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Naviguez avec aisance dans le marché immobilier de luxe à Los Angeles

[Article sponsorisé] Dans un marché aussi compétitif que celui de Los Angeles, il est essentiel de le comprendre et d’être accompagné pour réussir son investissement. Marc de Longeville, représentant de Sotheby’s International Realty, se positionne comme un acteur incontournable dans le domaine de l’immobilier de luxe et offre ses conseils.

Comprendre le marché local

En choisissant Los Angeles comme ville de destination, les expatriés français doivent avant tout comprendre le marché de la Cité des Anges. Cela se traduit notamment par une connaissance géographique entre les différents quartiers, leurs localisations, leurs avantages et inconvénients. En outre, il est essentiel de connaître les dynamiques liées aux quartiers. Des zones comme Beverly Hills, Bel Air et West Hollywood sont très recherchées, mais très différentes. Suivre les tendances du marché et les prix des propriétés pour mieux évaluer les opportunités est un aspect primordial. Grâce à sa capacité à comprendre le marché local tout en maintenant une perspective globale, Marc de Longeville incarne la quintessence de l’immobilier de luxe à Los Angeles.

Crédits: Marc de Longeville

S’accompagner d’un expert

Un agent immobilier spécialisé dans le luxe a une connaissance approfondie du marché et des contacts précieux. Avec son approche unique, Marc propose bien plus que la simple vente de propriétés. Il s’efforce d’offrir à ses clients une expérience personnalisée, centrée sur l’écoute et le conseil. Par exemple, il sait que chaque acheteur est différent et que chacun a des exigences spécifiques : certains cherchent des vues à couper le souffle sur l’océan, tandis que d’autres recherchent des propriétés historiques au charme unique. Qu’il s’agisse d’une villa perchée sur les collines de Malibu ou d’un penthouse moderne à Santa Monica, Marc met tout en œuvre pour trouver la perle rare.

Crédits: Marc de Longeville

Penser de façon globale

Son expertise ne s’arrête pas à la recherche de biens immobiliers ; il offre également des services de gestion pour les investisseurs et propose des conseils sur l’aménagement intérieur ou la rénovation, pour s’assurer que chaque maison réponde aux attentes les plus élevées de ses clients. De plus, il aide ses clients à naviguer dans les complexités de l’immobilier en Californie, notamment en matière de fiscalité, ce qui est particulièrement utile pour les acheteurs internationaux.

Pour contacter Marc de Longeville, rendez-vous sur son site web ou bien directement par mail.

Note : les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Brèves new-yorkaises : Le Vessel d’Hudson Yards rouvert au public

? Le Vessel, une sculpture en forme de nid d’abeille située à Hudson Yards et fermée au public après une série de suicides en 2021, rouvre ses portes ce lundi 21 octobre avec de nouveaux dispositifs de sécurité. Les niveaux supérieurs resteront cependant fermés. 

⛲️ Alors que le sort de l’Elizabeth Garden semblait définitivement scellé, les associations ont obtenu un gel de la situation jusqu’au 30 octobre. Cet espace, loué à la ville depuis les années 90 pour 4 000$ par mois, sera transformé en résidences abordables pour personnes âgées. 

?️ Vivre à New York, être jeune et voter Trump, c’est possible

? Contrairement au reste du pays, les salaires des employés les moins bien payés ont faiblement augmenté (+6%), tandis que ceux des salariés les mieux payés ont fortement progressé (+18,2%). Depuis la pandémie, les salaires moyens (entre 35 000 et 75 000$) ont diminué de 7%, tandis que les catégories supérieures ont augmenté de 38%.

?️ D’après un sondage, 48% des New-Yorkais souhaiteraient le retour de l’ancien maire Mike Bloomberg (2002-2013) si Eric Adams devait démissionner. 

⛔️ Les autorités avertissent du danger que représente la « tusi » (ou « tuci ») appelée également « cocaïne rose », mélange d’ecstasy et de cocaïne, qui provoque des amnésies et dont on a découvert l’utilisation dans le procès pour viols de Sean “Diddy” Comb. 

?️ Un concours organisé par le Reader’s Digest désigne Fort Greene, Brooklyn, comme la « nicest place in America » (l’endroit le plus sympa du pays).

⛔️  L’homme accusé d’avoir caché de la drogue dans une crèche du Bronx, et causé la mort d’un enfant âgé de un an, a été condamné à 45 ans de prison. 

? Présentation par la ville d’un vaste projet de réaménagement de la 5e avenue, entre Central Park et Bryant Park, qui élargirait considérablement les trottoirs, ajouterait des zones de repos avec la plantation de plus de 200 arbres, tout en supprimant deux des cinq voies de circulation de l’avenue.

?️ Les électeurs de New York pourront bénéficier d’un petit-déjeuner gratuit à proximité des bureaux de vote le jour du scrutin.

⛔️ Depuis le début de l’année, 163 personnes ont été arrêtées pour « surfing », cette pratique qui consiste à marcher sur le toit des wagons du métro et qui a causé la mort de plusieurs adolescents. 

?️ Ouverture d’un nouveau parc sur Pier 97, après six années de travaux et 47 millions de dollars dépensés. 

✈️ Encore un nouveau projet pour relier Paris à New York en 1h30.

Ⓜ️ Les New-Yorkais dépensent en moyenne 13 000$ par an en frais de transport (essentiellement pour leur voiture) selon un rapport de l’État de New York, ce qui reste inférieur à la moyenne nationale de 17 %. À New York même, 48 % des ménages dépendent des transports publics, contre une moyenne nationale de 4 %. Le prix d’un trajet en métro a augmenté d’environ 30% au cours des dix dernières années, mais la MTA augmentera ses tarifs de 400% en 2025.

❄️ Il ne faut pas s’attendre à de grosses chutes de neige cet hiver, si l’on en croit les prévisions météorologiques. 

? Les dix ponts les plus délabrés de l’État – qui en compte 17 000 – se trouvent à NYC. 

? Depuis les années 90, des cyclistes profitaient du Marathon pour parcourir au petit matin le trajet fermé au public. C’est désormais interdit

? Le nombre de décès par surdose à New York a diminué en 2023 pour la première fois en quatre ans. On compte 616 décès par surdose au premier trimestre 2024, le trimestre le plus bas jamais enregistré depuis 2020.

⛔️ Le nombre de crimes graves commis par des jeunes est en augmentation de 37%. 

? Saviez-vous qu’une application vous permettait de suivre le school bus qui emmène votre enfant ? Seules 19 000 familles l’utilisent sur les 145 000. Apparemment, elle ne fonctionnerait pas très bien. L’application a coûté 36 millions de dollars à la ville. 

? La « Halloween dog parade » 2024 de Tompkins Square en images

? Et pour finir, une histoire typiquement américaine dans une petite ville de l’État de NY avec un cygne capturé et mangé, une loi plutôt contraignante et une communauté prête à tout pour défendre ses gracieux volatiles.

Pierre-Antoine Raberin et Elisabeth Holder : De Paul et Ladurée à L’Ami Pierre, une affaire de goût

Pas facile de trouver le temps pour une interview quand on dirige une boulangerie prisée des cols blancs de midtown Manhattan. Sitôt la rush hour du déjeuner passée, Pierre-Antoine Raberin teste avec Fumi, une fidèle cliente d’origine japonaise, deux nouvelles recettes de salade de nouilles soba et de melon au wasabi. Le hasard des rencontres fait bien les choses : Fumi est une cheffe reconnue au Japon où elle est juge dans un show télévisé à la Top Chef. C’est le Français Lucas, le numéro deux de la boulangerie, qui testera la salade pour son déjeuner. « Est-ce que c’est assez ? Faut-il rajouter des nouilles ? », s’enquiert Pierre-Antoine Raberin. Le test est concluant, la salade fera donc, dès le lendemain, son apparition dans les présentoirs de l’Ami Pierre.

De la mode à la boulangerie

Pierre-Antoine Raberin commence sa carrière dans la mode, chez Hermès où il travaille au département cuir puis sur le travel retail en Amérique du sud. C’est là qu’il rencontre Elisabeth Holder, la fille de Francis Holder, le fondateur du groupe Paul, né à Lille dans les années 40. D’une simple boulangerie, Francis Holder a fait une chaîne à succès, Paul, qui rachètera l’enseigne de luxe Ladurée en 1993.

Contrairement à ses frères Maxime et David, Elisabeth s’est fixé trois règles qui font grincer les dents du patriarche : « ne pas travailler en famille/ne pas travailler dans l’alimentaire/ne pas travailler avec mon mari ». Elle travaille chez Celio, Et Vous, Hermès. Mais la pression familiale aura raison de ses principes, et elle rejoint finalement la holding familiale en 2004. Son conjoint Pierre-Antoine Raberin suivra un an plus tard.

Pas de passe-droit pour autant, chez Paul on ne devient pas manager sans avoir suivi une formation de boulanger. Le couple fait ses classes en cuisine pendant six mois. Sa formation de boulanger en poche, Pierre-Antoine Raberin prend la tête du développement international de Paul de 2005 à 2011. La chaîne s’est ouverte aux marchés étrangers dès les années 80, en Asie puis au Moyen-Orient. « Ouvrir des franchises de boulangerie est beaucoup plus complexe que des franchises dans la mode. Le pain et les gâteaux sont faits sur place, il faut choisir des franchisés passionnés, les former, et contrôler régulièrement la qualité de ce qu’ils produisent », explique Pierre-Antoine Raberin.  

Adapter Ladurée au marché américain

Forts de leur expérience chez Paul, Pierre-Antoine Raberin et Elisabeth Holder décident en 2011 de prendre la tête du développement de Ladurée aux États-Unis. Ils seront co-CEO de Ladurée USA : lui gèrera les finances, l’administratif et le développement, tandis qu’elle supervisera la communication, le marketing et la stratégie digitale.

Le développement international d’une marque de luxe comme Ladurée est très différente du développement d’une chaîne mass market comme Paul. « Une marque premium comme Ladurée vient avec ses propres contraintes, explique Elisabeth Holder. La maison mère refusait d’adapter la marque Ladurée au marché américain. Il a fallu batailler pour les convaincre de créer de nouveaux produits pour Halloween par exemple, ou en partenariats avec d’autres marques américaines ».

La première boutique Ladurée américaine ouvre en 2011 sur Madison avenue. Le couple est aux manettes, y compris en boutique, et il n’est pas rare de les voir au comptoir. D’autres boutiques ouvriront à Soho et à Washington DC en 2014, puis à Los Angeles et à Miami en 2017. Au final, Ladurée compte dix points de vente quand la pandémie de covid éclate en 2020. La crise sanitaire vient toucher de plein fouet Ladurée et ses concurrents. Avant que les aides de l’État ne soient mises en place, Pierre-Antoine Raberin et Elisabeth Holder mettent en place un fonds de solidarité pour leurs employés au chômage technique. L’entreprise, jusqu’alors peu digitale, offre ses macarons en ligne à partir de juillet 2020.

L’Ami Pierre, la French Fast Good

Suite à la vente de Ladurée à Lov Group de Stéphane Courbit en 2022, Pierre-Antoine Raberin commence à réfléchir à un nouveau projet. Il discute chaque semaine avec le gotha de la restauration fine made in France aux États-Unis, Daniel Boulud, Jean-Georges Vongerichten et Eric Ripert. C’est ce dernier qui l’alertera sur un emplacement laissé vacant par la faillite de Kaiser, sur la 51e rue entre la 6e et la 7e avenue.

C’est décidé, Pierre-Antoine Raberin montera donc l’Ami Pierre avec une ambition : « offrir le meilleur sandwich baguette de New York ». L’enseigne a de bonnes fées sur son berceau : Eric Ripert l’aide à confectionner le menu, le café sera sélectionné par Steven Saddoff, un passionné de café et créateur de Ground support Coffee. Et c’est Farid, de l’agence de publicité Fred & Farid, qui construit l’identité visuelle de l’Ami Pierre.

Aujourd’hui, la French Fast Good de L’Ami Pierre attire une clientèle de financiers et d’avocats. « C’est une clientèle raffinée et extrêmement généreuse », décrit l’entrepreneur. L’ambition : ouvrir d’autres antennes, d’abord dans Midtown puis dans le Financial District. Une deuxième boulangerie devrait ouvrir en 2025.

L’équipe de seize personnes, venues de France, des États-Unis mais aussi de plusieurs pays d’Afrique et d’Amérique latine, sert sandwiches, quiches, salades, soupes et gâteaux de boulangerie du lundi au samedi de 7am à 7pm (8:30am-3pm le samedi). « 80% de nos clients reviennent, et 40% viennent trois fois par semaine », analyse Pierre-Antoine Raberin. De belles métriques de succès que l’entrepreneur doit maintenant répliquer sous forme de chaîne, comme il l’a fait pour Hermès, Paul et Ladurée.

Que faire (d’un peu fou) avec son chien à New York ?

Elle est loin l’époque où Médor dormait dans sa niche et se voyait récompensé d’un os de poulet quand il avait bien protégé la maison. Aujourd’hui rien n’est trop beau, trop cher, trop fou pour les toutous. On veut le meilleur pour son meilleur ami et on dépense parfois sans compter. Selon une récente étude du site Dogster, 50% des foyers new-yorkais possèdent un animal de compagnie. Moins que la moyenne nationale. Pourtant, toujours selon cette même étude, ils dépenseraient beaucoup plus pour leurs fidèles compagnons que dans les autres États. Mieux, ils dépenseraient beaucoup plus dans les salons de toilettage que pour leurs propres soins esthétiques ! Des jouets griffés au mobilier design en passant par les produits de beauté bio, les spas et les hôtels entre copains, les chiens ont désormais droit aux mêmes plaisirs que leurs maîtres. Voire plus… De plus en plus de lieux qui leur sont dédiés ouvrent à New York.

Le bar à cookies de la boutique Zoomies. © Geraldine Bordère

Dans ce domaine, Zoomies fait figure de pionnier. Ce concept store arrangé comme un mini Bon Marché canin a été ouvert à West Village il y a plus de 20 ans par deux amies, Susan Bartholomew et la Française Angelique M. Rufty-Graux, après des carrières dans la mode pour l’une et la restauration pour l’autre. Avec un objectif : « Créer du lien entre les gens et leurs animaux de compagnie à travers la mode, la nourriture et le divertissement », explique Susan Bartholomew. Ici, les doudous griffés côtoient des peluches-animaux ou en forme de pizza, burgers et même bouteilles de champagne, les laisses multicolores s’accordent aux harnais et les snacks se déclinent dans toutes les formes et saveurs (beurre de cacahuète-myrtille, banane-bacon, foie de veau-fromage…).

Le must ? Un bar à cookies avec une vitrine qui n’a rien à envier à celles de pâtissiers traditionnels. Bref, vous l’aurez compris, chez Zoomies, votre compagnon à quatre pattes trouvera forcément son bonheur. Mais quid des autres activités un peu exclusives que vous pourriez être tenté de lui faire essayer ?

Un déjeuner au restaurant

Prenez place au Wilson, un restaurant pet-friendly qui propose un menu spécial à votre meilleur ami. Steak à 24$ ou filet de poulet grillé à 16$, le tout accompagné de petits légumes mais aussi une pupsicle, un snack glacé à base de banane et de beurre de cacahuète à 5$, Poupette trouvera forcément son bonheur.

Un parfum  de luxe

« Je suis délicat, authentique, charismatique, sensible, énigmatique, rebelle, frais, irrésistible, pur, proclame la voix. Car je ne suis pas qu’un chien. Je suis Fefé ». Une campagne signée Dolce & Gabbana qui promet à votre toutou de laisser un délicat fumet musqué dans son sillage. 109$ le flacon tout de même.

Un portrait de maître

Et pourquoi ne pas immortaliser les traits de votre boule de poils préférée ? L’artiste Ben Lenotvitz se propose de « croquer » Rex dans un style coloré et amusant. Depuis plus de 5 ans, le portraitiste new-yorkais est en résidence permanente dans la boutique Fishs Eddy à Flatiron. Très populaires, ses œuvres sont hélas limitées en nombres et il vous faudra tout de même débourser 250$ pour un petit format.

Une séance de Reiki

L’une des garderies canines les plus réputées de la ville, New York Dog Nanny propose de nombreux services « classiques » : promenades, petsitting, dressage… Plus original, l’établissement offre des traitements Reiki (une pratique japonaise ancestrale holistique) qui promettent d’apporter tranquillité et sérénité à votre chien, ou même d’aider à restaurer le système immunitaire d’un animal malade. 700$ le pack de 5 soins.

Un trajet en taxi

Un trajet pour aller chez le vétérinaire, ou pour envoyer votre toutou en vacances chez ses potes dans les Hamptons mais pas de chance, vous n’avez pas le temps de le conduire ou pire, vous n’avez pas de véhicule. Pas de souci, Petcab est là pour assurer vos arrières. Dans un véhicule parfaitement prévu à cet effet, siège et température optimale, votre animal arrivera à bon port en toute quiétude. Et sans se fatiguer les coussinets.

Ou, encore mieux, en jet privé

« Les chiens peuvent enfin voler », c’est avec ce slogan mordant que la compagnie Bark Air ouvre la page d’accueil de son site internet. Et ce n’est (hélas) pas une blague. La compagnie offre une expérience haut de gamme destinée d’abord au confort des chiens (qui ont le droit de voyager avec leurs « humains de compagnie »). La cabine est ainsi préparée dans cet objectif avec diffusions de phéromones calmantes, musique et lingettes rafraîchissantes à disposition. Une fois à bord, il leur sera servi boissons et snacks. Vols New York-Los Angeles et New York-Londres disponibles à partir de 5500$. Bientôt une liaison New York-Paris.

Et pour ne rien rater de l’actualité qui pourrait intéresser votre compagnon, on vous conseille de suivre le compte instagram @dogsofnyc, une mine d’informations et d’idées de sorties avec un agenda des meilleurs évènements pet friendly.

La French American Academy annonce l’ouverture d’un nouveau lycée à Jersey City Heights

[Article sponsorisé] Deux grandes nouvelles pour la French American Academy (FAA) qui devient le premier lycée candidat au Programme d’Éducation Intermédiaire de l’Organisation du Baccalauréat International (IB) de Jersey City et qui ouvre un nouveau campus à Jersey City Heights!

Un nouvel espace avec de nombreux atouts

En devenant le premier lycée candidat* au Programme d’Éducation Intermédiaire (PEI) de l’Organisation du Baccalauréat International (IB) de Jersey City, la French American Academy marque un jalon crucial depuis sa création en 2007. L’établissement d’enseignement bilingue annonce l’ouverture prochaine de son nouveau campus de Jersey City Heights qui accueillera à la rentrée 2025 sa première promotion de Grade 9, ainsi que ses collégiens de Grade 6 (6ème) à Grade 8 (4ème). Les demandes d’inscriptions pour Grade 9 sont dès à présent ouvertes!

Ce nouvel et vaste espace inclut un amphithéâtre, une salle de sport, un espace cuisine et cafétéria. Idéalement situé à côté de Pershing Park, le campus offre également un accès à une piscine publique, des terrains de baseball et de sport, ainsi qu’à des courts de tennis.

La nécessité d’évoluer

Après 17 années florissantes consacrées à l’éducation des plus jeunes de la Maternelle au Collège, et comptant environ 300 enfants actuellement inscrits, le campus du centre-ville de Jersey City de La FAA atteint sa capacité maximale. Sa Cheffe d’Établissement, Anne-Sophie Gueguen, témoigne de la nécessité d’évoluer pour répondre aux attentes des familles: “La FAA est au cœur d’une communauté multiculturelle et ouverte sur le monde. Depuis toujours, notre philosophie et nos pratiques pédagogiques ont attiré des familles partageant des valeurs et des exigences éducatives fortes. Nous sommes désormais prêts à élargir cette communauté avec un lycée innovant ayant le potentiel de redéfinir le paysage éducatif de Jersey City.”

La French American Academy a acquis une réputation d’excellence académique au sein d’une communauté chaleureuse et soudée, accueillant des élèves d’horizons culturels et linguistiques divers et comptant notamment environ 35% de foyers non francophones. Cet environnement unique offre aux élèves une éducation d’excellence qui allie rigueur académique, enseignement bilingue d’un large éventail de matières, et vision globale au travers d’une approche pédagogique interdisciplinaire et axée sur les projets. De ce fait, la FAA continuera à développer et s’appuyer sur ses atouts pour s’imposer comme une institution éducative pérenne.

Les familles intéressées par cette aventure passionnante sont priées de faire part rapidement de leur intérêt via cette fiche de demande de renseignements et s’inscrire aux prochaines Journées Portes Ouvertes de l’école.

Vous pouvez également contacter Eric Woodward via son mail.

*La French American Academy (FAA) est un établissement scolaire candidat au Programme d’Éducation Intermédiaire (PEI) de l’Organisation du Baccalauréat International (IB). Cet établissement est en attente d’obtention de l’appellation “École du monde de l’IB”. Cette appellation regroupe des établissements scolaires partageant une philosophie commune, un engagement à délivrer une éducation d’excellence, challengeante et internationale, que la FAA considère comme importante pour ses élèves. *Seuls les établissements autorisés par l’Organisation de l’IB peuvent offrir un de ses 4 programmes académiques: le Programme Primaire (PP), le Programme d’Éducation Intermédiaire (PEI), le Programme du Diplôme et le Programme à Orientation Professionnelle (POP). Le statut de candidat ne garantit aucunement l’obtention de l’autorisation de dispenser le programme. Pour plus d’informations sur l’IB et ses différents programmes, visitez le site www.ibo.org.

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Baromètre Expat Communication: le retour d’expatriation, les défis de la réintégration

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L’automne pointe son nez, et avec lui, la 4ème et dernière enquête du baromètre 2024 Expat Communication !

Pour clôturer le 10ème anniversaire du Baromètre Expat Communication et son « Tour de l’expatriation », nous abordons maintenant un sujet crucial : le retour d’expatriation. Après avoir exploré les raisons du départ, les apprentissages, et la vie quotidienne à l’étranger, il est temps de boucler la boucle.

Pourquoi décide-t-on de rentrer ? Quelles sont vos attentes et vos appréhensions ? Comment se passe la réintégration professionnelle et personnelle ? Quel impact l’expatriation a-t-elle eu sur votre carrière ? Comment gérer la scolarité des enfants au retour ? Et le casse-tête du logement ?

Ce sont quelques-unes des questions abordées dans cette enquête finale. Sans oublier un regard sur l’évolution de votre perception du pays d’origine et les défis de la réadaptation culturelle.

Partagez votre expérience avec nous. Vos témoignages sont essentiels pour comprendre les enjeux du retour et aider les futurs expatriés à mieux se préparer à cette transition souvent sous-estimée.

Cette enquête s’adresse spécifiquement aux expatriés déjà rentrés dans leur pays d’origine et à ceux qui préparent activement leur retour. Si vous êtes dans l’une de ces situations, votre vécu est particulièrement précieux. 

N.B. : Si vous êtes actuellement en expatriation sans projet de retour immédiat, nous vous remercions de ne pas participer à cette enquête spécifique. Vos expériences sont tout aussi importantes et ont été couvertes dans nos précédentes enquêtes du baromètre.

 Je participe    

Les réponses sont anonymes ; les résultats sont publiés et disponibles sur le site dans le mois suivant la fin de l’enquête.

Questionnaire accessible jusqu’au 30 Octobre 2024.  

C’est ça l’Amérique, ép. 6: Trump et Harris face aux crises internationales

D’ordinaire, les électeurs américains ne se soucient guère des questions de politique étrangère quand ils se rendent aux urnes. En sera-t-il autrement pour l’élection de 2024 ? Entre la guerre en Ukraine, la peur de la menace chinoise, et le conflit au Proche-Orient qui empoisonne la présidence Biden, il est impossible d’ignorer le contexte international explosif. Donald Trump en joue en arguant que les États-Unis sont au bord de « la troisième guerre mondiale ». Kamala Harris pourrait également être lâchée par la communauté arabo-américaine du Michigan, un électorat assez important pour lui faire perdre ce swing state décisif dans la course à la Maison-Blanche.

Comment les crises qui ont marqué la présidence Biden vont-elles peser sur le scrutin du 5 novembre ? Pour ce sixième épisode de C’est ça l’Amérique, Alexis Buisson, correspondant de La Croix à New York, a rencontré Jean-Marie Guéhenno, professeur à l’université Columbia et ancien secrétaire général adjoint au Département des opérations de maintien de la paix aux Nations Unies.

C’est ça l’Amérique vous propose chaque semaine de décrypter les enjeux des élections américaines de 2024 en compagnie d’un expert francophone basé aux États-Unis. C’est un podcast de La Croix, réalisé en partenariat avec French Morning et le programme Alliance-Columbia.

[Vidéo] Demande de Green Card/Citoyenneté: quels recours possibles auprès des autorités américaines

Ce webinaire présentait les différentes options d’obtention de Green Card et les critères pour obtenir la citoyenneté américaine en se focalisant sur les voies d’action, de recours ou d’appels en cas de problèmes rencontrés avec USCIS.

Nous avons insisté sur les délais anormaux de traitement de dossier et sur les voies d’action en cas de refus de la part de USCIS. Enfin, nous avons présenté les nouveaux défis rencontrés par les francophones dans leur processus d’immigration aux États-Unis, au regard de l’actualité. 

Regardez le replay ci-dessous ou directement sur Youtube.

? Avec David Lunel, esq., avocat aux États-Unis, membre du barreau de l’État de Géorgie
? Contact : [email protected]

[Vidéo] Les banques prêtent, le marché de l’immobilier locatif français redémarre pour les expatriés

Cette rentrée 2024 marque un tournant majeur pour le marché de l’immobilier locatif en France. “Jamais les ventes d’appartements et d’immeubles à but locatif n’ont été aussi dynamiques dans notre agence.” explique William Demoustier, fondateur d’Expat Immo. “Avec la réouverture des crédits bancaires, de nombreux expatriés en ont profité pour investir.”

Lors de ce webinaire, William vous a présenté les opportunités à saisir pour les investisseurs résidant à l’étranger. Il a partagé les meilleurs plans en France, mettra en lumière les pièges à éviter, et offrira une perspective éclairée sur le crédit immobilier en France pour les expatriés.

Retrouvez le replay ci-dessous ou sur Youtube

Contact : ? [email protected] – ? +33 7 86 53 96 96. Plus d’informations sur le site internet : https://expat-immo.com/

Ruquier, Lellouche et Laura Laune au premier festival d’humour francophone à San Francisco

Films, stand up, théâtre, spectacle de danse, one woman show… L’organisation PIAFF (Promotion internationale d’Artistes Français et Francophones) organise le premier festival d’humour francophone à San Francisco, du vendredi 1er au mardi 5 novembre prochain. « J’avais envie d’organiser un tel événement depuis longtemps », explique Anne-Lorraine Bahi, fondatrice de PIAFF et organisatrice du festival. « C’est un heureux concours de circonstances qui l’a vu naître, avec comme point de départ la tournée de la comédienne Laura Laune. Un producteur de cinéma m’a également vanté le film « L’heureuse élue » avec Camille Lellouche, puis Laurent Ruquier me parle de la pièce « La Joconde parle enfin » qu’il a écrite, et le programme s’est mis en place au fur et à mesure. » À cette programmation sont venus s’ajouter la comédie chorégraphique de Régis Truchy « Eccentric », et le spectacle « Clarafication » de l’humoriste Clara Bijl, la locale de l’étape.

Anne-Lorraine Bahi a notamment déjà produit Kev Adams, Anne Roumanoff ou encore Gad Elmaleh aux États-Unis. Un pied sur chaque continent, elle court les salles de spectacle et de projection à Paris pour sélectionner les artistes et les spectacles qu’elle souhaite produire aux États-Unis. Le festival d’humour ne déroge pas à la règle : chaque programmation a fait l’objet d’une sélection rigoureuse de la part de la créatrice de la PIAFF. Anne-Lorraine Bahi avait ainsi découvert Laura Laune lors de son premier spectacle, mais la crise sanitaire avait empêché la venue de la comédienne aux États-Unis. Ce n’était que partie remise et la voici en tournée pour cinq dates, dont le samedi 2 novembre à San Francisco (billets). « Produite par Jeremy Ferrari, Laura Laune est sans filtre. Elle a beaucoup de choses à dire, et sa plume est très acerbe. Elle n’hésite pas à parler de son autisme, ce qui est un formidable message d’espoir et d’inclusion. »

Le registre est complètement différent avec le spectacle de Régis Truchy « Eccentric », présenté le dimanche 3 novembre à 5:30pm (billets). Danseur de hip hop aux côtés de Pina Bausch et MC Solaar, ancien du Cirque du Soleil, chorégraphe et metteur en scène, Régis Truchy a plus d’une corde à son arc. « J’ai eu un gros coup de cœur pour ce pantin désarticulé, qui mélange le mime, la danse et les imitations. Le spectacle plaira même aux plus jeunes, car il est joué sans paroles. Tout se passe dans les gestes. »

Amie de longue date de Laurent Ruquier, Anne-Lorraine Bahi ne peut que se réjouir d’accueillir « La Joconde parle enfin », la dernière pièce écrite par le présentateur des « Grosses têtes ». Ce spectacle sera présenté le vendredi 1er novembre à 7:30pm (billets). Un visage et un sourire connu dans le monde entier, mais sans qu’on connaisse vraiment les détails de sa vie. Mona Lisa y décrit son existence, sa rencontre avec Léonard de Vinci et François 1er, de manière hilarante. Karina Marimon incarne une Joconde qui n’a pas sa langue dans sa poche, et qui sait même chanter. « La comédienne est absolument formidable, et le spectacle génialissime, résume Anne-Lorraine Bahi. On en ressort presque étonné d’avoir appris tant de choses qu’on ne savait pas sur la Joconde. »

Comme un pied de nez au reste de la programmation, Clara Bijl, humoriste francophone, se produira le dimanche 3 novembre (billets) en anglais pour interpréter son nouveau spectacle, « Clarafication ». Installée aux Etats-Unis depuis presque trente ans, elle y a attrapé le virus du stand up. « Elle a fait la première partie de Gad Elmaleh à la Nouvelle Orléans, et de Patrick Timsit à Los Angeles. C’est une bosseuse, et j’aime beaucoup son humour. Ce festival est une excellente occasion de mettre en valeur une humoriste française locale, qui joue en anglais…»

Enfin, la comédienne Camille Lellouche sera présente lors de la projection du film « L’heureuse élue » de Franck Bellocq (billets) le lundi 4 novembre au Vogue Theater de San Francisco et le mardi 5 novembre à l’Aquarius de Palo Alto. Dans ce film, l’actrice, humoriste et chanteuse parisienne de 38 ans incarne une chauffeuse de taxi au caractère bien trempé qui accepte de se faire passer pour la fiancée d’un riche héritier – interprété par Lionel Erdogan – le temps d’un séjour en famille au Maroc. « C’est un vrai feel good movie, avec juste la bonne dose d’humour, et des comédiens excellents. La fin est surprenante, loin des clichés que peuvent véhiculer d’autres comédies. »

Anne-Lorraine Bahi espère que le public sera au rendez-vous pour cette première édition du festival d’humour francophone à San Francisco, qui devrait être le début d’une longue série.

The Exotic Resort Zoo, l’expérience du safari animalier en plein Texas

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Si les plaines du Kenya vous paraissent bien lointaines, pourquoi ne pas tenter l’expérience du safari animalier directement au Texas ? C’est exactement ce que propose The Exotic Resort Zoo, un établissement familial ouvert depuis 1995 à Johnson City, à 80 kilomètres à l’ouest d’Austin. Les fondateurs du lieu, Dennis et Marilyn Bacque, ont investi un espace de 55 hectares avec plus de 45 espèces visibles lors de la visite.

En groupe ou seul en voiture

Le ton est donné dès l’entrée de ce zoo original où plusieurs nouveaux nés vous feront craquer au moment de passer à la caisse (un chevreau et un bébé kangourou lors de notre visite le 5 octobre). Très kid friendly, la visite du parc peut se faire seul en voiture ou en groupe. On vous conseille définitivement cette seconde option qui coûte le même prix (19,95$), auquel on peut rajouter 8$ pour acheter un saut de nourriture à donner aux animaux.

© The Exotic Resort Zoo

On embarque alors sur une charrette tirée par un tracteur pour une visite guidée et commentée d’environ 45 minutes. Le parc est divisé en plusieurs zones où cohabitent différentes espèces, à commencer par des biches et des cerfs. Ces animaux sauvages sont tellement habitués à l’homme qu’ils viendront vous manger dans la paume de la main.

On poursuit le chemin jusqu’en Afrique pour rencontrer un dromadaire pas farouche lui non plus, puis deux watusis aux cornes d’une taille démentielle (jusqu’à 2,40 m d’envergure pour 15 kilos !). La colonie de zèbres est tout aussi fascinante à observer de près, même si le guide vous déconseille de les nourrir directement en raison de leur dentition large et aiguisée (très pratique pour couper de l’herbe).

© Maxime Aubin

The Exotic Resort Zoo a également aménagé un plan d’eau où l’on peut observer de loin des buffles asiatiques faire trempette. La suite de la visite nous emmène au plus près d’un troupeau de bisons nord-américains. On peut également les nourrir de façon amusante, puisque ces gros ruminants ouvrent leur gueule tels des entonnoirs dans lesquels on n’a plus qu’à déverser le contenu de notre saut. Cette dernière partie du parc contient également des gemsboks, un bovidé proche de l’antilope avec de belles cornes et traits noirs sur le corps, et des yacks d’Himalaya et leur pelage si reconnaissable.

À hauteur de girafe

L’aventure ne se termine pas à la visite guidée du parc puisque l’établissement offre aussi un petting zoo, une manière d’aller caresser à pied quelques animaux dans leur enclos. Parmi elles, les chèvres naines sont des plus affectueuses, vous aurez peut-être même la chance d’assister à une naissance en direct. Le clous du spectacle a lieu à quatre mètres du sol, en grimpant un escalier qui nous mène à hauteur de girafe. Là aussi, il est possible de donner quelques feuilles de salade à l’animal, directement au creux de le main. Une expérience inoubliable pour les enfants… comme pour les adultes.

Vous en voulez encore plus ? The Exotic Resort Zoo propose huit cabines pour dormir sur place, au beau milieu du parc. De quoi profiter de la vue tout en faisant un plouf dans la piscine.

© The Exotic Resort Zoo

À New York, le marché noir des réservations de restaurant sur la sellette

Vous avez toujours rêvé de pouvoir dîner à Carbone, Cote ou Raoul’s, mais vous n’avez jamais pu y réserver une table ? Certains restaurants new-yorkais sont très difficiles, voire quasiment impossible d’accès. Une demande très forte et des restrictions volontaires de la part de certaines adresses pour créer un effet de buzz ont rendu délicat l’obtention d’un siège ou deux dans ces adresses réputées et très fréquentées. Pour combler ce manque, des petits malins se sont engouffrés dans la brèche et ont créé des sites de revente de réservation. Ces sites s’appellent Appointment Trader ou Cita Marketplace.

Concrètement, des personnes possédant une réservation dans un restaurant peuvent la proposer à la revente. Un juteux business pour certains qui ont réussi à dégager de vrais revenus. Leur méthode : connaître toutes les astuces pour réserver les tables les plus difficiles de la ville. Carbone ouvre par exemple les réservations un mois à l’avance, tous les jours à 10am en priorité pour les détenteurs d’une carte American Express. Les plus rapides obtiennent une table, qu’ils peuvent ensuite proposer à la revente sur ces sites spécialisés. Ils peuvent demander, pour une seule réservation, jusqu’à plusieurs centaines de dollars pour les restaurants et les moments de la semaine les plus demandés. Certains clients sont prêts à payer la somme demandée, sans compter qu’ils devront aussi y ajouter la note du repas. Quand on aime, certains visiblement ne comptent pas !

Une loi pour interdire la revente

Problème : ce système à la limite de la légalité a accouché de nombreux effets indésirables. Un député de l’État de New York, Alex Bores, a activement soutenu une loi proposée par la sénatrice Nathalia Fernandez, le Restaurant Reservation Anti-Piracy Act, visant à mettre fin au marché noir de la réservation. « Cette pratique pose de sérieux problèmes, confie-t-il. Pour les restaurateurs, cela augmente le nombre de no-shows (non-présentation le jour de la réservation) et affecte leur chiffre d’affaires. Les restaurants doivent aussi pouvoir contrôler et savoir qui réserve une table chez eux, et avec ce système, il leur est impossible de connaître l’identité des personnes qui vont venir dans leur établissement. »

Ces sites d’un nouveau genre sont aussi problématiques pour les clients de restaurants. « Ce système censé permettre l’accès à ces tables réputées a en réalité rendu encore plus difficile les réservations, poursuit Alex Bores. Les tables sont prises d’assaut par des personnes qui connaissent toutes les astuces et dont c’est la spécialité. Le client lambda n’a plus aucune possibilité de réserver dans certains lieux, sans compter que cela fait monter inévitablement la facture. »

Des centaines de dollars pour une réservation

La loi proposée par le député a été adoptée par le parlement new-yorkais. Elle est désormais sur le bureau de la gouverneure qui, dès qu’elle l’aura signée, obligera ces sites de revente à obtenir l’autorisation des restaurants en question avant de proposer des tables à la revente. Parmi les établissements concernés, le restaurant français Maison Close fait partie des plus demandés. Le week-end, le lieu affiche toujours complet. Sur les sites de revente, plusieurs centaines de dollars sont parfois demandés par des tierce-parties pour céder leur réservation.

« L’adoption de cette loi sera une bonne chose pour les clients, parce que les réservations n’ont pas à être payantes, confient les deux propriétaires du lieu, Thibaut Castet et Theliau Probst. Mais personnellement, même si on a constaté ce phénomène, on n’a pas vraiment été affectés : on a mis en place des systèmes pour éviter les no-shows, en demandant systématiquement une confirmation de réservation. Les réservations non confirmées sont automatiquement annulées ». Quand la loi sera signée, elle sera la première du genre adoptée au niveau de tout un État américain.