Les citoyens européens éliront leurs députés entre le 23 et 26 mai prochain. Aux Etats-Unis, le vote sera ouvert aux électeurs français le samedi 25 mai 2019 de 8am à 6pm.
Le Consulat de Houston recherche des volontaires disponibles à cette date (attention il s’agit du weekend de Memorial Day) pour participer aux bureaux de vote de Austin, Dallas et Houston. Les volontaires pourront être affectés à l’accueil du public, à la tenue du bureau de vote ou au dépouillement à l’issue du scrutin.
Si vous êtes inscrits sur la liste électorale consulaire et souhaitez contribuer à l’organisation de ce scrutin, contactez le service des élections du consulat par courriel à l’adresse suivante: [email protected] en précisant votre nom, prénom, adresse courriel, téléphone et disponibilités (journée entière, matinée, après-midi, soirée).
Le Consulat de Houston cherche des volontaires pour les Européennes
Les femmes cinéastes à l'honneur à Films on the Green 2019
Pour la 12e édition de Films on the Green, les organisateurs ont décidé de donner aux femmes cinéastes un peu de la lumière qui leur revient. La sélection de ce festival de cinéma francophone en plein air, du vendredi 31 mai au mardi 3 septembre, est exclusivement composée de films réalisés par des femmes.
Et à toute seigneure tout honneur, un hommage particulier sera rendu à Agnès Varda, décédée cette année avec la projection du long-métrage « Jacquot de Nantes ».
Les projections du festival sont gratuites et présentées par le service culturel de l’ambassade française, la FACE Foundation et les NYC Parks.
Programme :
« Coco avant Chanel », d’Anne Fontaine avec Audrey Tautou, Benoît Poelvoorde, Alessandro Nivola, Marie Gillain et Emmanuelle Devos. Le récit des années de formation de la jeune Gabrielle Chasnel, future Coco Chanel, couturière française de légende. Vendredi 31 mai, 8.30 pm au Central Park, Cedar.
« Et maintenant on va où ? » de Nadine Labaki avec Claude Baz Moussawbaa, Layla Hakim, Nadine Labaki, Yvonne Maalouf, contant la lutte et la détermination d’un groupe de femmes pour protéger leur famille dans un pays déchiré par la guerre. Vendredi 7 juin, 8.30 pm au Washington Square Park.
« Minuscule – La vallée des fourmis perdues », film d’animation d’Hélène Giraud et de Thomas Szabo. La découverte d’une boîte remplie de sucres sera l’enjeu d’une folle aventure d’une fourmi noire et d’une coccinelle face à des féroces fourmis rouges. Lundi 10 juin, 8.30 pm au McGolrick Park.
« Pupille » de Jeanne Herry avec Sandrine Kiberlain, Gilles Lellouche, Élodie Bouchez : une femme, ayant accouché sous X, remet son enfant à l’adoption. Elle dispose deux mois pour revenir sur sa décision. Pendant ce temps, un couple se porte candidat pour pouvoir adopter l’enfant. Vendredi 14 juin, 8.30 pm au Washington Square Park.
« Diabolo Menthe » de Diane Kurys avec Anouk Ferjac, Eléonore Klarwein, Odile Michel. L’histoire de deux adolescentes évoluant dans les années 1960 dans une société en pleine mutation.Le vendredi 21 juin, 8.30 pm au Transmitter Park.
« Mustang » de Deniz Gamze Ergüven avec Dogba Doguslu, Elit Iscan, Gunes Sensoy, Ilayda Akdogan, Tugba Sunguroglu. Au sein d’un village reculé de Turquie, cinq jeunes filles sont enfermées dans leur maison familiale par leur parent. Un désir de liberté les anime et l’évasion sera la seule issue possible. Le vendredi 28 juin, 8.30 pm au Transmitter Park.
« Tomboy » de Céline Sciamma avec Zoé Heran, Mathieu Demy, Sophie Cattani, Jeanne Disson le vendredi 5 juillet au Tompkins Square Park. Laure, une jeune fille de dix ans, est un garçon manqué. Arrivée dans un nouveau quartier, elle fait croire à tout le monde qu’elle est un garçon. La situation se complique quand une des filles de la bande tombe amoureuse d’elle. Le vendredi 5 juillet, 8.30 pm au Tompkins Square Park.
« Les Drôles de poisons-chats » de Claudia Sainte-Luce, avec Ximena Ayala, Lisa Owen, Sonia Franco. Au Mexique, une jeune femme de 22 ans fait la connaissance d’une mère et ses quatre enfants. Une forte amitié se nouera au fil des jours au sein de cette nouvelle tribu. Le mercredi 10 juillet, 8.30 pm au J. Hood Wright Park.
« Aya de Yogoupon », film d’animation de Marguerite Abouet & Clément Oubrerie. La vie mouvementée d’Aya, une jeune fille partageant sa vie entre ses copines et sa famille à Yopougon, en Côte d’Ivoire durant la fin des années 1970. Le vendredi 12 juillet, 8.30 pm au Tompkins Square Park.
« Brodeuses », d’Éléonore Faucher, avec Ariane Ascaride, Lola Naymark, Thomas. Une fille de 17 ans, apprend qu’elle est enceinte de cinq mois. Voulant accoucher sous X, elle trouve refuge chez une brodeuse avec laquelle elle va nouer une grande complicité face aux épreuves à venir. Le vendredi 19 juillet, 8.30 pm au Riverside Park, Pier I.
« Chocolat » de Claire Denis avec Isaach De Bankolé, Giulia Boschi, François Cluzet, Jean-Claude Adelin, Cécile Ducasse. La vie d’un couple de Blancs parmi les Noirs quelques temps avant l’indépendance du Cameroun. Une vie perturbée par les passagers d’un avion en perdition qui se pose sur leur domaine. Le vendredi 26 juillet, 8.30 pm au Riverside Park, Pier I.
« Jacquot de Nantes », d’Agnès Varda avec Philippe Maron, Edouard Joubeaud, Laurent Monnier, Brigitte De Villepoix. Un film contant l’enfance puis l’adolescence du cinéaste Jacques Demy. Le vendredi 31 août, 8.30 pm au Fort Lee Community Center. Précédé du court-métrage « Matrimony’s Speed Limit » d’ Alice Guy-Blaché.
« Olivia », de Jacqueline Audry avec Marie-Claire Olivia, Edwige Feuillère, Simone Simon, Yvonne de Bray. L’histoire d’une relation ambiguë entre une professeure et une jeune élève dans un pensionnat de jeunes filles durant la fin du XIXe siècle. Le mardi 3 septembre, 7.30 pm au Columbia University.
Zinqué, la micro-chaîne de restaurants plus si petite d'Emmanuel Dossetti
En 2012, il y a eu un premier établissement Zinqué à Venice Beach, puis un deuxième à West-Hollywood, puis un à Newport Beach, suivi d’un quatrième qui vient d’ouvrir à Downtown en avril… Et il faut ajouter Massilia, à Santa Monica. Derrière cet empire de la restauration, se trouve Emmanuel Dossetti. Ce Français de 50 ans n’avait, pourtant, jamais imaginé faire carrière dans le domaine.
Arrivé en 1993 outre-Atlantique, le Marseillais effectue un Master of Business Administration (MBA) en Floride, avant de filer à Los Angeles pour un travail dans la finance. “J’ai tout de suite aimé la liberté qu’offrent les Etats-Unis, le fait que tout soit possible.” Plein d’idées, il ne s’arrête pas là et monte des start-ups en tout genre : d’une société en import-export à de la location de vidéos, en passant par la téléphonie. “Je suis un entrepreneur dans l’âme”, avoue celui qui revendait les sociétés dès qu’elles fructifiaient.
S’il a décidé d’ouvrir un restaurant, c’est par “égoïsme”, confie Emmanuel Dossetti. “J’habite à Venice Beach et ça manquait d’endroits conviviaux où aller boire un verre.” Il réunit des investisseurs et ouvre Zinqué, il y a 7 ans. “Au départ, je voulais en faire un bar, où l’on peut se rendre du matin au soir, comme en France”, se remémore-t-il. Le concept évolue en raison de la demande, le lieu proposant initialement des pains poilâne avant d’élargir le menu français. Le client y retrouve des pâtisseries et du café le matin, des salades et des sandwichs pour le déjeuner, suivis de dîners accompagnés de vin le soir. Le concept séduit les Angélinos, à la surprise du fondateur. “Les gens ont l’impression de faire partie d’une communauté, ils aiment que ce soit un lieu simple où les gens viennent lire le journal en prenant leur café”, explique-t-il. Les bénéfices des restaurants existants sont réinvestis dans de nouveaux, le concept est décliné. Le dernier en date, Zinqué DTLA, en face du Ace Hotel, sera le premier à servir de l’alcool fort.
Et il ne compte pas s’arrêter aux frontières de Los Angeles. Un Zinqué est en construction dans le quartier Little Italy de San Diego (Californie), quand celui de Scottsdale (Arizona) devrait ouvrir ses portes d’ici la fin de l’année.
Malgré sa vigueur, ce développement ne stimule plus assez l’entrepreneur. “J’avais envie de me diversifier, de faire quelque chose de différent”, reconnaît Emmanuel Dossetti. C’est pourquoi il a lancé un nouveau restaurant à Santa Monica en septembre 2018, Massilia. “J’avais envie de faire un restaurant plus personnel, avec des recettes familiales”, clame le Marseillais, qui voulait rendre hommage à ses origines. Il résume l’esprit du lieu de 120 places assises, comme “un melting-pot de plusieurs influences méditerranéennes, avec des recettes provençales comme le lapin à la moutarde, italiennes avec des pâtes fraiches, espagnoles avec des tapas et marocaines avec le meilleur couscous de L.A”. De quoi surprendre les palais américains. “Il est fini le temps où les Français dominaient la scène culinaire”, affirme-t-il.
“Je n’aurais jamais imaginé avoir autant de restaurants. Mais j’adore le fait qu’on ne s’ennuie jamais, entre la nourriture, le service, la décoration et la musique ; et créer un endroit où les gens veulent passer du temps.”
5 piscines pour faire des longueurs à Miami
Pour changer de l’océan, voici quelques piscines à Miami et ses environs qui devraient ravir les adeptes de longueurs.
Flamingo Park Pool, la plus familiale
Implanté à South Beach au coeur du Flamingo Park, le centre aquatique du même nom dispose d’une piscine publique de 25 mètres de long ainsi que d’une aire de jeux d’eau pour enfants. Selon les jours de la semaine, le bassin est divisé en huit couloirs réservés aux nageurs ou bien ouvert à toute la famille. Flamingo Park Pool – 1245 Michigan Ave, Miami Beach – Infos ici
Tamiami Park Pool, la plus économique
Les amateurs de grandes longueurs opteront pour une piscine olympique comme celle du Tamiami Park de Miami. Installé à Kendall à proximité du campus de la Florida International University, le centre aquatique bénéficie d’un bassin public de 50 mètres de long. Comptez trois dollars l’entrée. La structure propose également des cours d’aquagym et de natation synchronisée. Tamiami Park Pool – 11201 SW 24th St, Miami – Infos ici
Venetian Pool, la plus naturelle
Pour éviter d’avoir les yeux qui piquent à cause du chlore, mieux vaut plonger dans les eaux naturelles de la Venetian Pool à Coral Gables. Construite en 1923 sur les ruines d’une ancienne carrière de corail, cette piscine municipale aux accents vénitiens est alimentée par un aquifère souterrain. Chutes d’eau et grottes taillées dans la roche font partie du décor de ce bassin naturel contenant plus de 3.100 mètres cubes d’eau fraîche. Venetian Pool – 2701 De Soto Blvd, Coral Gables – Infos ici
Biltmore Hotel, la plus cinématographie
Édifié en 1926 à Coral Gables, le Biltmore Hotel abrite l’une des plus grandes piscines d’hôtel des États-Unis. Au début des années 30, le vaste bassin de plus de 2.000 mètres carrés a été le terrain de jeu de Johnny Weissmuller, nageur olympique aux cinq médailles d’or et interprète de Tarzan dans le premier film parlant consacré à ce personnage mythique. Biltmore Hotel – 1200 Anastasia Ave, Coral Gables – Infos ici
National Hotel, la plus olympique
Situé sur Collins Avenue à Miami Beach, le National Hotel se targue d’avoir la plus longue piscine de la ville. Pour profiter de ce bassin mesurant plus de 62 mètres de long, les non-clients de l’établissement devront d’abord s’acquitter de la somme de 50 dollars pour la journée. À ce prix-là, vous pourrez également bénéficier d’une chaise longue ainsi que d’un parasol. National Hotel – 1677 Collins Ave, Miami Beach – Infos ici
French Boss: Guillaume Depoix s'apprête à ouvrir Costes à Londres
Entrepreneur Londonien et ambassadeur français d’une maison dont le nom est synonyme de luxe et de qualité en matière de restauration. A la fin de l’année, Guillaume Depoix ouvrira, en plein coeur de Londres, la toute première enseigne de la maison Costes au Royaume Uni.
Il est l’invité du 6ème épisode de French Boss, notre podcast sur les entrepreneurs voyageurs, au micro d’Eric Gendry.
Ecouter sur Itunes
Listen to “French Boss” on Spreaker.
Wine & Cheese tasting à Taste Wine Company
Les amateurs de fromage -et les lecteurs de French Morning- le savent déjà, c’est la Cheese Week cette semaine à New York.
Parmi les démonstrations et autres célébrations, il reste quelques places pour la soirée “wine and cheese pairing” à Taste Wine Company, jeudi 2 mai. Les représentants des domaines viticoles partenaires seront de la fête.
Plus d’infos et réservations ici ou: 212-461-1708
Où célébrer le Cinco de Mayo 2019 à Los Angeles
Quand on vit à Los Angeles, on ne peut pas passer à côté de l’effervescence du Cinco de Mayo. Cette date commémore la bataille de Puebla (une ville et un Etat mexicain) où, le 5 mai 1862, les forces mexicaines du général Ignacio Zaragoza ont vaincu de façon très improbable les troupes françaises de l’empereur Napoléon III, deux fois plus nombreuses. L’événement est particulièrement fêté en Californie -bien plus qu’au Mexique- à grand renfort de margaritas. Tour d’horizon des bons plans pour fêter un Cinco de Mayo mémorable.
De manière traditionnelle, au Pueblo de Los Angeles
Si vous voulez du folklorique, direction El Pueblo, le quartier le plus ancien de Los Angeles. Sur la place historique, mais aussi Olvera street, vous pourrez assister à une multitude de spectacles de danses folkloriques, de mariachis et des activités pour les enfants, les samedi 4 et dimanche 5 mai. Il y aura notamment la pièce de théâtre “The Real Cinco de Mayo: Made in California”, pour en découvrir plus sur cette histoire. El Pueblo, 125 Paseo de la Plaza, Los Angeles. Entrée libre. Informations ici.
De manière gourmande pour Taco Madness
Si pour vous Cinco de Mayo rime avec taco, direction LA Plaza de Cultura y Artes. Le lieu accueille pour sa dixième édition Taco Madness, le plus long festival de tacos de la ville avec ses food trucks et ses stands, dont les célèbres Guerrilla Tacos, Mariscos Jalisco, Ramona’s, Carnitas el Momo et Chichen Itza. Pour se désaltérer, nombre de bars proposeront des Micheladas, un cocktail à base de jus de tomate et de bière. La journée du samedi 4 mai -à partir de 6pm- sera également animée par des DJ sets, des concerts de cumbia et des spectacles. La Plaza de Cultura y Artes, 501 N. Main St., Los Angeles. Entée gratuite. Tickets VIP : $25 (cocktail offert, cadeaux).
Devant du catch à Lucha Vavoom
Autre ambiance avec Lucha VaVOOM où le “Cinco de Mayo” est synonyme de catch mexicain les vendredi 3, samedi 4 et dimanche 5 mai. Ce spectacle de lucha libre exubérant mêle des combats loufoques (avec des stars comme les “pollos locos” ou “dirty Sanchez”) à des spectacles burlesques. Pour cette occasion, il y aura également au programme des danseurs aztèques, des mariachis et de la tequila à foison. Mayan Theatre, 1038 S. Hill St., Los Angeles. Tickets ici.
Devant un show haut en couleur avec Crazy Sexy Cinco
La soirée sera haute en couleur à El Dorado. Ce bar de Downtown organise une soirée “Crazy Sexy Cool”, le samedi 4 mai, où se succéderont la performance drag-queen de Selena par Vivienne Vita, ainsi que les DJ sets de Pogo Pope, Furn Zavala et Sergio Amalfitano. El Dorado, 416 S Spring St, Los Angeles. Informations ici.
Dans un endroit branché lors du Pop-Up Margarita Garden Party
Plus sophistiqué sera le Pop-up Margarita Garden Party du célèbre restaurant vegan-mexicain de West Hollywood, Gracias Madre. Le dimanche 5 mai, de midi à 10pm, les clients pourront déguster des cocktails spéciaux dans le patio, tels que des Smokey Margaritas, des Palomas ou du Summer Water Rosé, accompagnés de plats mythiques du lieu ( les tacos au choux-fleur frit ou la quesadilla à la courge butternut). Gracias Madre, 8905 Melrose Ave., West Hollywood. Informations ici.
Dans un festival dédié à la musique et à la Michelada
La musique mexicaine sera, elle, à l’honneur lors du Michelada Music Festival, le samedi 4 mai dès 7pm. Sur la Plaza de la Raza à Lincoln Park, seront mis en vedette divers artistes, comme La Sonora Dinamita, Petey Pablo, Los Cadetes De Linares, Les Twins ou Mariachi Quinto Sol. Lincoln Park, 3540 North Mission Road, Los Angeles. Tickets ici.
Dans un des bars ou restaurants de la ville
D’autres lieux emblématiques de L.A. ont sorti l’artillerie lourde. Alors que le restaurant du Descanso Garden concocte un authentique repas mexicain (de quatre plats) animé par un groupe de mariachis le vendredi 3 mai, le Border Grill, la cantina moderne et colorée de Downtown, propose un menu spécial le 5 mai, accompagné par un DJ local. L’ambiance sera tout aussi festive -et plus liquide- au Big Bar qui va surprendre avec la “plus grande margarita de Los Feliz” ; ou encore lors d’un “marathon” le vendredi 3, samedi 4 ou dimanche 5 mai ( le Cinco de Mayo Hollywood Club Crawl ou le Santa Monica Cinco de Mayo Pub Crawl) où l’idée est de déguster “cervezas” et margaritas dans divers bars du quartier, en suivant un itinéraire livré lors de votre réservation.
6 camps d’été en version française pour les enfants à DC
C’est le retour du beau temps, mais aussi des vacances. Feu de bois et airs frais de la nature, les “summer camps” ont la cote auprès des familles françaises, surtout quand ils sont en français.
Du côté de DC
L’Alliance française
Pour cet été, sept semaines, organisées autour de sept thèmes différents, sont toujours ouvertes pour inscription. Des activités pour les 5 à 11 ans autour du judo, du jardinage, de la science, sont proposées du lundi au vendredi, de 8:30am à 3:30pm, du 24 juin au 16 août 2019. Les groupes sont divisés en deux ou trois selon les niveaux de langue. 495 dollars la semaine pour les 5-11 ans (430 dollars pour les membres). 2142 Wyoming Avenue NW. Site.
District of Columbia International School
Sur deux semaines, du 8 au 18 juillet, le DCI Expeditions Summer Camp accueille des enfants de 10 à 13 ans. Des activités en français, mais aussi espagnol et mandarin, sont proposées du lundi au vendredi, de 9am à 4pm, avec la possibilité d’une garderie (100 dollars par semaine) jusqu’à 6pm. Comptez 350 dollars pour une semaine, 650 dollars pour deux. 1400 Main Dr NW, Washington, DC. Site.
Dans le Maryland
French Academy
French Academy, l’école qui offre des cours de français en petits groupes toute l’année, propose cet été des summer camps à Chevy Chase pour les 5-12 ans. Les enfants sont séparés en deux niveaux : les débutants en français et les avancés/bilingues. L’apprentissage de la langue passe par des jeux collectifs, des énigmes à résoudre ou encore des projets artistiques. Les activités tournent autour d’un thème défini pour la semaine. 8:30am-4pm, avec garderie possible jusqu’à 5:30 (autour de 130 dollars la semaine), demi-journée également possible. 405 dollars la semaine et 295$ pour la demi-journée. Inscriptions à faire au moins 3 semaines avant le début de la semaine voulue. Site.
My French Classes
Cette école du samedi, référence pour de nombreux parents francophones dans la région, ouvre aussi ses portes l’été. Les activités pour les enfants vont du théâtre au sport, en passant par les sciences ou la musique. Le français est toujours présent : une immersion complète pour pratiquer tout au long de la journée et une séance quotidienne spécifique pour progresser en langue (lecture, grammaire). Les enfants sont regroupés par classes d’âge, entre 5 et 15 ans, et en fonction de leur niveau de français. 9am-3:30pm, avec possibilité de garderie jusqu’à 6pm. 455 dollars par semaine pour les camp d’été organisés entre le 17 juin et le 12 juillet, sauf pour la semaine incluant le 4 juillet, 370 dollars. 9525 Old Georgetown Road, Bethesda, MD 20814. Service de bus mis à disposition depuis Washington DC. Site.
A noter que le lycée Rochambeau n’organise plus de summer camps.
En Virginie
French Academy
French Academy, l’école présente aussi à Chevy Chase dans le Maryland cet été, propose un « summer camp » dans ses locaux d’Alexandria en Virginie sur des horaires plus réduits et en août seulement. Le programme inclut des jeux en extérieur, des travaux manuels ou encore de la musique en immersion totale en français pour travailler le vocabulaire. Les enfants, entre 5 et 12 ans, seront accueillis quel que soit leur niveau de langue. 9:30am-12:30pm. 290 dollars par semaine. Il est demandé d’enregistrer ses enfants au moins 3 semaines avant le début du camp. Governors Pond Cir, Alexandria VA. Site.
CommuniKids
Créée par des parents dans la région de DC en 2005, l’école propose au total neuf semaines de « summer camps » dès la fin du mois de juin. Plutôt pour les tout-petits, les enfants doivent avoir entre 2 ans et demi et six ans pour être accueillis dans le centre situé à Falls Church. Au programme : une immersion complète en français et beaucoup d’activités en extérieur autour des cultures et de l’art. Le centre propose des programmes pour la journée 9am-3pm ou par demi-journée. Possibilité de garderie à partir de 8am et après 3pm. 429 dollars la semaine, 279 dollars pour des demis-journées. 115 Hillwood Ave, Falls Church, VA. Site.
Polo & Pan revient à Los Angeles pour déchaîner les foules
Alerte maximale pour les fans de Polo & Pan : le duo français revient faire rêver son public nord-américain. Il sera à The Novo, à Los Angeles, le 13 novembre. Et dépêchez vous, les places sont en vente depuis vendredi, et s’arrachent comme des petits pains.
Polo & Pan, alias Paul Armand-Delille et Alexandre Grynszpance, sont deux DJs et producteurs de musique électronique. Ils ont séduit le public français, comme américain, avec leur univers coloré et voyageur, entre paroles décalées et mélodies exotiques.
Leur album «Caravelle», sorti en 2017, est une invitation au voyage et à l’évasion stratosphérique. Les titres «Canopée», qui a permis à leur carrière de décoller, «Pays Imaginaire», «Cœur Croisé», dont les paroles sont soigneusement écrites par les deux amis, viennent se poser dans les oreilles comme du coton.
Auto-partage: le Français Drivy acheté pour 300 millions de dollars par Getaround
Depuis une dizaine d’années, les Airbnb de la location de voitures se multiplient dans le monde. Pour s’imposer sur ce marché, l’Américain Getaround a annoncé mercredi 24 avril l’acquisition du Français Drivy pour 300 millions de dollars.
Ce rachat permet à l’entreprise san-franciscaine de doubler son nombre d’utilisateurs, porté à 5 millions, et de s’étendre dans les 170 villes européennes couvertes par Drivy, en plus de ses 140 localités aux Etats-Unis. Le nouveau mastodonte recense désormais 62.000 véhicules, « dont 11 000 en libre-service et connectés avec la technologie de déverrouillage via smartphone », selon le communiqué.
La nouvelle structure pourra notamment peser face à son principal concurrent, Turo, basé aux Etats-Unis et présent dans 5.500 villes, qui revendique 5 millions d’utilisateurs. « Nous sommes ravis d’unir nos forces à celles de Drivy pour nous rapprocher davantage de notre objectif : un monde dans lequel tous les véhicules sont connectés et partagés », s’est félicité Sam Zaid, fondateur PDG de Getaround.
Le principe de l’autopartage : les particuliers peuvent louer leurs voitures à d’autres particuliers via une application mobile. Une fois son véhicule choisi, « de la Prius à la Tesla », précise le communiqué, le locataire peut le déverrouiller avec son téléphone « ce qui évite aux locataires et aux propriétaires de se rencontrer pour la remise des clés ».
Une pratique qui, selon Getaround citant une étude du Centre de recherche sur la durabilité des transports de l’Université de Californie, permet de réduire le trafic routier – et la pollution qui va avec – de dix véhicules pour une voiture partagée.
SailGP, une nouvelle course de voile "pas plan-plan" à San Francisco
C’est une première. Samedi 4 et dimanche 5 mai, San Francisco accueille la seconde étape d’une nouvelle compétition de voile, SailGP, à la Marina Yacht-Club Peninsula. Elle réunira les voiliers les plus performants du globe pour un spectacle hors du commun. « SailGP offre à la voile sa course grand public nouvelle génération. Les bateaux sont ultramodernes et peuvent atteindre une vitesse de 92 km/h. Ils volent littéralement… C’est très impressionnant à voir » explique Stéphanie Nadin, directrice de SailGP France.
Ces bateaux sont des catamarans F50, tous bâtis sur le même modèle. Sous les flotteurs, des extensions en forme de L, les foils, se déploient et leur permettent de s’élever au-dessus de l’eau et de prendre de la vitesse. Leurs ailes rigides de 24 mètres de haut se voient de loin et les portent comme les ailes d’un avion. « Ils sont également bourrés d’électronique et de capteurs qui permettent de tout contrôler. On est dans une dimension aussi complexe que la Formule 1 », précise Stéphanie Nadin. Pour remporter une course, c’est donc la performance des équipages qui prime, leur coordination, la maîtrise et l’expérience. « C’est comme un ballet de danse, il faut être très précis », ajoute la directrice SailGP France.
À la tête de cette nouvelle course internationale : Larry Ellisson, passionné et cinq fois champion du monde de Maxi. Il a aussi remporté l’America’s Cup. Avec SailGP, il a développé un modèle de ligue sportive autour de la voile, ce qui n’existait pas. Son ambition ? Démontrer que la voile est à la hauteur des plus grandes compétitions sportives internationales et devenir une référence. « Non, la voile n’est pas plan-plan et on le démontre ! », s’exclame Stéphanie Nadin.
Sur la ligne de départ, six nations : France, USA, Australie, Grande-Bretagne, Chine et Japon. Des équipages expérimentés qui s’affrontent lors de cinq épreuves, à Sydney (février dernier), San Francisco (mai), New York (juin), Cowes (août) et Marseille, où la finale aura lieu (septembre). Chaque étape se déroule sur deux jours. Les marins se départagent en cinq manches d’une vingtaine de minutes : « comme dans un tournoi de tennis, on compte les points. Un duel oppose les deux meilleurs », détaille Stéphanie Nadin. À la clé du Grand Prix : la coquette somme d’un million de dollars.
L’équipe de France compte six experts dont deux marins olympiques et quadruples champions du monde : Billy Besson et Marie Riou, seule femme de la course. S’ils ont terminé 5e lors de la première étape à Sydney, où l’équipage australien s’est illustré, les Frenchies n’ont pas dit leur dernier mot. « Ils ont commencé seulement cette année et apprennent tous les jours. Ils progressent vite et font office de bons challengers ».
Nos bons plans pour profiter des week-ends portes ouvertes dans les ambassades
C’est l’évènement washingtonien par excellence et une manière de faire le tour du monde sans quitter le District. Comme chaque année, les ambassades de la capitale ouvrent leurs portes et leurs réfrigérateurs les deux premiers weekends de mai pour offrir un aperçu de la culture du pays qu’elles représentent.
Le 4 mai, plus de 50 ambassades (retrouver la liste ici) participent au “Around the world embassy tour” de 10am à 4pm. Le week-end suivant, le 11 mai, les 28 maisons européennes organisent leur événement “European Union Open House” de 10am à 4pm. Attention, certaines ambassades européennes sont fermées le premier week-end. Pour vous aider à planifier votre “voyage”, voici quelques bons plans nourris de nos expériences des années précédentes.
Les petites ambassades pour éviter la foule
Avant tout chose, il faut regarder la géographie des ambassades. Massachusetts Avenue est très populaire car il abrite les plus grosses ambassades comme la France, l’Angleterre ou encore l’Allemagne. En allant vers les plus “petites” ambassades, souvent situées plus loin, on tombe sur des trésors. En 2018 par exemple, l’ambassade de l’Angola a très bien accueilli ses visiteurs avec un buffet gratuit de six différents amuse-bouches et deux sortes de limonades. L’Albanie ou le Gabon sont aussi de bons plans!
La résidence du Mexique et ses couleurs solaires
Dans le quartier de Columbia Height se cache la résidence de l’ambassadeur du Mexique, un petit bijou architectural. En plus d’un intérieur qui a tous les airs d’un vieux musée avec notamment des tableaux de l’époque moderne, une véranda magnifique, décorée de mosaïques bleus et jaunes, abrite la vente de tacos. A côté, tout naturellement, un fauconnier faisait des démonstrations.
Le quartier Van Ness moins bondé
Van Ness accueille la 2e moitié des ambassades. Pour le “European Union Open House”, l’Autriche et la Slovaquie sont face à face, l’occasion de faire un deux en un avant de partir pour les ambassades autour du Rock Creek Park. Lors du “Around the world embassy tour”, il peut être stratégique de commencer par ce quartier, qui abrite côte à côte le Bangladesh, le Ghana, le Pakistan et la Malaisie, qui offrent quelques bouchés gratuites (qui partent vite), et des dessins au henné.
La palme d’or pour l’ambassade des Pays-bas
C’est l’ambassade à ne pas rater pour un premier tour. La file d’attente peut être longue donc autant commencer par celle-ci, qui est d’ailleurs très excentrée, près du Rock Creek Park. Au menu, de la bière et des amuse-bouches à volonté. L’ambassade a un joli jardin où vous pouvez vous reposer avant de reprendre le tour.
Dans tous les cas, cela prend des années pour réussir à visiter toutes les ambassades. Alors choisissez-en quatre ou cinq pour vraiment en profiter et vous plonger dans la culture du pays, le temps d’une gourmandise et d’un verre.