C’était un crime presque parfait. En septembre 1961, Dag Hammarskjöld, secrétaire général de l’ONU, meurt dans un crash d’avion en Afrique alors qu’il travaillait sur la résolution de la crise du Katanga au Congo.
Cet accident était-il un complot contre le diplomate suédois ? Le journaliste français Maurin Picard a enquêté et en a fait un livre à succès, Ils ont tué Monsieur H., qu’il présentera jeudi 19 septembre à la librairie Albertine lors d’une discussion avec le journaliste de l’AFP Daniel Hoffman. À travers son investigation entre l’Afrique, l’Asie et l’Europe, le journaliste, correspondant du Figaro à New York, a mis un lumière un vaste réseau d’acteurs impliqués dans le complot, d’espions britanniques à des mercenaires et diplomates français en passant par des agents du renseignement sud-africain et un ancien nazi.
Gratuit. Entrée libre.
Discussion sur la mystérieuse mort de "Monsieur H." à New York
Encadrement des loyers: toutes les questions que se posent les investisseurs
(Article partenaire) Vous possédez un ou plusieurs bien(s) immobilier(s) en France ? Vous savez certainement que l’encadrement des loyers est de retour dans les zones dites tendues, où l’offre est plus rare et les loyers élevés. Avant de mettre son bien en location, tout propriétaire devrait se pencher sur la question de l’encadrement des loyers, car il existe différentes conditions d’application.
L’encadrement des loyers : qu’est-ce que c’est ?
L’encadrement des loyers est une loi qui permet de limiter l’évolution des prix des loyers des biens immobiliers dans les régions tendues. Cette législation était entrée en vigueur en 2015 dans le cadre de la loi Alur et a été annulée en 2017 par le tribunal administratif de Paris. Deux ans plus tard, avec la loi Elan, l’encadrement des loyers fait son retour.
Les grandes villes comme Paris, Lyon et Bordeaux attirent un grand nombre d’investissements immobiliers et surtout des investissements locatifs. En effet, à Lyon et à Bordeaux, les loyers ont augmenté de 8% depuis 2015, selon SeLoger. À Paris, avant la mise en place de la loi, les loyers avaient connu une augmentation de 50% entre 2005 et 2015. L’encadrement des loyers est donc présent dans ces villes, ou au moins dans une partie de la ville ou la métropole.
Comment est calculé le loyer de référence à Paris ?
Des loyers de référence sont fixés par L’Observatoire des loyers tous les ans, en fonction du type de location, de la structure du bien, et l’année de construction de l’immeuble. C’est sur cette base qu’un propriétaire pourra fixer le montant de loyer ou la révision de celui-ci. D’après la loi, le contrat de location doit bien indiquer le loyer de référence ainsi que le loyer de référence majoré. Ce dernier est équivalent au loyer de référence + 20%.
Dans les régions concernées par cette législation, le loyer d’un bien immobilier est limité dans le cas d’une nouvelle location ou d’un renouvellement. Si le bien immobilier était occupé au cours des derniers 18 mois, le loyer du nouveau locataire ne pourra pas dépasser celui de l’ancien. Mais, si le bien était vide pendant plus de 18 mois, le propriétaire fixe le montant du loyer librement.
Qu’en est-il des sanctions ?
La loi Elan prévoit une sanction pour les propriétaires qui ne respectent pas l’encadrement des loyers. Tout bailleur qui fixe un loyer supérieur au loyer de référence majoré risque de recevoir une amende qui peut atteindre 5.000€ pour les personnes physiques et 15.000€ pour les personnes morales. Cette sanction est appliquée si le préfet est avisé du non-respect de la législation et que le bailleur n’abaisse pas le loyer dans les délais.
Quant aux retards de paiement du loyer, certaines conditions sont à connaître. Pour tout contrat de location signé après le 27 mars 2014, aucun frais de retard ne peut être appliqué par le bailleur à son locataire, que ce soit un bien meublé ou vide. Toutefois, si le locataire paye souvent son loyer en retard, le bailleur peut ne pas renouveler son contrat de location.
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Aux Etats-Unis, le casse-tête des relations hiérarchiques au travail
“Aux Etats-Unis, le management est beaucoup plus horizontal, remarquait Florian Marciniak en stage chez OTCfin, une société de modélisation financière. Avec mes managers directs, on boit des bières, on va au restaurant, on parle de sport…”
Ce constat, beaucoup de Français l’ont fait en travaillant dans des entreprises américaines. “La France est un pays où, dans l’ensemble, les relations hiérarchiques sont très importantes et basées sur une notion de centralisation”, analyse Manuelle Charbonneau, coach franco-américaine en leadership. Elle a passé autant de temps en France qu’aux États-Unis. Son expérience en ayant travaillé dans les deux pays lui permet d’aider des Français ou des Américains à s’intégrer dans leur nouvel environnement professionnel des deux côtés de l’Atlantique.
Selon l’experte, on encourage beaucoup plus les initiatives personnelles au sein des entreprises américaines : “C’est ce qu’on appelle aux États-Unis “empowerment””, une notion qui se rapprocherait du terme français de “responsabilisation”. Quant à la proximité entre les dirigeants et leurs employés, cela créé une émulation au sein de l’entreprise. “Ça donne envie aux gens du bas de monter et ça permet aux gens du haut d’avoir de l’influence, décrit Manuelle Charbonneau. Très souvent, en France, on renforce la distance verticale entre les personnes”.
Le modèle américain convient très bien à Florian Marciniak. “Il y a une ambiance d’équipe amicale. Ça permet plus d’échanges. Cela nous rend plus productifs car on a moins d’appréhension pour parler à un manager, c’est beaucoup plus naturel.” Même constat pour Clémence Morillot, en stage dans une entreprise de moteur de recherche. “C’est très convivial, on peut vraiment s’adresser à n’importe qui”.
Certains, comme Alexandre LiMandri, agent immobilier installé à Los Angeles depuis 2005, n’est pas toujours à l’aise avec cette proximité. “On dit souvent que les Américains sont faux, ça se vérifie dans le travail. Les gens vont être plus cool, plus à l’aise, sourire et parler à tout le monde. Mais dès que la porte est fermée, c’est “tu me vires celui-là”. Ce côté plus détendu n’est que de l’apparence.”
Valentin Jenny partage cette observation. En poste dans une banque new-yorkaise depuis un an-et-demi, il a été frappé par la manière dont ses supérieurs lui font des retours. “Mes managers m’annoncent toujours les bonnes choses en premier, avec beaucoup de superlatifs – “c’est très bien ce que tu fais, c’est exceptionnel” – et ils passent les points d’amélioration en dernier.” Ce fonctionnement lui a convenu dans un premier temps, en renforçant sa motivation, mais il s’est rapidement senti mal à l’aise face à tant d’enthousiasme. “Ça me donne l’impression que les personnes vont plus facilement donner une vérité un peu édulcorée. Cela ne donne pas envie de me rapprocher du collègue en question.”
Cette réflexion n’étonne pas Manuelle Charbonneau, qui considère ce manque de retours critiques comme une faiblesse américaine. “Nous sommes ici dans une culture de coaching, de développement et d’encouragement, y compris avec les enfants, auxquels on va avoir tendance à donner du feedback de manière plus enrobée, dit-elle. Ça demande de l’adaptation mais c’est aussi une capacité à lire entre les lignes”.
Un spectacle de mode à l'Ambassade de France à Washington le 28 septembre
L’Alliance française de Washington sait s’habiller et le prouve une nouvelle fois. L’organisme de promotion de la culture française dans la capitale organise un nouveau show “Beyond the Little Black Dress” le samedi 28 septembre à la Maison française de l’Ambassade de France. Les tickets sont en vente.
Ce “fashion show” présentera les travaux d’Isabel dos Santos, une ancienne diplomate du Mozambique reconvertie dans la création de vêtements (à ne pas confondre avec la femme d’affaires russo-angolaise et Africaine la plus riche). Formée à Londres par le styliste nigérian Yemi Osunkoya, fondateur de la marque de robes de mariées Kosibah, elle montrera une dizaine de ses créations, préparées exclusivement pour “Beyond the Little Black Dress”.
L’événement, quatrième du nom, permettra de lever des fonds pour l’Alliance, qui fête cette année son 70ème anniversaire.
Laurent Gallissot: "Je mise sur l'intelligence collective"
À peine arrivé, déjà les manches retroussées. Laurent Gallissot, qui remplace Clément Leclerc à la tête du consulat de France à Miami, a pris possession de ses nouveaux quartiers sur Brickell Avenue le mardi 3 septembre lorsque l’ouragan Dorian a frappé la Floride et les Bahamas.
« Cela a été une situation perturbante car j’ai été pris au dépourvu. Malgré tout, j’ai été ravi d’être aussi rapidement jeté dans le bain car cette gestion de crise m’a permis d’être en prise directe avec les particularités de la région », indique cet ancien conseiller des Affaires étrangères de 52 ans qui a effectué une grande partie de sa carrière au sein de la diplomatie française.
Après avoir occupé différents postes en France, en Europe et au Proche-Orient, Laurent Gallissot a souhaité traverser l’Atlantique afin de poser ses valises à Miami. « C’est une grande première car aux États-Unis je ne connaissais que New York et Boston où j’ai l’habitude de me rendre avec mon mari », raconte le Français né à Alger, qui a toujours été attiré par les villes portuaires. « Ce sont de véritables lieux d’échange ouverts sur la mer et présentant une diversité de la population », souligne Laurent Gallissot qui a été conseiller diplomatique auprès du préfet de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. « Marseille et Miami par exemple présentent ces similitudes et font par ailleurs face aux mêmes problèmes liés en partie au changement climatique ».
L’impact environnemental, justement, est au coeur des préoccupations de Laurent Gallissot qui a aussi été secrétaire général du One Planet Summit, une conférence internationale sur les changements climatiques initiée en 2017 par le président français Emmanuel Macron. « Nous sommes dans une période de transition où les consciences évoluent favorablement mais cela ne va pas assez vite », avoue-t-il. Sans vouloir entrer dans les débats, Laurent Gallissot entend soutenir le développement d’une économie verte en Floride. « Nous avons des chercheurs, des entrepreneurs ou encore des investisseurs français dans ce secteur et il est important de valoriser leur travail tout en montrant leur efficacité, explique-t-il. Cela permet aussi de sortir des secteurs traditionnels que sont le tourisme, la gastronomie ou encore l’immobilier ».
Diplômé de la Sorbonne et titulaire d’un master européen spécialisé en management des entreprises culturelles, Laurent Gallissot est par ailleurs un passionné de langue française. « Un diplomate français passe son temps à lire et écrire, c’est bien connu », lâche dans un grand sourire celui qui se considère comme l’un des promoteurs du LabelFrancÉducation, attribué aux établissements scolaires étrangers qui ont fait le choix de l’enseignement bilingue francophone. « Le bilinguisme est un atout éducatif et un outil considérable de développement personnel, insiste-t-il. L’annonce récente par le ministère des Affaires étrangères d’augmenter le budget de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger est ainsi de bon augure », ajoute Laurent Gallissot qui laisse entrevoir la reprise des négociations pour le projet du Lycée français à Miami. « Je pense que l’écosystème est enfin mûr et que la Floride mérite cet établissement de référence. Il faut encore trouver les investisseurs et pouvoir garantir la qualité du programme, mais sur ce point je n’ai aucun doute ».
Laurent Gallissot multipliera ces prochaines semaines les réunions de travail, les rencontres avec les élus et surtout les échanges avec la communauté française. « Je me positionne comme un catalyseur et je mise sur une intelligence collective, dit-il. Il est important de se rendre sur le terrain pour pouvoir dialoguer avec la population et écouter leurs propositions afin de créer des connections qui permettent de nourrir les projets ».
French-York: la reconversion mode d'une ex-attachée de presse à New York
L’élégance à la française mixée à l’énergie urbaine new-yorkaise : voici le pari de French-York, marque de prêt-à-porter lancée par Vanessa Duman.
Journaliste de formation devenue attachée de presse « mode-lifestyle », la Française s’est lancée dans le stylisme à New York sur un coup de tête. Ou plutôt un coup de cœur.
Partie une première fois aux Etats-Unis en 2013 pour perfectionner son anglais, en vue d’un nouveau poste dans sa entreprise parisienne, elle décide finalement de quitter son travail en 2015 pour revenir s’installer à New York, dont elle affectionne l’énergie. «Je ne me voyais pas passer toute ma vie derrière un bureau à Paris ».
Un virage à 180° pas si étonnant pour la jeune femme, adepte d’expatriation, qui a déjà travaillé au Cap-Vert, en Grèce et en Tunisie. Plongée dans l’ébullition new-yorkaise, Vanessa Duman décide de se lancer dans la création vestimentaire et lance sa marque French-York en décembre 2018. « A New York, on entend beaucoup de témoignages sur la reconversion : on a l’audace d’essayer sans avoir peur ».
Car lancer cette ligne de vêtements – sans formation de styliste et uniquement sur des fonds personnels – est un pari. « Alors qu’en France on m’aurait dit “fais très attention, t’es sûre de toi ?”, à New York, j’entends plutôt “c’est super, faut y aller” »
La jeune créatrice a développé une collection de vêtements à destination des Francophiles. Ses t-shirts (100% coton) et ses marinières arborent des slogans dans la langue de Molière. « Quand on est expat’, on a tendance a rester très attaché à sa culture d’origine. Et je sais que beaucoup d’Américains apprécient aussi la culture française ».
Si un petit budget suffit pour se lancer, il reste toutefois difficile de se développer et la clientèle de Vanessa Duman se limite pour l’instant à son cercle personnel et au bouche-à-oreille. Mais le succès de la marque dans des marchés de créateurs – comme le FAD Market à Brooklyn – l’incite à poursuivre l’aventure.
D’autant que la couture lui permet de renouer avec son histoire familiale. Chrétiens d’Orient persécutés et réfugiés en France, ses parents ont trouvé un nouvel élan lorsque le père de Vanessa Duman a ouvert des ateliers de couture dans l’hexagone. « C’est très encourageant d’avoir une famille qui a su transformer le changement en quelque chose de positif ».
La révision de la durée des visas E est encore reportée
La révision de la durée des visas E, qui tient en haleine les investisseurs français déjà aux Etats-Unis ou qui veulent s’y installer, est une nouvelle fois reportée.
Un membre du Département d’Etat a indiqué, jeudi 12 septembre à French Morning, que les Etats-Unis ont “reporté de manière temporaire la mise en oeuvre de changements à notre régime de visas. Une nouvelle date d’implémentation sera annoncée prochainement“.
L’Ambassade de France aux Etats-Unis confirme de son côté que les discussions sont toujours en cours.
Initialement prévu pour la fin août, le raccourcissement de la durée du visa de 5 ans à 15 mois, avait déjà été reporté une première fois au 26 septembre. Jeudi 12 septembre, le message posté sur le site de l’Ambassade des Etats-Unis en France informant les postulants de ce report avait disparu, laissant espérer une annulation de la décision.
Le suspense continue donc. Fin août, les Etats-Unis avaient décidé, à la grande surprise de la France et des entrepreneurs français installés aux Etats-Unis, de ramener la durée du visa E de soixante mois (cinq ans) à quinze.
Le Département d’Etat américain avait justifié cette décision par l’obligation légale de s’aligner sur des visas similaires délivrés aux Américains par le pays partenaire, en l’occurence la France.
Cette dernière avait protesté en faisant remarquer que les investisseurs étrangers avaient la possibilité de demander un visa d’un an puis un titre de séjour pouvant aller jusqu’à quatre ans. Le visa E (E-1 et E-2) est attribué aux investisseurs étrangers et à certains employés.
Après San Francisco, French bee lance son Paris-New York
L’axe New York-Paris suscite l’appétit des compagnies aériennes françaises. Après Corsair, le transporteur low cost long-courrier French bee a annoncé, jeudi 12 septembre, l’ouverture d’une liaison entre Paris Orly et Newark. Elle sera mise en service le 10 juin 2020, mais les tickets seront en vente dès le 18 septembre.
Cette liaison sera assurée par un nouvel Airbus A350-900 à raison d’un vol par jour (départ d’Orly Terminal 4 à 14h heure locale – arrivée à Newark à 16h15 heure locale; départ de Newark à 18h15 – arrivée à Orly à 07h30 le lendemain). L’appareil sera équipé de nouvelles technologies qui permettront de réduire le bruit et renouveler plus fréquemment l’air dans la cabine notamment.
Marque du Groupe Dubreuil, une entreprise dont les activités vont des concessions automobiles à l’hôtellerie en passant par les panneaux solaires, French bee a ouvert l’an dernier des vols entre Paris et San Francisco et San Francisco et Papeete avec l’ambition de se renforcer dans le secteur de l’aérien. Sur la ligne Paris-Papeete, la compagnie se targue “d’être est le 2e transporteur aérien avec près de 35% de parts de marché, précise-t-elle dans un communiqué. Quant au tronçon Papeete-San Francisco, la compagnie détient désormais 10% de parts d’un marché qui a cru de 30%“.
5 lacs pour se baigner près de San Francisco
Bientôt la fin de la saison estivale et comme une envie de prolonger le sentiment d’être en vacances ? Voici une sélection de lacs de baignades où l’on peut nager en toute sécurité et profiter de l’été indien sans aller trop loin.
Cull Canyon Lagoon
À 40 minutes de San Francisco, dans la Castro Valley, où le climat est plus chaud, ce lac artificiel attire les familles. Construit comme une piscine, sa profondeur augmente par palier. Au bord, un lagon avec des eaux peu profondes et très claires. Au centre, une plateforme qui ravit les grands et les amateurs de plongeons. Autour, une plage de sable blanc, des aires ombragées pour pique-niquer, des pelouses et tous les services d’une base de loisirs (cabines, toilettes, tables, etc.). Comme tout lieu prisé, il est impératif d’arriver tôt pour s’assurer d’y rentrer. Infos ici
Lake Del Valle
Direction Livermore pour découvrir après une heure de route ce réservoir aux airs de station balnéaire. Entre des collines recouvertes de chênes, l’eau s’étend sur huit kilomètres de long. Et nombre d’activités y sont possibles : natation (deux plages sont surveillées l’été), pêche, planche à voile, location de bateaux, randonnée sur l’un des sentiers voisins, camping ou fêtes (de larges espaces peuvent être réservés à l’avance). L’eau y est bonne et la faune active (biches, dindons, mais aussi moustiques…). Attention, site chargé le week-end et pas de réseau téléphonique. Infos ici
Lake Anza
Dans le parc régional de Tilden, sur Berkeley, à une trentaine de minutes du Bay Bridge, le lac Anza offre une échappée sauvage au soleil. Niché entre les collines, le lieu est tranquille et la plage, entourée d’eucalyptus, agréable. Tortues d’eau, oiseaux, poissons ou canards accompagnent les longueurs. La baignade entre les bouées est surveillée durant l’été et des gilets sont disponibles pour les plus jeunes. Infos ici.
Lake Temescal
Comme le lac Anza, c’est l’un des plus proches de San Francisco. Une oasis urbaine située dans les collines d’Oakland. Réservoir d’eau potable à l’origine, il a ensuite été ouvert au public. Aujourd’hui, la petite plage de sable entourée d’espaces verts et les aires de jeux attenantes sont très populaires. On s’y amuse avec le sentiment d’être loin de la ville. La baignade est surveillée selon les horaires et l’on peut y pêcher. Penser à vérifier la qualité de l’eau, des algues empêchant parfois la baignade. Infos ici
Bass Lake
C’est un endroit tendance, mais non officiel. Et il se mérite ! Pour l’atteindre, il faut d’abord rejoindre les collines de Point Reyes, à une heure de route de San Francisco. Puis emprunter un sentier de randonnée (entre 6 et 9 km selon le point de départ) en restant vigilant au sumac vénéneux qui jalonne le parcours. Une fois à destination, le lac est à l’abri du vent qui souffle sur cette côte, et l’eau fraîche est la bienvenue. Le maillot n’est pas indispensable (site apprécié des nudistes) et une corde accrochée à un arbre permet de se jeter dans l’eau. Infos ici
Corsair ouvrira une liaison Paris-New York en 2020
Corsair se renforce aux Etats-Unis. Après la ré-ouverture de son Paris-Miami, la compagnie aérienne française a annoncé, mercredi 11 septembre, l’ouverture d’une liaison quotidienne entre Paris Orly et Newark à compter du 10 juin 2020.
Les réservations seront ouvertes à partir du 17 septembre, précise la compagnie dans un communiqué. Les vols partiront de 18 heures d’Orly et arriveront à Newark à 8:25pm heure new-yorkaise. De Newark, ils partiront à 10:45pm et arriveront à Orly le jour d’après à midi heure de Paris. La nouvelle ligne Paris / New York sera opérée avec un avion “entièrement neuf“, l’Airbus A330-900 NEO, explique Corsair. Trois appareils ont d’ores-et-déjà été commandés. Les cabines, équipées de wifi, disposeront de 20 sièges en classe Affaires, 21 en classe Premium et 311 en classe Economy.
Corsair avait relancé son Paris-Miami en juin 2019, six ans après sa fermeture pour raisons économiques. Outre les Etats-Unis, elle prévoit d’étendre sa desserte de Montréal pendant l’hiver.
"Ridicule" de Patrice Leconte projeté à Palo Alto
Fanny Ardant s’invite à Palo Alto. Du moins sur grand écran. Le film de Patrice Leconte, “Ridicule”, sera projeté le vendredi 20 septembre dans le cadre du ciné-club de l’Alliance française Silicon Valley à l’Emerson School.
Le film, qui rassemble Fanny Ardant, Jean Rochefort, Charles Berling et Judith Godrèche, plonge le spectateur dans les intrigues de la cour de Louis XVI, où un seigneur peu fortuné doit apprendre à manier les codes de Versailles. Le long-métrage de 1996 a été nominé aux Oscars.
Il sera présenté par Hélène Laroche Davis, professeure de cinéma. Nourriture, boissons, networking et musique live assurée par Gaelle Boudier attendent aussi les participants avant la projection.