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Deux rencontres avec Zabou Breitman à San Francisco

En janvier, vous aurez l’occasion de voir et revoir Zabou Breitman. L’actrice-réalisatrice française participera à deux rencontres au Théâtre du Lycée français de San Francisco (TLF), les mardi 22 et mercredi 23 janvier.
Lors de la première (22 janvier, 6:30pm), elle parlera de son travail en cours “Les Hirondelles de Kaboul”, le film d’animation qu’elle a réalisé avec Eléa Gobbé. Cette dernière sera présente aussi. Ce dessin animé est une adaptation du roman du même nom de Yasmina Khadra. Il raconte le destin croisé de deux couples dans le Kaboul de 2001, sous le joug des talibans. C’est le premier dessin animé de “Zabou”.
Elle participera le lendemain (7pm) à une séance de questions-réponses à la suite de la projection de son film “No et Moi”, adaptation du roman de Delphine de Vigan, sur la rencontre entre une fillette précoce et une adolescente sans-abris. Le film ne sera pas sous-titré en anglais.

La start-up bretonne Klaxoon en road trip aux Etats-Unis

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A peine remise de sa participation au CES de Las Vegas, Klaxoon prend la route. La start-up bretonne organise un road trip inédit à travers les Etats-Unis. Elle fera notamment escale à San Francisco, Palo Alto, Boston, New York, Washington, Houston de janvier à mars. Le périple se terminera à Austin du 7 au 9 mars au festival SxSW Interactive.
Objectif de ce voyage: montrer aux entreprises américaines comment elles peuvent révolutionner les réunions d’équipes. Dans son “truck”, l’entreprise présentera son produit, qui vise à rendre les meetings plus efficaces et interactifs, lors d’ateliers. Fondée en 2014, Klaxoon a annoncé l’an dernier une coquette levée de fonds de 50 millions de dollars pour accélérer son développement américain.

French Morning lance sa soirée raclette géante

Ah, la bonne odeur de fromage fondu, la convivialité d’une soirée entre amis autour d’une machine à raclette… Ca vous manque? Nous aussi, alors on a décidé de mettre les petits plats dans les grands et de vous organiser la plus grande raclette party des Etats-Unis (si si, on a vérifié).
La raclette a le vent en poupe aux Etats-Unis (on vous l’a expliqué ici), c’est le moment de fêter ça. Avec nos amis d’Interval, qui fournissent le fromage, nous vous préparons un samedi soir d’après-ski sans le ski mais en plein Manhattan (Fifth and Mad, 7 E 36th Street). Musique live, ambiance chalet, charcuterie, pommes de terre et bien-sûr raclette à volonté, le tout dans une ambiance intime avec un petit millier d’amis…
La soirée commence à 6pm le samedi 19 janvier pour le premier service. Le second service est à 8:15pm. Vous aurez le choix entre deux tickets:
-General Admission: la raclette en style “buffet”. Pas de place assise réservée, mais un immense bar et des buffets pour la charcuterie et les pommes de terre. Nos maîtres fromagers feront tomber le fromage bien chaud dans vos assiettes. Les places sont à 20$ (quelques tickets à $15 en “early bird” mais faites vite).
-Places assises: à 2, 4, 6 ou 8, entre amis ou pour vous en faire de nouveaux, vous serez servis à table, réunis autour de la machine à raclette. La place est à 30$.

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Broadway Week 2019: faites le plein de comédies musicales

Vous n’êtes jamais allés voir un “musical” sur Broadway ? C’est le moment de mettre la main à poche. Broadway Week fait son retour du 21 janvier au 10 février. Le concept: profitez de deux places achetées pour le prix d’une en réservant dès maintenant.
Cette année encore, plusieurs shows participent à l’opération (et certains sont déjà complets malheureusement). À l’affiche, on trouve “Anastasia”, le légendaire “Chicago”, “King Kong”, “Kinky Boots” ou encore l’époustouflant “Fantôme de l’Opéra”. Les enfants apprécieront tout particulièrement “Frozen”, inspiré du Disney du même nom sorti en 2013.

Violette: "La musique n'est pas un miroir"

En plein cours de chant lyrique, quand elle débutait dans la chanson, Violette de Bartillat est partie dans une improvisation sur un morceau de Mozart. “Mon prof m’a dit: merci, mais Mozart savait ce qu’il faisait, rigole-t-elle. Si tu veux improviser, fais d’autres types de musiques.

Le conseil n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde. Aujourd’hui, la chanteuse, qui se fait appeler “Violette” sur scène, se passionne pour les “musiques improvisées” (jazz, gospel, R’n’b…). Avec son groupe, “La Vie en rose“, elle viendra offrir un aperçu de son univers musical au croisement de plusieurs influences françaises et américaines au public de la “Raclette Party” organisée par French Morning samedi 19 janvier au restaurant Fifth & Mad“On vit dans le moment. Le groupe ne sait jamais où il va. On fait de la composition en temps réel. C’est un état d’esprit très excitant”, dit-elle.

L’aventure musicale de cet enfant de l’île de Ré commence quand elle a 5 ans. Sa mère la met au piano. Mais son “truc”, c’est plutôt les percussions. “J’aimais l’aspect primal de la batterie. Ça m’apaisait“, glisse-t-elle. Installée à Paris, elle étudie les percussions classiques au conservatoire du VIIème arrondissement. Après un passage par la case “chant lyrique”, elle commence à explorer les musiques d’improvisation. “À 20 ans, j’étais tiraillée. J’étais en hypokhâgne. J’essayais de comprendre si je voulais faire Sciences po ou du rock“.

Un certain Didier Lockwood, un ami de la famille, l’a aidé dans sa quête. “Il m’a beaucoup soutenue à un moment où j’avais besoin de confiance, dit-elle à propos du célèbre violoniste français de jazz décédé l’an dernier. Elle fait même une année dans son école, le Centre de musiques Didier Lockwood. “Je me souviens de son charisme naturel. C’était un démocrate du jazz. il voulait partager la musique avec son audience. C’est quelque chose que j’essaie de retenir quand je travaille sur la technique. La musique n’est pas un miroir. C’est un moment de partage“.
Les Etats-Unis paraissaient la prochaine étape logique pour la jeune artiste. En 2007, elle part étudier à la célèbre Berklee College of Music à Boston, repaire de musiciens en herbe, pour se perfectionner en jazz. “Je me suis retrouvée 24h sur 24 avec des gens qui partageaient la même passion. Je n’avais plus l’impression d’être une extraterrestre. C’était libérateur“. Au terme de ses deux ans d’études, elle décide de s’installer à New York, mais multiplie les déplacements pour les concerts avec son groupe, La Vie en rose, formé à la fin de ses études avec des camarades de l’université. “On s’est créé une niche de jazz, chansons françaises et de pop. Ca a pris du temps de s’implanter. Au début, je vivais dans les bus chinois Fung Wah entre New York et Boston. J’ai un traumatisme du bus maintenant!“, plaisante-t-elle.

Entre ses concerts publics et privés, la chanteuse vient de sortir un nouvel album, “Falling Strong”, produit par Brian Bacchus, un vétéran de la musique qui a aussi travaillé sur le “Come away with me” de Norah Jones. “C‘est un beau parcours, estime-t-elle. Je ne regrette pas mes choix“.

Le foie gras est interdit en Californie, et maintenant ?

Interdit en 2012, autorisé en 2015, puis à nouveau suspendu et restauré en 2017, avant d’être prohibé en 2019. Après de multiples rebondissements, la Cour Suprême des Etats-Unis a réglé le sort du foie gras en Californie, le 7 janvier. La loi de 2004 interdisant la vente de produits “issus du gavage d’une volaille dans le but d’agrandir son foie” reste en vigueur dans le Golden State.
Malgré ce coup dur, les opposants à cette loi refusent de baisser les bras. “Nous retournons en première instance pour demander une injonction, afin de suspendre l’application de la loi”, précise Benoît Cuchet, vice-président de l’Association des éleveurs de canards et d’oies du Québec (AECOQ) qui est l’un des artisans de cette longue bataille judiciaire, avec le producteur Hudson Valley Foie Gras et du chef de Hot’s Kitchen (aujourd’hui fermé), Sean Chaney. Il précise que la Californie représente 20% des ventes de foie gras aux Etats-Unis.
Si l’injonction est rejetée -ils auront une réponse d’ici 30 jours-, ils prévoient d’autres angles d’attaque. “Après avoir attaqué un point technique du règlement de l’USDA (Département de l’Agriculture des États-Unis), du fait qu’un Etat n’a pas le droit d’imposer une loi aussi restrictive, on pourrait partir sur un angle plus constitutionnel, en défendant la libre circulation des marchandises”, ajoute-t-il, estimant que c’est un “combat important, une question de liberté”.
“On n’oblige personne à manger du foie gras, mais le mode de production est validé par les vétérinaires et les scientifiques”, ajoute-t-il, optimiste. En attendant, l’association québécoise va devoir arrêter de travailler avec “un ou deux producteurs de foie gras”. Quant à certains distributeurs californiens, qui ont encore beaucoup de stocks à écouler, ils vont les acheminer vers d’autres Etats, grâce aux relations de l’AECOQ.
Un marché noir “anecdotique”
Une situation qui n’est pas sans rappeler la précédente période de “prohibition”, en 2014, qui avait entraîné l’essor d’un marché noir de ce produit de luxe. Mais cette fois, la résistance s’annonce “minime”. Le restaurateur de Belle Vie à Los Angeles, Vincent Samarco, grand pourfendeur de ce terroir qu’il mettait volontiers au menu, va devoir s’en passer : “on ne peut pas se permettre de payer une amende de 1.000 dollars pour un produit que l’on vend 28 dollars.”
“C’est comme pour le Ricard : je n’ai pas la licence, je n’en vends pas sous le bar. Le jeu n’en vaut pas la chandelle”, confirme Laurent Vrignaud, fondateur du traiteur Moulin à Newport Beach. Entre novembre et décembre 2018, il en a fabriqué une cinquantaine de kilogrammes. “On va devoir manger les derniers pots nous-mêmes”, avoue-t-il, sans s’en plaindre. Des restaurateurs californiens ont toutefois pensé à des alternatives, comme proposer un verre de vin à 50 dollars, qui s’accompagnerait d’une assiette de foie gras offerte. La radio NPR a également relevé que les clients pourraient apporter eux-mêmes cette spécialité culinaire au restaurant et payer un supplément, équivalent au droit de bouchon déboursé par ceux qui viennent avec leur propre bouteille de vin.
Comme les Français qui achètent des cigarettes en Espagne, les Californiens peuvent aussi se procurer leur foie gras dans les Etats voisins du Nevada, de l’Oregon ou de l’Arizona. “Quelques restaurateurs de Las Vegas nous disent qu’ils ont davantage de demandes de foie gras, mais cela reste anecdotique”, explique Benoît Cuchet.
La consommation personnelle va également être compromise, regrette Ariane Daquin, à la tête de la société D’Artagnan. “Même si la loi l’autorise et que notre commerce est dans le New Jersey, nos avocats nous ont déconseillé de vendre aux particuliers en Californie car cela pourrait permettre aux membres de PETA (association de protection des animaux, ndr) de nous faire un procès”, argumente cette militante du foie gras. Pour elle, les ventes de foie gras n’ont représenté que 5% de son chiffre d’affaires de 125 millions de dollars l’an dernier. Mais elle voit plus loin : “c’est un pas vers la dictature des extrémistes vegan.”
La célèbre chef de San Francisco, Dominique Crenn, qui utilisait un peu de foie gras au bar Crenn, regrette aussi un combat injuste. “Il faudrait que PETA fasse mieux son travail: au lieu de s’attaquer uniquement aux petits producteurs de canards, on devrait aussi se pencher sur ce qui se passe dans la production industrielle de poulets et de porcs.”

"Les Misérables" dressent les barricades à Miami

Les tickets partent comme des petits pains. Après Broadway, la comédie-musicale star “Les Misérables” arrive à l’Adrienne Arscht Center du mardi 5 au dimanche 10 février. N’attendez pas pour prendre votre place.
Retrouvez Cosette, Gavroche, Fantine, Jean Valjean et tous les autres personnages de ce show écrit par les Français Alain Boublil et Claude-Michel Schönberg, inspiré du célèbre roman de Victor Hugo. “Les Mis” ne serait pas la comédie-musicale la plus populaire de l’Histoire sans ses magnifiques chants, à commencer par “I dreamed a dream”. Il a été vu par plus de 70 millions de personnes dans 44 pays.

Mirabelle, la nouvelle aventure gourmande de Georges Berger à Miami

Après les gâteaux, le bistrot. Meilleur ouvrier de France, le chef pâtissier Georges Berger, qui a fondé Chocolate Fashion il y a 18 ans à Miami, a ouvert les portes de Mirabelle, son premier restaurant dans le centre-ville de la mégalopole floridienne.
À 68 ans, le chef pâtissier autodidacte n’a pas étanché sa soif d’apprendre. « Cela m’ennuierait d’être aujourd’hui à la retraite et de rester assis dans mon canapé à regarder un match de football », plaisante Georges Berger qui, avant de poser ses valises en Floride, a parcouru le monde en visitant des pays comme la Chine, l’Égypte, l’Angleterre ou encore la Suisse afin de perfectionner ses connaissances et l’art de la pâtisserie.
Installé depuis plus de vingt ans à Miami, le Français se lance aujourd’hui dans un nouveau challenge. « Ouvrir une autre pâtisserie n’aurait pas eu de sens, il fallait un véritable changement, souligne-t-il. Et comme j’ai toujours aimé cuisiner et que les saveurs et les sauces me passionnent, j’ai souhaité l’exprimer au grand jour ».
Le menu, élaboré par le chef français lui-même, regorge de plats savoureux d’inspiration française : des coquilles Saint-jacques, du foie gras, mais aussi de recettes lyonnaises comme la soupe à l’oignon ou encore le filet de truite sauce Nantua accompagné de ses quenelles. « Il s’agit d’une cuisine familiale et d’un retour aux sources, précise le Lyonnais d’origine. Je réalise des recettes dans la pure tradition mais de façon moderne tout en insistant sur le goût et la simplicité car on finit par s’y perdre quand il y a trop de mélanges ». 
Avec ce nouvel établissement, le chef français souhaite par ailleurs dévoiler une autre facette de sa personnalité. En adoptant le nom Mirabelle, tout d’abord, Georges Berger fait un clin d’oeil à son enfance. « À l’époque, on me surnommait kiki la prune car je passais la plupart de mon temps à en manger de grandes quantités dans le jardin de mes grands-parents », avoue-t-il avec humour. Et côté décoration, c’est Georges Berger qui a également officié. Peintre à ses heures perdues, le chef a réalisé l’ensemble des tableaux qui tapissent les murs de son restaurant. « J’espère ainsi pouvoir faire voyager ma clientèle dans mon univers ».
Les projets ne s’arrêtent pas là pour ce chef qui fourmille d’idées. Il souhaiterait développer sa propre marque « By Georges B. ». « L’idée est de décliner ma cuisine et mes spécialités dans différents lieux comme les aéroports par exemple, indique-t-il. Je me donne six mois avant d’ouvrir un nouvel établissement aux États-Unis et pourquoi pas dans les Caraïbes car, il faut bien l’avouer, je veux continuer à exercer ma profession tout en profitant de la plage et du soleil ».

Grand Débat National: les Français de l'étranger pourront participer. Voici comment.

Emmanuel Macron l’a mentionné dans sa récente “Lettre aux Français”: les Français de l’étranger pourront participer au Grand débat national, une discussion citoyenne à l’échelle du pays qu’il a formellement lancée mardi 15 janvier en réponse au mouvement des Gilets jaunes.
Selon le bureau du député des Français d’Amérique du Nord Roland Lescure, les Français hors de France (“élus, associations des Français de l’étranger ou citoyens“) pourront prendre l’initiative d’organiser des “ateliers citoyens” locaux en se connectant sur le site du Grand Débat National (entrer les codes postaux 00000 ou 99999). Ils pourront alors bénéficier d’un kit de ressources pour mener les discussions sur les quatre thèmes au programme: fiscalité et dépenses publiques, organisation des services publics, transition écologique, démocratie et citoyenneté.
Les organisateurs pourront contacter leur consulat ou ambassade pour trouver une salle. Consigne a été donnée aux chefs de postes consulaires et diplomatiques sollicités de mettre à disposition gratuitement des salles “à l’intérieur des locaux diplomatique et consulaires, des instituts culturels ou des établissements scolaires français sous réserve que des garanties de sécurité suffisantes soient apportées par les organisateurs“, selon l’équipe de Roland Lescure.
Ce dernier a annoncé dans une vidéo diffusée auprès des électeurs de sa circonscription (Etats-Unis et Canada) qu’il assistera à un atelier le 25 janvier lors de son déplacement à San Francisco (au cours duquel il participera aussi à une séance de questions-réponses, le 26 janvier, sur Facebook live).
Les Français de l’étranger pourront également poster leur contribution sur une plateforme qui sera accessible à partir du 21 janvier.
Pour répondre aux questions des Français de l’étranger, un numéro a été mis en place : +33 1 82 71 03 39. Des conseillers seront disponibles du lundi au samedi, de 8h à 22 h (heure française).

Matinée portes-ouvertes à l’École Franco-Américaine de Sunnyvale

(Article partenaire) L’École Franco-Américaine de la Silicon Valley organise une matinée portes-ouvertes le samedi 26 janvier, à partir de 10am sur son campus de Sunnyvale.
Ce jour-là, les enfants auront l’occasion de s’amuser, de rencontrer d’autres enfants et de se divertir à travers des activités ludiques et créatives.
« C’est toujours une matinée très conviviale, indique Pierre-Ludovic Perrot, le directeur de l’école, elle permet à nos futures familles de découvrir nos locaux et d’interagir avec nos enseignants et les parents de l’école. »
Cette matinée est aussi une excellente occasion de découvrir le programme d’immersion bilingue offert par l’école. Celle-ci a en effet la particularité de proposer un modèle unique dans la Baie puisque les enseignements se font à 50% en français et à 50% en anglais, et ce dès l’âge de 2 ans et de demi.
L’école, qui vient juste de fêter ses 25 ans, est homologuée par le Ministère de l’Éducation Nationale et accréditée par la California Association of Independent Schools.
Plus d’informations sur www.fassv.org
Inscrivez-vous à la matinée portes ouvertes ici.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Le film de la pièce "Cyrano de Bergerac" projeté à Los Angeles

Récompensée par six Molières, la pièce Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand, interprétée par la Comédie-Française, traverse les frontières. Grâce à Pathé Live, le film sera projeté le 23 janvier à 7 pm sur trois écrans géants à Los Angeles : LA Live 14, AMC Citywalk et AMC Burbank 16.
Les spectateurs découvriront donc l’histoire de Cyrano, cet homme doué pour les mots mais affligé d’un nez proéminent. Il aide le beau Christian à conquérir Roxane. Également amoureux de la jeune fille, il choisit de lui cacher que chaque parole de Christian sort en fait de son propre coeur. Le célèbre texte d’Edmond Rostand est mis en scène par Denis Podalydès et sublimé par les costumes de Christian Lacroix.
C’est la première fois que la pièce de théâtre française est diffusée dans tous les Etats-Unis avec plus de 300 projections prévues en janvier.

À Rochambeau, la diversité est dans l'ADN

(Article partenaire) Située à Washington DC, Rochambeau The French international School prône la diversité au sein de son établissement. Ses élèves représentent plus de 80 nationalités et différents horizons culturels, linguistiques et socio-économiques.
Cette extraordinaire diversité est une richesse dont nous sommes fiers !, affirme Catherine Lévy, proviseure de l’école Rochambeau. Nos élèves comprennent dès leur plus jeune âge que la différence et la diversité sont, à l’école comme dans le monde, sources de découverte et d’enrichissement personnel.
Cette école internationale est également une porte d’entrée vers les meilleures universités et grandes écoles francophones et anglophones du monde entier.
Voici ce qu’en disent les élèves:

  • Cadence Thakur, élève de terminale:

« Je suis une élève “Rochambeau Forever”! Actuellement en Terminale, je suis à Rochambeau depuis la Grande Section et c’est ici que j’ai rencontré mes meilleurs amis. Au-delà d’une éducation exceptionnelle, Rochambeau m’a offert un environnement inclusif et multiculturel, correspondant à sa mission d’élever des jeunes qui chercheront un monde respectant la diversité pendant toute leur vie. Dans l’enceinte de l’école, je vois cette diversité non seulement dans les langues et nationalités des élèves qui fréquentent les couloirs mais aussi dans moi-même.
Tout le monde est au moins bilingue et suit deux cours de langues autres que le français. Ma mère étant américaine et juive et mon père hindu, je parle maintenant quatre langues. L’anglais et l’hindi, ça vient de mes parents. Mais la maîtrise du français et de l’espagnol, c’est grâce à Rochambeau. C’est une école véritablement incomparable, qui permet de créer et de maintenir des liens sociaux et culturels avec des camarades dans une communauté internationale même après qu’ils aient quitté l’école. Pendant les 13 dernières années, j’ai grandi à Rochambeau, appris à m’exprimer, à socialiser, apprécier la diversité autour de moi…j’ai appris à être une citoyenne du monde. »

  • Paul Heysch de la Borde, élève de terminale:

« Mon experience à Rochambeau a été transformatrice. J’étais à Rochambeau entre la Grande Section et le CM1, puis j’ai déménagé des Etats-Unis, et je suis ensuite revenu aux Etats-Unis et à Rochambeau au début de la Seconde (10th grade). Je pense qu’un des points les plus forts de mon expérience à cette école est le fait que j’ai pu acquérir une éducation très rigoureuse aussi bien en français qu’en anglais, notamment grâce à l’OIB (Option Internationale du Baccalauréat). Ceci me permettra, dans le futur, d’être parfaitement performant dans un environnement de travail anglophone aussi bien que français.
De plus, le temps que j’ai passé à Rochambeau m’a permis de rencontrer toutes sortes de personnes, de tous les continents et nationalités, avec des perspectives et des buts différents. Cette grande diversité se voit notamment dans les choix très variés de mes camarades quant aux lieux de leurs études supérieures: certains se voient aux US, d’autres au Canada, en France, au Royaume-Uni, ou encore dans d’autres pays à travers le monde. C’est grâce à l’éducation tellement multiculturelle de Rochambeau que nous avons tous autant de portes ouvertes devant nous.
Dernièrement, j’apprécie beaucoup l’environnement scolaire et l’ambiance de Rochambeau, surtout au lycée, quand nous faisons face aux examens et aux candidatures aux universités. Nous sommes dans des classes relativement petites, et il règne par dessus tout un esprit de collaboration et non de compétition entre les élèves. Nous nous aidons l’un et l’autre, et je pense que ceci rend notre expérience bien meilleure et aide au succès de chaque élève. »

  • Santiago Heitner, élève en terminale :

« Comme étudiant à Rochambeau depuis 2011, j’ai pu voir comment l’école peut s’adapter pour venir en aide à tous. J’ai pu atteindre un très haut niveau de français et une compréhension de la culture française, même sans avoir des parents francophones. Ils m’ont aussi aidé en fournissant un programme anglophone excellent pour maintenir et complémenter mon niveau d’anglais. À Rochambeau est toujours prêt à faire des petits changements pour s’améliorer, comme l’addition des programmes de “AP preparation” et des cours d’espagnol natif. Mon temps à Rochambeau m’a apporté énormément de leçons et d’expériences qui m’ont préparé pour tout ce que je pourrais affronter dans le futur. »
Rochambeau est une école homologuée par le Ministère de l’Education Nationale et conventionnée avec l’Agence pour l’Enseignement Français à l’Étranger. L’établissement accueille des enfants de la Toute Petite Section de maternelle (2 ans) à la terminale.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.