Donald Trump et Emmanuel Macron plantant un chêne dans les jardins de la Maison-Blanche. Ce geste avait été l’un des temps forts de la visite d’Etat du président français à Washington en avril 2018. Cet arbre, qui était censé représenter l’amitié entre les deux pays, n’a pas tenu un an.
Chargé de symboles, le jeune arbre, offert par Emmanuel Macron à son hôte, venait du Bois Belleau, un bois en région parisienne où plus de 2.000 militaires américains périrent lors d’une sanglante bataille pendant la Première guerre mondiale. À l’époque, aucun conflit depuis la Guerre de Sécession n’avait fait autant de victimes militaires américaines. Peu de temps après sa plantation, l’arbre a été placé en quarantaine, un passage obligatoire pour tous les organismes végétaux arrivant aux États-Unis.
Alors qu’Emmanuel Macron et Donald Trump se sont retrouvés le 6 juin pour commémorer le 75e anniversaire du Débarquement allié en Normandie, l’AFP (Agence France-Presse) a appris de source diplomatique que l’arbre n’avait jamais été replanté puisqu’il est mort lors de son séjour en quarantaine. Certains y verront une métaphore de l’état des relations franco-américaines, qui se sont envenimées en raison de désaccords concernant l’Iran et l’OTAN notamment.
L'arbre planté par Macron et Trump à la Maison-Blanche est mort
Le futur club d'Antoine Griezmann ? "Ça ne sera pas Miami"
On ne sait pas où Antoine Griezmann jouera la saison prochaine. Une chose est sûre: “ça ne sera pas Miami“, a-t-il déclaré lors de l’émission Telefoot, dimanche 9 juin. Il était interrogé sur son club pour la saison prochaine.
Le champion du monde a annoncé qu’il raccrochait les crampons avec l’Atlético Madrid. Barcelone, PSG, Manchester: les rumeurs autour de son futur club vont bon train. L’attaquant français de 28 ans avait déclaré l’an dernier au magazine L’Équipe qu’il était ouvert à déménager à Miami si l’ancien international David Beckham, dont la franchise (Club Internacional de Futbol Miami ou Inter Miami CF) doit faire son entrée en MLS (Major League Soccer) en 2020, le lui demandait.
«S’il me veut dans son club, alors, j’irai, a-t-il affirmé. Je veux terminer en MLS. Après, on verra si c’est à Los Angeles ou Miami. Ce sont deux bonnes villes. J’aime la mentalité et la culture du show qu’il y a aux Etats-Unis.»
Qu’est-ce que je risque à boire de l'alcool dans les parcs à New York ?
Avec le retour des beaux jours, vous êtes tentés par un verre de rosé ou une bière au soleil dans un parc ? Malheureusement, votre apéro devra rester « soft ». Dans la ville de New York comme dans la majeure partie des Etats-Unis, la consommation d’alcool sur la voie publique – dont bien sûr les parcs – est strictement interdite.
Et avant même de vous interpeller en train de boire ou en état d’ébriété, il suffit à un agent de police de vous voir « en possession d’un récipient ouvert contenant une boisson alcoolisée » pour présumer que vous allez la consommer et vous en tenir rigueur, selon le code administratif de la ville de New York.
Si techniquement, la pratique du « brownbagging » s’est répandue dans le but de cacher une bouteille dans les fameux sacs en papier marron, le credo du « pas vu, pas pris » reste un mythe et ledit sac en papier risquera davantage de souligner que de dissimuler son contenu douteux.
Certes, la loi est stricte mais la sanction a été assouplie en 2016, à l’initiative du maire démocrate de New York (toujours en poste) Bill de Blasio. Pour désengorger la cour pénale de la ville qui a émis quelque 150.000 convocations à comparaître en 2015 pour « certains petits délits non violents » comme boire sur la voie publique, uriner dans la rue, rester dans les parcs après leur fermeture ou encore jeter ses déchets par terre, le conseil municipal de New York a décidé d’adopter une réforme de dépénalisation, le Criminal Justice Reform Act (CJRA).
Résultat : l’amende reste de 25 dollars, comme prévu par la loi de 1979 à l’origine de cette chasse aux buveurs de rue. Cependant, l’infraction est traitée par la cour civile de New York et non plus par la cour pénale. Le contrevenant peut donc s’acquitter de sa contravention en ligne ou par courrier auprès de The Office of Administrative Trials and Hearings sans se présenter devant un tribunal. Le délit n’apparaît pas dans son casier judiciaire et n’a donc aucune incidence sur son visa s’il est expatrié.
« Des milliers de convocations étaient envoyées chaque année pour ce type de délits, qui affectaient de façon disproportionnée les personnes pauvres de couleur, déplorait le conseil municipal dans un bilan en 2017, un an après la ratification de la réforme. Beaucoup de gens devaient prendre un jour de congés pour se présenter devant la cour. Et si quelqu’un venait à manquer son audience, un mandat d’arrêt était émis contre lui », précisait le conseil.
De ce point de vue, la réforme semble être efficace. Selon les derniers chiffres de la police de New York, seules 30 personnes ont été convoquées devant la cour pénale en 2018 (contre 2.707 personnes dix ans plus tôt et 1.033 en 2016) pour consommation d’alcool en public. Pour l’heure en 2019, seules trois convocations sont recensées.
Attention cependant, si un agent de police vous interpelle en état d’ébriété ou vous perçoit comme une menace, il peut vous sanctionner plus sévèrement. A noter également que cette législation ne concerne que les cinq “boroughs” de New York (Manhattan, Brooklyn, Queens, le Bronx et Staten Island). L’Etat du New Jersey, qui interdit lui aussi la consommation d’alcool dans les parcs et forêts d’Etat, prévoit une amende de 74 dollars.
Si vous êtes fans d’apéro en plein air, pas de panique. Vous pouvez bien sûr vous rabattre sur les nombreux espaces extérieurs où la consommation d’alcool est autorisée, comme les terrasses et autres « biergarten » dont les New-Yorkais raffolent.
Le Classical Saxophone Project fait son concert d'été au Carnegie Hall
Qui a dit que le saxophone n’était fait que pour le jazz ? Sûrement pas le Classical Saxophone Project, qui organise son concert d’été le jeudi 13 juin à Carnegie Hall. Fondée par le chef d’orchestre français Jean-Pierre Schmitt et le musicien américain Javier Oviedo, cette organisation a pour but de promouvoir les morceaux de musique classique utilisant le saxophone.
Le programme comprend une oeuvre de Wolfgang Amadeus Mozart, le concerto pour saxophone alto et cordes de Pierre-Max Dubois, le concerto pour saxophone, trompette et cordes de Jean Rivier et le concerto pour saxophone tenor de P. Kellach Waddle. Le Classical Saxophone Project a également invité le trompettiste Billy Hunter à se joindre son talentueux orchestre. Vous ne verrez pas le saxophone de la même manière.
On connait la date du "Dîner en blanc" 2019 à New York
Mercredi 17 juillet, des milliers de personnes vêtues de blanc se retrouveront pour partager un repas dans un endroit tenu secret jusqu’à la dernière minute. L’emblématique « Dîner en blanc », créé il y a trente ans en France, revient à New York pour sa neuvième année consécutive. Un véritable spectacle visuel puisque toutes les fantaisies sont permises, à condition d’être habillé en blanc et de manière élégante.
Seuls quelques chanceux seront conviés à l’événement : les invités des années précédentes, les ami.e.s des invité.e.s et les personnes inscrites sur la liste d’attente (au nombre de 64.000 à l’édition 2018). Plus de 5.500 New-Yorkais seront sélectionnés et devront emmener leurs propres tables, chaises et couverts (tous blancs évidemment) ainsi que leur pique-nique. Il est aussi possible d’en commander un auprès du traiteur de l’événement.
L’an dernier, le Dîner en blanc avait dressé ses tables sur Governors Island.
Agnès Varda et dégustation de vin au prochain Uptown Flicks à Harlem
Un film d’Agnès Varda et une dégustation de vins, c’est le beau programme proposé, le jeudi 13 juin, par Uptown Flicks afin de rendre hommage à la cinéaste française décédée récemment.
Au programme de cette soirée au Maysles Cinema: le film « L’une chante, l’autre pas » (1977). Méconnu du grand public, le film est une ode féministe qui explore la rencontre et l’amitié entre Pauline et Suzanne, deux jeunes femmes dans la France des années 70, bousculée par les combats féministes du Mouvement de libération des femmes. À l’issue de la projection, une dégustation de trois vins élaborés par des viticultrices sera animée par la spécialiste Nefissa Sator. French Morning est partenaire de l’événement.
Le film sera projeté en version originale avec sous-titres anglais.
Négar Djavadi remporte le Prix Albertine 2019
« C’est un prix qui me touche d’autant plus qu’il ressemble au livre, parce qu’il est un peu à cheval entre deux cultures, entre deux langues », a déclaré émue Négar Djavadi, auteure du livre Désorientale (Disoriental en anglais) et co-lauréate du prix Albertine 2019 remis mercredi 5 juin à New York.
Cette récompense, créée en 2017 par les Services culturels de l’ambassade de France et attribuée par les lecteurs et un comité de sélection, met chaque année en lumière des auteurs francophones contemporains traduits en anglais. Désorientale (éd. Europa) raconte l’histoire de Kimiâ, une jeune femme iranienne exilée à Paris depuis ses dix ans qui revisite ses souvenirs de jeunesse à Téhéran, entre révolution politique et drames familiaux, dans la salle d’attente d’une clinique d’insémination parisienne.
« En explorant les nuances à l’intersection des cultures de l’est et de l’ouest dans Désorientale, Négar Djavadi a mis en lumière l’une des nombreuses facettes de la culture française », a salué Bénédicte de Montlaur, conseillère culturelle de l’ambassade de France, avant de remettre le prix.
Cette année, quelque 2.000 lecteurs américains ont voté parmi les cinq auteurs nominés : Nathacha Appanah pour son livre En attendant demain (Waiting For Tomorrow dans sa version anglaise), Gaël Faye pour son roman Petit pays (Small Country), Leïla Slimani pour Chanson douce (The Perfect Nanny), Eric Vuillard pour L’Ordre du jour (The Order of the Day) et le roman vainqueur de Négar Djavadi.
« Un prix du public, c’est toujours très particulier. C’est toujours très émouvant de se dire que les gens ont lu votre livre, qu’ils l’ont aimé et qu’ils ont pris le temps de voter pour celui-ci », a souligné cette dernière.
L’écrivaine et scénariste venue de Paris pour recevoir le prix s’est dit très heureuse de le « partager » avec Tina Kover, la traductrice de son roman. « Si je suis là, si on est là, c’est grâce à Tina dans le fond, parce que c’est grâce à elle que le livre a pu voler dans le monde anglo-saxon », a-t-elle applaudi.
A sa suite, Tina Kover venue quant à elle du Royaume-Uni s’est dit « fière » d’exercer ce métier : « A une époque où prédominent la division, la construction de murs et la dissolution des unions, c’est un grand privilège et une grande responsabilité d’être un traducteur et de maintenir les canaux de communication et de compréhension entre les cultures. »
Pour la première fois cette année, les Services culturels de l’ambassade ont également décerné trois Prix Jeunesse aux livres Le petit fantôme qui voulait qu’on le voie (The Lonely Little Ghost) de Bénédicte Guettier dans la catégorie 3-6 ans, Le Prince Tigre (The Prince Tiger) de Chen Jiang Hong pour les 7-9 ans et Mireille (Cloud Chaser) d’Anne-Fleur Drillon et d’Eric Puybaret dans la section 10-11 ans. « Il n’est jamais trop tôt pour éduquer la jeunesse au plaisir de la lecture », a conclu Bénédicte de Montlaur.
Episode 9: Fabrice Grinda, de "geek asocial" à roi des "angel investors"
Brillant et différent. Deux mots pour définir l’invité de l’épisode 9 de French Boss.
Plus de 25 ans après la création de sa première société aux Etats-Unis, Fabrice Grinda, entrepreneur français basé à New York, continue de faire ce qu’il a toujours fait: investir pour aider à créer des sociétés, ou créer lui-même. De succès fracassants en coups de blues temporaires, l’itinéraire flamboyant d’un homme résolument atypique.
Ecouter sur iTunes
Listen to “Episode 9: Fabrice Grinda, de “geek asocial” à roi des “angel investors”” on Spreaker.
Des Françaises veulent nommer un quartier de New York « Little Paris »
Little Italy, Little Odessa, Little Senegal… Et pourquoi pas un Little Paris à New York ? Deux Françaises ont soumis l’idée dans une pétition « New York’s Francophiles Need a Little Paris! », publiée mardi 4 juin sur la plateforme Change.org. Le but du projet: nommer « Little Paris Street » la partie de Centre Street située entre Broome Street et Grand Street à Manhattan. Et, dans un second temps, de troquer le nom de quartier « NoLiTa » (North of Little Italy) pour « Little Paris ».
Derrière cette initiative se trouvent Léa et Marianne Perret, propriétaires de l’école de langue Coucou French Classes qui se situe sur Centre Street. « C’était un quartier français jusqu’au XIXème siècle », explique Léa Perret. Dans la pétition, elle mentionne un article du Scribner’s Monthly, datant de 1879, qui décrit le voisinage comme le « quartier français de New York ». Plus d’un siècle plus tard, ce constat a été confirmé par le journaliste Olivier Brégeard. En se basant lui-même sur des adresses de commerces français recensées par l’avocat Augustin Maugé en 1864, il a établi que la communauté tricolore de l’époque se concentrait dans le sud-est de Manhattan.
Aujourd’hui, plusieurs commerces hexagonaux y sont toujours présents. Pour la professeure de français, « renommer la rue puis le quartier permettrait d’avoir un lieu où exprimer sa francophilie ». Est-ce un coup de publicité pour Coucou ? « Ça aura peut-être le potentiel de nous faire connaître mais on est déjà bien installés », assure Léa Perret, dont le centre accueille 500 élèves chaque semaine.
Sa cousine et elle sont en contact avec le Community Board 2, le conseil de quartier (en charge de la zone Greenwich Village, West Village, South Village, NoHo, SoHo, Little Italy, NoLiTa et une partie de Chinatown). La première condition afin de changer le nom de la rue est d’obtenir cent signatures à une pétition. « Nous l’avons mise en ligne mardi et en 24 heures, l’objectif était déjà atteint », se réjouit Léa Perret, qui souhaite tout de même obtenir plus de signatures.
Une fois ce premier obstacle franchi, le Community Board examinera la candidature puis, s’il donne son feu vert, la transmettra au New York City Council, le conseil municipal de la ville. Ce dernier procédera à un vote et la rue pourra être renommée, sauf si le maire s’y oppose.
Néanmoins, pour que le quartier « NoLiTa » devienne « Little Paris », il n’y aura pas de démarches à entreprendre puisque le changement est officieux. Les deux cousines espèrent bien qu’en voyant la rue « Little Paris Street », les New-Yorkais commenceront à appeler tout le quartier « Little Paris ».
Léa Perret dit avoir reçu des remarques de Français issus de province qui n’apprécient pas que leur pays soit réduit à Paris. « Je viens moi-même de région (Toulouse) mais derrière le nouveau nom de la rue, il y a l’idée de marque parisienne, de commerces qui représentent la capitale, avance Léa Perret. C’est aussi plus joli et vendeur».
Acheter à New York : notre sélection d’appartements à moins d’1 million de dollars
(Article partenaire) Vous avez pour projet d’acheter un bien immobilier dans la Big Apple ? Vous le savez, dans la “real estate capital of the world”, les prix peuvent vite s’envoler et atteindre des hauteurs vertigineuses. Jean-Luc Teinturier, agent immobilier français installé à New York depuis plus de 35 ans, nous présente sa sélection d’appartements à moins d’1 million de dollars à Manhattan et à Brooklyn.
Un condo à Ditmas Park
Situé dans un immeuble neuf du quartier historique de Ditmas Park, cet appartement lumineux et chaleureux avec vue dégagée sur le quartier sera peut-être votre prochain nid douillet. Parmi les attributs du bâtiment, une magnifique terrasse sur le toit ! L’appartement est situé à 2 “blocks” du métro, avec de nombreux supermarchés, banques, restaurants, cafés et autres magasins à proximité.
– 2 chambres
– Adresse : 631 East 18 th Street – 6 B, Ditmas Park, Brooklyn
– Prix : $960,000
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Un coop plein de charme à Greenwich Village
Situé sur la rue la plus emblématique de Greenwich Village, ce grand appartement lumineux est typique de ce quartier de Manhattan. Profitez d’une vue dégagée sur West Village depuis un salon à plafond haut, aux murs de briques et équipé d’une cheminée.
– 1 chambre
– Adresse : 41 Jane Street
– Prix : $825,000
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Vue sur la East River à Williamsburg
Construit en 1915 pour abriter un commerce alimentaire qui s’est ensuite transformé en distillerie de bourbon, le bâtiment Austin Nichols House a été soigneusement préservé lorsqu’il a été converti en résidences pour devenir un bâtiment moderne et parfaitement adapté au mode de vie contemporain. Situé au coeur de Williamsburg, ce bâtiment est une perle rare avec sa vue unique sur la East River et la skyline de Manhattan. L’embarcadère du North Williamsburg Ferry est à 2 minutes de marche. Parmi les attributs du bâtiment : une salle de sport avec vue sur la East River, une salle de musique et une salle de cinéma.
– 1 chambre
– Adresse : 184 Kent Avenue- A-314
– Prix : $975,000
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Un condo au coeur de Williamsburg
Opportunité exceptionnelle dans la partie la plus en vue de Williamsburg, le bâtiment The Residences est un parfait mélange entre intimité et services dignes d’un véritable hôtel. La résidence comprend notamment une piscine d’eau salée extérieure, une salle de sport, une terrasse et un restaurant sur le toit. L’appartement est situé à 4 “blocks” de l’arrêt de métro Bedford Avenue.
– 1 chambre
– Adresse : 135 North 11th Street #5F
– Prix : $875,000
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Un appartement lumineux à Chelsea
Le bâtiment qui abrite cet appartement a été conçu par Horace Ginsbern, un des architectes les plus célébrés pour ses oeuvres dans la Big Apple. Son large salon est inondé de lumière et haut de plafond.
– 1 chambre
– Adresse : 155 West 20th Street #4B
– Prix : $825,000
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Un studio dans le Financial District
Situé au coeur du Financial District, le bâtiment 20 Pine est l’un des plus en vue de downtown Manhattan. Il abrite ce studio confortable, et muni d’une terrasse privée !
– Adresse : 20 Pine St. #2503
– Prix : $987,500
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Un appartement à Sutton
Cet appartement est très large et lumineux. Il a été rénové avec soin, avec une chambre spacieuse et une salle de bain moderne. Le quartier de Sutton est charmant, avec plusieurs parcs, de très bons restaurants, et de nombreuses options en termes de shopping et de transports.
– 2 chambres
– Adresse : 420 East 55th Street #8D
– Prix : $850,000
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Un loft dans l’Upper West Side à 1 “block” de Central Park
Ce magnifique loft est niché dans un immeuble de style Art Deco situé à un “block” de Central Park. Ses immenses fenêtres inondent le salon de lumière, avec son parquet chaleureux, ses moulures et autres charmants détails architecturaux propres aux bâtiments d’avant-guerre.
– 1 chambre
– Adresse : 54 West 74th Street
– Prix : $985,000
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Un penthouse à Hudson Yards
Profitez de la terrasse de l’appartement ainsi que du toit aménagé du bâtiment. Le style moderne de ce bâtiment le rend parfaitement dans l’air du temps, avec une attention particulière apportée aux détails. L’appartement est situé dans le quartier en plein boom de Hudson Yards.
– 2 chambres
– Adresse : 407 West 40 th
– Prix : $999,000
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Un condo à Harlem
Ce condo fait partie d’un immeuble neuf situé à cinq minutes de Central Park. L’immeuble comprend notamment une terrasse aménagée sur le toit, une salle de sport et un studio de yoga. À proximité se trouvent de nombreux restaurants, cafés et lieux culturels.
– 2 chambres
– Adresse : 1330 Fifth Avenue – 5 L
– Prix : $985,000
Plus d’informations
Pour plus d’informations sur ces appartements contactez Jean-Luc Teinturier dès aujourd’hui.
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