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Nouvelle liaison Paris-San Francisco par la compagnie Norwegian

La liaison saisonnière Paris-Oakland par la compagnie aérienne Norwegian Airlines sera transférée directement vers l’aéroport de San Francisco à l’automne prochain.
Dans un communiqué, Norwegian affirme que le voyageur “soucieux de son porte-monnaie pourra rejoindre le centre-ville en à peine 30 minutes en métro (BART) pour quelques dollars”.
Du 28 octobre 2019 au 27 mars 2020, la spécialiste du vol low-cost continuera à proposer deux vols par semaine entre la France et la Californie, avec de nouveaux horaires. Les départs de sa base à Paris-CDG seront programmés lundi à 15h20 (arrivée à 17h40) et vendredi à 9h20 (arrivée à 11h40), les vols retour quittant l’aéroport de San Francisco mercredi et dimanche à 13h40 (arrivée le lendemain à 9h20).
Les tarifs sont à partir de 159.90€ TTC aller simple en classe Economy, et à partir de 609.90€ TTC aller simple en classe Premium.
Norwegian avait déjà déménagé fin mars vers San Francisco la ligne reliant Londres-Gatwick à Oakland. Le même changement sera effectué fin octobre au départ de Barcelone.

Vols New York-Guadeloupe: Jet Blue va prendre le relais de Norwegian

L’arrêt à la fin de l’hiver dernier des vols de Norwegian entre New York et les Antilles françaises avait fait bien des déçus parmi les amateurs new-yorkais de soleil tropical à l’accent français. Ils peuvent être rassurés: la compagnie américaine Jet Blue va prendre le relais et lancer l’hiver prochain une liaison entre la Grosse pomme et Point-à-Pitre (Guadeloupe).
La région de Guadeloupe, qui cherchait activement un remplaçant à Norwegian, annoncera officiellement le lancement de la nouvelle destination le week-end prochain à New York, à l’occasion du Pinknic festival.
Les détails seront révélés à cette occasion, mais Jet Blue a d’ores et déjà annoncé que la ligne sera lancée en février 2020, à raison de trois vols par semaine. JetBlue sera alors la seule compagnie aérienne à proposer des vols entre le Nord-Est des Etats-Unis et la Guadeloupe
JetBlue dessert déjà dans les Caraïbes l’aéroport de Saint-Martin-Princess Juliana, mais aussi Aruba, la Barbade, les Bahamas, les Bermudes, les îles Cayman, Haïti, Cuba, la République Dominicaine, Sainte-Lucie ou la Jamaïque.

Où manger un bon steak tartare à New York ?

Hérité au XVIIème siècle des Tartares, un peuple nomade d’Asie centrale qui faisait sécher de la viande de cheval crue sous leur selle, le steak tartare a depuis beaucoup évolué jusqu’à trouver ses lettres de noblesse sur les tables françaises.
“C’est un plat typique de bistro au même titre que les escargots”, souligne Pierre Landet. Originaire de Toulouse, le chef du restaurant Félix à SoHo sert l’un des meilleurs steaks tartare de New York. “Tout dépend de la qualité de la viande de boeuf et de l’assaisonnement”, explique le Français qui s’est inspiré d’une recette traditionnelle que son père préparait quand il était jeune. “Je mélange des câpres avec des échalotes, des cornichons, de la moutarde, une mayonnaise à l’huile d’olive, du ketchup, de la sauce Worcestershire, du tabasco, de l’huile d’olive, du persil et enfin un jaune d’œuf cru”.
Apprécié en entrée comme en plat principal à New York, ce plat traditionnel fait saliver les “viandards” en mal du pays. Bonne nouvelle, French Morning en a testé pour vous.
The Odeon


C’est notre coup de coeur de la liste. Ouvert en 1980, ce restaurant américain de Tribeca a des faux airs de brasserie parisienne. Sa carte fait aussi le pont entre les deux pays avec des hamburgers, mais aussi des classiques français comme le croque monsieur, la salade niçoise, la soupe à l’oignon et un steak tartare traditionnel digne des meilleurs tables de l’Hexagone. Il est proposé en entrée pour 19$, et en plat principal accompagné de frites et de toasts grillés pour 30$. On a aimé sa viande fine et tendre (Black angus) et son assaisonnement parfait fait de câpres, cornichons, échalotes, oeuf, tabasco, moutarde, ail et vinaigre. Le chef y ajoute une pincée de fleur de sel croquante sur le dessus. Un vrai délice qui se marie parfaitement avec un bon verre de Côtes-du-Rhône ou de Bordeaux (15$). The Odeon, 145 W Broadway, (212) 233-0507.
Boucherie


Boucherie est une chaîne de trois brasseries françaises ouverte par un Serbe passionné par notre pays et sa cuisine. L’enseigne dispose de trois restaurants à West Village, Greenwich Village et d’un petit dernier ouvert en février 2018 près d’Union Square. Aux fourneaux, le chef français Jerome Dihui prépare des classiques bien exécutés comme le boudin noir aux pommes (20$), les cuisses de grenouille en persillade (22$) et le boeuf bourguignon (49$). Le steak tartare est proposé en entrée en “small portion” (25$) ou en “large portion” (31$). Frais, bien préparé et équilibré, il est servi avec de la salade et des petits toasts de pain grillés avec du beurre. On a apprécié cette recette traditionnelle avec des câpres, des échalotes et du persil, ainsi que l’oeuf de caille à faire couler sur le dessus. Verre de Cabernet Sauvignon en accompagnement à 17$. Boucherie, 225 Park Ave S, (212) 353-0200 / 99 7th Ave S, (212) 837-1616 / 14 Christopher St, (646) 756-4145.
Le Privé


Ce restaurant français de Hell’s Kitchen a soufflé sa première bougie en juin 2019. Le menu, préparé par cheffe Angelle, comprend des classiques français comme le magret de canard, les moules frites où le steak tartare servi en entrée pour 14$. Ici, le plat est revisité avec un assaisonnement à l’aioli et au paprika, et servi avec de petits morceaux de topinambour grillés sur le dessus, des cornichons, une sauce piquante faite maison et des chips en accompagnement. Une recette originale mais très réussie. Le Privé, 626 10th Ave, (212) 837-2795.
Félix Restaurant

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#lunch #beeftartare #frenchfries #bread

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Pierre Landet dirige depuis sept ans les cuisines de ce restaurant situé à SoHo. Le steak tartare y est préparé dans la plus pure tradition française et servi en plat principal accompagné de frites et de salade verte (24$). Mention spéciale pour la viande qui provient d’une ferme du Kansas où les bovins sont nourris à l’herbe et élevés sans antibiotiques. La spécialité du chef est également le cassoulet (33$), pour lequel Pierre Landet a gagné un prix en 2016 et 2017. Le soir, Félix pousse les tables et se transforme en bar dansant pour vous aider à digérer. Félix Restaurant, 340 W Broadway, (212) 431-0021.
Jules Bistro


Dans ce bistrot français de Georges Forgeois, le steak tartare haché au couteau est servi avec de la salade, de succulentes frites et un oeuf sur le dessus. Comptez 20 ou 29 dollars pour le plat. Au menu, il figure aux côtés d’autres grands classiques de la cuisine française, comme le magret de canard, le steak frites et le cassoulet toulousain. Jules est l’endroit parfait pour un date. Musique live tous les soirs ou presque depuis 26 ans, ambiance tamisée et sexy, restaurant légèrement caché… C’est une adresse d’un autre temps qui fait de la résistance. On aime ! Jules Bistro, 65 Saint Marks Place, New York. 212 477 5560.
Vin sur vingt
Le bar à vins qui aime les jeux de mots (cinq adresses à New York) sert un steak tartare honorable pour 18 dollars. Il est aussi haché au couteau. Dans son adresse de l’Upper West Side, un petit espace chaleureux qui peut accueillir une trentaine de personnes assises, il est servi en entrée dans un bocal, coiffé d’un jaune d’oeuf et accompagné d’une salade. Profitez-en pour commander un verre de vin issu de la vaste sélection de bouteilles françaises. Vin sur Vingt. 66 West 84th Street. 646.895.9944
Takashi


Les Japonais aussi ont leur version du steak tartare. Dans ce petit restaurant d’une 40aine de places situé à West Village, la viande est coupée en fines tranches au couteau, et préparée avec un mélange de câpres, de seaweed, de graines de sésame et de sauce relevée. Le plat arrive avec son oeuf de caille sur le dessus, que les serveurs s’occupent eux-même de mélanger au tartare dans votre assiette, pour un moment instagrammable. Un bon steak tartare épicé qui surprendra les puristes. Takashi, 456 Hudson St, (212) 414-2929.

Révolution Bilingue, ép.9: "le français, outil stratégique"

Diplomate, polyglotte et engagée dans le développement de l’éducation plurilingue, Bénédicte de Montlaur est l’invitée du 9ème épisode de Révolution Bilingue.

De l’Allier à New York en passant par l’Egypte et la Syrie, cette passionnée des langues et des relations internationales, aujourd’hui Conseillère culturelle auprès de l’Ambassade de France aux Etats-Unis, confirme que parler plusieurs langues est à la fois un atout pour notre développement personnel et professionnel, mais aussi un pont vers d’autres cultures et imaginaires. Il nous mène à des rencontres enrichissantes et une meilleure compréhension du monde.

Écoutez l’épisode ci-dessous ou sur iTunes Podcast.

Le podcast “Révolution Bilingue” est proposé par French Morning avec le soutien de CALEC (Center for the Advancement of Languages, Education, and Communities).

Listen to “Episode 9: Bénédicte de Montlaur, “le français, outil stratégique”” on Spreaker.

Investir dans l'immobilier en France : la checklist qui vous simplifie la vie

(Article partenaire) Vous souhaitez investir dans l’immobilier en France mais ne savez pas par où commencer ? Pour démarrer votre projet avec les idées claires, voici les réponses aux trois questions principales que tous les futurs investisseurs se posent.

Faut-il investir dans un appartement neuf ou ancien ?

Si les investisseurs « classiques » ont parfois du mal à choisir entre l’achat d’un appartement ancien et l’achat d’un appartement “sur plan”, la question est généralement plus simple à trancher pour un expatrié. En effet, en tant que non-résident, il vous est impossible de bénéficier de certains dispositifs de défiscalisation liés à l’immobilier neuf. Concernant le dispositif Pinel, qui était jusqu’alors applicable exclusivement aux résidents, il a été aménagé dans le cadre de la Loi de finance 2019, pour être mis à profit des non-résidents. Ainsi, les investisseurs ayant réalisé l’acquisition d’un bien à partir du 1er janvier 2019, et étant, au jour de l’acquisition de ce bien, résidents fiscaux français, peuvent conserver leur réduction d’impôts pendant la période où ils seront non-résidents fiscaux en France.
De manière générale, il est tout de même conseillé aux expatriés de se tourner vers l’ancien pour bénéficier de dispositifs qui permettent aux non-résidents de payer moins d’impôts, tels que le statut de loueur en meublé non professionnel (LMNP) et le déficit foncier.
Le statut LMNP est octroyé à tout investisseur achetant un bien dans l’optique de le louer en meublé, qu’il soit résident ou non-résident. Ce statut permet de bénéficier d’un certain nombre d’avantages, tels que : la déduction des frais liés à la location meublée, la possibilité de déduire de vos revenus locatifs l’amortissement de votre bien sur 20 ans, et de vos meubles sur 7 ans.
Enfin, il faut prendre en compte la différence des prix dans l’immobilier ancien et dans le neuf. En 2019, les prix des logements anciens auraient augmenté de 3% par an dans toute la France, selon Notaires de France. Dans l’immobilier neuf, les prix auraient plutôt tendance à reculer, avec une baisse d’1,7% sur le premier trimestre 2019, selon le baromètre LPI-SeLoger.

Faut-il investir à Paris ou en province ?

Pour s’assurer de la réussite de son investissement locatif, il est important d’investir dans une ville où la demande locative est forte. C’est en effet là que vous pourrez obtenir des loyers élevés sans risquer de trop longues périodes de “vacances locatives”. Paris est donc de ce point de vue un excellent choix. De plus, avec la pression démographique qui règne dans la capitale, il n’y a quasiment aucun risque que l’appartement dans lequel vous avez investi perde un jour de la valeur.
Sachez également que ce sont les appartements de petite taille qui offrent la plus forte rentabilité. Il faut donc miser sur les villes étudiantes et les centres d’affaires importants où les appartements de type F1 et F2 sont très recherchés. En plus de Paris, les grandes villes de province comme Bordeaux et Lyon, en plein développement, constituent donc aussi de très bonnes options.
De manière générale, investir en province peut être envisagé à condition de privilégier les grandes villes dynamiques et attractives. Il faudra en revanche éviter d’investir dans des villes moyennes où la demande est moins forte et les périodes de vacance locative risqueraient d’être élevées. Cela pourrait grandement impacter la rentabilité de votre investissement. 

Faut-il investir à crédit ou comptant ?

Si vous avez la possibilité d’emprunter pour financer votre projet d’investissement locatif, ne vous en privez surtout pas ! Avec les taux d’emprunt très bas pratiqués par les banques françaises en ce moment vous avez l’occasion de vous constituer un patrimoine sans effort. Grâce à l’effet de levier et au remboursement de vos mensualités par les loyers versés par le locataire, vous devenez propriétaire d’un appartement sans débourser le moindre centime.
Pour bénéficier d’un crédit immobilier en tant qu’expatrié, il faut répondre à certaines conditions, telles que : avoir une situation professionnelle et personnelle stables, préparer un dossier de financement très solide, prendre en compte son type de contrat de travail (contrat local, détaché…), mettre un apport de côté, et calculer sa capacité d’endettement.
Il faut également savoir que les taux d’intérêt proposés aux expatriés sont en général de 0,20% à 0,50% plus élevés que les taux moyens proposés aux résidents français. Cependant, les taux d’intérêt étant actuellement extrêmement bas (en moyenne 1,29% pour un prêt sur 20 ans, fin juin 2019), ils restent donc très intéressants pour les expatriés comme pour les résidents.
Il faudra également se diriger en priorité vers des banques qui prêtent aux non-résidents. C’est notamment le cas du Crédit Agricole, de BNP Paribas, du Crédit Lyonnais, de la BRED, de la Caisse d’Epargne, et du Crédit Mutuel.
Vous souhaitez investir en France depuis les États-Unis ? My expat vous représente en France pour organiser l’intégralité de votre projet sans que vous n’ayez jamais à rentrer, avec l’unique objectif de défendre vos intérêts, d’obtenir le meilleur prix et les meilleurs taux.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Job d'été : comment trouver un travail dans un parc national ?

Vous rêvez de grands espaces et souhaitez passer votre été au cœur d’un paysage de rêve ? Aux Etats-Unis, il est tout à fait possible de combler le désir d’aventures qui sommeille en vous. Chaque année, de nombreux passionnés de nature se rendent dans l’un des 59 parcs nationaux répartis dans les 27 Etats du pays. Mais il existe également les parcs régionaux, parfois plus accessibles. En tout, il existe 408 parcs régionaux et nationaux sur l’ensemble du territoire.
Les parcs nationaux américains sont sous la tutelle du National Park Service. Chaque année, les parcs nationaux embauchent des milliers de saisonniers pour l’été. Pour postuler, il faut être détenteur d’un permis de travail ou d’un visa J-1 Work and Travel (appelé aussi J1 Exchange Visitors). Ce dernier est dédié aux étudiants étrangers qui souhaitent venir sur le sol américain pour occuper un emploi saisonnier.
Cuisinier, serveur, guide touristique… Voici quelques idées pour visiter les parcs nationaux américains avec un petit boulot en poche.
Travailler dans un restaurant 
Les parcs nationaux possèdent souvent des restaurants et des lodges. Il est ainsi possible de trouver un job d’été en tant que serveur. Situé dans le Maine, au cœur d’Acadia National Park, le restaurant historique Jordan Bond House recherche des saisonniers au sein de plusieurs restaurants. Il est possible de postuler en ligne. Pour ceux qui ont déjà eu une expérience dans le management, certains restaurants offrent des postes de manager, c’est le cas de Evergreen Lodge, à Yosemite National Park. Enfin, sachez que les parcs nationaux recherchent souvent des cuisiniers pour aider dans les hôtels et les lodges. Les logements et la nourriture sont souvent pris en charge. Plus d’informations ici.
Devenir guide ou accompagnateur 
Vous êtes sportif ? Le Grand Canyon embauche chaque année des guides à vélos pour Bright Angel Bicycle and Cafe. Unique expérience demandée : être sociable, savoir faire du vélo et se renseigner sur le Grand Canyon pour présenter plusieurs randonnées aux touristes. Si vous avez de l’expérience dans l’équitation, sachez que de nombreux parcs recherchent des guides équestres. Zion National Park embauche des cavaliers pour aider lors de la saison touristique au sein de Zion Mountain Ranch. Pour les amoureux de la montagne, Snow Mountain Ranch, situé dans les Rocky Mountains dans le Colorado, recherche des instructeurs pour encadrer les groupes de rafting et de canyoning. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site de jobs saisonniers des Rocky Mountains. Enfin, pour ceux qui rêvent de visiter l’Alaska, la compagnie Princess Cruises recherche des saisonniers pour travailler sur les nombreux bateaux de croisière qui voguent le Yukon.
Travailler dans un ranch dans le Wyoming ou le Colorado
Vous rêvez de passer un été au milieu d’un ranch ? De nombreux parcs nationaux recherchent des saisonniers intéressés par des travaux de la ferme. Il existe des centaines d’offres d’emploi, sur l’ensemble du pays. Si vous souhaitez vivre la vraie vie de cow-boy, le Wyoming ou encore le Colorado possèdent de nombreux ranchs : au cœur de Yellowstone, dans le Wyoming, Heart Six Ranch propose de nombreux jobs d’été en lien avec le ranching. Il est également possible de passer trois mois au sein de C Lazy U ranch dans le Colorado.
Passer l’été en Alaska 
L’Alaska est l’Etat le plus grand et concentre 5 des plus grands parcs nationaux du pays. Pour les aventuriers, les opportunités ne manquent pas. Situé près de Denali National Park The Wolf’s Den Kennel recherche des personnes pour s’occuper des chiens de traîneau pour leurs activités touristiques, toute l’année. Aucune expérience n’est exigée. À proximité de Katmai National Park and Preserve, Red Salmon Cannery embauche toute l’année des volontaires motivés pour travailler dans l’une des nombreuses poissonneries de saumons. L’expérience est unique et permet de découvrir la baie de Bristol, surnommée la capitale mondiale du saumon. De nombreuses compagnies recherchent également des guides touristiques.

L'auteur Hervé Tullet transporte son "exposition idéale" à Los Angeles

Les Angelinos frétillent d’impatience à l’idée de découvrir l'”Ideal Exhibition” de Hervé Tullet. L’artiste français présentera cette exposition collaborative, organique, tentaculaire du dimanche 14 juillet au dimanche 8 septembre à l’Institute of Contemporary Art de Los Angeles.
Auteur et illustrateur de livres jeunesse – tels que J’ai une idée et Un livre -, Hervé Tullet invite le public à participer à son exposition colorée. En plus de ses oeuvres, une série de vidéos pédagogiques, dans lesquelles l’artiste partage son processus de création, sera projetée. Il invite les visiteurs à réaliser leurs propres œuvres en utilisant du papier, de la peinture, des marqueurs de couleur, du ruban adhésif notamment. Ils deviennent ainsi des contributeurs de cette “exposition idéale”, qui évoluera au gré des semaines.

Blues on the green, la musique les pieds dans l'herbe à Houston

La saison des concerts gratuits est de retour et Blues on the green d’Austin City Limits Radio aussi. L’emblématique festival texan, qui effectuera sa 29ème saison, revient pour son troisième concert de l’été, mercredi 17 juillet à 8pm. Il accueillera le chanteur de rock indépendant Ben Kweller, un habitué des concerts de l’Austin City Limits Radio. Le groupe originaire d’Austin, Como Las Movies se produira aussi : il jouera des airs de cumbia, un style de musique et une danse originaire de Colombie. Lors des concerts précédents, Blues on the green a notamment accueilli Max Frost, Sun June, Jamestown Revival et Sir Woman.
Les spectateurs sont attendus au Zilker Park. Fumer et boire de l’alcool est bien sûr interdit mais de nombreux stands vendront de quoi se restaurer. Le public est invité à emmener des couvertures, leurs amis et leurs animaux pour apprécier le concert dans une ambiance détendue. La prochaine et dernière représentation de la saison aura lieu le mercredi 7 août.

Où célébrer Bastille Day au Texas

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La fête nationale française est l’occasion pour tous les Français de se rassembler pour un moment convivial où petits et grands danseront sous les lampions. Voici tous les bons plans au Texas pour célébrer le 14 Juillet joyeusement.
HOUSTON
Pour cet événement, le Consulat vous invite le samedi 13 juillet au Houston Polo Club de 7pm à 12am (8552 Memorial Drive) dans une ambiance des plus champêtres et festives. Après le traditionnel discours du Consul général, vous pourrez regarder une démonstration de polo et jouer à la pétanque avant le début officiel de la fête qui se déroulera autour de food trucks et d’un bal populaire. La musique offerte par le DJ Julien Nolan vous entraînera sur la piste de danse. N’oubliez pas d’apporter votre vin préféré à partager avec vos amis (BYOB, seuls la bière et le vin sont autorisés sur le site). Le billet d’entrée comprend l’accès à la soirée et un verre de bienvenue. À noter que cette fête est gratuite pour les moins de 15 ans.
Le Museum of Fine Arts (MFA) organise une journée spéciale le dimanche 14 juillet à la villa Rienzi, offrant aux clients une visite du manoir en français. Vous pourrez y admirer les dernières assiettes du service à dîner Arabesque commandé par la famille royale française. Le musée propose également des activités artisanales pour tous les âges comme la construction d’une Tour Eiffel. L’écrivain Susan Jacques donnera une conférence sur Napoléon et ses collections d’art, suivie d’une séance de dédicaces.
Plusieurs restaurants français ont mis les petits plats dans les grands pour célébrer le 14 juillet. L’Etoile (1101-11 Uptown Park Boulevard) vous propose un menu de 4 plats dégustation pour 78$ au son d’un orchestre français. Le chef Bédard du Bistro (7070 Allenby Street) a concocté un menu tout en couleurs pour 39$, réservation à partir de 5:30pm jusqu’a 8pm. La Brasserie du Parc offre un dîner savoureux pour un prix fixe de 45$, accompagnement musical inclus. Le restaurant Artisan (3201 Louisiana Street) affiche également un menu spécial pour 90$ par personne. La Maison Pucha Bistro (1001 Studwood Street) célébrera la fête nationale autour d’un brunch de 10am à 3pm. Chez Brasserie 19 (1962 West Gray Street), le Bastille Day sera « rouge, blanc, brut », de 12pm à 3pm avec orchestre et champagne!
AUSTIN
L’Alliance Française d’Austin vous propose de se retrouver, le samedi 13 juillet au Triangle Park (4660 Triangle Avenue) de 6pm à 10pm pour un pique-nique familial sous les étoiles. L’événement de cette année célèbre la culture française du monde entier, du Vietnam et de la Belgique au Texas et à la Louisiane. Jongleurs, maquillages, ballons et splash pad seront là pour distraire les enfants. Plusieurs groupes de musique française, comme le duo pop Skoll & Hati, et de musique cajun par Cory Mc Cauley & The Evangeline Aces rythmeront votre soirée. Le prix d’entrée est de 10$, les enfants de 12 ans et moins sont gratuits.
Pour le dimanche 14 juillet, l’Alliance Française d’Austin organise un tournoi de pétanque au Mueller Hangar ( 4550 Mueller Boulevard) de 3pm à 5pm. Tous les participants (membres et non membres) sont les bienvenus à ce passe-temps préféré des Français, le matériel est fourni et aucune expérience préalable n’est requise. La participation est gratuite mais vous êtes invités à apporter du pain, du fromage ou une recette préférée à partager. Entrée libre.
Gardez vos couleurs bleu, blanc, rouge du 4 juillet pour venir fêter le Bastille Day au fameux restaurant Le Politique. Le chef vous propose un brunch de 11am à 3:30pm, incluant des activités pour toute la famille. Il y aura aussi un tournoi Champong et une course de serveurs « champagne », de la musique française en direct et des macarons rouges, blancs et bleus à déguster jusqu’à 4pm.
Vive la France ! Comme les Français sont fiers de leurs fromages, l’artisan fromager Antonelli (4220 Duval Street) a sélectionné les meilleurs fromages et vous invite à une dégustation. Un véritable voyage culinaire vous attend à partir de 10:30am: camembert, roquefort, époisses et bien d’autres encore. C’est un véritable voyage à travers les régions de France, le tout accompagné de petits condiments. Réservation obligatoire!
PLANO 
Célébration du 14 juillet au Legacy Hall de Plan de 11am à 11pm. Un dimanche en bleu blanc rouge tout en dégustant des crêpes parfumées et en écoutant des mélodies françaises séduisantes. Des danseurs de French can-can vous entraîneront sur la piste et le champagne coulera à flots. Ce voyage parisien incluera tout : démonstration de cuisine française, cocktails au champagne, accordéonistes, mimes errants et bien d’autres surprises! Entrée gratuite.
SAN ANTONIO
L’Alliance Française de San Antonio vous convie le dimanche 14 juillet à célébrer le Bastille Day à The Véranda (1746 Lockhill Selma Road) de 6pm à 9pm. Une soirée pour célébrer la France et la culture française avec des membres de l’Alliance et d’autres amis de la villa d’Alamo. Le chef Mike Bomberg déclinera une cuisine du terroir, des hors-d’oeuvre accompagnés d’une sélection de vins français. La chanteuse et compositrice Christine Robert accompagnera cette soirée avec ses musiciens. Inscription : 50$ pour les membres, 65$ pour les non-membres.
DALLAS
Cette année la Chambre de commerce franco-américaine de Dallas/Fort Worth en association avec l’Alliance Française de Dallas vous invite à célébrer le Bastille Day le jeudi 11 juillet au Lavendou Bistro de 6:30pm à 10pm. Un menu tricolore agrémenté de grands vins du terroir. Inscription obligatoire : 95$ pour les non-membres et 85$ pour les membres.
Le dimanche 14 juillet, Haute Sweet et Whisk & Eggs, ainsi que l’Alliance française de Dallas et Moët & Chandon, vous invitent à une expérience lounge française exclusive au Blush Wine Bar organisé par Legacy Hall. Cet événement payant vous donnera accès à des démonstrations de crêpes uniques de la part du propriétaire, Julien Eelsen, de Whisk & Eggs, et à des desserts français classiques triés sur le volet de Haute Sweet. Tous ces mets seront assortis de vins et de champagne choisis pour chaque délice. Inscription: 40$.
C’est un festival annuel au cœur du quartier des arts Bishop, qui célébrera pour la 10e année consécutive les racines françaises d’Oak Cliff. Le 14 juillet est l’occasion unique pour vous de revêtir votre béret et de rejoindre votre amis pour une coupe de champagne et de danser dans les rues! Ce festival qui aura lieu à 5pm est gratuit pour tous. En revanche, il vous faudra acheter des billets pour consommer des boissons alcoolisées, des cocktails, de la bière, du vin ou de la nourriture. Admission : jetons et verre à vin entre 18$ et 40$.

L'art électronique en fête sur Governors Island

Le New York Electronic Art Festival, dont c’est la 7e édition cette année, s’installe à Governors Island jusqu’au 11 août. L’événement est un mélange d’expositions, de concerts, de conférences et d’ateliers, avec un thème commun: les questionnements autour de la technologie. Parmi les temps forts, le Building 10a à Nolan Park accueillera l’exposition “Physical and Digital: multifaceted visions in electronic art”, qui comprend notamment les artistes Julia Sinelnikova, Amy Youngs, Amanda Gutiérrez et Zahra Poonawala.
Cette dernière présente une oeuvre intitulée “Manifesto from Lorraine”, une “sculpture sonore” dont le nom est un hommage à la région de France ayant le plus souffert de la sortie de l’ère industrielle. L’oeuvre consiste en une enceinte de verre motorisée qui diffuse des extraits d’oeuvres et manifestes de différents auteurs ayant vécu à différentes époques en réalisant des mouvements de balanciers synchronisés avec les textes. Zahra Poonawala est une musicienne et artiste franco-suisse installée à New York, diplômée de la Haute Ecole des Arts du Rhin et du Studio National des Arts Contemporains.
Le festival est gratuit et ouvert à tous.

Deux chorales françaises et américaines réunies pour "Together en chansons"

La France et les États-Unis réunis pour un après-midi musical. C’est le programme de Together en chansons prévu à la Valley Presbyterian Church le dimanche 21 juillet de 4 à 6pm, dans le sud de San Francisco. La chorale française Assou Lezert, originaire d’Albi dans le Tarn, fera le voyage jusqu’en Californie pour rencontrer The Aurora Singers, une chorale venue de Palo Alto. Ensemble ils interpréteront notamment l’aigle noir de Barbara, L’hymne à l’amour d’Édith Piaf et des chansons basques.
Les chanteurs d’Assou Lezert se sont déjà produits en dehors de la France, comme au Gabon par exemple. Leurs homologues américains sont une soixantaine de chanteurs. La chorale donne régulièrement des concerts pour des gens n’ayant pas l’occasion d’y assister (personnes âgées en maison de retraite, personnes hospitalisées…). Le concert Together en Chansons est gratuit.

Business Etiquette: la pause-déj aux US, comment ça marche ?

Arriver aux États-Unis et devoir s’habituer aux coutumes locales est une chose. Réussir à s’intégrer dans une entreprise américaine en est une autre. Dans ce premier “Business Etiquette”, notre rubrique consacrée aux codes du monde professionnel aux Etats-Unis, on s’intéresse au sujet épineux de la pause-déjeuner.
En France, la plupart des travailleurs prennent entre 30 minutes et une heure de pause pour se restaurer. Ils mangent à la cafétéria de leur entreprise, emmènent leur tupperware ou sortent manger à l’extérieur. Ce n’est pas forcément le cas aux États-Unis comme le relate cette étude de 2018 de l’agence de recrutement Robert Half, plus de la moitié des Américains (56%) prennent une pause de 30 minutes ou moins pour déjeuner et 29% travaillent en même temps. La durée moyenne du repas serait de 39 minutes (contre 43 en 2014).
Mathieu Bigand est consultant chez Goldman Sachs à New York et travaillait auparavant pour la même banque dans l’Hexagone. « Il n’y a pas de pause déjeuner aux États-Unis alors qu’on en prenait en France. Les gens descendent entre collègues s’acheter une salade à la cafétéria et ils la mangent à leur bureau pour la grande majorité ». Les seuls moments pendant lesquels le jeune homme sort de son bureau pour manger sont à l’occasion de repas d’affaire.
Le Français regrette l’époque pendant laquelle il s’asseyait autour d’une table avec ses collègues : « Je trouvais que c’était le bon moment pour créer un lien social. On se nourrit aussi mieux en prenant le temps de manger un plat avec une entrée ou un dessert », explique-t-il. Le consultant a aussi remarqué que, contrairement à la France, les employés n’hésitent pas à programmer des rendez-vous ou des réunions entre 12:30pm et 1:30pm.
« En France, quand c’est l’heure de manger, la boutique ferme et tout le monde prend son temps », ironise Florian Marciniak, stagiaire en analyse financière chez OTCFin. Le Niçois s’est complètement habitué aux habitudes de travail américaines. Il s’autorise comme ses collègues une pause d’une trentaine de minutes, ou mange à son bureau. « Si une fois dans la semaine, on prend une heure de pause pour aller manger ailleurs, personne ne dira rien. Si on le fait tous les jours, ce sera un peu mal vu. Ils ne vont pas forcément faire une remarque, mais ils vont le faire comprendre de manière insidieuse », affirme-t-il.
Même s’il a moins le temps de discuter avec ses collègues lors des pauses repas, le stagiaire apprécie la relation, plus détendue, qu’il entretient avec ses managers. « On va boire des bières ensemble, on va au restaurant, on parle de sport. Il y a une ambiance d’équipe amicale, c’est beaucoup plus horizontal et flexible qu’en France et je préfère ça », conclut le jeune homme, qui espère faire carrière aux États-Unis.
Même si la plupart des Américains prennent des pauses très courtes ou mangent à leur bureau, Mathieu Xuereb, en VIE à Lisi Aerospace près de Los Angeles, n’a pas vu de changement. « Au niveau des repas, je ne remarque pas de différences concrètes entre la France et les États-Unis, la pause dure entre 30 minutes et une heure. Par contre, les Américains emmènent énormément de nourriture sur le lieu de travail : des donuts, des cookies à faire partager… », rigole le Français. Une étude en 2018 a établi une corrélation entre le fait de prendre régulièrement des pauses pour manger et une meilleure productivité. Peut-être de quoi faire évoluer les mentalités dans un pays où le dur labeur est valorisé.