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Lou Doillon chante à San Francisco en juin

Elle vient de sortir un nouveau CD et le partagera avec ses fans à San Francisco. La chanteuse montera sur la scène du Great American Music Hall (GAMH) le 29 juin. Les tickets sont en vente depuis le 8 février.
L’auteure-compositrice-interprète française, fille du cinéaste Jacques Doillon et de la chanteuse Jane Birkin, fera la promotion de son troisième album, “Soliloquy”. Celui-ci comporte douze chansons “foisonnantes“, a noté Le Parisien dans un interview récente de l’artiste, qui contrastent avec ses deux premiers albums plutôt sombres. Plusieurs autres voix ont collaboré sur ce disque, dont l’Américaine Cat Power.

Mort de Walter Jones, l'élu derrière les "Freedom Fries"

Les Français connaissent bien la tristement célèbre expression “Freedom Fries”, mais pas l’homme qui en était à l’origine. Le parlementaire Walter Jones est mort dimanche 10 février, jour de son 76ème anniversaire.
Le démocrate-devenu-républicain de Caroline du Nord avait fait son entrée à la Chambre des Représentants en 1994, où il fut “une voix républicaine fiable“, rappelle le Washington Post. En mars 2003, en réponse à l’opposition française à l’intervention militaire américaine en Irak, il avait fait remplacer, avec le représentant républicain de l’Ohio Robert Ney, tous les mots “French” qui apparaissaient au sein des trois cafétarias de la Chambre. Les “French Fries” (qui ne sont pas vraiment françaises d’ailleurs) et les “French toast” sont ainsi devenues “Freedom Fries” et “Freedom Toast”. À l’époque, il avait déclaré avoir été “découragé plus que je ne peux le dire” par la position française d'”agression passive“.
Ce geste, vu comme l’apogée du “French-bashing” qui régnait aux Etats-Unis à l’époque, respectait une tradition américaine datant de la Première guerre mondiale, poursuit le Washington Post, “quand la choucroute a été re-baptisée “chou de la libert锓. Face au lourd bilan humain de la guerre en Irak, Walter Jones avait fini par devenir l’un des grands opposants au conflit au sein du parti républicain.

Comment Miami se ré-invente

(Article partenaire) Qu’y a-t-il sous le soleil exactement ? Le climat de Floride ne saurait, à lui seul, expliquer la formidable évolution de Miami au cours des 20 dernières années. Comment cette ville à l’atmosphère plutôt provinciale, tropicale, résolument latine, à la pointe de l’Amérique, s’est-elle taillée une renommée internationale, attirant aussi bien investisseurs et grandes fortunes américaines, sud-américaines, européennes, et depuis peu du Moyen Orient et d’Asie, que des entrepreneurs courageux à la conquête de nouveaux marchés et d’une vie à réinventer ? Quels ingrédients retrouve-t-on dans l’un des marchés immobiliers les plus dynamiques d’Amérique du Nord ?

Elisabeth Gazay, directrice Associée de Barnes International à Miami, revient sur quelques caractéristiques de la ville, alors que le groupe immobilier vient de fêter ses 15 ans d’implantation et de croissance continue à Miami, où il est aujourd’hui leader pour la clientèle francophone.

Les gratte-ciel chaque fois plus hauts de Brickell, tout comme l’éclosion de nouveaux quartiers aussi modernes, créatifs et sophistiqués que Edgewater, Design District, Wynwood évoquent Ginza à Tokyo, les shopping malls de Dubaï ou les rues élégantes de Milan. Ils  témoignent que Miami ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui sans trois forces dominantes : l’énergie, la confiance et l’inspiration. Tous les grands projets qui propulsent Miami dans le XXIe siècle ont été initiés par des leaders qui ont une vision pour Miami et déroulent un plan que même la crise de 2008 n’a pas arrêté, au contraire.

L’architecture de Miami témoigne d’une ville jeune et dynamique. Ici : Wynwood Garage.

L’énergie de Miami vient de la diversité (et donc la richesse) culturelle. S’il est rare de rencontrer un « Miamien » d’origine, la variété des accents met tout nouvel arrivant parfaitement à l’aise. Les bâtisseurs du nouveau Miami ont des racines cubaines, argentines, françaises, colombiennes… ils viennent de Hong Kong, Tel Aviv, New York, Chicago, Toronto ou ailleurs… Les entrepreneurs, scientifiques, artistes qui contribuent au développement économique sont tout aussi internationaux, apportant un dynamisme, une volonté d’avancer, d’innover, et de réussir caractéristiques des villes jeunes avec une dominante d’immigrés de première ou deuxième génération.   

Miami ne serait pas là où elle est aujourd’hui sans un trait commun à toute personne qui réussit dans la ville : la confiance dans son avenir et à la faire devenir une place internationale tout en restant elle-même. Lorsque Art Basel avait choisi Miami -dès 2001- pour lancer son édition américaine, faisant de Miami, du jour au lendemain, un point obligé des collectionneurs et amateurs d’art contemporain, c’était un pari et une formidable preuve de confiance. 

Miami est aussi la capitale mondiale des croisières avec des navires aussi démesurés que la ville elle-même !

Plus récemment, Miami a gagné la confiance des organisateurs de grands évènements sportifs, comme David Beckham pour installer son équipe de foot internationale, ou de la Formule 1 pour ajouter un circuit sur la carte des grands prix. Le « Boat show » qui rassemble une sélection unique des plus beaux yachts du monde dans la baie de Biscayne est aussi un rendez-vous incontournable de la ville. Le génial créateur du cirque du Soleil a déclaré sa confiance en choisissant de développer à Little Haiti un quartier d’un genre nouveau, qui alliera les technologies, art, éducation et emplois, le développement d’entreprises. Il donnera aussi l’opportunité aux habitants d’un lieu déshérité de voir s’ouvrir les portes d’un ascenseur social.

De même qu’il fallait la vision et l’inspiration d’un Henry Flagler pour transformer la Floride humide et inhospitalière en un paradis du tourisme d’hiver, chaque nouveau projet aujourd’hui montre que Miami est un véritable laboratoire issu d’inspirations les plus variées.

L’immeuble élancé et innovant imaginé par Zaha Hadid est devenue une réalité, mais surtout un point de référence dans le ciel urbain de Miami

Le quartier de Wynwood, destiné aux populations actives et jeunes, a été créé à partir d’entrepôts où le « street art » a été invité à s’exprimer… enfin et officiellement ! L’idée unique de Tony Goldman (le promoteur de SoHo a une autre époque) a depuis été copiée dans le monde entier. La tour de la célèbre architecte Zaha Hadid, dont la structure de béton englobe l’immeuble comme une fleur au lieu d’être cachée à l’intérieur, est une grande première architecturale dans le monde… Dans un tout autre domaine, les centres de recherches de UM (University of Miami) abritent des laboratoires et équipes scientifiques qui travaillent sur des premières mondiales comme, par exemple, la guérison de la paralysie causée par la moelle épinière.

Il faudrait des pages pour énumérer les axes de développement qui confèrent a la ville une place à part sur la scène mondiale. Une chose est sure : à quelques minutes de la plage et des palmiers, c’est un tout autre monde qui réfléchit, réinvente, imagine et créé une grande métropole de demain.

Le plus court chemin pour en savoir plus sur le marché et les opportunités immobilières à Miami, visiter le site de Barnes

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Les conjoints d'expatrié.e.s, entre sacrifices et réinvention

Valises bouclées, tout semble prêt. Chaque année, de nombreux couples sont amenés à s’expatrier aux Etats-Unis et dans le monde. Souvent, l’un suit l’autre. Peu préparées, ces expatriations peuvent être difficiles à vivre pour les conjoints, qui ont parfois du mal à se retrouver dans le projet.
En la matière, la parité n’est pas encore au goût du jour. Selon une étude d’Expat Communication et Humanis en 2017, 92% des conjoints suiveurs sont des femmes. Loin d’avoir à envier ceux qu’elles accompagnent, ces femmes sont 42% à parler deux langues et 73% à avoir un master ou un doctorat. Pourtant, l’intégration professionnelle n’est pas tâche facile, même pour celles qui ont un visa leur permettant de travailler aux Etats-Unis. « J’ai passé entre 6 et 9 entretiens pour des postes intéressants, je n’ai pas été engagée. J’ai fini dans une boîte française mais je suis beaucoup trop diplômée et expérimentée pour mon poste actuel », confie Stéphanie Dauder, qui a suivi son mari travaillant dans le luxe à New York.
Trouver du travail peut prendre du temps et les barrières sont nombreuses : responsabilités liées à l’éducation des enfants, réseau limité, incertitude sur le type de carrière souhaitée. Amandine Plochat, sous visa J-2, a suivi son mari chercheur: « J’étais kiné à domicile à mon compte. J’ai dû tout stopper rapidement et partir. Je ne peux pas exercer ici. Je vais commencer en tant que volontaire dans le laboratoire de mon mari ». 28% des conjoints estiment que l’expatriation est une rétrogradation dans leur carrière, 59% le voient comme une promotion et 30% comme un sacrifice. Amandine Plochat n’a pas de regrets : « C’est une opportunité pour moi, mon métier ne m’aurait pas permis ce genre d’expérience. C’est un sacrifice mais je suis contente de découvrir que ça en vaut la peine ». 
Souvent, les conjoints ont l’impression de n’être que l’ombre de l’autre. L’intégration sociale se fait difficilement. Dans un pays où l’on se retrouve démuni de tout repère, rester à la maison n’aide pas. “Quand on a fini de s’installer, je me suis retrouvée seule à la maison sans boulot. Mon mari, lui, rencontrait plein de nouvelles personnes, il s’est très vite fait des amis”, raconte Amandine Plochat.
“Il faut revisiter tout son mode de vie”, avoue Capucine Lamour. Cette jeune femme de 35 ans a rejoint son mari il y a trois ans. “Pour m’intégrer, je pensais rejoindre des Américaines, sortir, parler avec elles, mais ici ça ne fonctionne pas comme ça”. Psychologue de formation, elle s’est rapprochée de la communauté française et est devenue coach pour les conjoint(e)s d’expatriés. “J’ai connu des cas très différents les uns des autres, mais souvent les mêmes problématiques reviennent”, raconte-t-elle. Depuis, cette jeune maman a fondé un groupe d’entraide sur Facebook pour les autres mères françaises de New York.
Eric Georges fait partie des 8% d’hommes qui ont suivi leurs femmes, si l’on en croit l’étude d’Expat Communication. Après une expatriation à Singapour, Eric Georges a suivi sa femme avocate aux Etats-Unis, sous visa L2. “Je venais de monter ma boite de conseil en achats à Singapour lorsque l’on a dû partir pour les Etats-Unis. J’ai dû tout recommencer du début, me refaire tout un réseau. Ça passe par rencontrer des Français”, confie-t-il.
Heureusement, ces conjoints suiveurs ne sont pas seuls. Il existe des livres pour aider les couples et les familles à préparer leur expatriation. Des associations existent pour les épauler à l’étranger. C’est le cas des “Accueils”. Initiés par la FIAFE (Fédération International des Accueils Français et Francophones à l’Etranger), 195 structures sont présentes dans le monde entier dans le but d’accueillir, informer, intégrer les Français s’expatriant à l’étranger.
L’Accueil New York accueille plus de 500 familles. “On est tous passé par ce stade d’intégration au début de l’expatriation, notre but c’est aussi de rassurer le conjoint”, explique Christel Grein, présidente de l’ANY. À Houston, quatre conjointes d’expatriés ont créé Houston Expat Pro, un réseau professionnel destiné aux conjoints. “L’idée est née du constat que le conjoint d’expatrié doit se réinventer à chaque fois et ne sait pas vers qui se tourner, surtout au niveau professionnel”, explique Maylis Curie, présidente de Houston Expat Pro. A l’aide de séances de networking, de réunions et d’ateliers, l’association a aidé à lancer des activités d’entreprenariat, souvent des reconversions.
Malgré tout, si c’était à refaire, tous les conjoints interrogés le referaient sans hésiter. “Je suis avec la personne que j’aime, c’est le plus important pour moi. J’apprends à construire ma vie autour de ça”, positive Capucine Lamour. “Si c’était à refaire, raconte Stéphanie Dauder, je le referais pour la qualité de vie, la joie des enfants, les voyages”.

Clément Michel, un Français face aux défis des transports publics américains

Clément Michel croit que les Etats-Unis, pays de la voiture-reine, peuvent se déplacer autrement. Et que le savoir-faire français peut les aider. “Quand j’étais en Australie, il y avait beaucoup de travail à faire sur le réseau de transport public, mais quand je suis arrivé aux Etats-Unis, c’était encore un plus grand défi”, se rappelle le président-directeur général de Keolis Amérique du Nord, qui travaillait pour le groupe de transports à Melbourne quand il a été nommé à son poste actuel en février 2016.
Keolis est un peu chez elle en Amérique du Nord. Basée à Paris, l’entreprise est détenue à 70 % par la SNCF et à 30 % par la Caisse de dépôt et placement du Québec. Outre la Virginie et le Massachusetts où elle travaille dans le milieu des trains, la filiale a remporté des contrats de réseaux de bus à Los Angeles, Fresno et Las Vegas (où elle gère la première navette autonome de la ville des casinos). Fin octobre, la société a annoncé un contrat de 20 millions de dollars pour opérer le réseau de bus et de transport adapté (pour les seniors, handicapés…) de la ville de Greensboro (Caroline du Nord). En Floride, elle est présente à travers des sociétés de taxis et des navettes. Depuis 2012, Keolis est le principal partenaire de VIA, un taxi partagé qui tente de concurrencer Uber et Lyft.
Le Français de 43 ans – qui a grandi à la Réunion et a fait ses gammes à Saint-Gobain en Chine – est arrivé aux Etats-Unis dans un contexte de crise. Il a remplacé l’ancien directeur Eric Asselin alors que l’entreprise, qui exploite le réseau de trains de banlieue de la région de Boston depuis 2014, devait faire face à des retards à répétition et du matériel défaillant. Ce qui a obligé Keolis à verser des pénalités à l’État du Massachusetts, son client. 
Le groupe avait alors déménagé ses bureaux de Virginie à Boston. L’enjeu était de taille pour le nouveau patron: l’exploitation du réseau de Boston est le plus gros contrat de Keolis -il a fait passer son chiffre d’affaires de 300 à 600 millions de dollars aux Etats-Unis. Avec quatorze lignes et 1.000 kilomètres de voies empruntées par 130 .000 voyageurs par jour en moyenne, il s’agit du plus grand réseau américain confié à un opérateur privé.
Dans le même temps, Clément Michel doit piloter un autre gros dossier: l’exploitation et la maintenance du réseau des trains de banlieue Virginia Rail Express qui desservent le nord de l’État de Virginie, dans la région de Washington. En 2009, les Etats-Unis étaient le seul pays de l’OCDE à voir son nombre d’usagers de transports en commun diminuer”, se souvient-il. Il est passé de 5,6 millions de personnes en 2008 à 4,9 en 2009.
Fervent défenseur des transports en commun à l’heure du changement climatique, Clément Michel voit les Etats-Unis comme un grand projet où tout reste à faire. Néanmoins, avec les différents classements des villes les plus vivables aux Etats-Unis, les municipalités réorientent leurs politiques publiques vers le transport partagé. “Los Angeles a investi des milliards de dollars pour remodeler ses modes de transport”, souligne-t-il. Keolis a remporté en Californie son deuxième plus gros contrat aux Etats-Unis en 2014.
Le savoir-faire français est apprécié. “Nous avons l’habitude de la gestion de grandes villes avec des réseaux de trains, de bus et de vélos”, explique-t-il. Mais aux Etats-Unis, Keolis a une approche plus technique car le manque de coordination entre différentes municipalités empêche un réseau global.
Il prend l’exemple de Washington D.C. qui a “un métro super, mais pas pratique, avec des billets de circulation qui ne sont pas adaptés”. Contrairement à de nombreuses villes américaines, la capitale base le prix de son ticket sur le nombres de stations à emprunter et les horaires plutôt que de pratiquer prix fixe comme à New York. Pour lui, “le réseau de bus à Washington n’est pas coordonné avec la Virginie où chacun a son propre réseau, il n’y a pas de vision d’ensemble”.

Une discussion avec Bernard-Henri Lévy à San Francisco

Et BHL est de retour aux Etats-Unis. L’intellectuel français engagé Bernard-Henri Lévy sera au Commonwealth Club de San Francisco, le lundi 25 février, pour faire la promotion de son livre à paraître The Empire and the Five Kings: America’s Abdication and the Fate of the World. 
Bernard-Henri Lévy évoquera les défis qui attendent l’Occident, alors que les Etats-Unis se retirent de la scène internationale et que d’autres forces – la Russie, la Turquie, la Chine, l’Iran et l’islam sunnite radical – s’affirment et remettent en question les valeurs libérales qui ont défini la civilisation occidentale jusqu’à aujourd’hui.

Des cadeaux français pour la Saint-Valentin à New York

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Soutenir des entrepreneurs français à New York tout en faisant plaisir à votre amoureux.se, c’est possible. Voici une liste de cadeaux “français” disponibles dans la Grosse Pomme et qui n’attendent que vous le 14 février.

“What women want”

Ce nouveau service monté par une entrepreneuse française de New York garantit ni plus ni moins que la paix des coeurs. Et quand tout fiche le camp dans le monde, c’est important. Il propose d’aider les couples à planifier, pendant un an, ces petites attentions qui entretiennent l’amour (surprises, petits cadeaux, moments ensemble…). Pour les messieurs un peu distraits, il permet aussi de créer des rappels de dates importantes (anniversaire de mariage ou de rencontre, anniversaire tout court…). Bref, vous ne serez plus jamais pris au dépourvu quand elle vous demandera: “tu n’as pas oublié quelque chose aujourd’hui ?“. Site
Les dessous sexy de Maison Close
C’est toujours le moment d’acheter de la lingerie sexy, mais ça l’est encore plus le 14 février. Pour l’occasion, la marque Maison Close, implantée à SoHo, propose une série de vêtements et d’accessoires qui feront monter la température: string ouvrable, un plumeau caresse, des gants noirs et un soutien-gorge seins nus… 32 Grand St, New York.

Un parfum d’Atelier Cologne

La marque française, qui fête ses 10 ans cette année, propose des parfums ainsi que différents produits pour le corps (savons, crèmes, lotions…). Pour la Saint-Valentin, elle propose un coffret de parfums contenant un à trois flacons de Cologne Absolue, son produit-phare inspiré de l’Eau de Cologne. Points de vente ici.

Des crèmes L’Occitane en Provence

Le magasin dont les Français raffolent dispose de plusieurs points de vente à New York. Pour la Saint-Valentin, la marque de produits de beauté naturels qui sentent bon le Sud propose notamment un trio de crèmes pour les mains à la rose et au beurre de karité. Plein d’idées de cadeaux pour elle et lui sur le site de L’Occitane.

Les chocolats Gabriel Kreuther

La chocolaterie du chef bi-étoilé Gabriel Kreuther, Kreuther Handcrafted Chocolate, ne pouvait pas passer à côté de la Saint-Valentin. Comme d’autres chocolateries, l’établissement dirigé par le chef-pâtissier Marc Aumont sort les grands moyens. Plusieurs produits sont en vente, dont des cadenas d’amour chocolatés, des figurines en chocolat et des sucettes fraises-chocolats. Kreuther Handcrafted Chocolate. 43 W 42nd St. Site

Un repas en amoureux au District

Le “marché” français de Lower Manhattan met aussi les petits plats dans les grands. Son restaurant Beaubourg propose un dîner prix fixe à 75 dollars du 14 au 16 février, un menu à emporter valable du 13 au 15 et un repas en amoureux dans son restaurant étoilé L’Appart pour 215 dollars du 13 au 16. A noter que le chocolatier français Thierry Altan, par ailleurs Meilleur ouvrier de France, vend des boîtes de macarons estampillées “love” au District pour la Saint-Valentin. Brookfield Place, 225 Liberty Street. Réservations ici.

Bernard-Henri Lévy parle de l'avenir de l'Occident à New York

Et BHL est de retour aux Etats-Unis. L’intellectuel français engagé Bernard-Henri Lévy sera au 92 Y de New York, le mercredi 13 février, pour faire la promotion de son livre The Empire and the Five Kings: America’s Abdication and the Fate of the World. Il sera interrogé par Simon Schama, un professeur d’Histoire à Columbia University.
Bernard-Henri Lévy évoquera les défis qui attendent l’Occident, alors que les Etats-Unis se retirent de la scène internationale et que d’autres forces – la Russie, la Turquie, la Chine, l’Iran et l’islam sunnite radical – s’affirment et remettent en question les valeurs libérales qui ont défini la civilisation occidentale jusqu’à aujourd’hui.
 

Projet de loi 9 : des Français "pris au piège" par le gouvernement québécois

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Dépités“, “dégoûtés”, “choqués“. Derrière les 18.000 dossiers d’immigration que le gouvernement québécois a choisi d’annuler, ce sont 50.000 personnes qui pourraient voir leur vie basculer. Du moins, jusqu’à l’adoption concrète du projet de loi. Parmi elles, des Français·es qui estiment avoir été pris au piège dans ce “parcours du combattant“.
Le Ministère vous informe, qu’en raison du dépôt à l’Assemblée nationale du projet de Loi visant à accroître la prospérité socio-économique du Québec et à répondre adéquatement aux besoins du marché du travail par une intégration réussie des personnes immigrantes, il cesse de rendre des décisions dans le cadre du Programme régulier de travailleurs qualifiés, et ce, jusqu’à ce que les travaux parlementaires soient terminés“. C’est le début du courriel envoyé par Mon Projet Québec qu’ont reçu les milliers de candidats à l’immigration ce jeudi 7 février en début de soirée. La date de fin des travaux parlementaires ? Encore inconnue à ce jour. Une attente insoutenable pour des milliers de candidats suspendus aux faits et gestes du gouvernement québécois.
Étant donné qu’il s’agit d’un projet de loi à l’étude devant l’Assemblée nationale, le Ministère n’est pas en mesure de vous fournir plus d’information pour le moment. À ce stade-ci, aucune action n’est requise de votre part. Si la loi est adoptée et sanctionnée, nous communiquerons avec vous pour vous donner les renseignements et les consignes qui s’appliqueront à votre situation“, précise encore le courriel qui invite les intéressés à se créer un compte dans Arrima pour déposer gratuitement et en tout temps une déclaration d’intérêt.
“Je ne vais pas passer ma vie à déménager entre la France et le Québec”
Emmanuelle Robidou, une Française du quartier de Rosemont à Montréal, fait partie des personnes concernées. “On est dépités. Avec ma famille, nous sommes en attente de transfert du Certificat de sélection du Québec (CSQ) vers le Programme de l’expérience québécoise (PEQ) depuis mi-décembre et on ne reçoit aucune nouvelle. Il n’y a pas de logique dans le traitement des demandes (…)”, rapporte cette gérante de boutique qui juge le projet de loi 9 inacceptable. “On a tous un travail, une vie et on nous traite comme des numéros ou des fantômes”, raconte la mère de famille qui a l’impression d’être prise au piège par un système défaillant et d’en être tributaire.
“Est-ce que tout est suspendu ou pas ? On ne sait pas, personne ne nous répond. Sans compter que si je dois recommencer à 0, tous mes documents sont maintenant périmés y compris mes tests de français que j’ai payés 300€”, explique Emmanuelle Robidou dont le visa se termine le 30 avril 2019. Pour l’heure, elle prévoit de laisser passer le week-end et de rappeler une énième fois le MIDI la semaine prochaine pour tenter d’obtenir des réponses. “Si cela n’avance pas, on abandonnera et on rentrera en France, on n’a pas le choix. (…) On ne veut pas se retrouver encore sous un statut précaire, ça suffit ! Je ne vais pas passer ma vie à déménager entre la France et le Québec”, lance celle qui aimerait que le gouvernement prenne ses responsabilités en traitant les dossiers déjà déposés.
Même son de cloche pour Virginie De Martin, une Française installée au Québec avec sa famille depuis 2 ans, qui avait fait une demande de Certificat de sélection du Québec (CSQ) régulier en août 2017. “On tombe des nues, tout s’écroule. En janvier, nous avions fait une demande de transfert vers le Programme de l’expérience québécoise (PEQ) qui avait bien été prise en compte. Mais depuis hier soir, ils ont tout gelé et nos visas touchent à leur fin. On devait faire une demande de permis fermé post CSQ… Mais maintenant, on fait quoi ?”, s’interroge la propriétaire d’une maison à Mirabel qui refuse de croire qu’elle devrait tout recommencer à 0.
“C’est inadmissible de laisser des personnes sur le carreau après deux ans de procédure”, déplore Virginie De Martin qui estime que certains avocats et agents d’immigration n’en savent pas plus qu’elle. “On est bien intégrés, on travaille, on a acheté une maison et on a trois enfants scolarisés qui ne veulent pas rentrer en France. Alors non, on ne va pas arrêter notre processus. On ne demande rien d’exceptionnel, si ce n’est que nos dossiers soient étudiés !”, lance celle qui a aussi l’impression d’avoir été piégée par la politique contradictoire du gouvernement québécois“J’ai même passé des tests de français pour prouver mon niveau ! Ce qui est déjà aberrant. Bref, on remplit tous les critères mais ce n’est pas assez ? Ce n’est pas logique”.
De l’espoir et des envies d’ailleurs
Pour certain·es, c’est un peu d’espoir qui se profile à l’horizon, malgré tout. “L’annonce du projet de loi m’a presque démolie”, nous a avoué Sophie Chene. “Avec mon mari, nous sommes boulangers et pâtissiers en attente de notre CSQ. On a reçu le mail envoyé par Mon Projet Québec hier soir : en le lisant, j’ai tout de même encore un peu d’espoir car la loi n’est pas encore adoptée”, raconte la jeune femme optimiste.
Sauf que, comme l’a évoqué Dominique Anglade en conférence de presse, “les demandes de ces 18.000 dossiers ne seront plus traitées avant même que ce projet de loi soit adopté et cela constitue un problème majeur“. Une zone de flou persiste donc.
Pour Aneska Roche-Pilot (NDLR : le nom a été modifié), une Française installée au Québec, les conséquences de ce projet de loi sont “désastreuses“. “Cela fait déjà deux fois que je suis contrainte de revenir en France après un PVT et si la loi passe, ce sera pour de bon”, nous a confié la jeune femme qui n’en peut plus. “Je ne serai pas en mesure de présenter une nouvelle demande de CSQ car selon les nouvelles conditions de demande régulière, il faut exercer dans son domaine d’études. Après des études juridiques, je me suis réorientée en ressources humaines (…). Le MIDI ne reconnaissant aucun titre professionnel, même reconnu par l’Etat français, et n’étant plus en mesure d’exercer dans le droit, je ne pourrai donc pas justifier du fait d’exercer dans un domaine d’études reconnu”, rapporte la jeune femme qui dit avoir “survécu” jusqu’ici. “Là je dois vivre avec la contrainte de devoir faire ma vie dans un pays (…) où mes possibilités d’emploi sont minables (…)”.

De son côté, Annick Kubika envisage déjà de rentrer chez elle, en Belgique. “Hier soir, mon dossier est passé du statut “en traitement” à “décision non rendue”. Je sens que je vais devoir tout recommencer depuis le début”, confie celle dont l’envie d’immigrer au Québec est née après 2 sessions d’étude dans la Belle Province et un PVT. “Malgré tout, je garde espoir (…) et j’essaye de me consoler en me disant que je ne suis pas la seule dans ce cas et que malgré tout, si cela ne fonctionne pas, on n’est peut-être pas si mal que ça en Belgique…”.
Enfin, selon Nadia Barrou, avocate spécialisée en immigration, les Français ne seraient pas les plus mal lotis. “Je n’ai pas de chiffres à fournir mais les Français ne constituent pas la majorité des personnes concernées. Ce sont surtout les gens du Maghreb, de l’Amérique latine, de l’Europe de l’Est, entre autres, qui le sont”, a confié l’avocate par téléphone. “Pour celles et ceux qui sont déjà au Canada, il existe d’autres modes opératoires possibles, il y a toujours d’autres options pour s’établir ici”, a relativisé la spécialiste qui accorde “le bénéfice du doute” à Simon Jolin-Barrette, Ministre québécois de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion. “Il fallait qu’il annule ces dossiers pour profiter du nouveau système Arrima de façon plus efficace”, estime Nadia Barrou. À suivre…

Saint-Valentin : faire plaisir et acheter français à San Francisco

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La Saint-Valentin approche. Si vous n’avez pas encore trouvé le cadeau idéal pour votre cher/chère et tendre, voici notre sélection 100% française avec des produits faits par des Français de la Bay Area ou importés directement de France. 
Les macarons de Chantal Guillon 
A l’occasion de la Saint-Valentin, Chantal Guillon propose de nouvelles saveurs pour ses macarons : Litchi, champagne et champagne rosé. Le petit dernier est notre nouveau favori. Pour accompagner vos pâtisseries, vous trouverez sur place du thé Human & Tea, des caramels et des boîtes de tuiles prêtes à être dégustées. Si vous ne savez quoi prendre, des coffrets sont également disponibles. 444 University Ave, Palo Alto / 1309 Howard Street, San Francisco / 437 Hayes Street, San Francisco 
Les pâtisseries de Mademoiselle Colette 
Si votre moitié raffole du sucré, les pâtisseries de Mademoiselle Colette sont faites pour elle. Dès le 8 février, des pièces spécialement conçues pour la Saint-Valentin seront mises à la vente, toutes en forme de coeur bien sûr. Au menu, on retrouve des Bavaroises à la pêche et au chocolat Valrhona, mousses au chocolat et macarons fruits de la passion et framboises – de quoi mettre l’eau à la bouche. 816 Santa Cruz Avenue, Menlo Park / 499 Lytton Avenue, Palo Alto 
Amelie Wine Bar 
Pour ceux qui préfèrent l’alcool aux sucreries, vous pouvez toujours opter pour l’option Gift Card chez Amelie Wine Bar. L’enseigne propose plus de 60 vins français disponibles à la dégustation (Côtes-du-Rhône, Ventoux, Châteauneuf-du-Pape…) La carte cadeau vous permet soit de repartir avec une bouteille, soit de déguster quelques mets sur place ou bien de faire les deux dans le meilleur des mondes. L’avantage, c’est que vous êtes sûr d’en profiter… 1754 Polk Street, San Francisco
Du bleu blanc rouge dans vos tiroirs 
Dans sa boutique rue Polk, Les Cent Culottes vendent exclusivement de la lingerie française. Parmi les marques exposées, on retrouve Lise Charmel, Maison Le Jaby, Dim, Simone Pérèle et Les Jupons de Tess. 2200 Polk Street, San Francisco
Le “made in France” dans votre dressing
Vêtements, cosmétiques, objets design en bois, maroquinerie…Le “Made in France” est chez lui à Gazette. Créée par Charlotte Boëdec, également créatrice de la marque de maroquinerie SOFRANCISCO, cette boutique propose une multitude de produits français pour elle et pour lui. 334 Gough St, San Francisco. 

Où boire du vin chaud à New York ?

La ville qui ne dort jamais ne manque pas d’adresses pour se réchauffer. Et quoi de mieux qu’un verre fumant de vin chaud – dit « mulled wine » ou plus rarement « spiced wine » -pour affronter les journées pourries ? La rédaction de French Morning a enquêté (dur métier) pour trouver – et goûter – du vin chaud à New York. Voici notre sélection :

Manhattan

The Grey Dog

Crédit : French Morning

Sur University Place près de Union Square, ce bar chaleureux vous plonge hors de l’hiver dans une ambiance teintée de Portugal. Sous des guirlandes de guinguette et entre des murs en briques apparentes, The Grey Dog propose un vin chaud léger à 9 dollars, parfumé aux épices et aux amandes. La publicité du vin chaud n’est pas toujours faite sur la devanture du commerce, mais il vous attend bien au bar. 90 University Pl, New York, NY 10003. Site
Brindle Room

Crédit : French Morning

Ce petit restaurant niché dans l’East Village offre un refuge calme et cosy pendant les soirées froides. Le vin chaud (à 10 dollars) proposé est lui aussi assez léger, parfumé à la cannelle, à la noix de muscade, aux clous de girofle et aux canneberges. A noter : le « Sebastian’s Steakhouse Burger » du Brindle Room s’est vu attribuer le titre du meilleur burger de New York par le Telegraph et Forbes. 277 E 10th St, New York, NY 10009. Site 
Jadis

Crédit : French Morning

Dans une ambiance tamisée près de Houston Street dans le Lower East Side, ce bistro plein de charme entre le bois et la brique sert un vin chaud plus fort et moins épicé que ses pairs, sans morceaux de fruit cette fois, pour 11 dollars. 42 Rivington St, New York, NY 10002. Site 
Terroir

Crédit : French Morning

La route des vins chauds se poursuit à Tribeca dans un bar simple et élégant qui propose un vin chaud léger à base d’anis étoilé, de clous de girofle, cannelle, zestes d’orange et sirop d’érable, à 11 dollars. Pour les amateurs de vin (froid cette fois), Terroir propose une carte épaisse avec de nombreux choix. 24 Harrison St, New York, NY 10013. Site 

Brooklyn

Fawkner

Crédit : Fawkner

Ce bar de Boerum Hill accueille les visiteurs dans une ambiance casanière avec ses canapés et sa cheminée. Cet hiver, le Fawkner sert un vin chaud (« généralement du cabernet », précise la manager) parfumé à l’anis étoilé avec de la cannelle, un peu de miel, du cidre et des zestes d’orange, le tout pour 10 dollars. 191 Smith Street, Brooklyn. Site 
Black Mountain Wine House
crédit: Black Mountain Wine House

Vous serez ici dans une ambiance de chalet. Tout y est: l’atmosphère intimiste d’un petit espace, le feu de cheminée, la façade boisée… À Black Mountain Wine House, en plein coeur de Carroll Gardens, on vient apprécier des petits plats à partager entre amis ou amoureux, mais aussi et surtout la sélection de vins américains et européens. Pour se mettre dans l’ambiance, commandez un vin chaud pour 9 dollars. 415 Union Street, Brooklyn. 718.522.4340. Site

Brookvin
Crédit : Brookvin

A Park Slope, ce bar offre un vin chaud aux gousses de cardamone, clous de girofle, noix de muscade, anis étoilé, poivre noir, quatre-épices et zestes d’orange pour 9 dollars. Le Brookvin propose également de la charcuterie et des fromages français. 381 7th Ave, Brooklyn, NY 11215. Site

New Jersey

The Archer

Crédit : The Archer

Après avoir testé tous les bars ci-dessus, vous n’aimez plus le vin chaud ? Cette adresse de Jersey City fait un pas de côté avec son cidre chaud à 13 dollars ou « hot mulled cider » à base de cidre épicé, de crème fouettée, de noix de muscade et de liqueur au choix (rhum épicé, bourbon, whiskey ou de brandy sont suggérés par la maison). 176 Newark Ave, Jersey City, NJ 07302. Site

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(Article partenaire) Les vacances en France ne sont plus très loin. Et vous avez un emploi du temps estival déjà bien chargé entre le week-end en Bretagne pour retrouver vos copains de Singapour, le mariage d’une cousine dans le fin fond du Périgord, et surtout le petit week-end en amoureux dans l’arrière-pays provençal.

Pour vous rendre à toutes ces festivités sans problème et en sécurité, il vous faut une bonne voiture cet été. Et c’est maintenant qu’il faut vous en occuper pour avoir le choix.

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Quels sont les avantages ? 

  • L’assurance des personnes transportées (PAI)
  • Le retour gratuit dans une agence différente de celle de départ (France continentale uniquement)
  • La surcharge aéroport ou gare
  • La participation aux coûts d’immatriculation (PCI)
  • La TVA (non récupérable)

Et surtout, cette offre inclut pour les locations suivantes :

  • Court terme (3 à 13 jours) : Le rachat partiel de franchise en cas d’accident et de vol (CDW et TPC)
  • Moyen terme (14 à 90 jours) : Le conducteur additionnel, la Super Cover (rachat total des franchises en cas d’accident et de vol), l’option Assistance dépannage étendue (crevaison, perte de clefs, erreur de carburant…) et le rachat total de franchise bris de glace (couverture impact / bris de glace).

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