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La New York Restaurant Week d'été reprend le 22 juillet

C’est l’une des nombreuses raisons pour lesquelles on aime l’été à New York. La Summer Restaurant Week reprend ses droits du 22 juillet au 16 août avec plusieurs centaines de restaurants participants.
Le principe, on commence à le connaitre: des menus à prix fixes pour le déjeuner (26 dollars pour deux plats) et le dîner (42 dollars pour trois plats). Attention: certains restaurants ne pratiquent ces formules qu’au dîner. La liste des restaurants partenaires est alléchante. On y trouve aussi biens des grands classiques que des adresses moins connues. Parmi les “Frenchies”, laissez-vous tenter par le Bistro Pierre Lapin, Benoit, le Coq Rico ou encore les restaurants de Daniel Boulud. Pour les palais plus aventureux, visez les tout nouveaux Hudson Yards Grill ou le grec Estiatorio Milos, deux restaurants de Hudson Yards, ou des cuisines plus exotiques (l’indien Darbar à Midtown, le mexicain Empellón Taqueria à Greenwich Village…). Il y en a pour tous les goûts.
 

Les plus belles plages près de Washington DC

Washington DC a beau ne pas être au bord de l’océan, on peut tout de même trouver des plages à moins de deux heures de route de la capitale.
Assateague Island National Seashore, Maryland
Assateague Island est surtout connue pour ses plus de 300 poneys sauvages errant sur les plages. Comme il s’agit d’un parc national, le camping est autorisé. Si le sable entre les orteils pour dormir n’est pas votre truc, direction Ocean City, dans le Maryland ou à l’île de Chincoteague, en Virginie, pour trouver un hébergement à l’hôtel. Assateague est un endroit idéal pour observer des oiseaux, pêcher, ou encore partir en randonnée sur la plage à trois heures de route de DC. Comptez 20 dollars pour le parking. 
Breezy Point, Chesapeake Beach, Maryland

 

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A post shared by Brian Dent (@brian.dent) on Sep 26, 2018 at 12:20pm PDT

La pointe Breezy, dans le comté de Calvert, offre un petit kilomètre de plage de sable publique et les eaux bleues dans la baie de Chesapeake, à à peine plus d’une heure de route de DC. La plage est connue pour la grande quantité de dents de requin cachées dans le sable et la zone de baignade sécurisée. Il y a une jetée pour la pêche et la chasse aux crabes. Les fans de camping adoreront les terrains disponibles pour les tentes, les camping-cars et les caravanes.
Sandy Point State Park, Annapolis, Maryland

Acroterion/Wikimedia Commons

Située également dans la baie de Chesapeake, dans le comté d’Anne Arundel, juste à côté du pont Bay Bridge, cette plage est un moyen simple et bon marché de profiter de l’été. Les visiteurs sont invités à pêcher le crabe ou partir en navigation de plaisance, partir en randonnée et s’amuser sur une planche à voile. Le camping et la location de pavillons sont disponibles. Les week-ends sont vite complets, il faut donc arriver tôt pour se faire une place. Les jours de semaine sont plus calmes. L’entrée coûte entre 3 et 6 dollars selon la période et si vous êtes résident du Maryland. 
North Beach, Maryland
Chris Williamson/Wkimedia Commons

Appelée “Le joyau de la Chesapeake”, cette ville accueillante est également à une heure de route de la capitale. Les sportifs du dimanche apprécieront la possibilité de louer des kayaks de mer simples et doubles, des paddle-boards et des vélos. Des manèges, des boutiques et des endroits pour s’offrir des friandises estivales sont également proche des plages. Tous les frais d’entrée et de séjour peuvent être payés au centre des visiteurs, qui accepte les cartes de crédit et propose des douches et des toilettes. Pour les résidents du comté de Calvert, comptez 7 dollars pour les adultes, 4 dollars pour les enfants entre 3 et 11 ans, gratuit pour les moins de deux ans. Pour les visiteurs hors du comté, la note est plus salée : 17 dollars par adultes et 9 dollars par enfant, mais toujours gratuit pour les moins de deux ans.
Matapeake Park and Beach, Stevensville, Maryland
 

 

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A post shared by Matt Evola (@matt3vola) on Jun 22, 2019 at 3:10pm PDT

Sa plage est située dans la baie de Chesapeake, sur l’île Kent, dans le comté de Queen Anne, dans le Maryland, et à moins d’une heure de Washington. Elle convient parfaitement aux vacanciers qui ne souhaitent pas laisser le chien à la maison: il existe à la fois une plage de baignade publique pour les humains et une plage séparée pour les chiens. Il est possible de pique-niquer sur la pelouse du Matapeake Clubhouse mais les chiens sont relégués au sentier des animaux de compagnie et à la plage réservée aux chiens. Les deux plages offrent une vue magnifique sur le Bay Bridge. Le stationnement coûte 10 dollars par véhicule. Parking gratuit. 
Leesylvania State Park, Woodbridge, Virginie

Virginia State Parks staff – LE / Wikimedia Commons

Cette plage se trouve le long du fleuve Potomac, mais les eaux sont très propres par rapport aux zones urbaines et la rivière n’est pas très profonde près du rivage, ce qui est parfait pour les enfants. Pour les sportifs qui aiment mixer une journée de farniente à la plage et les efforts, un parcours de santé tend les bras aux motivés. On peut également louer des canoës et des kayaks. Le parking coûte entre 5 et 10 dollars.

Podcast: une impatriation choisie, un retour difficile mais aucun regret

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Surprise, bonheur, mais aussi déception, désillusion sont des sentiments que connaissent bien celles et ceux que l’on appelle les “impatriés”. Pour son podcast “Moi impat”, French Morning a donc tendu son micro à des Français qui racontent comment ils ont vécu leur retour au pays.
Au micro du 30ème épisode de “Moi Impat”, Lisa Marie Marques, qui revient tout juste d’une expatriation de près de 5 ans à Hong Kong. A 30 ans, la Française est partie vivre en Asie pacifique juste après son école de commerce. Si au départ elle pensait rester trois mois, elle ne repartira qu’après 4 ans et demi.
Très rapidement, elle trouve un travail, obtient son visa. Si la vie lui plaît, Lisa Marie Marques décidera néanmoins un soir sur son balcon du 16ème étage d’un building de Hong Kong de rentrer en France. Un mélange de peur mais aussi de soulagement l’envahit alors, confie-t-elle.
Le retour en France sera “difficile”, avoue-t-elle, surtout lors de sa recherche d’emploi. “Parfois mon expérience à l’étranger n’était pas comprise”. Il lui est arrivé qu’on lui demande pourquoi elle était rentrée au pays, si elle pensait pouvoir s’adapter au marché français… “J’avais l’impression d’être une extra-terrestre par moment”, raconte la jeune femme, qui n’a cependant aucun regret d’être revenue “malgré ces six mois en dents de scie”.
Listen to “Episode 30 : Lisa Marie Marques” on Spreaker.

Pourquoi l'avortement est-il devenu si controversé aux États-Unis ?

Les nouvelles restrictions apportées à l’accès à l’avortement par plusieurs Etats (Alabama, Géorgie, Louisiane…) ont remis le sujet sur le devant de la scène politique -et au coeur de la prochaine campagne présidentielle.
L’avortement est en réalité un sujet éminemment partisan depuis plus de trente ans. Pourtant, ce n’était pas nécessairement le cas avant la décision de la Cour suprême « Roe V. Wade », qui a légalisé l’avortement en 1973. La population américaine était majoritairement en faveur d’un changement des lois sur l’interruption volontaire de grossesse, qui était considérée comme un crime dans de nombreux États. Linda Greenhouse, qui a couvert la Cour suprême des États-Unis pour le New York Times pendant une trentaine d’années, ce qui lui a valu un prix Pulitzer, raconte comment l’accès à l’avortement est devenu une question politique : « À la fin des années 1970, le parti Républicain a fait une alliance avec les groupes religieux conservateurs (les catholiques et les évangélistes) pour gagner du soutien politique. Ça a été mené à bien quand Ronald Reagan s’est présenté aux élections présidentielles. Il a basé sa campagne sur un discours anti-avortement et a eu beaucoup de soutien de la part des groupes conservateurs religieux. C’est à partir de ce moment que le mouvement “pro-life” a gagné en importance, soit une dizaine d’année après Roe V. Wade ».
La politisation de la question de l’avortement a alors contribué à solidifier le camp des “pro-life”. Le vote catholique a par exemple évolué explique Linda Greenhouse. Alors que les électeurs catholiques étaient auparavant plutôt favorables à légalisation, “l‘Eglise étant devenue active sur le sujet, être un bon catholique voulait dire être contre l’avortement”, détaillait la journaliste. Les Républicains, en devenant le parti anti-avortement, ont réussi à attirer un électorat catholique, qui votait auparavant majoritairement pour le parti démocrate.
Directrice de Healthy and Free Tennessee, une organisation “pro choice”, Anna Carella, estime que, plus récemment, la montée en puissance du Tea Party en 2010 explique le retour en force de la question de l’avortement. Ce mouvement, qui critiquait notamment les dépenses gouvernementales qui s’accroissaient sous l’administration Obama, a permis à la droite évangélique de se renforcer considérablement au sein du parti républicain.
Aujourd’hui, ces élus, principalement en fonction dans les Etats du sud, sont en campagne pour renverser la décision « Roe V. Wade » afin de rendre l’avortement illégal. Si les États ont le droit de restreindre son accès, la jurisprudence de la Cour suprême exige qu’ils le fassent «sans instituer un fardeau excessif sur les femmes » (arrêt “Planned Parenthood V. Casey”. Comme l’explique Linda Greenhouse, les récentes lois votées courant 2019 ne sont pas conformes à la constitution : « Elles seront déclarées inconstitutionnelles par les juridictions inférieures. Mais ce que les militants anti-avortement espèrent est que la Cour Suprême s’empare d’un des recours et annule Roe V. Wade ».
Même si la Cour suprême a désormais une majorité de juges conservateurs, Linda Greenhouse estime peu probable qu’ils décident de se saisir de l’avortement. Une hypothèse peu probable selon Linda Greenhouse, d’autant qu’elle n’est pas souhaitée par l’aile plus modérée du Parti républicain, “car le droit à l’avortement reste défendu par la majorité des électeurs et s’il venait à être aboli, cela pourrait fragiliser le Parti républicain pour les élections présidentielles 2020”.

Le "couturier du futur" Pierre Cardin au Brooklyn Museum

Seul créateur de mode admis à l’Académie des Beaux-Arts, Pierre Cardin fait maintenant son entrée au musée, avec l’exposition qui lui est consacrée au Brooklyn Museum du 20 juillet au 5 janvier 2020.
Né en 1922, Pierre Cardin est pourtant “un homme du XXIème siècle”, affirme Matthew Yokobosky, le programmateur de l’exposition. “Il n’a cessé de donner à la société une vision neuve et saisissante de ce à quoi pourrait ressembler le futur”. L’exposition coïncide en effet avec les 50 ans du premier pas sur la Lune; une conjonction des astres pleine de sens puisque la ruée vers l’espace des années 60 était l’une des inspirations majeures du couturier, visible dans sa collection “Cosmocorps”, véritable sensation lors de sa sortie dans les années 60.
C’est l’un des designers les plus influents de sa génération”, dit Anne Pasternak, directrice du Brooklyn Museum. De la création de son propre tissu en trois dimensions, baptisé “Cardine”, à sa visite des locaux de la NASA dans le but de trouver l’inspiration pour ses costumes, Pierre Cardin n’était pas un homme de la demi-mesure.
Mais s’il a côtoyé les plus grandes stars et bâti un empire commercial grâce à sa marque distribuée à l’international, le couturier français avait aussi à coeur d’habiller le reste des mortels. Il fut le premier créateur à lancer une collection de prêt-à-porter en 1958, ce qui lui valut une exclusion temporaire de la Chambre Syndicale de la Haute Couture.
Les visiteurs peuvent admirer plus de 170 modèles issus du musée Pierre Cardin de Paris et de sa maison de couture. L’exposition est organisée à la fois chronologiquement et thématiquement, suivant les grandes préoccupations du designer et du reste de la société : la mode unisexe, les débuts de la mini-jupe… Toutes les pièces-phares du couturier sont remises dans leur contexte social et artistique grâce à des textes, photos et vidéos intelligemment dispersés tout au long du parcours.

Cinq nouveaux rooftops à tester d'urgence à Los Angeles

Il est temps de prendre de la hauteur sur l’un des nombreux rooftops dont regorge Los Angeles. Après avoir arpenté ceux qui ont fait fureur en 2018, French Morning liste les dernières terrasses sur toit qui valent le détour.
Margot à Culver City

Le renouveau du quartier de Culver City a atteint son apogée avec l’ouverture du rooftop Margot, en décembre. Situé sur le toit du complexe Platform, ce bar-restaurant offre un patio surplombant l’ouest de la ville avec une vue à 360 degrés. Parfait pour suivre les métros de l’Expo Line entrer dans la gare au coucher du soleil. L’espace, conçu par Thomas Schoos, est un mélange de décadence chic et californienne avec son sol en bois et ses canapés autour de fire pits. Pour profiter de ce grand patio de 75 places, vous pourrez déguster des plats méditerranéens imaginés par le chef Michael Williams (pâtes, dorades grillées ou côtes de bœuf). Du côté des cocktails, on vous recommande la sélection de Spritz – surtout celui à la poire -, ainsi que celle de Gin & tonic, dont les prix défient toute concurrence (entre 10 et 12 dollars). Margot, 8820 Washington Blvd #301, Culver City.
Sorra à Hollywood

A quelques blocs du célèbre Walk of Fame, un lieu va vous faire monter au septième ciel et redécouvrir le quartier de Hollywood. Le sommet de The Residences at Columbia Square, situé sur El Centro, a changé de nom. Sorra prend la place de Filifera, qui a fermé ses portes depuis le 1er février. Créé par l’équipe de Hinoki & the Bird (Century City), ce rooftop a conservé le décor passé, avec son ambiance mi-Tulum, mi-Riviera. Mais en lieu et place des plats californiens, le chef Chris Ono propose un menu combinant des saveurs mexicaines, chinoises, péruviennes et japonaises. Dans la carte des cocktails, imaginée par Tanner Weston de Lost Property, on trouve des créations comme le Strawberry Beach (rhum, mezcal, Campari, jus d’ananas, fraises et citron vert) et le Salsa Smash (tequila, mangue, coriandre et citron). Sorra. 1550 N. El Centro Ave., Los Angeles.
Harriet’s à West Hollywood

Le Jeremy Hotel, sur le Sunset Strip, abrite un secret de moins en moins bien gardé : son rooftop. Ouvert depuis le mois de septembre, Harriet’s dispose d’une vue impressionnante sur les alentours de West Hollywood. Les clients en prendront également plein les yeux en appréciant la terrasse savamment décorée par nombre de plantes, guirlandes lumineuses et parapluies décoratifs. En cuisine, Geter Atienza concocte des planches à savourer, tandis que Justin Campbell redouble d’ingéniosités avec ses cocktails à 16 dollars, tels que le punch à l’hibiscus et une boisson à base de crème de violette. Harriet’s. 8490 Sunset Blvd., West Hollywood.
Eléphante à Santa Monica

La vue sera forcément prodigieuse à Eléphante puisque son rooftop donne sur la plage de Santa Monica. L’espace intérieur-extérieur, ouvert depuis l’été dernier, ressemble à un salon d’architecte, avec un mobilier moderne en bois. Outre l’esthétique, le lieu offre un menu italien savoureux avec des pizzas, des pâtes maison et d’autres petits plats, mais aussi des cocktails ambitieux (dans la composition, comme dans les prix). Elephante, 1332 2nd St, Santa Monica.
Granville à Pasadena

/ Granville

A l’est de la ville, Pasadena n’a jamais manqué de bars. Mais le quartier manquait cruellement d’un rooftop. C’est de l’histoire ancienne depuis l’ouverture de Granville, mi-avril. D’ores-et-déjà, les habitants du quartier ont envahi les lieux, et se pressent devant l’ascenseur qui mène au toit. Perché (ce n’est que de deux étages, mais c’est un début) au-dessus du quartier résidentiel, vous pourrez partager des macaroni and cheese, des tacos ou du houmous, accompagnés d’une sélection pointue de cocktails à base de gin (dont certains infusés à la lavande). En plus de ses cheminées qui rendent le lieu chaleureux, Granville offre une vue imprenable sur les montagnes enneigées de San Gabriel. Granville, 270 S Lake Ave, Pasadena.
A suivre aussi : les ouvertures cet été du rooftop Marco Polo à Silver Lake (Silver Lake Pool & Inn. 4141 Santa Monica Boulevard, LA) et de Lowell Farms: A Cannabis Cafe, un restaurant dédié au cannabis qui ouvrira ses portes à West Hollywood.

Nos plages préférées à New York et autour

Il est facile de l’oublier dans les “canyons” de Manhattan, mais New York est une ville de bord de mer. Nos meilleures adresses pour une journée -ou un week-end- à la plage.
Les Rockaways

 

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Une publication partagée par Denise Menton (@deniedm) le 4 Juil. 2019 à 3 :14 PDT

Ce n’est pas une plage à proprement parler mais une succession de différentes plages sur la presqu’île Rockaway à Queens, impossible de s’y ennuyer donc puisqu’on peut en changer à tout moment. Jacob Riis Park est l’une des plus connues et appréciées. Elle regorge d’activités : terrains de volley-ball, bars, restaurants, stands de nourriture… La plage est très grande donc chacun pourra y déposer sa serviette. Pour s’y rendre : empruntez la ligne 2 vers Flatbush Avenue, puis prenez le bus Q35 vers Jacob Riis Park. Les week-ends, un moyen plus sympa de s’y rendre est d’emprunter le New York Beach Ferry depuis le sud de Manhattan jusqu’à la plage.
Fire Island

 

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Une publication partagée par Vivas Health And Wellness (@vivashealthandwellness) le 22 Juin 2019 à 7 :56 PDT

La plage de sable blanc attenante au village d’Ocean Beach à Fire Island est parfaite puisqu’elle permet, après sa baignade, d’explorer cette petite ville au réel charme. Beaucoup de visiteurs s’y pressent chaque année pour s’y balader en vélo (les voitures y sont interdites). L’été, vous y trouverez des enfants vendant des coquillages qu’ils ont peints, des concerts gratuits sur les quais et bien-sûr des dizaines de bars et restaurants. Pour visiter Ocean Beach depuis Manhattan, il faudra prendre le Long Island Rail Road (LIRR) pendant une heure environ puis monter à bord du ferry pendant une quarantaine de minutes une fois arrivé à Bay Shore. L’aller-retour en ferry coûte $21 par personne. Attention, le Fire Island Ferry n’accepte que l’argent liquide.
Coney Island

 

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Une publication partagée par Nerizza (@nerizzayturralde) le 9 Juil. 2019 à 7 :33 PDT

C’est de loin le lieu le plus emblématique de New York pour aller se baigner, mais pas que ! Coney Island réserve de nombreuses surprises à ses visiteurs grâce à son parc d’attraction, la musée retraçant son histoire, son musée de street-art en plein air, ses matchs de base-ball avec vue sur l’Océan Atlantique, son aquarium ou encore son quartier russe où il vaut la peine de s’arrêter pour déguster quelques spécialités locales. C’est aussi la plage la plus pratique puisqu’on peut s’y rendre en une heure de métro depuis Manhattan avec les lignes N, F, Q ou D.
Sandy Hook

 

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Une publication partagée par Katie Auer (@katieauerphotography) le 24 Juin 2019 à 7 :47 PDT

Située dans le New Jersey, Sandy Hook compte plusieurs plages paradisiaques, dont les principales sont : North Beach, South Beach et Gunnison Beach (cette dernière étant naturiste). Sable blanc, eau transparente, difficile de croire qu’on est en face de New York. Et pourtant le côté sauvage de ces plages s’explique sûrement par le fait qu’elles sont situées sur une presqu’île, elle-même accessible en ferry depuis Manhattan en 30 minutes. Il faudra tout de même y mettre le prix puisque l’aller-retour coûte 45 dollars par adulte mais le trajet en lui-même en vaut la peine : vue sur la skyline new-yorkaise, passage sous le pont Verrazano entre Brooklyn et Staten Island. L’embarquement se fait au sud de Manhattan au niveau de la 35ème rue et de l’East River avec la compagnie Seastreak.
Main Beach Hamptons

 

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Une publication partagée par Chris Sywassink (@cswass) le 3 Sept. 2018 à 11 :19 PDT

Si vous souhaitez vous offrir une virée aux Hamptons le temps d’un week-end, ne ratez pas Main Beach. La plage est très propre, des sauveteurs surveillent en permanence la baignade et une superbe beach house surplombe la plage. Il est possible d’y déjeuner grâce aux snacks bars situés sur la promenade de bois. Nous vous conseillons de vous y rendre en vélo ou en transports en commun pour éviter les $30 à payer pour le parking à la journée et de prévoir de l’argent en liquide si vous souhaitez y manger. En transports en commun, il est possible de se rendre à Main Beach grâce aux bus Jitney en s’arrêtant à East Hampton Station puis en prenant un taxi jusqu’à Main Beach, ou une des navettes gratuites mises à disposition. La ligne allant jusqu’à Montauk du Long Island Rail Road dessert aussi East Hampton Station.

Un nouveau Decathlon à San Francisco en novembre

Decathlon continue son offensive à San Francisco. Après l’ouverture d’un magasin à Emeryville en avril dernier, la chaîne d’équipements sportifs française s’apprête à ouvrir à Potrero Hill en novembre 2019.
Le magasin de 3.500 mètres carrés ressemblera beaucoup à celui d’Emeryville, avec une sélection de produits couvrant quelque 80 disciplines et les mêmes scanners disposés dans tout le magasin, qui permettent de payer instantanément et d’éliminer l’attente aux caisses. “Mais nous irons encore plus loin dans l’innovation au service de l’expérience clients, assure Bertrand Tison, directeur du développement de Decathlon USA. C’était d’ailleurs une des raisons de s’installer à San Francisco, pour s’inspirer de la culture tech locale et inspirer au sein de Decathlon, et ça marche: de nombreux autres Decathlon à travers le monde nous emboîtent le pas, par exemple avec les robots assurant l’inventaire en magasin”.
En s’installant dans le centre commercial du Potrero Center (à l’angle de 16th Street et Bryant Street), à deux pas du Mission District, l’enseigne choisit un lieu chargé d’histoire sportive. C’est dans le quartier que se dressait originellement le Seals Stadium, qui hébergeait alors les San Francisco Giants. Mais c’est surtout “un quartier très ancré dans l’histoire de la ville, où les gens ont l’habitude de venir faire les courses, et en même temps très bien desservi par deux autoroutes”. 
Avec ce troisième magasin dans la baie (le premier, petit et “expérimental” avait ouvert sur Market Street en 2018), Decathlon confirme son ambition californienne. “Notre plan est d’être présents partout dans la baie d’ici à 5 ans explique Bertrand Tison. C’est un marché colossal, équivalent à celui de l’Espagne, et nous voulons aller très vite, dès que ces premiers magasins auront confirmé nos intuitions”. 
S’il est encore trop tôt pour livrer un bilan chiffré du magasin d’Emeryville, “les retours qualitatifs des clients sont très positifs” assure Bertrand Tison. L’attachement américain aux grandes marques sportives qu’on ne trouve pas chez Decathlon, qui ne vend que les marques “maison”, ne semble pas être un obstacle. “Une fois la surprise passée, ils reviennent même plus que dans n’importe quel autre pays en phase d’ouverture” dit celui qui avant d’arriver aux Etats-Unis a supervisé le développement de l marque en Chine où elle dispose désormais de plus de 300 magasins. “Le public local est friand de nouveautés, et une fois qu’ils ont compris l’histoire qu’il y a derrière Quechua ou Kalenji (la marque maison de “running”, NDLR), ils adorent”. 

Dîner en blanc 2019 à New York : la fête et puis l'orage

La tempête annoncée en milieu de soirée ne les a pas freinés. Mercredi 17 juillet, 5500 personnes toutes vêtues de blanc se sont retrouvées pour la neuvième édition du Dîner en blanc de New York. Cette année, le rendez-vous était donné au Nelson Rockefeller Park, à Battery Park City, un endroit que les organisateurs apprécient particulièrement puisqu’ils y avaient déjà élu domicile en 2015.


Les festivités ont commencé à 7.15pm, lorsque les participants ont agité leurs serviettes en l’air. Un chanteur d’opéra s’est ensuite produit sur la scène, divertissant les convives pendant leur repas. Des sushis, du champagne, du homard, mais aussi des plats moins sophistiqués étaient disposés sur les tables décorées par les invités eux-mêmes.
“L’événement est très simple, il regroupe les gens pour passer un bon moment ensemble”, explique Sandy Safi, co-fondatrice du Dîner en blanc international. “On retrouve ses amis et on rencontre les amis de ses amis qui ont un peu les mêmes plaisirs : le plein air, partager un repas, utiliser l’espace public…”.
La pluie a commencé à tomber à 8.30pm, alors que des artistes de Broadway chantaient des classiques de comédies musicales. Les participants ont déplié leurs parapluies et chanté en chœur « New York, New York » de Frank Sinatra dans un réel moment de communion. Ce fût la dernière chanson de la soirée, le parc a ensuite du être évacué à cause de l’orage et des risques d’inondation. Les milliers de participants en vêtements blancs, trempés de la tête aux pieds, ont rejoint le métro en courant devant les mines ahuries des New-Yorkais.

"En Guerre" avec Vincent Lindon sort à New York

Vincent Lindon crève l’écran dans un de ces rôles de “monsieur tout-le-monde” transcendé par les circonstances qu’il affecte. Dans “En Guerre”, présenté au festival de Cannes 2018 et qui sort cette semaine à New York, Lindon est Laurent Amédéo, le leader d’un mouvement de grève pour sauver son usine, menacée de fermeture malgré ses bons résultats économiques.

Le réalisateur Stéphane Brizé, cinéaste militant, filme intégralement à l’épaule, en style documentaire, et fait jouer de nombreux acteurs non-professionnels, dont les réels employés de l’usine de Fumel où est tourné le film. Un parti pris qui renforce la prestation de Vincent Lindon, tout en vérité.
Le film sort à New York le 19 juillet au Village East Cinema, 181-189 2nd Ave. @ 12th St.

Anthologie Robert Bresson à New York

Réalisateur, artiste, philosophe: Robert Bresson était un cinéaste singulier. Ses oeuvres minimalistes sont oubliées depuis longtemps du grand public, mais il est considéré par les cinéphiles comme l’un des plus grands cinéastes de l’histoire, et fréquemment cité comme modèle par les grands d’aujourd’hui, de Martin Scorcese à Michael Haneke, en passant par les frères Dardenne.
Anthology Film Archives présente une rétrospective de six des ses oeuvres du 19 au 28 juillet.

Séances:

Les Dames du Bois de Boulogne
(1944) 19 juillet, 6:30pm; 27 juillet, 9:00pm; 28 juillet, 7:00pm
Diary of A Country Priest
(1950) 19 juillet, 8:45pm; 21 juillet, 4:00pm; 23 juillet, 6:45pm
A Man Escaped, Or The Wind Blows Where It Listeth
(1956) 20 juillet, 4:30pm; 21 juillet, 8:30pm
Pickpocket
(1959) 20 juillet, 6:45pm
Au hazard Balthazar
(1966) 20 juillet, 8:45pm; 22 juillet, 7:00pm; 23 juillet, 9:15
Mouchette
(1966) 21 juillet, 6:30pm; 22 juillet, 9:15; 27 juillet, 7:00pm

5 visites (vraiment) insolites de San Francisco

Vous saturez des traditionnelles balades dans le quartier hippie de Haight-Ashbury ? Marre des maisons victoriennes d’Alamo Square ou du Cable Car ? Voici des idées originales pour découvrir la ville autrement.
À vélo… sur l’eau !
Découvrir San Francisco depuis la Baie en pédalant sur les flots, entre bateaux, otaries et pélicans, c’est possible. Il suffit d’enfourcher un water bike, mariage surprenant entre un vélo et un paddle, pour une déambulation nautique d’1h30. L’itinéraire, au départ des quais, suit le front de mer, offrant des vues imprenables sur la skyline de la ville. Le point d’orgue : passer sous le pont du Bay Bridge. Plus qu’une visite, c’est une expérience. Sensations, frissons et courbatures garantis. Les curieux peuvent tenter toute l’année à partir de 99$. Infos et réservations ici.
Dans les pas d’Alfred Hitchcock
Le maître du suspense aimait l’ambiance de San Francisco, son mystère et son élégance. Il y a tourné plusieurs films dont Sueurs Froides (1958) et Les Oiseaux (1963). De Nob Hill à Union Square, cette expédition retrace l’histoire d’amour d’Hitchcock pour la ville. Immeubles, monuments, avenues, boutiques… les guides racontent pourquoi le réalisateur a choisi ces lieux, comment il les a filmés, leur histoire et leur architecture. Une immersion dans le San Francisco d’après-guerre. Visite gratuite (donations appréciées), infos et réservations ici.
À dos d’un side-car
Il est Français et vient de lancer un concept unique : des tours dans un side-car authentique. Jérôme Ribeiro s’est inspiré de balades testées en Europe. Son idée ? Faire découvrir sa ville d’adoption depuis 21 ans de manière décalée. Son credo ? Aller où les touristes ne sont pas. Sa monture lui permet de passer dans de petites ruelles et de grimper sur les hauteurs avec des trajets hors des sentiers battus : traversée d’un pont à l’autre avec arrivée sur Treasure Island, île en face de San Francisco, ou circuit des 12 collines. Infos et réservations ici.
Sur des escaliers en mosaïque
Ça monte, ça descend, c’est coloré, voilà une randonnée urbaine à travers les quartiers moins courus de Golden Gate Heights et Forest Hill. On y découvre des maisons charmantes dans un paysage bucolique, des vues à 360 degrés sur la ville et des escaliers en mosaïque typiques. À la fin des trois heures, vous aurez monté quelque 10.000 marches et trouvé un San Francisco ravissant et plus secret. Infos et réservations ici.
Entre les maisons flottantes de Sausalito
On s’arrête souvent aux pieds du pont du Golden Gate pour déguster une glace et repartir en ferry. Si l’on pousse dans Sausalito, on y découvre de nombreuses péniches et maisons flottantes. La visite proposée par Victoria Colella, guide et artiste locale, explore cette enclave singulière : son histoire, ses curieux habitants ou les chantiers navals de la Seconde Guerre mondiale. Elle termine dans des ateliers d’art puis dans la cabane de Victoria, au cœur de cet univers. Notes de flûte, gâteaux et excentricité au programme. Infos et réservations ici.