Quel souvenir rapporter de Miami ? C’est à cette question que tente de répondre Marie-Laure Desnoulez, plus connue sous le nom de Marilou. Ne trouvant pas son bonheur dans l’offre actuelle, la Française de 35 ans vient de lancer Bichōn, sa marque éthique de t-shirts et casquettes aux couleurs de Miami.
« Malgré le nombre croissant de boutiques de souvenirs, il y a un manque cruel de produits de qualité et surtout authentiques car bien souvent tout est fabriqué à l’étranger », déplore Marie-Laure Desnoulez qui, après avoir exercé pendant de nombreuses années dans le domaine de la communication et du marketing, a souhaité se lancer dans l’aventure entrepreneuriale. « C’est le grand saut pour le cap des 35 ans », plaisante la Lilloise installée depuis près de cinq ans aux États-Unis.
Après plusieurs mois de réflexion, la jeune entrepreneuse a finalement décidé de se tourner vers le secteur de la mode et plus particulièrement celui du commerce de détail. « Je souhaite mettre à profit mes compétences acquises en communication, marketing et vente et j’aime exprimer ma créativité, raconte Marie-Laure Desnoulez. C’est aussi un hommage à Mimi, ma grand-mère, qui était une couturière hors pair et qui avait de l’or au bout des doigts, ajoute-t-elle. Quand on perd un être cher, c’est comme un cycle qui se termine. On souhaite réussir à donner vie autrement ».
Bichōn est né. Souhaitant inscrire cette marque dans une démarche écologique et responsable, la trentenaire a choisi avec minutie les entreprises avec lesquelles elle allait collaborer. « Tout est 100% coton et principalement fabriqué aux États-Unis ou avec des composants américains par des sociétés américaines, insiste-t-elle. Cela permet de soutenir l’entrepreneuriat local et surtout l’économie de mon pays d’accueil ».
S’adressant aux locaux fiers de leur ville, aux expatriés ou encore aux touristes en quête de souvenirs, Marie-Laure Desnoulez dessine des t-shirts et casquettes arborant une broderie qui revisite certains clichés de Miami : un flamand rose ou encore une inscription « Miami It » en clin d’oeil à l’équipe de basket locale.
Ces motifs aux couleurs néon rappelant les façades Art déco de Miami Beach ont aussi la particularité d’être phosphorescents. « Cela laisse entendre que même dans l’obscurité, il y a toujours un peu de lumière et d’espoir », souligne la Française. Elle inscrit par ailleurs sa marque dans une démarche philanthropique en reversant une partie des ventes à la fondation locale Angel Watching Over Me, qui organise des groupes de parole pour accompagner les personnes face au deuil.
De fil en aiguille, la marque Bichōn poursuit son expansion. Présente en ligne, Marie-Laure Desnoulez a également tissé des liens avec certaines boutiques locales où ses créations sont distribuées et fourmille déjà d’idées et de projets. « Je souhaite décliner les motifs pour d’autres villes iconiques aux États-Unis et vivre pleinement mon rêve américain ».
Bichōn, des cadeaux souvenirs éthiques et "frenchy" à Miami
Le restaurant français Escargot Bistro cherche repreneur à Fort Lauderdale
(Article partenaire) Après avoir passé des années dans différents pays pour le compte de Sofitel (hôtels de luxe), Andréa et Didier Martin sont arrivés à Miami en mars 2003. En juin 2005, ils décident d’ouvrir leur propre business à West Palm Beach et créent Paris Bakery & Café. En 2013, ils revendent le restaurant et quelques années plus tard, forts de leur expérience, en ouvrent un nouveau à Fort Lauderdale : c’est la naissance d’Escargot Bistro, en décembre 2015.
L’idée : faire découvrir à la clientèle locale l’ambiance d’un bistro familial où l’on sert des recettes françaises traditionnelles. Au bout de deux ans, Escargot Bistro est devenu numéro 1 sur TripAdvisor, a obtenu 5 étoiles sur Yelp & Facebook et est coté 4.8 sur Google !
Maintenant, avec la satisfaction du devoir accompli, ils envisagent de prendre leur retraite et de vendre leur petit bijou pour couler des jours heureux sur la Côte d’Azur… Le restaurant a donc besoin d’un repreneur !
Intéressé.e ? Ne dérangez pas les propriétaires pendant le service, contactez plutôt leur agent :
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Non Laurent Ruquier, il n'y a pas "rien à faire et à voir à Brooklyn"
Animateur vedette des Grosses Têtes sur RTL, Laurent Ruquier recevait lundi 30 septembre dans son émission l’animateur Thierry Ardisson et le journaliste Franz-Olivier Giesbert.
Mais à une question portant sur les vertus du persil, Laurent Ruquier a fait référence à la célèbre pizzeria Roberta’s située à East Williamsburg. Citant un article publié dans Telerama expliquant qu’on trouve à Roberta’s “une tarte entière au persil, un gâteau vert pétard dont le persil est l’ingrédient principal”, l’animateur raconte sur un ton moqueur son expérience à Brooklyn. “C’est un hasard mais j’y suis allé cet été à Roberta’s. Ça fait plusieurs années que je vais à New York, et à chaque fois dans tous les magazines, on nous dit qu’il faut aller à Brooklyn, que c’est le truc à la mode. Chaque année j’y vais, je demande au taxi de me laisser dans Brooklyn, mais je ne trouve jamais rien. Mais RIEN, ce qui s’appelle RIEN”.
L’animateur, sentant qu’il commence à amuser ses chroniqueurs, enchaîne. “Je prends donc un Uber (de Manhattan), il me faut 45 minutes pour arriver à Brooklyn chez Roberta’s. Là il y a une sorte d’usine avec rien autour, et des hipsters de chez Apple -des bobos comme on dirait chez nous- qui sont là à bouffer leur pizza”.
Après son repas, Laurent Ruquier raconte qu’il en a profité pour visiter le quartier. Mais selon lui, “il n’y a rien aux alentours. Il faut à peu près marcher 1h30 pour retrouver un autre magasin, une boutique, un musée où je ne sais quoi d’intéressant”. Il en conclut que “c’est ça Brooklyn”, avant de demander son avis à Thierry Ardisson qui acquiesce: “j’y suis allé, je suis d’accord avec vous”, et celui de Franz Olivier-Giesbert, pour qui “ça a toujours été la zone Brooklyn. Ça renait un peu soit disant, mais il faut aller à Manhattan comme tout le monde, à Greenwich Village”.
Avec une description de Brooklyn si éloignée de la réalité, on peut se demander qui sont réellement les “bobos” dans l’histoire. Brooklyn, cher Laurent, c’est un “quartier” bien plus grand que Paris avec 2,5 millions d’habitants. C’est un carrefour du monde où l’on parle toutes les langues et où on peut goûter toutes les cuisines, comme la gastronomie polonaise à Greenpoint, la cuisine russe à Sheepshead Bay, ou les spécialités jamaïcaines à Flatbush. Brooklyn, c’est aussi 23 musées dont le célèbre Brooklyn Museum dédié à l’art, le Brooklyn Historical Society qui raconte 400 ans d’histoire du borough, ou encore le musée du métro new-yorkais, le New York Transit Museum.
Brooklyn c’est aussi le quartier de Bushwick et son street-art réputé dans le monde entier, c’est également Dumbo avec ses rues en pavé qui vous rappelleront Paris et ses galeries d’art à chaque coin de rue, et c’est évidemment Williamsburg avec ses dizaines de commerces artisanaux, de cafés et de restaurants qui donnent au quartier une atmosphère de village.
Monsieur Ruquier, la prochaine fois que vous venez à Brooklyn, allez vous balader à Prospect Park, un parc gigantesque aux allures de forêt vierge qui est le poumon vert de Brooklyn. Si vous aimez la plage, on vous conseille Coney Island et ses quatre kilomètres de sable face à l’océan.
Pour ce qui est de Roberta’s pour finir, tous les Brooklynites savent que ce restaurant est un attrape-touriste sur-coté. On vous emmènerait en revanche avec plaisir tester l’un des 30 bars et restaurants situés dans les 500 mètres aux alentours. Parmi eux, vous apprécieriez sans doute la cidrerie de Brooklyn Cider House, les charmants patios sous les arbres du restaurant Forrest Point, le célèbre diner Tina’s, et vous trouverez des bonnes pizzas chez Artichoke.
Cher Laurent, nous espérons que vous lirez cet article avant de planifier votre prochain voyage à New York, et serions ravis de rétablir quelques vérités auprès de vos auditeurs sur ce vrai Brooklyn qui mérite tant qu’on le visite.
Révolution bilingue, ép.11: la Chine se passionne pour le plurilinguisme
Passage par la Chine pour l’épisode 11 de Révolution bilingue, avec une interview de Yu Zhonggen et Zhu Yanhua, deux spécialistes des langues à Pékin, interviewés par Fabrice Jaumont.
L’enseignement des langues est en plein essor en Chine et les perspectives de croissance du secteur du plurilinguisme, au sein duquel le français tient une bonne place, sont absolument renversantes.
Le podcast “Révolution Bilingue” est proposé par French Morning avec le soutien de CALEC (Center for the Advancement of Languages, Education, and Communities).
Écoutez l’épisode ici ou sur iTunes Podcast.
Listen to “Episode 11: La Chine se découvre un engouement pour les langues étrangères” on Spreaker.
Les Français de Washington rendent hommage à Jacques Chirac
Lundi 30 septembre, 3pm tapantes, la dizaine de personnes présentes pour l’hommage à Jacques Chirac à la Maison française s’est vite mêlée à la vague d’employés de l’ambassade de France. Alors qu’il pleut sur la capitale -chose qui n’était pas arrivée depuis plusieurs semaines- l’ambassadeur Philippe Etienne invite tout le monde à observer une minute de silence. Devant eux, deux écrans allumés, sur lesquels se succèdent deux photos de Jacques Chirac.
Les voix de la chorale rompent cette minute de silence avec les notes de la Marseillaise. “Tout a été dit, commence par dire Philippe Etienne. Tout a été dit sur ce fils d’instituteurs”, poursuit-il, avant de rappeler que pour l’ancien président “toutes les cultures étaient égales“, faisant référence au musée du quai Branly-Jacques Chirac, ou encore à “ses valeurs portées comme la tolérance”. Il mentionne aussi son discours du Vel d’Hiv.
L’ambassadeur ne manque pas de rappeler l’année sabbatique de Jacques Chirac aux Etats-Unis, “de la Louisiane à Harvard“. Philippe Etienne rappelle aussi les relations de l’ancien président avec les Etats-Unis. “Lors du 11-Septembre, il a été le premier à se rendre à New York“, mais “c’est aussi celui qui a dit ‘non’ aux Etats-Unis” lors de la guerre en Irak.
L’ambassadeur invite Christine Lagarde à prendre la parole. “Il était un visionnaire lucide”, lance-t-elle à l’assemblée. L’ancienne ministre déléguée au Commerce extérieur sous Chirac, actuellement en transition entre le poste de directrice générale du Fonds monétaire international et celui de la Banque centrale européenne, a partagé quelques anecdotes à la fois drôles et touchantes. “Il n’entrait jamais dans la salle des ministres sans regarder qui était là, tout en jetant des regards approbateurs s’il voyait quelqu’un habillé élégamment”, se rappelle-t-elle, un sourire en coin.
“Il aimait le beau“, continue-t-elle, racontant comment Jacques Chirac avait apprécié un cadeau de la Première ministre néo-zélandaise Helen Clark, qui partageait son amour pour l’art. “Je lui avais ramené ce cadeau de mon voyage en Nouvelle-Zélande”, se souvient-elle, “il m’avait cherchée du regard dans la salle pour me remercier“, raconte-t-elle en mimant le président faire le signe du doigt et un clin d’oeil. “C’était un homme extrêmement attachant“, déclare-t-elle, sous les applaudissements de la foule.
“Il avait une chaleur humaine“, confie Brigitte Carton-Asfour, venue pour rendre hommage à l’ancien président. C’est son “non” à l’Irak qui l’a marquée le plus. Avec un ton grave et un sourire nostalgique, elle conclut: “c’était un homme qui aimait profondément son peuple“.
"Paris, The Show" passe une nuit à Washington
Les francophiles seront servis. Anne Carrere, connue pour son rôle d’Edith Piaf dans le spectacle “Piaf! The Show”, jouera le rôle de la célèbre chanteuse dans “Paris, The Show”, le 22 octobre à George Washington University. Les tickets sont en vente.
L’histoire se déroule à Montmartre après la guerre. Françoise veut réussir comme artiste à Paris. Elle croise dans le quartier des artistes une certaine Edith Piaf, qui va devenir son amie et son inspiration. Françoise tombe amoureuse de Jules, un chanteur qui vit à Pigalle. Le spectateur sera transporté dans un Paris d’un autre temps. Le spectacle comprend les plus grandes chansons d’Edith Piaf, Maurice Chevalier, Joséphine Baker et d’Yves Montand notamment.
Où voir des dauphins et des baleines près de Washington DC ?
A trois ou quatre heures de Washington DC, les baleines et les dauphins vous attendent dans l’Océan Atlantique. French Morning vous révèle les endroits où se rendre pour voir ces beaux mammifères roucouler dans l’eau.
Dans la nature d’Assateague Island (Maryland)
Dès que vous apercevrez des ailerons dans les vagues autour de l’île, vous pourrez alors crier victoire : c’est un nid de Grands Dauphins, l’espèce la plus présente dans cette partie des Etats-Unis. Il faut s’éloigner un peu des sentiers battus et longer la plage un petit moment pour potentiellement apercevoir ces fabuleuses créatures. L’été est la saison de prédiction pour les voir, jusqu’à septembre ou même octobre s’il fait encore chaud.
Depuis les côtes, on peut espérer voir les baleines, en regardant au large lors des mois de décembre, janvier, février et mars, mais ne comptez pas trop dessus, puisqu’il faut aller davantage en pleine mer pour les apercevoir. Comptez trois heures pour atteindre Assateague Island depuis la capitale, et 20 dollars pour le parking. Pour rester sur place, prévoir une tente pour s’installer dans le camping du parc naturel avec réservation. Site.
Chincoteague Island, de l’autre côté d’Assateague (Virginie)
Pour les dauphins, de nombreux bateaux vous emmènent vers ces précieux mammifères. Les Yelpers adorent le Captain Dan, qui emmène ses passagers près de l’île pour voir les dauphins, avec les fameux poneys sauvages et les tortues de mer en bonus. Comptez 40 dollars par adulte (35 dollars par enfant de moins de 12 ans) pour 2 heures-2h30 de sortie. Daiseys Island Cruises offre des excursions de 2 heures pour 45 dollars par adulte (35 dollars par enfant de moins de 12 ans également) pour aller voir les dauphins et autres mammifères près de Chincoteague.
En solo, on utilise l’application Chesapeakedolphin mise en ligne par l’Université du Maryland. Sur une carte, des petit dauphins apparaissent selon ce que les utilisateurs ont trouvé. Un excellent moyen d’être au bon endroit au bon moment! Comptez également 3 heures de route pour atteindre l’entrée de l’île. Comme pour Assateague, le parc fédéral coûte 20 dollars pour y entrer avec un véhicule. Site.
Des baleines surtout depuis Virginia Beach (Virginie)
La ville portuaire est située au bord de la baie de Chesapeake, le plus grand estuaire des États-Unis, qui s’étend entre les États de la Virginie et le Maryland! Il faut un peu plus de quatre heures pour s’y rendre depuis Washington. Il y a de nombreux endroits à dauphins, mais également de nombreux “capitaines” ravis d’emmener les visiteurs pour un tour de “Whale Watching” pour voir des baleines à bosse se promener dans l’océan.
On vous recommande les tours de l’aquarium de Virginia Beach. Comptez 23 dollars par adulte pour les dauphins lors d’une excursion de 90 minutes. Pour les baleines, il faut partir dans l’océan profond, lors d’un tour de 2 à 2h30. Comptez 30 dollars pour un adulte. Site.
Dans tous les cas, oubliez votre appareil photo qui ne prendra qu’une médiocre image de ce moment inoubliable. Investissez plutôt dans une paire de jumelles, qui vous fera bien plus profiter de l’instant.
Gagnez des tickets pour "Ravel Transatlantique" à New York
Le Lycée français de New York (LFNY) offre deux paires de tickets pour assister à “Ravel Transatlantique”, un spectacle de piano-percussions jeudi 3 octobre. Pour participer, il suffit de remplir le formulaire ci-dessous.
À l’affiche: la pianiste Hélène Tysman, spécialiste de Chopin, et l’ensemble “Les Percussions Claviers de Lyon”, qui regroupe cinq joueurs de xylophone, vibraphone et marimba (des xylophones à résonateurs utilisés en Amérique latine). Ils joueront des morceaux de Maurice Ravel composés pour la tournée nord-américaine du compositeur en 1928. Pendant ce voyage, il rencontra George Gershwin. Le programme comprend également le célèbre “Rhapsody in Blue” du compositeur américain.
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Une minute de silence pour Jacques Chirac à New York
Une minute de silence sera observée en hommage à Jacques Chirac lundi 30 septembre, 3pm, au consulat de France à New York. Elle est ouverte à tous.
Un recueil de condoléances sera également mis à disposition des visiteurs de 9am à 6pm ce jour-là. Le consulat précise qu’il est aussi possible de laisser un message en ligne.
L’ancien président est décédé jeudi 26 septembre à l’âge de 86 ans. Ce lundi a été décrété « jour de deuil national » en France. C’est la huitième fois qu’un tel jour de deuil a lieu dans l’histoire de la Vème République.
XL Airways suspend ses vols
En “grande difficulté économique“, la compagnie low cost XL Airways a annoncé sur son site la suspension de ses vols du lundi 30 septembre (15h heure de Paris) jusqu’au 3 octobre inclus.
Les passagers voyageant pendant cette période sont invités à se rapprocher de leur agence de voyage, de leur assurance-voyage ou d’acheter un nouveau billet si aucune solution n’est possible. Un autre low cost long courrier, French Bee, a mis en place des tarifs spéciaux pour les passagers touchés par cette situation.
Placée en redressement judiciaire, jeudi 19 septembre, la compagnie “low cost” a décidé cette suspension en attendant la décision du tribunal de commerce de Bobigny sur une éventuelle reprise. XL Airways, qui opère notamment des vols entre Paris et plusieurs villes américaines (New York, Los Angeles, San Francisco et Miami), emploie plus de 570 personnes.
L’entreprise chroniquement déficitaire a été affectée par la concurrence de nouveaux acteurs sur le créneau du bas coût comme Norwegian Airlines ou encore Level. Son avenir est sombre. Lundi 30 septembre, elle n’avait pas trouvé de repreneur. Approchée, Air France a réitéré vendredi son absence d’intérêt. Selon le PDG de XL Airways Laurent Magnin, le transporteur a souffert de la « concurrence internationale débridée » des compagnies à bas coût long courriers et du poids des taxes et charges sociales en France.
Caravan Palace aux Etats-Unis: "Ce ne sont pas des vacances"
Les rois français de l’électro-swing sont de retour avec un quatrième album, “Chronologic”, et partent en tournée pendant un mois sur le continent américain du 28 septembre au 31 octobre.
“Nous sommes très heureux de revenir aux Etats-Unis et au Canada, même si ce ne sont pas des vacances”, plaisante Charles Delaporte, le bassiste du groupe. Caravan Palace va se produire 20 fois en 30 jours, avec une première date à Mexico City le 28 septembre avant d’écumer les grandes villes américaines comme New York, Washington, Chicago, Austin et Los Angeles, et de passer par Toronto et Montréal au Canada (voir les dates sous l’article).
Le dernier album de Caravan Palace est un ovni musical qui fait la part belle à des genres musicaux variés, avec des influences soul, hip-hop, pop ou encore rythm and blues. “On essaie de sortir un peu de l’électro-swing, qui peut être très répétitive. On ressent le besoin d’explorer autre chose avec des musiques plus pop, tout en gardant notre cohérence avec un mix de sons vintage et modernes”, explique Charles Delaporte.
C’est au pays de l’Oncle Sam que Caravan Palace vend le plus de disques, devant l’Angleterre et la France. Un succès que le bassiste du groupe a du mal à expliquer. “On s’attaque au swing, qui est une musique née aux Etats-Unis dans les années 1930, peut-être que ça parle aux Américains. Et puis les artistes électro français semblent toujours avoir la cote ici”. Jouer aux Etats-Unis a longtemps été un rêve pour les membres de Caravan Palace, dont les influences musicales sont principalement anglo-saxonnes et américaines.
Pour sa tournée en Amérique du Nord, le groupe prévoit “des sets variés avec des musiques de nos quatre albums. Nos concerts commenceront fort, puis avec des musiques plus calmes, puis ça repartira. On espère finir en apothéose à Atlanta le 31 octobre pour Halloween”, résume Charles Delaporte.
Après 11 ans de carrière et des succès partout dans le monde, les membres de Caravan Palace en ont encore sous la chaussure. Dès la fin de la tournée, ils comptent “faire ce que les musiciens aiment faire à savoir s’enfermer de nouveau en studio, essayer des choses, douter et trouver de nouveaux morceaux”.
Toutes les dates:
Tuesday, October 1 – Boston, MA @ Royale – Tickets
Thursday, October 3 – Washington, DC @ 9:30 Club – Tickets
Friday, October 4 – New York, NY @ Terminal 5 – Tickets – GIVEAWAY
Saturday, October 5 – Philadelphia, PA @ Union Transfer – Tickets
Monday, October 7 – Montreal, Canada @ Mtelus – Tickets
Tuesday, October 8 – Toronto, Canada @ Phoenix Concert Theatre – Tickets
Wednesday, October 9 – Detroit, MI – The Garden Theatre – Tickets
Friday, October 11 – Chicago, IL @ House of Blues – Tickets
Saturday, October 12 – Minneapolis, MN @ First Avenue – Tickets
Monday, October 14 – Denver, CO @ Ogden Theatre – Tickets
Thursday, October 17 – Seattle, WA @ The Showbox – Tickets
Saturday, October 19 – Portland, OR @ McMenamin’s Crystal Ballroom – Tickets
Monday, October 21 – Oakland, CA @ Fox Theater – Tickets
Tuesday, October 22 – Los Angeles, CA @ The Wiltern – Tickets
Wednesday, October 23 – San Diego, CA @ Observatory North Park – Tickets
Sunday, October 27 – Austin, TX @ The Mohawk – Tickets
Tuesday, October 29 – Dallas, TX @ Granada Theater – Tickets
Thursday, October 31 – Atlanta, GA @ Heaven at The Masquerade – Tickets
Bien choisir son assurance santé aux États-Unis
(Article partenaire) Comment bien s’assurer aux USA ? Comment trouver une assurance santé adaptée à ses besoins et à son budget ? Ces questions effraient bon nombre de Français avant même qu’ils se soient penchés sur les multiples offres proposées sur le marché américain.
Pour s’y retrouver, il est essentiel de comprendre quels sont les types d’assurances qui existent afin de s’orienter vers une offre qui correspond à ses attentes et ses besoins.
AgoraExpat, courtier en assurance pour expatriés, installé à New-York depuis plus de 20 ans, met à votre profit sa connaissance du marché pour trouver l’offre la plus adaptée à votre situation.
Il existe deux grands types d’assurances proposées aux expatriés aux Etats-Unis :
– les contrats « Obamacare » ou ACA plan (Affordable Care Act)
– les contrats « expatriés » ou IMPI (International Private Medical Insurance)
Ces deux types de contrats peuvent être souscrits en complément de la CFE (Caisse des Français de l’étranger) pour les adhérents français qui le souhaitent.
Quelques exemples pratiques:
– Si je suis jeune et en bonne santé, j’aurai tout intérêt à m’orienter vers un contrat de type expatrié qui aura un tarif moins élevé.
– Si j’ai des antécédents de problèmes cardiaques, il sera plus avantageux pour moi de me tourner vers un contrat Obamacare pour éviter toute exclusion ou surprime.
– Si je m’installe aux USA avec ma famille et que je souhaite avoir un autre enfant, un contrat Obamacare sera moins onéreux et moins contraignant du fait de l’absence de période de carence pour la garantie maternité.
La grande variété d’offres en matière d’assurance santé peut paraître effrayante mais elle permet à chacun de trouver une couverture adaptée, à condition de savoir identifier ses besoins.
Chez AgoraExpat, nous mettons notre expertise au service de nos clients pour déterminer avec eux le type de couverture qui leur correspond en fonction de leur situation financière, familiale et de leur état de santé.
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