L’association Street Art For Mankind (SAM), qui lutte au travers du street art contre le trafic d’enfants, organise deux évènements à New York.
Le dimanche 4 novembre, direction Larchmont dans le Westchester. Cette ville prisée des Français possède une riche histoire héritée des féministes, artistes et abolitionnistes. A l’aide de l’art de rue et de réalité augmentée, SAM plonge dans cette histoire méconnue. Trois français, parmi d’autres artistes, réaliseront des fresques murales. Elles seront dévoilées lors d’une cérémonie en présence du maire dès 2pm au parking de la station Metro-North.
Du lundi 12 au dimanche 25 novembre, plongez dans l’univers de Jumanji dans une exposition multi-sensorielle et interactive. Aux Nations Unies, l’exposition UN-JI plongera le visiteur dans une mission pour retrouver son identité et son histoire grâce à des indices sensoriels semés le long d’un parcours. Au cours de l’exposition, plus de 30 toiles de street art en grand format réalisées par dix-sept artistes sur le thème de l’esclavagisme infantile seront à découvrir.
Lancé par le couple de Français Audrey et Thibault Decker, Street Art For Mankind rassemble des artistes de rue du monde entier pour sensibiliser le monde sur la question de l’esclavage des enfants. Les fonds sont reversés à des campagnes de sensibilisation et à des actions de sauvetage.
À Larchmont et l'ONU, du street art pour la bonne cause
Houston Accueil fête ses 40 ans
Quarante ans, ça se fête. Houston Accueil l’a bien compris. L’association d’accueil des nouveaux arrivants francophones soufflera les bougies lors d’une grande fête le vendredi 25 janvier au Crystal Ballroom au Rice Hotel. Les tickets sont en vente depuis le jeudi 1er novembre.
Le thème: les “Roaring Twenties”. Les convives sont invités à sortir plumes, gilets, moustaches et fume-cigarettes et autres accessoires qui sentent bon les années 20. Un “casino” avec plusieurs jeux sera monté pour la soirée, qui comprendra aussi un cocktail, un dîner et le passage obligé sur la piste de danse (foxtrot de préférence).
Les non-membres qui souhaitent participer à l’événement doivent contacter Domitille McCulloch via le formulaire sur le site de l’association (en haut à droite de la page).
Jane Fonda, une star engagée au gala du FIAF à New York
Jane Fonda n’est pas une célébrité qui reste silencieuse. Connue pour ses engagements féministes et pacifistes, l’actrice se mobilise en ce moment pour encourager la participation des jeunes Américains aux élections de mi-mandat du 6 novembre dans le cadre de la campagne de l’ex-Première Dame Michelle Obama “When we all vote”.
Le lundi 12 novembre, la francophile sera récompensée du Trophée des Arts lors du gala du French Institute Alliance Française (FIAF) pour son travail avec la France. L’actrice aux deux Oscars et quatre Golden Globes est notamment apparue dans les films de Roger Vadim (qui était aussi son mari) et Jean-Luc Godard et continue d’être distinguée en France, où elle a reçu un Prix Lumière en octobre. Comme récipiendaire du Trophée des Arts, elle succède à d’autres personnalités du monde culturel qui incarnent l’amitié franco-américaine comme Alain Ducasse, Marc Jacobs ou encore Angélique Kidjo.
Elle ne sera pas la seule “star” de la soirée. Comme il est de tradition, une personnalité du monde des affaires sera également distinguée. Cette année, il s’agit de Sébastien Bazin, PDG de la chaine hôtelière AccorHotels.
Un monument pour les Afro-américains de la Grande Guerre à Houston
En 1917, des milliers de soldats afro-américains s’engageaient pour l’Amérique dans la première guerre mondiale. Les Etats-Unis les ont longtemps oubliés. Mais le 10 novembre, la veille du centenaire de l’armistice, un monument aux soldats afro-américains de la première guerre sera inauguré à Houston. Un hommage rendu possible grâce à l’initiative d’une Française, Pulchérie Gueneau.
Le maire de Houston Sylvester Turner, la représentante d’Etat Sheila Jackson, le consul général de France Alexis Andrès, les “French Veterans of Texas” ainsi que de nombreux vétérans américains et français du Texas seront présents. Les classes de CM1 d’Awty International School chanteront la Marseillaise et la chanteuse Adriene Bible l’hymne américain.
“Il y a 100 ans, les soldats afro-américains se battaient en uniforme français dans la boue des tranchées, aux côtés de nos grands-pères!, rappelle-t-elle. Son père, fils de Poilu, est bénévole pour une association française labellisée Mission Centenaire 14-18. L’année dernière, il lui a demandé de faire quelques recherches sur l’histoire de Houston dans la Grande Guerre, pour documenter une exposition sur l’arrivée des Américains dans les tranchées françaises en septembre 1918. Elle visite le Buffalo Soldier National Museum, où elle fait la rencontre du capitaine Matthews, fondateur du musée, et de la professeure d’histoire Angela Holder. “Ils m’ont beaucoup appris“.
Plus de 367.000 soldats noirs ont servi sous les drapeaux en 1917-1918, et 200.000 d’entre eux ont été envoyés en France. A l’époque, la société américaine est ségréguée. Le commandement américain, craignant des altercations interraciales dans les rangs, décide de transférer les “colored troops” sous commandement et uniforme français. Ils se feront remarquer pour leur courage à toute épreuve. “Les soldats afro-américains les plus connus sont les “Harlem Hellfighters”, qui venaient surtout des environs de New York, comme leur nom l’indique. Mais on connaît au moins un Harlem Hellfighter texan : le soldat Willie Smalley, dont la tombe a été retrouvée par l’historien Brandon Young à Odessa, Texas.”
Les soldats afro-américains furent amplement décorés et ont plusieurs monuments à leur mémoire en France, mais ils ne reçurent pas les mêmes honneurs à leur retour sur leur terre natale. En pleine ségrégation, ils furent même exclus des défilés de victoire. Puis le temps a passé, le souvenir de la Grande Guerre s’est estompé et a été effacé dans les esprits américains par les guerres suivantes.
Pour marquer le centenaire de la Grande Guerre, la “US WWI Centennial Commission” finançait en partie la restauration de 100 monuments aux morts dans 100 villes. “Dans notre cas, Theo Mayer, le directeur du programme, a accepté que l’argent soit utilisé pour la création d’un nouveau monument.” Le capitaine Matthews, vétéran afro-américain lui-même, a immédiatement donné son accord pour que le monument soit érigé sur la propriété du musée. “Cent ans plus tard, tout le monde sentait la nécessité de donner enfin à ces soldats un témoignage de reconnaissance digne de leur sacrifice, et d’offrir à leurs familles un lieu de recueillement et d’apaisement”, confie l’ancien militaire.
4 endroits où bruncher près du marathon de New York
Alors que certain(e)s vont suer toutes les gouttes de leur corps dimanche 6 novembre, à l’occasion du Marathon de New York, vous pratiquerez pendant ce temps une autre activité dominicale intense: le brunch. Voici quatre adresses aux abords du marathon où s’arrêter avant, pendant ou après la course.
1. Pig Beach (Gowanus)
Les amoureux du barbecue apprécieront ce restaurant-biergarten situé à tout juste deux blocs de la course, dans le quartier de Gowanus. A l’extérieur, une grande cour arborée et chauffée avec de longues tables en bois où l’on prépare les pièces de viande au “smoker”. L’établissement dispose aussi d’une grande salle intérieure, dans laquelle il affiche fièrement ses trophées de meilleur barbecue. Goûtez aux ribs, au brisket ou à l’épaule de porc fumée, délicieux tous les trois. Côté divertissement, on peut jouer au cornhole, une activité très américaine où l’on lance un sac de maïs dans des planches trouées. Pas facile avec un verre à la main. Pig Beach, 480 Union St, (718) 737-7181.
2. Karczma (Greenpoint)
On reste dans la nourriture “réconfortante” avec la cuisine polonaise typique du restaurant Karczma, situé à côté du McGuinness Boulevard où les coureurs passeront dimanche. L’endroit, chaleureux et authentique, ressemble à un chalet sorti tout droit de la campagne polonaise. Commandez leur plat de spécialités locales, le “Talerz Polskich Specjalow” (14$), qui mélange les pierogis (sorte de ravioles fourrées à la viande), les placki (galettes de pomme de terre) et la Kielbasa (saucisse au porc). Karczma, 136 Greenpoint Ave, (718) 349-1744.
3. Boqueria (Upper East Side)
Après leur passage à Greenpoint, les coureurs traverseront le Queensboro Bridge pour atterrir dans l’Upper East Side. L’occasion idéale de vous arrêter bruncher à Boqueria, un bar à tapas dans la pure tradition barcelonaise, le décor chic et moderne en plus. A la carte, des classiques très bien exécutés comme les patatas bravas, les albondigas ou la tortilla. Optez pour les délicieux churros au chocolat fondu en dessert. Boqueria, 1460 2nd Ave, (646) 845-9060.
4. Patsy’s (East Harlem)
Vous souhaitez être aux premières loges du marathon dimanche? Rendez-vous à la pizzeria Patsy’s à East Harlem. L’établissement se trouve à l’angle de First Ave et de E 118th St, soit exactement là où passeront les coureurs. L’endroit, qui ne paie pas de mine, est une institution new-yorkaise depuis près de 100 ans. On y dévore des pizzas dans le pur “style New York”, avec sa pâte fine et croustillante cuite au four à charbon. Partagez-les à plusieurs, les portions sont gargantuesques. Patsy’s, 2287 1st Avenue, (212) 534-9783.
Gagnez des places pour rire avec Gad Elmaleh à San Francisco
C’est Noël avant l’heure pour les lecteurs de French Morning. Votre site favori vous propose de gagner une paire de tickets pour assister au spectacle de la star du rire au Palace of Fine Arts le lundi 12 novembre. Pour participer au tirage au sort, il suffit de remplir le formulaire ci-dessous. Pour rappel, Gad Elmaleh sera en ville dans le cadre de son “Dream Tour”, une tournée qui l’emmènera aux quatre coins de la planète. Même si la scène -planétaire- est plus grande, l’humoriste ne change pas de recette: aux Etats-Unis, il fera rire son public en anglais avec ses observations toujours fines et justes sur la société américaine, les différences culturelles et ses moments d’improvisations. Il a confié en octobre à French Morning que cette tournée refermera l’épisode “American Dream”, le spectacle qui l’a mis sur les rails américains.
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Gagnez des places pour Gad Elmaleh à Los Angeles
C’est Noël avant l’heure pour les lecteurs de French Morning. Votre site favori vous propose de gagner une paire de tickets pour assister au spectacle de la star du rire au Wilshire Ebell Theatre.
Pour participer au tirage au sort, il suffit de remplir le formulaire ci-dessous. Pour rappel, Gad Elmaleh sera en ville dans le cadre de son “Dream Tour”, une tournée mondiale qui l’emmènera aux quatre coins de la planète. Même si la scène -planétaire- est plus grande, l’humoriste ne change pas de recette: aux Etats-Unis, il fera rire son public en anglais avec ses observations toujours fines sur la société américaine, les différences culturelles franco-américaines et ses moments d’improvisations. Il a confié en octobre à French Morning que cette tournée refermera l’épisode “American Dream”, le spectacle qui l’a mis sur les rails américains.
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Samuel Loy, de J-Street à la FACC Los Angeles
L’élection de Samuel Loy à la présidence de la Chambre de commerce franco-américaine (FACC) de Los Angeles, le 23 octobre, n’a rien de surprenant. Outre le fait que l’ancien directeur exécutif de l’institution assurait déjà cette mission sans le titre, il est également l’un des acteurs – avec Romain Lefranc, Ralph Levy et l’avocate Flore Kanmacher – de la refonte “de A à Z” de la FACC en 2013.
“Elle était fermée depuis 2008. Un ami français a eu l’idée de la remonter et m’en a parlé”, se souvient le trentenaire.
A l’époque, il s’occupait de lever des fonds pour des candidats au Congrès en Californie avec le lobby pro-Israël J-Street. Après un long travail dans l’ombre pour construire le bureau et le réseau de la FACC, il occupe le poste de directeur exécutif de l’organisation d’accompagnement des entreprises de 2013 à 2017. “J’étais devenu très américain, avoue-t-il, cela me permettait de me rapprocher de mes racines.”
Son implication n’a pas cessé depuis, même si Samuel Loy s’est investi dans d’autres projets. Il y a un an et demi, il a rejoint comme directeur du développement nord-américain l’entreprise de plats cuisinés bio Karine & Jeff, un des membres de la FACC qu’il a aidé à s’installer. “J’avais besoin de changement”, lâche-t-il. Il choisit de déléguer la direction à Clarisse Berranger qui accompagne au quotidien les 150 membres et devient alors le président du bureau, un premier pas avant son élection en octobre.
Installé sur le sol américain depuis huit ans, dont sept passés à Los Angeles, Samuel Loy avoue être “fasciné par les Etats-Unis depuis l’enfance”. Quand il est recruté par J-Street, ce natif des Hauts-de-Seine accède à son rêve. Il utilisera l’expérience de “fundraising” acquise au sein de cette organisation pour développer les services et le réseau de la FACC nouvelle formule, ainsi que des collaborations avec le département du commerce de Los Angeles afin d’attirer les investisseurs étrangers.
A présent, il veut “laisser évoluer la chambre de manière naturelle”, expliquant qu’elle “est devenue le principal “hub” des entrepreneurs français qui veulent s’installer ou investir en Californie du Sud”. Et la dizaine d’employés ne chôme pas, “Los Angeles étant la deuxième plus grosse agglomération américaine et accueillant de nombreux immigrants.”
Samuel Loy veut également lever des fonds pour envoyer des membres du bureau faire la promotion de la FACC en France. Autre nouveauté : “nous proposons des études de solvabilité aux entreprises, afin de les aider à éviter l’échec”, indique le Français, pour qui la Chambre est “une entreprise privée mais qui a un rôle institutionnel, dans l’intérêt de la France”. “Il y a un défi culturel, raconte Samuel Loy. Quand on arrive aux Etats-Unis, on pense qu’on connaît le pays car on l’a toujours vu dans les séries, alors que c’est radicalement différent.” Pour le jeune président, cela se reflète dans la manière de recruter, de se vendre ou la grande timidité à lever des fonds… Autant de défis que cet alpiniste veut aider les entrepreneurs à relever.
BHL sur les planches à New York pour parler de la démocratie américaine
Il ne vient pas donner une conférence ou présenter un livre cette fois-ci. Bernard-Henri Lévy monte sur les planches, le lundi 5 novembre au Public Theater, pour présenter son one man show Looking for Europe, dans lequel il évoquera l’état de la démocratie américaine et le rôle des Etats-Unis sur la scène mondiale. Le 5 est la veille des élections de mi-mandat aux Etats-Unis, premier test électoral majeur pour Donald Trump.
Looking for Europe a initialement été écrite sous le titre Hotel Europe pour commémorer le centenaire de l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand d’Autriche, un événement qui entraina la Première guerre mondiale par le jeu des alliances. La pièce a été intégralement ré-écrite pour être adaptée au contexte américain. L’auteur-philosophe-activiste se souviendra de l’Amérique qu’il a aimée en invoquant des figures comme Barack Obama, Jackie Kennedy, Norman Mailer et Jim Harrison.
La boulangerie Alsace Bakery ferme déjà ses portes à New York
Ouvrir un restaurant ou une boulangerie à New York n’est pas une mince affaire. Noellie Hug, 35 ans, fait partie des téméraires à avoir tenté l’aventure. Cette Alsacienne, sans aucune expérience en boulangerie, avait ouvert son commerce le 4 avril dans le quartier de Times Square. French Morning avait décidé de suivre la jeune femme en vidéo à chaque étape de son projet.
Un projet qui a tourné court. Six mois après l’ouverture d’Alsace Bakery, elle a été contrainte de fermer son local à la fin du mois de septembre. “C’est un soulagement plus qu’autre chose“, confie l’Alsacienne qui revient, pour de futurs entrepreneurs, sur les raisons de cette déconfiture.
“L’emplacement du local et sa configuration n’étaient pas bons“, estime-t-elle. “Le quartier attire un flot de passants important avec la gare de Port Authority à proximité, mais ce sont majoritairement des travailleurs en transit, qui n’ont pas les moyens ni l’envie de s’arrêter régulièrement dans une boulangerie“. Si c’était à refaire, l’Alsacienne choisirait un quartier résidentiel avec une vitrine plus grande et un loyer moins cher. “Beaucoup de gens passaient tous les jours devant la boulangerie sans la remarquer”.
Au début de son aventure, Noellie Hug s’est entourée de plusieurs intermédiaires: un contractor pour la réalisation des travaux, un consultant en boulangerie et une personne responsable du recrutement et du management. “Une grosse erreur“, considère-t-elle aujourd’hui. “Je n’aurais pas pu faire pire qu’eux en me débrouillant seule. Ils voient que tu es nouvelle alors ils essaient de te faire peur, de te convaincre qu’ils savent tout, tout ça pour encaisser leur chèque”.
Noellie Hug estime avoir également vécu “un enfer” avec le recrutement. “Dans la restauration, la main d’oeuvre est rarement qualifiée et les meilleurs sont déjà pris“, explique-t-elle. “Ils font leur métier par dépit, décident de ne plus venir du jour au lendemain, il faut sans cesse recruter de nouvelles personnes parce qu’on ne peut pas compter sur ses employés“. L’Alsacienne, qui embaucherait “plutôt du personnel français” si c’était à refaire, remet aussi en question le choix de la ville. “J’ai l’impression que New York n’est plus l’eldorado qu’elle a été. La ville est moins dynamique qu’avant et tellement concurrentielle”.
Loin d’écarter toute responsabilité dans l’échec d’Alsace Bakery, Noellie Hug estime avoir commis une erreur en faisant des allers-retours entre la France et New York pendant l’ouverture. “J’aurais du rester à New York mais je devais m’occuper de mes enfants et de mon activité en France, raconte-t-elle. Si c’était à refaire, j’attendrais que mes enfants soient plus grands“.
Toujours liée à son propriétaire par un bail commercial qu’elle essaie de rompre, Noellie Hug a en revanche réussi à “revendre à très bons prix les fours, les frigos et les comptoirs”. “Ces ventes ont couvert mes dépenses donc je ne m’en sors pas trop mal pour l’instant“, explique-t-elle. A l’avenir, l’Alsacienne souhaite se recentrer sur son métier d’origine (la fabrication de machines pour l’industrie automobile) et tente actuellement de “déposer un brevet pour un projet sur lequel je ne peux rien dire pour l’instant”.
Gagnez des places pour rire avec Gad Elmaleh à Miami
C’est Noël avant l’heure pour les lecteurs de French Morning. Votre site favori vous propose de gagner une paire de tickets pour assister au spectacle de la star du rire à l’Adrienne Arscht Center le jeudi 15 novembre. Pour participer au tirage au sort, il suffit de remplir le formulaire ci-dessous. Pour rappel, Gad Elmaleh sera en ville dans le cadre de son “Dream Tour”, une tournée mondiale qui l’emmènera aux quatre coins de la planète. Même si la scène -planétaire- est plus grande, l’humoriste ne change pas de recette: aux Etats-Unis, il fera rire son public en anglais avec ses observations toujours fines et justes sur la société américaine, les différences culturelles et ses moments d’improvisations. Il a confié en octobre à French Morning que cette tournée refermera l’épisode “American Dream”, le spectacle qui l’a mis sur les rails américains.
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Discussion avec Garance Doré à Los Angeles
Quand on pense mode, on pense à Paris, Milan ou New York. Mais Los Angeles n’est pas en reste.
Garancé Doré, pionnière des blogs mode, écrivaine et fondatrice d’Atelier Doré, et Rati Levesque, responsable des ventes chez TheRealReal, parleront des évolutions du marché de la mode lors d’un Business & Drink organisé par le réseau French Founders et sponsorisé par ReMode, le 14 novembre à la boutique The RealReal de West Hollywood.
Cette rencontre clôture l’événement ReMode, qui se déroulera au sein du Los Angeles Convention Center du 13 au 14 novembre, réunissant près de 2.000 représentants de marques et 150 intervenants autour des thématiques de l’innovation, de la transformation et du développement durable.
L’événement est réservé aux membres de FrenchFounders. Les non-membres doivent faire une demande de participation.