsi qu’apprendre devient une passion et un plaisir. En même temps que les élèves développent ces qualités individuelles, ils sont amenés à découvrir ce que signifie être un membre responsable d’une communauté. Ils apprennent à construire des relations durables avec ceux qui les entourent et à dépasser leurs différences. Avant tout, ils développent un profond sens du respect de soi et des autres.

Un apprentissage fondé sur l’intérêt

Nos salles de classe sont conçues pour attiser la curiosité et susciter le désir d’apprendre. Les élèves sont encouragés à suivre leurs intérêts par le biais de leçons adaptées à chaque élève, de recherches personnelles, ainsi que de sorties organisées par les élèves eux-mêmes et ayant pour but d’explorer un thème spécifique. Dès le CP, nos élèves consacrent beaucoup de temps à apprendre comment mener des recherches et à trouver les connaissances qui répondent à leur curiosité. En 6ème et jusqu’en 3ème, les élèves se lancent, pour toute l’année scolaire, dans un projet de recherche sur le thème de leur choix. Ces dernières années, les thèmes ont couvert aussi bien l’évolution du rock n’roll, que Daech, l’accès aux médicaments dans les pays en développement, ou l’impact des technologies sur les enfants. Ce sont leurs projets de recherche personnels (PRP), qu’ils présentent devant toute l’école. Tout au long de leur scolarité à TRIS, les élèves auront eu la possibilité d’effectuer leur PRP en français, en espagnol, et en anglais. Par cette démarche, ils se trouvent eux-mêmes à la source de leur éducation.

La joie de découverte des principes de la physique

Le monde est notre salle de classe

A TRIS, le monde entier entre dans nos salles de classe grâce à un vaste programme mettant en avant ce que l’humanité a en commun, tout en célébrant la particularité de chaque culture. Nous avons les moyens de comprendre différentes cultures à travers l’étude de leur histoire, de leur langue, littérature, cuisine, art et musique. Notre programme couvre chacun de ces aspects. Tous les ans, chaque classe étudie un continent différent. En plus d’étudier l’histoire et la géographie du continent, les élèves ont la possibilité de faire l’expérience des différents aspects de sa culture. Ils cuisinent des plats de différents pays de ce continent, que ce soit, au niveau de l’école maternelle, en aidant à la préparation de la nourriture ou, au niveau de l’école élémentaire et du collège, en planifiant, en faisant les courses et en préparant le repas de manière indépendante. Ainsi ils peuvent explorer les diverses cuisines et traditions d’un continent. Les élèves ont aussi la chance de découvrir l’art et la musique de différentes cultures grâce à un programme complet d’éducation musicale et artistique. L’art et la musique sont au cœur de toute culture et font partie des premiers moyens acquis par les êtres humains pour communiquer les uns avec les autres. Apprendre l’art et la musique d’un peuple est indispensable à la compréhension d’autres cultures.

Nos élèves voyagent dans le monde entier

Ces expériences menées à l’école préparent nos élèves à comprendre les cultures qu’ils rencontrent chaque année lors de nos voyages internationaux. Ces dernières années, nous avons visité la France, le Mexique, la Hongrie, la Chine, l’Italie, le Pérou et le Chili. Tous les ans, un groupe d’enfants âgés de 6 à 14 ans visite un pays différent. Certaines années, le but du voyage est de mieux comprendre le pays visité tout en renforçant l’apprentissage de l’espagnol ou du français. D’autres voyages sont concentrés sur des projets de bénévolat ou sur la participation à la “Montessori Model United Nations” (MMUN). Participer à la MMUN offre à nos élèves l’occasion de débattre de problèmes à dimension mondiale, tels que la prolifération nucléaire ou le changement climatique, tout en insistant sur l’importance du consensus et de la collaboration. Ces expériences de voyage donnent à nos élèves une opportunité concrète de mettre en œuvre une vision globale du monde.

Participation dans la conférence “Montessori Model United Nations” en Chine.

Préparer la prochaine génération de citoyens du monde

Ce mélange unique de savoirs, de développement personnel et d’exploration à l’échelle locale et mondiale forme une véritable expérience dans l’esprit de la Renaissance, aidant chaque individu à atteindre son potentiel tout en découvrant ce qu’il peut offrir de plus précieux à sa communauté. Nos élèves grandissent avec le soutien d’un environnement multiculturel et multilingue qui leur permet d’interagir avec le monde réel directement et de manière significative sur le plan personnel. Nous posons véritablement les bases de la prochaine génération de citoyens du monde.
Pour plus d’information sur notre programme, sur les dates de nos camps d’été (ouverts à tous, en juillet et en août), ou sur nos prochaines portes ouvertes, n’hésitez pas à visiter le site ici , à nous contacter au 510-531-8566 ou à nous écrire à [email protected].
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

3 façons de célébrer le Beaujolais nouveau à San Francisco

La tradition n’est plus ce qu’elle était aux Etats-Unis (soutenue à l’époque par de généreux budgets marketings), mais elle perdure et le troisième jeudi du mois de novembre reste l’occasion de joyeuses agapes pour célébrer le lancement du beaujolais nouveau. Voici notre sélection pour célébrer à San Francisco.

Le Beaujolais en marinière par l’Apéro

L’Apéro et l’Alliance Française de San Francisco organisent Je peux pas, j’ai Apéro-Beaujo! le jeudi 21 novembre de 5 à 10 pm.

Autour d’une assiette de fromages français Marin et de charcuteries Fabrique Delices, vous pourrez déguster deux verres de Beaujolais Nouveau pour $25 ($35 sur place). La dégustation se finira sur un dessert Galaxy et Petit pot. Après cela, il faudra compter $8 par verre de Beaujolais Nouveau. Seront au rendez-vous le food truck d’empanadas d’El sur, les artistes Catalyst Arts et les Parisiennes et leur stand vintage, pour les accros au shopping. 

Retour aux sources du Beaujolais avec la classe-dégustation de Decant Sf

Cara Patricia et Simi Grewal, sommelières et fondatrices du Decant SF

Cara Patricia, co-fondatrice du wine shop Decant Sf propose une découverte du Beaujolais à travers son histoire le vendredi 22 novembre de 6:30 à 8pm.
Il faut compter $50 (hors taxes) pour le cours, qui inclut une dégustation des principaux crus Beaujolais. Petit plus: vous pourrez bénéficier d’une réduction de 10% si vous souhaitez acheter  les vins dégustés.

Du Beaujolais et de la cuisine française au Mathilde French Bistro

L’Ordre des Compagnons du Beaujolais – Devoir de San Francisco

Si vous êtes en manque de cuisine française,  l’Ordre des Compagnons du Beaujolais -Devoir de San Francisco organise un dîner de quatre plats au restaurant français Mathilde French Bistro le samedi 7 décembre. La réception de bienvenue, prévue à 6 pm, sera suivie du dîner qui mettra en valeur les meilleurs crus du Beaujolais.
Fondés au lendemain de la Seconde guerre mondiale, les Compagnons du Beaujolais ont pour but de défendre et de promouvoir le Beaujolais en France et dans le monde. Leur devise affiche la couleur: « Vuidons les tonneaux !».
Pour l’expérience complète, il faudra compter $100 par personne.

Bien sûr, il faut avoir 21 ans pour participer aux trois évènements.

La guitare de Stephane Wrembel dessine "Django l’impressionniste"

Il est l’un des maîtres du “gypsy jazz d’aujourd’hui, célébré pour la richesse de son jeu. Le guitariste Stéphane Wrembel présente “Django l’impressioniste” au FIAF le jeudi 21 novembre à 7:30pm, un hommage au maître gypsy, Django Reihnardt.
Le concert marque le lancement de l’album du même nom, qui célèbre un Django Reihnardt moins connu, avec  par Wrembel comme une célébration de la légende gypsy Django Reinhardt avec 17 solos méditatifs, inspirés par Ravel et Debussy.
Une séance de signature de l’album, en vente sur place, est prévue à la fin du concert.
Tickets ici.

Un Noël français à Los Angeles 

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(Agenda partenaire) Lycée international de Los Angeles (LILA) importe la tradition du marché de Noël de Strasbourg à Burbank et invite à son French Holiday Bazaar annuel. Il aura lieu le vendredi 6 décembre, de 15h00 à 21h00 sur son campus collège-lycée, avec plus de 30 stands et artistes, sans oublier des délicieux mets et boissons.
Le French Holiday Bazaar est né en 2017 sous l’impulsion de l’association des parents d’élèves du campus de Burbank. L’idée était d’insuffler un esprit francophone à un évènement local. En moins de trois ans d’existence, cet événement est devenu non seulement incontournable dans le quartier de Rancho Equestrian, mais aussi bien au-delà, pour toutes les familles françaises de Los Angeles.
Le LILA est fier de ses racines françaises et c’est tout naturellement que l’école souhaite apporter une touche de Noël traditionnel, « à l’Européenne », sur la scène de L.A. Pour la communauté française, et en particulier pour ceux qui n’ont pas l’occasion de rentrer au pays pendant les vacances, le Bazaar réchauffe le cœur et fait se sentir « à la maison ». 
L’année dernière, plus de 800 invités ont répondu présent et ont découvert la magie hivernale du campus du LILA à Burbank. Les organisateurs attendent cette année une fréquentation encore plus grande autour des stands d’artisans bijoutiers, de décoration maison, de créations d’élèves ou encore de délicieuses gourmandises à déguster.
Le LILA vous invite à rejoindre sa communauté autour d’un vin chaud, de crêpes et de pâtisseries françaises à l’occasion du French Holiday Bazaar 2019 !
Inscrivez-vous ici.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

4 sorties "old school" pour les enfants

En panne de nouvelles idées pour amuser ses enfants le week-end ? Voici quelques escapades aux tendances rétro. De quoi ravir et transporter dans le temps petits et grands.
Children’s Fairyland
Bienvenue dans un royaume enchanté où Pierre Lapin, Blanche-Neige, Pinocchio et autres personnages de contes légendaires prennent vie. Ce parc d’attractions, sur les rives du Lake Merritt, à Oakland, est l’un des plus anciens parcs à thème du pays. Ouvert en 1950, il aurait même inspiré Mr Walt Disney. Et il a conservé un aspect désuet qui fait tout son charme. À taille humaine, il est particulièrement adapté aux plus jeunes (moins de 8 ans). L’ambiance invite aux aventures imaginaires avec des citrouilles et des champignons géants, des labyrinthes, des bateaux pirates, des toboggans, une ville du Far West reconstituée ou un vieux carrousel. Des clés vendues à l’entrée activent des « boîtes parlantes » qui racontent les histoires des héros de l’enfance. Enfin, la mini-ferme et les spectacles de marionnettes sont des immanquables. Infos ici.
Le Musée de la mécanique
À San Francisco, dans un entrepôt situé sur le quai 45 du Fisherman’s Wharf, ce musée a tout d’une salle de jeux. Plus de 200 objets y sont exposés : des automates (dont une diseuse de bonne aventure), des jeux mécaniques, des boîtes à musique, des jeux d’arcade et des machines à sous d’époque. Une collection privée qui appartient à la famille Zelinsky et qui offre une immersion dans le monde du divertissement au siècle dernier. L’accès est gratuit, mais la plupart des appareils nécessitent de la monnaie pour fonctionner, surtout des pièces de 25 cents. Musée ouvert toute l’année. Infos ici.
Le Redwood Valley Railway
Dans le parc Régional de Tilden, à Berkeley, ce train à vapeur miniature est une expérience insolite. Plus d’une cinquantaine de personnes peuvent embarquer sur les différents charriots tirés par une mini-locomotive. Au sifflet du train, la vapeur crache et la traversée commence entre les séquoias géants. C’est parti pour douze minutes au cœur d’une nature sauvage avec vues panoramiques sur la Baie et les collines d’Orinda. Une installation vintage qui date des années 50. Sur place, des passionnés gèrent les machines et font rouler plusieurs de ces petites locomotives à vapeur certains dimanches. Infos ici.
Church of 8 wheels
Pour cette sortie inédite à San Francisco, on troque les chaussures pour des patins à roulettes, à quatre roues bien sûr. Cette ancienne église, entre Hayes Valley et Alamo Square, a été entièrement rénovée et accueille aujourd’hui les amateurs de rollers à l’ancienne et les nostalgiques. Certains n’hésitent pas à pousser le flashback jusqu’aux tenues vestimentaires. Entre collants aux couleurs pétantes des années 80 et paillettes disco. Le tout, au son de tubes mixés par un DJ en direct. Attention à bien vérifier les créneaux pour les familles (le samedi) sinon, la piste est réservée aux adultes. Location de patins sur place et cash obligatoire pour l’entrée. Infos ici.
 

5 expositions à voir cet automne à New York

Si l’été indien et ses températures estivales sont derrière nous, l’automne est la saison idéale pour faire le plein de culture dans les musées de New York. Voici cinq expositions à ne pas rater.

“Machine Hallucinations” à Artechouse

Crédit photo: artechouse.com&

Découvrez New York comme vous ne l’avez jamais vu grâce à cette exposition immersive qui a ouvert en septembre dans le quartier de Chelsea. Dans “Machine Hallucinations”, le visiteur est invité à s’asseoir, à se coucher, ou à se balader à travers une pièce dans laquelle est projetée un film représentant la conscience collective de New York. Plus de 100 millions de photographies publiques de New York -le plus grand ensemble de données jamais recueillies pour une œuvre d’art- ont en effet été déployées dans des algorithmes d’apprentissage pour créer ce film de 30 minutes dans lequel une intelligence artificielle découvre et explore les formes toujours changeantes de la ville et de son architecture. L’exposition peut paraître abstraite au premier abord, mais le personnel (très passionné) d’Artechouse se fait un plaisir de répondre à vos questions et de vous donner des explications. Artechouse NYC, 439 W 15th St.

“The Colmar Treasure : a Medieval Jewish Legacy” à The Cloisters

Crédit photo: metmuseum.org

C’est une partie de l’héritage médiéval français que présente The Cloisters jusqu’au 12 janvier. The Colmar Treasure est un trésor comme on en voit dans les films avec des bagues en or, en diamant et des pièces de monnaie datant du XIIIème et de la première moitié du XIVème siècle. Découvert en 1863 lors de travaux dans une maison de l’ancien quartier juif de Colmar en Alsace, ce trésor fut caché lorsque la peste déferla sur l’Europe au milieu du XIVème siècle car la communauté juive fut jugée responsable de l’épidémie. Ces bijoux et pièces d’orfèvrerie ont été prêtées aux Cloisters par le musée de Cluny à Paris, qui en a fait l’acquisition en 1923. L’exposition souligne les notions d’héritage et de perte dans une communauté déjà opprimée à l’époque. The Cloisters, 99 Margaret Corbin Dr.

“City of Workers, City of Struggle, How Labor Movements Changed New York” au Museum of the City of New York

Crédit photo: mcny.org

Le Museum of the City of New York met en lumière l’histoire des mouvements ouvriers à New York. Cette exposition photo documente aussi bien la lutte pour la fin de l’esclavage que les manifestations récentes pour l’augmentation du salaire minimum dans la ville. On y apprend notamment que New York est devenue la ville la plus syndiquée des Etats-Unis, et comment les New-Yorkais noirs ou blancs, peu importe leurs revendications, se sont réunis et entre-aidés pour obtenir de meilleures conditions de travail et de meilleurs salaires. Un message fort sous la présidence américaine actuelle. Plus qu’une rétrospective, l’exposition fait également un état des lieux des droits actuels des travailleurs à New York et anticipe ce que l’avenir pourrait leur réserver. Exposition visible jusqu’au 5 janvier 2020. Museum of the City of New York, 1220 5th Ave, (212) 534-1672.

“JR: Chronicles” au Brooklyn Museum

Crédit photo: brooklynmuseum.org © JR-ART.NET

Les Services culturels de l’Ambassade de France profitent de l’automne pour mettre en valeur l’art et la culture française à New York avec l’initiative Brooklyn falls for France. Parmi les temps forts de ce rendez-vous culturel, ne ratez pas l’exposition “JR: Chronicles” au Brooklyn Museum. L’artiste français, qui s’intéresse notamment aux thèmes de l’engagement social et de la communauté, y présente la voix de “gens ordinaires” à travers de nombreuses photographies, vidéos, diaporamas et archives. Le pièce maîtresse de l’exposition est une fresque recréant un portrait collectif de New York à travers plus de 1.000 portraits individuels accompagnés d’audio racontant l’histoire personnelle de chacun. Brooklyn Museum, 200 Eastern Pkwy, (718) 638-5000.

The Museum of Illusion

Crédit photo: newyork.museumofillusions.us

Pour passer un moment rigolo et ludique en famille, rendez-vous au Museum of Illusion à Greenwich Village. Ouvert à l’automne dernier, ce musée se fait un malin plaisir à tromper nos sens et notre perception du réel. Dès l’entrée, on est changé en géant puis en lilliputien, sous le regard médusé des visiteurs. Un peu plus loin, on a l’impression de se lancer dans une partie de poker avec soi-même grâce à des miroirs inclinés. Le musée propose également de nombreux jeux comme des casse-têtes chinois, des illusions d’optiques en images et en vidéo, et des hologrammes. Mais la salle la plus surprenante se trouve au deuxième étage. Là, tel Spiderman, vous aurez l’impression de marcher au plafond la tête à l’envers ou sur les murs à l’horizontal. Incroyable! Museum of Illusion, 77 8th Avenue, (212) 645-3230.

Le Moulin à Café fait peau neuve et se lance dans le dîner

Jusqu’à présent, on allait au Moulin à Café pour acheter des Princes de Lu, des Mikados, de la grenadine et d’autres produits bien de chez nous. Désormais, on peut y aller pour dîner. L’épicerie-café de l’Upper East Side, bastion très français des parents du Lycée français de New York (LFNY), lance un service dîner du mardi au samedi dans sa salle de 35 places.
La première année, nous étions ouverts le soir, mais nous avions dû arrêter car on n’arrivait pas à tout gérer. Mais la demande était là, explique Yann N’Diaye, qui a lancé le Moulin à Café en 2011. Pendant toutes ces années, le volume a toujours été important, mais nous faisions des petites additions: des cafés, des pains au chocolat… Le dîner sera une source de revenu supplémentaire car les frais dans la restauration sont énormes“. Le patron précise d’ailleurs qu’il paie ses employés “plus qu’ailleurs pour les garder“.
Ce nouveau service, qui vient s’ajouter au petit-déjeuner, déjeuner et brunch, n’aurait pas vu le jour si le propriétaire n’avait pas trouvé un chef de qualité, indique-t-il. C’est chose faite avec Fernando Merino, formé par Pierre Landet au regretté Cercle Rouge (TriBeCa) avant d’assurer la cuisine du Singe Vert (Chelsea) pendant huit ans. “Je cherchais un chef depuis toujours, mais j’attendais de trouver la bonne personne. C’est comme un mariage!“.
La carte fait la part belle aux plats français: moules, entrecôtes frites, escargots, merguez-frites… Les prix vont de 19 à 35 dollars. Yann N’Diaye indique que le dîner attire une clientèle plus américaine que française contrairement au reste de la journée.
Le dîner n’est pas la seule nouveauté pour la petite épicerie-café-restaurant, où l’on peut croiser Jean Reno, Charlotte Gainsbourg et d’autres têtes connues. À l’approche de ses dix ans, le propriétaire en a profité pour rajeunir la décoration.
Ancien chef du protocole au sein de la mission permanente de la France auprès des Nations-Unies, Yann N’Diaye a réussi sa reconversion. “Quand je me suis lancé, je me suis simplement dit que j’allais faire un petit coin de France pour la communauté. Je ne me suis pas posé de questions. Mais j’ai découvert rapidement que nous avions des habitués français et américains“. Ils ne sont pas prêts de partir.

L'Enfant et les Sortilèges de Maurice Ravel à la Frost School

Le chef d’oeuvre intemporel L’Enfant et les Sortilèges de Maurice Ravel sera joué à la Frost School of Music les mercredi 20 et jeudi 21 novembre prochain à 7:30 à l’Université de Miami. 

La fantaisie lyrique en deux parties a été composée par Maurice Ravel entre 1919 et 1925, en collaboration avec Colette qui en a écrit le livret, intitulé initialement Ballet pour ma fille. 

L’Enfant et les Sortilèges, c’est l’histoire d’un petit garçon espiègle et paresseux qui est condamné à rester dans sa chambre jusqu’au dîner. En colère, il s’en prend aux objets qui l’entourent qui soudain s’animent et décident de prendre leur revanche.

L'éducation française s'invite au Give Miami Day

La FIPA (French International Program Association) participe à Give Miami Day, une journée de 24 heures de donations aux associations à but non lucratif. Le 21 novembre, via leur plateforme de don, chacun pourra choisir sa ou ses causes et devenir philanthrope le temps d’une journée. L’année dernière, 22 000 donateurs ont totalisé plus de $11.5 millions à 750 associations.

La FIPA a pour mission de soutenir et de promouvoir l’excellence en études internationales françaises dans cinq écoles publiques de Miami-Dade: Coconut Grove ElementarySunset ElementaryGW Carver Middle SchoolISCHS, ISPA.

L’association a vu le jour il y a 30 ans lorsque le directeur des écoles publiques du comté de Miami-Dade a créé des programmes d’éducation bilingues en français et dans d’autres langues afin d’améliorer le niveau d’éducation publique à Miami.

La FIPA, qui fait régulièrement des appels aux dons, aimerait recueillir à cette occasion $52,000 pour couvrir les dépenses des 3 stagiaires investis dans les écoles de Sunset, Coconut, Grove Elementaries et Carver middle school. 

Conférence : Gérer son patrimoine depuis les États-Unis

Vous détenez un ou plusieurs bien(s) immobilier en France, et vous vous demandez comment le(s) gérer au mieux depuis les États-Unis ? Vous aimeriez en savoir plus sur les règles fiscales américaines qui s’appliquent sur le patrimoine à l’étranger ?
Trouvez les réponses à toutes vos questions lors de la conférence qui aura lieu mardi 26 novembre de 8am à 9:30am à New York.
Jean-Philippe Saurat et Andrew Massat du cabinet franco-américain d’experts-comptables Massat Consulting Group et Alexandre Quantin de la société de conseil USA France Financials, spécialisée dans la gestion de patrimoine des Français aux États-Unis, aborderont différents aspects de la fiscalité franco-américaine, notamment le traitement fiscal des contrats d’assurance-vie français aux États-Unis et l’imposition américaine des biens immobiliers loués en France. Ils donneront aussi des conseils pour gérer sa fiscalité et son patrimoine quand on est expatrié aux États-Unis.
Inscriptions ici.

Guide touristique à Washington, la deuxième vie de Catherine Rochereul

Passer du marketing numérique à guide touristique ? Ce changement de carrière n’effraie pas Catherine Rochereul, qui a fondé sa société de visites touristiques Washington En Français. Après avoir vécu plus de vingt ans en Allemagne, la franco-allemande a posé ses valises à Kensington, un petit village dans la banlieue de Washington.
Un changement de vie pour cette mère de famille, qui avait une carrière toute tracée dans le marketing. “En Allemagne, j’avais un business de consulting en marketing numérique franco-allemand. Mon mari a eu une proposition de travail très intéressante pour lui. J’étais assez réticente à quitter l’Allemagne mais j’ai fini par goûter à l’aventure américaine”, se souvient-elle. Catherine Rochereul obtient un visa G-4 et suit son mari à Washington. “C’était sensé être pour deux ans, et cela fait 7 ans que nous sommes là”, se réjouit-elle aujourd’hui.
Rédactrice d’un site internet sur les différences culturelles entre la France, l’Allemagne et les Etats-Unis, Catherine Rochereul pensait pouvoir poursuivre sa carrière aux Etats-Unis. Très vite, elle réalise que tout sera différent. “Personne n’avait besoin d’un autre blog de marketing d’une Française qui avait vécu en Allemagne. Ça ne marchait pas et je n’étais pas inspirée”. Après avoir étudié ses points forts, elle décide de poursuivre son site, tout en créant quelque chose de nouveau. Elle a alors l’idée de développer des visites touristiques de la capitale en français, après avoir été inspirée par le Blog de Mathilde.
“Je l’ai lu lors de mes deux premières années aux USA. J’ai vu qu’elle faisait des visites guidées de Boston”. En 2018, elle décide de se lancer. Elle arpente la capitale, lit beaucoup et rencontre des historiens pour pouvoir compléter ses tours. L’objectif : raconter des anecdotes et des histoires uniques qui intéressent le public français. “Je suis imprégnée de ma formation en marketing, j’aime proposer un produit différent”, précise Catherine Rochereul qui anime les visite elle-même avec une autre guide française.
La guide a conscience que démarrer une nouvelle carrière est une opportunité aux Etats-Unis. “Changer de carrière n’est pas commun en France. La notion d’échec est beaucoup moins forte aux Etats-Unis qu’en Europe. C’est quelque chose que j’apprécie beaucoup dans ce pays, et cela m’a permis de passer du franco-allemand à des visites touristiques de Washington en français”. Depuis le lancement le 20 avril dernier, la guide a déjà animé plusieurs tours et elle a prévu de créer de nouveaux circuits.

Les transports alternatifs à Washington DC, mode d'emploi

Contrairement à de nombreuses villes américaines, la capitale est l’une de ces villes où l’on peut facilement marcher au centre-ville et dans les quartiers adjacents. Si on ne veut pas perdre de temps, la ville accueille maintenant de nombreux transports alternatifs. Les vélos à partager, installés depuis 2010, côtoient les petits nouveaux du paysage urbain (les scooters et les trottinettes électriques). Près de 6 000 deux-roues électriques sont ainsi disponibles.
Le Capital BikeShare 
Les vélos à partager rouges de la ville ont été les pionniers dans le transport vert. Pour les résidents, le coût est imbattable. Pour 85 dollars par an, le cycliste a une utilisation illimitée par jour, avec une restriction de 30 minutes consécutives maximum. S’il on dépasse de 30 à 60 minutes, on paie un supplément de 1,50 dollars. Pour les résidents de court terme, comme les stagiaires, un pass de 30 jours à 28 dollars est offert. 
Pour les touristes, une option de 24 heures est disponible pour 8 dollars, ou une option de 3 jours pour 17 dollars, ce qui revient à 5,60 dollars par jour. Tout comme pour le pass annuel, après 30 minutes d’utilisation, on paie alors 2 dollars pour la demi-heure en plus. Il faut donc reposer et reprendre un vélo toutes les 30 minutes. 
Pour une utilisation unique, comptez 2 dollars pour une demi-heure. 
Les vélos électriques
Les marques des vélos électriques vont et viennent depuis plus d’un an. Néanmoins, les Washingtonians ont leur petit favori qui devrait rester dans le paysage de la capitale pour un bon moment : Jump, la marque de Uber. 
Pour l’emprunter, il suffit d’avoir l’application sur son téléphone et de scanner le code QR. Pour la course, la minute coûte 0.15 centimes, ce qui revient à 2 dollars pour 13 minutes. Cette option, comparée avec Bikeshare, est avantageuse pour les trajets courts. 
Les trottinettes électriques 
C’est le moyen de transport électrique numéro 1 à Washington DC. Il y a également beaucoup de plaintes et la municipalité essaie de trouver un juste milieu pour créer des règles qui conviennent à tous. Le nombre de marques est élevé: on a le choix entre Lime, Lyft, Bird, Jump, Bolt, Spin ou Skip. Tous les prix sont différents, et parfois, il faut payer 1 dollar d’activation. 
Pour résumer les prix, voici le récapitulatif par marque pour 10 minutes d’utilisation: Comptez 3,90 dollars pour Bird, 3,50 pour Skip, 3,40 dollars pour Lime et Lyft, 3 dollars pour Bolt, 2,50 dollars pour Jump et Spin. Bon à savoir: toutes les trottinettes sont bloquées à 10 mi/h.
Les scooters électriques 
C’est le petit dernier de la capitale. Le scooter de Revel – appelé moped en anglais – a débarqué dans les rues de la capitale en août dernier. Le trajet coûte 1 dollar par passager, plus 25 centimes par minute et 10 centimes par minute en stationnement.
Les scooters de Revel sont disponibles à la location pour les conducteurs titulaires d’un permis, âgés de 21 ans ou plus. Ils devront se soumettre à une vérification de leurs antécédents. Les véhicules, accessibles via l’application de Revel, peuvent transporter jusqu’à deux personnes à la fois, allant à une vitesse maximale de 30 mi/h, ce qui est la limitation la plus courante au centre-ville de DC.