Comme d’habitude, les billets pour Coachella sont partis comme des petits pains. Mais ne vous alarmez pas : outre le marché noir, il reste les “listes d’attente” pour garder l’espoir de découvrir les artistes en vogue, dont de nombreux Français. Car la 20e édition du festival, qui se déroule dans le désert californien sur deux week-ends, du 12 au 21 avril, met à l’honneur de grands noms de l’hexagone.
Se produiront sur scène quelques habitués des Etats-Unis, comme Charlotte Gainsbourg les vendredis 12 et 19 avril, Chris(tine and the Queens) les samedis 13 et 20 avril, DJ Snake les vendredis 12 et 19 avril, le duo Polo & Pan les vendredis 12 et 19 avril, ainsi que la Toulousaine Jain les samedis 13 et 20 avril.
Ce sera également l’occasion pour le public américain d’avoir un aperçu des performances de Gesaffelstein les dimanches 14 et 21 avril, Agoria les samedis 13 et 20 avril, FKJ les samedis 13 et 20 avril ou encore de ClOzee les samedis 13 et 20 avril. L’an passé, les Français avaient également été bien représentés avec Jean-Michel Jarre, Ibeyi ou encore de Petit Biscuit.
Charlotte Gainsbourg, DJ Snake, Jain : Coachella voit (encore) français
Maisons du Monde vient meubler les Etats-Unis
Maisons du Monde jette son dévolu sur les États-Unis. Le spécialiste français de la décoration d’intérieur, qui a réalisé en 2017 plus d’un milliard de dollars de chiffre d’affaires, a ouvert en décembre dernier son premier magasin américain dans le quartier de Wynwood à Miami et lancé son site d’e-commerce.
Fondée en 1996 à Brest par Xavier Marie, la marque française propose différents styles de meubles et d’objets de décoration, inspirés de plusieurs pays. En Europe, son savoir-faire n’est plus à démontrer : l’enseigne dispose de plus de 320 magasins et emploie plus de 7.000 personnes.
Souhaitant accélérer son développement à l’international, en s’installant notamment au pays de l’Oncle Sam, Maisons du Monde a acquis en mai dernier une participation de 70% dans Modani, une chaîne d’ameublement créée à Miami en 2007 par trois Français et présente sur tout le territoire américain. « C’est une fenêtre d’opportunité qui s’est ouverte à nous par hasard, indique Jonathan Moyal, directeur marketing de Maisons du Monde aux États-Unis. Tandis que Modani recherchait des fonds d’investissement pour se developper sur le territoire américain, Maisons du Monde, de son côté, souhaitait s’y implanter. Nous avons donc fait d’une pierre deux coups ».
La transaction, dont le montant n’a pas été communiqué et qui serait autofinancée, permet ainsi à Maisons du Monde d’investir un nouveau marché sans prendre de risque financier tout en limitant les coûts de développement d’un nouveau réseau. En effet, l’enseigne Modani, qui a réalisé en 2017 un chiffre d’affaires de plus de 41 millions de dollars, dispose de dix magasins dans plusieurs grandes villes américaines dont New York, San Francisco ou encore Chicago.
« C’est une relation gagnant-gagnant qui permettra aux deux compagnies de bénéficier de nombreuses synergies commerciales, poursuit Jonathan Moyal. Nous pourrons ainsi accompagner le développement de Modani en lui apportant notamment notre savoir-faire en matière d’e-commerce, tout en bénéficiant de la connaissance pointue du marché américain de ses dirigeants. Ce qui est un atout de taille nous permettant de gagner plusieurs années de développement ».
Grâce à cet investissement, Maisons du Monde, avec quelque 2.000 produits couvrant sept « univers », teste le premier point de vente de la marque sur la côte Est des États-Unis, en plein coeur de Miami. « Nous avons choisi le quartier de Wynwood car c’est l’une des destinations incontournables pour les habitants mais aussi pour les touristes, indique Jonathan Moyal. C’est donc un très bon choix pour débuter une telle aventure avant de penser à une expansion de la marque à New York notamment. C’est l’un des marchés qui fait rêver toutes les industries ».
French Touch Comedy: rire en VF à New York
Après le succès de sa première édition, le “comedy club” français French Touch Comedy revient au Broadway Comedy Club le jeudi 17 janvier à 7:30pm.
Ce spectacle de stand-up en français accueillera cette année six comédiens. Parmi eux l’Américain Dan Naturman, notamment passé par le Late Show de David Letterman et le Late Night de Conan O’Brien, et les Français Jason Brokerss et Reda Saoui qui ont joué sur la scène du Jamel Comedy Club.
Places en réservation au tarif de 15$, 20$ à l’entrée sous réserve de billets encore disponibles. Deux consommations obligatoires sur place.
À l'École Internationale de la Péninsule, les voyages forment la jeunesse
(Article partenaire) Montaigne disait dans le livre des Essais : «Les voyages forment la jeunesse».
Convaincue de la véracité de ce vieux proverbe français, l’Ecole Internationale de la Péninsule propose des voyages scolaires à ses élèves et ce, depuis des décennies. La multiplication des opportunités de voyages scolaires montrent l’importance qu’attache l’ensemble des membres de la communauté éducative à ces activités.
“Elles contribuent à ouvrir l’horizon des élèves par la découverte d’un territoire, d’une langue, d’une culture, d’une vie en collectivité loin des repères de la maison, explique Philippe Dietz, directeur de l’école. Quand je parle de voyages scolaires, je parle des expériences éducatives que nos élèves vivent à l’étranger. Ces temps passés en dehors de leur zone de confort et de leur environnement quotidien et familial les épanouissent et leur permettent notamment d’élargir leur esprit et de développer leur perspective internationale”.
Cette année, l’ISTP fête son dixième échange avec Fumel dans le Lot-et-Garonne et son quinzième échange avec Hangzhou en Chine. L’école a donc envoyé des dizaines d’enfants de CM1 et de CM2 en Asie et en France où ils ont vécu dans des familles d’accueil, sont allés à l’école avec leurs correspondants, ont visité des endroits magiques, ont développé leur résilience, ont pris des risques et sont revenus avec des souvenirs qui resteront avec eux pour la vie.
Les collégiens ont aussi l’occasion d’élargir leurs horizons et se rendent en Chine dans le Sichuan où ils passent du temps dans un internat chinois et vivent donc en parfaite immersion. Ils font de même en France près de Paris, où ils fréquentent un collège pendant trois semaines, et au Costa Rica, où ils vivent en milieu rural et sont impliqués dans des actions humanitaires.
Le voyage scolaire n’est donc pas une fin en soi. Il est un moyen intéressant pour atteindre des objectifs pédagogiques et éducatifs et de comprendre, comme le disait Marcel Proust, que « Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux. »
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Le court-métrage français en fête à San Francisco
Il y aura du vin, du fromage et surtout beaucoup de pépites du 7ème art. Le Théâtre du Lycée français de San Francisco accueille la première Nuit du court-métrage le vendredi 18 janvier à partir de 7pm. Les tickets sont en vente.
Au menu des deux heures de projection: huit films courts issus des nominations pour les César 2019 et d’autres festivals prestigieux. “Afikoman” de Mélanie Thierry ouvrira le bal: c’est l’histoire d’un employé d’abattoir qui décide de sauver un veau pour l’offrir à sa fille, dont l’anniversaire est le lendemain, mais il doit d’abord convaincre sa femme et la vétérinaire de cet abattoir. Le reste de la programmation comprend des fictions, un film d’animation (“La Mort, Père & Fils”, sur la reprise du business familial par le fils de La Mort), un film expérimental et une comédie (“Mi-temps”, sur un homme qui atteint l’exact milieu de sa vie à qui l’on donne le choix de recommencer tout depuis le début).
"L'immobilier français est plus-que-jamais une valeur refuge"
(Article partenaire) Depuis l’élection de Donald Trump, il est difficile de se prononcer sur l’évolution de l’économie américaine. La croissance économique devrait d’ailleurs ralentir fortement en 2019.
En ces temps d’incertitudes, l’immobilier constitue plus-que-jamais une valeur refuge. Investir dans un appartement en France pour le mettre en location est aujourd’hui le placement qui offre la meilleure rentabilité sans prise de risque majeure. De plus, avec la digitalisation du secteur immobilier, il est aujourd’hui possible d’investir à distance de manière sûre et fiable, sans avoir à se déplacer.
Une protection contre les aléas de la vie
Investir dans l’immobilier locatif dans l’une des grandes villes françaises que sont Paris, Bordeaux et Lyon est le meilleur moyen de sécuriser votre capital. En plaçant votre argent dans la pierre, vous vous constituez un patrimoine qui vous servira de filet de sécurité tout au long de votre vie. Ainsi, vous préparez votre retraite, votre retour d’expatriation ou le retour de vos enfants en France, en investissant dans un bien que vous pourrez ensuite transmettre.
Si l’immobilier a de tout temps constitué une valeur refuge, c’est qu’il offre des garanties qu’aucun autre placement ne peut égaler. Vous pouvez le réaliser à crédit, sa valeur vénale ne baisse quasiment jamais sur le long terme et votre placement n’est pas impacté par l’inflation. De plus, la valeur d’usage de la pierre reste constante puisque vous pouvez toujours louer ce bien et en tirer des revenus.
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Des loyers réguliers
Investir dans un appartement en France pour le mettre en location est aussi le meilleur moyen de percevoir chaque mois un revenu supplémentaire. Si dans un premier temps ces loyers vont vous servir à rembourser votre prêt, vous aurez dans un second temps une rente à vie. Une somme non-négligeable qui pourra vous permettre de réaliser vos projets, de financer les études de vos enfants ou encore de compenser une possible perte de revenu lors de votre départ à la retraite.
Ce « deuxième salaire » peut aussi vous aider à faire face à des dépenses propres aux expatriés français installés aux États-Unis. Notamment les soins, la scolarité des enfants ou encore les loyers parfois très élevés de certaines grandes villes américaines.
L’effet de levier
Autre avantage non-négligeable d’un investissement locatif : celui-ci se finance presque intégralement à crédit. Vous devenez donc propriétaire grâce à l’argent de la banque que vous remboursez chaque mois grâce aux loyers des locataires. À l’arrivée, vous vous constituez un patrimoine sans avoir dépensé le moindre centime ou presque. C’est ce que l’on appelle l’effet de levier. Une fois votre premier emprunt remboursé, vous avez alors encore plus de facilités pour investir à nouveau à crédit, et ainsi de suite. C’est le cercle vertueux de l’investissement locatif.
Des taux avantageux, même depuis les USA
Pour maximiser cet effet de levier, il est important de profiter des taux de crédit immobilier relativement bas pratiqués par les banques françaises. Si la tendance devrait repartir à la hausse en 2019, les taux sont encore très avantageux. Il est donc encore temps de négocier un prêt aux conditions très avantageuses.
Et s’il est vrai que certains établissements financiers rendent les conditions d’accès aux prêts plus difficiles pour les Français expatriés aux États-Unis (principalement à cause du FATCA), vous parviendrez à vos fins en étant bien accompagné.
>> Découvrez quels sont les taux d’emprunt proposés aux expatriés
Un investissement en France sans quitter les États-Unis
Enfin, contrairement à ce que l’on pourrait penser, investir en France quand on vit à l’étranger n’oblige pas forcément à effectuer des allers-retours entre son pays de résidence et la France.
Aujourd’hui, il est tout à fait possible de gérer votre projet immobilier à distance en étant accompagné par des professionnels de l’immobilier. My expat, par exemple, vous accompagne dans chaque étape de votre investissement, du début à la fin : recherche du bien, visites virtuelles, procuration, étude de votre projet et signature de l’acte de vente. Il vous est ainsi tout à fait possible d’investir dans l’immobilier en France depuis les États-Unis en toute sérénité, sans vous déplacer.
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Shutdown : quels musées restent ouverts à Washington ?
Depuis samedi 22 décembre, une partie du gouvernement fédéral américain est en “shutdown”. Une situation de gel administratif qui paralyse une partie de la capitale américaine, dont les institutions du Smithsonian. Heureusement, de nombreux musées et centres culturels sont ouverts.
C’est le cas de la plus grande bibliothèque du monde, The Library of Congress. Le musée propose également des collections temporaires intéressantes, dont l’une sur la vie du président américain Thomas Jefferson. Entrée gratuite. 10 First St SE, entre 8.30 am et 4.30 pm du lundi au samedi.
Cœur du pouvoir législatif américain, le Capitole est ouvert au public pendant la période du shutdown. Les visiteurs curieux de découvrir les fondements de la politique américaine peuvent participer à l’une des visites guidées gratuites. Attention, il est obligatoire de réserver en ligne et à l’avance. First St SE, visites du lundi au samedi entre 8.40am et 3.20pm.
Pour les passionnés d’arts, The Phillips Collection expose plus de 4.000 œuvres de différents courants allant de l’impressionnisme à l’art contemporain. L’entrée est gratuite pour la collection permanente et payante pour les expositions temporaires (entre 10 et 12 dollars). 1600 21st St NW.
Le National Museum of Woman in the Arts est le seul musée au monde qui expose exclusivement des œuvres d’artistes féminines. L’entrée est payante (10 dollars). Enfin, le Art Museum of Americas propose des œuvre issues principalement d’Amérique latine et des Caraïbes. Entrée gratuite. 201 18th St NW.
Le Newseum revient sur les événements qui ont marqué l’histoire du journalisme. Le musée affiche tous les jours l’ensemble des Unes des quotidiens nationaux et internationaux. Ne pas manquer la vue imprenable sur le Capitole depuis le toit du musée. Compter 24.95 dollars le ticket. 555 Pennsylvania Ave NW.
Inscrit au registre des lieux historiques, The National Building Museum est un musée d’architecture. En retrait des circuits touristiques, le bâtiment accueille des expositions sur l’origine de l’urbanisme, ou encore sur le logement américain. Le musée est payant (10 dollars), mais le hall principal du bâtiment historique est gratuit. 401 F Street NW.
Situé à proximité du National Mall, l’Holocaust museum est consacré à la recherche et aux travaux sur l’histoire de l’Holocauste. À l’intérieur, une exposition permanente rappelle la chronologie historique entre 1933 et 1945. Le musée est gratuit. 100 Raoul Wallenberg Pl SW.
Pour ceux qui sont prêts à rouler quelques kilomètres de plus, le domaine du Mount Vernon est ouvert au public. La résidence privée de George Washington est un lieu historique où se trouve également le tombeau du premier président américain et de son épouse Martha Washington. 3200 Mount Vernon Hwy, Mt Vernon.
Le foie gras interdit pour de bon en Californie
Mauvaise nouvelle pour les producteurs de foie gras. La Cour Suprême des Etats-Unis a rejeté, lundi 7 janvier, l’appel de professionnels de la filière contre l’interdiction de cette spécialité culinaire dans le Golden State. La loi sanctionnant les commerçants de lourdes amendes reste donc en place.
C’est la fin d’une procédure à multiples rebondissements, qui a tenu tous les amoureux de foie gras et ses détracteurs en haleine pendant plusieurs années aux Etats-Unis et dans le reste du monde. Tout a commencé en 2004, quand l’Etat a adopté une loi interdisant la fabrication et la consommation de foie gras. La loi n’est entrée en vigueur qu’en 2012, n’empêchant pas plusieurs chefs de le proposer quand même et les particuliers d’en commander auprès de fournisseurs en dehors de Californie. Une longue procédure judiciaire a alors été initiée par des producteurs et restaurants pour lever cette interdiction. La loi avait été suspendue en 2015, puis remise en vigueur en 2017 mais n’était pas encore appliquée depuis.
Les associations de défense animale mettent en avant le traitement inhumain et douloureux dont font l’objet les oies, gavées pour permettre l’élargissement de leur foie, pendant le processus de production.
Un discours que contredit volontiers le restaurateur français Vincent Samarco, qui rappelle que “quand l’oie migre, elle se gave naturellement”. Plus que cela, il regrette une entrave à un pan de l’histoire gastronomique. “Le foie gras est réalisé depuis l’Egypte antique, on retrouve les recettes en hiéroglyphes dans les pyramides”, tient à rappeler le propriétaire du restaurant français Belle Vie à Brentwood, qui est “tombé des nues” en découvrant cette décision. “Je trouve ça dommage qu’on interdise des produits du terroir vieux de 3.000 ans dans un pays où l’on consomme à outrance du sirop de maïs ou de la junk food, qui provoquent des problèmes de santé importants. C’est hypocrite.”
Son établissement, ouvert depuis août 2016, proposait ce met “fait sur place” sous différentes formes à sa carte : en terrine, en tournedos rossini, ou encore dans un pot-au-feu qui devait être ajouté à la carte jeudi. “C’est un vrai produit du terroir, plus que la soupe à l’oignon ou le steak-frites. On pourrait très bien faire un recours folichon en défendant l’art de la table à la française, inscrit au patrimoine de l’Humanité, argue-t-il, mais je ne suis qu’un petit restaurateur”.
Malgré la demande, le propriétaire de Belle Vie va devoir s’en passer : “on ne peut pas se permettre de payer une amende de 1.000 dollars pour un produit que l’on vend 28 dollars.” Certains ont alors pensé à des alternatives : vendre un verre de vin à 50 dollars, et offrir gratuitement une assiette de foie gras. La (petite) résistance s’organise.
Chez Church & State à Arts District, le foie gras a disparu du menu depuis presque 7 ans. “Même si je ne suis pas végétarienne, je pense que ce n’est pas quelque chose de crucial ou d’essentiel qui mérite tant de controverse”, défend la propriétaire Yasmin Sarmadi. Avec son mari aux fourneaux, le chef Tony Esnault, ils sélectionnent avec vigilance des viandes sans antibiotiques, élevées de manière naturelle. “Dans l’Egypte ancienne, le gavage était naturel, ce n’est plus le cas.” Tony Esnault plaide pour plus de régulations, “que les canards puissent courir et se nourrir naturellement, sans recours aux antibiotiques”.
Vivez "Le retour du Jedi" avec orchestre à Washington
Voir un film avec un orchestre symphonique est à la mode. Si vous n’en avez pas encore fait l’expérience, le moment est venu.
Le National Symphony Orchestra accompagnera en live la projection du “Retour du Jedi”, sixième épisode de la saga Star Wars, du mardi 22 au jeudi 24 janvier au Kennedy Center for the Performing Arts. L’orchestre jouera la célèbre musique de John Williams. Ce volet de Star Wars clôture la trilogie initiale de George Lucas, avec un affrontement au sommet entre Darth Vador et Luke Skywalker sous les yeux de l’Empereur maléfique.
Cocktails, popcorn et snacks seront en vente sur place.
Portes-ouvertes au Rochambeau The French International School
(Article partenaire) Rochambeau French International School ouvrira ses portes au public les vendredi 11 (campus du CP-CM1 à Rollingwood) et samedi 12 janvier (campus de maternelle à Bradley). Les inscriptions ont lieu sur le site de l’école.
Ce rendez-vous permettra aux parents de découvrir les avantages d’une éducation multilingue et multiculturelle, de poser leurs questions aux différents intervenants présents, de faire une visite guidée des campus et de rencontrer l’équipe des inscriptions qui les accompagnera dans leurs démarches.
A Rochambeau French International School, les élèves de la maternelle à la terminale sont immergés dans un programme d’études français allié à un solide programme en anglais.
L’école organise aussi une conférence sur la lutte contre le harcèlement le jeudi 17 janvier à partir de 6:15pm. S’inscrire ici
Vous n’êtes pas disponible en janvier ? Retrouvez la liste complète des portes ouvertes de l’école.
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No Pants Subway Ride: San Francisco baisse le pantalon
En janvier, on tombe le pantalon à San Francisco. La traditionnelle No Pants Subway Ride reprend ses droits le dimanche 13 janvier partout aux Etats-Unis, dont dans le BART/Muni.
Le concept: les plus courageux d’entre nous sont invités à monter à bord du subway sans leurs bas. Le plus dur, c’est qu’ils doivent se comporter comme si de rien n’était. La première édition de ce drôle d’événement, initié à New York, ne comptait que… sept participants. Il s’est depuis étendu au monde entier. C’est la 11e fois qu’il se tient à San Francisco. Les participants sont invités à se réunir dans deux points de rassemblement à 1:50pm avant de se lancer à l’assault du réseau de transports.
Recyclez votre sapin de Noël avec Mulchfest à New York
Pour vous débarrasser de votre sapin, vous pouvez le laisser sur le trottoir, mais vous pouvez aussi faire un geste pour l’environnement. Tous les ans, début janvier, la Ville de New York invite les propriétaires de conifères à les recycler dans les parcs. L’opération, Mulchfest, dure jusqu’au dimanche 13 janvier.
Comment ça marche ? Il suffit de se rendre à l’un des sites participants. Certains proposent de réduire votre beau sapin en paillis, afin de nourrir vos propres arbres ou ceux de la ville. Pensez à retirer toutes les décorations de votre sapin avant de le déposer. Mulchfest est gratuit.