Ce ne sont pas les Bleus… Mais les joueurs français du LA Galaxy ont tout autant besoin de leurs supporters. Le match du dimanche 23 septembre sera dédié à Romain Alessandrini et Michaël Ciani. Avec leur équipe, ils affronteront les Seattle Sounders FC au Stubhub Center. Après le match, cent fans seront autorisés à rencontrer les deux joueurs.
Pour cette nouvelle édition de la “French Heritage Night” organisée par le club, les supporters français recevront avec leur ticket spécial une écharpe “Liberté, égalité, fraternité” pour se sentir comme à la maison. Et ils pourront également déguster de bonnes crêpes, concoctées par le food truck Crêpes Bonaparte.
"French Heritage Night": les Français du LA Galaxy à l'honneur
Homebox: le garde-meuble des futurs expatriés
(Article partenaire) Vous venez de décrocher un contrat pour vous installer aux Etats-Unis. C’est l’euphorie. La perspective d’un nouveau départ. Mais vous avez un problème: beaucoup de meubles et autres objets encombrants qui devront rester en France.
Plutôt que de tout vendre, choisissez l’option “stockage”. HOMEBOX, réseau de self-stockage en France lancé en 1996, est devenu le leader sur le marché français du garde-meuble grâce à un réseau de près de 100 centres répartis sur tout le territoire.
HOMEBOX dispose d’offres de stockage spécifiques pour les particuliers qui déménagent, les étudiants qui partent à l’étranger, les actifs qui s’expatrient ou encore les entreprises, petites et grandes. Les espaces de stockage proposés vont de 2 à 50m² et sont accessibles à volonté 24h/24, 7j/7.
En complément du stockage dans ses centres, l’entreprise a lancé une solution de stockage collaboratif qui permet d’entreposer vos biens chez des particuliers (cave, garage, grenier, débarras…). HOMEBOX agit alors comme un intermédiaire entre le client et le particulier, garantissant la sécurité des paiements et en proposant une assurance couvrant les biens stockés.
Pour plus d’informations, visitez le site de Homebox
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Française, je suis mariée à un militaire américain
“Si un jour quelqu’un m’avait dit que je vivrai au Texas avec un militaire américain, je ne l’aurais pas cru”, affirme Lena Desnos. Expatriée aux Etats-Unis depuis 2011, la jeune maman de 32 ans a pourtant déjà connu trois déménagements, un déploiement de six mois et deux accouchements sur des bases militaires américaines.
Quand elle rencontre son futur mari sur une plage paradisiaque d’Exmouth dans l’ouest de l’Australie en 2012, la jeune brune ne connaît rien de la vie de militaire. “On a eu notre premier rendez-vous le 12 mars et le 19 mars 2012, nous avons officialisé notre relation. Pourtant, on se connaissait à peine”, raconte la jeune femme originaire de Loire-Atlantique. En mission pendant deux ans pour l’Air Force, son époux doit repartir aux États-Unis. Elle décide alors de le suivre.
Surnommée “The great place”, la base de Fort Hood est située à environ une heure d’Austin au Texas. Construite en 1942, elle est également la base la plus peuplée du monde, avec 65.000 habitants. C’est ici que la Française a posé ses valises en mars 2015. Elle n’est pas la seule. Valérie Inglis Alonso a, elle, quitté la Belgique pour suivre son mari, policier militaire. À peine arrivée, la jolie Belge aux yeux pétillants ne pense qu’a une seule chose : “Je suis très indépendante et j’avais besoin de travailler”, se souvient l’ancienne hôtesse de l’air qui a depuis été embauchée. La Bruxelloise ne le cache pas, les débuts ont été difficiles et angoissants. Seule à la maison avec un niveau d’anglais médiocre, elle ne sait pas comment s’intégrer. “J’ai pleuré pendant plusieurs jours ! C’était un monde nouveau”, témoigne-t-elle. “C’était confiné, j’avais l’impression d’être un oiseau en cage”, abonde Lena Desnos.
Selon la journaliste Tanya Biank, la vie de femme de militaire aux États-Unis est différente du reste de la société. “C’est plus qu’un métier, c’est une façon de vivre. Epouser un soldat représente une partie de l’identité des femmes de militaires. Elles deviennent membre d’une communauté qui possède ses propres codes”, explique l’auteur du livre Army wives : the unwritten code of a military marriage, qui a inspiré la célèbre série télévisée Army’s wive.
Valérie Inglis Alonso gagne désormais un salaire, mais ce n’est pas le cas de beaucoup d’entre elles. Selon le Département de la Défense américain, le taux de chômage des femmes de militaire est deux fois plus élevé que la moyenne nationale. Sur les réseaux sociaux, les groupes de femmes de militaires en recherche d’emplois se comptent par dizaines.
Les jeunes femmes font partie des 690.000 personnes mariées à des militaires américains. Pour autant, la plupart des conjoints étrangers sont originaires d’Allemagne, de Corée du Sud et de pays hispanophones. Si les Français sont peu nombreux à traverser l’océan pour rejoindre leur époux militaire, c’est en partie parce que l’armée américaine ne possède aucune base en France. Or, beaucoup de soldats rencontrent leur conjoint lors de leur déploiement à l’étranger.
“L’armée américaine est paternaliste”
Pour Juliette Frye, la sécurité financière proposée par l’armée américaine est rassurante. Originaire de la région parisienne, cette traductrice indépendante de 29 ans a suivi son mari américain sur la base de Fort Bliss, à El Paso, dans le sud du Texas. “Les militaires et leurs familles sont très bien pris en charge et il y a beaucoup d’avantages”, estime la Française. Elles peuvent en effet bénéficier de nombreuses promotions comme des concerts de musique gratuits, des ventes privées, ou encore des places de cinéma gratuites. Les militaires ont également accès à l’assurance santé. “Sans l’armée, la vie ici serait beaucoup plus difficile, car dans la société américaine, il n’y a pas de filet de sécurité. L’armée américaine est paternaliste”, poursuit la traductrice qui anime un groupe de lecture à El Paso.
Lena Desnos a pu profiter des soins de santé gratuits. Elle a accouché deux fois au sein d’hôpitaux militaires, à Hawaï et au Texas. “Je pense qu’avoir des enfants est plus facile en tant que militaire, tout est pris en charge gratuitement”, témoigne-t-elle.
Leur plus gros sacrifice ? “Avoir quitté ma famille dont je suis très proche” affirme Juliette Frye qui réussit à voir ses proches deux fois par an. “Je suis souvent la dernière à connaître les ennuis de santé, c’est angoissant”, affirme-t-elle. Lena Desnos relativise : “On se téléphone souvent et finalement la distance nous rapproche, car on profite plus des moments passés ensemble”.
Après plusieurs mois passés au Texas, les jeunes femmes se sont adaptées malgré les différences culturelles. Rentrer ? “Hors de question ! Je ne reviendrai pas en arrière et j’aime mon mari. Je crois qu’il faut s’adapter, sans trop réfléchir. Quand je fais la liste des choses positives, il y en a pleins !”, ajoute Valérie Inglis Alonso. Une philosophie que de nombreuses femmes de militaires américaines ont adopté en reprenant l’expression “Fleuris où tu as été planté”.
Une exposition historique sur Delacroix au Met
« Quiconque pense connaître Eugène Delacroix en sait assez pour savoir qu’on ne peut pas le connaître », sourit Ashley Miller, commissaire associé de la nouvelle exposition « Delacroix », présentée du lundi 17 septembre 2018 au dimanche 6 janvier 2019 au Metropolitan Museum of Art (Met) à New York.
En partenariat avec le musée du Louvre, qui vient de décrocher sa propre exposition de quatre mois à Paris, le Met inaugure la toute première rétrospective américaine sur l’œuvre du maître romantique, « un génie inépuisable », commente Ashley Miller, spécialiste des peintures européennes qui prépare l’exposition depuis fin 2013.
L’exposition présente près de 150 œuvres, de tableaux monumentaux à des séries de lithographies, en passant par des manuscrits de journaux intimes – facette méconnue de l’artiste star du XIXe siècle.
« On a voulu montrer que Delacroix, c’est une carrière qui dure quarante ans et dont le grand public ne connaît que les dix premières années », indique Côme Fabre, l’homologue d’Ashely Miller au musée du Louvre, venu assister au vernissage de l’exposition new-yorkaise.. Il raconte l’origine de cette présentation inédite : « On ne percevait pas forcément l’urgence de notre côté. Ce sont les Américains qui sont venus nous voir en disant : “Il n’y a jamais eu d’exposition Delacroix en Amérique du Nord, il faut absolument en faire une.” », se souvient-il.
« De notre côté, nous nous sommes rendus compte que la dernière rétrospective complète à Paris, qui embrasse l’intégralité de sa carrière sous toutes ses facettes, la peinture, le dessin, ses journaux, ses écrits etc., datait de 1963. Ça faisait cinquante-cinq ans ! », insiste le spécialiste.
Quelques peintures n’ont toutefois pas pu franchir l’Atlantique. « Il y a des œuvres tellement immenses qu’elles ne peuvent malheureusement pas prendre l’avion, des tableaux trop fragiles pour voyager et aussi des tableaux trop symboliques pour pouvoir quitter le Louvre » comme “La Liberté guidant le peuple”, note Côme Fabre.
Le Met n’est cependant pas en reste. Sur les murs sombres des salles de l’exposition, les visiteurs peuvent admirer entre autres l’iconique « Autoportrait au gilet vert », « La Mort de Sardanapale », « Les Femmes d’Alger », « Médée furieuse », « La Bataille de Nancy » ou encore « La Chasse aux lions ».
« Le Met bénéficie de prêts absolument exceptionnels consentis par des grands musées des beaux-arts français comme celui de Lille, de Bordeaux, de Montpellier, de Nantes, par la mairie de Paris aussi…, énumère Côme Fabre. Ils avaient conscience que cette première apparition de Delacroix sur la scène américaine était vraiment un événement historique ».
Claude Chabrol plonge "Au coeur du mensonge" sur TV5 Monde USA
Une jeune commissaire enquête sur le meurtre d’une fillette de 10 ans, retrouvée violée et étranglée en Bretagne. Toutes les suspicions se portent sur son professeur d’art, un peintre dépressif appelé René joué par Jacques Gamblin. Sa vie va être changée par les rumeurs qui bruisse dans le petit village où il vit et tout le monde se connait. Une seconde mort va venir brouiller un peu plus les pistes.
Ce film de Claude Chabrol, avec Sandrine Bonnaire, Valéria Bruni-Tedeschi et Antoine de Caunes, sera diffusé le jeudi 27 septembre à 8:30pm EDT / 5:30pm PDT sur la chaine francophone TV5 Monde USA. Le film est sorti en 1999.
Pour plus d’informations sur l’abonnement à TV5 Monde USA, c’est ici
La High Line, c'est fini. Bienvenue Domino Park
Si vous êtes complètement passés à côté de l’inauguration de Domino Park en juin, rassurez-vous, vous allez pouvoir suivre pas à pas – c’est le cas de le dire – l’évolution de ce projet pharaonique sur l’East River, qui devrait durer encore quelques années…
C’est le cabinet James Corner Field Operations, designer de la High Line, qui a conçu ce parc paysagé de 2 hectares pour aménager les quais de l’emblématique Domino Sugar Refinery. Le bâtiment central, les docks et les entrepôts datent de 1882 et furent durant près d’un siècle, le siège de la plus grande raffinerie de sucre au monde.
Autour de la nouvelle promenade, les espaces de détente se succèdent mais ne se ressemblent pas.
Ici, on joue au Beach Volley, là on s’initie au bocce, la pétanque italienne. Plus loin encore, on se rafraîchit sous une brumisation colorée, ambiance boule à facettes. Bref, un complexe industriel réhabilité avec des pelouses, des aires de jeux, des projecteurs, des tacos, des toasts-avocats, un skate park… On est bien à Brooklyn!
Et on en redemande. On se pose, on flâne, on redécouvre les vestiges du passé glorieux de l’American Sugar Refining Company et on investit le nez en l’air, ce quartier qui se transforme jour après jour.
On finit la balade dans le potager de North Brooklyn Farms pour une piqûre de rappel écologique au milieu de ces buildings de luxe. Silence, ça pousse…
Un petit creux ?
On s’échappe pour commander un café to-go chez Devocion à siroter sur la passerelle de Domino Park, sous les grues, face à la vue. À l’heure du déjeuner, on skippe le Taco Cina bondé pour un lunch en terrasse chez Aurora.
Le soir, les fins gourmets pourront réserver une table dans le jardin d’Aska, un restaurant scandinave à se damner. Idéal pour une soirée à la belle étoile (Aska en a même deux chez Michelin!)
Air France va lancer des vols directs Paris-Dallas en mars
La compagnie aérienne française a annoncé le 13 septembre l’ouverture d’une ligne directe entre les aéroports de Paris-Charles de Gaulle et Dallas-Fort Worth au Texas.
Air France proposera jusqu’à cinq vols hebdomadaires à partir du 31 mars 2019 et pour toute la saison d’été 2019. Ce nouvel itinéraire sera assuré par un Airbus A330 de 224 sièges. Dallas est la 13ème destination américaine desservie par la compagnie aérienne française au départ de Paris, et la deuxième au Texas après Houston.
“Dallas est la quatrième zone urbaine des Etats-Unis. Surnommée « Big D », elle abrite l’un des plus grands noyaux industriel du pays. (…) Côté tourisme et découverte, Dallas n’est pas qu’une série télévisée. C’est aussi le véritable fief des cow-boys où ranchs et rodéos rythment la région”, explique Air France dans un communiqué.
Florence: l'opération "Solidarité hébergement" entre Français relancée
Mise en place durant pour venir en aide aux Français affectés par l’ouragan Irma l’an dernier, l’opération “Solidarité hébergement” a été réactivée pour le passage de Florence. Le principe: offrir un hébergement temporaire pour les déplacés et les sinistrés.
Cette initiative lancée par l’élue consulaire d’Atlanta Elisabeth Marchal est soutenue par le consulat d’Atlanta, dont dépendent les Carolines et la Virginie, des Etats qui seront affectés par les vents et les inondations causées par l’ouragan.
Les Français qui sont en mesure de proposer une solution d’hébergement provisoire et ceux qui en ont besoin sont priés de contacter les personnes suivantes:
– Elisabeth MARCHAL,
-Pour la Caroline du Sud : Nicolas BRINDEL
-Pour la Caroline du Nord : Marie-Claire RIBEILL
Guide Michelin 2019 pour Washington: enfin un "trois étoiles"
Il aura fallu attendre trois ans mais la région de Washington a finalement son premier restaurant trois étoiles: le Inn at Little Washington.
Les inspecteurs du Guide Michelin ont offert un joli cadeau d’anniversaire au chef Patrick O’Connell qui célèbre cette année les quatre décennies qu’il a passées à transformer la petite ville champêtre de Washington (Virginie) en véritable destination culinaire.
Situé à plus d’une heure et demie de Washington, D.C., le “Inn” est d’ailleurs toujours le seul restaurant de la sélection en dehors de la capitale même, les inspecteurs préférant visiblement ne pas trop utiliser leurs pneus Michelin pour visiter les banlieues de Virginie et du Maryland.
Comme pour les palmarès précédents, il n’y a aucune femme ou chef français primé cette année.
Trois étoiles:
Inn at Little Washington
Deux étoiles:
Minibar
Pineapple & Pearls
Une étoile:
Bresca
Rose’s Luxury
The Dabney
Blue Duck Tavern
Kinship
Plume
Tail Up Goat
Masseria
Fiola
Sushi Taro
Métier
Komi
Siren
Ces restaurants s’ajoutent aux trente-neuf établissements figurant sur la liste des Bib Gourmand, annoncée le 6 septembre. Ces distinctions récompensent des adresses plus abordables et décontractées que les étoiles.
Si la liste des restaurants étoilés ne présente que deux nouveaux venus, Bresca et Siren, les Bib Gourmand font un bond considérable. Dix neuf nouveaux restaurants se rajoutent à la liste et deux, 2 Amy’s et Boqueria, en sortent. Ces restaurants présentent une plus grande diversité que les établissements étoilés, avec de la cuisine de Georgie (Maydan et Supra), Ethiopie (Chercher, Das Ethiopie), Israel (Sababa), Afghanistan (Lapis), Laos (Thip Khao), Philippines (Bad Saint) ou le Mexique (Oyamel). On y trouve même un chef français: David Deshaies de Unconventional Diner. L’ensemble de la liste des restaurants étoilés de Washington, D.C. est disponible ici. Le guide sera en vente à partir du 17 septembre.
Estelle Tracy, la dompteuse des supermarchés américains
Il y a des livres culinaires qui s’empilent d’année en année, parce qu’on ne pense jamais à les utiliser. Cet ouvrage-là, lui, ne prendra pas la poussière. Estelle Tracy a lancé le 12 septembre la nouvelle édition de son Guide de survie alimentaire aux États-Unis, véritable sésame pour comprendre le supermarché américain.
Cette édition se veut plus complète que la première version. « Mon but, en faisant ce guide, était de donner des clés aux lecteurs. Je souhaitais qu’ils comprennent leur écosystème en se rendant au supermarché. J’ai cependant remarqué qu’ils auraient préféré trouver dans mon ouvrage des prises de position plus nettes. Dans ce nouveau guide, je donne des indications plus précises en disant que telle farine en France correspond davantage à telle farine aux États-Unis», explique-t-elle.
Son guide propose notamment un tableau comparatif des coupes de viande en France et aux États-Unis. Certains produits cités dans l’édition de 2015, qui n’existent plus aujourd’hui, ont été remplacés. « L’industrie agroalimentaire est très dynamique et les produits changent. Quelques parties devaient être mises à jour », confie Estelle Tracy. Deux pages de notes sont également disponibles dans la version papier du guide.
Arrivée en 2002 en Pennsylvanie, cette ingénieure décrit sa première fois dans une supérette comme une expérience chaotique. Au fil des années, celle qui a créé le blog « le Hamburger et le croissant » en 2004, apprivoise les rayons des magasins américains. Elle teste leurs produits. Estelle Tracy partage ses bons plans avec les lecteurs de son blog.
Face à l’engouement que ses articles et ses recettes rencontrent, elle décide, en 2015, de se consacrer pleinement à l’écriture. Elle sort alors son premier Guide de survie alimentaire aux États-Unis. Elle explique, entre autres, à quoi correspond la whipped cream, qui n’est pas la heavy cream et qui est aussi différente de la sour cream et du butter-milk.
Aujourd’hui, Estelle Tracy a cessé d’alimenter son blog : « J’avais fait le tour de la question. Il est plus facile de fédérer une communauté et dialoguer avec les lecteurs sur les réseaux sociaux. Je continue donc d’interagir avec eux sur mon groupe Facebook ». Cette amoureuse de chocolat continue toutefois de blogger sur le sujet, mais en anglais.
L'OM San Francisco devient fan club officiel
Plus d’un an et demi après la création de la page “OM Silicon Valley” (depuis devenu “OM San Francisco“) sur les réseaux sociaux, le fan-club a enfin franchi le seuil des 30 adhérents au programme international OM Nation, lui permettant ainsi d’être officiellement reconnu par l’Olympique de Marseille.
Pour son fondateur Arnaud Auger Sengupta, c’est l’accomplissement d’un travail de longue haleine basé sur la passion et le networking. Cette reconnaissance devrait lui ouvrir à lui et ses amis supporters bien des portes et notamment celles du Vélodrome. “Une fois atteint les 30 membres”, disait-il il y a quelques jours avant l’officialisation,“on pourra avoir accès à des places gratuites pour voir l’équipe jouer à Marseille et, pourquoi pas dans le futur, sur le sol américain.”
Plus enthousiaste que jamais, le jeune trentenaire a tenté le tout pour le tout pour obtenir ce fameux titre. Pour cela, il a pu compter sur le soutien de Jacques-Henri Eyraud, le président de l’Olympique de Marseille, avec lequel il est en contact depuis le lancement d’OM Silicon Valley. “Il était très curieux d’en savoir plus à notre sujet. Il nous a même invités à Marseille ! ” Depuis ce jour, la communauté d’OM Silicon Valley n’a fait que grandir, comptabilisant ainsi 156 abonnés sur Facebook et 1.324 followers sur Twitter.
En se lançant dans cette aventure, Arnaud Auger Sengupta n’avait qu’une idée en tête : revivre l’expérience qu’il avait connue en 2009-2010. “ En arrivant aux États-Unis, je me suis tout d’abord installé à New York. J’y ai rencontré les supporters d’OM New York avec qui j’ai vécu le match le plus incroyable de ma vie contre le PSG. C’est la dernière année où nous avons remporté le championnat. On était environ 300 Marseillais dans un bar. J’ai adoré faire partie de cette communauté, même le temps d’un match.”
Une fois installé à San Francisco, il n’était plus seulement question de participer, mais de réunir. Aujourd’hui, son club regroupe des Français en mal de leur pays, des “French lovers” locaux, mais avant tout des amoureux du ballon rond. Prochain temps fort: le 28 octobre pour le clásico OM-PSG au Golden Gate Tap Room.
Un déjeuner-dédicaces avec John Kerry à Dallas
Il a été candidat à la présidentielle, sénateur et Secrétaire d’Etat. John Kerry participera à un déjeuner-séance de dédicaces pour promouvoir son nouveau livre Every Day is Extra à l’invitation du World Affairs Council le vendredi 28 septembre à Belo Mansion. La chambre de commerce franco-américaine de Dallas en est partenaire.
Au-delà du parcours du démocrate, Every Day Is Extra est “une histoire sur la manière dont l’Amérique a surmonté les changements et les défis, et sur les citoyens ordinaires qui nous ont permis de traverser des moments difficiles”, selon un message de John Kerry sur twitter. Au fil des pages, l’ancien secrétaire d’État américain lève le voile sur les coulisses de la diplomatie américaine et sur les mécanismes du pouvoir à Washington. Il aborde également des sujets comme la proposition de paix secrète d’Assad à Netanyahou et la gestion du dossier syrien par Barack Obama.