Accueil Blog Page 468

Quatre résidences à vendre ou louer dans le Westchester

(Article partenaire) Que ce soit pour vivre ou réaliser un investissement, il est clair que l’immobilier new-yorkais est souvent l’objet de désillusions tant les prix sont exorbitants. Une alternative existe cependant : le comté de Westchester, situé juste au nord de New York, est très attrayant pour toute personne voulant acheter ou louer un bien immobilier dans l’agglomération new-yorkaise.
France Tucker, agente immobilière franco-américaine, connaît la région comme sa poche : elle vit dans le Westchester depuis que ses parents français expatriés y ont emménagé, en 1966. Aujourd’hui, elle nous présente quatre joyaux actuellement sur le marché (à vendre ou à louer).

Une imposante maison de style Tudor à Larchmont

Extérieur de la maison

Nichée dans une rue calme et en cul-de-sac d’Howell Park, cette magnifique maison est située à quelques “blocks” seulement de la gare Larchmont Train Station.
Parmi ses atouts figurent un plafond cathédrale et une porte en chêne sculptée à la main.
Intérieur de la maison

Elle comprend également une grande pièce à vivre avec une cheminée à bois et des baies vitrées donnant sur le jardin. Un second salon, plus formel, peut servir pour des réceptions. À proximité de la maison se trouvent non seulement la gare mais aussi plusieurs écoles et parcs.
Chambres : 5
Adresse : 110 Carleon Avenue, Larchmont, NY 10538
Prix de vente : $1.549.000
Plus d’informations sur ce bien

Vivez les pieds dans l’eau à Rye

Piscine de la résidence

Profitez du calme et de la sérénité de Rye avec cette “townhome” fraîchement rénovée. Piscine au bord de l’eau, plage et aire de jeux privées : tout ceci n’est situé qu’à une courte distance à pied d’Oakland Beach et Rye Town Park, et à seulement quelques minutes de downtown Rye, Harrison et Mamaroneck.
Extérieur de la résidence et portail.

Cette maison fait partie d’un ensemble de résidences surveillées et séparées de la route par un grand portail. Une pièce supplémentaire peut être convertie en troisième chambre ou en bureau.
Chambres : 2
Adresse : 42 Water’s Edge, Rye, NY 10580
Prix de vente : $1.099.000 (également disponible en location)
Plus d’informations sur ce bien

Retour aux sources à Greenhaven

Extérieur de la maison

Cette maison est située à Greenhaven, une zone à la fois en pleine nature et proche des commerces et moyens de transport. La chambre du premier étage est aussi grande que le salon, avec sa propre salle de bain et son dressing.
Chambre du dernier étage

Les deux autres chambres du premier étage se partagent une salle de bain, tandis qu’au second, deux larges chambres cachées sous les toits possèdent un charme incontestable.
Dans le jardin, vous trouverez un grand patio et un bassin à poissons.
Chambres : 5
Adresse : 5 Sunset Road, Rye, NY 10580
Prix à la location : $8.400/mois
Plus d’informations sur ce bien

Une “ranch house” à Scarsdale

Extérieur de la maison

Cette “ranch house” complètement rénovée comporte quatre chambres. Dans sa grande cuisine fonctionnelle, tous les appareils sont neufs, et un réfrigérateur supplémentaire est disponible dans le garage.
Vue sur le jardin

Le sol est en parquet, de grandes fenêtres laissent entrer la lumière, et cerise sur le gâteau: la maison dispose d’une cheminée.
Chambres : 4
Adresse : 429 Grand Boulevard, Scarsdale, NY 10583
Prix à la location : $4.500/mois
Plus d’informations sur ce bien
—————-
Note: les “articles partenaires” sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Transfert de patrimoine, Retraite : USAFrance Financials guide les français aux États-Unis

(Article Partenaire) Être Français aux États-Unis crée nombre de complications administratives. Trouver des réponses aux nombreuses questions liées à la gestion d’actifs en France, de futurs placements, ou bien gérer sa succession n’est pas affaire simple… C’est à partir de ce constat que Cédric S. Sage a établi USAFrance Financials en 2010, un cabinet de gestion indépendant spécialisé pour les résidents français aux États-Unis. Mais pourquoi faire appel à de tels services ?

French Morning : Décrivez-moi USAFrance Financials ?

Cédric S. Sage : Nous aidons les cadres et entrepreneurs français dans la mise en place de stratégies financières optimales et les guidons à travers leurs problématiques d’actifs : succession, retraite, placements, prévoyance familiale, et stratégies de défiscalisation. Nous assistons actuellement près de 400 familles aux États-Unis.

FM : Qui ciblez-vous généralement ?

Cédric S. Sage : Nous aidons généralement les Français résidant aux États-Unis pour une durée indéterminée et confrontés à des problématiques de résidents fiscaux locaux.

FM : Pourquoi travailler avec vous plutôt qu’un cabinet américain traditionnel ?

Cédric S. Sage : Notre valeur principale est liée à l’approche globale que nous apportons et notre compréhension pointue des ramifications internationales.

À l’inverse d’autres firmes méconnaissant ces ramifications internationales, nous offrons une visibilité certaine aux finances de nos clients indépendamment de leur résidence future.

En leur permettant de devenir proactifs quant à leur avenir, nos clients bénéficient d’opportunités n’existant pas en France, les aidant ainsi à produire des rentes de retraite plus importantes tout en prenant moins de risques, en diminuant l’impact fiscal, et tout en limitant les frottements internationaux d’une succession.

Chez USAFrance Financials, nous étudions les finances personnelles à travers leur situation globale, du côté français et américain, grâce à un processus de planning unique et rigoureux.

Afin de préconiser des recommandations optimales, nous restons à la pointe des changements de règles internationales, grâce à la formation continue et travaillons main dans la main avec tout un consortium de professionnels du droit, de la fiscalité, de l’immobilier, etc.

FM : Pour démarrer le processus avec vous, comment cela se passe-t-il ?

Cédric S. Sage : Nous commençons toujours par un audit complet de la situation et des objectifs d’une personne, ce qui nous permet de revenir avec des recommandations sur mesure et de pouvoir présenter les stratégies qui apparaissent les plus appropriées. Avec l’accord du client, nous pouvons ensuite implémenter les stratégies et les réviser de manière périodique.

Toute communication future doit avoir lieu en anglais. Les thèmes discutés le sont dans un cadre informatif général et ne doivent surtout pas être interprétés à la lettre comme conseils fiscaux, légaux, ou d’investissements. Bien que les informations octroyées soient estimées fiables, celles-ci ne reflètent en rien la situation particulière des lecteurs. Il est donc important de ne suivre ces informations que lorsque directement confirmées par le conseil d’un professionnel.
Représentant enregistré sous Park Avenue Securities LLC (PAS). OSJ: 7101 Wisconsin Avenue Suite 1200, Bethesda, MD 20814, 301-907-9030. Placements offerts à travers PAS, membre de FINRA, SIPC. Conseiller Financier de The Guardian Life Insurance Company of America® (Guardian), New York, NY. PAS est une subsidiaire possédée à parts entières par Guardian. USAFrance Financials n’est en aucune capacité affiliée ou une subsidiaire de PAS ou Guardian. 2019-79373 Exp. 6/21


Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

 

"Richard" devient "Dick": 5 surnoms américains expliqués

Savoir reconnaître les surnoms américains est un petit défi. Entre les prénoms qui ont une dizaine de surnoms différents, et ceux qui n’ont rien à voir avec le prénom initial, on peut vite s’y perdre.
Les Richard sont des Dick
Ce n’est pas nous qui le disons, c’est la tradition anglaise. Il faut se rappeler qu’au Moyen Âge, il n’y avait pas beaucoup de prénoms. Richard était un prénom donné à la pelle, il fallait donc des surnoms pour se différencier. Il s’est vite transformé en Rick, puis on a fait rimer ce surnom avec un autre pour devenir un nom à part entière. C’est ainsi que Rick est devenu Dick. C’est probablement le surnom le plus dur à porter de nos jours, et le plus difficile à traduire… Dans un épisode de Desperate Housewives (saison 7, épisode 13), le personnage de Susan lance à un “Dick“, qu’il a bien la tête de son prénom, ce que les traducteurs ont traduit par “du con” en français. Bof.
Pourquoi les John sont des Jack?
Qui dit surnom, ne dit pas forcément diminutif aux Etats-Unis! Remontant au XIIe siècle, Jack était à l’origine utilisé comme nom générique pour les paysans. Au fil du temps, il s’est retrouvé dans les noms de métier comme celui de bûcheron (lumberjack) ou encore de cordiste (steeplejack). Tout comme Jack, John était aussi utilisé comme nom générique pour les roturiers et les paysans anglais (John Doe, que l’on utilise aujourd’hui pour désigner les personnes sans identité), ce qui pourrait expliquer pourquoi Jack est devenu son surnom. L’autre explication serait que les Normands ajoutaient “kin” au nom lorsqu’ils voulaient créer un diminutif. Et Jen était leur façon de dire John. C’est ainsi que John est devenu Jenkin. Le temps a transformé cela en Jakin, qui est finalement devenu Jack. Vous suivez?
Evidemment, les Harry sont des Henry
Depuis l’époque médiévale, Harry a toujours été un surnom populaire pour les Henry en Angleterre. Henry était également très populaire parmi les monarques britanniques, dont la plupart préféraient être appelés Harry par leurs sujets. C’est une tradition qui se poursuit aujourd’hui comme le prince Henri de Galles qui, une fois baptisé, est devenu le prince Harry.
Bill Clinton est en fait William Clinton
Il y a beaucoup de théories sur la raison pour laquelle Bill est devenu un surnom pour William. Le plus évident, c’est que cela faisait partie de la tendance de l’échange de lettres du Moyen Âge. Semblable à Dick et Rick, Bill est un surnom qui rime pour Will. Certains pensent que Will a été transformé en Bill pour des raisons phonétiques. A noter, lorsque William III règne en Angleterre à la fin du XVIIe siècle, ses sujets utilisaient le surnom de “roi Billy” pour se moquer de lui.
La palme d’or à Peggy pour Margaret
Peggy est l’un des surnoms les plus obscurs de cette liste, mais l’explication est assez simple. Les surnoms évidents pour Margaret sont Marg, Margie et Maggie. Il n’en faut pas beaucoup pour arriver à Meg à partir de là. Nous savons maintenant que les rimes ont joué un rôle majeur dans de nombreux surnoms. Ces surnoms se sont transformés plus tard en formes rimées Pog (gy) et Peg (gy). Bon à savoir, les Margaret peuvent aussi se prénommer Daisy, de la traduction de “Marguerite” en français.

Norwegian lance des vols directs Paris-Austin

La liaison est inédite. Après Denver et Orlando, que la compagnie Norwegian Airlines est la seule à desservir sans escale au départ de Paris, ses vols Paris-Austin seront lancés le 6 mai 2020. Cette huitième route long-courrier directe au départ de Paris-Charles de Gaulle (CDG) en direction des Etats-Unis sera saisonnière et opérée jusqu’au 23 octobre 2020.

La compagnie low cost n’en a donc pas fini avec les US, malgré l’arrêt de ses Paris-Newark et de sa desserte des Caraïbes en raison de difficultés financières. Après avoir franchi en juin le cap des 1,5 million de passagers transportés entre les France et les Etats-Unis, Norwegian a publié son meilleur résultat trimestriel avec un bénéfice brut de 216 millions d’euros (+38%). Les Etats-Unis constituent d’ailleurs le marché le plus important pour la compagnie en termes de revenus suivis par la Norvège, l’Espagne et le Royaume-Uni.

Selon la compagnie, les passagers pourront voyager en class éco à partir de 189,90€ aller-simple, et en Premium à partir de 709,90€ l’aller-simple. Les vols, qui accueilleront jusqu’à 35 passagers en classe Affaires et 309 en Economie, seront opérés jusqu’à trois fois par semaine en Boeing 787-9 Dreamliner.

 

Nicolas van Heule, le rebelle des boutons de manchettes à New York

« Ça évoque un peu la mauvaise éducation, ça a un côté un peu insolent ». Nicolas van Heule parle de sa petite entreprise, Fils Unique, une marque de boutons de manchettes artisanaux fabriqués à New York, déjà en vente chez Bergdorf Goodman et à partir de novembre chez Neiman Marcus. 

Cet ancien avocat de 40 ans, originaire de Bruxelles, a abandonné sa carrière de juriste pour se lancer dans cette aventure. « J’ai toujours été un créatif, confie Nicolas van Heule. Ce côté de moi a été frustré pendant ces 12 années de barreau. J’ai toujours dessiné, j’ai toujours été intéressé par le design, la création », ajoute le jeune entrepreneur. 

Nicolas van Heule aime porter des boutons de manchette qui sortent de l’ordinaire. « Dès que je trouvais des boutons de manchettes un peu plus funk et originaux, je les achetais d’office. Les boutons de manchette classiques ont un côté un peu ennuyant ».

Il commence à prendre des cours particulier de joaillerie à New York pour se fabriquer ses propres boutons. « A ce stade là, c’était un hobby, j’étais toujours avocat. Les boutons que je trouvais arrivaient tout droit de Chine. C’était de la mauvaise qualité. » Il apprend alors toutes les étapes de conception du bijou et apprend à couler l’argent. L‘idée de lancer sa propre marque germe. Fils Unique est né.

Le jeune entrepreneur a testé une quarantaine de professionnels avant d’embaucher « des artisans russes, les meilleurs, qui ont été formés à la restauration des oeufs de Fabergé. Ils utilisent des techniques anciennes ».

Car les boutons de Nicolas van Heule sont des petites créatures qui demandent un travail d’orfèvre. « Une paire de bouton de manchette passe entre les mains de sept artisans. Parfois, pour une seule paire, c’est huit heures de travail. Le plus long, c’est la peinture », précise l’entrepreneur.

Si certains boutons de manchette restent classiques, Nicolas van Heule fait le pari de se démarquer avec des boutons à la fois originaux et artisanaux. Il y en a pour tous les goûts: des fruits et des légumes, des grenouilles, des pieuvres, des abeilles et des têtes de mort. Niveau prix, il faut compter entre 275 et 1 600 dollars la paire.

Au delà de la clientèle traditionnelle – « celle qui porte des costumes, les avocats, les banquiers, les financiers… – », il aspire à séduire un public plus jeune et moins professionnel, « qui porterait les boutons de manchette comme un bijou, pour des occasions particulières. » Il souhaite d’ailleurs lancer une ligne de produits pour les femmes.

Une soirée de pitches européenne à San Francisco

L’Europe sera unie dans les locaux de DocuSign le mardi 29 octobre. La Chambre de commerce franco-américaine de San Francisco et ses homologues européennes organisent une “European Pitch Night”.
L’événement rassemblera cinq entrepreneurs issues de “startups les plus intéressantes d’Europe”, selon la promo. Elles “pitcheront” leur concept pendant cinq minutes. La présentation sera suivie d’une séance de questions-réponses de trois minutes. Les entreprises participantes sont: Health Centrix (santé), Bounce (stockage de valises), Reimagine Food (futur de l’alimentation), Urban Radar (mobilité urbaine) et Palmm (dermatologie).
 

À San Francisco, les propriétaires de La Boulangerie misent sur la pizza

Tremble San Francisco, la révolution Apizza est en marche. L’enseigne créée par Nicolas Bernadi et Pascal Rigo a ouvert ses portes la semaine dernière en plein coeur de Pacific Heights.
Les pères fondateurs de la Boulange (devenue La Boulangerie) en 2015 se sont lancés un nouveau défi : créer la pizzeria de demain. Pour cela, pas de secret, seulement de bons ingrédients et une bonne connaissance du marché. “Avec Apizza, on veut offrir aux Américains de la bonne nourriture à petit prix, avance Nicolas Bernadi. “Ouvrir une pizzeria, ça n’a rien d’original. En revanche, utiliser de bons produits et garantir un prix qui défie toute concurrence, ça l’est. Notre pizza Margherita de 9-inches avec pâte et sauce tomate bio se vend à 2,75$. C’est du jamais vu. 
Pour parvenir à ce deal, trois années de réflexion ont été nécessaires. Le duo français s’est donné pour défi de penser “out of the box” en respectant des valeurs qui lui sont chères : qualité, efficacité, rapidité d’exécution, éco-responsabilité et unicité. Cela se traduit par énormément de travail en amont. “Contrairement aux autres pizzerias, nous n’avons pas vraiment de cuisine et de cuisiniers. Nos pâtes et notre sauce sont préparées chez un sous-traitant, puis conservées au frais. On gagne en espace et en main-d’oeuvre. Sur place, nous nous occupons de l’assemblage de la garniture et ça va très vite”, admet Nicolas Bernadi. 
Au moment de la conception du menu, Nicolas Bernadi et Pascal Rigo ont été aidés par un chef cuisinier. Les pizzas ont toutes une base bio (pâte et sauce) et proposent différentes saveurs, des plus traditionnelles aux plus originales. On retrouve parmi les classiques la Pepperoni, la BBQ chicken et la royale with cheese. Le petit plus: elles sont servies dans des emballages compostables. “Nous n’avons pas de boîte à pizza, nous vendons nos pizzas dans une sorte de petit plateau en carton. Nos verres ainsi que nos pailles sont aussi recyclables. Nous encourageons même nos clients à venir avec leur propre gobelet. Lorsque c’est le cas, on enlève 30 centimes sur leur boisson.
Sur le long-terme, le duo espère ouvrir une centaine d’Apizza à travers le pays avec pour objectif de “devenir le In-n-Out de la pizza”. Deux ouvertures sont déjà prévues d’ici la fin de l’année, dont une à Belmont. 

Un nouveau programme bilingue dans une école publique au Texas

La rentrée scolaire texane 2019/20 prend des couleurs françaises avec l’ouverture d’un nouveau programme d’immersion à l’école publique Wimbish World Language Academy. C’est la deuxième école publique au Texas, après Mark White à Houston, à ouvrir ses portes à une filière français-anglais.
Située à Arlington, entre Fort Worth et Dallas, cet établissement propose un programme bilingue du niveau pre-Kindergarten (maternelle) au 1st grade (CP). Ce projet initié par les autorités locales, sur la demande de parents d’élèves anglophones, accueille 27 élèves. La moitié du temps d’enseignement aura lieu en anglais et l’autre moitié en français sous la houlette de deux professeurs natifs ayant pour mission d’enseigner les mathématiques et les sciences en français.
Les autres enfants inscrits de 2nd grade (CE1) à 6th grade (6eme) ne participant pas à ce programme d’immersion suivront des cours de français langue étrangère. Une Française, Isabelle Williams, spécialiste de l’instruction des langues étrangères auprès du district de Arlington, supervisera l’enseignement du français dans l’école. « C’est une montée en cohorte qui permet de gérer la montée en puissance des enseignants », précise Alexis Andres, Consul Général de France à Houston. En d’autres termes, l’école ouvrira un niveau de classe supplémentaire chaque année et renforcera les effectifs de professeurs de français.
Le processus de candidature est simple: les parents doivent assister à une réunion (obligatoire pour acceptation) sur les classes d’immersion puis inscrire leurs enfants en ligne sur le site des autorités éducatives locales.
Les élèves exploreront la langue à travers les arts, comme la danse, le théâtre, le dessin, la peinture ou encore la photographie. Pendant l’été, l’école proposera des projets spéciaux pour que les élèves puissent continuer à mettre en pratique leurs compétences linguistiques. « Ces dernières années, nous avons fait venir plusieurs auteurs jeunesse francophones dans les écoles, tels que Jérémie Royer, Sandra Lanilis ou encore Marion Bataille pour échanger avec les élèves », précise Virginie Le Tallec, attachée culturelle adjointe, chargée de coopération éducative et linguistique pour le Texas, l’Oklahoma et l’Arkansas.
Le programme est loin d’être le dernier au Texas. Des discussions sont déjà en cours sur un programme à Austin et une nouvelle école d’immersion devrait ouvrir à San Antonio en janvier 2020 en école privée. Ces deux nouveaux projets serviraient de passerelle avec le collège. Les élèves recevront d’ailleurs des crédits d’études dans cet optique.

Jean-Philippe Nuel, l’architecte designer star des hôtels de luxe, arrive à New York

(Article partenaire) Les chambres du très trendy hôtel Molitor à Paris et celles de l’InterContinental Hôtel Dieu de Lyon, dernier né des hôtels de luxe de référence en France, portent sa signature. Depuis vingt ans, Jean-Philippe Nuel est l’architecte d’intérieur que les hôtels s’arrachent de Paris à Rome et jusqu’au Japon.

À New York, il s’associe avec Sandy Despres Stevens, architecte d’intérieur, pour créer Studio Jean-Philippe Nuel & Partners, dédié spécifiquement au marché américain.

Du boutique-hôtel parisien aux grandes entreprises internationales

Hôtel Le Cinq Codet, Paris. Crédit Gilles Trillard.

Jean-Philippe Nuel, architecte de formation, lance son agence à Paris et très tôt, à trente ans à peine, il réalise son premier boutique-hôtel. Ensuite, tout s’enchaîne : les boutique-hôtels à Paris, puis les grandes chaînes internationales telles que Accor, Hilton, Marriott, InterContinental… font rapidement appel à lui pour leurs marques d’hôtels de luxe et lifestyle. 

Le terrain de jeu est large et diversifié : en plus des hôtels à proprement parler, le Studio Jean-Philippe Nuel réalise aussi des restaurants, souvent pour de grands chefs, des bars, des rooftops, des spas opérés par des marques de luxe et aussi des espaces de co-working.

Cette légitimé dans les hôtels nous a amenés à être sollicités sur d’autres métiers comme l’aménagement d’espaces de bureaux où le travail se réinvente autour de lieux de vie et d’échanges, la rénovation de grands équipements sportifs ou encore la réalisation de flagship stores de marques qui ont pour ambition de dépasser leur fonction première en devenant des lieux de communication, d’échange avec les clients, explique Sandy Despres Stevens, co-founder & CEO.

Restaurant Imperial Treasure, Paris. Crédit Gilles Trillard.

Une approche créative pour un projet unique

Car là est toute la valeur ajoutée d’un espace aménagé par le Studio Jean-Philippe Nuel : le lieu devient le théâtre d’une véritable expérience pour le client.

Notre ambition est de raconter pour chaque projet une histoire unique qui se nourrit de l’esprit du lieu et de l’ADN de notre client. Le lieu, son environnement, son histoire doivent donner au projet toute sa signification au-delà de la dimension esthétique, continue Sandy Despres Stevens. Qu’il s’agisse d’une marque d’hôtel, d’une marque retail ou d’une entreprise, l’identité de la marque, sa mission, ses valeurs constituent toujours le fil rouge de notre design.

La création de chaque projet est donc une alchimie qui permet aux architectes de créer des expériences uniques et sur mesure, une sorte de magie qui fait que le client se souviendra du lieu et de la marque.

Bar à parfum à La Clé Champs Elysées, Paris. Crédit Gilles Trillard

Un des derniers nés des projets du studio est l’hôtel La Clé Champs-Élysées à Paris, ancien hôtel particulier du Groupe Hennessy maintenant reconverti en hôtel 5 étoiles. “Notre objectif était de permettre aux touristes étrangers de vivre Paris comme un parisien et de découvrir l’art de vivre à la française” confie Sandy Despres Stevens. “Chaque chambre a été conçue comme un appartement haussmannien avec parquet, moulures et cheminée d’époque”. Le studio a même été plus loin, en installant un bar à parfum dans le lobby, créant ainsi un lien entre les métiers de l’hôtellerie et du retail. “Les clients s’amusent avec les odeurs, créent et repartent avec un souvenir personnalisé”.

En s’installant à New York, les designers veulent apporter un peu de cette French touch outre-Atlantique. “Notre volonté est d’offrir à nos clients une qualité de service équivalente dans tous les pays où nous intervenons et de conserver notre taille humaine, élément fondamental de notre créativité”, note Sandy Despres Stevens. “Avoir une équipe à New York permet une proximité avec les clients et une véritable connaissance des particularités du marché américain. Notre équipe locale est d’ailleurs constituée d’architectes américains qui nous permettent de développer et d’exécuter les projets selon les règles et procédures locales.”

L’envie du Studio Jean-Philippe Nuel est donc d’accompagner plus efficacement les marques voulant se développer aux États-Unis, en leur offrant à la fois une signature unique, un savoir-faire et une vraie capacité d’exécution locale sur les aménagements d’hôtels, d’espaces de travail, création de boutiques, restaurants, SPA ou bateaux.

Contacter Studio Jean-Philippe Nuel & Partners

En savoir plus sur Studio Jean-Philippe Nuel & Partners


—————-
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Une soirée Occitanie à New York le 14 novembre

Occitans de New York et amis de l’Occitanie, cette soirée est pour vous. Le 14 novembre, l’association Racines Sud, qui regroupe les expatriés du Languedoc Roussillon et de Midi-Pyrénées, organise une rencontre-dégustation-cocktail dinatoire sur les atouts de la région Occitanie/Pyrénées-Méditerranée à la Maison de la Région Occitanie/Pyrénées-Méditerranée.
Participeront à cette soirée de promotion : Emmanuelle Darras-Rivault, fondatrice et directrice de l’association, Magali Richard, vice-présidente de Racines Sud, Cécile Lazartigues-Chartier, responsable du réseau à Montréal, Sandrine Arjaliès, responsable du réseau New York, et Pascal Ehrhardt, responsable du département attractivité à l’agence de développement économique régionale Ad’Occ.
La dégustation des vins sera assurée par Gérard Bertrand, vigneron et entrepreneur originaire du Languedoc-Roussillon. Inscription obligatoire avant le 8 novembre à [email protected]

Le réseau Main dans la Main ouvre une antenne à Los Angeles

Parce que s’installer aux Etats-Unis n’est pas toujours évident, le réseau Main dans la Main s’élargit au-delà de San Francisco en ouvrant une antenne à Los Angeles.
Fondé en 2015 par trois Françaises à San Francisco, le réseau d’entraide a pour objectif d’écouter et d’accompagner les francophones qui rencontrent des difficultés lors de leur expatriation (divorce, isolement, deuil, dépendances, maladie…).
Les bénévoles de RMDM interviennent à travers des contacts écrits et oraux. L’association organise aussi des conférences sur les défis de l’expatriation.

French Cheese Board fête Halloween avec de la mimolette

Le fromager français French Cheese Board célèbrera Halloween le jeudi 31 octobre. Il mettra à l’honneur un célèbre fromage du nord de la France au couleur d’Halloween: la mimolette. 

En plus de déguster des morceaux de mimolette et de bénéficier de réductions spéciales, les gourmands pourront profiter d’un bon “Mac & Mimolette”. Les réservations sont gratuites, mais les portions seront attribuées sur la base du premier arrivé, premier servi.

Pour la couleur, pas de sorcellerie : le fromage doit sa teinte orangée au roucou, un colorant naturel utilisé pour le différencier du fromage d’edam, fabriqué au Pays-Bas au XVIIème siècle (et dont la mimolette était en faite une imitation).

Sous le coup d’un embargo d’avril 2013 à octobre 2014 aux Etats-Unis car considéré comme impropre à la consommation compte-tenu de son caractère prétendument “dégoûtant”, elle a fait son retour pour le plus grand plaisir de ses fans.