Vous voulez revivre les sensations de l’été dernier? “La finale avant l’heure” entre les Américaines, double championnes du monde en titre, et les Bleues, aura lieu à midi (heure de Los Angeles) vendredi 28 juin. Pour ne pas vivre ce match de quart de finale -et stresser- en solitaire, French Morning a sélectionné quelques lieux qui le diffusent dans la cité des anges.
The Fields LA
Adjacent au LAFC Stadium, ce lieu unique va diffuser sur un écran géant, et en terrasse, le match de vendredi. En plus de la décoration moderne, vous pourrez profiter des différentes offres de restauration – The Fields abrite des restaurants sur plusieurs étages-, ainsi que de la carte du bar. Un “must” pour les amateurs de sport et de bonne bouffe. The Fields, 3939 South Figueroa Street, Los Angeles.
Legends Sports Bar
Se définissant comme le bar de sport le plus moderne des Etats-Unis, cet établissement de Long Beach dispose de suffisamment d’écrans pour ne plus savoir où donner de la tête. Préparez-vous également à donner de la voix face aux supporteurs américains. Legends Sports Bar, 5236 E. Second St., Long Beach.
Atmosphere Mar Vista
Pour être sûr d’être entouré de supporteurs de la France, foncez dans ce restaurant français de Mar Vista. Vous pourrez encourager les Bleues en dégustant un croque madame, un pain bagnat, une soupe à l’oignon ou du pain perdu. Atmosphere Mar Vista, 12034 Venice Blvd, Los Angeles
The Paley Center for Media
Pour suivre le match dans les mêmes conditions qu’au cinéma, sur un écran géant et assis dans des sièges confortables, optez pour le Paley Center for Media, à Beverly Hills. The Paley Center for Media, 465 N. Beverly Drive, Beverly Hills.
Q’s Billiard Club
L’avantage de ce bar de Brentwood, c’est que si le résultat du match vous déçoit, vous pourrez toujours vous adonner à une partie de billard – c’est la spécialité du lieu. Q’s Billiard Club, 11835 Wilshire Blvd., Brentwood.
1739 Public House
Sur ses deux étages -et sa petite cour arrière- recouverts d’écrans, le “pub” de Los Feliz est à la hauteur des attentes d’un fan de football. Et vous ne serez pas déçus par le large choix de bières et de plats -mention spéciale pour leur quesadilla. 1739 Public House, 1739 N. Vermont Ave., Los Feliz.
Underground Pub & Grill
Dans la “South Bay”, Underground Pub & Grill est le QG des fans de sport (MLB, NFL, UFC, boxing, NBA…). Vendredi, comme depuis le début de la compétition, ils donneront la priorité au mondial féminin. Underground Pub & Grill, 1332 Hermosa Ave., Hermosa Beach.
33 Taps
Pour les habitués de Silver Lake, sport rime avec 33 TAPS. Vous pourrez y encourager les Bleues en dégustant nachos, pancakes, ou burritos. 33 TAPS, 3725 Sunset Blvd, Los Angeles.
Bubble, la start-up qui dit "non" au code, lève 6,25 millions de dollars
« Ça nous a pris sept ans mais aujourd’hui, quand les utilisateurs nous disent : ‘Je veux construire ça’, c’est très rare que la réponse soit non », se réjouit Emmanuel Straschnov, co-fondateur de Bubble, une plateforme qui permet de construire un site sur-mesure sans toucher au code.
La start-up fondée en 2012 à New York vient de boucler une première levée de fonds de 6,25 millions de dollars, menée par SignalFire (qui a notamment investi dans Uber et Lime). Le but, et non des moindres : « devenir la plateforme de référence pour ceux qui souhaitent créer un site avant de mettre les mains dans le code », résume l’entrepreneur.
Quand Emmanuel Straschnov a rencontré Joshua Haas en 2012 par leur réseau en commun d’Harvard, ils se sont associés « au premier café ». Leur objectif, à un moment où « tout le monde ne jurait que par l’apprentissage du code », se souvient-il : « transformer tout utilisateur en programmeur ».
Quelques années de « travail de fourmi » plus tard, l’équipe de Bubble est passée à 15 personnes, dont 6 ingénieurs et recense près de 280.000 utilisateurs, dont 2.700 entreprises qui payent pour le service premium de la plateforme.
La start-up promet même de pouvoir programmer l’équivalent de Twitter ou Airbnb en une semaine, grâce à une bibliothèque de modules que l’utilisateur peut sélectionner, déplacer et modifier à son goût. « On voulait attendre d’être prêts pour lever de l’argent. Si on multiplie le nombre d’utilisateurs par dix mais qu’ils sont déçus, ils ne reviendront jamais », raisonne Emmanuel Straschnov, qui a constaté « un tournant » l’an dernier. « Le produit est devenu suffisamment étoffé pour couvrir toutes les utilisations possibles », assure-t-il.
Face à une concurrence croissante et une multiplication des plateformes de créations de sites, Emmanuel Straschnov assure que Bubble, pionnier à sa création, peut compter aujourd’hui sur « pas mal d’avance ». Avec cette levée de fonds, les entrepreneurs comptent multiplier leur revenu par trois dans les 18 prochains mois, finir l’année à « 25 ou 28 » personnes dans l’équipe et surtout, miser sur les start-ups.
« L’avantage des start-ups, c’est qu’on peut grossir avec elles. Et même si elles ne marchent pas, les entrepreneurs peuvent toujours revenir vers nous pour leur prochain projet ou nous recommander », observe Emmanuel Straschnov, qui imagine un monopole d’ici 15-20 ans. « La plupart des entreprises n’auront plus de codeurs, seuls quelques développeurs enrichiront la plateforme ».
Ces architectes français qui ont fait New York
Bartholdi, le sculpteur de la Statue de la Liberté, n’est pas le seul Français à avoir transformé la skyline de New York. Petite promenade dans le Manhattan des architectes hexagonaux.
Pierre Charles l’Enfant, St. Paul Chapel
A l’angle de Broadway et de Fulton Street, on connaît tous St. Paul Chapel, une survivante des attentats du 11-Septembre. En revanche, on sait moins que c’est un Français, Pierre Charles l’Enfant, qui en réalisa la gloire. Né à Paris, L’Enfant est arrivé en Amérique avec le Général Lafayette. Blessé, il renonça aux armes pour devenir urbaniste. Aux Etats-Unis, l’Enfant est surtout connu pour avoir dessiné les plans de Washington. Seul vestige de son travail à New York, le retable de St. Paul représente le Mont Sinaï sous les nuages et la foudre.
Joseph-François Mangin, le City Hall
Depuis 1811, le City Hall abrite les bureaux de la mairie de New York. De style Louis XV avec ses colonnes et ses balcons, le bâtiment fut loué par Henry James pour « son goût et ses finitions parfaites ». Vosgien, Joseph-François Mangin fut chargé de son extérieur. A New York, Mangin travailla également sur un autre bâtiment : l’ancienne cathédrale Saint Patrick sur Mulberry Street, entre Prince et Houston.
Paul-Emile Duboy, l’Ansonia
Broadway et 73e rue. Nous sommes en 1904. L’Ansonia est l’œuvre du Français Paul-Emile Duboy. A l’extérieur, une façade haussmannienne. A l’intérieur, 1.400 pièces, des restaurants, un coiffeur, un tailleur, une banque, un bain turc, la plus grande piscine intérieure de l’époque et une fontaine dans laquelle nageaient des phoques. Dans les murs, un réseau de tubes de verre permet aux clients d’envoyer des messages au personnel. Sur le toit, une ferme avec cinq cent poulets, des canards, six chèvres et un ours. Une fois la construction terminée, Duboy rentra en France. Epuisé, il fit une dépression nerveuse.
Le Corbusier et les Nations-Unies
1937. Le Corbusier publie Quand les cathédrales étaient blanches, un essai où il rassemble ses impressions de New York. Horrifié par la pauvreté de la population, il est toutefois intéressé par la ville et lance dans ce livre les premières idées pour sa Cité radieuse. En 1947, Le Corbusier fut convié à rejoindre le groupe de dix experts chargés des plans du quartier général des Nations Unies. Après cinq ans de travaux, en 1952, deux des bâtiments bordant l’East River furent inaugurés.
Jean Nouvel, le 53W53
Vous êtes au MoMA, levez la tête. Devant vous un colosse en construction : le 53W53, imaginé par le Français Jean Nouvel. Le gratte-ciel est la troisième création de Nouvel à New York, après 40 Mercer Street et 100 11th Avenue. Initialement, l’architecte le voulait parmi les plus hauts de la ville, aussi haut que l’Empire State. Avec 82 étages, il devra se contenter de la septième place. 53W53 accueillera une extension du MoMA ainsi que des appartements. Comptez environ 7 millions de dollars pour un trois-pièces et 64 millions pour un penthouse.
Christian de Portzamparc, One57, Tour Prism, Tour LVMH
Aujourd’hui, Christian de Portzamparc, premier architecte français à avoir reçu le prestigieux Prix Pritzker, compte trois bâtiments à New York : avec sa façade de verre sablé blanc, le siège new-yorkais de LVMH se trouve au 19 East 57th street ; One 57, tour fine de 300 mètres surplombe Central Park. C’est le bâtiment résidentiel le plus haut de la ville ; enfin, la Tour Prism, superbe immeuble d’appartements, est situé à l’angle de Park Avenue et de la 28e rue.
Un Bastille Day 2019 sous le signe du Tour de France à Washington
Chaque 14-Juillet est différent à Washington. Cette année, le grand Bastille Day du Comité tricolore, regroupement d’associations françaises à Washington, est placé sous le signe du Tour de France. Il aura lieu le 12 juillet et French Morning Washington en est le partenaire.
Au programme de “Bastille Day: cuisine et maillot jaune”: un tour de France gastronomique dans les locaux de la Maison française de l’Ambassade de France. Plusieurs restaurants locaux participeront à l’opération: 2941 Restaurant, Amore Trade, Bastille Restaurant, Brabo Brasserie, Breakthru Beverages, Bridor, Convivial, Cuisine Solutions, Esprit du Vin, Härth Restaurant at Hilton Mc Lean, La Côte d’Or, Lebanese Taverna, Mirabelle, Ottoman Taverna, Pregel, Ris Restaurant, Ronald Regan International Trade Center, Silver Spoon, Opaline at the Sofitel, Sera Wine, St Michel Biscuit, Stratford University, ViniFrance… D’autres seront annoncés prochainement. Le groupe Avalon Jazz Band et le DJ Christophe Monot assureront l’ambiance musicale pendant la soirée.
L’événement permettra de lever des fonds pour soutenir les activités du Comité tricolore, qui vient en aide aux Français de Washington en difficulté. Plusieurs lots seront mis aux enchères pendant la soirée et permettront aux plus offrants de repartir avec un séjour d’une semaine dans un des Club Med nord-américains. Les enchères en ligne sont déjà ouvertes.
SailGP New York: la France arrive cinquième
Un chavirement du bateau anglais juste avant la première manche et quelques belles frayeurs pour l’équipe française: les courses de la SailGP à New York sur l’Hudson River, vendredi 21 juin et samedi 22, ont été riches en rebondissements.
La France termine cinquième (sur six) au classement de cette course avec 32 points cumulés, derrière le Japon en tête avec 49 points, puis l’Australie et les Etats-Unis, respectivement à 45 et 37 points.
Les conditions météorologiques étaient en effet “musclées” selon le skipper français Billy Besson, avec des changements de vent brusques. Les Français ont été à deux doigts de voir leur bateau se renverser à son tour en pleine course. L’équipe française a réalisé son meilleur score lors de la deuxième manche de vendredi en arrivant troisième, mais le Japon et l’Australie ont largement dominé les courses de New York.
Au classement général de la SailGP, course décrite comme la Formule 1 de la voile, la France est cinquième ex-aequo avec la Chine avec 93 points, tandis que l’Australie est pour l’instant leader avec 140 points.
Tout n’est pourtant pas joué pour Marie Riou, Billy Besson et leurs co-équipiers. Prochaines et dernières étapes : Cowes en Angleterre, les 10 et 11 août, et la finale à Marseille, du 20 au 22 septembre.
"L’enfant et les sortilèges": Ravel revisité au San Francisco Symphony
Pour clôturer sa saison, le SF Symphony a opté pour un programme des plus français. Une production de l’Opéra de Lyon sera jouée sur les planches du Davies Symphony Hall les 27, 29 et 30 juin: une réadaptation de L’Enfant et les sortilèges de Ravel, opéra joué pour la première fois en 1925 par Colette et modernisé par Grégoire Pont et James Bonas en 2016.
Les deux hommes ont mis au point une version live et unique de ce show historique magnifié par des jeux de lumières et des projections sur toile. Grégoire Pont a révolutionné le monde de l’opéra grâce à ce concept mi-3D mi-classique qu’il a eu la chance d’expérimenter en France. Joué en deux actes, le spectacle raconte les mésaventures d’un garçon un peu turbulent qui a maltraité ses jouets pendant des années. Un jour, ces derniers prennent vie et entendent bien lui donner une leçon. Dans le rôle principal, celui de l’enfant, on retrouve la Mezzo-Soprano Isabel Léonard qui sera accompagnée d’artistes de renom choisis par le chef de choeur Martyn Brabbins.
Pour ce qui est du reste de la soirée, différentes prestations seront jouées: des morceaux d’opéras de Debussy (Children’s Corner, La plus que lente, Noël des enfants qui n’ont plus de maisons), Fauré (Allegro molto from Piano Quartet No.1 in minor) et une autre introduction à l’univers de Ravel avec un passage du Jardin féérique. Comptez environ une heure de spectacle sans les entractes.
Le corps selon Renoir expliqué à New York
Le corps, nu en particulier, est un sujet important de l’oeuvre du peintre Auguste Renoir. Il fera l’objet d’une conférence le 27 juin aux Services culturels de l’Ambassade de France à New York.
Lors de “Renoir: The Body, The Senses”, conférence qui porte le même nom que l’exposition qui sera ouverte en octobre au Kimbell Art Museum de Fort Worth, Esther Bell (commissaire d’exposition au Clark Art Institute) et George T. M. Shackelford (directeur adjoint du Kimbell) évoqueront la place du corps dans le travail de l’artiste du XIXe siècle, de ses débuts comme élève jusqu’au début du XXème siècle.
Pierre-Auguste Renoir a signé quelques-uns des chefs d’oeuvres de son temps, comme le “Déjeuner des canotiers”, le “Bal du moulin de la galette” ou encore “Les grandes baigneuses”.
Les Français d’Essteem organisent le premier "equalithon"
Plus d’un an et demi après le lancement d’Essteem, Hugues Seureau et Sylvain Dechartre, les deux co-fondateurs du réseau de soutien au recrutement des femmes, font le triste constat qu’en matière d’inclusion dans les entreprises, il y a peu de concret.
C’est de là qu’est né le premier « Equalithon » : un hackathon (né des termes « hack » et « marathon » pour désigner des compétitions de développeurs) à distance sur le thème de l’égalité des genres. Il se tiendra du mardi 16 juillet au mercredi 21 août.
Le principe : des équipes de cinq participants maximum plancheront pendant quatre semaines sur des « challenges » proposés par Essteem. « Par exemple, on propose aux participants de trouver des solutions pour briser le plafond de verre avec une appli de “reverse mentoring” [ce procédé qui consiste à inverser les rôles entre le mentor traditionnel et la personne formée, ndlr] », détaille Hugues Seureau, qui cite également un projet d’application pour dénoncer les cas de harcèlement sexuel au travail. « Tout ça en open source, précise le cofondateur d’Essteem. Le but, c’est d’encourager la création de ressources et d’outils qui pourront être utiles à l’avenir », insiste-t-il.
Ces challenges seront dévoilés lors d’une cérémonie d’ouverture mardi 16 juillet, organisée au siège new-yorkais du Nasdaq, partenaire de l’événement. Les inscriptions gratuites et ouvertes à toutes et à tous (même si Essteem dit naturellement « donner la propriété aux femmes ») sont accessibles jusqu’au jeudi 25 juin, précisent les organisateurs.
La compétition qui accueillera 150 participants maximum s’adresse à deux types de candidats: les développeurs.es (130 places) mais aussi aux profils « hors tech » (20 places) pour aborder des problématiques comme les questions de légalité, de recrutement ou encore de sociologie.
Si le marathon lui-même se déroulera intégralement en ligne (même le suivi des mentors se déroulera via la plateforme Slack, souligne Hugues Seureau), une cérémonie de clôture est prévue mercredi 21 août pour permettre aux participants de présenter le résultat de leur travail. « On n’attend pas un produit abouti mais tout de même quelques bouts de code et une présentation vidéo si possible », raconte Hugues Seureau.
En plus de la possibilité de rencontrer de potentiels recruteurs, les candidats pourront recevoir des prix. « Deux équipes recevront un prix de 1.000 dollars et il y aura d’autres récompenses », ajoute l’entrepreneur, qui précise que 5% des revenus de l’événements reviendront à des associations de soutien aux femmes.
7 cinémas en plein-air à tester absolument à Washington
Chaque été, les cinémas en plein-air deviennent très populaires à Washington. Comédies romantiques, films d’actions… Il y en a pour tous les goûts et pour toute la famille. Apportez votre pique-nique, une serviette de plage et venez admirer le coucher de soleil devant un écran de cinéma dans l’un de vos parcs favoris. Voici quelques idées.
NoMa Summer Screen, pour les passionnés de sport
Depuis 12 ans, ce festival de cinéma en plein-air se tient au cœur du NoMa, ancien quartier industriel devenu l’un des endroits branchés de la capitale. Cette oasis culturelle accueille NoMa Summer Screen, qui présentera des films sur le thème du sport. “The Karaté Kid”, “The Sandlot”, “Rudy”… En tout, douze films seront diffusés gratuitement. Des food trucks proposeront de la nourriture sur place. NoMa Summer Screen, chaque mercredi du 5 juin au 28 août. 1150 First St Ne. Gratuit. Attention les horaires varient en fonction du coucher du soleil. Plus d’informations ici.
Georgetown’s Annual Sunset Cinema, pour les fans de “road trips movies”
Prisé pendant l’été pour son joli parc en face de la rivière Potomac, Georgetown Waterfront diffuse des films en plein air tous les mardis, entre le 9 juillet et le 6 août. Georgetown’s Annual Sunset Cinema propose des films sur le thème du voyage et des roadtrips. Rien de plus enivrant pour profiter des soirées estivales de la capitale. Au programme, “Little Miss Sunshine”, “Eat Pray Love”, ou encore “Under the Tuscan Sun”. Tous les mardis à partir de 8:30pm, Georgetown waterfront Park. Gratuit. Plus d’informations ici.
Jane Austen film festival, pour les romantiques
Plusieurs raisons vont attirer votre curiosité : tout d’abord, Dumbarton House est l’un des jardins les plus romantiques de Washington. Ensuite ce festival met en avant les adaptations des livres de Jane Austen. Cinq films seront diffusés chaque mercredi du mois de juillet. Plus d’informations et réservation ici. Jane Austen film festival, du 3 au 25 juillet à partir de 7.30pm. Compter 6 dollars pour un film et 25 dollars pour les 5 films. Dumbarton House, 2715 Q Street, NW Georgetown.
The Drive-in à Union Market, pour les nostalgiques
Pour ceux qui souhaitent vivre l’expérience originale du cinéma en plein-air, le Drive-in de Union Market est authentique. Chaque premier vendredi du mois jusqu’en octobre, il est possible de se la jouer comme dans “Grease” et de garer sa voiture en face de l’écran. Ceux qui souhaitent venir à pied sont également les bienvenus. Six séances sont programmées cet été, dont “Dazed and confused”, “Con Air”, ou encore “Coco”. Plus d’informations ici. The Drive at Union Market, 1309 5th Street NE. Début de la séance à 6pm. Compter 15 dollars par voiture, gratuit pour piétons et cyclistes.
Capitol Riverfront Outdoor Movie Series, pour les familles
Canal Park se remplit de familles lors des week-ends ensoleillés. Entre le 13 juin et le 22 août, ce joli parc se transforme en salle de cinéma à ciel ouvert. Chaque jeudi, un nouveau film destiné à toute la famille sera diffusé sur un écran géant. “Crazy Rich Asians”, “Apollo 13”, “Bohemian Rhapsody”… Il y en a pour tous et c’est gratuit. Plus d’informations ici. Capitol Riverfront Outdoor Movie Series, Canal Park North Block. Chaque jeudi à partir du coucher du soleil.
Downtown DC Summer Flicks, pour les adeptes de Marvel
Avis au amateur de films Marvel, la place Freedom Plaza diffuse six films chaque mardi entre le 4 juin et le 9 juillet. En plus de la projection des films, un DJ sera présent et plusieurs activités seront proposées comme des démonstrations d’arts martiaux, entre 7.30pm et 8.30pm. Le film commence au coucher du soleil, vers 8.30pm. Tout le programme et plus d’informations ici. Downtown DC Summer Flicks, 1455 Pennsylvania Avenue NW. Chaque mardi à partir de 7.30pm (début du film à 8.30pm). Gratuit.
Golden Cinema, pour les citadins
Au cœur de la capitale, Farragut Square accueille Golden Cinema, une série de plusieurs films en plein-air diffusés chaque vendredi entre le 7 juin et le 2 août. Au programme, “Mary Poppins Returns”, “Incredibles 2”, ou encore “Ocean’s 8”. Plus d’informations ici. Golden Cinema, tous les vendredi vers 8.30pm à Farragut Square. Gratuit.