Jamais deux sans trois. Pour fêter les dix années d’activité de son blog de visites Bons Plans Voyage New York, l’entrepreneur Alex Vendé publie une troisième édition de son guide Go New York (Editions Nomades). Il est en vente depuis le 16 mars.
Ce dernier se veut à la fois informatif et pratique. Dans les 168 pages que compte l’ouvrage, le futur touriste pourra trouver huit idées de promenades dans la Grosse Pomme, des informations utiles pour préparer son voyage, douze cartes avec 35 points d’intérêts listés en moyenne par carte… Il a été conçu pour être personnalisable (avec des espaces pour les annotations et des gommettes à coller sur les cartes) et compatible avec la technologie – le lecteur pourra ainsi utiliser son smartphone pour activer des contenus et des sites de réservation via des QR codes.
Basé en France, Alexandre Vendé, alias “Alex les bons plans”, a démarré son blog en 2008 avec l’ambition de partager des bons plans de visites à New York. Cet ancien professeur d’EPS a lancé d’autres projets autour du blog depuis, dont des visites guidées en français. En 2018, il a regroupé toutes ses activités sous l’ombrelle de la société Voyage en français, réseau d’agences réceptives centrées sur les activités touristiques en VF.
Go New York, un guide couteau-suisse sur New York
À New York, Eclair Bakery s'agrandit
Jour de fête à Eclair Bakery, jeudi 21 mars. La nouvelle pâtisserie colorée et lumineuse de Stéphane Pourrez a ouvert la veille sur la 53e rue, comme en témoignent les ballons floqués des mots “Grand Opening” accrochés aux murs. Les clients qui se pressent autour du présentoir rempli d’éclairs et d’autres pâtisseries succulentes remercient tour à tour le chef sur leur passage.
Stéphane Pourrez a son fan club: cela fait depuis 2013 qu’il sert des éclairs au quartier. Se sentant à l’étroit dans son premier Eclair Bakery, il a décidé d’acquérir le local voisin, plus spacieux, pour aménager cette deuxième pâtisserie. Décorée de photos qui évoquent la France et de couleurs chaleureuses, celle-ci dispose de tables pour asseoir une quarantaine de personnes. Le premier local a été transformé en grande cuisine pour produire plus de petits délices sucrés. “C’est le jour et la nuit. Ce nouveau local est plus grand, plus beau, mieux éclairé“, résume le Français.
La recette, elle, n’a pas changé. Comme dans son premier établissement, Stéphane Pourrez propose douze types d’éclairs traditionnels (vanille et chocolat) et exotiques (matcha, cheesecake, amandes-caramel, dulce de leche…). On peut aussi y trouver des viennoiseries et un bataillon de gâteaux variés (canelés, macarons…) faits sur place. “On a toujours fait des produits très frais, français et américains, de qualité. Dès le début de la première pâtisserie, on a un très bon retour des clients. Certains viennent tous les jours depuis cinq ans“.
Le succès est d’autant plus savoureux pour le pâtissier qu’il s’est lancé dans l’éclair sur une intuition. “Il y a cinq ans, ça commençait à être tendance en France. On en était aux balbutiements. Il n’y avait personne sur le marché de l’éclair ici à l’époque“, se souvient-il.
En plus de sa sélection de pâtisseries, Stéphane Pourrez veut développer dans ce nouveau lieu l’offre-déjeuner pour attirer la clientèle des bureaux de Midtown, non loin. Il entend ainsi servir des crêpes, quiches, croque-monsieurs et des glaces.
Alexandre Mars, le militant du partage
S’il y a bien un mot qu’Alexandre Mars n’aime pas, c’est “philanthropie“. “Il y a des gens qui disent que c’est un terme guindé, réservé aux hautes-sphères, dit-il dans les locaux de sa fondation, Epic. Nous, nous voulons démocratiser ça. Nous disons: tout le monde peut donner“.
Ce message est au coeur de son nouveau livre La révolution du partage (Giving: Purpose Is The New Currency), sorti récemment en France, aux Etats-Unis et en Angleterre. Dans cet ouvrage facile à lire, le “Bill Gates français”, comme la presse le surnomme, plaide pour un monde où le partage – terme qu’il préfère donc à “philanthropie” – est la norme. Ce n’est pas qu’une question de générosité. C’est aussi une urgence pour relever les défis sociaux, économiques et climatiques présents et futurs. “Le monde va devoir se ré-inventer. En 2025, la moitié des métiers de 2019 n’existeront plus. Des millions de personnes vont continuer d’émigrer… On ne peut pas rester dans un monde de Picsous où l’on se dit “j’ai, je veux plus, je garde”. Ce monde-là a montré ses limites. Si on ne partage pas plus, on ne pourra pas répondre aux défis face à nous“, affirme-t-il.
Pour écrire cet ouvrage, Alexandre Mars a notamment puisé dans l’Histoire, la religion et les bonnes pratiques de partage dans le monde. Il se base aussi sur son expérience à la tête d’Epic, la fondation qu’il a lancée en 2015 après avoir fait fortune dans l’univers de la publicité et du mobile. Au sein de cette structure basée à New York, il récolte des fonds pour un nombre limité d’associations caritatives et permet aux donateurs de mesurer l’impact de leur don à travers une batterie d’indicateurs. Une manière d’encourager les personnes frileuses à donner plus et plus efficacement. L’an dernier, Epic a revu 4.000 dossiers de la part d’organisations souhaitant bénéficier du réseau de donateurs de la fondation. Seules cinq ont été retenues.
Ce nouveau livre est conçu comme “un appel à l’action” de la part d’un “homme révolté par l’injustice“, comme il se décrit dans l’ouvrage. Sa cible: les individus certes, mais aussi des entreprises. Epic milite notamment pour que ces dernières mettent en place des systèmes d’arrondis en caisse ou sur salaire, pour permettre aux clients ou aux employés de donner une fraction de leur facture ou revenus à une cause. “Les gouvernements sont arrivés à la limite de ce qu’ils peuvent dépenser. Les entreprises sont le nouveau pouvoir financier. Elles doivent intégrer le partage dans leurs pratiques“, lance Alexandre Mars.
L’homme d’affaires n’est pas contre l’intervention des pouvoirs publics pour pousser le secteur privé à faire cette transition. Ainsi loue-t-il la “Proposition C” adoptée à San Francisco en septembre qui autorise le conseil municipal à taxer certaines entreprises locales pour financer l’aide aux sans-abris. Ou encore la loi indienne de 2014 qui oblige les entreprises de plus de 105 millions de dollars de chiffre d’affaires à donner 2% de leur bénéfice net à la charité.
Mais, poursuit-il, le changement viendra avant tout de la pression exercée par la nouvelle génération de consommateurs et d’employés. “La génération de mes parents, celle de la Guerre mondiale, était la génération du devoir. La mienne, c’est celle de l’avoir. Celle d’après, c’est celle de l’être. Elle a une vision plus large et communautaire. Elle veut travailler pour une entreprise dont elle est fière“, résume-t-il.
La prise de conscience est là, Alexandre Mars le ressent à son niveau. Depuis la publication de son livre, il dit recevoir des “tonnes de messages” provenant de France et des Etats-Unis de la part d’entreprises qui disent vouloir instaurer des systèmes de partage. Lors de ses interventions dans les universités, il rencontre des jeunes qui veulent promouvoir l’arrondi en caisse auprès de leur supermarché ou pousser leur employeur à se lancer dans le don. “On veut que tout le monde se reconnaisse dans le partage, conclut Alexandre Mars. Nous voulons faire une société où la solidarité est naturelle”.
Le "Julius Caesar" d'Arthur Nauzyciel fait escale à Berkeley
Julius Caesar, que l’on décrit comme la pièce la plus connue de William Shakespeare aux Etats-Unis, arrive à UC Berkeley pour trois représentations du 26 au 28 avril. Et c’est un Français qui est à la baguette: Arthur Nauzyciel.
Actuellement directeur artistique du Théâtre National de Bretagne, le metteur-en-scène a revisité cette tragédie légendaire, réflexion sur les effets du pouvoir, la politique et l’honneur, qui n’a pas pris une ride dans en quatre siècles. Le Julius Caesar à la sauce Nauzyciel a été créée initialement pour l’American Repertory Theater à Boston en 2008, année de la présidentielle qui a vu la victoire de Barack Obama. À la demande du théâtre, le Français avait alors travaillé avec des comédiens américains pour faire revivre cette oeuvre et la mettre à l’heure américaine. Elle prend place dans l’Amérique tumultueuse des années 60, après l’assassinat de JFK, et comprend un trio de jazz. Outre Berkeley, la pièce sera jouée à Université du Michigan à Ann Arbor.
Bissap Baobab fermera fin avril
Depuis une vingtaine d’années maintenant, Bissap Baobab fait partie des adresses préférées des Français et francophones de la Baie. Mais l’aventure pourrait s’arrêter dans les semaines qui viennent. Son propriétaire Marco Senghor a indiqué à French Morning dans un message que le restaurant “fermera fin avril“.
L’été dernier, Marco Senghor a été arrêté par les autorités fédérales américaines qui l’accusent d’avoir obtenu la citoyenneté américaine en ayant recours à un mariage blanc. Le restaurateur, qui appartient à la famille de Léopold Sédar Senghor, a plaidé non coupable. Remis en liberté à la suite du versement d’une caution, il doit être auditionné par le juge le 21 mars.
Pour se concentrer sur son procès, il a du se résoudre à la vente de l’un de ses deux locaux – celui du 3372 19th Street. Si Bissap Baobab fermera, la pizzeria sénégalaise Little Baobab est pour l’instant épargnée.
“Nous gardons le Petit Baobab en attendant de rouvrir ailleurs. Nous travaillons actuellement avec la mairie de San Francisco pour trouver un nouvel espace, si possible plus grand pour accueillir le Bissap. Il faudra alors renouveler le concept pour être d’autant plus en phase avec notre communauté.”
Si le restaurateur n’a pas souhaité s’étaler sur sa situation, il a déclaré au site local Mission Local qu’il “n’avait pas l’intention de quitter le pays.”
La pépite "Tomboy" projetée à Harlem
C’est l’histoire de Laure, petite fille rousse aux cheveux très courts et aux grands yeux bleus, qui décide de se faire passer pour un garçon dans la nouvelle ville où ses parents viennent d’emménager. Sa petite soeur, Jeanne, l’aide à se travestir. Mais l’heure de la rentrée approche, et Laure ne pourra pas mentir éternellement… D’autant que ses parents ne sont pas au courant.
Tel est le pitch de “Tomboy”, le film touchant de Céline Sciamma, qui sera projeté dimanche 24 mars à Silvana dans le cadre de la série Uptown Flicks (dont French Morning est le partenaire). Sorti en 2011, le film a remporté de nombreux prix, notamment un Teddy Award (récompense pour les films abordant des sujets LGBT) à la Berlinale 2011. Les prestations des deux actrices, Zoé Héran dans le rôle de Laure et Malon Lévanna dans celui de Jeanne, ont été particulièrement bien accueillies. Les tickets sont à prix réduits jusqu’au vendredi 22 mars.
Startup Tour 2019: FrenchFounders relance son concours de start-ups
Pour l’édition 2019 de son concours de start-ups, le Startup Tour, le réseau d’entrepreneurs et de cadres FrenchFounders voit grand. Organisé jusqu’à présent en Amérique du Nord, il s’étend pour la première fois à l’Europe et à la zone Asie-Pacifique. Les candidatures pour les trois zones sont ouvertes. Des finales par région seront organisées en septembre.
Comme l’an dernier, la compétition américaine sera constituée de compétitions locales en Amérique du Nord et à Paris: San Francisco (5 juin), Montreal (6 juin), Mexico (11 juin), New York (13 juin), Paris (18 juin), Boston (19 juin) et Los Angeles (20 juin). Les jeunes pousses ont jusqu’au 21 avril pour postuler sur le site du Startup Tour. Les candidats retenus seront annoncés le 29. Sont invitées à postuler: des entreprises qui veulent se développer en Amérique du Nord, qu’elles soient déjà sur place ou non.
Les vainqueurs de ces concours locaux participeront à une grande finale organisée en septembre à New York. Plusieurs prix seront attribués. À la clé, des séances de mentoring offertes par des membres du réseau et un bureau dans le co-working de FrenchFounders à New York, entre autres.
8 endroits où manger des écrevisses à Houston
Si le barbecue est leur champion incontesté toutes catégories, les Texans ne sont pas insensibles aux écrevisses (“crawfish”). Petit tour d’horizon des meilleurs endroits à Houston où les déguster.
Crawfish and Noodles
Célèbre grâce au documentaire de Netflix Ugly Delicious, ce restaurant de Chinatown est devenu l’adresse des gastronomes. Le chef cuisinier, Trong Nguyen, (semi-finaliste en 2018 du concours Meilleur chef du Sud), sert les écrevisses les plus épicées de la ville, à la vietnamienne. Il est fortement recommandé de réserver. 11360 Bellaire Boulevard #990, Houston, TX77072. Site
Calhoun’s Crawfish Co.
Situé à Baytown, c’est le restaurant favori des Texans. Ici, les écrevisses sont cuites dans leur jus et savamment épicées. Vous pourrez y ajouter une sauce cajun, du maïs et autres ingrédients préparés maison. Le restaurant est uniquement ouvert le vendredi et le samedi de 11am à 9pm. Le dimanche, l’établissement ouvre à midi et ferme quand il n’y a plus d’écrevisses. 4619 FM 565, Baytown, Tx 77523. Page Facebook
Crawfish Shack
Ce restaurant est plébiscité pour son authentique cuisine cajun. Que vous décidiez de manger sur place ou pas, préparez-vous à une longue file d’attente. Au menu, on trouve aussi des crevettes cuites à l’étouffée, du crabe d’Alaska, des gumbos et d’autres spécialités louisianaises. 5858 South Gessner Drive #130, Houston, TX 77036. Site
BB’s Cajun Café
Cette chaîne de restaurants très « Nouvelle-Orléans » vous servira de grand seau rempli d’écrevisses avec un assaisonnement assez épicé. Il propose aussi une variété de 15 différents « po-boy », sandwiches nourrissants typiques de la Nouvelle-Orléans. Et c’est l’un des restaurants préférés de Beyoncé ! Plusieurs adresses. Site
Rajun Cajun
Son patron, nostalgique de son pays, l’a ouvert en 1974, voulant reproduire l’art de la cuisine des « bayous ». Des années plus tard, la tradition se perpétue et la cuisine est toujours authentique. C’est un endroit très apprécié des familles. Les beignets Nola en dessert sont une pure merveille. Plusieurs adresses. Site
88 Boiling Crawfish and Seafood
Une version quelque peu originale avec le « 88 special », l’étouffée épicée, l’andouille et la soupe maison. Le lieu est spacieux et le service est bon. 1910 Wilcrest Drive, Houston 77042.
Crazy Alan’s Swamp Shack
Une véritable expérience culinaire que de goûter ces écrevisses bouillies dans un bain épicé. Sans oublier les autres spécialités comme les tacos d’alligator ou encore le jambalaya d’andouille. 310 Texas Avenue, Kemah, TX 77565. Site
LA crawfish
Ce « sport bar » aux allures de restaurant, idéal pour une sortie entre copains, propose une formule cajun-asiatique préparée selon le style vietnamien, en soupe ou en étouffée. Plusieurs adresses. Site
Aux Etats-Unis, Isabelle Huppert hyperactive
Sur tous les fronts et toutes les planches, Isabelle Huppert est-elle la boulimique de scène qu’elle incarne dans la saison 3 de la série « Dix pour cent » (« Call My Agent » aux Etats-Unis) ?
« Tout le monde m’en parle ici. Il faut voir ça comme un clin d’œil, répond l’actrice par téléphone. C’est fait avec beaucoup d’humour et beaucoup de drôlerie, il ne faut pas le prendre au premier degré ».
A New York depuis le mois de janvier, son programme américain est cependant bien chargé. Venue promouvoir son dernier film « Greta », un thriller sorti vendredi 1er mars aux Etats-Unis où elle incarne une professeure de piano psychopathe qui traque des jeunes filles, Isabelle Huppert est aussi en tête d’affiche de la pièce The Mother jouée au Atlantic Theater jusqu’au samedi 13 avril.
Infatigable, la comédienne participera également à une soirée spéciale en son honneur dimanche 24 mars au French Institute Alliance Française (FIAF), en pleine rétrospective de ses films, un marathon de chefs d’oeuvres qui durera jusqu’au mardi 23 avril.
Entre les honneurs, les répétitions et les représentations, l’artiste au don d’ubiquité prend tout de même le temps d’aller au théâtre à New York, où elle réside le temps de son séjour américain. « J’aime beaucoup voir des choses que je ne verrais pas à Paris », témoigne-t-elle, avant de citer « Network » d’Ivo van Hove et « To Kill a Mockingbird » sur Broadway.
Habituée des tournages internationaux, Isabelle Huppert se retrouve sous les projecteurs américains en 2017 après avoir remporté le Golden Globe de la meilleure actrice dans un film dramatique et décroché une nomination à l’Oscar de la meilleure actrice pour son rôle dans « Elle » de Paul Verhoeven. « Evidemment, ça porte une attention particulière », observe l’intéressée pour qui la course aux Oscars 2020 « n’est pas à l’ordre du jour ». « Mais ça n’a fait que confirmer un sentiment que j’avais déjà avant : je suis perçue comme une actrice française, qui s’inscrit dans des films plutôt exigeants ».
Ce goût pour les rôles complexes est d’ailleurs ce qui l’a séduite dans « The Mother », la première pièce d’une trilogie qui met en scène les affres d’une mère de famille après le départ de ses enfants. Si l’auteur Florian Zeller est français, Isabelle Huppert a d’abord découvert la pièce en anglais, contactée par un producteur de Broadway.
« J’ai trouvé la pièce formidable », se souvient celle que l’animateur Stephen Colbert a décrit comme la « Meryl Streep française » en la recevant dans son Late Show en février 2017. « La traduction de Christopher Hampton est très bien et j’ai trouvé le rôle vraiment extraordinaire. Et comme toutes les pièces bien écrites, on peut l’emmener dans différents endroits. J’ai tout de suite compris ce que je pouvais en faire. »
C’est la troisième oeuvre de théâtre que la star joue dans la langue de Shakespeare, après Quartett dirigée par Robert Wilson en 2009 et Les Bonnes par Benedict Andrews en 2014. « J’ai vraiment fait ce que j’avais envie de faire avec le metteur en scène Trip Cullman. Je n’ai pas du tout le sentiment que je devais me plier à des normes qui n’étaient pas les miennes », témoigne-t-elle.
« J’ai trouvé une grande liberté grâce aussi à l’Atlantic Theater, un petit théâtre off-Broadway qui m’a permis de trouver un public apte à rencontrer ce genre de liberté-là », poursuit l’actrice. Un public et une critique qui ne tarissent pas d’éloges, « hypnotisés » par le talent de la tragédienne, lit-on entre autres dans le New York Times et Variety. Son accent français, qui lui avait valu des reproches dans Les Bonnes, ne semble pas gêner cette fois-ci.
Après avoir charmé les Etats-Unis, « l’aventure se terminera en avril », précise Isabelle Huppert, qui retournera début mai sur les planches à Paris dans une pièce de Robert Wilson, Mary Said What She Said jouée, cette fois, en français.
Le Bloody Mary fait son festival à Brooklyn
Amateurs de Bloody Mary, réjouissez-vous ! Le dimanche 7 avril, le Bloody Mary Festival fera honneur à la fameuse boisson alcoolisée au Grand Prospect Hall à Brooklyn.
Durant cette journée, profitez de plusieurs versions du fameux cocktail préparées et présentées par des restaurants et bars locaux. Un ticket acheté vous donne accès, en plus de la dégustation de plusieurs Bloody Mary de qualité, à un bar à bagels et fromages et plusieurs autres activités. Il sera également possible de voter pour le meilleur breuvage.
Boisson favorite de Serge Gainsbourg et d’Ernest Hemingway, ce cocktail mythique à base de jus de tomate, vodka, jus de citron et d’épices, a vu le jour à Paris en 1921, avant de connaître son heure de gloire aux Etats-Unis où il est devenu indissociable du brunch.
Pinel, LMNP: quel statut choisir pour faire un investissement locatif ?
(Article partenaire) Le sujet des réductions d’impôts génère souvent de la méfiance. Certains vous proposeront d’investir en loi Pinel, d’autres diront que le régime LMNP est mieux. Comment savoir quelle est la meilleure stratégie ? Quelle est donc la différence entre ces deux statuts ?
Investir en Pinel
L’investissement en loi Pinel est un investissement immobilier dans un programme neuf. Vous investissez sur plan avant que l’immeuble n’existe. Cet investissement se fait de plusieurs façons. En effet, la durée de location du bien est entre 6 et 12 ans, et cela vous permet une réduction d’impôts de 12 à 21 % en fonction du nombre d’années choisies. En contrepartie, le propriétaire doit s’engager à louer le bien en fonction du plafond des loyers qui sont alors segmentés géographiquement :
Zone A bis = 16.83 €/m²
Zone A = 12.50 €/m²
Zone B1 = 10.07 €/m²
Zone B2 = 8.75 €/m²
En Loi Pinel, l’investissement sera limité à un plafond de 300.000€ avec un prix du logement au m² de 5.500€/m².
Concernant le régime fiscal, vous continuez de payer l’impôt sur le revenu avec la loi Pinel. Avec la défiscalisation Pinel, l’investisseur pourra acquérir au maximum deux biens immobiliers. L’investissement est donc soumis à une réglementation stricte et qui exige donc des points de vigilance.
Investir en LMNP
LMNP : Loueur meublé non professionnel. C’est un statut particulier pour les investisseurs locatifs. Pour l’obtenir, vous devez obligatoirement louer en meublé mais vous devez aussi percevoir des recettes inférieures à 23.000€ par an ou représenter moins de la moitié du revenu du foyer fiscal.
Ensuite, deux régimes d’impositions s’offre à vous :
– Régime micro BIC : Abattement forfaitaire de 50% de vos recettes sans pouvoir cumuler de déficit. Ce régime peut être intéressant si vos charges sont inférieures au seuil de 50%
– Régime Réel : Déduction des recettes de l’ensemble des charges (intérêt d’emprunt, taxes, travaux…) et les amortissements.
Pour un investissement en LMNP vous n’êtes, pour l’instant, pas limité par le plafond des loyers à respecter. C’est un avantage important pour augmenter la rentabilité de votre bien. Il n’existe pas de restriction géographique comme sur l’investissement en loi Pinel.
Pour conclure, l’achat dans l’ancien en LMNP présente plus d’avantages que l’achat en loi Pinel, car le régime au réel concernant les impôts vous permet d’obtenir une meilleure rentabilité. Par ailleurs, si vous êtes dans une vraie logique d’investissement immobilier à forte rentabilité, vous serez limité à deux appartements avec la loi Pinel, alors que vous pouvez en avoir plusieurs en LMNP ancien.
Investissement Locatif a une parfaite connaissance de ce marché et propose à ses clients d’investir dans l’ancien en LMNP. Les chasseurs immobiliers sont toujours à la recherche de bonnes affaires. Ils interviennent à Paris, en région parisienne, Lyon, Marseille et dans de nombreuses grandes villes. Ils vous accompagnent de la recherche du bien jusqu’à la mise en location, et vous conseillent sur le choix du régime fiscal de façon à vous garantir la meilleure stratégie. Contactez-les pour lancer vos projets.
———
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Goût de France: des menus spéciaux à Houston
C’est le rendez-vous des gourmands et des gourmets. L’initiative gastronomique Goût de France / Good France revient le jeudi 21 mars à Houston et dans le reste du monde. Objectif de cette opération soutenue par le ministère des Affaires étrangères: promouvoir la cuisine française sur les cinq continents.
Cette année, plusieurs restaurants de Houston y participent et proposeront des menus spéciaux pour l’occasion: Le Colonial, Fig & Olive, Le Bistro, Etoile cuisine et bar, La Table, Artisans Restaurant, Avondale et le Culinary Institute Lenôtre. Il n’y a aucun restaurant participant au Texas en dehors de Houston.
Au total, 5.000 chefs dans le monde entier ont rejoint l’initiative cette année. Réservations auprès des restaurants directement.